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L’Université Laurentienne est à la tête d’un projet de recherche unique de 12 000 000 $

L’Université Laurentienne est à la tête d’un projet de recherche unique de 12 000 000 $

 

14 mai 2013 - Un projet innovateur de recherche géoscientifique associant des universités et des partenaires de l'industrie minière de tout le Canada est soutenu par la plus importante subvention jamais accordée par le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG) dans le cadre de son programme de recherche et développement en collaboration.

 

La subvention du CRSNG, fixée à 5 100 000 $ et annoncée officiellement aujourd'hui par le ministre d'État (Sciences et Technologie), l'honorable Gary Goodyear, est augmentée de près de 7 000 000 $ en fonds de soutien apporté par l'industrie minière canadienne et les entreprises connexes, par l'entremise du Conseil canadien de l'innovation minière (CCIM). Le projet pluriannuel verra participer plus de 40 chercheurs universitaires en géosciences, dans tout le Canada, et sera codirigé par M. Michael Lesher (Ph.D), titulaire de la Chaire de recherche en exploration minérale et professeur de géologie économique à l'Université Laurentienne, et M. Mark Hannington (Ph.D), titulaire de la Chaire Goldcorp en géologie économique et professeur de sciences de la Terre à l'Université d'Ottawa.

 

Baptisé « Empreintes », ce projet de recherche ambitieux devrait renforcer la capacité des géologues d'évaluer l'étendue, la profondeur et la composition des gisements miniers et des corps minéralisés, y compris ceux enfouis à des centaines de mètres sous terre.

 

« Au fonds, le travail que nous faisons nous permettra de mieux détecter les signaux subtils ou « empreintes » de gisements minéraux loin sous la surface, a indiqué M. Lesher, titulaire officiel de la subvention accordée au projet de recherche. Ce travail nous aidera à concevoir de meilleurs outils de détection à distance des gisements profondément enfouis et, à terme, nous croyons qu'il peut améliorer la façon dont nous abordons l'exploration minière et le développement des ressources au Canada et dans le monde entier. »

 

« Notre gouvernement comprend que la compétitivité à long terme du Canada repose sur sa capacité d'appuyer les travaux de recherche-développement liés aux affaires qui alimentent l'innovation, a déclaré le ministre d'État Goodyear. Notre gouvernement demeure déterminé à appuyer les partenariats qui créeront des emplois et renforceront la prospérité à long terme du Canada.

 

« Nous travaillons depuis de nombreuses années à ce genre de collaboration et sommes fiers de mener ce vaste programme de recherche scientifique avec nos collègues universitaires et le soutien de nos partenaires de l'industrie minière, a déclaré le vice-recteur à la recherche et aux affaires francophones à l'Université Laurentienne, M. Patrice Sawyer (Ph.D.). Ce projet exigera

 

les compétences et les talents des meilleurs chercheurs dans le domaine aujourd'hui et ceux-ci travailleront sous la direction de MM. Lesher et Hannington. C'est une excellente occasion pour la communauté des chercheurs. »

 

La demande de subvention initiale au CRSNG comptait 17 universités canadiennes et 24 partenaires de l'industrie. Depuis que le projet a reçu l'approbation officielle, le nombre d'universités et de partenaires a augmenté passant à 24 et à 27, respectivement. Les partenaires de l'industrie verseront par l'entremise du CCIM plus de 2 800 000 $ en espèces et 3 900 000 $ de dollars en nature.

 

« Le projet est le fruit d'une collaboration sans précédent entre l'industrie de l'exploration, les fournisseurs de services, les organismes publics, les chercheurs et les universités, a déclaré M. François Robert (Ph.D), vice-président et chef géologue chargé de l'exploration planétaire chez Barrick Gold Corporation et l'un des principaux architectes du projet « Empreintes ». Un tel niveau de collaboration se veut une nouvelle référence dans notre industrie. »

 

La nature collaborative du projet traduit une vision stratégique de dix ans que partagent la communauté canadienne de chercheurs universitaires et les membres du CCIM. Projet phare, Empreintes devrait former la base d'un Réseau de centres d'excellence (RCE). Il y a en ce moment seulement quinze de ces réseaux financés par le gouvernement canadien, et le projet Empreintes est le premier à porter la recherche sur la science de l'exploration minérale.

 

« La portée et l'ampleur de ce projet témoignent du leadership de l'Université Laurentienne dans la recherche liée à l'exploitation minière, estime M. Carl Weatherell, directeur général du CCIM. C'est une étape importante vers le maintien du Canada parmi les leaders mondiaux dans l'exploration minérale. »

L’Université Laurentienne nomme le nouveau doyen de la Faculté de gestion

L’Université Laurentienne nomme le nouveau doyen de la Faculté de gestion

19 avril, 2013 - Le Conseil des gouverneurs de l'Université Laurentienne a approuvé aujourd'hui la nomination de M. Stephen J. Havlovic, Ph.D., au poste de doyen de la Faculté de gestion, à compter du 1er juillet 2013.

M. Stephen Havlovic est vice‑recteur à l'enseignement et à la recherche et vice‑recteur aux études au Collège Alfred State de l'Université de l'État de New York (SUNY) où il est responsable d'un personnel composé de 250 professionnels, dont 150 professeurs appelés à dispenser des programmes d'études pour 3 500 étudiants. Il supervise également les trois écoles de l'établissement, à savoir Arts et Sciences, Gestion et Technologie du génie et Technologie appliquée, tout en gérant un budget annuel de 15 000 000 $.

« Nous sommes très heureux, a dit M. Dominic Giroux, recteur et vice-chancelier de l'Université Laurentienne, d'avoir recruté un candidat du calibre de M. Havlovic pour assurer ce rôle clé au sein de l'Université. Sa vaste expérience sera un précieux atout pour la Faculté de gestion dont l'objectif est d'obtenir l'agrément de l'AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business) au cours des prochaines années. »

Pédagogue de longue date doté de solides acquis en ressources humaines, M. Havlovic a travaillé principalement au Canada et aux États-Unis. Avant sa nomination au Collège Alfred State, il a été pendant sept ans doyen de la School of Business de l'Institut de technologie à l'Université de l'État de New York (SUNY à Utica/Rome) ainsi que professeur de gestion des ressources humaines. Au sein de cet établissement, il a mené avec succès le projet d'agrément international auprès de l'AACSB.

M. Havlovic a aussi occupé des postes administratifs et en enseignement à l'Université du Wisconsin, à Whitewater, à l'Université Simon Fraser (Burnaby, Colombie-Britannique), et à l'Université du Wisconsin, à Oshkosh. Il a également été professeur invité à l'Université des sciences et technologies de Lille (France) et à l'Université DePaul (Pologne et Tchécoslovaquie).

M. Havlovic a obtenu de l'Université d'État de l'Ohio un doctorat en ressources humaines et relations du travail, psychologie industrielle et organisationnelle, un baccalauréat en économie et une maîtrise (MLHR) en relations industrielles et gestion du personnel.

M. Havlovic remplacera M. Peter Luk, dont le mandat prend fin le 30 juin. Professeur titulaire à l'École de commerce et d'administration, M. Luk exercera au cours des deux prochaines années le rôle de conseiller spécial auprès du vice-recteur aux études.

Points saillants de la Faculté de gestion

  • Il s'agit de la faculté qui prend le plus d'expansion à l'Université Laurentienne, avec un effectif de quelque 1 250 étudiants inscrits à Sudbury, à Barrie, à Kingston et aux programmes en ligne.
  • L'UL est la seule université canadienne à offrir un diplôme de commerce en administration des sports (SPAD), le seul programme de ce genre qui mène à un diplôme en commerce.
  • La Faculté a noué un partenariat exclusif avec CGA Canada et CGA Chine en ce qui concerne les programmes de commerce destinés aux CGA professionnels.
  • La Faculté de gestion de l'Université Laurentienne, qui héberge l'École de commerce et l'École d'administration des sports, prend actuellement des dispositions afin d'obtenir l'agrément de l'Association to Advance Collegiate Schools of Business (AACSB), agrément spécialisé/professionnel le plus reconnu que peut obtenir un établissement et un programme de commerce.
  • Une équipe d'étudiants en administration des sports a obtenu la deuxième place au Concours « MIT Sloan Sport Analytic Case Competition » de 2013, qui a eu lieu à Boston (Massachusetts), événement baptisé le « Super Bowl de l'analytique du sport ».
  • Jean-Charles Cachon a reçu le prix de la meilleure communication dans le domaine de l'entrepreneuriat autochtone lors du congrès mondial du Conseil international des petites et moyennes entreprises, qui a eu lieu à l'Université Massey, à Wellington (Nouvelle-Zélande) du 10 au 13 juin 2012. Sa communication avait pour titre « Paleo Aboriginal Entrepreneurship: Evidence from Turtle Island ».
  • En 2009, la Faculté de gestion de la Laurentienne a reçu le Prix du meilleur rendement institutionnel touchant les recherches lors du congrès de l'Association des sciences administratives du Canada.

Le CRSNG appuie les recherches sur les écosystèmes aquatiques au Canada

Le CRSNG appuie les recherches sur les écosystèmes aquatiques au Canada

19 février 2013 – L’Université Laurentienne et dix autres universités canadiennes ont reçu une subvention de 4 400 400 $ pour la création du Réseau canadien du CRSNG sur les services des écosystèmes aquatiques, qui jouera un rôle central afin que les décisions sur les lacs, rivières et milieux humides de ce pays soient basées sur des connaissances scientifiques de pointe.  

Le financement du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada, en plus d’un soutien de 4 300 000 $ provenant d’organismes partenaires, s’inscrit dans le programme de subventions de réseaux stratégiques du gouvernement.Ce programme incite la soumission de projets de recherche à grande échelle, multidisciplinaires et en collaboration, qui devraient améliorer la société, l’économie et l’environnement canadiens dans la prochaine décennie.Le RCSEA est un consortium de 27 chercheurs provenant de 11 universités, de scientifiques du gouvernement canadien, de partenaires industriels ainsi que des associations environnementales et technologiques qui font de la recherche et de la formation sur les écosystèmes aquatiques.  

« Notre réseau s’intéresse aux préoccupations liées aux grands milieux humides nordiques, aux interrelations entre la santé des forêts et des rivières, et des écosystèmes lacustres au Canada, a expliqué le directeur du RCSEA, Don Jackson, écologiste aquatique au département d’écologie et de la biologie de l’évolution. Le Canada fait face à plusieurs facteurs de stress environnemental ainsi qu’à beaucoup de pression afin de développer ses ressources naturelles. Le rôle du RCSEA est donc de développer des outils et le savoir nécessaire afin de renseigner le gouvernement, l’industrie et d’autres intervenants pour qu’ils prennent des décisions éclairées au sujet du développement et de la protection environnementale. »  

« Il s’agit d’un énorme pas vers l’avant pour toutes les personnes qui œuvrent en écologie d’eau douce et dans des domaines connexes, a dit John Gunn, Ph.D., titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les écosystèmes aquatiques stressés et directeur du Centre pour la vitalité des lacs Vale à l’Université Laurentienne. Le RCSEA représente les meilleurs chercheurs du pays dans ces domaines, qui collaborent avec les universités, le gouvernement et le secteur industriel afin d’améliorer à long terme l’état des voies d’eau et des zones sauvages. L’octroi du CRSNG tout comme l’appui de nos partenaires gouvernementaux et industriels nous comblent de joie et nous aideront à poursuivre des travaux sur le terrain ainsi que nos partenariats avec les Premières Nations du bassin hydrographique d’Attawapiskat et d’autres régions nord-ontariennes. »  

M. Gunn est l’un de six chercheurs principaux du RCSEA situés à l’Université Laurentienne, qui comptent aussi Daniel Campbell, Tom Johnston, Bill Keller, John Bailey et David Pearson.   La première rencontre du RCSEA aura lieu les 29 et 30 avril 2013, à l’Université Laurentienne, dans le Centre pour la vitalité des lacs Vale.   Les universités participant au RCSEA sont les suivantes : Université de Colombie-Britannique, Université de Guelph, Université Laurentienne, Université McGill, Université du Nouveau-Brunswick, Université Nipissing, Université du Québec à Montréal, Université de Toronto, Université Trent, Université de Waterloo et Université Western.   Parmi les organismes partenaires en recherche, il faut souligner : Alberta Innovates Technology Futures, DeBeers Canada, Pêcheries et Océans Canada, Kongsberg Maritime, ministère des Ressources naturelles et de la Faune du Québec, ministère des Ressources naturelles de l’Ontario, ministère de l’Environnement de l’Ontario, RNCan – Services canadiens des forêts et Parcs Canada.

Reconduction de M. Patrice Sawyer à titre de vice-recteur à la recherche et aux affaires francophones de Laurentienne

Reconduction de M. Patrice Sawyer à titre de vice-recteur à la recherche et aux affaires francophones de Laurentienne

15 février, 2013 – Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé unanimement la reconduction de M. Patrice Sawyer à titre de vice-recteur à la recherche et aux affaires francophones pour un deuxième mandat de cinq ans pour la période allant du 1er juillet 2014 au 30 juin 2019.

Cette reconduction a été recommandée par un comité d’évaluation constitué de dix personnes, y compris des membres du Conseil des gouverneurs, de l’administration, du corps professoral et de la population étudiante, et a été approuvée par le Sénat de l’Université.

« M. Sawyer est très respecté au sein de la communauté universitaire. Nous avons reçu des commentaires positifs sur son leadership tout au long du processus de renouvellement, a indiqué le vice-président du Conseil des gouverneurs, M. Michael Atkins. Il jouit aussi du respect de ses homologues, comme en témoigne son élection récente à la vice-présidence du Conseil ontarien de la recherche universitaire. »

« M. Sawyer a présenté le Plan stratégique de recherche 2012-2017 au Sénat l’an dernier et a gagné son soutien unanime pour cette vision de nos objectifs de recherche, a ajouté le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux. Avec ce renouvellement, l’Université conservera l’élan que nous avons pris dans l’établissement de nos plans stratégiques pour les cinq prochaines années. »

« Je suis reconnaissant au Conseil des gouverneurs, au Sénat et au comité d’évaluation de m’accorder leur confiance, a déclaré M. Sawyer. Je me réjouis de continuer à travailler avec mes collègues, la population étudiante et les partenaires externes pour axer nos efforts collectifs sur les cibles ambitieuses établies par la communauté universitaire concernant la recherche et les programmes francophones. »

Pendant le premier mandat de M. Sawyer, la situation de la Laurentienne par rapport à d’autres universités canadiennes s’est améliorée à plusieurs égards. Depuis 2008, la Laurentienne enregistre des hausses substantielles pour ce qui est des revenus de recherche subventionnée, des subventions de recherche par membre du corps professoral à temps plein, du nombre de publications, du nombre de publications par membre du corps professoral à temps plein et des incidences des publications. La proportion et la valeur du financement du Conseil de recherches en sciences humaines et des Instituts de recherche en santé du Canada attribué à l’Université ont augmenté depuis 2008 et les demandes de financement ont été particulièrement couronnées de succès, comme en font foi les octrois récents pour la recherche minière et la santé et la sécurité au travail. M. Sawyer a aussi piloté la création du Comité de liaison du Conseil d’éthique de la recherche du Conseil et a dirigé la révision par le Sénat de la Politique sur la conduite responsable de la recherche.

M. Sawyer est membre actif des conseils de direction d’Horizon Santé-Nord et de l’Institut de recherches médicales avancées du Canada. En 2012, la Laurentienne a présenté une demande pour obtenir une désignation partielle en vertu de la Loi sur les services en français de l’Ontario.

Au sujet de M. Sawyer

M. Sawyer a obtenu un baccalauréat ès sciences à l’Université Laval et un doctorat à l’Université McGill. Il a fait partie du corps professoral de l’Université de Prince Edward et de l’Université d’Ottawa avant d’arriver au Département de mathématiques et d’informatique de la Laurentienne en 1994. Il a représenté la Laurentienne au Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie de 2000 à 2008 et a siégé à plusieurs conseils de direction d’organismes à vocation de recherche, y compris l’Institut SNOLAB, la Société de recherche appliquée en innovation minière et de réhabilitation (MIRARCO) et du Shared Hierarchical Academic Research Computing Network (SHARCNET). Il préside actuellement le conseil et le comité de régie de l’Institut SNOLAB. Au cours des dix-neuf dernières années, il a siégé à plusieurs comités de l’Université, y compris au conseil de l’Association des professeurs de l’Université Laurentienne. Professeur titulaire, il a été directeur de son unité avant de devenir doyen de la Faculté des sciences et du génie en 2006, puis vice-recteur par intérim à l’enseignement et à la recherche (Affaires francophones) en 2008 et vice-recteur à la recherche et aux études supérieures en 2009. Les affaires francophones ont été ajoutées à son portefeuille en 2010.

Les Métallurgistes unis font un don de 50 000 $ envers la Chaire de recherche en santé et sécurité au travail à la Laurentienne

Les Métallurgistes unis font un don de 50 000 $ envers la Chaire de recherche en santé et sécurité au travail à la Laurentienne

février, 2013 - Les Métallurgistes unis ont annoncé aujourd'hui qu'ils font un don de 50 000 $ pour appuyer la création d'une Chaire de recherche en santé et sécurité au travail à l'Université Laurentienne.

Sous l'égide du Centre de recherche en santé et sécurité au travail (CRSST), le ou la titulaire de la nouvelle Chaire de recherche dirigera des recherches touchant tout un éventail de milieux professionnels avec l'appui d'une équipe d'adjoints de recherche, des étudiants des cycles supérieurs et d'autres membres du personnel. En outre, la Chaire fera du CRSST un chef de file en recherche, développement, enseignement, formation et meilleures pratiques dans le domaine de la santé et de la sécurité au travail sur la scène nationale et mondiale.

« La santé et la sécurité au travail, a dit Leo W. Gerard, président de la section internationale des Métallurgistes unis, sont un facteur critique tant pour le bien-être de toute la main-d'œuvre que pour la santé économique et la productivité de nos communautés. Les Métallurgistes unis se réjouissent de faire ce don pour aider à financer à l'Université Laurentienne une Chaire de recherche en santé et sécurité au travail. »

« Nous sommes ravis d'avoir le soutien des Métallurgistes unis, a ajouté Michel Larivière, Ph.D., directeur associé du CRSST, alors que nous cherchons à pourvoir au poste de titulaire de la Chaire de recherche. Ce don permettra au CRSST de continuer à améliorer la qualité de vie aussi bien que la santé des travailleurs et travailleuses à Sudbury. »

Depuis plus d'une décennie, l'Université Laurentienne ajoute à son expertise en santé et sécurité au travail, qui était axée au début sur l'industrie minière, mais touche maintenant à divers secteurs de l'emploi. Approuvé par le Sénat de l'Université Laurentienne en 2008, le CRSST est une équipe de chercheurs de diverses disciplines, dirigée par un conseil consultatif composé de représentants de syndicats, de l'industrie et d'organismes locaux de santé et sécurité. Le CRSST mène des études innovatrices dans le but de déterminer les questions de santé et de sécurité et de supprimer les maladies, blessures et risques professionnels des milieux de travail du nord de l'Ontario.

Comptant quelque 225 000 membres au Canada et plus de 800 000 membres en Amérique du Nord, les Métallurgistes unis forment le plus important syndicat du secteur privé dans le pays et le continent. Il s'agit aussi du syndicat le plus hétérogène au Canada puisqu'il représente des hommes et femmes travaillant dans tous les secteurs économiques.

Le Comité mixte de la santé et de la sécurité de la Laurentienne est à l’honneur en matière de sécurité au travail

Le Comité mixte de la santé et de la sécurité de la Laurentienne est à l’honneur en matière de sécurité au travail

6 février, 2013 - L’Université Laurentienne et son Comité mixte de la santé et de la sécurité (CMSS) ont reçu un certificat de reconnaissance du Conseil consultatif des Centres de santé des travailleurs de l'Ontario (CSTO) Inc. L’organisme a choisi de rendre hommage à la Laurentienne en raison des réalisations du CMSS et de son partenariat de travail avec les CSTO.

Membre du comité consultatif local et ex-président des CSTO, David Chezzi a remis le prix de reconnaissance à l’Université. « La Laurentienne fait preuve d’un solide engagement envers la santé et la sécurité au travail, a-t-il dit, et nous avons le plaisir de travailler auprès d’elle depuis une décennie. La culture institutionnelle à l’UL favorise la sensibilisation aux risques pour la sécurité dans le lieu de travail ainsi que la prévention des maladies et des blessures professionnelles. »  

« Au nom de l’Université, je tiens à remercier les CSTO de cet honneur, a dit Bernard Beaulieu, coprésident du CMSS de l’UL, et de leur appui indéfectible pendant les dix dernières années. Nous avons de bons résultats à la Laurentienne en matière de santé et de sécurité au travail grâce à notre collaboration avec les CSTO et aux travaux antérieurs et actuels de notre Comité mixte de la santé et de la sécurité. »  

Au moyen du partenariat de dix ans, des membres du personnel des CSTO et de l’UL ont collaboré afin de régler des questions touchant la qualité de l’air intérieur, l’ergonomie de bureau et la conception de laboratoire.  

Les CSTO forment une association provinciale de santé et sécurité qui est dotée de six bureaux en Ontario, y compris un à Sudbury, et offre aux lieux de travail des services d’expert-conseil touchant l’ergonomie et l’hygiène industrielle, parmi d’autres sujets.

L’école White Pines réussit le défi rassemblement éclair de l’Université Laurentienne

L’école White Pines réussit le défi rassemblement éclair de l’Université Laurentienne

6 février, 2013 - Ayant fait preuve de « beaucoup d’enthousiasme et d’une grande confiance », la vidéo du rassemblement éclair réalisée par des élèves de la White Pines Collegiate and Vocational School à Sault Ste. Marie a gagné le concours de l’Université Laurentienne.

À titre d’école gagnante, White Pines recevra un chèque de 10 000 $ pour aider à défrayer les frais liés aux célébrations des finissants de 2012-2013.

Organisé à l’échelle provinciale, le concours a reçu une quarantaine d’envois de tous les coins de l’Ontario. Les élèves ont planifié, chorégraphié, tourné et monté leur propre vidéo, qui comprenait de la musique enregistrée ou en direct et de la danse. Toutes les vidéos sont affichées à www.youtube.com.

« Nous sommes ravis d’avoir gagné, a dit Mikayla Farkas, élève de 12e année à l’école White Pines et l’une des organisatrices du rassemblement éclair. Nous nous sommes amusés à organiser notre rassemblement et avons inclus autant d’élèves que possible, alors le projet avait vraiment de l’envergure. Maintenant, nous nous affairons à préparer toute une fête pour les finissants en juin. »

« Nous sommes bien satisfaits du nombre d’écoles qui ont participé au concours, a dit Justin Lemieux, directeur du recrutement à la Laurentienne, et de la qualité des vidéos réalisées. Choisir un gagnant était bien plus difficile que prévu. »

Le Défi Rassemblement éclair de la Laurentienne a été conçu par Ryan Demers, agent de liaison collaborant l’an dernier avec les écoles secondaires. « Les talents et l’énergie des élèves m’impressionnent, a-t-il dit, et il est certain que nous avons vu des danses du mode Gangnam Style en masse au cours des derniers mois. Mais la vidéo de l’école White Pines rassemblait toute sorte d’éléments, comme la danse, les costumes et la fanfare de l’école même... bien extraordinaire! »

La vidéo gagnante est affichée à http://youtu.be/Ljb0_HAvye4.

La Laurentienne nomme le directeur général de l’École des mines Goodman

La Laurentienne nomme le directeur général de l’École des mines Goodman

16 janvier, 2013 – Le PDG de Franco-Nevada, M. David Harquail, a annoncé aujourd’hui un don de 500 000 $ pour subventionner le poste de directeur général Franco-Nevada de l’École des mines Goodman de l’Université Laurentienne, et le recteur et vice-chancelier de l’UL, M. Dominic Giroux, a profité de l’occasion pour annoncer la nomination de M. Bruce C. Jago, Ph.D., au poste de directeur général fondateur de l’École.

Géologue professionnel et ex-cadre de l’industrie minière, M. Jago a travaillé pour des compagnies comme Wallbridge Mining (vice-président de l’exploration), Inco Limited (minéralogiste appliqué, chef de l’exploration), Temex Resources (gestionnaire de projets, diamants) et Harry Winston Inc. (géologue de projets) et a récemment occupé le poste de PDG et directeur de Miocene Minerals Ltd., à Vancouver. Sa nomination fait suite à une campagne exhaustive de recrutement à l’échelle mondiale.

« Le fait que M. Jago prête sa vision à l’École Goodman nous comble de joie, a dit le recteur Giroux. Grâce à son expérience à l’échelle canadienne et mondiale, à ses collaborations avec les Premières Nations, à ses profondes racines dans le secteur minier et à sa foi dans l’industrie, il est le choix idéal pour ce poste important, à savoir celui de premier directeur général de l’École des mines. »

« Nous sommes persuadés, a ajouté M. Harquail, que l’enseignement minier est un facteur qui déterminera le succès de notre industrie et sommes confiants que Sudbury, l’Université Laurentienne et l’École des mines Goodman, sous la direction de M. Jago, joueront un rôle clé dans la formation de niveau international des futures générations de professionnels des mines. »

« Pour que tous les intervenants en profitent pleinement, a souligné M. Jago, il faut exploiter les ressources minérales du monde de façon efficace, durable et équitable. Il n’y a aucun endroit plus propice que celui-ci pour préconiser cette approche pluridisciplinaire en enseignement minier et je me réjouis à la perspective de diriger ce projet passionnant. »

Relevant directement du vice-recteur aux études, le directeur général Franco-Nevada collaborera avec le Conseil consultatif de l’École Goodman, le secteur industriel et les unités d’enseignement de la Laurentienne afin de :

 

  • élargir les majeures et mineurs pluridisciplinaires afin de rehausser les compétences des futurs professionnels de l’exploration minérale et de l’exploitation minière dans les domaines comme la santé et la sécurité au travail, les relations avec les Autochtones et la gestion des mines et des finances;
  • favoriser la création de programmes à tous les cycles à l’intention des cadres, sous forme de modules, de cours abrégés ou de formation à distance et d’autres formules de prestation, le cas échéant;
  • donner un cadre formel aux alliances provinciales, nationales et mondiales avec d’autres établissements postsecondaires, y compris un Réseau international d’écoles des mines, pour lequel la Laurentienne servira de carrefour principal;
  • doubler d’ici 2020 le nombre d’inscriptions aux programmes liés aux mines.

 

Société de redevances et d’opérations aurifères estimée à 8 milliards de dollars, Franco-Nevada Corporationest inscrite à la TSX et à la NYSE sous le symbole FNV. À Sudbury, Franco-Nevada participe à l’exploitation des mines de métaux précieux de Levack (Morrison), Podolsky et McCreedy.

L’annonce faite aujourd’hui représente l’investissement de Franco-Nevada dans la prochaine génération de chefs de l’industrie minière et le Grand Sudbury.

L’Université Laurentienne crée la première Chaire de recherche en exploitation minière à ciel ouvert

L’Université Laurentienne crée la première Chaire de recherche en exploitation minière à ciel ouvert

14 janvier, 2013 - L’École de génie Bharti de l’Université Laurentienne à Sudbury établira la première Chaire de recherche en exploitation minière à ciel ouvert au Canada grâce à un investissement important de la compagnie minière canadienne, IAMGOLD Corporation.

Le président-directeur général de IAMGOLD, M. Stephen Letwin, a annoncé cet investissement de 1 250 000 $ pour la création de la chaire lors d’une cérémonie tenue à l’Université Laurentienne cet après-midi.

« Cet investissement représente une amélioration vitale de notre capacité de recherche à l’École Bharti, a déclaré M. Ramesh Subramanian, (Ph.D.), directeur de l’École de génie Bharti. Elle produira des connaissances de pointe pour nos programmes de génie minier, et rehaussera certainement notre réputation internationale en exploitation minière. »

« L’avenir de l’industrie minière dépend de notre capacité d’accélérer l’innovation, et cela doit commencer par les programmes d’enseignement et les possibilités de recherche spécialisée dans les techniques avancées d’exploitation minière, a indiqué M. Stephen Letwin, PDG de IAMGOLD. La création au Canada de la première chaire de recherche dans le domaine hautement spécialisé de l’exploitation minière à ciel ouvert fait de l’Université Laurentienne un chef de file en recherche minière. Nous sommes honorés d’appuyer ce programme unique et utile qui, étant donné la réputation de la Laurentienne, attirera les esprits les plus brillants. Avec la mise en œuvre de notre chantier de mine à ciel ouvert Côté Gold dans le nord de l’Ontario, nous nous réjouissons de savoir que nous contribuerons à résoudre la grave pénurie de professionnels qualifiés dans le domaine minier dans ce pays et que nous créerons des possibilités d’emploi pour nos futurs ingénieurs des mines. »

IAMGOLD est une entreprise moyenne d’exploitation aurifère qui produit un million d’onces d’or par an provenant de cinq mines d’or sur trois continents (y compris les coentreprises actuelles). Son chantier Côté Gold, qui deviendra une mine à ciel ouvert, se trouve au sud de Gogama à environ 180 kilomètres au nord de Sudbury.

« C’est une nouvelle fantastique pour la Laurentienne et l’École de génie Bharti, affirme le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Il s’agira de la première chaire de recherche de la Laurentienne entièrement financée par un investisseur du secteur privé. Nous sommes particulièrement fiers d’être associés à une compagnie comme IAMGOLD dont la philosophie consacre les plus hautes normes en matière de santé humaine, d’incidences environnementales, de responsabilité sociale et de coopération avec les collectivités hôtes. »

Le recrutement du titulaire de la chaire de recherche en exploitation minière à ciel ouvert devrait débuter prochainement et on espère doter ce poste d’ici juillet 2013. Cette personne montrera la voie en matière de recherche concertée en exploitation minière à ciel ouvert sur les scènes nationale et internationale, et mettra à contribution l’École de génie Bharti et le Département des sciences de la Terre. Le candidat idéal aura de l’expérience universitaire et de l’expertise dans le domaine, y compris en conception de mine à ciel ouvert, en stabilité de la pente, en estimation des ressources, en optimisation du forage et du dynamitage, et en application pratique de la simulation de pente.

La Société de Gestion du Fonds du Patrimoine du Nord de l'Ontario fait un investissement dans la chaire de recherche en santé et sécurité au travail à l’Université Laurentienne

La Société de Gestion du Fonds du Patrimoine du Nord de l'Ontario fait un investissement dans la chaire de recherche en santé et sécurité au travail à l’Université Laurentienne

19 décembre, 2012 - L’honorable Rick Bartolucci, ministère du Développement du Nord et des Mines et président de la Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario (SGFPNO), a annoncé aujourd’hui l’octroi de fonds pour la création d’une Chaire de recherche en santé et sécurité au travail à l’Université Laurentienne.  

Sous l’égide du Centre de recherche en santé et sécurité au travail (CRSST), le ou la titulaire de la nouvelle Chaire de recherche dirigera des recherches touchant tout un éventail de milieux professionnels avec l’appui d’une équipe d’adjoints de recherche et d’autres membres du personnel. En outre, la Chaire fera du CRSST un chef de file en recherche, développement, enseignement, formation et meilleures pratiques dans le domaine de la santé et de la sécurité au travail sur la scène nationale et mondiale.  

« Le gouvernement, a dit le ministre Bartolucci, continue de collaborer avec les universités afin d’appuyer d’importantes initiatives de recherche. Il me fait plaisir de voir la SGFPNO consacrer des fonds à cette chaire de recherche qui rehaussera la réputation de l’Université Laurentienne tout comme du nord de l’Ontario en qualité de centre de premier plan en santé et sécurité au travail. »  

« Nous remercions le gouvernement tout comme les membres du conseil de la SGFPNO, a exprimé le recteur de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux, d’appuyer ce projet qui permettra à la Laurentienne de mettre à profit de solides fondements de recherche en santé et sécurité au travail et d’apporter une contribution à de nombreux secteurs industriels de notre communauté. »  

« Cet investissement, a ajouté Mme Tammy Eger, professeure agrégée à l’École des sciences de l’activité physique et directrice du CRSST, nous aidera à atteindre notre objectif de devenir le centre innovateur d’excellence au plan mondial en matière de santé et sécurité au travail. Nous sommes persuadés que les recherches du CRSST contribueront à l’amélioration de la sécurité tant des travailleurs que des milieux de travail. »  

Depuis plus d’une décennie, l’Université Laurentienne ajoute à son expertise en santé et sécurité au travail, qui était axée au début sur l’industrie minière, mais touche maintenant à divers secteurs de l’emploi. Approuvé par le Sénat de l’Université Laurentienne en 2008, le CRSST est une équipe de chercheurs de diverses disciplines, dirigée par un conseil consultatif composé de représentants de syndicats, de l’industrie et d’organismes locaux de santé et sécurité. Le CRSST mène des études innovatrices dans le but de déterminer les questions de santé et de sécurité et de supprimer les maladies, blessures et risques professionnels des milieux de travail du nord de l’Ontario. 

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