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L’Université Laurentienne lance son Plan stratégique 2018-2023: Together. Ensemble. Maamwi.

L’Université Laurentienne lance son Plan stratégique 2018-2023: Together. Ensemble. Maamwi.

Les valeurs fondamentales définissent la façon de procéder de la Laurentienne en misant sur cinq domaines qui représentent des forces et visant 25 résultats

17 janvier 2017 - Aujourd’hui, l’Université Laurentienne a lancé son Plan stratégique 2018-2023 qui s’articule autour de cinq valeurs partagées, à savoir le Nord nous inspire; la réussite de notre population étudiante est notre réussite; l’enseignement et l’apprentissage nous définissent; la curiosité est le moteur de nos recherches; les relations sont notre priorité.

« Le Plan stratégique 2018-2023 de la Laurentienne englobe les valeurs fondamentales de notre Université, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel, Ph.D. Nous avons épousé notre identité ainsi que nos forces collectives afin de préciser 25 résultats à concrétiser. Ce plan stratégique reflète notre population étudiante, notre corps professoral et notre personnel, leur travail, et l’incidence positive que la Laurentienne continuera d’avoir sur le monde entier. Ensemble, nous façonnerons l’avenir. »

Voici les cinq aspirations clés qui sont les éléments centraux du plan :

  • L’Université Laurentienne sera un leader dans le processus de la réconciliation par l’entremise de la recherche et de l’enseignement postsecondaire transformateur.
  • La Laurentienne sera un catalyseur des communautés et cultures franco-ontariennes dynamiques dans tout     l’Ontario et ailleurs.
  • L’Université Laurentienne créera des connaissances interdisciplinaires pour offrir des solutions incontournables aux défis complexes de la société.
  • L’expertise de l’Université Laurentienne en exploitation minière et en gestion environnementale sera le moteur de la création de connaissances, de la prospérité économique et de la durabilité écologique à l’échelle locale, nationale et internationale.  
  • L’Université Laurentienne offrira des solutions innovatrices aux préoccupations particulières pour favoriser le bien-être général, du Nord et de ses populations en matière de santé.

 

Le plan stratégique a été mis au point en procédant à une vaste consultation à laquelle ont contribué quelque 1 500 membres de la population étudiante, du corps professoral et de personnel, diplômés, représentants communautaires, partenaires industriels et membres du Conseil des gouverneurs. Un total de 50 séances ont été tenues sur le campus, dans des écoles primaires et secondaires, et dans des communautés comme Ottawa, Sault Ste. Marie, Timmins, le canton de Coleman, M’Chigeeng et Sudbury.

« La participation tout au long du processus a été incroyable et tous nos réseaux nous ont fourni une rétroaction de haut calibre, a dit la conseillère spéciale auprès du recteur, Mme Linda Ambrose, Ph.D. Au cours des cinq prochaines années, nous nous concentrerons beaucoup sur la connectivité et l’engagement de la Laurentienne à rehausser les possibilités de collaboration. La portée de notre université est vaste et ses répercussions se font évidentes de près et de loin. Ce que nous réalisons retentit auprès des gens et aide à créer des communautés dynamiques, bien informées et en santé. »

À la suite d’un processus de dix mois, le comité directeur de 24 membres a recommandé à l’unanimité le Plan stratégique 2018-2023, qui a été reçu par le Sénat de l’Université et approuvé par le Conseil des gouverneurs en décembre 2017.

 « La Laurentienne est un microcosme du Canada : nous sommes dans le Nord; nous sommes bilingues; nous prônons résolument la réconciliation. Nos forces sont à la base de ce que nous voulons accomplir, a dit M. Zundel. Les résultats que nous atteindrons incarnent nos valeurs et les possibilités exceptionnelles que nous offrons grâce à notre emplacement dans le nord-est de l’Ontario, à notre engagement envers la formation autochtone, à nos programmes bilingues et à notre expertise en matière d’exploitation minière, d’environnement, de mino-bimaadiziwin et de bien-être. »

« Nos meilleurs résultats sont ceux fondés sur la collaboration, a ajouté la présidente du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, Mme Jennifer Witty. Nous sommes très reconnaissants aux personnes qui ont apporté leurs réflexions et idées au processus façonnant l’avenir de la Laurentienne sur les cinq prochaines années et sommes impatients de voir allier le corps professoral, le personnel, la population étudiante et nos partenaires pour la mise en œuvre de notre Plan stratégique 2018-2023. »   

Le plan complet en fichier PDF est téléchargeable à laurentienne.ca/planstrategique.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, l’Université Laurentienne s’engage à renforcer le fonds de connaissances en enseignement supérieur et recherche afin d’offrir une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation autochtone. Elle travaille de pair avec ses partenaires fédérés pour préparer des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes aux enjeux locaux et mondiaux.

Les chercheurs du CRSST a l’Université Laurentienne reçoivent trois subventions du gouvernement de l’Ontario

Les chercheurs du CRSST a l’Université Laurentienne reçoivent trois subventions du gouvernement de l’Ontario

16 janvier 2017 - Le Centre de recherche en santé et sécurité au travail (CRSST) de l’Université Laurentienne recevra du gouvernement de l’Ontario de nouvelles subventions de recherche totalisant quelque 300 000 $. Le ministre de l’Énergie de l’Ontario et député provincial de Sudbury, M. Glenn Thibeault, en a fait l’annonce aujourd’hui, dans le laboratoire du CRSST, en compagnie du recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel.

L’Ontario remettra un total de 310 000 $ à des projets innovateurs de recherche et à des brillants chercheurs. Le financement prêtera un soutien aux chercheurs du CRSST effectuant trois projets qui abordent les dangers liés aux appareils mobiles, favorisent la santé et la sécurité professionnelles chez les autochtones dans le nord de l’Ontario et améliorent la sécurité des personnes qui travaillent près de l’équipement lourd.  

 

Ces trois octrois sont les suivants :

  • 182 000 $ du Programme d’innovation pour la prévention, la santé et la sécurité au travail du ministère du Travail pour appuyer le projet : Development of Knowledge Transfer Kits to Address Mobile Equipment Hazards.
    Responsable du projet : Tammy Eger, Ph.D.
    Buts du projet : Mettre au point trois trousses de transfert de connaissances abordant les dangers suivants liés à l’utilisation d’appareils mobiles : 1) la ligne de vision et la connaissance de la situation; 2) l’exposition aux vibrations; 3) la fatigue et les troubles musculosquelettiques. Ces trousses s’adressent aux formateurs en matière de santé et sécurité en milieu de travail.
  • 68 000 $ du Programme des perspectives de recherche : Recherche axée sur le milieu de travail du ministère du Travail pour soutenir le projet : Mino-nokiiwin : Advancing an Understanding of Indigenous Occupational Health and Safety in Northeastern Ontario.
    Responsables du projet : Nancy Lightfoot, Ph.D., et Darrel Manitowabi, Ph.D.
    Buts du projet : En ojibwé, le mot mino-nokiiwin signifie un bon environnement de travail. Ce projet permettra d’indiquer les facteurs qui nuisent ou contribuent à celui-ci dans les collectivités autochtones.

  • 59 000 $ du Programme des perspectives de recherche : Données et mise en pratique à l’appui du projet : Improving line of sight knowledge for pedestrians working around heavy equipment.
    Responsable du projet : Alison Godwin, Ph.D.
    Buts du projet : Élaborer et mettre à l’épreuve une intervention en réalité virtuelle touchant la ligne visuelle afin d’améliorer la conscientisation et les connaissances à ce sujet des travailleurs qui se déplacent quotidiennement autour de l’équipement lourd.

 

Ces projets de recherche ont fait l’objet d’une évaluation rigoureuse par les pairs, y compris des experts universitaires et de l’industrie, et ont été choisis en raison de l’excellence de recherche et des avantages sociétaux qu’ils apportent aux Ontariens. Ces projets misent sur les recherches innovatrices en cours au CRSST et favorisent de nouvelles découvertes appuyant les pratiques exemplaires dans le milieu de travail. 

« Étudier les importants risques liés à l’utilisation d’appareils mobiles a été relevé comme prioritaire dans l’Examen sur la santé, la sécurité dans les mines et la prévention de 2015, a affirmé le ministre Thibeault. En outre, en abordant les problèmes dans les milieux autochtones de travail, nous ouvrons le dialogue sur ce qu’il faut pour améliorer la santé et la sécurité professionnelles des autochtones au travail. »

La titulaire de la Chaire de recherche du CRSST, Mme Tammy Eger, et la directrice, Mme Sandra Dorman, croient que ces fonds aideront à favoriser le développement et la mise en œuvre de la stratégie de recherche et d’innovation du Centre. Elles réaffirment aussi l’engagement de la province envers la viabilité à long terme de l’unique Centre de recherche en santé et sécurité au travail voué aux besoins précis en recherche dans le nord de l’Ontario

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules ainsi que la santé et la sécurité professionnelles.

L’Université Laurentienne accueille David Fortin, Ph.D., au poste de directeur de l’École d’architecture McEwen

L’Université Laurentienne accueille David Fortin, Ph.D., au poste de directeur de l’École d’architecture McEwen

La population étudiante et le corps professoral McEwen saluent les contributions continues du directeur fondateur Terrance Galvin

10 janvier 2017 - L’Université Laurentienne est heureuse d’accueillir M. David Fortin, Ph.D., dans son nouveau rôle de directeur de l’École d’architecture McEwen (EAM). Membre du corps professoral de l’École, il exerce les fonctions de directeur depuis le début de janvier 2018, prenant la relève du directeur fondateur de l’École, M. Terrance Galvin, Ph.D., qui a dirigé avec succès la mise sur pied et le développement de l’EAM depuis son inauguration en 2012.

« C’est un véritable honneur pour moi d’avoir été choisi pour diriger la plus récente école d’architecture au pays, a dit M. Fortin. La vision exceptionnelle de l’École, profondément rattachée au design célébrant la place, la culture et la communauté, m’a toujours inspiré puisque ces principes favorisent l’innovation et la créativité technologiques pour créer un avenir dans lequel nous voulons tous vivre. »

Membre de la Nation métisse de l’Ontario, M. Fortin est le premier autochtone à diriger une école d’architecture canadienne. Il est aussi membre de l’Institut royal d’architecture du Canada (MIRAC) et un architecte autorisé qui a travaillé dans divers cabinets professionnels à Calgary. Il a enseigné le design, l’histoire et la théorie au Royaume-Uni, aux États-Unis et au Canada, a donné des cours au Kenya et en Amérique du Sud, et donne actuellement un cours examinant l’incidence du changement climatique sur le design. Il se concentre actuellement sur le design autochtone en architecture contemporaine et est co-conservateur d’une équipe d’architectes autochtones (UNCEDED) qui représentera le Canada à la prestigieuse Biennale d’architecture de Venise 2018, en Italie.

« Je suis très heureux de diriger une école qui fait ce qu’aucune autre école d’architecture ne fait au Canada, a ajouté M. Fortin. Nos étudiants font des apprentissages au moyen d’expériences pratiques et d’activités communautaires directes. Ils sont aussi guidés par les enseignements autochtones et les normes professionnelles les plus élevées dans la conception d’édifices et de collectivités dans les climats froids du monde tout en incorporant l’utilisation innovatrice du bois et formulant des stratégies pertinentes de durabilité. »

« L’École McEwen est enracinée dans les paysages et collectivités du nord et les enseignements autochtones ont toujours eu une place primée dans le programme d’études, a souligné l’architecte de renommée mondiale, M. Douglas Cardinal, reconnu pour ses conceptions de structures inspirées par ses racines autochtones. Une personne comme David, qui a fait l’expérience de perspectives autochtones et allochtones, exercera une force positive envers la réconciliation pour les futures générations d’architectes. »

Depuis le lancement de l’EAM en 2012, elle a transformé non seulement ses étudiants, mais aussi les collectivités du nord de l’Ontario. Des membres de la population étudiante ont travaillé de près avec de nombreuses communautés sur des projets liés entre autres au logement pour les personnes aînées à Chapleau, à des cabanes à pêche sur glace à Sudbury et à un centre de santé pour la Première Nation de Batchewana.

Le directeur fondateur, M. Terrance Galvin, Ph.D., continuera d’enseigner et de jouer un rôle actif dans l’avenir de l’EAM. Sous sa direction, l’EAM est devenue la première nouvelle école d’architecture à voir le jour au Canada en plus de 40 ans, a emménagé dans son édifice primé au centre-ville de Sudbury et a attiré des membres de la population étudiante et du personnel dont le travail a fait déjà l’objet d’éloges nationaux et mondiaux.

Dirigée par M. Galvin, l’École a reçu pour soutenir sa vision un don de 10 000 000 $ des philanthropes Rob et Cheryl McEwen. En plus de former la prochaine génération d’architectes canadiens, M. Galvin continuera de diriger la demande d’agrément initial auprès du Conseil canadien de certification en architecture et de collaborer avec l’organisme Walking with Our Sisters à Sudburypour la conception de son exposition commémorative d’art pour les femmes et jeunes filles autochtones portées disparues ou tuées au Canada et aux États-Unis.

« Je suis fier de l’approche hétérogène que nous adoptons en collaborant avec les communautés, a affirmé M. Galvin, faisant allusion aux six ans passés comme directeur fondateur. L’École emprunte une approche technologique et pédagogique en matière d’innovation, en mettant à l’essai les connaissances traditionnelles et les formes contemporaines. En collaborant avec les collectivités locales et du nord, nous tirons de leçons qui peuvent être mises en pratique aux plans national et mondial, comme en témoigne l’atelier des cycles supérieurs de Tammy Gaber en Islande. J’ai hâte de poursuivre cette aventure incroyable et de collaborer avec David et mes collègues afin que l’École McEwen devienne un modèle pour les écoles d’architecture dans le monde. »

« Je tiens à remercier Terrance du travail et du leadership incroyables dont il a fait preuve en développant l’École McEwen en l’établissement primé qu’il est actuellement, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel, Ph.D. Je félicite aussi David et lui souhaite un énorme succès dans le cadre de ce nouveau défi de guider l’École d’architecture McEwen afin qu’elle atteigne une renommée mondiale. »

 

Au sujet de l’École d’architecture McEwen

L’École d’architecture McEwen (EAM) est fondée sur la fierté de la place, philosophie qui englobe la résilience des gens du nord et la beauté sans égale du paysage nord-ontarien. L’EAM est une expérience en constante évolution en matière de pédagogies émergentes et de cultures diverses. Notre programme exceptionnel fait valoir le design et la culture pour les climats du nord sur les scènes régionales et mondiales et met l’accent sur le développement d’une expertise touchant le bois, les ateliers de conception-construction employant des méthodes traditionnelles et émergentes de fabrication, la conception dirigée par la collectivité et un vaste programme d’enseignement coopératif dans les contextes industriels et professionnels. Les membres francophones, anglophones, métis et des Premières Nations du corps professoral et de la population étudiante participent à des ateliers de design donnés en français et anglais et profitent de possibilités de collaborer avec les aînés autochtones en résidence. Notre complexe innovateur et primé, composé de quatre édifices, est à la fois didactique et écologiquement durable, tout en étant un outil d’enseignement privilégié et accessible.

  

Prix et distinctions de l’École d’architecture McEwen

  • 2017 – Bourse Bill Mason
    ​L’étudiante Maeve Macdonald reçoit la Bourse Bill Mason créée par Pagaie Canada.
  • 2017 – Wood Works Ontario - Prix dans la catégorie institutionnelle de 10 000 000 $ 
    Pour l’utilisation du bois dans la construction de l’EAM. Le prix souligne l’excellence, la mobilisation et l’innovation des personnes et organismes qui favorisent l’utilisation du bois dans la construction de toutes sortes.
  • 2016 – Charrette interuniversitaire du CCA : Recomposer le Nord
    Prix de l’opinion publique pour le projet « Nutri-Nunavik: The Potential of Northern Farming » (équipe d’étudiants du premier cycle).
  • 2016 et 2017 - IIDEX Canada 
    L’étudiant Edward Chung est sélectionné pour exposer « EAB Floor Lamp and Mokomoko Vase », avec Hamza Adenali, à Toronto.
  • 2016 – Festival international du bois à Bergen
    Des étudiants de l’École d’architecture McEwen gagnent le premier prix pour la conception-construction d’installations en bois (Pre Tammy Gaber, Pr Randall Kober et des étudiants).
  • 2015 – Pride House that Kids Built, Sudbury pour les Jeux parapanaméricains
    Prix d’excellence des ressources humaines, ministère du Développement du Nord et des Mines de l’Ontario pour l’installation en courtepointes de peintures d’enfants « Inclusion dans les sports » (Pr Thomas Strickland et des étudiants).
  • 2015 – Science Nord
    Prix du partenariat remis à l’École d’architecture de la Laurentienne pour la conception du pavillon Terre dynamique (Pr David Fortin et Pr Roch Belair, avec Francis Thorpe et des étudiants).
  • 2015 – CANStruction
    Prix du choix du peuple pour « PARALLAX : “a” is for architecture » (Pr Terrance Galvin et des étudiants).
  • 2014 – Prix international VELUX 
    Pour les étudiants en architecture (Vienne), Mention honorable pour la conception de cabanes de pêche sur la glace Northern Lights (Pre Tammy Gaber et des étudiants).

 

Exemples de projets en cours à l’École McEwen

Parmi les projets qu’effectuent actuellement des chercheurs et étudiants de l’EAM, il faut souligner, entre autres, un projet de recherche et une exposition axés sur l’architecture métisse (David Fortin, Ph.D.) et financés par le CRSH; un projet sur la conception de mosquées et d’espaces sexospécifiques au Canada (Tammy Graber, Ph.D.) financé par le CRSH et comprenant aussi une exposition et un livre à publier prochainement; une demande de Chaire de recherche de l’UNESCO (Émilie Pinard, Ph.D.) et la fondation de l’Institut maître d’immeuble de bois de grande hauteur incluant un concours mondial à Sudbury (Randall Kober et des collègues).

Nomination de lanouvelle vice-rectrice à l’administration de L’Université Laurentienne

Nomination de lanouvelle vice-rectrice à l’administration de L’Université Laurentienne

Mme Lorella Hayes jouera un rôle clé dans le succès durable de la Laurentienne

21 decembre 2017​ - L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de Mme Lorella Hayes, CPA, CA, au poste de vice-rectrice à l’administration. Elle entrera en fonction le 15 janvier 2018 et sera responsable d’un dossier considérable qui comprend un personnel de 133 membres à plein temps et un budget de 182 000 000 $.

À la suite d’une vaste campagne de recrutement, Mme Hayes a été choisie pour remplacer Mme Carol McAulay qui a quitté l’Université à la fin d’octobre. Elle guidera les services financiers, les ressources humaines et le développement organisationnel, le service des installations, la technologie de l’information, la sécurité sur le campus et le bureau de l’équité, de la diversité et des droits de la personne.

« Lorella Hayes possède un mélange idéal de talents, de compétences et d’expertise qui permettra à notre Université de prospérer alors que nous préparons le lancement du nouveau Plan stratégique 2018-2023, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel, Ph.D. Je suis heureux de l’accueillir et persuadé qu’elle saura faire preuve de réflexion stratégique, de savoir-faire financier et de l’expérience en gestion dont nous avons besoin pour continuer de donner un élan à notre Université et à notre communauté. »

Fière diplômée de l’Université Laurentienne, Mme Hayes a mené une brillante carrière en finances et gestion dans les secteurs public et privé. Après l’obtention du diplôme à la Laurentienne en 1995, elle a travaillé pendant une décennie au cabinet comptable KPMG LLP, où elle s’est hissée au rang de gestionnaire principale. En 2005, elle a décidé d’oeuvrer dans le secteur public en exerçant le rôle de chef de la direction financière et de directrice générale des actifs et finances à la Ville du Grand Sudbury, et, en 2015, de vice-présidente des services corporatifs aux Services publics du Grand Sudbury.

« C’est un honneur et une joie pour moi d’assumer ce rôle à cette importante étape de l’histoire de l’Université, a affirmé Mme Hayes. Je me réjouis à la perspective de collaborer avec l’équipe de direction ainsi qu’avec les membres talentueux du corps professoral et du personnel pour continuer à faire progresser cet établissement de calibre mondial. »

Le conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne accueille une nouvelle membre

Le conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne accueille une nouvelle membre

15 decembre 2017 - Le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel, Ph.D., et le Conseil des gouverneurs de l’ULsont heureux d’accueillir Mme Suzanne Corbeil, dont la nomination a été approuvée à l’assemblée du vendredi 15 décembre 2017.

« Au nom de la collectivité universitaire, je tiens à exprimer ma joie de compter Mme Suzanne Corbeil parmi les membres de notre Conseil des gouverneurs, a dit M. Zundel. Son expérience professionnelle, ses connaissances du secteur universitaire et son enthousiasme pour la recherche sont de formidables atouts favorisant sa compréhension des valeurs articulées dans le prochain plan stratégique de la Laurentienne. »

Diplômée de l’Université Laurentienne, Mme Corbeil a acquis plus de trente ans d’expérience en gestion et direction générale. Elle a été directrice générale de mars 2012 à septembre 2017 d’U15 Regroupement des universités de recherche du Canada, qui rassemble les meilleures universités axées sur la recherche du pays. Son mandat auprès d’U15 était de développer une association plus formelle des membres de ce groupe tout en préconisant des partenariats plus solides parmi les universités, le gouvernement et les autres intervenants en recherche. Propriétaire du cabinet Corbeil Consulting Inc., elle offre aussi des conseils stratégiques aux organismes du secteur public.

« Suzanne est bien connue au sein de la communauté universitaire canadienne et possède de vastes connaissances en matière de recherche universitaire de grande envergure, a affirmé la présidente du Conseil des gouverneurs de l’UL, Mme Jennifer Witty. Elle s’insère bien à notre Conseil alors que nous nous préparons à aller de l’avant avec notre nouveau plan stratégique. »

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules ainsi que la santé et la sécurité professionnelles.

L’Université Algoma offrira la première année d’études en génie

L’Université Algoma offrira la première année d’études en génie

Une passerelle au programme de génie de l’Université Laurentienne

7 décembre 2017 - Les universités Algoma et Laurentienne collaborent afin d’offrir aux étudiants du Sault Ste. Marie l’occasion d’étudier le génie près de chez eux. Les demandes seront acceptées dès maintenant pour l’admission en septembre 2018.

« Nous sommes heureux d’offrir la première année d’études en génie à l’Université Algoma, a dit la rectrice de cet établissement, Mme Asima Vezina. Le besoin en ingénieurs se ressent dans notre communauté et ce partenariat avec la Laurentienne aidera à appuyer nos étudiants locaux qui souhaitent rester dans leur patelin. Le programme de la Laurentienne est exceptionnel et nous sommes heureux de collaborer avec elle afin d’accroître le nombre d’étudiants dans ce domaine. Nous nous réjouissons aussi de voir des employeurs comme Algoma vouloir accueillir des stages d’enseignement coopératif pendant la troisième année d’études. Ces partenariats sont aussi essentiels pour motiver les jeunes à rester dans notre communauté. »

Algoma offrira à quatre étudiants de troisième année des stages d’enseignement coopératif d’un an. « Nous sommes heureux de participer à la formation sur la scène locale de futurs ingénieurs, a affirmé le vice-président aux ressources humaines d’Algoma, M. Jim Rennie. Nos étudiants acquerront une expérience directe de projets stimulants comme ceux offerts par un fabricant de pointe. Nous espérons que nombre d’entre eux reviendront au Sault, diplôme en main, pour de carrières longues et prospères à Algoma. »

L’entente permettra aux étudiants admissibles d’effectuer la première année d’études à l’Université Algoma, au Sault Ste. Marie, et de poursuivre la deuxième année d’études en génie (mécanique, chimique ou minier) à l’Université Laurentienne, à Sudbury. En première année à l’Université Algoma, les étudiants suivront des cours dans des domaines comme les mathématiques, la chimie et la physique, ce qui les prépara à se lancer dans le domaine du génie. Par la suite, ils effectueront le transfert direct à la deuxième année du programme de l’École de génie Bharti à l’Université Laurentienne.

« L’École de génie Bharti affiche une croissance et un succès des plus formidables au cours des dix dernières années, a ajouté le directeur de l’École de génie Bharti, M. Markus Timusk. Ce partenariat avec l’Université Algoma est l’occasion rêvée d’ouvrir l’accès à une formation en génie dans le nord de l’Ontario. »

En deuxième année, les étudiants profitent de la réputation et des inscriptions rehaussées de l’École de génie Bharti. La Laurentienne a un taux d’emploi de 95 % après l’obtention du diplôme, taux qui est le plus élevé de la province, et cela se traduit en choix de carrières multiples pour les nouveaux diplômés de génie. Les études se feront dans le nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie Clifford A. Fielding qui est actuellement construit sur le campus de la Laurentienne. L’édifice hébergera quatre laboratoires Capstone d’innovation, un laboratoire d’analyse de matériaux, un laboratoire sur l’environnement et la mécanique des sols, un atelier d’usinage et de développement de prototypes, un amphithéâtre et un laboratoire à logiciel intégré, et un laboratoire sur l’hydraulique et la mécanique des fluides.

Les programmes de baccalauréat en génie sont reconnus par le Bureau canadien d’agrément des programmes de génie.

Une séance d’information pour les étudiants éventuels et leurs parents ainsi qu’un repas du midi pour les employeurs auront lieu le mardi 19 décembre. Vous pouvez obtenir de plus amples renseignements en envoyant un message à info@algomau.ca.

Pour obtenir un complément d’information sur le programme ou faire une demande d’admission, veuillez consulter www.algomau.ca/engineering.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules ainsi que la santé et la sécurité professionnelles. Plus de renseignements sur l’Université Laurentienne figurent à www.laurentienne.ca.

 

Au sujet de l’Université Algoma​

Créée en 1965, l’Université Algoma, au Sault Ste. Marie, en Ontario, est une petite université de premier cycle axée sur l’enseignement qui vise à subvenir aux besoins du nord de l’Ontario en offrant un éventail de diplômes dans les arts libéraux, sciences et disciplines professionnelles. Partenaire de Shingwauk Kinoomaage Gamig et de la Children of Shingwauk Alumni Association, l’Université Algoma assume la mission spéciale de favoriser l’apprentissage interculturel entre les populations autochtones et allochtones. Elle offre aussi des programmes à distance à Bramptom et à Timmins. Pour obtenir un complément d’information, consultez www.algomau.ca.

La Laurentienne occupe la première place parmi les université de recherche de premier cycle au Canada et dépasse largement a moyenne nationale

La Laurentienne occupe la première place parmi les université de recherche de premier cycle au Canada et dépasse largement a moyenne nationale

L’Université Laurentienne se classe au premier rang pour le revenu de recherche parmi les universités de sa catégorie dans le classement des 50 meilleures universités de recherche au Canada, qui a été compilé par Research Infosource Inc.

Selon le classement, la Laurentienne a obtenu 23 400 000 $ en fonds de recherche pour 2015-2016, la plaçant en tête des universités de recherche de premier cycle au pays. En général, l’Université Laurentienne se classe au 30e rang parmi les 50 meilleures universités polyvalentes et de tous les cycles au Canada. Elle figurait en 33e place sur la liste de l’an dernier.

« La qualité et l’ampleur de nos recherches font de l’Université Laurentienne l’une des écoles de premier plan pour la population étudiante et le corps professoral, non seulement du nord de l’Ontario, mais de tout le pays, a dit le vice-recteur à la recherche de la Laurentienne, M. Riu Wang. Nos chercheurs sont tout simplement les meilleurs. Que ce soit en matière de mines, d’environnement, de questions autochtones ou de recherche médicale, la Laurentienne constitue un excellent investissement pour l’avenir. »

L’Université Laurentienne a surpassé beaucoup d’établissements postsecondaires en ce qui concerne la croissance du revenu de recherche pour l’année. Même si la croissance moyenne au pays était de 2,2 %, la Laurentienne a enregistré une augmentation de 18,3 %.

« Cette croissance ne doit surprendre personne qui sait combien nous mettons l’accent sur l’innovation et la découverte, a ajouté M. Wang. Les gouvernements, nos donateurs et nos merveilleux partenaires commerciaux savent qu’un investissement dans la Laurentienne se traduit par des connaissances, des découvertes, de nouvelles techniques et une profusion d’autres avantages pour l’économie, nos communautés et notre pays. »

Les réussites en matière de recherche à l’Université Laurentienne se font valoir dans beaucoup de domaines d’études, allant de programmes primés en exploitation minière, biochimie et restauration environnementale à des projets pionniers, y compris l’Institut de recherche autochtone Maamwizing. On s’attend que le revenu et l’incidence des recherches continueront de croître et d’éclore en raison de l’inauguration, en 2018, de l’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff Fielding de 30 000 000 $.

« Bien sûr, ce classement est une preuve valorisante des répercussions de tous les travaux accomplis au fil des ans par notre corps professoral, nos chercheurs et notre personnel pour transformer la Laurentienne en une véritable puissance de recherche en Ontario, a affirmé le recteur et vice-chancelier par intérim de la Laurentienne, M. Pierre Zundel. Au moment où nous nous préparons à dévoiler notre nouveau Plan stratégique quinquennal, nous continuerons à miser sur ces fondements solides afin d’assurer une place à notre université à la tête du peloton. Il n’y a pas de limites au potentiel de notre université et de nos gens. »

L’École d’architecture McEwen de la Laurentienne gagne un important prix pour l’intégration du bois dans la conception Canadienne moderne

L’École d’architecture McEwen de la Laurentienne gagne un important prix pour l’intégration du bois dans la conception Canadienne moderne

L’équipe d’architecture de l’École McEwen remporte le prix 2017 Ontario Wood WORKS! pour un bâtiment innovateur à Sudbury

The designers of one of Canada’s most innovative educational buildings have received a prestigious award for their focus on woodwork in modern architectural teaching and design. LGA Architectural Partners, responsible for designing the McEwen School of Architecture building in downtown Sudbury, has been granted the Ontario Wood WORKS! 2017 prize in the “$10-million Institutional” category.  The prize was handed out by the Canadian Wood Council on November 1, 2017 at a special ceremony in Toronto.

“This award is well-deserved for the innovative Cross-Laminated Timber (CLT) wing of the McEwen School of Architecture” said Dr. Terrance Galvin, Founding Director of the MSoA. “The LGA team did their research in wood early on in the design process of the School, successfully applying for a $350,000 Centre for Research & Innovation in the Bio-economy (CRIBE) grant early on in the design process. The design team’s work has paid off with this award.”

Woodwork and design have been at the heart of the McEwen project from the very beginning. Since classes began in 2013, students have focused on creative uses of traditional, sustainable resources as well as state-of-the-art designs in their work and have already won a number of prestigious awards, including the 2016 Bergen International Wood Festival in Norway.

That same philosophy guided the LGA Architectural Partners design for Phase 2 of the McEwen School’s building which opened at the beginning of 2017. From exposed beams and innovative integration of wood features with high-tech equipment, to the preserved wood features of the historic CP Telegraph train shed building which houses the Fabrication Labs, the blending of natural wood design and modern concepts is key to the facility’s beauty and functionality.

“The McEwen School of Architecture is a prime example of the ingenuity and bold thinking that make our university a Canadian leader in education and research,” said Pierre Zundel, Laurentian University’s Interim President and Vice-Chancellor. “I congratulate the LGA team for this award and their outstanding ability to place our region’s forestry resources and landscape at the heart of the project.  Those elements, along with our country’s Indigenous peoples and French and English cultures, combine to make the McEwen School of Architecture a unique place to study innovation in order to design buildings using renewable resources for the future.”

 

About Laurentian University

Laurentian University offers an outstanding university experience in English and French, with a comprehensive approach to Indigenous education.  Laurentian University, situated on the traditional territory of the Anishinabe peoples of Atikameksheng First Nation, prepares students as agents of change and empowers them to create innovative responses to local and global challenges. Laurentian’s students benefit from small class sizes and exceptional post-graduation employment rates.  With nine Canada Research Chairs and eighteen research centres, Laurentian is a recognized leader in its specialized areas of research strength, which include mining innovation and exploration, stressed watershed systems, particle astrophysics and rural and northern children’s health. Laurentian University has secured over $100 million in research income in the past five years. 

Le Centre ontarien sur l’impact climatique et l’adaptation des ressources de MIRARCO sera membre du nouveau groupe d’expert sur l’adaptation au changement climatique

Le Centre ontarien sur l’impact climatique et l’adaptation des ressources de MIRARCO sera membre du nouveau groupe d’expert sur l’adaptation au changement climatique

Le groupe d’expert national donnera des conseils au gouvernement fédéral sur la manière de quantifier le progrès de l’adaptation aux changements climatiques.

Al Douglas, Directeur du Centre ontarien sur l’impact climatique et l’adaptation des ressources (OCCIAR) de MIRARCO, un centre de recherche de l’Université des Laurentiennes, sera membre du nouveau groupe d’expert sur les résultats de l’adaptation et de la résilience aux changements climatiques.

Les changement climatiques ont déjà des conséquences négatives et posent des risques significatifs aux communautés ainsi qu’au secteur privé et à l’environnement. Prenant acte de cette réalité, des mesures sont actuellement prise par les gouvernements, les entreprises ainsi que les individus pour s’adapter aux conséquences des changements climatiques. 

« Il est important pour nos gouvernements de savoir si les mesures prises pour améliorer la résiliences et l’adaptation aux changements climatiques sont efficaces, » explique Al Douglas. « Nous avons besoin de savoir si les mesures prises sont les bonnes et si elles fonctionnent ainsi que si elles sont viable économiquement. » 

Le nouveau groupe d’expert présentera un rapport au Dr. Stephen Lucas, sous-ministre canadien de l’Environnement et du changement climatique, au printemps 2018. Ce rapport a pour but de mettre en évidence les indicateurs qui aiderons le Canada à quantifier son progrès quant à l’adaptation et à la résilience aux changements climatiques et ce pour l’ensemble du pays.  

« Les Premières Nations, les communautés et plusieurs secteurs économiques de l’Ontario font face à des difficultés ainsi que des opportunités liées aux changements climatiques, » souligne Al. « Je crois que le travail de ce groupe d’experts peut jouer un rôle majeur dans la façon dont nous nous adaptons, collectivement, aux changements climatiques. »  

 

Faits en bref: 

Ces exemples mettent en évidence les conséquences et l’adaptation qui a déjà eu lieu en Ontario. Les investissements croissant dans l’adaptation aux changements climatiques ont fait naître un fort intérêt pour le contrôle des progrès ainsi que l’évaluation de l’efficacité des adaptations dans le but de remédier aux vulnérabilités et aux risques. Le Groupe d’experts établira des indicateurs qui aideront le Canada et l’Ontario pour quantifier les progrès d’adaptation et de résilience.  

  • Les changements climatiques se traduisent par des événements météorologiques extrêmes impliquant des dommages sans précédent. Le 13 juillet 2013, la ville de Toronto a reçu 126 mm de pluie en seulement deux heures, causant plus de 1 milliard de dollars en dommages-intérêts. À ce jour, c'est la catastrophe naturelle la plus coûteuse de l'Ontario. Afin d'accroître sa résilience, Toronto a entrepris des études pour évaluer sa vulnérabilité et s'efforce d’améliorer ses infrastructures liées aux eaux pluviales.
  • Depuis 1948, l'Ontario a connu une hausse de sa température moyenne annuelle de 1.5°C et constate plus de jours avec une température supérieure à 30°C. Ces événements de chaleur extrême peuvent causer des blessures et des maladies sévères, comme des coups de chaleur, l'épuisement par la chaleur, voire même la mort. De nombreuses communautés en l'Ontario (p. ex. Toronto, Windsor). prennent des mesures en développant des systèmes d’alertes et d‘intervention à la chaleur (SAIC) ainsi qu’en ouvrant des centres spéciaux de rafraichissement lors des journées extrêmement chaudes afin de protéger la population contre les maladies liées à la chaleur.
  • Les feux de forêt posent un danger important pour les communautés de l’Ontario. En juillet 2011, environs 120 feux de forêt ont été enregistré au nord de l’Ontario durant une période de 17 jours. Ces incendies ont causé l’évacuation de 3,292 personnes de 8 communautés des Premières nations en raison de l’inhalation de fumée, de pénurie alimentaire, et d’un manque en capacité pour stockage de nourriture. Les habitants sont encouragés à télécharger un fichier qui s’appelle FireSmart, un manuel fournissant des outils de planification qui permettent d’atténuer les risques d’incendie.
  • En Ontario, les activités hivernales (p.ex. pêche sur glace, motoneige) ont été touchée par le réchauffement des températures hivernales et les conditions météorologiques plus variables. Pour ces raisons, la station de ski des Blue Mountain a diversifié sa stratégie commerciale afin d’accueillir des activités pouvant être pratiquées toute l’année et a investi dans des équipements d’enneigement artificiel.
  • Le gouvernement d’Ontario va publier un plan pour l’adaptation aux changements climatiques et ainsi devenir plus résilient en 2017. Il s’appuiera sur le dernier plan stratégique provincial de mesures d’adaptation,  L’adaptation au changement climatique : Stratégie et plan d’action de l’Ontario 2011-2014. 

 

À Propos OCCIAR 

Le Centre ontarien sur l’impact climatique et l’adaptation des ressources (OCCIAR) est un pôle de ressources en ce qui concerne les conséquences et l’adaptation aux changements climatiques. Il fait partie de MIRARCO, un centre de recherche de l’Université des Laurentienne à Sudbury en Ontario. Avec plus de 16 ans d’expérience dans tous les secteurs de l’économie et de la société, nous sommes les chefs de file dans le domaine de l’adaptation aux changements climatiques. Notre but est d’informer et de faciliter les processus d’adaptation, en s’assurant que les décisions prise aujourd’hui sont basée sur les défis climatiques de demain. Cela est fait en développant et implémentant les ressources et les outils dont les communautés, les professionnels et les experts de tous les horizons ont besoins dans le processus de prise de décision. Nous communiquons sur les dernières recherches ayant trait à l’adaptation et la résilience aux les changements climatiques et favorisons les discussions critiques à l’intérieure et entre les communautés et les différents secteurs qui aide a amélioré cette résilience. 

 

À Propos le Groupe d’experts:  

Le Groupe d’experts fournira des conseils au gouvernement du Canada pour quantifier les progrès accomplis en matière d’adaptation et de résilience aux changements climatiques, afin de mieux comprendre dans quelle mesure les efforts d’adaptation fédéraux, provinciaux et territoriaux permettent au Canada de renforcer sa résilience aux changements climatiques, notamment en offrant des renseignements à jour, en appuyant les infrastructures adaptées au climat et en modernisant les codes du bâtiment. Le Groupe d’experts aidera, en plus,  le gouvernement fédéral à mieux communiquer aux Canadiens comment nous nous préparons et nous adaptons aux conséquences actuels et futurs des changements climatiques. 

Le Groupe d’experts appuiera le Cadre pancanadien sur la croissance propre et les changements climatiques, le plan du Canada visant à réaliser notre objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre, à renforcer la résilience aux effets des changements climatiques et à créer une croissance et des emplois propres en investissant dans les technologies propres, l’innovation et l’infrastructure. 

Le Dr. Blair Feltmate, chef du Centre Intact d’adaptation au climat de l’Université de Waterloo, présidera le Groupe d’experts. Des représentants du milieu universitaire, du secteur privé, d’organisations gouvernementales et non gouvernementales et des peuples autochtones feront également partie du Groupe d’experts. Les provinces et les territoires participeront également aux travaux de ce dernier.  

Pour obtenir plus de renseignements à ce sujet, veuillez consulter ici.

L’École des mines Goodman de la Laurentienne lance un programme menant à un certificat en gestion de projets

L’École des mines Goodman de la Laurentienne lance un programme menant à un certificat en gestion de projets

L’École des mines Goodman à l’Université Laurentienne a lancé officiellement un nouveau programme menant à un certificat en gestion de projets. Dans ce programme, les étudiants acquerront une formation en matière de ressources, techniques et pratiques requises pour veiller, avec succès, à tous les aspects de la gestion de projets industriels dans divers domaines dans le nord de l’Ontario.

« Ce nouveau programme de certificat est le plus récent témoignage du leadership de l’École Goodman en recherche et enseignement dans le domaine minier, a dit le directeur général fondateur de l’École des mines Goodman, M. Bruce Jago, Ph.D. Le programme va toutefois plus loin. Les compétences acquises dans la gestion de projets profiteront à tous les secteurs industriels de notre région et d’ailleurs. »

Le Certificat en gestion de projets de l’École des mines Goodman aborde le cycle complet de projet, de la mise sur pied au parachèvement, en passant par la planification et l’exécution. Le programme est composé de deux séries de cours et commence par un cours obligatoire de trois jours intitulé « Project Management Essentials » (PME; essentiels de la gestion de projet). Ce cours, qui comporte une journée d’études autonomes en ligne suivie de deux jours en salle de classe, initie les nouveaux gestionnaires de projets et membres d’équipe aux techniques/outils variés de la gestion de projets et aux principaux éléments requis pour que les projets soient couronnés de succès.

Pour faire suite au cours PME, les participants doivent choisir sept autres journées de formation parmi les suivantes :

  • 1 jour : présentation de la technique « Agile »
  • 1 jour : gestion des intervenants de projet
  • 1 jour : pratiques exemplaires en matière de clôture de projet
  • 1 jour : approvisionnement de projet et gestion de contrats
  • 2 jours : analyse opérationnelle à l’intention des gestionnaires de projets
  • 2 jours : pratiques de gestion de risques
  • 3 jours : préparation à l’examen de Certified Associate in Project Management (CAPR) administré par le Project Management Institute
  • 5 jours : préparation à l’examen d’agrément comme professionnel de la gestion de projets (PMP)

 

Le Certificat en gestion de projets de l’École des mines Goodman fait suite à une série de cours pertinents offerts au printemps 2017 qui a connu beaucoup de succès, attirant une vingtaine de participants d’un grand éventail de secteurs industriels qui tireront profit de cette formation professionnelle. Ces participants provenaient de quatre communautés autochtones nord-ontariennes, du secteur minier, de municipalités locales et de la communauté universitaire de la Laurentienne.

« La plupart des gens qui ont participé à nos premiers cours de gestion de projets se sont dits bien satisfaits des techniques et outils acquis et de l’atmosphère d’entraide qui est un élément clé de notre style pédagogique, a ajouté M. Jago. Notre nouveau programme de certificat repose sur ces fondements et permet de continuer d’offrir une formation professionnelle, abordable et efficace apportant des compétences dont profiteront nos communautés et nos industries au cours des années à venir. »

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