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Ouverture officielle de la clinique universitaire d'orthophonie

Ouverture officielle de la clinique universitaire d'orthophonie

Cette nouvelle clinique ouvre ses portes à la communauté du Grand Sudbury

9 octobre 2014 – En présence de dignitaires et de professionnels du secteur de la santé, l’Université Laurentienne a procédé aujourd’hui à l’inauguration de sa clinique universitaire d’orthophonie. Offrant des conditions optimales de formation aux étudiantes et étudiants du baccalauréat et de la maîtrise en orthophonie (respectivement B.Sc.S. et M.Sc.S.), cette nouvelle clinique ouvre ses portes à la communauté du Grand Sudbury grâce à l’appui du Bureau des affaires francophones de l’Université Laurentienne et du Consortium national de formation en santé (CNFS).  
 

« L’Université Laurentienne tire une grande fierté de cette nouvelle clinique qui permet à ses 120 étudiants en orthophonie de pouvoir bénéficier d’installations de qualité, à la hauteur de l’enseignement dispensé par un corps professoral d’exception, déclare le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, Dominic Giroux. L’ouverture de cette clinique est d’autant plus importante qu’elle s’inscrit dans le contexte d’une pénurie de professionnels de la santé et qu’elle répond, de facto, aux besoins avérés de toute notre communauté. »
 

Lors de cet événement, la coordonnatrice du programme d’orthophonie de l’Université Laurentienne, Mme Michèle Minor-Corriveau, a également procédé au lancement d’une nouvelle plateforme de partage disponible en ligne et destinée aux professionnels du domaine de l’orthophonie : « À l’heure où les technologies de l’information nous offrent les moyens adéquats de partager nos ressources et nos meilleures pratiques, nous souhaitons, à travers ce forum unique en Ontario, permettre à tous les professionnels œuvrant notamment dans le domaine des troubles de la voix, de la parole et du langage, d’échanger leurs connaissances et leurs outils afin de faire avancer l’innovation et la recherche dans le domaine de l’orthophonie. »

 

Notons que les orthophonistes sont des cliniciens, des professeurs, des gestionnaires, des administrateurs, des chercheurs et des professionnels en entreprises travaillant dans des centres ruraux et urbains. Ils dépistent, évaluent, identifient et traitent les troubles de la parole, du langage (oral et écrit), de la voix, de la fluidité (bégaiement), de la déglutition et de l’alimentation chez des personnes de tout âge.
 

Située au 6e étage de l’édifice Parker du campus principal de l’Université Laurentienne, à Sudbury, la clinique universitaire d’orthophonie accueille ses clients sur rendez-vous au 705-675-1151, poste 4122. Pour davantage d’information concernant le programme d’orthophonie de l’Université Laurentienne et sa clinique universitaire, visitez le www.laurentienne.ca/orthophonie. Vous pouvez également suivre le programme d’orthophonie de l’Université Laurentienne sur Twitter @LULorthoSLP et aimer la page Facebook : facebook.com/LULorthoSLP.

La Laurentienne accueille la 2ème édition annuelle du Sommet de leadership

La Laurentienne accueille la 2ème édition annuelle du Sommet de leadership

Le congrès vise à établir une « culture de leadership en collaboration »

9 octobre 2014 – La Ville du Grand Sudbury et l’Université Laurentienne, avec une commandite de la revue Canadian Government Executive, ont annoncé le programme de la 2e édition annuelle du Sommet de leadership, qui aura lieu les 16 et 17 octobre, à Sudbury.
   

Les objectifs du sommet sont de tisser un réseau de leadership en collaboration et innovateur, de présenter les dernières recherches en matière de formation de leadership et de poser les jalons pour la création d’un nouvel Institut de leadership.
 

« Le Sommet de leadership inaugural l’an dernier, a dit le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux, nous a donné un élan formidable et nous nous réjouissons de voir que cette énergie continue de nous propulser vers l’avant. Il s’agit véritablement d’un projet concerté et tous les partenaires font preuve d’un engagement concret pour la collaboration afin de renforcer notre potentiel de leadership. »
 

Le Sommet sera lancé lors d’une réception qui se tiendra dans la soirée du 16 octobre à la Caverne Vale de Science Nord. Le chancelier l’Université Laurentienne, M. Steve Paikin, souhaitera d’abord officiellement la bienvenue et le conférencier d’honneur, M. Stephen M. R. Covey, prononcera l’exposé intitulé « The Speed of Trust ». Auteur à succès du livre The Speed of Trust—The One Thing that Changes Everything cité par le New York Times et le Wall Street Journal, cet ex-PDG du Covey Leadership Centre a dirigé la stratégie qui a permis au livre d’affaires rédigé par son père, The 7 Habits of Highly Effective People, de devenir l’un des plus influents du XXe siècle. M. Covey est cofondateur de CoveyLink, cabinet d’experts-conseils et d’apprentissage qui habilite les dirigeants et organismes à atteindre un rendement supérieur.
 

Le 17 octobre, le Sommet s’installera sur le campus de la Laurentienne pour une journée complète de discussions interactives, de tables rondes et un discours liminaire.
 

Ce forum donnera l’occasion aux dirigeants des secteurs privé, public et sans but lucratif de partager leurs perspectives en matière de leadership. Le Sommet est aussi parrainé par le Centre d’excellence en innovation minière (CEIM) et l’École des mines Goodman de l’Université Laurentienne.
 

Parmi les autres conférenciers du Sommet de leadership 2014, il faut souligner :
 

Kerry Pond, sous-ministre adjoint, Centre du leadership et de l’apprentissage, Fonction publique de l’Ontario (FPO);

 

Jennifer J. Deal Ph.D., chercheuse principale au Centre for Creative Leadership (CCL) et chercheuse associée au Center for Effective Organizations, University of South Carolina;
 

Rosie Steeves, Ph.D., fondatrice et présidente d’Executive Works, organisme qui aide les dirigeants à transformer leurs organismes au moyen d’un leadership efficace.
 

Plus de renseignements figurent à laurentian.canadiangovernmentexecutive.ca/

L’Université nomme une nouvelle directrice du développement

L’Université nomme une nouvelle directrice du développement

Kristy Rousseau dirigera l’équipe de Développement de l’Université

1 Octobre 2014 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de Mme Kristy Rousseau au poste de directrice du Développement. En cette qualité, elle surveillera et dirigera tous les programmes de développement et les activités de mobilisation de fonds. Elle fournira une vision stratégique, une direction générale et un encadrement à l’équipe du Développement pour ce qui est de tous les programmes de collecte de fonds.

« Nous nous réjouissons d’accueillir Kristy dans ses nouvelles fonctions, a dit la dirigeante principale de l’Avancement, Mme Tracy MacLeod. Elle a acquis une expérience professionnelle en mobilisation de fonds et des aptitudes pour le leadership qui profiteront à notre équipe alors que nous continuons à cultiver des relations clés pour l’Université. Nous savons qu’elle a l’habileté d’atteindre de nouveaux sommets au nom du développement de l’Université. »

Depuis mai 2014, Mme Rousseau est directrice intérimaire du Développement et a acquis quelque dix ans d’expérience professionnelle en mobilisation de fonds à titre de professionnelle agréée en collecte de fonds (CFRE). Elle a collaboré avec diverses unités administratives, d’enseignement et de recherche pour optimiser les possibilités de mobilisation de fonds afin d’appuyer les priorités stratégiques de l’Université.

Avant de devenir directrice intérimaire du Développement, Mme Rousseau était, depuis 2011, gestionnaire des dons individuels au Bureau de développement de la Laurentienne. Elle a joué un rôle clé dans la Campagne Objectif 50 qui a recueilli quelque 65 000 000 $ pour soutenir les priorités stratégiques de l’Université. Auparavant, elle était agente du développement pour la Fondation de l’Hôpital régional de Sudbury.

Reconnue comme l’une des 40 personnes les plus performantes de moins de 40 ans à Sudbury, elle est lauréate d’un Prix d’excellence du CCAE et d’une médaille de bronze pour le meilleur événement de développement en juin 2013.

Mme Rousseau prépare actuellement une maîtrise en administration des affaires à l’Université Laurentienne et est titulaire d’un baccalauréat ès arts spécialisé en gestion économique de l’Université de Guelph.

« Étant diplômée universitaire de première génération et Canadienne métisse, la Laurentienne et la place unique qu’elle occupe parmi les universités canadiennes me tiennent beaucoup à cœur, a affirmé Mme Rousseau. Nous avons une superbe équipe au Développement et c’est un plaisir pour moi de pouvoir la diriger. »

L'Université Laurentienne et l'Association des professeurs concluent une entente de principe

L'Université Laurentienne et l'Association des professeurs concluent une entente de principe

L’Université et l’Association des professeurs de l’Université Laurentienne (APPUL) ont conclu une entente de principe concernant une nouvelle convention collective.

29 Septembre 2014 - L’Université Laurentienne et l’Association des professeurs de l’Université Laurentienne (APPUL), qui représente 372 professeurs et bibliothécaires à plein temps et 200 chargés de cours à temps partiel qui travaillent à Sudbury et à Barrie, ont conclu une entente de principe concernant une nouvelle convention collective. 

« Je me réjouis, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux, que les deux équipes de négociation aient pu arriver à une entente sans entraver l’année universitaire. Si l’entente est ratifiée, elle permettra à l’Université et à son corps professoral de poursuivre leur lancée avec des plans excitants pour les années à venir. » 

« Cela a été un processus intense, a ajouté le président de l’APPUL, M. Anis Farah. Les deux équipes de négociation ont travaillé très fort pour régler de façon collégiale les préoccupations d’intérêt commun. Cette entente de principe pose un jalon positif pour l’avancement de l’Université et de l’APPUL. » 

L’Université et l’APPUL tiennent à remercier les membres des équipes de négociation, menées par M. Hermann Falter pour l’Université et M. Rizwan Haq pour l’APPUL, de leur dévouement et de leur engagement envers une culture organisationnelle positive. 

Les membres de l’APPUL s’exprimeront par un vote pour ratifier l’entente de principe aussitôt que possible. Elle doit aussi être ratifiée par le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne. Comme il est d’usage, les dispositions de l’entente de principe ne seront pas dévoilées avant sa ratification par les deux parties. 

Les activités se déroulent donc normalement sur les campus de la Laurentienne à Sudbury et à Barrie et pour les cours de formation à distance. 

La convention actuelle est arrivée à échéance le 30 juin. Les parties ont tenu de nombreuses séances de négociations depuis avril, y compris une journée avec un conciliateur, et quatre journées avec un médiateur. 

L’APPUL avait le droit de faire la grève et l’Université avait le droit de déclencher un lock-out depuis le 25 septembre. Les parties s’étaient entendues pour ne pas prendre de telles mesures avant le 30 septembre, au parachèvement des journées prévues de médiation. 

La Laurentienne nomme sa première Gestionnaire de l'Énergie et de la Durabilité

La Laurentienne nomme sa première Gestionnaire de l'Énergie et de la Durabilité

Mme Kati McCartney dirigera les efforts de l’Université visant à réduire l’empreinte écologique et à promouvoir les meilleures pratiques

11 septembre 2014 – Étalonnage de la consommation d’énergie, compostage dans les résidences et zéro déchet dans la cafétéria, telles sont les trois initiatives en cours à l’Université Laurentienne, lancées à l’appui de son « programme vert » que fera avancer la gestionnaire de l’énergie et de la durabilité, Mme Kati McCartney. 

« Ce poste est nouveau à la Laurentienne, mais l’Université est déjà une championne reconnue de l’environnement sur de nombreux fronts, a dit Mme McCartney. Nous avons le potentiel de nous hisser vraiment au rang de leader en matière de durabilité et de conservation et je suis convaincue que nous pouvons être dans le peloton de tête des universités vertes. » 

À titre de gestionnaire de l’énergie et de la durabilité, Mme McCartney dirigera la planification des opérations durables et gérera le portefeuille énergétique (achat et consommation). Titulaire d’une maîtrise ès sciences (sciences chimiques) et d’une MBA de l’Université Laurentienne, elle est en train de développer des objectifs de durabilité, à court et à long terme, au moyen d’initiatives dans quatre domaines : consommation d’énergie, réacheminement des déchets, sensibilisation et éducation. 

Mme McCartney dirigera également les efforts visant à mesurer la consommation d’énergie dans tout le campus, et avec précision, à établir les données de référence et à réduire celle-ci. Ces efforts consisteront, entre autres, à installer des compteurs pour tous les services publics — électricité, gaz naturel et eau — pour suivre de près la consommation et étalonner l’efficacité. 

 Selon Mme McCartney, un audit énergétique du campus réalisé en juillet a révélé que la Laurentienne, en matière de rendement, fait « un peu mieux que la moyenne pour les universités en Ontario ». « Grâce à notre étalonnage, dit-elle, nous pourrons cerner les domaines où nous pourrons améliorer les économies d’énergie. Nous procéderons aux réaménagements là où c’est logique et encouragerons des changements de comportements relativement à la consommation énergétique. » 

Le compostage dans les résidences de la Laurentienne, l’une des initiatives de grande envergure en cours sur le campus de Sudbury, va aussi dans ce sens. En lançant cette initiative au début de l’année scolaire, la Laurentienne est devenue le premier établissement dans la Ville du Grand Sudbury à avoir adopté le programme de compostage résidentiel de la municipalité. 

« Nous sommes la première université dans le nord à mettre en oeuvre le compostage à une si grande échelle et nous y arriverons certainement sous l’impulsion de nos étudiants, se réjouit le directeur des Services de logement et d’alimentation à l’UL, M. Ben Demianiuk. Nous avons travaillé avec la Ville pour le mettre en place, mais ce sera à nous tous de créer une culture de prise en charge. » Selon les estimations, le compostage dans les résidences pourrait détourner chaque année jusqu’à 50 tonnes de déchets organiques des sites d’enfouissement. 

Cet effort, celui du réacheminement des déchets, va encore plus loin dans le Grand Salon de l’Université, la salle à manger nouvellement rénovée. La cafétéria de style restaurant n’a ni poubelle, ni bac bleu pour récipients en verre, plastique ou aluminium. 

« C’est un véritable changement d’étape, un geste audacieux, a déclaré Mme McCartney. Il n’y a pas de gobelet jetable, pas d’assiette en papier, pas de couvert en plastique, pas de canette de boisson gazeuse, pas de bouteille en verre à jeter dans le bac bleu. Tout ce qui sert aux repas est lavable, et tous les restes de repas vont droit au compost. En matière de réacheminement des déchets, c’est vraiment énorme. » 

L’Université Laurentienne tient à promouvoir une culture solide de la durabilité et de la gérance environnementale. Elle a signé l’engagement du Conseil des universités de l’Ontario (Ontario Universities Committed to a Greener World) selon lequel les universités aideront à trouver des solutions aux défis de la durabilité environnementale, diffuseront les connaissances sur la durabilité et le changement climatique et incorporeront, autant que possible, les principes de durabilité dans leurs propres activités. 

La Laurentienne tiendra un Forum sur la durabilité du campus le 29 septembre 2014, au cours duquel une conférence publique sera donnée par M. David Miller, militant écologiste, ex-maire de Toronto et actuellement PDG de WWF Canada. De plus amples détails sur le forum seront publiés dans le courant du mois. 

L’Université Laurentienne nomme une nouvelle directrice au bureau des anciens

L’Université Laurentienne nomme une nouvelle directrice au bureau des anciens

10 septembre 2014 – Un comité de sélection, y compris des représentants de l’Association des anciens de l’UL et des collègues en enseignement et d’ailleurs, a approuvé à l’unanimité la nomination de Mme Rachel Chisholm au poste de directrice du Bureau des anciens avec entrée en vigueur le 22 septembre 2014.

 

Mme Chisholm assurera la direction et l’orientation stratégique touchant l’élaboration, la coordination et la mise en oeuvre du programme de relations avec les anciens de l’Université conformément au plan stratégique de l’Association des anciens de l’Université Laurentienne (AAUL).

 

« Au nom du Conseil de direction de l’AAUL, je suis heureuse d’accueillir Rachel, a indiqué la présidente de l’Association des anciens de l’Université Laurentienne, Mme Diane Mihalek. Elle apporte une expérience précieuse à notre Association et j’ai bien hâte de collaborer avec elle tout en accueillant les perspectives et les nouvelles idées qu’elle partagera. »

 

« Nous sommes ravis d’accueillir Rachel à une époque où nous favorisons de plus en plus l’engagement chez les diplômés de l’Université, a souligné la dirigeante principale de l’Avancement de la Laurentienne, Mme Tracy MacLeod. Son expérience dans le domaine des relations avec les anciens lui permettra de nouer des liens avec nos diplômés grâce à des programmes innovateurs et des communications efficaces. »

 

Mme Chisholm a géré le service aux anciens au Collège George Brown, où elle était responsable de l’élaboration de plans d’activités, de budgets et d’une publication. Elle a aussi lancé un outil d’encadrement en ligne pour la communauté des anciens ainsi qu’un système pour suivre leur niveau d’engagement.

 

Née et élevée à Montréal, Mme Chisholm parle couramment le français et l’anglais.

 

« Je suis heureuse de me joindre à la famille Laurentienne et j’ai hâte de rencontrer les éminents anciens de la Laurentienne pour prendre connaissance des contributions positives qu’ils apportent ici et partout dans le monde, a dit Mme Chisholm. Étant nouvelle à Sudbury, je suis impatiente, entre autres, de découvrir la ville et les gens et de participer à la vie communautaire. »

 

L’Association des anciens de l’Université Laurentienne compte quelque 52 000 diplômés, dont plus de 16 000 habitent la Ville du Grand Sudbury.

Grand Salon, options repas, restauration style marché: la Laurentienne lève le voile sur une nouvelle configuration d'un « point central » du campus

Grand Salon, options repas, restauration style marché: la Laurentienne lève le voile sur une nouvelle configuration d'un « point central » du campus

Un espace de restauration contemporaine, de style marché, sous le nom de marque Fresh Food Company.

27 août 2014Une nouvelle conception du Grand Salon, édifice emblématique de l’Université Laurentienne, a transformé cet ancien espace cafétéria en un espace de restauration contemporaine, de style marché, sous le nom de marque Fresh Food Company.

 

« Le Grand Salon a toujours été un point central, un véritable lieu de vie sur le campus, et sa réfection, pièce maîtresse de notre projet d’expansion des services de restauration, représente un grand moment pour l’Université, a déclaré aujourd’hui la vice-rectrice à l’administration, Mme Carol McAulay, lors de la cérémonie d’ouverture. Au cours des dernières années, nous avons largement consulté la communauté universitaire sur les repas et autres services offerts sur le campus et avons amélioré les options qui ont reçu sa faveur. »

 

Décrit comme une « expérience de style restaurant » au cœur du campus sudburois de la Laurentienne, l’espace-repas de la Fresh Food Company offrira divers repas santé, préparés sur commande à douze comptoirs-cuisine, dont Deli, Mongolian Grill et Dessert/Waffle Bar. Le choix laissera une grande place aux fruits et légumes du terroir, de même qu’aux produits alimentaires d’origine locale, et comprendra également des plats du jour et végétariens. Fresh Food Company sera exploitée par Aramark Food Services, le prestataire de services de restauration de l’Université Laurentienne.

 

« D’après notre recherche, nous savons que les étudiants veulent des repas frais, faits sur commande et servis dans un environnement convivial où ils peuvent passer du temps avec leurs amis, a déclaré le vice-président régional d’Aramark, M. Brian Struthers. Le nouveau concept Fresh Food Company répond à cette demande en offrant une ambiance de type restaurant, et nous estimons qu’elle deviendra un lieu de vie propice à l’interaction sociale et gastronomique sur le campus. »

 

La restauration de style marché prévoit un choix repas illimité à des tarifs fixes à chaque période de repas. Des options de paiement sous forme de plan de repas seront offertes aux étudiants dans les résidences désignées, et les membres du personnel et du corps professoral bénéficieront, eux aussi, de plans de repas.

 

Au cours des deux dernières années, l’Université Laurentienne a élargi les services de restauration sur le campus (aliments et boissons) en accueillant un café Starbucks, le Bistro à la Résidence Est, une sandwicherie Subway et, tout récemment, une franchise de Topper’s Pizza.

 

 

 

« Notre vision était de varier le choix de repas dans les différents secteurs de notre campus, a précisé le directeur des Services de logement et d’alimentation, M. Ben Demianiuk. Bien entendu, il est question non seulement d’élargir le menu, mais aussi d’améliorer les équipements sociaux et autres commodités de la vie au campus, en créant de nouveaux espaces accueillants où les gens peuvent se réunir, étudier ou socialiser. »

 

L’Université Laurentienne a lancé un ambitieux programme de modernisation et de renouveau chiffré à 50 000 000 $ et qui, comme le décrit le Plan stratégique 2012-2017, verra mettre au goût du jour des salles de classe et d’étude, des laboratoires et des espaces sociaux au cours des trois prochaines années.

Essai majeur sur le terrain du système d'énergie solaire conçu à Sudbury

Essai majeur sur le terrain du système d'énergie solaire conçu à Sudbury

Un système de cellules photovoltaïques, productrices d’énergie propre, sera déployé au large des côtes de Malte

19 août 2014) – Un concept innovateur et porteur d’économies énergétiques, en ce qu’il permet de canaliser l’énergie solaire propre vers diverses applications, aura son premier grand essai sur le terrain dans la mer Méditerranée, au large de l’île de Malte, au début de 2015. Conçu et développé par des chercheurs de MIRARCO et de l’Université Laurentienne à Sudbury, ce projet pilote est soutenu par le gouvernement de Malte, le Collège des arts, de la science et de la technologie de Malte ainsi que d’autres partenaires de recherche.

 

Ce projet intitulé « Offshore Passive Photo-voltaic » (OPPV, système photovoltaïque passif extracôtier) verra produire de l’énergie des panneaux solaires minces (cellules photovoltaïques) flottant à la surface de l’eau. Le rayon de panneaux, mesurant environ 20 mètres sur 20 mètres, devrait atteindre une puissance maximale de 8 kW, un régime suffisant pour alimenter deux maisons types de trois chambres.

 

« L’objectif du projet pilote est de trouver pour Malte d’autres moyens de produire de l’énergie propre, vu qu’elle est une petite île et ne dispose pas d’espace terrestre où installer des panneaux solaires, explique Mme Kim Trapani, chercheuse chez MIRARCO. Nous estimons que notre système constitue une avancée importante par rapport à d’autres formes d’énergies marines renouvelables, comme l’énergie éolienne en mer, les installations photovoltaïques rigides en mer, l’énergie houlomotrice et l’énergie marémotrice. Les panneaux photovoltaïques flottants ne posent pas de risque de collision et ne nécessitent que très peu d’entretien. »

 

Originaire de Malte, Mme Trapani a obtenu un doctorat à l’Université Laurentienne sous la direction de M. Dean Millar, professeur à l’École de génie Bharti et titulaire de la Chaire de recherche MIRARCO en énergie dans le secteur minier, qui s’intéresse tout particulièrement aux applications potentielles du projet OPPV dans le secteur minier.

 

« Les mines, où qu’elles se trouvent, tendent à consommer d’importantes quantités d’énergie pour assurer la production minérale, a précisé M. Millar. Le projet pilote maltais est une première mondiale qui vise à prouver la technologie PV à couches minces dans l’environnement marin d’eau saline, mais il a également été conçu comme un système de production d’électricité pour les mines. C’est-à-dire que les panneaux stratifiés flexibles flotteront sur la surface de l’eau de bassins de résidus et, de ce fait, pourraient former une barrière isolant la faune des eaux de résidus, tout en produisant de l’électricité pour la mine. »

 

Par ailleurs, ces deux chercheurs ont publié une étude semblant indiquer que, pour les mines éloignées comme celles de la région de la Ceinture de feu, le coût du kilowattheure produit par les systèmes photovoltaïques est inférieur au coût d’installation et d’exploitation des générateurs au diesel. « Notre technologie OPPV pourrait avoir pour l’industrie minière, en particulier les sites miniers éloignés, des répercussions qui changent la donne en mettant en place, avec relativement peu d’infrastructures, selon les besoins, un système d’énergie propre et bon marché, a indiqué M. Millar. Ces projets pilotes apporteront la preuve de la fiabilité à long terme de la technologie. »

Professeur associé à l'Université Laurentienne élu au Comité des drois de l'homme de l'ONU

Professeur associé à l'Université Laurentienne élu au Comité des drois de l'homme de l'ONU

La Laurentienne tient à féliciter le Doyen Yadh Ben Achour d’avoir été élu pour un mandat de quatre ans

30 juillet 2014 – L’Université Laurentienne tient à féliciter le Doyen Yadh Ben Achour d’avoir été élu pour un mandat de quatre ans au Comité des droits de l’homme des Nations-Unies. En 2004, l’Université Laurentienne a décerné un doctorat honoris causa au Doyen Ben Achour en reconnaissance de son travail pour rapprocher le monde arabe et l’Occident. Il est professeur associé au Centre international de recherche interdisciplinaire sur le droit (CIRID) ainsi qu’au Département de droit et à justice à l’Université Laurentienne.

 

Le Comité des droits de l’homme des Nations-Unies réunit dix-huit experts indépendants et se penche sur la conformité des États au Pacte international relatif aux droits civils et politiques.

 

Le Doyen Ben Achour a joué un rôle clé dans la transition de la Tunisie vers la démocratie après la Révolution de jasmin en janvier 2011. Il a été nommé à la tête de la commission responsable de mettre sur pied les institutions devant mener aux premières élections libres et transparentes en Tunisie en octobre 2011. Ces élections mettent en place l’Assemblée nationale constituante qui a rédigé la nouvelle constitution de la Tunisie.

 

Le Doyen Ben Achour est un fervent défenseur des droits de la personne et de l’État de droit. En 1992, il démissionne du Conseil constitutionnel tunisien et devient l’un des juristes les plus farouchement hostiles au régime de Ben Ali. Peu après, il est élu Doyen de la Faculté des sciences juridiques, politiques et sociales de Tunis, Université de Carthage. Il est depuis 2013 le président du Tribunal administratif de la Banque africaine de développement. En 2013, il se voit décerner le Prix international de la démocratie par la Fondation Internationaler Demoktratie Preis, Bonn, Allemagne.

Un nouvel ajout aux Services d'alimentation du campus de la Laurentienne

Un nouvel ajout aux Services d'alimentation du campus de la Laurentienne

Topper’s Pizza ouvrira son premier point de service en milieu universitaire

25 juillet 2014 – Dans le cadre de sa campagne soutenue pour améliorer et élargir les services d’alimentation offerts à la population étudiante, au personnel et au corps professoral du campus, l’Université Laurentienne a accueilli aujourd’hui Topper’s Pizza sur le campus de Sudbury. 

« À Sudbury depuis plus de 30 ans, Topper’s est bien connu et bien aimé, a dit le directeur des Services de logement et d’alimentation de la Laurentienne, M. Benjamin Demianiuk. Il s’agira sûrement d’un choix de repas populaire à l’Université et la compagnie cadre bien avec notre objectif d’offrir plus de choix d’aliments locaux. » 

En 1904, la famille Toppazzini a ouvert une boulangerie à Copper Cliff qui s’est imposée sur le marché de Sudbury pendant quelque huit décennies. Depuis le lancement de sa première pizzeria en 1982, l’entreprise familiale a grandi et comprend aujourd’hui 35 restaurants d’entreprise ou franchisés en Ontario, et mûrit d’autres plans d’expansion. 

« Nous nous réjouissons d’ouvrir à la Laurentienne notre premier point de service universitaire, a indiqué le PDG de Topper’s Pizza, M. Kelly Toppazzini. L’emplacement nous convient parfaitement et nous sommes fiers de faire partie de la communauté universitaire. » 

Le nouveau restaurant se situera directement à l’extérieur du Grand Salon à l’UL et ouvrira ses portes le 28 août 2014. L’ajout de Topper’s s’insère dans le plan à long terme de l’Université d’élargir les choix d’aliments et de boissons non alcoolisées, tout en créant plus de places sur le campus pour les rassemblements, les rencontres et les repas. Le Grand Salon rouvrira le 29 août après avoir subi des travaux de rénovation de 2 000 000 $, et offrira une expérience de style « marché » sous le nom Fresh Food Co. 

« Nous avons procédé à des consultations exhaustives et tenu compte des commentaires reçus des membres de la population étudiante et de notre communauté universitaire, a souligné la vice-rectrice à l’administration, Mme Carol McAulay. La rénovation du Grand Salon, l’ajout récent de Starbucks et du Bistro Est et l’ouverture imminente de Topper’s sur le campus nous permettent de fournir les places et les commodités requises pour assurer une excellente expérience à la population étudiante de la Laurentienne. » 

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