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L'Université Laurentienne lance la première maîtrise en communication scientifique au Canada

L'Université Laurentienne lance la première maîtrise en communication scientifique au Canada

L’Université Laurentienne a célébré aujourd’hui le lancement du premier et unique programme complet de maîtrise en communication scientifique au Canada. Au début de septembre, la première cohorte d’étudiants a entrepris ses études dans le programme intensif de 12 mois.

La maîtrise en communication scientifique propose une expérience pluridisciplinaire abordant la théorie sous-jacente aux bonnes communications tout en examinant les défis pratiques que pose la communication efficace des sciences ainsi que les questions touchant les sciences en société. Les personnes actuellement inscrites au programme de diplôme d’études supérieures en communication scientifique ont pu faire la transition à la maîtrise en effectuant trois mois de cours supplémentaires.

« Ce programme de maîtrise est une prolongation naturelle du diplôme d’études supérieures que nous offrons depuis 2005 en partenariat avec Science Nord et saura répondre à la demande croissante pour nos diplômés, a dit la directrice du programme de communication scientifique à l’Université Laurentienne, Chantal Barriault, Ph.D. Les sciences se lient aux décisions qui touchent toutes les composantes de la vie, et les gens devraient être capables de faire des choix éclairés, sans avoir besoin d’un diplôme dans les sciences. C’est là que nos étudiants entrent en jeu. »

Selon Mme Barriault, les tendances en matière de recherches, d’industries et de politiques publiques dans les sciences font ressentir le besoin de personnes compétentes dans ce domaine en pleine expansion. Les diplômés de la Laurentienne sont des experts à communiquer le travail des meilleurs chercheurs et scientifiques à des publics de toutes les sortes, allant des enfants aux politiciens, et travaillent dans des domaines divers, y compris le gouvernement, les organismes non gouvernementaux, les secteurs industriels, les centres de sciences, les zoos, les aquariums, les publications de vulgarisation scientifique et les établissements de recherche de pointe.

« La mission centrale de Science Nord est de faire participer les gens au croisement entre les sciences et la vie quotidienne en leur communiquant les sciences d’une façon agréable et accessible, a dit le PDG de Science Nord, Guy Labine. En lançant le diplôme d’études supérieures en communication scientifique 12 ans passés en partenariat avec l’Université Laurentienne, nous l’envisagions comme une suite logique du travail effectué quotidiennement dans les centres de sciences. Les diplômés du programme ont une incidence concrète sur notre connaissance et notre compréhension des sciences d’aujourd’hui. L’évolution à la maîtrise témoigne de la reconnaissance au plan mondial de l’importance de la vulgarisation scientifique et n’aurait pas été possible sans notre partenariat étroit avec l’Université Laurentienne, Mme Chantal Barriault, M. David Pearson et mon prédécesseur, M. Jim Marchbank. » 

« Nous nous réjouissons d’offrir ce programme exceptionnel de communication scientifique au niveau de la maîtrise, a dit le vice-recteur aux études, Serge Demers, et attendons avec intérêt de poursuivre sur cette lancée avec nos partenaires à Science Nord. »

D’autres renseignements sur le programme figurent à https://laurentian.ca/program/science-communication.

 

À propos de Science Nord

Science Nord est l’attraction touristique la plus populaire du nord de l’Ontario et une ressource éducative à la disposition des enfants et adultes venant de tous les coins de la province. Science Nord gère les deuxième et huitième centres des sciences au Canada, et comprend le centre des sciences, la salle IMAX, le Planétarium, la galerie de papillons, la grande salle d’exposition et Terre dynamique – site du Big Nickel – un  centre distinct axé sur les mines et les sciences de la Terre. En plus des deux centres de sciences à Sudbury, Science Nord dirige aussi un secteur primé de production de films grand format et un secteur de ventes internationales, qui préparent des expositions personnalisées toutes faites pour vente ou location aux centres des sciences, musées et autres organismes culturels partout dans le monde. En partenariat avec l’Université Laurentienne, Science Nord offre le premier et unique programme de communication scientifique en Amérique du Nord. Science Nord est également installé à Thunder Bay, d’où il dessert le Nord-Ouest de la province en réalisant des expériences scientifiques dans les écoles et à divers festivals, organisant des camps d’été, et bien plus, ce qui s’inscrit dans le cadre de son mandat d’assurer des expériences scientifiques partout dans le nord de l’Ontario. De plus amples renseignements sur Science Nord, organisme du gouvernement de l’Ontario, sont affichés à sciencenord.ca.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules, et la santé et la sécurité au travail. D’autres renseignements sur l’Université Laurentienne figurent à www.laurentienne.ca.

Carol Kauppi de la Laurentienne est reconnue pour ses recherches sur le sans-abrisme

Carol Kauppi de la Laurentienne est reconnue pour ses recherches sur le sans-abrisme

La directrice du Centre de recherche en justice et politique sociales reçoit le Prix Partenariat - Impact 2017 du Conseil de recherches en sciences humaines

Carol Kauppi, Ph.D.

Aujourd’hui, la chercheuse de l’Université Laurentienne, Carol Kauppi, Ph.D., était à Ottawa afin de recevoir un prix qui souligne ses réalisations à collaborer avec des partenaires universitaires et communautaires pour comprendre le sans-abrisme en Ontario. Le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) lui a décerné le Prix Partenariat – Impact pour ses recherches en matière de sources d’inégalité sociale et économique et de stratégies pour viser la justice sociale.

Les Prix Impact visent à reconnaître et à souligner les réalisations de chercheurs exceptionnels en matière d’activités de recherche, de formation en recherche, de mobilisation des connaissances et de sensibilisation que le CRSH finance en tout ou en partie. Le Prix Partenariat rend hommage à Mme Kauppi, car elle a su proposer les plus brillantes idées dans les sciences sociales et les humanités et aider à comprendre et à améliorer le monde d’aujourd’hui et de demain. Elle reçoit avec le prix une subvention de 50 000 $ pour prolonger les recherches sur le sans-abrisme invisible lié à la réconciliation entre les personnes autochtones et allochtones. 

« Le sans-abrisme invisible est exactement ce qu’il laisse entendre, a dit Mme Carol Kauppi, professeure et directrice du Centre de recherche en justice et politique sociales à l’Université Laurentienne. Il s’agit de personnes qui n’ont pas de logement stable et passent largement inaperçues, comme les jeunes qui couchent d’une maison à l’autre, les vieillards qui ne peuvent pas se payer un logement approprié, les gens qui vivent dans des camps forestiers ou les familles habitant dans des bâtiments surpeuplés et inférieurs aux normes. »

Dans ses travaux, Mme Kauppi a examiné les diverses formes de sans-abrisme et de pauvreté extrême parmi de nombreux groupes vulnérables, y compris les femmes, les jeunes, les familles et les personnes âgées de groupes culturels clés dans le nord-est de l’Ontario. Le programme de recherche rattaché au Prix est axé tout particulièrement sur les populations autochtones dans le cadre d’un effort de mettre en œuvre quinze appels à l’action émis par la Commission pour la vérité et la réconciliation du Canada. Les recherches visent à faire des liens entre les connaissances sur le sans-abrisme invisible et les questions sous-jacentes touchant des difficultés de logement chez les populations autochtones du nord-est de l’Ontario, et à formuler des solutions pour améliorer les relations entre les autochtones et allochtones du Canada.

« Depuis quelques ans, tous les paliers du gouvernement accordent une plus importante attention à l’aggravation de la pauvreté et du sans-abrisme, ce qui est positif, a ajouté Mme Kauppi. Mais, pour élaborer de bonnes politiques publiques et faire des investissements appuyant autant de gens que possible, nous devons cerner plus précisément le nombre de Canadiens touchés et l’incidence sur ceux-ci. Je remercie le CRSH de cette reconnaissance et me réjouis à la perspective de poursuivre ces recherches des plus nécessaires avec une équipe bilingue, triculturelle et pluridisciplinaire à Sudbury. »

Mme Kauppi se prépare à élargir ses recherches sur le sans-abrisme invisible au plan national. Grâce à une subvention du CRSH, elle dirigera un groupe de chercheurs de l’Université Laurentienne, de l’Université de Sudbury et du Service de santé publique de Sudbury et du district qui mènera une série d’ateliers portant sur les enjeux, rassemblera les collègues du pays, organisera une conférence nationale et publiera un livre sur le sans-abrisme invisible et la réconciliation.

« Je félicite Mme Kauppi de ses travaux et de ce prix du CRSH, a dit le vice-recteur à la recherche à l’Université Laurentienne, M. Riu Wang. Notre établissement est très fier du leadership que nous jouons en recherche et du dévouement témoigné par notre personnel en travaillant de pair avec les intervenants de la communauté et du gouvernement sur des projets qui amélioreront la vie. Mme Kauppi en est un parfait exemple. »

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Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules, et la santé et la sécurité au travail.

Dix mois avant l’échéance de l’entente actuelle, l’UL et le syndicat des employés concluent un contrat de trois ans.

Dix mois avant l’échéance de l’entente actuelle, l’UL et le syndicat des employés concluent un contrat de trois ans.

1 septembre 2017

Le Syndicat des employés de l’Université Laurentienne (SEUL) et l’Université Laurentienne se sont entendus sur une nouvelle convention collective. 93 % des membres du Syndicat ont voté pour la prolongation de trois ans du contrat, négociée dix mois avant l’expiration de l’entente actuellement en place avec le SEUL.

« Cette entente est un point positif tant pour notre personnel que pour l’ensemble de la collectivité universitaire, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel, Ph.D. Je tiens à remercier nos partenaires du SEUL de leur travail ardu et de leur collaboration. En parvenant à cet accord presque un an avant la fin de la convention collective actuelle, nous témoignons de la qualité de la relation entre l’Université et le SEUL aussi bien que de notre intérêt commun à assurer la stabilité organisationnelle alors que nous finalisons le Plan stratégique 2018-2023 de l’Université. »

La prolongation de trois ans du contrat sera en vigueur jusqu’au 30 juin 2021. En vertu de l’entente, les membres du SEUL recevront des augmentations salariales de 1,8 %, 1,5 % et 1,5 % au 1er juillet 2018, 2019 et 2020 respectivement. Les membres augmenteront les cotisations au régime de retraite supérieures au MGAP de 8,2 % à 9,9 % et la Laurentienne continuera à partager équitablement les cotisations au régime. Un nouveau libellé en matière de gestion de main-d’œuvre est intégré à la convention pour indiquer que l’Université s’engage à éviter les postes redondants et permettre plus de souplesse pour le transfert des titulaires à d’autres postes.

« Les membres du SEUL sont fiers du travail qu’ils font pour assurer un fonctionnement de haut calibre dans tous les aspects du campus de la Laurentienne, a ajouté le président du SEUL, M. Tom Fenske. Nous nous enorgueillissons aussi des liens solides tissés entre notre syndicat et l’administration de l’Université qui nous ont permis d’achever ce processus contractuel bien avant l’échéance. Nous attendons tous avec intérêt de continuer à cultiver ce partenariat afin qu’en profite toute la collectivité de l’Université Laurentienne. »

Le SEUL représente environ 280 membres du personnel à l’Université Laurentienne, y compris des employés de bureau, secrétaires, technologues, techniciens, employés en informatique, personnel de l’entretien et de la Bibliothèque, y compris les techniciens et adjoints en bibliothèque, les ingénieurs d’exploitation ainsi que le personnel du Service d’impression et du Service de sécurité.

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux.

Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules, ainsi que la santé et la sécurité en milieu de travail.

Réaction à l'annonce du gouvernement au sujet de la création de la première université de langue française en Ontario

Réaction à l'annonce du gouvernement au sujet de la création de la première université de langue française en Ontario

​L’Université Laurentienne attend avec intérêt de collaborer avec la Province pour appuyer l’enseignement postsecondaire de langue française dans le centre et le sud-ouest de l’Ontario afin qu’il complète ce qui est offert actuellement en Ontario.

Nous continuerons d’offrir des programmes de langue française de haut calibre qui satisfont aux besoins de nos communautés et de notre population d’étudiants francophones qui ne cesse de croître.

En tirant profit des millions de dollars investis récemment dans la réfection des installations, la Laurentienne continuera aussi d’offrir un milieu dynamique de langue française où il fait bon vivre et apprendre. Nous nous réjouissons à la perspective de participer au dialogue permanent sur les études postsecondaires de langue française en Ontario.

Plus de 500 000 $ en financement fédéral pour appuyer la gestion de résidus miniers et des projets de recherche en sciences médico-légales

Plus de 500 000 $ en financement fédéral pour appuyer la gestion de résidus miniers et des projets de recherche en sciences médico-légales

L’Université Laurentienne recevra 508 765 $ en financement fédéral des infrastructures pour deux projets prévoyant des résultats innovateurs dans les domaines de la gestion de résidus miniers et des sciences médico-légales. Le financement, provenant du Fonds des leaders John-R.-Evans de la Fondation canadienne pour l’innovation, a été annoncé par la ministre des Sciences, Kirsty Duncan, qui était de passage sur le campus de l’Université Laurentienne, à Sudbury. La ministre Duncan a annoncé des projets de recherche et d’innovation estimés à quelque 52 000 000 $ dans 51 universités canadiennes.

 

Projets à l’Université Laurentienne

Domaine minier

L’un des projets profitant du financement annoncé est une nouvelle installation d’analyse sur le terrain et en laboratoire qui aidera Mme Nadia Mykytczuk et son équipe à trouver des moyens de maîtriser les grands coûts financiers et pour l’environnement des activités minières. Les travaux de Mme Mykytczuk, portant sur la mise au point de technologies alternatives de gestion de résidus miniers tout particulièrement dans le climat froid du nord, contribuent à une industrie minière plus propre, sécuritaire et efficace.


Sciences médico-légales et métabolomique

L’investissement fédéral financera aussi des installations de pointe de spectrométrie de masse qui aideront à définir le potentiel et les limites des conclusions tirées au moyen de l’analyse toxicologique de restes humains et à explorer les fondements du métabolisme. Les installations permettront d’identifier des composés chimiques choisis, tels que les toxines et les sous-produits métaboliques dans les restes décomposés, les tissus animaux et les échantillons environnementaux (eau, sol, etc.), et d’en mesurer la concentration. Elles serviront aussi à l’étude du changement de métabolisme en fonction des maladies, de l’exercice, voire même du travail souterrain profond.

 


Importance de l’investissement fédéral dans les infrastructures

L’Université Laurentienne continue d’être chef de file des recherches dans le nord de l’Ontario grâce en grande partie aux investissements de nos partenaires fédéraux. Par le passé, les investissements de la FCI ont financé des projets tels que le laboratoire partagé de MM. James Watterson et Thomas Merritt, Ph.D. Entre autres, dans ses recherches, M. Watterson met au point et caractérise des méthodes d’analyse de microéchantillons de sang séché pour appuyer les enquêtes médico-légales sur les conducteurs présumés sous l’effet de drogues.

Un professeur en psychologie du sport est élu président d’une société internationale

Un professeur en psychologie du sport est élu président d’une société internationale

Félicitations au professeur de la Laurentienne, M. Robert Schinke, titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur l’activité physique et sportive multiculturelle, qui a été élu président de l’International Society of Sports Psychology au début de l’été.

Âgé de 51 ans, M. Schinke est la plus jeune personne à présider cette prestigieuse société et le premier Canadien à exercer ce rôle dans lequel il mènera des efforts sur la scène mondiale pour rehausser la capacité en psychologie du sport dans les pays en développement.

Dans ses recherches actuelles, M. Schinke examine les défis liés aux sports que doivent relever les nouveaux arrivés au Canada dans le cadre du système sportif canadien.

Depuis 2000, il travaille de près avec des boxeurs professionnels, champions mondiaux mis en vedette sur HBO, et prépare actuellement les équipes canadiennes masculines et féminines de boxe et de karaté en vue des Jeux olympiques d’été de 2020.

Récemment, l’un de ses anciens étudiants au doctorat s’est vu décerner la Médaille d’or du gouverneur général pour souligner son projet de dissertation, et a été nommé lauréat du Prix de chercheur émergent de l’International Society of Sport Psychology en 2017.

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CRSST «  dirige la prévention par les recherches  »

CRSST «  dirige la prévention par les recherches  »

Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) de la Laurentienne ont dévoilé le premier laboratoire itinérant en santé et sécurité professionnelles (CRSST-I) au Canada

Aujourd’hui, le ministre du Travail, M. Kevin Flynn, le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux, et le personnel du Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) de la Laurentienne ont dévoilé le premier laboratoire itinérant en santé et sécurité professionnelles (CRSST-I) au Canada.

« Grâce à notre investissement de 500 200 $, le CRSST-I permettra aux chercheurs et aux étudiants universitaires d’établir des liens avec les travailleurs dans les régions isolées du nord de l’Ontario, ce qui rehaussera la prévention des maladies et des blessures professionnelles, a dit le ministre du Travail, M. Kevin Flynn. Nous sommes fiers d’être en mesure de lancer cette initiative qui fait preuve d’une approche pionnière dans le domaine de la recherche en santé et sécurité au travail. »

Le CRSST itinérant (CRSST-I) est un véhicule sur mesure hébergeant un laboratoire mobile de 40 pieds qui comprend une clinique, une aire de rencontre ainsi qu’un laboratoire qui apporte un soutien aux recherches sur le terrain en matière de santé mentale et qualité de vie au travail. Le véhicule est doté de matériel mobile favorisant, entre autres, la prévention d’accidents ainsi que de blessures causées par les vibrations, l’atténuation de la fatigue, la prévention du stress thermique, l’hygiène du sommeil pour améliorer la qualité et la quantité du sommeil et l’évaluation de programmes d’intervention.

Le CRSST-I sera une passerelle aux communautés souvent exclues des recherches en santé et sécurité au travail en raison de leur situation géographique dans le Nord, et rehaussera la collaboration entre les centres de recherche, les travailleurs, l’industrie et les organismes en santé et sécurité.

Les recherches menées par le CRSST-I seront cruciales et les travailleurs de partout au Canada bénéficieront des résultats. « Ce laboratoire mobile est un élément clé de l’approche adoptée par le CRSST aux recherches sur le terrain -dans le laboratoire - sur le terrain, a exprimé M. Leo Gerard, président international des Métallos et président du Conseil consultatif du CRSST. En apportant le laboratoire de recherche sur les lieux de travail du Nord, les travailleurs pourront jouer un rôle actif dans l’amélioration de leur propre milieu professionnel. »

La titulaire de la Chaire de recherche du CRSST, Mme Tammy Eger, et la directrice, Mme Sandra Dorman, sont d’accord. « Le CRSST-I changera la façon dont les recherches en santé et sécurité au travail sont effectuées. Il tiendra les travailleurs au courant des pratiques exemplaires grâce aux collaborations du CRSST avec d’autres centres de recherche et associations partenaires en lieux de travail sûrs. »

Le CRSST-I prendra la route en direction de nombreuses collectivités nord-ontariennes dans le cadre de la première tournée « Diriger la prévention par les recherches », qui sera lancée à l’automne.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules.

Des étudiants de l’Université Laurentienne remportent les deux premiers prix à un prestigieux concours minier

Des étudiants de l’Université Laurentienne remportent les deux premiers prix à un prestigieux concours minier

Les équipes de l’École de génie Bharti ont gagné 30 000 $ en prix en se classant aux premier et deuxième rangs du « Mined Challenge » de l’Ontario Mining Association, à Toronto

​L’Université Laurentienne tient à féliciter les deux équipes d’étudiants de l’École de génie Bharti de leur victoire à un important concours minier, à Toronto. Les équipes ont terminé en première et deuxième places au « Mined Open Innovation Challenge » présenté par l’Ontario Mining Association.

Dans le cadre du concours, on demandait aux équipes d’établir un plan pour l’expansion des activités sur un site minier faisant l’objet d’une découverte de nouveaux gisements de minerai. Le défi consistait à optimiser les nouvelles ressources plus profondes en employant des technologies et pratiques innovatrices et évitant les effets néfastes sur la santé, la sécurité, l’environnement et la communauté avoisinante. Les finalistes ont présenté leur proposition à un groupe de cadres supérieurs de l’industrie minière agissant en qualité de juges ainsi qu’à un auditoire en direct.

Le prix de la première place, à savoir 15 000 $, a été remis aux étudiants de l’UL Joshua Fortes, Alex MacInnes, Adam Grinbergs, Liam Dunn, Muhammad Syed et Justin So. « Il s’agissait d’un véritable effort d’équipe, a dit le chef de l’équipe, Joshua Fortes, ému de la victoire. Nous croyons que notre proposition sera avantageuse pour l’industrie minière et les communautés qui entourent les installations minières et le fait qu’elle soit choisie par les juges nous remplit d’un sentiment d’humilité et de fierté. Je tiens à féliciter toutes les équipes de leur travail ardu et de leurs solutions créatives. »

Un autre groupe d’étudiants de la Laurentienne a terminé en deuxième place et remporté la somme de 10 000 $. La proposition de Sarah Bulanda, Peter Gazaes et Patrick Lamontagne a aussi remporté le Prix du choix de l’auditoire, leur apportant une somme additionnelle de 5 000 $.

L’objectif du Mined Open Innovation Challenge est de favoriser, dans l’industrie minière, un rendement supérieur en santé et sécurité, protection environnementale, efficacité énergétique et productivité. L’Université Laurentienne est un fier partenaire de cette activité, tout comme l’Ontario Mining Association et les écoles des mines/de génie des universités de Toronto et Queen’s.

« Je suis tellement fier de tous nos étudiants lauréats, a dit le doyen de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture, M. Osman Abou-Rabia, Ph.D. Leur réussite au Mined Open Challenge témoigne de la créativité, de l’ingénuité et de l’esprit de collaboration de tous les membres d’équipe. Ces personnes incarnent en effet les qualités et talents que l’École de génie Bharti continue de favoriser et de promouvoir. »

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 200 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

L'Université Laurentienne équilibre son budget pour la septième année consécutive

L'Université Laurentienne équilibre son budget pour la septième année consécutive

Aujourd’hui, le Conseil des gouverneurs a approuvé à l’unanimité le budget de fonctionnement de 155 900 000 $ pour 2017-2018, une augmentation de 5 400 000 $ ou de 3,6 % par rapport à l’an dernier.

Le campus de Sudbury comptera 28 membres supplémentaires à plein temps du corps professoral dans 14 unités d’enseignement, dont 11 nouveaux postes et 17 collègues effectuant un transfert de Barrie. Parmi ceux-ci, il y aura trois titulaires de chaires de recherche en métallogénie, ciblage de l’exploration et développement économique durable du Nord. De nouvelles maîtrises ont été créées en architecture et communication scientifique ainsi qu’un nouveau programme en criminologie et des programmes bilingues en génie. En 2018, le nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff Fielding de 60 000 pieds carrés ouvrira ses portes, ainsi qu’un nouveau Centre étudiant en 2019.

Pour ce qui est des nouveaux investissements, il y a des hausses de 21 % en technologie de l’information, 22 % en recherche et 16 % dans les études supérieures. Les budgets des écoles de sciences infirmières, de service social, de relations autochtones et d’architecture McEwen noteront des augmentations de pourcentage à deux chiffres. En outre, l’Université rehaussera les dépenses liées à l’entretien différé, à la santé mentale des étudiants, aux acquisitions en bibliothèque et aux appuis pour les étudiants étrangers.

« Cette année, nous avons eu des entretiens difficiles, non seulement en raison des pressions budgétaires, mais aussi des conditions changeantes des programmes d’études et de l’idée de concevoir un établissement répondant aux besoins actuels et futurs de nos étudiants, a dit la vice-rectrice à l’administration, Mme Carol McAulay. Nous remercions toutes les personnes qui ont participé aux séances de consultation et sommes reconnaissants de leur aide à équilibrer le budget pour la septième année consécutive. Ce qui est ressorti, pendant le processus, est que nous nous investissons tous à la viabilité à long terme de notre université. »

La Laurentienne formule actuellement son Plan stratégique 2018-2023 qui éclairera les futures décisions budgétaires. Le Plan stratégique 2012-2017 tire effectivement à sa fin et a donné d’impressionnants résultats : plus de 200 000 000 $ investis dans les immobilisations, y compris une importante modernisation du campus, l’École d’architecture McEwen, une nouvelle résidence étudiante, un nouveau Centre autochtone de partage et d’apprentissage, un Centre d’apprentissage des cadres, un Club universitaire, un Laboratoire de recherche cardiovasculaire et métabolique et une amélioration des services d’alimentation. De plus, l’Université a fondé le Centre d’excellence universitaire et l’École des mines Goodman et a relancé le hockey interuniversitaire, parmi d’autres réalisations.

« Pendant les dernières années, la Laurentienne a créé un bel élan et connu de grands succès, a ajouté le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux. Pour la sixième année consécutive, nous avons les meilleurs taux d’emploi après l’obtention du diplôme parmi toutes les universités de l’Ontario. Nos étudiants remportent des concours au plan mondial et nos diplômés gagnent le deuxième salaire moyen le plus élevé parmi les universités ontariennes. L’École des sciences de la Terre Harquail a lancé le projet Terre métallique de 104 000 000 $ subventionné par le Fonds d’excellence en recherche Apogée Canada, ce qui représente le plus important investissement dans la recherche dans l’histoire de la Laurentienne. Depuis 2009, le financement de recherche des trois conseils nationaux a doublé, tout comme le nombre de membres autochtones du corps professoral. Dans le classement de Maclean’s, la Laurentienne se classe maintenant parmi les 10 meilleures universités au premier cycle. La note moyenne à l’admission est passée de 79 % à 82,4 % depuis 2009 et le nombre d’étudiants admis avec une moyenne au-delà de 85 % a presque doublé. J’attends avec impatience de voir les prochains résultats impressionnants visés par la collectivité universitaire dans le Plan stratégique 2018-2023. »

« C’est une époque dynamique à la Laurentienne, a dit la présidente du Conseil des gouverneurs, Mme Jennifer Witty. Le budget équilibré de cette année nous permettra de miser sur nos réussites antérieures alors que nous mettons au point le Plan stratégique 2018-2023. »

Points saillants du budget

  • Hausse de 5 400 000 $ ou de 3,6 % des revenus et dépenses par rapport au budget approuvé en 2016-2017
  • Ajout de 28 membres à plein temps du corps professoral sur le campus de Sudbury
  • Augmentation de 870 000 $ ou de 21 % dans la technologie de l’information
  • Augmentation de 725 000 $ ou de 13 % dans l’École des sciences infirmières
  • Augmentation de 586 000 $ ou de 22 % en recherche, y compris 261 000 $ pour le nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff Fielding
  • Augmentation de 484 000 $ ou de 16 % dans les études supérieures
  • Augmentation de 468 000 $ ou de 12 % dans les écoles de service social et de relations autochtones
  • Augmentation de 374 000 $ pour appuyer les étudiants qui déménagent de Barrie
  • Augmentation de 325 000 $ ou de 29 % pour l’entretien différé selon la politique du Conseil
  • Augmentation de 287 000 $ dans l’École d’architecture McEwen
  • Augmentation de 230 000 $ dans la sécurité
  • Augmentation de 190 000 $ pour le Bureau de l’équité, de la diversité et des droits de la personne
  • 180 000 $ dans la stratégie de persévérance de la population étudiante
  • Augmentation de 167 000 $ dans la santé mentale
  • 150 000 $ sur les deux prochaines années pour assurer la validation et le lancement avec succès du Plan stratégique 2018-2023
  • 25 % des revenus internationaux supplémentaires réinvestis dans le recrutement et l’appui des étudiants étrangers
  • Investissement continu de 1 % de la paie dans le perfectionnement professionnel
  • Investissement continu de 1,5 % des revenus de fonctionnement dans l’entretien différé

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules.

 

PERSONNES-RESSOURCES POUR LES MÉDIAS

Renseignements et entrevues

Joanne Musico

Directrice des communications

705-675-1151, poste 3445, ou 1-800-263-4188, poste 3445

jmusico@laurentienne.ca

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