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La Laurentienne annonce une nouvelle bourse pour les jeunes confiés aux soins de la société d’aide

La Laurentienne annonce une nouvelle bourse pour les jeunes confiés aux soins de la société d’aide

La Bourse Desiderata de début d’études est financée par une donatrice qui souhaite « en remettre au suivant »

(5 novembre 2020) L’Université Laurentienne est fière d’annoncer la création de la Bourse Desiderata de début d’études grâce à un don de Mme Catherine Gravely. Ce fonds totalisant 120 000 $ permettra de décerner des bourses chaque année à trois membres de la population étudiante de la Laurentienne qui ont été pris en charge par une société en Ontario pendant leur jeunesse. Les bourses sont une première dans la province et misent sur l’annonce l’an dernier que l’Université accorderait à ces jeunes ontariens une exemption des droits de scolarité.

Les bourses portent le nom d’un poème – Desiderata, de Max Ehrmann – qui a été une source de force et de réconfort pour Mme Gravely. Le poème dit « Au-delà d’une discipline saine, soyez doux avec vous-même. Vous êtes un enfant de l’univers, pas moins que les arbres et les
étoiles; vous avez le droit d’être ici. »

Les bourses couvriront les frais de manuels et de subsistance des lauréats. Les personnes qui entament la première année d’études à la Laurentienne dans n’importe quel programme et remplissent les critères d’admissibilité seront considérées en premier lieu. La bourse a une valeur de 10 000 $ par année et est renouvelable pour quatre ans.

CITATIONS
« Je suis heureuse que vous ayez déjà fait croître le financement et me réjouis d’en faire encore plus. Mon objectif était de transmettre aux jeunes qui sont ou ont été pris en charge par une société d’aide le message que des gens les appuient, même s’ils ne les connaissent pas. Ces jeunes ont des partisans invisibles, y compris moi, qui veulent les voir réussir. Bien que la vie se définisse en quelque sorte par le travail ardu, la chance, bonne et mauvaise, joue aussi un rôle. Je veux créer un bon sort pour les jeunes ayant eu de la malchance qu’ils n’ont pas méritée en rééquilibrant un peu les choses, en leur montrant que d’autres bonnes choses imprévues les attendent et qu’il y aura des jours meilleurs dans la vie. » Mme Catherine Gravely, donatrice.

« Quelle merveilleuse occasion pour les membres de notre population étudiante de commencer à bâtir leur avenir grâce à l’appui financier d’une personne bienveillante. Pendant leur parcours universitaire, ces jeunes auront à se rappeler que la générosité envers les autres est une qualité essentielle menant au don de soi et favorisant la construction d’un monde plus rassembleur. » Mme Marie-Josée Berger, vice-rectrice aux études à l’Université Laurentienne.

La Laurentienne lance une nouvelle appli pour rehausser la sécurité sur le campus

La Laurentienne lance une nouvelle appli pour rehausser la sécurité sur le campus

SecurLU-UL propose un ensemble d’outils utiles pour simplifier les communications relatives à la sécurité

(4 novembre 2020) L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer le lancement de SecurLU-UL, l’appli officielle en matière de sécurité pour notre communauté. C’est la seule appli qui s’intègre dans les systèmes de sécurité de l’Université Laurentienne.

L’équipe du Service de sécurité du campus a travaillé pour concevoir une appli unique qui fournit à la population étudiante, au corps professoral et au personnel un supplément de sécurité sur le campus de l’Université Laurentienne. L’appli vous envoie des alertes importantes de sécurité et fournit l’accès instantané aux ressources du campus en matière de sécurité.

Caractéristiques de SecurLU-UL :

  • Coordonnées des services d’urgence : Communiquez avec les services appropriés de l’Université Laurentienne en cas de préoccupation urgente ou non.
  • Mobile Bluelight : Envoyez votre localisation en temps réel au Service de sécurité de l’Université Laurentienne en cas de crise.
  • Travail en isolement : Utilisez l’appli pour faire une « vérification » périodique lorsque vous travaillez en isolement ou tard le soir. Si vous ne répondez pas, l’appli enverra une alerte au Service de sécurité du campus.
  • Marcher avec un(e) ami(e) : Envoyez votre localisation à un(e) ami(e) par courrier électronique ou SMS. Lorsque l’ami(e) accepte votre demande, vous lui indiquez votre destination et il ou elle suit votre déplacement en temps réel.
  • Plans d’urgence : La documentation sur les urgences sur le campus peut vous préparer pour les catastrophes ou les urgences. Vous pouvez y accéder même quand vous n’êtes pas connecté(e) au Wi-Fi ou aux données cellulaires.
  • Programme d’accompagnement virtuel : Permet au Service de sécurité du campus de surveiller vos déplacements à pied. Si vous ne vous sentez pas en sécurité quand vous marchez sur le campus, vous pouvez demander un accompagnement virtuel, et un répartiteur surveillera votre parcours jusqu’à votre destination.
  • Boîte à outils de sécurité : Améliorez votre sécurité avec la série d’outils fournie dans une appli pratique.
  • Soutien : Accédez à du soutien dans une appli pratique afin d’avoir une expérience réussie à l’Université Laurentienne.

La Laurentienne nomme trois nouveaux membres au Conseil des gouverneurs

La Laurentienne nomme trois nouveaux membres au Conseil des gouverneurs

M. Martin Gran, Mmes Karen Restoule et Natalie Turvey se joignent au Conseil

(29 octobre 2020) Trois membres communautaires dynamiques se sont joints au Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne. Ils possèdent des expériences et des antécédents culturels divers et exercent d’importants rôles de leadership dans nos communautés.
 
« Les membres du Conseil jouent un rôle critique dans l’orientation de l’Université et ces trois nouveaux membres affichent des qualités clés qui auront une incidence positive pour nous en allant de l’avant. La Laurentienne tirera profit de leurs expériences et de leur leadership pendant les années à venir. Nous sommes très chanceux qu’ils apportent leurs perspectives et leur engagement à notre communauté. » M. Robert Haché, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne.
 
« Nous nous réjouissons d’accueillir Martin, Natalie et Karen au Conseil. Ils ont acquis une expérience impressionnante et sont des exemples d’engagement envers le service et le bénévolat ce qui rehausse ainsi davantage le groupe de personnes dévouées et engagées qui sont membres de notre Conseil. Nous attendons avec impatience de collaborer avec eux et leur souhaitons la plus chaleureuse bienvenue à la communauté Laurentienne. » M. Claude Lacroix, président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne

Martin Gran
Une personne assidue pleine d’initiative, M. Martin Gran a travaillé à Pioneer Construction au long de ses études, où il a joué divers rôles pendant sa carrière, grimpant les échelons pour devenir dirigeant principal des finances, l’un des postes les plus hauts de l’organisme, non seulement à Pioneer Construction, mais aussi pour Fisher Wavy et Silver Peak Capital, la division de capitaux de la société. De 2002 à 2018, il a siégé au conseil d’administration de l’Ontario Road Builders Association (ORBA) et y a assumé la présidence en 2008, étant la plus jeune personne à exercer ce rôle dans les 90 ans d’existence de l’organisme.
 
M. Gran est titulaire d’une maîtrise en administration des affaires (1995) de l’Université Laurentienne, d’un baccalauréat (science économique) de l’Université Western (1991) et de l’agrément de comptable professionnel (CPA, CA). Il habite le Grand Sudbury avec sa femme et ses trois enfants.

Karen Restoule
Mme Karen Restoule est présidente exécutive suppléante à Tribunaux décisionnels Ontario, où elle est responsable de dispenser la justice administrative partout en Ontario. Dans son rôle précédent de directrice du secteur de la justice de Chiefs of Ontario, elle a collaboré avec des dirigeants autochtones pour faire progresser la politique. Elle est cofondatrice de BOLD Realities, organisme à but non lucratif qui organise des discussions et met au point des outils pour renforcer les relations entre les secteurs industriels et les dirigeants autochtones.
 
Mme Restoule est diplômée de l’Université de Toronto et du programme de common law de l’Université d’Ottawa, où elle a été intronisée en 2014 à la Société honorifique de common law de la Faculté de droit, puisqu’elle met à profit sa formation juridique pour apporter des contributions considérables à la société. En outre, le Forum des politiques publiques l’a nommée boursière des premiers ministres du Canada en 2018.
 
Mme Restoule est membre de la Première nation de Dokis et ayant droit en vertu du traité de Robinson-Huron 1850.

Natalie Turvey
Voyageuse du monde et innovatrice, Mme Natalie Turvey est ardente défenseuse de l’éthique en journalisme. Elle est actuellement PDG de la Fondation pour le journalisme canadien (FJC), organisme sans but lucratif à Toronto qui appuie et célèbre l’excellence en journalisme dans le cadre de la formation, de bourses, de recherche et de l’un des plus prestigieux programmes de prix annuels.
 
Sous sa direction, la FJC a mis au point un curriculum national relatif à la culture d’information qui enseigne aux élèves à développer des habitudes de consommation de nouvelles et de pensée critique qui appuient le civisme éclairé. Plus tard, l’organisme a élargi le programme pour y inclure les citoyens d’âge majoritaire afin d’aider tous les Canadiens à comprendre la différence entre le journalisme factuel et les fausses informations du monde numérique. Cette année, Mme Turvey dirige le lancement d’un programme de bourses pour le journalisme relatif aux Noirs qui permettra de cultiver des talents émergents et de mettre en valeur les voix et récits des Noirs dans les principaux médias au Canada.
 
Mme Turvey est diplômée de l’Université Laurentienne (baccalauréat en éducation), de l’Université Western (baccalauréat ès arts) et de l’Université européenne (maîtrise en administration des affaires) à Bruxelles, en Belgique.

La Laurentienne décernera un doctorat honorifique à Mme Margarete Kalin-Seidenfaden

La Laurentienne décernera un doctorat honorifique à Mme Margarete Kalin-Seidenfaden

La distinction sera accordée à cette scientifique innovante lors de la Collation des grades de l’automne 2020

(28 octobre, 2020) L’Université Laurentienne rendra hommage à Mme Margarete Kalin-Seidenfaden et soulignera ses réalisations remarquables en lui décernant un doctorat ès sciences honoris causa lors de la Collation des grades de l’automne, le 31 octobre.

Mme Kalin-Seidenfaden est l’une des principales contributrices au Protocole de Sudbury, une approche en génie écologique adoptée pour la remise en état environnementale que l’Université Laurentienne a commercialisé en 2016. Même si des normes culturelles et industrielles oppriment les femmes dans des domaines dominés historiquement par les hommes, elle participe pleinement depuis 1963 au monde scientifique. En fait, elle a fait valoir sa résolution tout au long de sa carrière à titre d’experte-conseil sur l’environnement, culminée lorsqu’elle est devenue cofondatrice de Boojum Research.

Les recherches de Mme Kalin-Seidenfaden en 1978 sur les résidus d’uranium de la mine Madawaska à Bancroft et à Elliot Lake l’ont apporté ultimement à définir des approches plus écologiques au traitement des résidus miniers, y compris le polissage biologique et la réduction microbiologique de l’acide (ARUM).

Pendant les trois prochaines décennies, Boojum Research a réalisé des projets de réclamation environnementale, y compris le drainage minier acide sur les sites d’INCO et de Falconbridge à Levack et à Sudbury et de la mine Kam Kotia dans la périphérie de Timmins et le traitement de résidus de pyrite de la mine South Bay près de Thunder Bay, ainsi que des projets internationaux en Allemagne et Australie. En 2002, elle a fait don des nombreux rapports de Boojum Research à la Bibliothèque J.N.-Desmarais et a continué à cultiver sa relation avec la bibliothèque et à soutenir la collection en y apportant de nouvelles contributions issues de l’évolution de son travail.

Veuillez vous joindre à nous à la cérémonie de Collation des grades de l’automne 2020 pour souligner les contributions remarquables de Mme Kalin-Seidenfaden. 

CITATION
« Je suis tellement heureux que Mme Margarete Kalin-Seidenfaden ait accepté de recevoir un titre honorifique de l’Université Laurentienne. Le leadership dont elle fait preuve sur le plan mondial en matière d’ingénierie écologique et de rétablissement environnemental illustre pour nos étudiants les façons dont leurs travaux et leurs recherches peuvent vraiment changer les choses. » M. Robert Haché, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne
 

L’UL continuera d’assurer la prestation de cours à distance pendant le trimestre d’hiver

L’UL continuera d’assurer la prestation de cours à distance pendant le trimestre d’hiver

Le Sénat a voté pour offrir les cours par l’intermédiaire de médias en ligne durant la pandémie

Mercredi 21 octobre 2020

 

Hier, le Sénat de l’Université Laurentienne a voté en faveur d’offrir le trimestre d’hiver 2021 selon une prestation à distance. D’abord et avant tout, la discussion de la question a porté sur la façon d’assurer la meilleure éducation que soit à nos étudiants tout en protégeant la santé, la sécurité et le bien-être de tous – population étudiante, corps professoral et personnel.
 

D’autres facteurs ont aussi été discutés, dont les progrès réalisés dans l’offre de cours à distance, les exigences relatives à l’apprentissage pratique et la qualité globale de l’expérience des étudiants. L’Université continuera d’offrir un petit nombre de cours en personne, comme elle le fait pour le trimestre d’automne 2020, avec moins de 1 % des cours donnés en personne.

 

De plus, l’Université continuera d’accueillir des étudiants dans des appartements résidentiels du campus. Le travail consciencieux accompli par le personnel pour établir et faire respecter les protocoles relatifs à la COVID-19 assure la sécurité des étudiants tout en favorisant pour eux un milieu sécuritaire dans lequel vivre et étudier en dépit des circonstances. Étant donné les annonces récentes du gouvernement fédéral qui permettent aux étudiants étrangers d’entrer au Canada, la Laurentienne se réjouit d’accueillir des étudiants de partout dans le monde conformément au plan de préparation à la COVID-19 du campus.
 

L’Université Laurentienne continue de prêter un soutien aux membres de la population étudiante, du corps professoral et du personnel pour leurs activités quotidiennes à distance. Elle a joué un rôle de premier plan en réagissant à la pandémie de COVID-19, étant la première université publique au Canada à reconnaître la gravité de la pandémie en mars 2020 et à suspendre les cours en personne. Le trimestre d’hiver se déroulera de janvier à avril 2021.

Un professeur de la Laurentienne reçoit un prix provincial

Un professeur de la Laurentienne reçoit un prix provincial

M. Aaron Langille du Département de mathématiques et d’informatique reçoit le prix en enseignement 2019-2020 de l’OCUFA

(October 19, 2020) L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer que M. Aaron Langille, maître de conférences de l’École de l’environnement dans la Faculté des sciences, de génie et d’architecture, est le lauréat du prix en enseignement de l’Union des associations des professeurs des universités de l’Ontario (OCUFA).

L’organisme, qui représente les associations de professeurs partout dans la province, caractérise M. Langille d’inspiration pour ses efforts inlassables de défense des droits des étudiants en soulignant tout particulièrement son emploi de technologie ultramoderne pour rehausser leur expérience. Reconnaissant le leadership de M. Langille et son enthousiasme pour l’enseignement, l’Université Laurentienne lui a remis le Prix d’enseignement décerné par la population étudiante en 2016 et le Prix d’excellence en enseignement en 2017. Il a été l’un des tout premiers professionnels de l’enseignement en résidence, avec un accent sur l’apprentissage facilité par la technologie, et s’est joint aussi à l’équipe d’eCampus Ontario en qualité d’associé de l’éducation libre.

En plus d’être lauréat de ces prix, M. Langille est connu dans le Grand Sudbury pour son rôle de chroniqueur technologique à la radio de CBC. Les auditeurs connaissent bien sa voix et apprécient toujours ses discussions, qui abordent des sujets allant des manières de surmonter l’épuisement Zoom à la viabilité de l’application fédérale relative à la COVID-19 en passant par son tatouage de Mega Man.

CITATION
« M. Langille mérite bien cette reconnaissance et nous sommes très chanceux qu’il fasse partie du corps professoral à l’Université Laurentienne. Dans son énoncé de philosophie d’enseignement, il cite M. Bob Solomon : “Afin d’être efficace en enseignement, il faut être à la fois humoriste, vendeur et conseiller.” Mais M. Langille va encore plus loin en faisant preuve d’humour pour faire participer les étudiants à la matière complexe, en encourageant ses collègues à essayer de nouvelles technologies et en préconisant la réussite scolaire aussi bien que le bien-être général des étudiants. » Mme Shelley Watson, professeure et vice-rectrice
associée de l’apprentissage et de l’enseignement, Université Laurentienne

L’Université Laurentienne à 60 ans

L’Université Laurentienne à 60 ans

Un moment pour réfléchir à un passé mouvementé et continuer à viser un avenir meilleur

Aux débuts, en 1960, la Laurentienne n’était qu’une modeste fédération d’universités, mais avant longtemps, les salles, les laboratoires, les amphithéâtres et les terrains de sport résonnaient de toutes sortes de percées, découvertes et victoires. À la croisée de la culture, des arts, des sciences et de la politique, la Laurentienne a évolué de façon à devenir la principale université du Nord de l’Ontario.

Cet automne marque le 60e anniversaire de la Laurentienne, première université du Nord de l’Ontario, et donne l’occasion de réfléchir à son passé mouvementé tout en continuant à viser un avenir meilleur.

À la Laurentienne, en 1986, des leaders autochtones ont reçu et pris en compte les excuses de l’Église unie du Canada, la première de quatre églises à présenter ses excuses officielles pour les crimes commis dans les pensionnats.

À la Laurentienne, à la fin des années 1970 et au début des années 1980, le récit « Sudbury Story » a été rédigé et, sur la scène mondiale, sert d’exemple à suivre en matière de recherche environnementale appuyant les efforts de reverdissement de notre communauté.

À la Laurentienne, au début des années 1970, une révolution culturelle a été déclenchée dans l’Ontario français, d’où émergeaient des établissements comme le Théâtre du Nouvel Ontario et les Éditions Prise de parole, offrant à la communauté une plateforme collective de création et d’inspiration.

Cette année, la Laurentienne est encore entrée dans l’histoire en étant la première université publique au Canada à reconnaître la gravité de la pandémie de la COVID-19, à suspendre les activités en personne et à effectuer une transition complète de l’apprentissage en personne à l’apprentissage à distance. La communauté entière s’est mobilisée pour assurer que la grande majorité des étudiants terminent le trimestre d’hiver 2020 à la date prévue.

La Laurentienne se tourne maintenant vers l’avenir et se fait un champion de recherches qui profiteront grandement à nos collectivités tout en nous orientant dans les 60 prochaines années de notre Université.

Un jour, les historiens raconteront les tours de force de la professeure Jennifer Walker, Ph.D., une Haudenosaunee des Six Nations de la rivière Grand, qui contribue des données probantes aux dirigeants des Premières Nations de l’Ontario alors qu’ils élaborent des politiques de santé face à la COVID-19.

Ils parleront du travail de M. Thomas Merritt, Ph.D., de la Laurentienne, du Dr Gustavo Ybazeta de l’Institut de recherche d’Horizon Santé-Nord, et de la Ville du Grand Sudbury, qui collaborent pour analyser les eaux usées afin de créer un système de détection précoce de la COVID-19.

De plus, ils souligneront les exemples édifiants de leadership des étudiants de la Laurentienne, comme M. Tyler Pretty, qui a fait du bénévolat inlassable pendant le confinement lié à la pandémie afin de livrer des provisions aux personnes qui ne pouvaient pas quitter leur maison, a effectué des tests de dépistage de la COVID-19 auprès du personnel de Glencore et a trouvé le temps encore de contribuer à l’amélioration des services de santé en français dans la communauté.

En amorçant la 60e année de la Laurentienne, jetons un regard respectueux sur les quelque 66 000 diplômés qui laissent leur empreinte un peu partout dans le monde et plus de 9 000 étudiants représentant 75 pays de citoyenneté qui font de notre établissement une destination de choix. Nos diplômés réussissent, profitant des meilleurs taux d’emploi et gagnant les meilleurs salaires parmi leurs homologues en Ontario après l’obtention du diplôme. La Laurentienne se classe également au premier rang pour la croissance du revenu de recherche, mettant en évidence le fait que nos diplômés, notre corps professoral et notre personnel montrent la voie en matière d’économie, de main-d’œuvre et de capital intellectuel en Ontario.

La Laurentienne relève le défi de l’histoire. Nos inscriptions sont conformes aux prévisions, signe important que, malgré les circonstances, les étudiants continuent de rechercher l’Université Laurentienne et d’y faire confiance pour concrétiser leurs objectifs universitaires et vivre la meilleure expérience étudiante possible.

Zaawaande Pagweyaan Giizhigad : Weweni wii minadaapnamiing miinwa minwendimowin ode Laurentian Chi kinomaagegamik

Zaawaande Pagweyaan Giizhigad : Weweni wii minadaapnamiing miinwa minwendimowin ode Laurentian Chi kinomaagegamik

Wii mikwenmigaaswaat gaa niboojik ode Residential Kinomaagegamikong, gaa zhaabwiijik, miinwa waa bi maadzijik.

(Le français suit)

(Waabbagaa Giizis 30 2020) Laurentian Chi kinomaagegamik miinwa da mikwenmaan Waabbagaa Giizis 30th wii awaang Zaawaande Pagweyaan Giizhigad.  Kina goyaa nendimigaaza wii biiskaang ezaawaandek ka mikwenmanaanik ga niboojik ode Canada’s Residential Kinomaagegamigoon.  Ka mishkogaabwimi kinago ka mikwenmanaa ode gaazhajik.

Aaniish Zaawaande?  Maaba Phyllis Webstad, Residential Kinomaagegamikong gii zhaa Secwepemc Nation gii binjibaa.  1973 ngodwaaswi gii piitzid, nookmissan gii yamaagoon zaawaande pagweyaan.   Kinomaagegamikong giizhaat gii mikamgaaza wi pagweyaan.  150,000 Anishinaabeg, Nitaamgayaajig, Inuit miinwa Metis gii zhaawag Residential kinomaagegamigoon biinish 1996.  80,000 gii zhaabwiiwag.  Aapji gii nigaachgaazwag giiyabi go gimooshtoonaa wi gaa dodaagaaswaat.  Nishin ginwaabjigaadeg gaazhiwebag noojmowin zhe te.

Zaawaande Pagweyaanan zhitoonan maaba Emma Petahtegoose ode Atikameksheng.  Nishin besho n’jibaat eshtood ninda pagweyaanan.  Nishin ge egaachi piitzid gewii naadmaget.  Gichi nendaami Emma gii mazinbiiyang maanda pagweyaan.  Ode wii daandim ninda teg Indigenous Sharing and Learning Centre.  Niishtana wii nangdenoon, zhoonyaa dash daa debenaanaa’ ekinomaagzijik ode Laurentian Chi-kinomaagegamikong.   Miisa eko-n’sing Emma gii zhitood ninda pagweyaanan.

Laurentian gii zhiwebag kichipiitendagwat maaba Canada giigji naadmowaat Nitaamgayaanjin.  1986, goonda United Church of Canada n’tam gii kidwook gaawiin jidaa gaa zhichgeyaang maanda Residential Kinomaagegamik gii zhiwebag.  Maanpii maaba ginwaachigan bit 1986 kaawiin jidaa gii kidwook.  Mii maanpii Art Solomon gii makadekepa gii wiindimowaat naame-gamikoong eniigaanzinjin, besho ode Parker Gamik.  Nongo dash naadmagaazwag ekinomaagzijik weweni wii kinomaagaazwaat.  Nishin ginwaabjigaadeg maanda gaabizhiwebag mewzhaa niigaan dash nongwa gidizhaami.

***

L’Université Laurentienne soulignera de nouveau cette année la Journée du chandail orange, le 30 septembre, et encourage tous les membres de la communauté à porter des vêtements orange pour conscientiser les gens aux personnes décédées dans les pensionnats autochtones du Canada et leur rendre hommage. La journée célèbre aussi la persévérance des survivants et des descendants.

La couleur orange a été choisie pour Mme Phyllis Webstad, survivante du pensionnat de la Nation de Secwepemc. En 1973, quand Mme Webstad n’avait que six ans, sa grand-mère lui a acheté un beau chandail orange pour sa première journée d’école, mais dès son arrivée au pensionnat, on lui a tout enlevé, y compris le chandail. Quelque 150 000 enfants inuits, métis et de Premières Nations ont dû fréquenter les pensionnats avant que le dernier ne ferme ses portes en 1996. Le nombre de survivants est estimé à 80 000 et les répercussions de ce génocide culturel se perpétuent encore aujourd’hui. Même les enfants qui n’ont pas fréquenté les pensionnats ont été touchés par les traumatismes intergénérationnels. Reconnaître ces atrocités joue un rôle clé dans le processus de guérison de beaucoup de personnes.

À la Laurentienne, les chandails orange sont conçus par l’artiste d’Atikameksheng Anishinawbek, Mme Emma Petahtegoose, qui assure un lien entre la conception et l’emplacement de notre établissement. Puisque le chandail est un symbole de réconciliation et d’espoir, il devait être conçu par une jeune personne, et nous sommes très reconnaissants de la brillante conception d’Emma et de son superbe travail. Un nombre limité de chandails seront en vente pour la somme de 20 $ chacun dans le Centre autochtone de partage et d’apprentissage et les sommes recueillies permettront de financer des bourses d’aide et d’étude pour les autochtones à l’Université Laurentienne. Cette année marque la troisième Journée du chandail orange affichant la conception d’Emma.

La Laurentienne est l’emplacement d’un événement marquant des tentatives du Canada à se réconcilier avec les nations autochtones. En 1986, l’Église unie du Canada a été la première à présenter ses excuses pour son rôle dans le système de pensionnats. Un cairn signale en effet l’endroit où les survivants et les défenseurs de la cause de tout notre pays se sont rassemblés en 1986 pour marquer les excuses. C’est également l’endroit où Art Solomon a fait la grève de la faim et mis l’église au défi « d’être réaliste ou de disparaître », juste en bas de la colline qui part de l’Édifice Parker. La Laurentienne continue de favoriser la réconciliation grâce à son mandat triculturel, en offrant des bourses aux étudiants autochtones et en soulignant cette journée qui met en évidence notre conscientisation à l’histoire et à l’héritage des pensionnats autochtones. Nous avons un devoir d’aller de l’avant ensemble.

L’Université Laurentienne annonce la décision d’un sous-comité du Sénat sur la suspension de l’admission à des programmes

L’Université Laurentienne annonce la décision d’un sous-comité du Sénat sur la suspension de l’admission à des programmes

Les résultats des travaux d’un sous-comité du Sénat qui s’est réuni à la fin de la semaine dernière

(25 septembre 2020) L’Université Laurentienne a annoncé aujourd’hui les résultats des travaux d’un sous-comité du Sénat qui s’est réuni à la fin de la semaine dernière pour discuter d’une note de service reçue du Vice-rectorat aux études touchant la suspension des admissions à 17 programmes annoncée par la Laurentienne à la fin de juillet, et à la suite de la décision du Sénat du 15 septembre.
 
À sa réunion vendredi dernier, ce sous-comité sur la planification universitaire a reçu et examiné les renseignements à l’appui de chaque programme concerné. Après délibérations, le sous-comité sur la planification universitaire a approuvé une proposition voulant :
 
« Que, conformément au PAQUL, la vice-rectrice aux études (VRE) communique avec les unités indiquées dans la note de service du 30 juillet 2020 dans lesquelles il n’y a pas de modifications majeures et les invite à fournir des perspectives sur leur programme. »
 
À la lumière de la proposition présentée par ce sous-comité sur la planification universitaire pour les programmes en question, il a été décidé par l'administration de l'Université que les nouvelles admissions aux 17 programmes continueront d’être suspendues jusqu’à ce que la question soit présentée à nouveau à ce sous-comité.
 
Ce processus de gouvernance collégiale auquel l’Université s’est engagée offre la meilleure qualité de programmation pour tous les étudiants de l’Université Laurentienne. Nous félicitons le sous-comité sur la planification universitaire dans son mandat d’offrir aux étudiants une expérience universitaire exceptionnelle.

Des chercheurs de la Laurentienne reçoivent des fonds fédéraux pour un projet sur le changement climatique

Des chercheurs de la Laurentienne reçoivent des fonds fédéraux pour un projet sur le changement climatique

La FCI appuiera l’analyse de l’évolution du pergélisol et du cycle du carbone

(24 septembre 2020) L’Université Laurentienne est fière d’annoncer que trois chercheurs de sa communauté ont reçu un appui fédéral pour un projet qui tombe à point nommé. La Fondation canadienne pour l’innovation (FCI) a décerné une part du Fonds des leaders John-R.-Evans de cette année à M. Nathan Basiliko et à Mmes Pascale Roy-Léveillée et Nadia Mykytczuk.

Ce nouveau financement permettra aux chercheurs de mener des recherches essentielles relatives à l’incidence du changement climatique sur le pergélisol au Canada et de cerner son effet sur la quantité imposante de carbone stockée dans ces terres gelées en permanence. Puisque des outils ultramodernes sont requis pour effectuer des recherches de pointe, ces fonds permettront à l’équipe d’avoir accès à un système de tomographie à résistivité électrique (ERT) et à un système portable de spectrométrie à résonance magnétique nucléaire de l’hydrogène (H-NMR).

L’un des principaux objectifs de l’équipe est de catégoriser les sols et substratums gelés au fur et à mesure qu’ils sont chauffés, ce qui permettra de prédire les réponses du carbone et des polluants face aux changements climatiques. De précieux renseignements seront générés aussi sur les conséquences éventuelles de ces changements aux sols gelés sur les infrastructures physiques, y compris les résidus industriels (miniers, forestiers) difficilement gérables dans les
climats plus froids.

Dans son Plan stratégique #imagine2023, l’Université Laurentienne s’engage à mettre à profit des connaissances pluridisciplinaires pour trouver des solutions astucieuses aux défis complexes de la société. Les travaux de l’équipe appuieront les progrès en géocryologie, biogéochimie, microbiologie environnementale et études géotechniques, qui misent toutes sur les domaines constituant des forces en recherche pour la Laurentienne.


CITATION
« Nous sommes reconnaissants du financement reçu de la FCI et nous en réjouissons, car il apporte un important investissement dans l’infrastructure et la recherche relative au pergélisol. Lorsque la température des sols et substratums monte, le dégel fait augmenter le montant d’eau. Même à des températures inférieures à zéro, une petite proportion d’eau soutient l’activité biologique responsable de la circulation de carbone et de polluants. Le montant d’eau liquide à des températures inférieures à zéro degré Celsius a une incidence importante sur la stabilité des sols et l’infrastructure physique des milieux de pergélisol. »
M. Nathan Basiliko, professeur et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en microbiologie environnementale (niveau 2) au Centre pour la vitalité des lacs Vale à l’Université Laurentienne

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