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L’héritage d’Anne Kossatz perdure dans le cadre d’une bourse d’études

L’héritage d’Anne Kossatz perdure dans le cadre d’une bourse d’études

Un don de plus de 115 000 $ apportera un appui aux femmes dans les sciences à l’Université Laurentienne

10 février 2025 – À la veille de la Journée internationale des femmes et des filles de science, la famille de la défunte Anne Kossatz a généreusement fait don de quelque 115 000 $ pour créer une bourse destinée aux étudiantes du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne. Cette contribution bienveillante rend hommage à Anne et à son engagement de toute une vie envers l’avancement des possibilités pour les femmes en sciences.

 

 

« C’est un privilège d’honorer ma femme en créant cette bourse d’études à la Laurentienne, a exprimé Ray Dalby. Elle croyait profondément au pouvoir transformateur de l’éducation et à l’importance d’encourager les femmes à briller dans des domaines où elles ont traditionnellement été sous-représentées. Cette bourse est une façon d’alimenter sa vision et d’avoir une incidence durable sur les générations futures. »

 

 

Décédée en 2021, Anne était originaire de Sudbury et diplômée de la Laurentienne. Elle avait une incroyable joie de vivre et un enthousiasme pour vivre pleinement. Sa passion pour les chevaux l’a apportée à siéger au conseil d’administration d’Ontario Equestrian et à devenir commissaire auprès de la Fédération équestre internationale. Elle avait une formation approfondie incluant deux maîtrises, mais a obtenu en premier lieu un baccalauréat ès sciences en biologie de l’Université Laurentienne en 1977.

 

 

« La communauté Laurentienne est profondément reconnaissante envers la famille d’Anne pour cette contribution importante, a affirmé la doyenne de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture, Joy Gray-Munro, Ph.D. Nous reconnaissons la différence notable que ce généreux don aura dans la vie des lauréates ainsi que l’incidence positive d’offrir un plus grand nombre de possibilités aux femmes dans les sciences. »

 

 

Ce don permettra de créer une bourse d’études qui sera décernée tous les ans à une étudiante de troisième année en biologie biomédicale ayant obtenu la moyenne pondérée cumulative la plus élevée au cours des deux années d’études précédentes. Grâce à cette bourse, l’héritage d’Anne Kossatz aidera une étudiante de la Laurentienne à réaliser tout son potentiel et, dans un sens plus large, à contribuer à l’avenir de la recherche scientifique.

 

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

1 aout 2024 - Cet été, 22 membres de la population étudiante ont la possibilité de soutenir des projets de recherche par l’intermédiaire de l’Université Laurentienne grâce à un financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), et le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH).

Les Bourses de recherche de premier cycle (BRPC) visent à nourrir l’intérêt des étudiants de premier cycle et à développer leur potentiel pour une carrière de recherche. Ce financement leur permet d’acquérir de l’expérience de travail de recherche qui complète leurs études universitaires.

Pour une période de 16 semaines, de mai à août, les étudiants épaulent la recherche à plein temps. Ils peuvent être titulaires d’une seule BRPC par exercice financier et pourraient en détenir jusqu’à trois pendant leur carrière de premier cycle.

Bien que la possibilité de contribuer de manière significative à un projet de recherche soit souvent réservée aux étudiants des cycles supérieurs, les BRPC donnent l’occasion exceptionnelle et convoitée à ceux du premier cycle d’acquérir de l’expérience dans leur domaine d’intérêt. L’année d’études, la spécialisation et les domaines de recherche des étudiants varient, mais ils reconnaissent tous de manière semblable l’incidence positive de cette expérience sur leurs études actuelles et leurs objectifs futurs.

Tout au long de l’été, les étudiants s’exprimeront au sujet d’eux-mêmes, de leurs ambitions et intérêts et un peu sur le projet de recherche auquel ils prêtent leur soutien.

Kailey Beggs

3e année du programme de baccalauréat ès sciences en kinésiologie à l’Université Laurentienne

Ville natale : Val Caron, Ontario

École secondaire : Confederation Secondary School

Cet été, grâce à ma BRPC, j’ai l’occasion de travailler au Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST). Je suis ravie d’acquérir une expérience pratique en recherche en travaillant sur de nombreux projets qui en sont tous à des stades différents. J’ai été surprise de constater que j’en apprends davantage sur les statistiques du CRSST que dans mon cours d’introduction aux statistiques (moi qui ne croyais jamais me servir à nouveau des statistiques!). À l’avenir, j’espère utiliser toutes les connaissances et compétences acquises du CRSST et dans mon programme (kinésiologie) pour poursuivre des études supérieures et faire carrière dans le secteur de la santé.

Je participe actuellement à plusieurs projets au CRSST, mais celui qui me passionne le plus est le projet « Air Quality Index (AQI) Interventions » avec Alison Godwin, Ph.D. Pour ce projet, afin d’améliorer la sensibilisation du public à la pollution de l’air et aux risques connexes pour la santé, j’étudie la manière dont les gens interagissent avec les données de l’IQA et les interprètent.

Aux études, ma matière préférée est la physiologie humaine. Il est fascinant de comprendre comment le corps fonctionne en analysant le métabolisme ou examinant les habitudes de mouvement pour prévenir les blessures et améliorer la biomécanique. À part les études, j’aime faire de la course et de l’exercice, promener mon chien Hershey et me perdre dans un bon bouquin. Je passe aussi beaucoup de temps à travailler et à faire du bénévolat.

Dulain Abeyratne

4e année du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Lockerby Composite School

Il s’agit de mon deuxième été à faire de la recherche sous la supervision de Stefan Siemann, Ph.D. Je prête actuellement mon appui à un projet qui porte sur les effets de l’échange de métaux et de l’élimination du zinc d’un groupe d’enzymes contenant des métaux. Plus précisément, nous étudions l’incidence de cet échange sur l’activité enzymatique. Mon poste d’adjoint de recherche me permet non seulement d’acquérir une expérience pratique en laboratoire, mais éveille également mon intérêt pour la recherche. J’espère poursuivre une carrière en médecine et suis convaincu que les compétences que j’ai acquises grâce à cette possibilité de BRPC auront une incidence positive sur l’atteinte de mes objectifs.

Dans mon temps libre, j’aime faire de la course, jouer au basket-ball et passer du temps avec mes amis et ma famille. Je fais également du bénévolat auprès de divers organismes, tels que le YMCA du nord-est de l’Ontario et le Centre de soins continus St. Joseph.

Olivia Norman

4e année du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Ottawa, Ontario

École secondaire : Glebe Collegiate Institute

Originaire d’Ottawa, j’ai été attirée à la Laurentienne en raison de son équipe interuniversitaire de ski nordique, de l’incroyable accès au plein air et des cours à faible effectif. Puisque l’UL est relativement petite, les étudiants de premier cycle profitent d’une plus grande expérience en laboratoire que celle souvent offerte dans les grands établissements. J’ai eu l’occasion d’acquérir des compétences fondamentales que j’ai pu appliquer à la recherche dans un laboratoire professionnel.

Cet été, j’ai reçu une BRPC qui m’a donné l’occasion de travailler au laboratoire de recherche biomédicale de l’EMNO à Sudbury. Sous la codirection d’Alain Simard, Ph.D. et de Suji Tharmalingam, Ph.D., j’examine la génétique qui sous-tend la fonction des récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine (nAChR) dans le corps humain. Les nAChR sont présents dans de nombreux types de cellules du corps, y compris les cellules immunitaires. En m’appuyant sur les recherches antérieures de M. Simard et de son équipe, j’espère en apprendre davantage sur la participation des nAChR à la réponse inflammatoire déclenchée par le système immunitaire.

Camden Babin

3e année du programme de génie logiciel à l’Université de l’Alberta

Ville natale : Hanmer, Ontario

École secondaire : Bishop Alexander Carter C.S.S.

Avant mes études à l’Université de l’Alberta, j’avais un vif intérêt pour tous les domaines des STIM sans savoir où cela me mènerait. Ce n’est que lors de mon cours de programmation générale de première année que j’ai découvert ma passion pour l’informatique en génie. Ayant l’occasion de travailler au CRSST à l’UL cet été, je m’intéresse surtout à l’exposition à l’utilisation d’appareils microélectroniques dans les domaines de la recherche, et de la santé et de la sécurité au travail. Jusqu’à présent, j’ai vu comment de tels appareils, notamment les accéléromètres et les capteurs peu coûteux de l’indice de qualité de l’air, communiquent avec des systèmes informatiques plus importants pour recueillir, entreposer et traiter les données de façon sécuritaire. J’ai hâte d’en apprendre davantage sur le processus de recherche et les pratiques fondées sur la recherche, ainsi que la manière dont ils sont liés à divers processus d’ingénierie.

Cet été, je travaille sur un projet qui facilite la participation de la communauté avec des outils de qualité de l’air local pour aider à la prise de décisions en matière de santé, et je profiterai de toutes les occasions pour contribuer à l’aspect technologique d’autres projets. Je pense que ce qui lie le génie, la recherche et la santé et la sécurité au travail est notre volonté commune de résoudre des problèmes et d’améliorer la qualité de vie des autres. Au CRSST, j’ai hâte de mettre à profit ma passion pour explorer le chevauchement de la technologie et de la santé et de la sécurité au travail, en contribuant à des projets qui améliorent notre communauté grâce à des recherches innovatrices.

Le Relais pour la vie de la Laurentienne est présenté pour la 8e année consécutive.

Le Relais pour la vie de la Laurentienne est présenté pour la 8e année consécutive.

La campagne de cette année espère ajouter 30 000 $ à un total de plus de 280 000 $ depuis 2015.

(3 mars, 2023) - Les 10 et 11 mars 2023, on tiendra le huitième événement annuel du Relais pour la vie de la Laurentienne. Cet événement sensibilise les gens en ce qui concerne la lutte contre le cancer et recueille des fonds en ce sens. Les sommes recueillies sont versées à la Société canadienne du cancer (SCC), le plus grand organisme canadien de bienfaisance contre le cancer et bailleur de fonds de la recherche sur le cancer. La campagne a recueilli 284 493,61 $ depuis 2016 et espère amasser 30 000 $ de plus cette année.

Ann VanDerAa (Mount Forest, Ontario), étudiante de quatrième année au baccalauréat ès arts en Education, en double spécialisation en History et English Literature, Media and Writing, est la présidente du Relais pour la vie de l’UL de cette année et l’un des vingt étudiants bénévoles du comité organisateur de 2022-2023. « J’ai commencé à faire du bénévolat avec le Relais pour la vie de l’UL dès ma première année et j’ai gravi les divers échelons jusqu’à l’équipe de direction. La campagne de chaque année m’a beaucoup appris, et c’est incroyable de faire partie de quelque chose qui touche tant de gens. Je n’ai jamais rencontré une personne qui n’a pas été touchée par le cancer d’une manière ou d’une autre. Faire une différence, c’est donc vraiment puissant. »

Les autres membres de l’équipe de direction du Relais pour la vie de l’UL de 2022-2023 sont la vice-présidente de l’engagement, Caitlyn Brannon (Whitby, Ontario), étudiante de quatrième année en Sports Psychology, et le vice-président aux finances, Cameron Hourtovenko (Sudbury, Ontario), étudiant de quatrième année en Biomedical Biology.

« Nous sommes très fiers du travail accompli pour appuyer le Relais pour la vie, un véritable effort de collaboration, a déclaré Ann VanDerAa. L’événement se déroule au gymnase Ben-Avery de 19 h le vendredi à 7 h le samedi matin. La nuit est remplie de divertissements, de stations de restauration, de jeux, de tournois sportifs, tout ce à quoi vous pouvez penser. En fin de compte, à la fin de la nuit, nous nous réunissons pour révéler le total de notre collecte de fonds. » La Laurentienne rivalise avec certaines des plus grandes écoles du pays en matière de nombre de participants et des sommes recueillies.

« Le Relais pour la vie, c’est un mouvement mondial, qui se déroule dans 29 pays et 6 000 communautés dans le monde entier, et cette année, nous sommes ravis de célébrer le 8e événement annuel du Relais pour la vie à l’Université Laurentienne, a déclaré Allie Raper, spécialiste principale, Relais pour la vie de la jeunesse, Société canadienne du cancer. La communauté universitaire de la Laurentienne permet à la Société canadienne du cancer d’offrir un système national de soutien aux personnes atteintes de cancer et à leurs familles. Ensemble, nous aidons les gens à gérer leur vie malgré le cancer grâce à des services comme l’hébergement dans nos pavillons de cancérologie, le transport vers le lieu de traitement et un soutien individuel avec des pairs bénévoles. Le travail de nos incroyables leaders étudiants, bénévoles et donateurs fait en sorte que notre mission à la SCC est possible. Nous remercions la communauté de l’Université Laurentienne d’avoir eu une incidence remarquable et ensemble, nous pouvons unir et inspirer tous les Canadiens et Canadiennes à maîtriser le cancer. »

Le Relais pour la vie de l’UL compte quatre cérémonies clés. Une cérémonie d’ouverture et de clôture, une cérémonie des survivants et une cérémonie des luminaires. « La cérémonie des luminaires est un moment particulièrement émouvant et sincère où les participants ont la chance d’honorer les personnes qu’ils ont perdues d’une manière très respectueuse, a déclaré Ann VanDerAa. Les participants reçoivent chacun un petit sac en papier à décorer, dans lequel une lumière est insérée. Nous tamisons les lumières du gymnase et donnons aux gens le temps de réfléchir. C’est vraiment la partie préférée de nombre de personnes qui participent au Relais. »

Bien que plus de 125 étudiants de la Laurentienne se soient déjà inscrits cette année à titre de volontaires, l’objectif est que plus de 300 étudiants de l’UL participent. Les étudiants peuvent s’inscrire individuellement ou en équipes de 5 à 12.

Le Relais pour la vie de l’UL accueille les nouveaux inscrits jusqu’au jour de l’événement qui se tiendra le 10 mars. Il importe de souligner les nombreuses personnes ou groupes qui nous appuient, y compris les commanditaires locaux suivants :

Commanditaire Platine : Verdicchio’s Ristorante.
Commanditaires Or : Starbucks, Sudbury Five, Angèle’s Bakes.
Commanditaires Argent : Services publics du Grand Sudbury, Peavey Mart, Ferguson Deacon Taws, TestMark.
Commanditaires Bronze : Salute Coffee Company, Handmade by Logan, New Sudbury Spice Co., Science Nord, Joyful Home, Sage, Twiggs Coffee Roasters, Daventry, That's My Jam, Positive Inception, Mastermind Toys, Sudbury Wolves, Party City et Gourmet World.