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Les étudiants brillent pendant la 4e édition annuelle du défi d'or Goodman

Les étudiants brillent pendant la 4e édition annuelle du défi d'or Goodman

Ce concours d’investissement minier exceptionnel et réaliste accorde aux étudiants une précieuse expérience pratique

SUDBURY, ON (le 24 février 2020) – Des étudiants de partout au Canada sont venus à Sudbury au début du mois pour participer à l’édition annuelle du Défi d’or Goodman, concours d’investissement minier réaliste et inégalé. Des équipes de sept universités canadiennes ont participé au concours et devaient analyser le potentiel d’investissement de trois entreprises et en recommander une aux fins d’investissement.

Le Défi d’or Goodman est organisé par l’École des mines Goodman de l’Université Laurentienne et présenté par Kinross Gold, commanditaire en titre pour la quatrième année consécutive. Cette année, les compagnies aurifères Lundin Gold, Maritime Resources et Marathon Gold Corporation ont fait l’objet des études de cas.

Les étudiants ont mis au défi les entreprises pendant la période de deux jours. Le coup d’élan s’est donné le vendredi 7 février, quand les PDG de chacune des entreprises ont tenté de convaincre les équipes d’investir dans leur compagnie. Ensuite, les équipes ont eu des entretiens individuels de 10 minutes avec chacun d’entre eux, pour poser des questions percutantes et demander des données concrètes sur lesquelles fonder leur décision.

Suivant les rencontres initiales, il y a eu d’autres échanges fructueux avec des experts de l’industrie. En fait, le jury était composé de dirigeants chevronnés de chacun des commanditaires du niveau d’or, à savoir Canaccord Genuity, Dundee Corporation, Kinross Gold, Nighthawk Gold Corp., Orix Geoscience, Osisko Mining, RBC Capital Markets, Technica Mining et Wesdome. Les équipes ont eu la possibilité de rencontrer chacun des juges hautement compétents pour obtenir un encadrement et une rétroaction et poser des questions pendant des séances individuelles.

Le vendredi, les équipes ont passé la nuit à élaborer et à perfectionner leur exposé pour le lendemain. Samedi 8 février, les équipes ont été divisées en trois ligues et la meilleure de chaque ligue a progressé à la série finale d’exposés. 

Au gala de remise de prix le samedi soir, le PDG d’INV Metals Inc., M. Terry MacGibbon a prononcé un exposé galvanisant au sujet de l’exploitation minière écologique, sujet qu’il tient à cœur à titre d’intronisé au Temple de la renommée du secteur minier canadien en 2018.

Les trois équipes à la finale du Défi d’or Goodman 2020 étaient l’Université McGill, l’Université de Colombie-Britannique et l’Université du Manitoba. En fin de compte, c’est l’équipe de l’Université de Colombie-Britannique qui a gagné le concours en raison de son analyse solide et approfondie de Marathon Gold Corporation. L’équipe a remporté l’équivalent en argent de quatre onces d’or.

« Félicitations à l’Université de Colombie-Britannique, qui a gagné le 4e Défi d’or Goodman, et aussi à tous les participants dont le travail ardu et les exposés ont rendu humbles nous qui avons passé de nombreuses années dans le domaine de l’investissement, a dit le président du Défi d’or Goodman et PDG de Dundee Corporation, M. Jonathan Goodman. Les étudiants de ce concours ne manquent jamais de m’impressionner, et c’est encore le cas cette année. Je suis soulagé de savoir que leur génération prendra en main les enjeux financiers de l’avenir. »

Il ne serait pas possible d’offrir cette expérience d’apprentissage sans le généreux soutien financier et en nature de partenaires industriels, tels que Kinross Gold (commanditaire en titre), Dundee Corporation (gala d’ouverture), Canaccord Genuity (soirée sociale du jeudi), XPS Expert Process Solutions et Sudbury Integrated Nickel Operations (repas du midi), l’ACPE (collations), la Société de développement du Grand Sudbury (pièces dorées remises à chaque équipe) et Norcat (visites de mine pendant trois jours). Lundin Gold, Marathon Gold Corporation et Maritime Resources étaient commanditaires faisant l’objet des études de cas, tandis que les commanditaires de niveau d’or représentés au jury étaient Kinross Gold, Nighthawk Gold Corp., Dundee Corporation, Canaccord Genuity, Orix Geoscience, Technica Mining, Osisko Mining, Wesdome et RBC Marchés des capitaux.

En outre, le comité organisateur du Défi d’or Goodman remercie toutes les équipes, de loin et de près, qui ont participé au concours cette année, à savoir l’Université de Colombie-Britannique, l’Université McGill, l’Université du Manitoba, l’Université Laurentienne, l’École de gestion Ted Rogers à l’Université Ryerson, le Département des mines Robert M. Buchan de l’Université Queens et l’Université York.

La Laurentienne et le Syndicat des métallos du Canada s’unissent pour rendre hommage à un leader syndical originaire de Sudbury

La Laurentienne et le Syndicat des métallos du Canada s’unissent pour rendre hommage à un leader syndical originaire de Sudbury

Le nouveau Fonds du patrimoine Leo Gerard permettra la création d’une bourse et d’une série de conférences qui examineront les questions relatives aux travailleurs

(Le 21 février 2020) L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la création du Fonds du patrimoine Leo Gerard grâce à une généreuse contribution financière du Syndicat des métallos du Canada et du Conseil de travail de Sudbury et du district.

Le don de 33 500 $ servira à financer deux nouvelles initiatives d’envergure :

En outre, la contribution souligne l’engagement à vie de M. Leo Gerard envers les familles et les droits des travailleurs partout dans le monde.

« Je suis rempli d’humilité à l’égard des contributions faites à ce fonds qui m’honore et porte mon nom, a dit M. Gerard. Il reconnaîtra et appuiera les personnes inscrites au Programme d’études sur les milieux de travail et la main-d’œuvre tout en formant de futurs leaders syndicaux au moyen de l’enseignement, de la recherche et du rayonnement communautaire. »

Diverses instances du Syndicat des métallos du Canada ont fait de ce fonds une réalité, notamment le Bureau national, le District 6 et les Sections 6500 et 2020.

« Nous nous réjouissons, a indiqué le directeur national du Syndicat des métallos du Canada, M. Ken Neumann, d’aider l’Université à préparer la prochaine génération de dirigeants syndicaux et à lui apporter les outils, la formation et les possibilités nécessaires à la réussite. »

Titulaire d’un baccalauréat et d’un doctorat honorifique de l’Université Laurentienne, M. Gerard a passé la plus grande partie de ses années formatrices à Sudbury. Le professeur agrégé du Programme d’études sur les milieux de travail et la main-d’œuvre à l’École des études du Nord et des communautés, M. John Peters, Ph.D., s’enorgueillit de voir le nom de M. Gerard lié aux initiatives de son alma mater qui forment la prochaine génération de dirigeants syndicaux.

« Nous sommes très reconnaissants de ce don, a dit M. Peters, qui permettra à un plus grand nombre d’étudiants d’acquérir une expérience pratique et d’appliquer leurs compétences à des enjeux réels avant même d’obtenir leur diplôme. Depuis longtemps, le Programme d’études sur les milieux de travail et la main-d’œuvre préconise l’apprentissage expérientiel tout en visant à préparer des diplômés qui travailleront dans des syndicats, des organismes non gouvernementaux, les paliers gouvernementaux et les entreprises du Canada et des États-Unis. »
 

L’Université Laurentienne et RBC s’allient pour offrir aux étudiants une formation concrète pendant la Journée de l’apprentissage expérientiel

L’Université Laurentienne et RBC s’allient pour offrir aux étudiants une formation concrète pendant la Journée de l’apprentissage expérientiel

Les deux organismes prennent un autre pas pour rompre le cycle « pas d’expérience – pas d’emploi ».

(SUDBURY – 13 février 2020) L’Université Laurentienne et RBC ont collaboré afin d’offrir pour la première fois sur le campus la Journée de l’apprentissage expérientiel. Projet commun appuyé par RBC dans les établissements d’enseignement supérieur au Canada, l’initiative vise un seul but : frayer la voie pour la prochaine génération de travailleurs en leur transmettant de l’expérience pratique du monde réel. 
 
À ces fins, les membres de la population étudiante ont eu l’occasion de rencontrer individuellement des employeurs éventuels et d’écouter des professionnels chevronnés. Ils ont aussi fait valoir leurs compétences auprès d’entreprises dans le cadre d’une séance de réseautage éclair Du sac à dos au porte-documents RBC. En outre, la journée a marqué le lancement à la Laurentienne de l’initiative Ten Thousand Coffees, plateforme de mentorat en ligne qui noue entre les gens des liens fondés sur les objectifs et les intérêts. Nous remercions le fondateur de l’organisme, M. Dave Wilkin, de ses propos bienveillants lors de la célébration du lancement aujourd’hui.
 
De plus, l’Université Laurentienne a célébré une étape importante de sa collaboration suivie avec RBC, notamment le premier anniversaire du généreux don de 300 000 $ de RBC pour le programme universitaire de Plan de développement de carrière, tout en soulignant l’arrivée de Ten Thousand Coffees dans notre communauté. Nous remercions le vice-président régional de RBC, M. Scott Simon, d’avoir discuté d’Objectif avenir.
L’apprentissage, tout comme notre collaboration avec RBC, n’a pas de fin. D’autres activités Du sac à dos au porte-documents auront lieu le 13 mars. 

CITATION
« Nous sommes tellement chanceux d’avoir à l’Université Laurentienne des membres dévoués du corps professoral qui intègrent l’apprentissage expérientiel à leurs cours. Nous avons formé aussi de nombreux partenariats solides avec des employeurs qui aident nos étudiants à acquérir une expérience d’apprentissage intégré au travail. Grâce à de généreux donateurs comme RBC et son initiative Objectif avenir, nos étudiants continuent de tirer profit d’une programmation enrichie appuyant leurs apprentissages par l’expérience. » Mme Rachel Meehan, conseillère spéciale en leadership et apprentissage par l’expérience à l’Université Laurentienne
 

L’Université Laurentienne et le Collège Cambrian célèbrent la Journée internationale des femmes et des filles de sciences

L’Université Laurentienne et le Collège Cambrian célèbrent la Journée internationale des femmes et des filles de sciences

Une journée d’activités favorisant l’inclusivité en STIMM et inspirant les femmes et filles à suivre des carrières dans ces domaines

SUDBURY, ON (11 février 2020) – Hier, l’Université Laurentienne a accueilli 85 élèves de la 6e année des écoles de la région du Grand Sudbury pour célébrer la Journée internationale des femmes et des filles de sciences prononcée par les Nations Unies. Les jeunes ont participé à une journée bien remplie de démonstrations et d’exposés faisant valoir des femmes incroyables dans les domaines des sciences et des métiers.

Dirigées par des femmes scientifiques et des chercheuses de nombreux établissements du Grand Sudbury, y compris, entre autres, l’Université Laurentienne, le Collège Cambrian, SNOLAB et le programme GÉNIales, les filles, les activités ont mis en évidence l’importance de l’inclusivité dans les domaines de STIMM (sciences, technologie, ingénierie, mathématiques et médecine). Les femmes ont partagé les expériences, défis et réussites qu’elles ont vécus en faisant évoluer une carrière en STIMM et ont aussi fait des démonstrations pratiques.

Après les activités de la journée, il y a eu une discussion publique gratuite à Terre dynamique, dirigée par Mme Nadia Mykytczuk, et pendant laquelle quatre expertes reconnues ont abordé les questions du public relatives à l’inclusivité dans les domaines de STIMM, à savoir Mmes Tammy Eger (Ph.D.), Jennifer Jocko (Ph.D.), Madiha Khan (Ph.D.) et Ashley Kirwan (MSc, PGeo). Mme Eger a aussi fait un exposé sur son récent périple en Antarctique comme membre du prestigieux programme Homeward Bound.

COMBLER L’ÉCART
Les activités de la journée visaient à favoriser l’inclusivité en STIMM et à inspirer les femmes et les filles à envisager des carrières dans ces domaines. Malgré certains progrès, un écart important persiste entre les sexes sur le plan mondial dans les domaines de STIMM. En 2015, l’Assemblée générale des Nations Unies a résolu de tenir annuellement une journée internationale qui reconnait le rôle critique joué par les femmes et les filles dans les sciences et la technologie.
Mme Eger, qui a dirigé les célébrations à la Laurentienne en 2019, affirme que c’est le temps que les choses changent.

« L’idée est de préconiser l’avancement d’un plus grand nombre de femmes à des postes de direction et d’examiner les groupes sous-représentés dans les domaines de STIMM, a dit Mme Eger. La documentation révèle que, dès leur arrivée à l’école secondaire, les jeunes ont déjà pris des décisions clés touchant ce qu’ils veulent devenir après les études. L’activité d’aujourd’hui ciblait les élèves de 6e année afin de donner aux filles des idées nouvelles de ce qu’elles peuvent faire et de permettre aux garçons de les considérer davantage comme des collègues. » 

Parmi les partenaires de l’activité, il faut souligner l’Université Laurentienne, le Collège Cambrian, Science Nord, SNOLAB, She&Her, la Fonderie, le Centre de recherche ECHO, le Centre de recherche en santé dans les milieux ruraux et du Nord, le Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail, l’École des mines Goodman, l’École de médecine du Nord de l’Ontario et le CRSNG, ainsi que le Vice-rectorat à la recherche, la Faculté de la santé, la Faculté des sciences, de génie et d’architecture, le Bureau des affaires francophones et le Groupe de coordonnateurs de la recherche à l’Université Laurentienne.

Le partenariat du Centre de santé Naandwechige-Gamig Wikwemikong et de l’UL bénéficie d’une subvention fédérale de 1 500 000 $

Le partenariat du Centre de santé Naandwechige-Gamig Wikwemikong et de l’UL bénéficie d’une subvention fédérale de 1 500 000 $

Le programme « I aM Well » qui vise à améliorer le bien-être mental des enfants autochtones sera un modèle pour l’amélioration de la prestation des soins de santé ici et ailleurs

(Sudbury/Wiikwemkoong, 8 janvier 2020) – Nous nous réjouissons d’annoncer que les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) ont accordé une importante subvention au programme « I aM Well », initiative du Centre de santé Naandwechige-Gamig Wikwemikong et du Centre de recherche ECHO de l’Université Laurentienne, qui vise à améliorer le bien-être mental chez les Autochtones. Le projet recevra 1 500 000 $ sur cinq ans.

Fondé sur une importante contribution d’enfants et de jeunes autochtones, qui en profiteront ultimement, le programme emploie une enquête sur tablette appelée « Aboriginal Children’s Health and Well-being Measure (ACHWM) » qui permet aux enfants de discuter de leur santé. Les données sont ensuite partagées avec les prestataires de services et de soins qui coordonnent et améliorent les résultats en matière de santé.

Co-créée par et pour les jeunes autochtones au Canada, l’ACHWM a vu ses débuts dans le territoire non cédé de Wiikwemkoong en 2010 et, grâce à cette subvention, partagera son approche holistique avec le monde entier. En fait, les fonds des IRSC permettront non seulement au projet de prendre de l’ampleur, mais aussi d’être adapté à d’autres cultures autochtones. L’objectif est de prêter un appui aux communautés dans le monde, surtout celles dans les régions rurales et éloignées disposant de moindres ressources.

Une équipe de 19 chercheurs provenant de huit universités et de 15 organismes partenaires se partagent cette réussite. Le travail accompli témoigne de la sagesse des jeunes autochtones et de la direction de deux personnes, à savoir Mme Nancy L. Young, titulaire d’une chaire de recherche, et Mme Mary Jo Wabano, directrice des services du Centre de santé Naandwechige-Gamig, qui ont joué un rôle clé dans l’élaboration et le succès du programme. Nous remercions toutes les personnes qui ont contribué à cette initiative et leur souhaitons de continuer sur leur lancée pour habiliter les jeunes autochtones et renforcer leurs communautés.

CITATIONS

« Nous sommes enthousiasmés de partager les connaissances acquises au fil d’une décennie de collaboration et honorés de diriger avec Mme Mary Jo Wabano cette équipe nationale, tout en continuant de favoriser le bien-être des enfants et d’être orientés par les communautés. »
Mme Nancy L. Young, directrice de l’École de santé dans les milieux ruraux et du Nord et titulaire de Chaire de recherche

« Je tiens à féliciter Mme Young et ses collègues du Centre de recherche ECHO d’une décennie de travail ardu qui a porté ses fruits. Je me réjouis de savoir que ce partenariat avec le Centre de santé Naandwechige-gamig Wikwemikong favorisera la santé des enfants et jeunes autochtones. À l’Université Laurentienne, nous nous engageons fermement à collaborer avec les collectivités autochtones et sommes heureux de voir aligner des partenariats comme celui-ci sur notre plan stratégique Imagine 2023 qui tient compte de la vérité et de la réconciliation. »
M. Robert Haché, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne

« I aM Well est un excellent programme qui affirme notre engagement envers la santé et le bien-être des enfants, comme envisagé dans la Déclaration des droits des enfants de la réserve non cédée de Wiikwemkoong. Les enfants sont notre priorité et ce programme nous donne l’occasion de cibler les forces et les possibilités relatives à leur santé tout en habilitant ces derniers en leur permettant de s’exprimer dans le cadre de l’évaluation de leur bien-être. Je suis heureux d’avoir ce programme dans notre communauté. »
Ogimaa (Chef) Duke Peltier, Territoire non cédé de Wiikwemkoong

« J’écoute depuis toujours les voix des enfants et me fais maintenant un devoir de leur accorder la possibilité d’exprimer leurs besoins tout en supprimant pour eux les obstacles afin qu’ils puissent bénéficier de soutien au bien-être mental. »
Mme Mary Jo Wabano, directrice des services de santé, Centre de santé Naandwechige-Gamig Wikwemikong

Un simulateur sans égal reproduit des conditions de travail lors de la séance de portes ouvertes du CRSST

Un simulateur sans égal reproduit des conditions de travail lors de la séance de portes ouvertes du CRSST

Le simulateur de milieux de travail (W-SIM) s’attaque aux problèmes réels du milieu de travail grâce à la simulation de tâches

(4 décembre 2019) – Aujourd’hui, le Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) a tenu une séance de portes ouvertes pour présenter son simulateur de milieux de travail (W-SIM) entièrement fonctionnel. Le W-SIM est unique en son genre dans le monde et peut reproduire presque tous les environnements nord-ontariens de travail dans le contexte contrôlé d’un laboratoire. Il comprend une plateforme robotique simulant les vibrations, un caisson environnemental pour réguler la température et l’humidité, un système de suivi oculaire à réalité virtuelle reproduisant l’environnement de travailleurs et un système de diagnostic cardiorespiratoire pour mesurer les réponses humaines. La simulation de tâches permet aux chercheurs d’aborder de front les problèmes en milieu de travail.

Le W-SIM a potentiellement de vastes applications, y compris la mise au point et l’évaluation de nouvelles technologies pour gérer les enjeux liés au stress thermique, aux lignes visuelles et à l’exposition aux vibrations. En outre, il peut vérifier l’aptitude au travail et l’effet de la fatigue au travail tout en aidant à comprendre la façon dont les travailleurs sont conscientisés aux situations et les gèrent.

Même si le W-SIM a été créé premièrement pour effectuer des recherches et résoudre des problèmes complexes en milieux de travail, le CRSST cherche activement à nouer des partenariats avec des particuliers ou des secteurs industriels à l’extérieur de l’Université Laurentienne et à leur ouvrir l’accès au W-SIM pour des applications originales ou la mise à l’épreuve de matériel.

Hébergé dans l’Édifice Cliff-Fielding, le W-SIM du CRSST est une composante du Centre d’analyse Perdue au service du nord de l’Ontario, apportant une infrastructure ultramoderne à la conception de projets de recherche ou de contrats de service. Il donne aux clients la possibilité exceptionnelle de faire la collecte de données, d’effectuer des essais, de prendre des mesures physiologiques humaines et de mettre à l’épreuve des matières, des instruments et du personnel.

CITATIONS
« Nous félicitons le CRSST et remercions les organismes subventionnaires dont l’appui a joué un rôle primordial dans notre ambitieux programme de recherche. Le simulateur de milieux de travail n’aurait pas vu le jour sans la prévoyance et le soutien financier d’organes fédéraux (FedNor, Fondation canadienne pour l’innovation) et provinciaux (Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario, Fonds pour la recherche en Ontario) ainsi que l’appui interne reçu de l’École des mines Goodman à l’Université Laurentienne. Ces investissements témoignent du haut degré de confiance de nos leaders dans l’Université et le mandat du CRSST à chapeauter l’excellence en recherche dans le domaine de la santé et de la sécurité professionnelles. » M. Robert Haché, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne

« La possibilité de simuler un milieu de travail permet aux chercheurs ou aux partenaires de l’industrie de vérifier plus exhaustivement des solutions innovatrices touchant le matériel avant de les adopter dans l’environnement professionnel. Cela est avantageux pour l’entreprise, car souvent, elle n’essaiera pas une deuxième fois un appareil qui fait défaut en milieu de travail. En outre, moins d’heures sont consacrées à la mise à l’épreuve de nouvelle application lorsque les activités normales de travail sont effectuées. » Mme Sandra Dorman, directrice du Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST)
 

Un chercheur de la Laurentienne publie des résultats révolutionnaires dans Nature Geoscience

Un chercheur de la Laurentienne publie des résultats révolutionnaires dans Nature Geoscience

Un nouvel article corédigé par le professeur Alessandro Ielpi met en valeur le lien délicat qui existe entre les rivières, les plantes et, ultimement, l’air que nous respirons.

(2 décembre 2019) Cette semaine, Nature Geoscience a publié un article corédigé par le M. Alessandro Ielpi, Ph.D., professeur de l’Université Laurentienne, qui pourrait modifier notre façon de considérer les interactions entre la vie végétale, les cours d’eau et la Terre.

Intitulé « A tenfold slowdown in river meander migration driven by plant life », l’article expose le modèle de données créé par M. Ielpi et M. Mathieu Lapôtre, Ph.D., professeur à l’Université Stanford. Fondé sur des travaux pratiques effectués dans le grand bassin du sud-ouest des États-Unis et une compilation d’images-satellites montrant de nombreuses rivières dans le monde, le modèle comprend de nombreux constats importants, notamment l’incidence positive d’une végétation accrue au long des axes de rivières.

En général, plus il y a de plantes au bord d’une rivière, plus cela lui prend du temps pour changer de forme. Cette observation a de grandes répercussions sur l’environnement, y compris la présence plus durable, et ultimement la capture, de carbone organique dans les plaines inondables. L’inverse va de soi : s’il y a moins de végétation, l’axe de la rivière est plus apte à changer, faisant en sorte que le carbone organique est plus exposé et oxydé et que le dioxyde de carbone (gaz à effet de serre éprouvé) est émis dans l’atmosphère.

Le modèle pourrait éventuellement être appliqué à de nombreux environnements, dont les plaines fluviales qui changent rapidement dans les régions du Nord, voire au-delà de notre sphère terrestre. En fait, les chercheurs sont persuadés que le modèle pourrait servir à des recherches visant à élucider les anciennes rivières de Mars.

Appuyez ici pour lire l’article complet (disponible en anglais seulement)

CITATIONS
« Voici un autre exemple de recherche de premier ordre menée à l’Université Laurentienne. Ces travaux de M. Ielpi avec un collègue de l’Université Stanford constituent une grande avancée dans notre compréhension des conditions d’autrefois sur la Terre et pourraient nous aider à cerner l’effet de la végétation sur le paysage dans lequel nous vivons. » M. Osman Abou-Rabia, doyen de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture

« Cette étude joue un rôle monumental pour faire avancer notre compréhension des circonstances antérieures sur Terre et nous aider à comprendre l’incidence des plantes – ou la vie évoluée plus large – sur notre contexte actuel. Dans la conclusion de l’article, nous discutons de la façon dont le taux de changement des rivières exerce un contrôle principal sur les bilans du carbone sur la Terre. » M. Alessandro Ielpi, professeur adjoint de sédimentologie à l’École des sciences de la Terre Harquail de l’Université Laurentienne
 

Courant rétabli

Courant rétabli

Le courant est rétabli au campus. Les services alimentaires au Grand salon seront remis en service à 16 h 30. Nous reprendrons notre horaire habituel de cours et services demain matin.

L’Université Laurentienne conclut une deuxième entente avec le Collège Sault afin d’améliorer les voies vers les programmes autochtones

L’Université Laurentienne conclut une deuxième entente avec le Collège Sault afin d’améliorer les voies vers les programmes autochtones

Un partenariat élargi permettra une meilleure mobilité des étudiants entre les deux établissements

(Sault Ste. Marie ON) 14 novembre 2019 – Aujourd’hui, le Collège Sault et l’Université Laurentienne ont signé une autre entente institutionnelle qui favorise l’apprentissage de la population étudiante. Grâce à ce partenariat élargi, les diplômés du programme de deux ans de Social Service Worker – Indigenous Specialization (SSW-IS) du Collège Sault qui sont admissibles pourront préparer en deux ans un Bachelor of Indigenous Social Work à l’Université Laurentienne. 

Le programme de la Laurentienne offre aussi plus de souplesse aux étudiants pour suivre des cours à plein temps sur le campus ou à temps partiel en ligne. Pour être admissibles à la troisième année d’études du programme de Bachelor of Indigenous Social Work à l’Université Laurentienne, les diplômés de SSW-IW de Collège Sault devront avoir conservé une moyenne pondérée cumulative de 3.0.

Cette nouvelle entente renforce l’engagement de ces établissements envers la collaboration et la prestation d’une formation enrichie et de haut calibre afin de mettre en pratique les appels à l’action de la Commission de vérité et de réconciliation.

CITATIONS
« L’Université Laurentienne se fait un point d’honneur d’élargir son partenariat avec le Collège Sault et d’offrir cette merveilleuse possibilité aux étudiants. Les personnes auront ainsi plus de choix pour poursuivre leurs études et la souplesse de le faire en ligne ou à plein temps sur le campus pour obtenir le baccalauréat. Le partenariat marie les forces des deux établissements afin de présenter aux étudiants une expérience pédagogique holistique qui les met sur la voie de la réussite. La Laurentienne continue à faire des efforts pour intégrer la formation des autochtones et cette entente propose un autre moyen de leur offrir un large éventail de choix dans les études tout en faisant progresser l’UL dans un esprit de vérité et de réconciliation. »
Shelly Moore-Frappier, vice-rectrice associée à l’enseignement et aux programmes autochtones par intérim, Université Laurentienne

« L’Université Laurentienne se réjouit de poursuivre et d’étendre son partenariat avec le Collège Sault. Il s’agit d’un autre moyen pour nous de promouvoir l’importance des cultures autochtones tout en aidant les communautés à former des professionnels compétents. L’initiative s’insère parfaitement dans notre mandat d’offrir aux étudiants autochtones la plus vaste gamme de possibilités et j’ai bien hâte de la voir éclore au cours des prochaines années. » Serge Demers, vice-recteur intérimaire aux études, Université Laurentienne

« Notre collège cherche toujours des moyens de rehausser l’expérience éducative et de proposer aux étudiants des façons innovatrices d’apprendre et de s’épanouir. Ce partenariat élargi leur donne plus de choix dans les études et la possibilité de miser sur les compétences et connaissances qu’ils ont acquises afin de se préparer pour une carrière enrichissante en services sociaux pour les autochtones. Nous sommes très fiers de nous allier à l’Université Laurentienne et comptons poursuivre cette fructueuse collaboration. » Colin Kirkwood, vice-président aux études et à la recherche, Collège Sault

Au sujet du Collège Sault
Le Collège Sault offre une expérience transformatrice de vie en habilitant ses étudiants à réfléchir et à apprendre selon des manières progressistes et innovatrices, y compris celles qui sont pour l’instant inimaginables. Le collège décerne des certificats collégiaux de l’Ontario et des diplômes avancés ou autres, certificats d’études supérieures et grades. Plus grand prestataire de la formation d’apprenti dans le nord de l’Ontario, le Collège Sault a d’importantes répercussions économiques sur sa communauté avec un apport indirect de quelque 158 000 000 $. Chaque année, il distribue plus de 1 800 000 $ en bourses d’aide et d’études et prix à sa population étudiante. Situé à la frontière américaine et au cœur de trois des plus vastes Grands Lacs du monde, le Collège Sault est l’un des 24 collèges publics de la province de l’Ontario.
 

La Laurentienne se classe au premier rang pour les revenus de recherche parmi les universités de premier cycle

La Laurentienne se classe au premier rang pour les revenus de recherche parmi les universités de premier cycle

Les revenus de recherche ont augmenté de quelque 40 % pendant le dernier exercice financier

Le 13 novembre 2019 -- Les chercheurs de l’Université Laurentienne se réjouissent de voir leur établissement figurer aux plus hauts échelons de la liste nationale des universités de recherche dressée par Research Infosource. L’organisme a classé la Laurentienne au premier rang pour les revenus de recherche parmi les universités offrant principalement des programmes de premier cycle. En fait, les réussites de la Laurentienne dans des domaines divers lui ont donné droit à ce classement pour la deuxième année consécutive. L’Université occupe aussi la 27e place dans le classement général au Canada.

Selon Research Infosource, les revenus de recherche de la Laurentienne pendant le plus récent exercice financier se chiffraient à 44 000 000 $, ce qui représente une croissance de 37,2 %, la plus importante hausse parmi tous les établissements figurant sur la liste. La Laurentienne a progressé du deuxième rang l’an dernier au premier rang cette année pour ce qui est de l’intensité des recherches des étudiants.

Plusieurs facteurs ont permis à la Laurentienne de concrétiser ces résultats, notamment son Plan stratégique de recherche, qui met l’accent sur des valeurs clés, dont la collaboration, la transparence et la coopération pluridisciplinaire.

Pour consulter les divers classements, veuillez appuyer ici.

CITATION
« La Laurentienne progresse dans la bonne direction en ce qui concerne les classements relatifs à la recherche, reflétant ainsi l’engagement et le travail ardu de notre corps professoral, de notre personnel et de notre population étudiante, qui font une différence sur les scènes locale, nationale et mondiale. Je tiens à féliciter tout le monde de cette réussite et à inciter l’accélération du rythme de cet essor. » Rizwan Haq, vice-recteur intérimaire à la recherche, Université Laurentienne

AU SUJET DE RESEARCH INFOSOURCE
Research Infosource Inc. se déclare la source d’information en matière de recherche et de développement au Canada. Cabinet de recherche, d’expert-conseil et de publication de premier plan, il se spécialise dans les domaines de politique, de recherche, de veille économique et d’analyse en matière de sciences, de technologie, d’innovation et de l’écosystème canadien de R.-D.
 

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