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La Laurentienne conférera un titre honorifique à Cindy Blackstock

La Laurentienne conférera un titre honorifique à Cindy Blackstock

24 octobre 2019 – Dans le cadre des cérémonies de collation des grades d’automne 2019, l’Université Laurentienne reconnaîtra et célébrera la remarquables carrière et réalisations de Mme Cindy Blackstock, Ph.D., qui recevra un doctorat en droit (honoris causa).

 

Cindy Blackstock, Ph.D.

Membre de la Première Nation Gitxsan, Cindy a l’honneur d'occuper le poste de directrice générale de la Société de soutien à l'enfance et à la famille des Premières Nations et d’être professeure à l'École de service social de l'Université McGill. Elle cumule plus de 30 ans d'expérience dans le domaine de la protection de l'enfance et des droits des enfants autochtones et a publié plus de 75 articles sur des sujets liés à la réconciliation, à la pratique du travail social en milieu autochtone, à la protection de l'enfance des Premières Nations et aux
droits humains. 

Cindy a eu l'honneur de travailler avec ses collègues des Premières Nations pour contester, avec succès, l'iniquité en matière de prestation des services à l'enfance et à la famille au Canada ainsi que le non-respect du Principe de Jordan. Ce litige âprement disputé a donné lieu à la prestation de centaines de milliers de services aux enfants, aux jeunes et aux familles Inuites, Métis et Premières Nations. 

Elle a récemment siégé à la Pan American Health Commission on Health Equity and Inequity (une commission panaméricaine de la santé sur l'équité et l'iniquité en matière de santé) et croit fondamentalement que l'équité fondée sur la culture est essentielle à une réconciliation significative. Cindy est souvent vue en compagnie de l’ourson Spirit Bear de la Société de soutien, qui se réconcilie avec les enfants en les engageant dans des actions significatives pour mettre en œuvre les appels à l'action de la Commission de vérité et réconciliation (CVR).

 

La recherche en psychologie se transforme en livre d’enfants

La recherche en psychologie se transforme en livre d’enfants

'Les émotions : Comment mieux les comprendre' est maintenant disponible

Sudbury, 18 octobre 2019 – Entourées de plus de 100 élèves de l’École publique Jeanne-Sauvé, Mmes Annie Roy-Charland, de l’Université de Moncton, et Mélanie Perron, de l’Université Laurentienne, ont fait le lancement officiel de leur ouvrage Les émotions : comment mieux les comprendre.

Les émotions : comment mieux les comprendre, développé selon le modèle de Pons, Harris et deRosnay (2004), comprend neuf histoires qui mettent en évidence les particularités des expériences émotionnelles des petits et des grands. Il a pour but de promouvoir le développement de la compréhension des émotions chez les jeunes enfants francophones (3 à 12 ans) et est le fruit de plusieurs travaux de recherche en psychologie menés par Mmes Roy-Charland et Perron sur l’impact de la lecture conjointe pour la compréhension des émotions chez les enfants.

 « Depuis 2007, nous nous intéressons au développement émotionnel des enfants ainsi qu’aux stratégies destinées à améliorer la compréhension qu’ils ont des émotions. Notre objectif était de développer un moyen simple et efficace permettant aux enfants de mieux comprendre certains phénomènes affectifs tout en offrant une ressource éducative riche et peu coûteuse qui peut être utilisée par tous. Sans la participation de plusieurs enfants, parents, écoles et conseils scolaires, du Grand Sudbury et de Moncton ainsi que l’appui d’adjoints de recherche dévoués, ceci n’aurait pas eu lieu, » disent les chercheuses. Les travaux qui ont mené à la création de cet ouvrage sont le résultat d’un effort collaboratif important entre divers conseils scolaires, garderies et de nombreux adjoints de recherche et chercheurs de Sudbury (Université Laurentienne) et de Moncton (Université de Moncton) qui, malgré la distance géographique, ont démontré la force et la diversité de la francophonie canadienne en situation minoritaire.    

Reconnue comme une école d’innovation universitaire en 2016, l’École publique Jeanne-Sauvé a participé au projet. « Nous sommes heureux que cette vision que nous avons eu de faire de Jeanne-Sauvé un centre privilégié pour les chercheurs de la Laurentienne se concrétise dans le cadre de projets aussi concrets et pertinents que celui-ci.  La régulation des émotions commence par la compréhension, un défi important relevé à l’échelle de tout l’élémentaire et l’intermédiaire, » a affirmé la directrice de l’École, Mme Lynn Tellier.

Grâce au financement de Santé Canada et à l’appui du Consortium national de formation en santé (CNFS) et des Éditions Prise de Parole, ce qui n’était au départ qu’un document de travail est devenu un superbe livre à couverture rigide et aux couleurs vibrantes. « Pour le CNFS, il est important de non seulement développer des connaissances sur la santé des francophones en situation minoritaire, mais aussi de les mobiliser. Ainsi, nous nous réjouissons d’appuyer les professeures Perron et Roy-Charland à rendre ce livre accessible à la communauté francophone, » a expliqué le gestionnaire de recherche du CNFS, M. Éric Chevaucherie.

Le livre est offert à plusieurs endroits dans les communautés du Grand Sudbury et de Timmins, en Ontario, ainsi qu’au Nouveau-Brunswick dans les bibliothèques et les garderies francophones. Il se retrouve aussi en version numérique à cnfslaurentienne.ca.

Des étudiants en gestion à la Laurentienne iront en Corée du Sud pour participer au concours international de plan commercial 2019

Des étudiants en gestion à la Laurentienne iront en Corée du Sud pour participer au concours international de plan commercial 2019

Le groupe constitue la toute première équipe du Canada à participer à ce concours

Le 16 octobre 2019 -- La Faculté de gestion à l’Université Laurentienne est fière d’annoncer qu’une équipe d’étudiants du programme en administration des affaires se rendra à Daejeon, en Corée du Sud, pour participer au concours international de plan commercial 2019 (International Business Plan Competition) organisé par la SolBridge International School of Business, du 27 octobre au 2 novembre 2019.

L’équipe de la Laurentienne est la toute première équipe canadienne à se présenter au concours et fera concurrence à quelque 24 équipes provenant de divers pays. Les étudiants recevront un scénario du monde réel d’une multinationale coréenne de premier plan et développeront une analyse approfondie et des recommandations pour un produit ou un service précis de la société dans certaines circonstances. L’objectif du concours est d’ouvrir des possibilités de réseautage et de créer une plateforme favorisant la créativité et la pensée innovatrice.

Les membres de l’équipe sont Maxime Leduc, Sarah Napoli, Stéphane Lauzon et Daniel Boileau, tous inscrits à la quatrième année d’études des programmes de BAA ou BBA. La participation à cette épreuve est une excellente occasion d’apprentissage expérientielle pour nos étudiants et est conforme au résultat 6 du Plan stratégique de l’Université Laurentienne. Nous souhaitons bonne chance à notre équipe.

Renseignements
Luc Lagrandeur
Coordonnateur des concours en gestion
705-675-1151, poste 2158
llagrandeur@laurentienne.ca

La Journée du chandail orange : un symbole de réconciliation et d’espoir à l’Université Laurentienne

La Journée du chandail orange : un symbole de réconciliation et d’espoir à l’Université Laurentienne

Une journée qui reconnaît les personnes décédées dans les pensionnats, les survivants et les futures générations

L’Université Laurentienne soulignera de nouveau cette année la Journée du chandail orange, le 30 septembre, et encourage tous les membres de la communauté à porter des vêtements orange pour conscientiser les gens aux personnes décédées dans les pensionnats autochtones du Canada et leur rendre hommage. La journée célèbre aussi la persévérance des survivants et des descendants.

La couleur orange a été choisie pour Mme Phyllis Webstad, survivante du pensionnat de la Nation de Secwepemc. En 1973, quand Mme Webstad n’avait que six ans, sa grand-mère lui a acheté un beau chandail orange pour sa première journée d’école, mais dès son arrivée au pensionnat, on lui a tout enlevé, y compris le chandail. Quelque 150 000 enfants inuits, métis et de Premières Nations ont dû fréquenter les pensionnats avant que le dernier ne ferme ses portes en 1996. Le nombre de survivants est estimé à 80 000 et les répercussions de ce génocide culturel se perpétuent encore aujourd’hui. Même les enfants qui n’ont pas fréquenté les pensionnats ont été touchés par les traumatismes intergénérationnels. Reconnaître ces atrocités joue un rôle clé dans le processus de guérison de beaucoup de personnes.

À la Laurentienne, les chandails orange sont conçus par l’artiste d’Atikameksheng Anishinawbek, Mme Emma Petahtegoose, qui assure un lien entre la conception et l’emplacement de notre établissement. Puisque le chandail est un symbole de réconciliation et d’espoir, il devait être conçu par une jeune personne, et nous sommes très reconnaissants de la brillante conception d’Emma et de son superbe travail. Un nombre limité de chandails seront en vente pour la somme de 20 $ chacun dans le Centre autochtone de partage et d’apprentissage et les sommes recueillies permettront de financer des bourses d’aide et d’étude pour les autochtones à l’Université Laurentienne. Cette année marque la troisième Journée du chandail orange affichant la conception d’Emma.

La Laurentienne est l’emplacement d’un événement marquant des tentatives du Canada à se réconcilier avec les nations autochtones. En 1986, l’Église unie du Canada a été la première à présenter ses excuses pour son rôle dans le système de pensionnats. Un cairn signale en effet l’endroit où les survivants et les défenseurs de la cause de tout notre pays se sont rassemblés en 1986 pour marquer les excuses. C’est également l’endroit où Art Solomon a fait la grève de la faim et mis l’église au défi « d’être réaliste ou de disparaître », juste en bas de la colline qui part de l’Édifice Parker. La Laurentienne continue de favoriser la réconciliation grâce à son mandat triculturel, en offrant des bourses aux étudiants autochtones et en soulignant cette journée qui met en évidence notre conscientisation à l’histoire et à l’héritage des pensionnats autochtones. Nous avons un devoir d’aller de l’avant ensemble.

Voir la liste complète des activités de la Journée du chandail orange
 

Un réseau de recherche associé à la Laurentienne reçoit une importante subvention pour l’étude de l’environnement

Un réseau de recherche associé à la Laurentienne reçoit une importante subvention pour l’étude de l’environnement

PermafrostNet vise à placer le Canada au premier plan des recherches sur le pergélisol

Le 12 septembre 2019 – À la suite de deux ans de travail ardu, une équipe de chercheurs spécialistes du climat de l’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer que le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) a décerné à leur réseau une subvention de plusieurs millions de dollars. Au cours des cinq prochaines années, le CRSNG injectera plus de 5 000 000 $ dans PermafrostNet, une collaboration de douze universités et d’une quarantaine d’organismes.

La fonte du pergélisol est une question cruciale ayant des retombées de grande portée. Même si l’incidence se ressent plus profondément dans les collectivités autochtones et éloignées du Nord, elle touche plus d’un tiers du territoire canadien. La perturbation du paysage, aussi bien que des vies humaines et des communautés, qui en découle pourrait être catastrophique.

Le nouveau financement aidera les personnes, collectivités du Nord, organismes gouvernementaux et secteurs industriels à prévoir les futurs changements et s’y adapter. La professeure agrégée de l’Université Laurentienne, Pascale Roy-Léveillée, y jouera un rôle clé en assurant un leadership au sein du réseau et participant à treize projets sur les basses terres de la baie d’Hudson et au Yukon. 

PermafrostNet vise à placer le Canada au premier plan de la lutte contre la fonte du pergélisol tout en favorisant de meilleurs partenariats avec les groupes métis, inuits et de Premières Nations grâce à des fonds réservés à la mobilisation des collectivités autochtones. La population étudiante de la Laurentienne profitera directement de précieuses expériences à effectuer des travaux sur le terrain à des endroits divers, y compris en Ontario, au Manitoba, au Yukon et dans les Territoires-du-Nord-Ouest. Le projet se rattache fermement à l’engagement de longue date de la Laurentienne à améliorer la vie des gens du Nord.

CITATIONS

« Nous sommes très fiers que les travaux de Mme Roy-Léveillée portent des fruits dans le cadre de ce formidable financement du CRSNG. L’Université Laurentienne s’évertue à améliorer la vie des personnes dans les communautés autochtones et du Nord. Cette subvention nous aidera beaucoup à concrétiser cet objectif. » M. Robert Haché, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne

« Je me réjouis à la perspective de continuer à collaborer avec les gens qui vivent et travaillent dans le paysage du pergélisol et sont touchés par la dégradation. Grâce à ce réseau, l’expertise en sciences et génie se mariera aux connaissances locales pour apporter un appui à ces communautés canadiennes alors qu’elles font face aux aléas de la fonte constante du pergélisol dans le Nord. » Mme Pascale Roy-Léveillée, professeure agrégée au Département de géographie de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne est en deuil à l’occasion du décès de Mme Lily Fielding

L’Université Laurentienne est en deuil à l’occasion du décès de Mme Lily Fielding

Cette philanthrope était un pilier de la communauté

Nous sommes peinés d’annoncer le décès de Mme Lily Fielding, véritable amie de la Laurentienne et défenseuse des droits de notre population étudiante. Elle avait 103 ans. Témoignant toujours de la fierté à l’égard de sa famille et des liens noués avec la Laurentienne, elle a joué un rôle prépondérant pour que l’Université devienne ce qu’elle est aujourd’hui.

Mme Fielding a travaillé aux côtés de son mari bien-aimé, le défunt Cliff Fielding, avec qui elle a passé 68 ans. M. Fielding a siégé au Conseil des gouverneurs de la Laurentienne de 1964 à 1977 et son héritage perdure sur le campus comme en fait foi l’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff Fielding.

Mme Fielding appuyait depuis longtemps la croissance de la Laurentienne. Ses contributions ont en effet soutenu financièrement la Salle de lecture Brenda-Wallace, le Centre d’analyse Perdue et de nombreuses autres initiatives favorisant la réussite de la population étudiante. Plus tôt cette année, elle a fait don à l’Université du merveilleux tableau La Cloche, œuvre de M. Franklin Carmichael, l’un des peintres du Groupe des sept. En outre, cinq bourses d’aide sont liées à la famille Fielding.

En 2017, en voyant les dessins de l’Édifice Cliff Fielding, Mme Fielding était particulièrement émue et a affirmé que M. Fielding serait très fier de tous les accomplissements de l’Université Laurentienne. Nous lui faisons nos tendres adieux, reconnaissants de tout ce qu’elle a accompli au fil des ans et fiers de continuer à lui rendre hommage.

Les drapeaux du campus seront en berne le lundi prochain, 16 septembre 2019.

CITATION
« Leader communautaire exceptionnelle, Mme Fielding laisse un souvenir indélébile à l’Université Laurentienne et ses contributions ne seront pas oubliées de si tôt. » Robert Haché, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne

Un cabinet d’enseignement d’outremer place l’Université Laurentienne à un rang élevé en matière de génie minier dans un classement mondial

Un cabinet d’enseignement d’outremer place l’Université Laurentienne à un rang élevé en matière de génie minier dans un classement mondial

ShanghaiRankings classe les programmes de la Laurentienne au 50e rang dans le monde et au sixième rang au Canada

Un cabinet de conseils en enseignement en Chine a classé les programmes de génie minier de l’Université Laurentienne parmi les meilleurs dans le monde. Selon le plus récent numéro d’Academic Ranking of Global Universities, publié par ShanghaiRankings, la Laurentienne se classe au 50e rang dans le monde et au sixième rang au Canada.

Le classement est fondé sur certains facteurs clés, y compris le nombre de fois que les recherches effectuées dans un établissement quelconque sont citées dans un article universitaire, et est établi en collaboration avec des établissements d’autres pays. Les chercheurs de la Laurentienne sont fiers de perpétuer la tradition de coopération sans frontières, une mesure importante qui continue d’attirer l’attention sur la scène internationale.

Au nom de l’Université, nous tenons à féliciter les responsables de leurs efforts soutenus à mener le peloton en matière de recherche minière au Canada, tout particulièrement nos collègues de l’École des mines Goodman, de l’École de génie Bharti et de l’École des sciences de la Terre Harquail.

CITATION

« Située à Sudbury, qui abrite un grand nombre de mines actives et d’importantes compagnies minières, l’Université Laurentienne a toujours fait preuve de force en enseignement et recherche dans le domaine du génie minier. Nous sommes heureux de recevoir une telle reconnaissance qui est rendue possible grâce au dévouement et au haut calibre du corps professoral de l’École de génie Bharti. » Dr Osman Abou-Rabia, doyen de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture.
 

Des chercheuses de l’Université Laurentienne reconnues au plan mondial pour leur étude sur la main-d’œuvre de l’industrie minière

Des chercheuses de l’Université Laurentienne reconnues au plan mondial pour leur étude sur la main-d’œuvre de l’industrie minière

Le prix souligne l’effort d’une équipe enracinée dans plusieurs unités


Des chercheuses de l’Université Laurentienne ont été reconnues sur la scène internationale pour l’analyse qu’elles ont effectuée sur les carrières dans l’industrie minière. En août, l’équipe de chercheuses a gagné le Prix pour le meilleur article à comité de lecture pendant le congrès mondial de WACE aux États-Unis.

Le prix vient souligner l’effort d’une équipe enracinée dans plus d’une unité, voire plus d’un continent. Les lauréates du prix sont la coordonnatrice de programmes dans l’École des mines Goodman, Mme Nicole Tardif, la maître de conférences de la Faculté de gestion, Mme Patricia Orozco Quijano, et Mme Sue Bandaranaike de l’Université James Cook, à Townsville, en Australie.

Intitulé « Preparing for the Future Global Workforce in the Mining Industry: A Career Pathways Mapping Project », l’article aidera les chercheuses à trouver des moyens efficaces pour planifier le cheminement de carrière des professionnels du secteur minier dans les domaines de la géologie, du génie et des sciences de l’environnement.

L’étude apporte aussi des avantages directs à la population étudiante de l’Université Laurentienne puisque les membres auront accès à des cours, à des ateliers et à des possibilités d’apprentissage intégré au travail organisés par l’École qui aideront à redresser la pénurie de compétences requises pour satisfaire les besoins de l’industrie minière.

CITATIONS

« Ce prix met manifestement en valeur les succès qui peuvent être concrétisés lorsque l’industrie et le milieu universitaire collaborent afin d’aborder les enjeux mondiaux d’aujourd’hui. » -- Mme Patricia Orozco, Ph.D., professionnelle de l’enseignement spécialisée en apprentissage par l’expérience à l’Université Laurentienne

 

AU SUJET DU CONGRÈS DE WACE

Le Congrès mondial de WACE (World Council and Assembly on Cooperative Education) rassemble tous les deux ans les meilleurs professionnels des secteurs industriels, gouvernementaux et de l’enseignement supérieur pour qu’ils présentent les résultats de leur recherche, tirent des leçons des succès d’autrui et puissent collaborer.

 

Pour obtenir un complément d’information sur cette étude et le programme de schématisation du cheminement professionnel et (ou) l’apprentissage intégré au travail, veuillez communiquer avec : 

Patricia Orozco, Ph.D.
Professionnelle de l’enseignement spécialisée en apprentissage par l’expérience 
Université Laurentienne
porozco@laurentienne.ca
705-675-1151, poste 2132

 

Nicole Tardif
Coordonnatrice de programmes, École des mines Goodman
Université Laurentienne, Sudbury ON
ntardif@laurentienne.ca
705-675-1151, poste 7234

Les nouveaux panneaux trilingues à la Laurentienne reflètent la première langue parlée sur ce territoire

Les nouveaux panneaux trilingues à la Laurentienne reflètent la première langue parlée sur ce territoire

Anglais, français et anishinaabemowin sur tout le campus

Le 26 août 2019 -- Aani. Des personnes qui parlent anishinaabemowin ont donné une nouvelle apparence à la Laurentienne au cours de l’été en assurant la traduction pour les nouveaux panneaux trilingues installés partout sur le campus. À compter de ce semestre, tous les membres de notre communauté seront accueillis par des panneaux en anglais, en français et en anishinaabemowin, la langue du territoire sur lequel la Laurentienne est située.

Nous désirons remercier Mme Mary Anne Corbière qui a travaillé assidument sur cette initiative, et qui s’efforce de consolider la présence de l’anishinaabemowin depuis 25 ans. À titre de membre du corps professoral du Programme des études autochtones à l’Université de Sudbury, elle continue de jouer un rôle clé dans la revitalisation de la langue. Nous désirons aussi remercier M. Dominic et Mme Brenda Beaudry de Akinomaagewin Consulting, ainsi que Mme Isadore Toulouse. Mme Carole Perreault a assuré la logistique cruciale de l’initiative. Les gardiens du savoir des nations autochtones sont essentiels pour assurer la vitalité de l’anishinaabemowin. Nous ne pourrons jamais leur témoigner assez notre reconnaissance.

Tous les membres de la communauté de l’Université Laurentienne s’emploient à honorer le Traité Robinson-Huron, une entente vieille de 169 ans qui établit les relations entre les peuples autochtones et allochtones de ce territoire. Notre établissement se trouve sur le territoire anishinaabe, particulièrement celui des Atikameksheng Anishnawbek. Nous rendons également hommage à la Première Nation de Wahnapitae. Notre université est fière d’honorer le traité en paroles et en actes.

Le changement de signalisation fait partie de notre Plan stratégique, Imagine 2023, qui vise à faire de notre université l’école de choix pour les étudiants du Nord, francophones et autochtones du monde entier.

 

CITATIONS

« Étant donné que l’Université Laurentienne se trouve sur le territoire des Atikameksheng Anishnawbek, je suis ravie de savoir que l’histoire et la langue du peuple Anishnawbek sont reconnues dans toute l’Université grâce aux panneaux trilingues. » - Valerie Richer, chef des Atikameksheng Anishinawbek

« Nous sommes fiers de notre nouvelle signalisation. Notre mandat triculturel est toujours en tête de nos priorités, et le fait de bien le représenter sur l’ensemble de notre campus est une étape importante. La promotion de l’utilisation et de l’apprentissage de l’anishinaabemowin est une priorité définie dans notre Plan stratégique, et nous continuerons de l’appuyer. » - Robert Haché, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne

« Il est réconfortant pour notre Première Nation de voir la langue anishnaabemowin reconnue et utilisée à l’Université Laurentienne. J’ai non seulement reçu des commentaires positifs des membres de la Première Nation de Wahnapitae, mais aussi d’autres Premières Nations. » - Larry Roque, chef de la Première Nation Wahnapitae

Haykuykuy! Bienvenidos! La Laurentienne accueille des chercheurs du Pérou

Haykuykuy! Bienvenidos! La Laurentienne accueille des chercheurs du Pérou

Rencontre axée sur l'environnement

15 août 2019 – Cette semaine, l’Université Laurentienne est heureuse d’accueillir d’éminents collègues de l’étranger, à savoir une délégation de chercheurs du Pérou. Six chercheurs et représentants péruviens seront de passage sur le territoire couvert par le traité Robinson-Huron pour participer à un atelier d’une semaine visant à formuler des stratégies environnementales. Parmi les invités distingués, il faut souligner le vice-ministre des Mines au ministère de l’Énergie et des Mines du Pérou, M. Augusto Cauti. L’École des mines Goodman a développé une série de cours à l’intention toute particulière des délégués.

L’objectif principal des ateliers est de prêter un appui aux participants pour l’élaboration d’un plan de restauration environnementale adapté à leur région respective. Il s’agira surtout de partager des connaissances touchant les fructueux efforts de remise en état à Sudbury et de montrer aux délégués des façons d’accomplir ce travail de collaboration. Entre autres, les cours aborderont l’obligation de faire des consultations, la mise en place de règlements pour la protection de l’environnement et la surveillance de la qualité de l’eau.

Cette visite fait suite à celle de notre délégation qui est allée dans quatre états du Pérou en mai dernier organisée par la fondation CORE. Pour marquer l’occasion, la Ville du Grand Sudbury a commandité un repas autochtone qui sera donné le mercredi soir et auquel assistera le maire, M. Brian Bigger.

Nous souhaiterons aux délégués biindigen, welcome, bienvenidos, haykuykuy ou la bienvenue tout en espérant qu’ils repartent insufflés d’inspiration et de motivation à l’égard de l’importante tâche de reverdissement qui les attend.

 

CITATION

« Partager l’histoire de restauration de Sudbury, notre engagement envers les collectivités autochtones et le rôle de notre université à appuyer des chercheurs qui sont des chefs de file mondiaux, a dit le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Robert Haché, permet de jeter des bases solides pour la collaboration. »

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