29 Septembre 2014 - L’Université Laurentienne et l’Association des professeurs de l’Université Laurentienne (APPUL), qui représente 372 professeurs et bibliothécaires à plein temps et 200 chargés de cours à temps partiel qui travaillent à Sudbury et à Barrie, ont conclu une entente de principe concernant une nouvelle convention collective.
« Je me réjouis, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux, que les deux équipes de négociation aient pu arriver à une entente sans entraver l’année universitaire. Si l’entente est ratifiée, elle permettra à l’Université et à son corps professoral de poursuivre leur lancée avec des plans excitants pour les années à venir. »
« Cela a été un processus intense, a ajouté le président de l’APPUL, M. Anis Farah. Les deux équipes de négociation ont travaillé très fort pour régler de façon collégiale les préoccupations d’intérêt commun. Cette entente de principe pose un jalon positif pour l’avancement de l’Université et de l’APPUL. »
L’Université et l’APPUL tiennent à remercier les membres des équipes de négociation, menées par M. Hermann Falter pour l’Université et M. Rizwan Haq pour l’APPUL, de leur dévouement et de leur engagement envers une culture organisationnelle positive.
Les membres de l’APPUL s’exprimeront par un vote pour ratifier l’entente de principe aussitôt que possible. Elle doit aussi être ratifiée par le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne. Comme il est d’usage, les dispositions de l’entente de principe ne seront pas dévoilées avant sa ratification par les deux parties.
Les activités se déroulent donc normalement sur les campus de la Laurentienne à Sudbury et à Barrie et pour les cours de formation à distance.
La convention actuelle est arrivée à échéance le 30 juin. Les parties ont tenu de nombreuses séances de négociations depuis avril, y compris une journée avec un conciliateur, et quatre journées avec un médiateur.
L’APPUL avait le droit de faire la grève et l’Université avait le droit de déclencher un lock-out depuis le 25 septembre. Les parties s’étaient entendues pour ne pas prendre de telles mesures avant le 30 septembre, au parachèvement des journées prévues de médiation.