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Rob et Cheryl McEwen investissent 10 000 000 $ dans l’École d’architecture à l’Université Laurentienne

Rob et Cheryl McEwen investissent 10 000 000 $ dans l’École d’architecture à l’Université Laurentienne

L’École d’architecture de l’Université Laurentienne sera dorénavant connue comme l’École d’architecture McEwen

En reconnaissance d’un investissement considérable de Rob et de Cheryl McEwen, l’École d’architecture de l’Université Laurentienne sera dorénavant connue comme l’École d’architecture McEwen. Une bannière en bleu et or portant le nom McEwen a été déployée aujourd’hui à l’extérieur de l’École au centre-ville de Sudbury pendant que le couple annonçait son don de 10 000 000 $. De cette somme, 4 000 000 $ serviront au parachèvement des installations de pointe de l’École estimées à 45 000 000 $, tandis que les 6 000 000 $ restants permettront d’améliorer l’expérience étudiante et optimiseront leur capacité à devenir des agents du changement dans le domaine de l’architecture au plan mondial.


« Nous sommes vraiment ravis et fiers d’investir dans l’École d’architecture de la Laurentienne, a affirmé M. Rob McEwen. L’accent qu’elle met sur les conceptions vertes et durables, enracinées dans les paysages et collectivités du Nord, ouvre des possibilités exceptionnelles à la prochaine génération d’architectes. Jeune de trois ans, l’École fait déjà constater son incidence sur les communautés du Nord et nous nous réjouissons à la perspective des innovations en conception de ses jeunes leaders et de l’excellence dont ils feront preuve dans les années à venir. »

 

« Nous sommes extrêmement reconnaissants à la famille McEwen de ce don transformateur, a indiqué M. Terrance Galvin, Ph.D., directeur-fondateur de l’École d’architecture. Cet investissement nous permettra de concrétiser notre vision qui est d’élaborer un programme exceptionnel à la fine pointe de l’architecture dont les diplômés apporteront des contributions au développement tant culturel que socioéconomique dans les régions plus au nord du Canada et du monde. En raison de sa vision et de son enthousiasme, Rob sera un excellent mentor pour nos étudiants. »

M. McEwen jouit d’une excellente réputation en tant que visionnaire de l’industrie minière et philanthrope. À la suite d’une brillante carrière dans les services financiers et en gestion de placements, il est devenu l’un des principaux dirigeants de l’industrie minière au Canada. Il est fondateur de Goldcorp Inc., qu’il a fait croître de petite société avec capitalisation boursière de 50 000 000 $ à joueur mondial de plus de 10 milliards de dollars. Il est actuellement président et propriétaire principal de McEwen Mining Inc. (MUX à NYSE et TSX), et de Lexam VG Gold Inc. (LEX à TSX), qui cherche et extrait de l’or, de l’argent et du cuivre au Canada, aux États-Unis, au Mexique et en Argentine. Parmi les prix qu’a reçus M. McEwen, il faut souligner le Prix de l’homme de l’année 2003 de Northern Miners et le Prix pour PDG le plus innovateur en 2006 du magazine Canadian Business. Il a été nommé à l’Ordre du Canada en 2007. Rob et sa femme, Cheryl, favorisent ardemment l’innovation et l’excellence en matière d’éducation et de soins de santé, ayant fait don de plus de 50 000 000 $ pour mener à bien ces objectifs. Cheryl est vice-présidente de la Fondation UHN Toronto General & Western Hospital, et présidente de « Make my Day Foods » et s’affaire actuellement à fonder le Centre McEwen de médecine régénératrice.

« Nous avons l’honneur d’accepter des McEwen ce généreux investissement dans notre École d’architecture, a dit M. Steve Paikin, chancelier de l’Université Laurentienne, et sommes fiers de voir associer l’École à Rob et à sa famille. » « Il s’agit d’un geste bienveillant à l’appui de notre école et de notre population étudiante, a ajouté le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux, et nous croyons que cela témoigne de l’élan et de la reconnaissance mondiale dont jouit de plus en plus notre université. »

L’École d’architecture a accueilli sa première cohorte en septembre 2013 et lancera son programme de maîtrise en architecture en 2017.

 

 

 

Au sujet de l’École d’architecture McEwen

L’École d’architecture McEwen de la Laurentienne est la première au Canada depuis 45 ans. Elle est aussi la première en son genre dans le nord de l’Ontario et la première au Canada à l’extérieur du Québec à offrir des cours en français. L’École McEwen fournit une expérience immersive d’études qui transmet le besoin inhérent de marier l’expertise technique à la compréhension exhaustive de l’esprit des paysages et des gens qui les habitent afin de concevoir des édifices réfléchis, durables et pratiques. En trois ans, les étudiants ont déjà gagné de nombreux prix nationaux et internationaux, y compris la première place au Festival international du bois à Bergen, en Norvège, en mai 2016.

Cette 12e école d’architecture au Canada permet aux étudiants du Nord d’étudier l’architecture dans leur région et incite les diplômés à s’installer dans le Nord afin de faire partie de la collectivité croissante de la conception. L’École McEwen sera reconnue pour ses recherches et conceptions en bois, ses recherches en architecture autochtone et son expertise d’étude du bassin de Sudbury comme source pour la conception.

L’École McEwen est hébergée dans un magnifique nouveau complexe de 45 000 000 $ au centre-ville de Sudbury, conçu par LGA Architectural Partners. Elle occupe une superficie de 77 000 pieds carrés dans deux édifices centenaires réaménagés qui appartenaient auparavant à CP Rail et à CP Telegraph, et comptera un nouvel édifice de 52 000 pieds carrés qui sera inauguré à l’automne et qui accueillera quelque 260 étudiants. Le programme en architecture est hautement concurrentiel et, d’ici 2018, verra augmenter les inscriptions à 400 étudiants, avec un effectif de 25 membres du corps professoral et du personnel.

L'Ontario appuie la recherche géoscientifique

L'Ontario appuie la recherche géoscientifique

Une initiative aidera à stimuler l’exploitation des minéraux dans le Nord de l’Ontario

L'Ontario appuie une proposition de recherche avant-gardiste qui aidera à produire de futures innovations dans le secteur minier et à créer des emplois dans le Nord.

La Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l'Ontario (SGFPNO) établie par la province investit cinq millions de dollars sur une période de sept ans pour appuyer l'Université Laurentienne et sa proposition visant la création d'un consortium de recherche pour mieux comprendre comment les gisements de métaux communs et précieux se sont formés et où ils se sont formés. Cette recherche pourrait aboutir à un taux accru de succès relativement à la découverte de corps minéralisés aux fins d'exploitation minière future.

Depuis 2003, l'Ontario a engagé par l'entremise de la SGFPNO des fonds totalisant plus de 1,1 milliard de dollars à l'appui de plus de 7 463 projets, produisant pour plus de 3,97 milliards de dollars d'activité économique directe et contribuant à créer et à soutenir plus de 28 100 emplois dans le Nord de l'Ontario.

Investir dans la recherche et l'innovation s'inscrit dans le plan économique du gouvernement, qui vise à favoriser l'essor de l'Ontario et à concrétiser sa principale priorité, à savoir stimuler l'économie et créer des emplois. Ce plan en quatre volets consiste notamment à aider plus de gens à obtenir et à créer les emplois de l'avenir en élargissant l'accès à des études collégiales et universitaires de haute qualité. De plus, le plan fait le plus important investissement dans l'infrastructure publique de l'histoire de l'Ontario et investit dans une économie sobre en carbone guidée par des entreprises innovatrices, à forte croissance et axées sur l'exportation. Enfin, le plan aide la population ontarienne active à bénéficier d'une retraite plus sûre.

Citations

« L’innovation à l’Université Laurentienne et dans le secteur des minéraux renommé de Sudbury s’impose pour maintenir la réputation de l’Ontario comme région minière de premier rang. Continuer d’investir dans les initiatives de recherche et d’innovation comme celle-ci à Sudbury aidera à faire croître l’économie et à créer des emplois dans toutes les collectivités du Nord de l’Ontario. »

-Glenn Thibeault, député de Sudbury

 

« La capacité de l’Ontario de concurrencer mondialement dans le secteur minier dépend de sa capacité de bien faire valoir ses atouts sur les plans de la recherche et de l’innovation. Le consortium de recherche de l’Université Laurentienne appuie la Stratégie ontarienne d’exploitation des minéraux renouvelée qui dresse un plan d’action pour veiller à ce que l’Ontario demeure un chef de file mondial dans le secteur de l’exploitation des minéraux pendant de nombreuses années. »

- Michael Gravelle, ministre du Développement du Nord et des Mines et président de la SGFPNO

« L’Université Laurentienne propose de diriger un consortium de chercheurs canadiens d’établissements universitaires et de centres canadiens et internationaux de recherche, du palier gouvernemental et de l’industrie pour faire du Canada un chef de file mondial de la recherche sur les vastes richesses en métaux et ainsi créer de nouveaux débouchés dans le secteur minier. »

-M. Rui Wang, vice-recteur à la recherche, Université Laurentienne

 

Faits en bref

  • Depuis 2003, la SGFPNO a investi des fonds totalisant 211 millions de dollars dans 1 210 projets qui ont aidé à créer et à soutenir plus de 3 800 emplois dans la région de Sudbury.

  • Les investissements à l’appui de projets stratégiques de rercherche appliquée font partie intégrante du Plan de croissance du Nord de l’Ontario [pdf], une initiative du gouvernement de l’Ontario.

  • La province est en bonne voie d’équilibrer son budget l’an prochain, en 2017-2018, ce qui continuera aussi à diminuer son ratio dette-PIB.

  • L’Université Laurentienne se classe au premier rang au Canada au chapitre du financement accordé par le Conseil de recherche en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) dans les domaines de la géologie économique et de la géophysique appliquée, et au premier rang en Ontario aux chapitres de l’exploitation minière et du traitement des minerais.

La Laurentienne célèbre l'inauguration du nouveau Centre d’apprentissage des cadres

La Laurentienne célèbre l'inauguration du nouveau Centre d’apprentissage des cadres

D’importantes contributions de donateurs ont appuyé ces installations de pointe

27 juin 2016 – Aujourd’hui, on a coupé le ruban symbolique et célébré l’inauguration du nouveau Centre d’apprentissage des cadres à l’Université Laurentienne.

 

Dans ces installations de pointe d’un montant de 3 100 000 $ et  construites récemment au troisième étage de l’édifice Fraser du campus, il y a un amphithéâtre multimédia avec un salon et cinq salles de séminaire ayant les dernières technologies de présentation et de communication.

 

Le Centre d’apprentissage des cadres (CAC) servira aux programmes et ateliers offerts par la Faculté de gestion et l’École des mines Goodman de la Laurentienne. L’amphithéâtre à gradins peut accueillir 68 personnes, ainsi que des étudiants à distance grâce aux technologies dont il est doté. En outre, toutes les assemblées ordinaires du Conseil des gouverneurs et du Sénat de l’Université se dérouleront dans le CAC.

 

La création du Centre d’apprentissage des cadres a été rendue possible grâce à d’importantes contributions de donateurs clés, dont BMO (250 000 $), Paul Parisotto (100 000 $) ainsi que Don et Jackie Rastall (100 000 $).

 

« Comme fier diplômé de l’Université Laurentienne je me réjouis d’être en mesure de financer la création de ces installations exceptionnelles, a indiqué M. Paul Parisotto (B.A. en science économique 1983), président de Noront Resources Ltd et PDG de Coniston Investment Corp et membre du Conseil consultatif international de l’École des mines Goodman. Ce centre sera, pour les cadres, le pôle de la formation et de l’acquisition continue du savoir à la Laurentienne. »

 

« Ce centre remarquable est l’un des fleurons de la transformation de notre campus et l’Université tout comme la communauté s’en enorgueilliront, a dit le recteur et vice-chancelier de la Laurentienne, M. Dominic Giroux. Il n’aurait pas vu le jour sans l’appui de généreux donateurs qui partagent notre vision. Nous les remercions vivement de leur investissement. »

 

Le Centre d’apprentissage des cadres s’insère dans le projet de modernisation du campus de la Laurentienne, estimé à 63 000 000 $, investissement historique dans les espaces et installations à l’intention de la population étudiante.

L'Université Laurentienne obtient l'agrément international de ses programmes de gestion

L'Université Laurentienne obtient l'agrément international de ses programmes de gestion

L'Université Laurentienne a reçu l'agrément international EPAS pour le programme de baccalauréat en administration des affaires, offert sur le campus, ainsi que le baccalauréat en commerce, administration des sports.

22 JUIN 2016 – L’Université Laurentienne a reçu l’agrément international EPAS pour le programme de baccalauréat en administration des affaires, offert sur le campus, ainsi que le baccalauréat en commerce, administration des sports, le seul programme d’affaires au Canada menant à un diplôme dans ce domaine. Depuis mai 2016, 98 programmes d’études en administration des affaires, offerts par 72 universités dans 33 pays, principalement en Europe, jouissent de l’agrément EPAS.

 

Mis en œuvre par l’European Foundation for Management Development (EFMD), EPAS, un système d’agrément international de programmes d’études, évalue aux fins d’agrément la qualité des programmes de gestion dont la perspective internationale est en adéquation avec leur qualité élevée.

 

« L’agrément EPAS de nos programmes de premier cycle en administration des affaires constitue un jalon important pour la Faculté de gestion au regard de notre engagement envers l’excellence dans la formation de dirigeants d’entreprise socialement responsables à l’échelle mondiale, a expliqué le doyen de la Faculté de gestion, M. Stephen Havlovic, Ph.D. Elle est manifestement une assurance de la qualité pour les étudiants actuels et futurs, de même que pour les diplômés et les employeurs. Étant un établissement bilingue dans un secteur d’enseignement supérieur très compétitif, il nous importe de voir reconnaître sur le plan mondial l’excellence de nos programmes. »

 

Une décision a été prise à la suite d’un processus de trois ans dont le point culminant a été une visite de la Laurentienne en mars par l’équipe d’examen par les pairs, formée de leaders de renommée mondiale dans le milieu des programmes d’études commerciales du Maroc, du Royaume-Uni et de la France. Le processus a consisté à examiner en profondeur les deux programmes par rapport à une grille d’évaluation rigoureuse constituée de 25 normes universitaires et de 56 normes relatives aux niveaux du programme.

 

« Nous sommes très fiers que la Faculté de gestion de la Laurentienne ait reçu l’agrément EPAS qui la distingue vraiment des autres écoles de commerce dans le monde entier, a commenté M. Tom Blake, un diplômé de l’UL, président de Sprout Wellness Solutions et président du Conseil consultatif externe du doyen. Le processus d’agrément était une occasion exceptionnelle d’auto-réflexion, d’analyse comparative et d’amélioration continue. Les étudiants sont les premiers à profiter de ce nouvel agrément international. »

 

La Faculté de gestion compte 1 921 étudiants, dont 213 aux cycles supérieurs. Les inscriptions ont augmenté de 16 % au cours des trois dernières années seulement. Le baccalauréat en administration des affaires de la Laurentienne est offert sur le campus, en anglais et français, et en ligne en anglais seulement, et les étudiants y sont inscrits à plein temps et à temps partiel. Ils peuvent choisir leurs cours parmi un large éventail d’options que proposent les programmes, notamment la comptabilité, l’entrepreneuriat, les finances, la gestion des ressources humaines, la gestion internationale, le marketing et la gestion des opérations. Des possibilités de stage et d’enseignement coopératif sont également offertes.

 

« S’assurer de l’agrément international est, pour la Faculté de gestion, mission accomplie comme le veut le Plan stratégique 2012-2017 de l’Université, a conclu le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux. Je suis très fier des collègues qui ont travaillé sans relâche au cours des trois dernières années pour obtenir cette reconnaissance mondiale. Avec de nouvelles salles de classe, un Centre d’apprentissage pour cadres à la fine pointe de la technologie, une nouvelle structure départementale, de nouvelles offres de programmes à tous les cycles, des professeurs nouvellement embauchés, et maintenant ce nouvel agrément international prestigieux, la Faculté de gestion a certainement le vent en poupe. »

Nouvelle école d'innovation universitaire dans le Nord de l'Ontario

Nouvelle école d'innovation universitaire dans le Nord de l'Ontario

L’Université Laurentienne et le CSPGNO renforcent les services et le continuum d’études en langue française.

14 juin 2016 – Le Conseil scolaire public du Grand Nord de l’Ontario (CSPGNO) et l’Université Laurentienne annoncent aujourd’hui la création d’une école d’innovation universitaire située à l’École publique Jeanne-Sauvé, dans la Ville du Grand Sudbury.

 

Dès septembre 2016, cette école d’innovation universitaire sera un espace où professeurs et étudiants de l’Université Laurentienne mèneront des activités visant à :

  1. mettre en œuvre diverses initiatives de recherche proposées par la Laurentienne et le CSPGNO;
  2. faciliter la formation des étudiants de la Laurentienne et du personnel du CSPGNO;
  3. mettre en place des projets d’intervention menés sur le site de l’École publique Jeanne-Sauvé;
  4. diffuser à la communauté scolaire le résultat des projets et travaux de recherche entrepris.    

 

L’école d’innovation universitaire bénéficiera de nombreuses expertises fournies par les professeurs et étudiants de l’Université Laurentienne dans les domaines suivants : l’activité physique, l’éducation, l’orthophonie, les sciences infirmières et le service social.

 

Citations

« Cette nouvelle collaboration entre le Conseil scolaire public du Grand Nord de l’Ontario et l’Université Laurentienne améliore les services offerts à nos élèves et les sensibilise davantage aux possibilités qu’ils ont de poursuivre leurs études postsecondaires en français. »

Marc Gauthier, directeur de l’éducation, Conseil scolaire public du Grand Nord de l’Ontario   

 

« La mise sur pied de cette nouvelle école d’innovation universitaire permet aux étudiants de plusieurs  programmes offerts en français à l’Université Laurentienne d’obtenir une expérience communautaire supplémentaire qui bonifie leur formation tout en augmentant leurs compétences collaboratives et interdisciplinaires. »

Dominic Giroux, recteur et vice-chancelier, Université Laurentienne

La Laurentienne renforce le leadership en matière de formation autochtone en améliorant les cours offerts

La Laurentienne renforce le leadership en matière de formation autochtone en améliorant les cours offerts

À compter de septembre 2017, on ajoutera six crédits de cours à contenu autochtone aux exigences du baccalauréat ès arts.

May 26, 2016 - Laurentian University has announced new requirements affecting the structure and content of its degree programs of Arts. As of September 2017, we will add six credits of Aboriginal content requirements of the BA to promote understanding of the history, cultures and indigenous realities in Canada.

 

"Laurentian University is central to Aboriginal education in northern Ontario and takes its role in the reconciliation process, said the Associate Vice-President for education and indigenous programs, Sheila Shore Meek, PhD Laurentian is a business-oriented culture that warmly welcomes Aboriginal students and opens the way to thought and indigenous cultures for members of the student body and faculty from diverse backgrounds. "

 

Laurentian is committed to strengthening its leadership in Aboriginal training modernizing curricula to reflect the history and indigenous realities and promote enriching intercultural contacts between Aboriginal students and immigrants. "We now offer hundreds of courses that include more than 50% of Aboriginal content, added Ms Coté-Meek, and currently developing others. "

 

The Faculty of Arts from Laurentian University has a stronger critical mass of Aboriginal faculty members with tenure or holding a position leading to tenure. Recently, Laurentian has undertaken the construction of the Centre for Indigenous Sharing and Learning, physical representation of its commitment to Aboriginal education. The center will be a space in which academics, students and community members can participate in the social sciences and humanities research projects and strengthening innovative capacity in support of Aboriginal communities. In accordance with the calls to action of the Truth and Reconciliation Commission, the Centre serve as a platform for "promoting understanding of reconciliation".

 

"We are proud of the great work done by the Faculty of Arts to integrate Aboriginal content in its programs and courses, expressed the vice-president academic, Robert Kerr. The new requirement approved by the Senate will ensure that more people graduating from Laurentian have a good understanding of the history and native cultures. "

Six éminents Canadiens recevront un titre honorifique

Six éminents Canadiens recevront un titre honorifique

Une juge en chef du Canada et le premier dirigeant d’Anglo American figurent parmi les lauréats

26 mai 2016 – Six éminents Canadiens des domaines du droit, des mines, du génie, du journalisme, de l’éducation et de l’action sociale recevront un doctorat honorifique de l’Université Laurentienne pendant les cérémonies de collation des grades du printemps 2016 à Sudbury et à Barrie.

 

Parmi les lauréats de titres honorifiques, il faut souligner la juge en chef Beverley McLachlin (31 mai, à 10 h) et Mme Suzanne Tessier, première diplômée de l’École de génie de l’Université Laurentienne.

 

« Nous avons le privilège de rendre hommage à ces Canadiens et Canadiennes qui donnent l’exemple dans leur domaine respectif, a dit le chancelier de l’Université Laurentienne, M. Steve Paikin. Nous sommes fiers de célébrer chacune de ces personnes qui sont une source d’inspiration et d’enrichissement pour tant d’autres. »

 

Voici la liste complète des lauréats et lauréates de doctorats honorifiques :

La très honorable Beverley McLachlin, C.P. (31 mai, à 10 h, à Sudbury, ON)

Née et élevée à Pincher Creek, en Alberta, la très honorable Beverley McLachlin est la 17e juge en chef de la Cour suprême du Canada et continue d’exercer ces fonctions. Nommée le 7 janvier 2000, elle est la première femme à accéder à ce poste, où elle a acquis les plus longs états de service de l’histoire canadienne. Mme McLachlin préside aussi le Conseil canadien de la magistrature, le Conseil consultatif de l’Ordre du Canada et le conseil d’administration de l’Institut national de la magistrature.

 

Mark Cutifani (1er juin, à 14 h 30, à Sudbury, ON)

Champion de la sécurité au travail dans le secteur minier, M. Mark Cutifani est premier dirigeant d’Anglo American, l’une des plus grandes sociétés minières du monde. Il siège au conseil d’administration et au comité de gestion du groupe, est administrateur non dirigeant d’Anglo American Platinum et président d’Anglo American South Africa (AASA) et de De Beers. Il a aussi été chef de l’exploitation pour les activités mondiales de nickel d’Inco et de Vale.

 

Suzanne Tessier (1er juin, à 19 h, à Sudbury, ON)

Originaire de Sudbury, Mme Suzanne Tessier est la première diplômée de l’École de génie de l’Université Laurentienne (B.Eng. 1979), et elle est membre du conseil consultatif de l’École de génie Bharti.  L’une de ses grandes passions est d’encourager les filles et femmes à considérer la science et l’ingénierie comme des voies de carrière, une passion qui l’a conduite aussi à les initier à la possibilité d’une carrière en génie et à encadrer de nouvelles ingénieures dans l’industrie minière. En 2014, elle a été élue au Conseil d’administration de l’Ontario Society of Professional Engineers (OSPE).

 

André Picard (2 juin, à 10 h, à Sudbury, ON)

Journaliste de la santé publique pour The Globe and Mail, M. André Picard, par ses travaux, a mis en lumière la politique en matière de santé au Canada. Considéré comme une référence dans ce domaine au pays, il a publié des articles entre autres sur le traitement des victimes de la thalidomide et le nombre de morts se rattachant à l’amiante. Il est l’auteur de succès de librairie et le lauréat du Prix Michener pour l’excellence en journalisme d’intérêt public, du Prix pour la recherche sur les politiques au Canada et de la bourse Atkinson en politique publique.

 

Charles E. Pascal, Ph.D. (2 juin, à 14 h 30, à Sudbury, ON)

M. Charles Pascal, Ph.D., est éducateur canadien ayant une expertise en éducation préscolaire et enseignement supérieur, politique publique et développement du leadership. En 2007, il a été nommé conseiller spécial en apprentissage des jeunes enfants et son rapport innovateur, intitulé Dans l’optique de notre meilleur avenir : Mise en œuvre de l’apprentissage des jeunes enfants en Ontario, publié en juin 2009, a éclairé la politique et la pratique en la matière tant au Canada qu’à l’extérieur du pays. Il préside le Conseil ontarien des affaires collégiales pour les collèges des arts appliqués et de technologies et a été occupé plusieurs postes de sous-ministre en Ontario, y compris au Conseil du premier ministre sur la santé, le bien-être et la justice sociale.

 

Joseph Roberts (23 juin, à 14 h, à Barrie, ON)

M. Joseph Roberts participe à l’action sociale et est auteur, conférencier motivateur et PDG. Né et élevé à Barrie, il a surmonté des difficultés personnelles touchant la dépendance, la pauvreté et le sans-abrisme. Après avoir participé à un programme de traitement intensif d’alcoolisme et de toxicomanie, il a créé une fondation vouée à la prévention de l’usage de la drogue chez les adolescents et, en qualité de conférencier motivateur, s’est adressé à des milliers de jeunes personnes. Il dirige actuellement une campagne pour mettre fin au sans-abrisme parmi les jeunes. Le magazine Macleans l’a nommé à son Honour Roll en 2003 et plusieurs prix lui ont été décernés pour souligner son service public. 

L'équipe d'Architecture Laurentienne remporte la première place au Festival International du bois de Bergen en Norvège

L'équipe d'Architecture Laurentienne remporte la première place au Festival International du bois de Bergen en Norvège

Le Festival international du bois de Bergen est un concours mondial bisannuel axé sur l’emploi du bois.

May 18, 2016 - Laurentian University is very proud of the members of the student body and faculty of the School of Architecture who recently won the gold medal at an international competition held in Bergen, Norway.

The Bergen International Festival of wood is a biennial global competition focused on the use of wood highlighting its constructive, structural and tactile properties. This year, 20 teams of designers, architects, artists and students from around the world have created installations on the theme of "green transition" in Bergen Park. These installations will be on display for a year and residents of the city have the opportunity to visit them.

Members of both teams were Laurentian Architecture: Matt Hunter, Mary Jankovich, Marina Schwellnus, Derrick Pilon, Angela Perdue and Henry Dyck. The Derrick team, Angela and Henry was ranked in first place thanks to its hexagonal design that adapted to the site. A hundred hexagons were built using a versatile template.

The UL architecture professor, Tammy Gaber, Ph.D., led the study trip a week in Scandinavia and the teams participating in international timber Festival, who were also accompanied by Randy Kober, Professor of architecture at UL.

"This educational trip to Scandinavia and this contest wooden design are excellent opportunities to teach design, Ms. Gaber said. If our week in Bergen has been successful is because of the cooperation of students, their work ethic in this new environment and the conversations we had about wood design with artists, architects, carpenters students and the world. Since our students were the youngest participants, obtaining this award is very impressive and reinforces the hope and the latent possibilities of design issues. I am very proud of our teams and greatly pleased to have had the opportunity to lead this trip.

Before going to Norway, teams of Laurentian and Ms. Gaber spent a few days studying the main buildings and sites in Iceland. They will continue their journey by visiting key buildings in Norway and then go to Finland.

Le professeur de Marketing Luc Lagrandeur gagne le prix national Enactus 2016 en tant que professeur conseiller

Le professeur de Marketing Luc Lagrandeur gagne le prix national Enactus 2016 en tant que professeur conseiller

Toronto -  L’équipe étudiante Enactus-Laurentienne reconnue par le prix SPIRIT. Cette équipe avait déjà gagné 3 prix IMPACT lors de la compétition régionale de l’Est Canadien pour des projets exécutés chez les Premières Nations, notamment Moose Factory et Moosonee.

Les recherches en santé et sécurité du CRSST vont de l'avant grâce à de nouvelles subventions de $1.2M

Les recherches en santé et sécurité du CRSST vont de l'avant grâce à de nouvelles subventions de $1.2M

Le Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail à la Laurentienne créera un laboratoire mobile

LE 29 AVRIL 2016 - Aujourd’hui, le Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) à l’Université Laurentienne célèbre le lancement de deux nouvelles initiatives pionnières qui verront le jour grâce à de nouvelles subventions de recherche totalisant 1 200 000 $.

 

Le CRSST a reçu 550 000 $ pour l’achat et l’approvisionnement d’un laboratoire mobile, à savoir une remorque personnalisée de 32 pieds facilitant des recherches continues sur la santé et la sécurité au travail. Ce laboratoire (CRSST-M) permettra aux chercheurs de se rendre auprès des collectivités et des travailleurs normalement exclus des recherches à ce sujet. Le CRSST-M et ses instruments portables ouvriront la possibilité de faire des recherches sur le terrain dans de nombreux domaines comme les troubles musculosquelettiques, l’ergonomie touchant l’équipement mobile, les vibrations, la qualité de l’air, la gestion de la fatigue et la santé mentale.

 

« Ce laboratoire mobile permettra aux travailleurs du Nord d’apporter une contribution directe à d’importantes recherches en santé et sécurité au travail, a dit M. Leo Gerard, président international du Syndicat des métallos et président du Conseil consultatif du CRSST. Cette approche innovatrice apporte les installations de recherche aux travailleurs, dans leur collectivité et sur leur chantier, leur donnant la chance de prendre une part active à l’amélioration de leur milieu de travail. »

 

Le CRSST a aussi reçu près de 200 000 $ pour la construction d’un simulateur de milieu de travail, ce qui permettra aux chercheurs de recréer l’environnement et les conditions de presque tous les milieux nord-ontariens de travail. Le simulateur (SIM-T) comprend une plateforme de mouvement robotique qui simule les vibrations, un caisson environnemental qui contrôle la température et l’humidité et un système de suivi oculaire qui simule les alentours du travailleur.

 

Le simulateur de milieu de travail comme le laboratoire mobile sont d’exceptionnels éléments d’infrastructure que l’on croit être les seuls de ce genre au Canada.

 

« Ces outils consolident notre position à la pointe des recherches en santé et sécurité au travail, a ajouté Mme Tammy Eger, Ph.D., titulaire de la Chaire de recherche du CRSST. Grâce à ces investissements et aux fonds voués au soutien et à l’élargissement de notre capacité de recherche, nous serons en mesure d’aborder des questions critiques touchant la santé et la sécurité dans les milieux de travail de l’Ontario. »

 

Parmi les organismes subventionnaires des dernières initiatives du CRSST, il faut souligner :

  • le ministère de Travail de l’Ontario, 500 000 $ (CRSST-M) et 492 000 $ (subvention pour la capacité de recherche);
  • la Fondation canadienne pour l’innovation, 143 000 $ (SIM-T);
  • l’École des mines Goodman, 50 000 $ (CRSST-M) et 50 000 $ (SIM-T).

 

« Nous félicitons le CRSST et remercions les organismes subventionnaires qui ont prêté un appui critique à notre programme ambitieux de recherche, a indiqué M. Rui Wang, vice-recteur à la recherche à l’Université Laurentienne. Ces investissements témoignent d’une grande confiance dans le CRSST et l’Université Laurentienne et leur mandat d’être chef de file dans le domaine de la santé et de la sécurité au travail. »

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