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Une nouvelle équipe de robotique revient du Brésil avec une récolte impressionnante de distinctions.

Une nouvelle équipe de robotique revient du Brésil avec une récolte impressionnante de distinctions.

Les étudiants en informatique, Austin Barrett et Nicolas Pottier, les « Snobots ».

3 septembre, 2024 - Les « Snobots » et le Laboratoire de robotique mobile intelligente (Laborobot) de la Laurentienne font déjà l’histoire. Austin Barrett et Nicolas Pottier, étudiants en informatique de 4e année, ont fait la démonstration de leurs talents éclatants à la « FIRA RoboWorldCup 2024 », tenue au Brésil, où, en plus de décrocher quatre médailles d’or et une médaille d’argent, ils ont terminé au premier rang du prestigieux concours « HuroCup Adult-Sized Humanoid Competition ».

Le Laborobot, une nouvelle entité dynamique de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture de la Laurentienne, allie l’enseignement et la recherche, en s’intéressant à un éventail de robots mobiles allant des plateformes à roues aux robots humanoïdes à pattes avancés. Comptant près de 20 étudiants à ce jour, le Laborobot est un espace spécialisé qui offre une plateforme d’apprentissage pratique à la programmation, aux systèmes de contrôle et à la conception de robots.

Meng Cheng Lau (Ph.D.), professeur adjoint à l’École de génie et des sciences informatiques Bharti, a donné vie au Laborobot où les Snobots ont pu concevoir leurs engins. Comme le précise M. Lau, malgré le fait qu’il a supervisé les deux étudiants et les a soutenus lorsqu’ils en avaient besoin, leur dévouement et leur collaboration ont été les facteurs déterminants de leur réussite à cette compétition internationale.

« Austin et Nicolas ont travaillé d’arrache-pied pour y arriver. Leur engagement et leur esprit d’équipe ont été absolument décisifs dans leur réussite. »

Les deux étudiants se sont inspirés des anecdotes de M. Lau au sujet des concours de robotique précédents. « Il nous a fait part de ses expériences et l’idée nous a tout de suite séduits, se souvient Austin. Notre intérêt commun a grandi en nous incitant à monter notre équipe et à passer l’été à nous préparer intensément pour la FIRA. »

Leur robot anthropomorphe, Polaris, atteste de leur travail assidu et de leur créativité. Haut d’environ un mètre, fait de métal et de pièces imprimées 3D, Polaris, qui jouit d’une grande amplitude mobile sur 20 degrés, se veut par sa conception durable et agile. Programmé à l’aide de deux langages, Python et C++, Polaris, dont la tête rappelle une webcam, et qui a un ordinateur à la poitrine, peut effectuer diverses tâches en toute autonomie en évaluant les situations et en prenant des décisions.

Bien que leur dernier succès en dise long sur leurs capacités exceptionnelles, les Snobots demeurent attachés à leur cheminement et au potentiel du Laborobot. « Notre objectif est d’élargir l’équipe en accueillant au Laborobot nombre d’étudiants de diverses disciplines, explique Nicolas. Nous voulons collaborer en vue de mettre au point des robots encore plus perfectionnés. »

« Le Laboratoire de robotique mobile intelligente de la Laurentienne n’est pas seulement un espace d’apprentissage technique, affirme M. Lau, il est aussi une rampe de lancement de carrières dans des domaines comme celui des systèmes autonomes dans le secteur minier. » Vu son potentiel de recherche et d’apprentissage encore inexploité, le Laborobot, comme il l’espère, deviendra un point d’ancrage de l’expérience étudiante de toutes les personnes qui s’intéressent à la robotique.

L’orientation d’automne prépare les étudiants à réussir

L’orientation d’automne prépare les étudiants à réussir

Les étudiants actuels et nouveaux sont accueillis à l’automne avec un programme d’orientation dynamique et intéressant qui donne un coup d’élan à l’année universitaire.

28 août 2024 - Du 28 août au 13 septembre, l’Université Laurentienne accueille les étudiants dans le cadre d’un programme d’orientation d’automne bien rempli. Offertes en collaboration par le Bureau de réussite universitaire et les associations d’étudiants, les activités d’orientation visent à aider les étudiants actuels et nouveaux à s’installer et à commencer l’année universitaire en se sentant pleinement préparés.

« Que vous étudiiez en première année ou aux années avancées, sur le campus ou ligne, du Canada ou de l’étranger, il s’agit de l’occasion de plonger dans la vie étudiante, de rencontrer de nouvelles personnes et de vous initier à la Laurentienne, a expliqué la gestionnaire du Bureau de réussite universitaire, Sarah Humphries. En mettant l’accent sur les relations et la communauté, nous encourageons les étudiants à nouer des liens et à poser des questions avant le début des cours. »

L’emménagement des étudiants en résidence commence le jeudi 29 août et se poursuit tout au long du week-end avec un barbecue de bienvenue le samedi 31 août, à 13 h.

Des activités agréables telles que la journée annuelle sur la plage, la course aux couleurs et la soirée karaoké sont prévues pour permettre aux étudiants de se connaître et de s’amuser. De plus, les visites guidées du campus, le salon des clubs et services ainsi que les séances d’information sont conçus pour renseigner les étudiants et les familiariser avec ce que la Laurentienne peut leur offrir.

Katie Taylor a obtenu son diplôme de la St. Benedict Catholic Secondary School le printemps dernier et amorce sa première année dans le programme de Concurrent Education. Elle se dit de plus en plus enthousiasmée par le début des cours. « J’ai hâte de faire partie de la communauté Laurentienne, a-t-elle affirmé. Je veux vraiment assister au salon des clubs et services afin de voir ce qui est offert en matière de volleyball non compétitif. Je compte également assister à la journée à la plage où j’espère jouer au volley avec des amis. »

Le vendredi 30 août, à 9 h, tous les membres de la communauté Laurentienne sont invités à assister à l’allumage du feu sacré avec le Bureau des affaires étudiantes autochtones (AEA) à l’extérieur du Centre autochtone de partage et d’apprentissage. De plus, le 3 septembre, les étudiants sont les bienvenus à la séance d’accueil : wiiyaas et s’mores avec l’équipe des AEA et pourront participer, tout au long de la semaine, à des activités comme le Bingo Anishinaabemowin, un repas de poisson-frites à l’heure du midi et un projet d’artisanat.

Étudiante en administration des sports (SPAD), Emma Godin partage son enthousiasme à l’idée de retourner sur le campus pour sa troisième année d’études. « Je préconise grandement les activités d’orientation, a-t-elle dit, car je veux que tous les étudiants se sentent les bienvenus et s’amusent le plus possible. » Plus que tout, Emma attend avec impatience le match des Blue Jays. « J’y suis allée l’an dernier et me suis vraiment amusée, a-t-elle raconté. C’est un bon endroit où faire la connaissance de nouvelles personnes dans un cadre différent de celui où on les rencontre habituellement. »

Grâce à des activités comme un ralliement, une séance d’accueil avec les professeurs et bien d’autres encore, cette période d’orientation sera un début mémorable au trimestre universitaire d’automne. Il y aura un stand d’accueil dans l’atrium de l’Édifice Parker tous les jours de l’orientation, de 9 h à 16 h 30. Le calendrier complet des activités figure ici.

Est-ce qu’une formation dans les arts peut mener à un avenir en technologie?

Est-ce qu’une formation dans les arts peut mener à un avenir en technologie?

Inspiré de son expérience aux cycles supérieurs, Sidney Shapiro, Ph.D., a innové dans les méthodes de recherche qualitative en misant sur l’analyse de données.

26 août 2024 - Le programme de doctorat interdisciplinaire de l’Université Laurentienne donne aux étudiants la possibilité de se spécialiser dans plusieurs domaines. Dans ce programme, Sidney Shapiro a préparé un doctorat en philosophie avec un accent sur l’analyse des réseaux sociaux et se spécialise maintenant en analyse commerciale. Son histoire illustre à quel point les études dans les arts sont en soi interdisciplinaires et peuvent apporter des résultats inattendus.

Sidney est également titulaire d’un baccalauréat ès arts et d’une maîtrise ès arts de la Laurentienne. « Je suis venu à Sudbury pour étudier à la Laurentienne et j’y suis resté pendant 12 ans, a-t-il raconté avec nostalgie. Mes cours étaient intéressants et les étudiants et professeurs étaient dynamiques. Je me suis dit que c’est à ça que devrait ressembler l’université. »

Sidney a saisi toutes les possibilités pendant ses études à la Laurentienne. Il a participé à plusieurs clubs et y a souvent assumé des rôles de direction. Il tenait à cœur ses relations avec les professeurs et a profité tout au long de sa vie de leur mentorat. Son cheminement universitaire a été orienté tant par ses centres d’intérêt que par les solides relations qu’il a cultivées.

« Il y a tellement de possibilités inégalées à la Laurentienne, comme le parlement modèle, que les autres écoles n’ont pas, a-t-il affirmé. À un moment donné pendant mes études de premier cycle, j’étais membre de la direction de neuf groupes d’étudiants à la fois. Il existe à la Laurentienne une merveilleuse communauté dynamique faisant en sorte qu’il est facile de nouer des liens sur le plan des études aussi bien que du côté social. »

Après l’obtention du doctorat, il a passé six ans au Collège Cambrian où il a assuré le développement, l’enseignement et la coordination au sein du programme d’études supérieures en analyse commerciale (Business Analytics). Par la suite, il a été gestionnaire de la datalogie à Sofvie, travaillant à la mise au point de logiciel favorisant la santé et la sécurité dans l’industrie minière. Il est maintenant professeur adjoint à la Dhillon School of Business et professeur adjoint associé d’informatique à l’Université de Lethbridge, où il se spécialise en analyse commerciale. Bien que son intérêt suivi pour l’analyse de données, l’IA et l’analyse des médias sociaux représente une évolution depuis ses origines universitaires dans les arts, Sidney affirme que ces domaines sont plus interreliés qu’ils le semblent à première vue.

« Quand j’étais étudiant, j’ai été embauché pour soutenir plusieurs projets de recherche, a-t-il expliqué. Grâce à ces expériences, j’ai découvert que dans les arts, il est possible de miser sur la recherche qualitative et quantitative à l’aide d’outils d’informatique et d’évaluation de programme afin d’analyser efficacement les données. »

Ces possibilités d’apprentissage expérientiel l’ont aidé à cerner ses propres intérêts. « Je suis devenu expert au chevauchement des sciences sociales et de l’informatique, a-t-il confié, à utiliser des outils ultramodernes de recherche pour la collecte, l’organisation et l’analyse de données afin de mieux saisir l’incidence d’un problème social quelconque. »

Il a effectivement transformé cela en cheminement de carrière. Selon lui, pour soutenir les sciences sociales, il est nécessaire d’exploiter de nouvelles méthodes de collecte de données, telles que l’analyse de médias sociaux. « Pour ce qui est du financement dans le secteur public et des organismes à but non lucratif, il s’agit vraiment de raconter une histoire, a-t-il expliqué pour souligner un point important sur l’incidence de ces données. Ces histoires sont contextualisées par des données qualitatives et fondées sur des données quantitatives. »

Même si Sidney ne se destinait pas forcément à l’analyse de données en entamant son parcours dans les arts, c’est là qu’il a trouvé une carrière enrichissante. Grâce à sa formation et à son ouverture d’esprit, il démontre qu’un diplôme dans les arts peut ouvrir des possibilités professionnelles diverses et illimitées.

Microcertifications : la voie idéale pour la croissance professionnelle et personnelle

Microcertifications : la voie idéale pour la croissance professionnelle et personnelle

Le Centre d'enseignement et d'apprentissage continu de la Laurentienne offre des choix souples d'apprentissage convenant parfaitement au perfectionnement de compétences et à l'avancement de la carrière sans engagement à long terme.

22 août 2024 – L’électricité de la rentrée est dans l’air alors que les étudiants se préparent à reprendre leurs cours. La rentrée universitaire est pleine d’optimisme et d’énergie et déborde de potentiel. Pour les personnes qui souhaitent ressentir ce sentiment prometteur sans l’engagement à long terme de s’inscrire à l’université, les microcertifications et les programmes non crédités offrent un équilibre parfait.

Les microcertificats offrent aux étudiants la possibilité de développer leurs compétences et capacités dans un domaine précis. L'Université Laurentienne offre 17 cours de microcertification, en anglais et en français, allant des soins de santé aux micropousses, ouvrant des possibilités aussi diverses que les personnes qui s’y intéressent.

Titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en sciences infirmières de la Laurentienne, Christina Sckopke est responsable des programmes de microcertification et non crédités au Centre d'enseignement et d’apprentissage continu (CEAC) à l'UL.

Après 15 ans en soins infirmiers, Christina a suivi des cours de perfectionnement professionnel pour rehausser ses chances d'obtenir un rôle de direction. Elle travaille maintenant pour élargir les choix de perfectionnement professionnel de la Laurentienne, en ayant fait l’expérience elle-même, et préconise le potentiel des microcertificats pour les professionnels.

« Je crois vraiment à la valeur des microcertifications, a-t-elle affirmé, parce que je connais d’expérience leur capacité à développer les habiletés d'une personne et à lui permettre de se démarquer. Un perfectionnement professionnel comme celui-ci est un investissement en soi et démontre une volonté de réussir. »

Dans son rôle au BEAC, Christina recherche les domaines ayant des lacunes pouvant bénéficier d'une formation complémentaire et collabore avec des partenaires pour développer des cours visant à combler ces lacunes.

« Les cours s'adressent aux adultes de tous les âges, a-t-elle expliqué. Certains commencent dès 16 ans, mais cela dépend du cours. Nous avons établi une limite de 30 heures pour les cours et demandons aux apprenants de compter consacrer de deux à cinq heures par semaine aux études. Les cours sont fondés sur les compétences et accessibles, car nous reconnaissons que les apprenants ont souvent un horaire chargé. »

Les cours de Rédaction de demandes de subvention et de Doula de fin de vie à la Laurentienne sont les plus prisés par les personnes à la recherche de perfectionnement professionnel. Comme bon nombre de cours, ils sont admissibles au RAFEO, ce qui réduit pour les apprenants l'obstacle financier.

Grâce au financement récemment reçu du Fonds ontarien d'aide pour la microcertification, le CEAC compte développer trois nouveaux microcertificats pour combler les lacunes au niveau des compétences dans des secteurs prioritaires.

● Techniques appliquées de réduction des comportements

● Vieillissement urbain et conception inclusive

● La musique dans les soins du Nord

Il est possible de s’inscrire à plusieurs moments de l'année. Les personnes qui s’y intéressent peuvent s’inscrire au prochain cycle de cours ici.

Pleins feux sur la recherche

Pleins feux sur la recherche

20 août 2024 - À la Laurentienne, le corps professoral et la population étudiante continuent d’effectuer des recherches créatives et innovatrices qui repoussent les limites et font progresser la compréhension dans leurs domaines. Les étudiants font leur apprentissage auprès de professeurs qui sont enthousiasmés par leur domaine d’expertise et participent activement à de nouvelles recherches. Les trois membres ci-dessous du corps professoral ont obtenu un financement pour leur projet opportun de recherche en cours.

Roxanne Bélanger

Professeure agrégée, École d’orthophonie, Faculté d’éducation et de santé

Roxanne Bélanger, Ph.D., est la directrice de l’École d’orthophonie. Ses champs d’intérêt de recherche incluent l’incidence des facteurs de risque sur le développement de l’enfant, les troubles développementaux du langage, le dépistage précoce des enfants ayant un retard du langage et l’offre active de soins de santé dans les communautés francophones en situation minoritaire (CFSM). Elle a présenté à ce sujet à l’échelle nationale et mondiale.

En 2024, Mme Bélanger a reçu une subvention de recherche du Centre national de formation en santé volet Université Laurentienne pour son projet intitulé « Les caractéristiques de l’enseignement robuste du vocabulaire qui facilitent l’apprentissage de nouveaux mots chez les enfants francophones d’âge préscolaire ». Dans le cadre de ce projet, Mme Bélanger et sa co-chercheuse, Chantal Mayer-Crittenden, Ph.D., cherchent à mesurer l’efficacité de diverses stratégies de lecture sur l’apprentissage de nouveaux mots.

Au cours de ce projet de deux ans, elles évalueront l’emploi de différents types de stratégies afin de déterminer les conditions qui mènent à un apprentissage optimal des mots. À partir de ces conclusions, des connaissances seront générées sur le développement du vocabulaire en général, et plus particulièrement chez les francophones en situation minoritaire. Ce projet comblera une lacune empirique en informant les professionnels travaillant avec des enfants d’âge préscolaire sur les stratégies de lecture qui produisent les meilleurs résultats. De plus, des pratiques exemplaires seront créées pour permettre aux éducateurs de structurer et de façonner le développement du langage oral des enfants.

Guangdong Yang

Professeur titulaire, École des sciences naturelles, Faculté des sciences, de génie et d’architecture

Les recherches de Guangdong Yang, Ph.D., portent sur la régulation et les fonctions du sulfure d’hydrogène dans le métabolisme cellulaire et les maladies cardiovasculaires. Il s’est voué à la création d’un programme de recherche qui est reconnu sur les plans national et international. Son travail est caractérisé par des initiatives de recherche collaborative, favorisant des partenariats fructueux tant au niveau local que mondial, débouchant sur de nombreuses publications conjointes importantes et l’échange de connaissances entre disciplines.

Dans son laboratoire, les projets de recherche reçoivent un soutien continuel d’une Subvention à la découverte du CRSNG et d’une Subvention d’aide de la Fondation des maladies du cœur du Canada. En 2022, sa Subvention à la découverte a été renouvelée pour cinq ans de plus. Ce projet de recherche a apporté des contributions considérables à l’identification et à l’explication de l’importance biologique d’une nouvelle molécule signal, le sulfure d’hydrogène, dans l’organisme.

Khaled Taktek

Professeur titulaire, École d’éducation, Faculté d’éducation et de santé

Dans ses recherches, Khaled Taktek, Ph.D., s’intéresse à la psychologie pédagogique, à la psychologie cognitive et à la formation du futur personnel enseignant. Il a été nommé boursier Fulbright (2014-2015) à la United States Military Academy West Point, à New York, pour son projet de recherche intitulé « Mental Imagery Training for Peak Performance: An Efficient Strategy for Motor Skills and Performance Enhancement as Well as Cognitive Functioning Development ».

En 2024, M. Taktek a été nommé boursier Fulbright à The Citadel, The Military College of South Carolina, aux États-Unis. Grâce à cette possibilité, il enseigne à l’établissement et mène un projet de recherche à grande envergure intitulé « Transactional Analysis as an Efficient and Interactive Strategy for Communications and Peacekeeping: Practices, Trends and Challenges for International Geopolitical Conflict Resolution and Reconciliation within the Field of Peace and War Studies. ».

Une nouvelle boîte à outils sur le stress thermique aide à prévenir les blessures et les maladies des travailleurs

Une nouvelle boîte à outils sur le stress thermique aide à prévenir les blessures et les maladies des travailleurs

Les recherches de Sandra Dorman, Ph.D. visent à lutter contre le risque croissant de stress thermique, en tirant parti de la technologie portable et des stratégies de prévention

15 août 2024 - Le changement climatique accroît le risque de stress thermique et étend son impact à de nouveaux secteurs, mais la technologie portable devient un atout pour comprendre les effets de la chaleur sur le corps et élaborer des stratégies de prévention efficaces. Directrice du Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) et professeure à l’École de kinésiologie et des sciences de la santé, Sandra Dorman, Ph.D., a lancé une boîte à outils sur le stress thermique conçue pour aider les employeurs et les travailleurs à éviter le stress thermique au travail.

Les recherches de Mme Dorman portent sur la promotion de la santé et la prévention des maladies en milieu professionnel. Elle a passé l’an dernier à étudier le stress thermique et son impact considérable sur la productivité des travailleurs et la santé en général, et a utilisé cette recherche pour développer une ressource d’information complète.

Le CRSST s’est associé à Occupational Health Clinics for Ontario Workers Inc. (OHCOW) pour créer cette boîte à outils et l’offrir sur le site Web de l’OHCOW. La ressource numérique comprend des guides, des infographies, des vidéos et des calculateurs, et est offerte en anglais, en français et en espagnol.

« Bien que la chaleur puisse causer des blessures aiguës graves comme l’épuisement par la chaleur et les coups de chaleur, le stress thermique est également considéré comme une maladie professionnelle parce qu’une exposition périodique peut entraîner de graves problèmes de santé à long terme, a expliqué Mme Dorman. On estime que 220 Canadiens meurent chaque année des suites d’un stress thermique professionnel et que 15 % des travailleurs qui travaillent fréquemment dans ces conditions développent une maladie due à la chaleur, principalement une maladie rénale. Il est essentiel de disposer d’un plan de prévention des maladies liées à la chaleur, non seulement pour prévenir les blessures immédiates dues au stress thermique, mais aussi pour atténuer les risques futurs pour la santé. »

Mme Dorman a souligné que des maladies comme les maladies rénales, les lésions cérébrales et les problèmes cardiovasculaires peuvent être évitées grâce à une gestion efficace de l’exposition à la chaleur, ce qui met en évidence le rôle de la surveillance. La technologie portable, comme les capteurs corporels apparentés aux montres intelligentes, est devenue un outil de surveillance efficace, mesurant de manière fiable des marqueurs physiologiques comme la fréquence cardiaque et la température du corps approximative, entre autres variables. Le Guide de surveillance physiologique est un guide de prise de décision au sein de la boîte à outils, conçu pour aider les employeurs à choisir des produits de technologie portable afin de renforcer leur plan de prévention des maladies liées à la chaleur et d’orienter les horaires de travail et de repos de leur équipe.

« Nous avons étudié la possibilité d’utiliser ces technologies pour les emplois à haut risque comme les travailleurs des mines et les pompiers, dans le cadre du plan de prévention des maladies liées à la chaleur de l’entreprise, a déclaré Mme Dorman. Bien que leur mise en œuvre puisse être utile, ils posent également de nouveaux défis pour les travailleurs et les lieux de travail et ne sont certainement pas des solutions universelles. Cependant, avec le changement climatique, je m’attends à une adoption rapide de ces outils, car nous constatons déjà une explosion d’intérêt de la part de divers lieux de travail, y compris des lieux qui ne sont pas traditionnellement considérés comme exposés au risque de stress thermique, en particulier les travailleurs de la santé qui portent des EPI pendant des périodes prolongées et les enseignants qui doivent travailler dans des salles de classe surchauffées. »

Le CRSST a récemment renouvelé des accords de financement, ce qui permet à Mme Dorman de continuer à étudier le stress thermique pendant les trois prochaines années. Elle se réjouit à l’idée de poursuivre ses recherches sur l’efficacité de la technologie portable dans des situations réelles, par l’entremise d’essais sur le terrain et d’études en laboratoire à l’aide de la Chambre environnementale de l’Université Laurentienne.

Katherine Snazel, étudiante de deuxième cycle, est inspirée à étudier les perspectives autochtones

Katherine Snazel, étudiante de deuxième cycle, est inspirée à étudier les perspectives autochtones

« Pour moi, l’université ne consiste pas à apprendre ce que l’on veut faire, mais plutôt qui l’on veut être. »

14 août 2024 – L’étudiante adulte Katherine Snazel approche de la fin de ses études dans le programme de Master of Indigenous Relations, qui a été à la fois une quête de nouvelles connaissances et un parcours de croissance personnelle.

Ayant fait évoluer une carrière d’assistante juridique dans la région de York et manifesté un engagement de toute une vie à être entraîneuse de patinage artistique, Katherine a pris la décision de fréquenter l’université pour la première. Dans le cadre de l’entraînement, elle a eu l’idée de poursuivre ses études postsecondaires à la Laurentienne.

« L’un des patineurs avec qui je travaillais fréquentait la Laurentienne, a-t-elle expliqué, et partageait des histoires incroyables et des expériences d’apprentissage intéressantes. Cela m’a inspiré à examiner cette possibilité pour moi-même. »

À 60 ans, Katherine a commencé ses études en ligne dans le programme de Bachelor of Sociology, qui a éveillé son intérêt pour explorer davantage les cultures autochtones. Après l’obtention de son diplôme de premier cycle avec distinction, elle a décidé de poursuivre son parcours universitaire dans un programme de maîtrise et de mettre l’accent sur les perspectives autochtones. Elle décrit sa décision de faire une maîtrise comme un moment inattendu de confiance.

« Pour moi, l’université ne consiste pas à apprendre ce que l’on veut faire, mais plutôt qui l’on veut être, a-t-elle précisé. Tout au long de ma vie, j’ai continué à croître et à apprendre qui je veux être. Je considère ma maîtrise en relations autochtones comme un reflet de ce parcours. »

Katherine s’est concentrée sur la narration autochtone, examinant 14 récits autochtones de l’Île de la Tortue. Des lectures plus récentes comme Moon of the Crusted Snow de Waubgeshig Rice à The Kiss of the Fur Queen de l’auteur chevronné Thomson Highway, elle s’est plongée dans des bouquins qui ont remis en question sa compréhension occidentale. Elle souhaitait en apprendre davantage sur les perspectives autochtones grâce à la narration et développer sa perspective à « deux yeux » (c.-à-d., appliquer à la fois une perspective autochtone et occidentale pour cerner les problèmes dans l’intérêt de tout le monde). Puisqu’elle n’est pas autochtone, elle s’est rendu compte dans ses cours de premier cycle que ses études antérieures n’avaient pas pris en compte les voix autochtones, tandis que son programme d’études supérieures lui a permis d’en approfondir sa compréhension.

« Mon séjour à la Laurentienne a élargi ma réflexion dans son ensemble, ma pensée critique et ma compréhension de la justice sociale, a-t-elle affirmé. Je ne sais pas encore où ce diplôme pourrait me mener sur le plan professionnel, car, même si j’ai beaucoup d’idées et d’autres intérêts, je me concentre actuellement sur le plaisir d’apprendre. »

Katherine a aimé les cours à faible effectif à la Laurentienne, car ils lui ont permis d’établir des liens avec d’autres étudiants et les professeurs. Elle a « découvert des gens vraiment extraordinaires, jeunes et vieux, dans la communauté Laurentienne » et s’est sentie accueillie par tout le monde. Même si elle a déménagé à Sudbury pour faire ses études, elle est tombée amoureuse de la région et prévoit maintenant s’enraciner et y rester à long terme.

À l’avenir, Katherine se voit travailler à nouveau avec des jeunes, mais pour l’instant, son chemin n’est pas dessiné. Elle soutiendra sa thèse de maîtrise le 23 août 2024 et espère suivre par la suite le programme de doctorat en sciences humaines et interdisciplinarité.

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

7 août 2024 - Cet été, 22 membres de la population étudiante ont la possibilité de soutenir des projets de recherche par l’intermédiaire de l’Université Laurentienne grâce à un financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), et le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH).

Les Bourses de recherche de premier cycle (BRPC) visent à nourrir l’intérêt des étudiants de premier cycle et à développer leur potentiel pour une carrière de recherche. Ce financement leur permet d’acquérir de l’expérience de travail de recherche qui complète leurs études universitaires.

Pour une période de 16 semaines, de mai à août, les étudiants épaulent la recherche à plein temps. Ils peuvent être titulaires d’une seule BRPC par exercice financier et pourraient en détenir jusqu’à trois pendant leur carrière de premier cycle.

Bien que la possibilité de contribuer de manière significative à un projet de recherche soit souvent réservée aux étudiants des cycles supérieurs, les BRPC donnent l’occasion exceptionnelle et convoitée à ceux du premier cycle d’acquérir de l’expérience dans leur domaine d’intérêt. L’année d’études, la spécialisation et les domaines de recherche des étudiants varient, mais ils reconnaissent tous de manière semblable l’incidence positive de cette expérience sur leurs études actuelles et leurs objectifs futurs.

Tout au long de l’été, les étudiants s’exprimeront au sujet d’eux-mêmes, de leurs ambitions et intérêts et un peu sur le projet de recherche auquel ils prêtent leur soutien.

Kate Pappin

4e année du programme de biologie à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : St. Benedict Catholic Secondary School

Les sciences m’emballent et je suis ravie de parler un peu de moi et des recherches auxquelles je participe cet été. Je travaille au Centre pour la vitalité des lacs Vale avec ma superviseure Brie Edwards, Ph.D., chercheuse au ministère de l’Environnement, de la Conservation et des Parcs, qui, dans le cadre de ses fonctions, gère le programme de surveillance à long terme de plusieurs lacs endommagés par l’acide à Sudbury et dans ses alentours.

Pour aider à soutenir ce projet, mon travail consiste à recueillir des échantillons d’eau, à faire des enquêtes en soulevant la vase avec les pieds et passant un filet pour saisir des invertébrés benthiques (comme l’adorable écrevisse sur ma photo), ainsi qu’à effectuer le travail de préparation et de gestion de données qui s’y rattachent. J’ai également eu la chance de me joindre à d’autres équipes du ministère des Richesses naturelles et d’autres universités pour contribuer à un travail similaire. Je me sens très chanceuse d’occuper mon poste et, une fois que j’aurai terminé mes études de premier cycle, j’ai l’intention de faire des recherches d’études supérieures au Centre pour la vitalité des lacs Vale.

Jazmin Fergani

4e année du programme de biochimie à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Lo-Ellen Park Secondary School

Je suis reconnaissante d’avoir l’occasion d’apprendre auprès de mentors extraordinaires et d’acquérir de précieuses compétences de recherche tout en ayant un aperçu des futures possibilités de carrière. Les activités minières occupent une place importante dans l’histoire de Sudbury et, grâce à mon projet de BRPC, supervisé par Nadia Mykytczuk, Ph.D., je peux en apprendre davantage sur l’incidence de l’industrie minière sur ma communauté.

Dans le cadre de ma BRPC, mon projet à MIRARCO soutient le développement et l’optimisation de technologies de biolixiviation, répondant à la demande croissante de minéraux critiques avec des sources alternatives comme les déchets miniers. Contribuer à un projet d’une telle envergure me donne l’occasion de nouer des liens avec des personnes influentes telles que le ministre des Mines de l’Ontario, George Pirie, et le ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles du Canada, Jonathan Wilkinson.

Au cours de l’été, je suis responsable de maintenir des cultures microbiennes provenant de déchets miniers en ajustant les conditions et leur fournissant les nutriments essentiels au processus de lixiviation. En outre, je suis chargée de l’extraction de l’ADN microbien pour analyser les séquences et identifier les espèces bactériennes présentes aux différentes étapes de la réaction.

Quand je ne suis pas aux études, j’aime passer du temps au plein air avec mes amis et ma famille, que ce soit au bord du lac ou à la découverte de mon patelin de Sudbury.

McKinley Broomhead

3e année du programme en sciences de la santé à l’Université Queen’s

Ville natale : Lively, Ontario

École secondaire : Lively District Secondary School

En tant qu’adjoint de recherche au Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) à l’Université Laurentienne, mes travaux portent sur la prévention des maladies liées à la chaleur en milieu de travail grâce à l’utilisation de technologies portables. Sous la direction de Sandra Dorman, Ph.D., je participe aux projets « A Field Application of a Novel Wearable Technology as a Component of a Heat Illness Prevention Plan Amongst Wildland Firefighters » et « An Evaluation of a Novel Wearable Technology for the Prevention of Heat Strain ». Mon travail me donne l’occasion de tirer parti de l’expérience acquise en travaillant avec l’équipe de recherche OASIS et Vince DePaul, Ph.D., de l’Université Queen’s et de mes contributions au projet Markerless Motion Capture.

Dans mes études, je m’intéresse à la santé publique, mes cours préférés étant ceux qui m’aident à comprendre la santé mondiale et des populations et à élaborer des programmes de santé. Dans mes temps libres, j’aime faire des activités physiques comme l’haltérophilie, le hockey et le tennis.

Josée McDavid

4e année du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : École secondaire catholique l’Horizon

Je suis reconnaissante d’avoir l’occasion de travailler cet été sous la direction d’Alexander Moise, Ph.D., à l’EMNO. En peu de temps, j’ai pu développer diverses nouvelles compétences en matière de techniques de biologie moléculaire, allant de la culture cellulaire au clonage de petites molécules d’ADN contenant un gène précis.

Mon projet d’été porte sur le gène codant de l’enzyme rétinol saturase (RetSat). Des niveaux modifiés de RetSat ont été associés à la résistance à l’insuline, à l’auto-immunité et à la dyslipidémie chez des patients et des modèles animaux, bien que la base biochimique soit inconnue. Cette recherche vise à clarifier le rôle de la RetSat et les processus biologiques jouant un rôle dans l’adaptation à l’hypoxie.

Grâce à mon travail en tant que boursière BRPC, j’ai également des possibilités d’avancement professionnel et de réseautage avec des experts en recherche. En juin, j’ai assisté à la Conférence sur la recherche en santé dans le Nord à l’U-EMNO, où je me suis initiée davantage aux études extraordinaires menées ici dans le Nord. De plus, je suis très reconnaissante d’avoir participé à la Conférence internationale sur les rétinoïdes qui a eu lieu à Saint Paul, Minnesota en juillet, où j’ai eu l’occasion d’assister à diverses communications d’experts dans le domaine de la vitamine A.

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

1 aout 2024 - Cet été, 22 membres de la population étudiante ont la possibilité de soutenir des projets de recherche par l’intermédiaire de l’Université Laurentienne grâce à un financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), et le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH).

Les Bourses de recherche de premier cycle (BRPC) visent à nourrir l’intérêt des étudiants de premier cycle et à développer leur potentiel pour une carrière de recherche. Ce financement leur permet d’acquérir de l’expérience de travail de recherche qui complète leurs études universitaires.

Pour une période de 16 semaines, de mai à août, les étudiants épaulent la recherche à plein temps. Ils peuvent être titulaires d’une seule BRPC par exercice financier et pourraient en détenir jusqu’à trois pendant leur carrière de premier cycle.

Bien que la possibilité de contribuer de manière significative à un projet de recherche soit souvent réservée aux étudiants des cycles supérieurs, les BRPC donnent l’occasion exceptionnelle et convoitée à ceux du premier cycle d’acquérir de l’expérience dans leur domaine d’intérêt. L’année d’études, la spécialisation et les domaines de recherche des étudiants varient, mais ils reconnaissent tous de manière semblable l’incidence positive de cette expérience sur leurs études actuelles et leurs objectifs futurs.

Tout au long de l’été, les étudiants s’exprimeront au sujet d’eux-mêmes, de leurs ambitions et intérêts et un peu sur le projet de recherche auquel ils prêtent leur soutien.

Kailey Beggs

3e année du programme de baccalauréat ès sciences en kinésiologie à l’Université Laurentienne

Ville natale : Val Caron, Ontario

École secondaire : Confederation Secondary School

Cet été, grâce à ma BRPC, j’ai l’occasion de travailler au Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST). Je suis ravie d’acquérir une expérience pratique en recherche en travaillant sur de nombreux projets qui en sont tous à des stades différents. J’ai été surprise de constater que j’en apprends davantage sur les statistiques du CRSST que dans mon cours d’introduction aux statistiques (moi qui ne croyais jamais me servir à nouveau des statistiques!). À l’avenir, j’espère utiliser toutes les connaissances et compétences acquises du CRSST et dans mon programme (kinésiologie) pour poursuivre des études supérieures et faire carrière dans le secteur de la santé.

Je participe actuellement à plusieurs projets au CRSST, mais celui qui me passionne le plus est le projet « Air Quality Index (AQI) Interventions » avec Alison Godwin, Ph.D. Pour ce projet, afin d’améliorer la sensibilisation du public à la pollution de l’air et aux risques connexes pour la santé, j’étudie la manière dont les gens interagissent avec les données de l’IQA et les interprètent.

Aux études, ma matière préférée est la physiologie humaine. Il est fascinant de comprendre comment le corps fonctionne en analysant le métabolisme ou examinant les habitudes de mouvement pour prévenir les blessures et améliorer la biomécanique. À part les études, j’aime faire de la course et de l’exercice, promener mon chien Hershey et me perdre dans un bon bouquin. Je passe aussi beaucoup de temps à travailler et à faire du bénévolat.

Dulain Abeyratne

4e année du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Lockerby Composite School

Il s’agit de mon deuxième été à faire de la recherche sous la supervision de Stefan Siemann, Ph.D. Je prête actuellement mon appui à un projet qui porte sur les effets de l’échange de métaux et de l’élimination du zinc d’un groupe d’enzymes contenant des métaux. Plus précisément, nous étudions l’incidence de cet échange sur l’activité enzymatique. Mon poste d’adjoint de recherche me permet non seulement d’acquérir une expérience pratique en laboratoire, mais éveille également mon intérêt pour la recherche. J’espère poursuivre une carrière en médecine et suis convaincu que les compétences que j’ai acquises grâce à cette possibilité de BRPC auront une incidence positive sur l’atteinte de mes objectifs.

Dans mon temps libre, j’aime faire de la course, jouer au basket-ball et passer du temps avec mes amis et ma famille. Je fais également du bénévolat auprès de divers organismes, tels que le YMCA du nord-est de l’Ontario et le Centre de soins continus St. Joseph.

Olivia Norman

4e année du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Ottawa, Ontario

École secondaire : Glebe Collegiate Institute

Originaire d’Ottawa, j’ai été attirée à la Laurentienne en raison de son équipe interuniversitaire de ski nordique, de l’incroyable accès au plein air et des cours à faible effectif. Puisque l’UL est relativement petite, les étudiants de premier cycle profitent d’une plus grande expérience en laboratoire que celle souvent offerte dans les grands établissements. J’ai eu l’occasion d’acquérir des compétences fondamentales que j’ai pu appliquer à la recherche dans un laboratoire professionnel.

Cet été, j’ai reçu une BRPC qui m’a donné l’occasion de travailler au laboratoire de recherche biomédicale de l’EMNO à Sudbury. Sous la codirection d’Alain Simard, Ph.D. et de Suji Tharmalingam, Ph.D., j’examine la génétique qui sous-tend la fonction des récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine (nAChR) dans le corps humain. Les nAChR sont présents dans de nombreux types de cellules du corps, y compris les cellules immunitaires. En m’appuyant sur les recherches antérieures de M. Simard et de son équipe, j’espère en apprendre davantage sur la participation des nAChR à la réponse inflammatoire déclenchée par le système immunitaire.

Camden Babin

3e année du programme de génie logiciel à l’Université de l’Alberta

Ville natale : Hanmer, Ontario

École secondaire : Bishop Alexander Carter C.S.S.

Avant mes études à l’Université de l’Alberta, j’avais un vif intérêt pour tous les domaines des STIM sans savoir où cela me mènerait. Ce n’est que lors de mon cours de programmation générale de première année que j’ai découvert ma passion pour l’informatique en génie. Ayant l’occasion de travailler au CRSST à l’UL cet été, je m’intéresse surtout à l’exposition à l’utilisation d’appareils microélectroniques dans les domaines de la recherche, et de la santé et de la sécurité au travail. Jusqu’à présent, j’ai vu comment de tels appareils, notamment les accéléromètres et les capteurs peu coûteux de l’indice de qualité de l’air, communiquent avec des systèmes informatiques plus importants pour recueillir, entreposer et traiter les données de façon sécuritaire. J’ai hâte d’en apprendre davantage sur le processus de recherche et les pratiques fondées sur la recherche, ainsi que la manière dont ils sont liés à divers processus d’ingénierie.

Cet été, je travaille sur un projet qui facilite la participation de la communauté avec des outils de qualité de l’air local pour aider à la prise de décisions en matière de santé, et je profiterai de toutes les occasions pour contribuer à l’aspect technologique d’autres projets. Je pense que ce qui lie le génie, la recherche et la santé et la sécurité au travail est notre volonté commune de résoudre des problèmes et d’améliorer la qualité de vie des autres. Au CRSST, j’ai hâte de mettre à profit ma passion pour explorer le chevauchement de la technologie et de la santé et de la sécurité au travail, en contribuant à des projets qui améliorent notre communauté grâce à des recherches innovatrices.

L’ancien de l’Université Laurentienne, Lance Cryderman, se prépare aux Jeux paralympiques de Paris 2024

L’ancien de l’Université Laurentienne, Lance Cryderman, se prépare aux Jeux paralympiques de Paris 2024

Le conseiller en accessibilité est un modèle exceptionnel

25 juillet 2024 – Diplômé et employé de l’Université Laurentienne, Lance Cryderman se prépare aux Jeux paralympiques d’été de Paris 2024. Il s’agit pour lui du point culminant d’un cheminement de six ans marqué de détermination et de dévouement alors qu’il gère les exigences rigoureuses de l’entraînement et de la compétition parallèlement à ses responsabilités à la maison et au travail.

Lorsqu’il fréquentait la Lockerby Composite School, Lance a commencé à jouer à la boccia, mais ce n’est qu’après ses études secondaires qu’il y a participé sur le plan professionnel.

Après quelques années, il a pris un congé pour se concentrer sur ses études postsecondaires et fonder une famille. Il a obtenu un baccalauréat en psychologie et une maîtrise en administration des affaires à la Laurentienne, où il est depuis six ans un conseiller en accessibilité. Depuis à peu près le même temps, il est revenu à la boccia, abordant la compétition avec sérieux et s’élevant rapidement au niveau international.

Lorsqu’il est revenu au sport en 2017, il savait qu’il ne serait pas prêt pour les Jeux de Tokyo 2020, et a fixé ses aspirations plutôt sur Paris 2024. Lance s’est effectivement qualifié pour la catégorie BC 1 de boccia masculine individuelle.

« Les Jeux paralympiques constituent l’apogée du sport pour tout joueur de boccia qui fait concurrence sur le plan mondial, a-t-il expliqué. La préparation est intense, mais cela en vaut vraiment la peine et je suis incroyablement fier d’y représenter le Canada. »

Toutes les semaines, Lance passe de 10 à 12 heures à perfectionner ses compétences sur le terrain et à l’extérieur de celui-ci. Son programme d’entraînement rigoureux comprend une préparation mentale avec un psychologue du sport, des séances stratégiques avec son entraîneur, une analyse méticuleuse des séquences de match et au moins huit heures de lancer par semaine.

Équilibrer ces exigences avec ses responsabilités professionnelles et engagements familiaux a été un défi, mais Lance a réussi grâce à son système de soutien inébranlable, qu’il appelle affectueusement son « armée du succès ». Cette troupe comprend ses partenaires d’entraînement et de performance, son entraîneur, ainsi que ses amis, sa famille, ses collègues et sa femme Danielle, dont le soutien et la participation aux décisions sont inestimables.

« Concilier le travail, la famille et la boccia est exigeant, a expliqué Lance, et je suis reconnaissant que tout le monde dans ma vie me soutient énormément. Mes collègues sont heureux de me voir réussir et apporteront leur soutien à mes étudiants pendant cette période cruciale de mon absence. Leur encouragement et leur collaboration constituent un exemple puissant pour les étudiants avec qui nous travaillons. »

Lance espère revenir de Paris 2024 avec la médaille d’or. Après cela, il n’est pas sûr de ce que lui réserve l’avenir et garde l’esprit ouvert aux possibilités. Son objectif principal sera toujours d’inspirer les autres à pourchasser leurs rêves et croit que son propre parcours témoigne du pouvoir de la persévérance et du soutien pour l’atteinte de buts. « Si je suis capable de faire tout cela, affirme-t-il, qu’est-ce qui vous en empêche? »

Alors que Lance se rend à Paris pour représenter le Canada, son récit témoigne d’un véritable tour de force de communauté, d’enthousiasme et de travail acharné.

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