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Reconduction de Mme Sheila Cote-Meek

Reconduction de Mme Sheila Cote-Meek

Le mandat de la vice-rectrice associée à l’enseignement et aux programmes autochtones est renouvelé

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé à l’unanimité la recommandation du Comité d’évaluation et de sélection des administratrices et administrateurs universitaires supérieurs de reconduire Mme Sheila Cote-Meek, Ph.D., dans ses fonctions de vice-rectrice associée à l’enseignement et aux programmes autochtones.

Exerçant ces fonctions depuis 2010, Mme Cote-Meek a dirigé des initiatives autochtones stratégiques à ce titre, y compris la mise sur pied du Centre autochtone de partage et d’apprentissage parachevé récemment, l’élaboration de programmes autochtones, la surveillance des services de soutien pour les membres autochtones de la population étudiante et une contribution au rehaussement de la capacité d’enseignement et de recherche autochtones. Elle a renforcé les relations entre les collectivités autochtones et allochtones et comblé l’écart entre le milieu universitaire et le soutien aux étudiants. Grâce à ses travaux, les gens sont plus conscientisés et portent une plus grande attention aux Autochtones et aux besoins particuliers des apprenants autochtones.

« Sheila est la force motrice de l’engagement de la Laurentienne envers l’enseignement et la recherche autochtones, a affirmé le vice-recteur aux études, M. Pierre Zundel, Ph.D. Nous avons franchi beaucoup d’étapes importantes grâce à sa vision, à son dévouement et à son leadership. Nous sommes très fiers de voir renouveler son mandat pour une période de cinq ans et de continuer à suivre ses efforts à promouvoir les intérêts des étudiants et collectivités autochtones, et de l’Université dans son ensemble. »

Actuellement professeure titulaire à l’École de la santé dans les milieux ruraux et du Nord, Mme Cote-Meek était précédemment membre du corps professoral de l’École des relations autochtones depuis 1994. Elle a publié un livre, 20 articles à comité de lecture et 21 rapports et manuels, a prononcé de nombreuses communications, y compris à titre de conférencière principale, et a joué un rôle dans le cadre de subventions de recherche totalisant quelque 3 500 000 $. Elle a siégé à des comités d’examen des subventions du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) et a participé aux procédés d’examen des subventions des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC).

« La Laurentienne est un chef de file en enseignement autochtone au Canada, a dit Mme Cote-Meek, et je me réjouis à la persoective de poursuivre les travaux qui s’imposent alors que nous nous consacrons à notre rôle dans le cadre du processus de réconciliation, dont une partie importante est l’inclusion de perspectives autochtones du monde en recherche et apprentissage. Je suis fière des travaux que nous avons accomplis et m’enorgueillis d’appartenir à un établissement qui se voue tellement à l’amélioration de la vie de nos communautés. »

Parmi les points saillants du dossier de la vice-rectrice à l’enseignement et aux programmes autochtones, il faut souligner :

  • diriger la mise sur pied des plans d’action 2013-2018 et 2009-2012 du Conseil de l’Université Laurentienne pour la formation des Autochtones;
  • plaidoyer avec succès pour l’embauche de membres autochtones du corps professoral dans les facultés des arts et des sciences de la santé;
  • mener la mise en œuvre du Centre autochtone de partage et d’apprentissage (CAPA), processus qui comprenait la participation des Autochtones, l’élaboration d’un plan conceptuel et la mobilisation de fonds;
  • appuyer et encadrer avec succès l’exposition sur les pensionnats de la Fondation autochtone de l’espoir, les activités de vérité et de réconciliation et la mise sur pied du nouveau programme de maîtrise en relations autochtones, premier en son genre au Canada, ainsi que de l’Institut de recherche Mammwizing, approuvé par le Sénat à l’automne 2016;
  • coprésider la première conférence « L’université à l’heure de la réconciliation » (18-20 novembre 2016) et la préconférence pour les Autochtones et Francophones (17 novembre 2016), qui ont attiré quelque 300 délégués de l’Amérique du Nord et de l’étranger;
  • assurer la viabilité du financement du MESFP appuyant la réussite des membres autochtones de la population étudiante;
  • coprésider, de 2011 à 2014, le groupe provincial de référence autochtone du Conseil des universités de l’Ontario pour lequel elle continue de siéger à de nombreux sous-comités qui avancent l’enseignement autochtone dans le secteur postsecondaire;
  • participer au congrès national Carrefour 2017, organisé par Universités Canada.

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années. 

L'Université Laurentienne nomme deux personnes a la direction de l’Institut de recherche autochtone Maamwizing

L'Université Laurentienne nomme deux personnes a la direction de l’Institut de recherche autochtone Maamwizing

Mme Celeste Pedri-Spade et M. David Fortin marieront l’excellence universitaire aux philosophies autochtones de la vie

​L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer les deux premières nominations à l’Institut de recherche autochtone Maamwizing, à savoir Mme Celeste Pedri-Spade, Ph.D., à titre de directrice, et M. David Fortin, Ph.D., en tant que directeur adjoint.

Créé en 2016, l’Institut de recherche autochtone Maamwizing (Maamwizing) rassemble les chercheurs qui alimentent les visions autochtones du monde et favorisent une approche de décolonisation dans leurs recherches tout en priorisant les besoins et voix des personnes et collectivités autochtones.

« Mme Pedri-Space et M. Fortin, a dit la vice-rectrice associée à l’enseignement et aux programmes autochtones, Mme Sheila Cote-Meek, possèdent tous les deux le leadership et les acquis qu’il faut pour assurer le succès et la prospérité de Maamwizing en concrétisant son mandat de favoriser les perspectives autochtones en recherche et d’harmoniser les initiatives de recherche autochtones avec les besoins des collectivités. »

« C’est une joie et un honneur d’assurer ce rôle important, a affirmé la nouvelle directrice de Maamwizing, Mme Pedri-Spade. Dans la langue anishinaabe, maamwizing signifie un rassemblement de personnes, ce qui est notable, car notre langue ouvre des perspectives et aide à orienter nos actions. Ainsi, Maamwizing nous enseigne que la recherche autochtone est axée sur un ralliement de personnes à bon escient pour favoriser le bien-être des collectivités autochtones. »

Anishinabekwe du nord-ouest de l’Ontario (Première Nation de Lac des Mille Lacs), Mme Celeste Pedri-Space est membre du clan de l’ours et épouse l’ensemble des rôles et responsabilités de mère de famille, d’éducatrice et d’artiste-chercheuse pluridisciplinaire. Ses recherches et œuvres d’art sont enracinées dans les relations qu’elle cultive avec la famille, la communauté et la terre. Professeure adjointe à l’École d’études du nord et des communautés, elle est une artiste active qui continue d’exposer ses œuvres dans les galeries de la région, au Canada et aux États-Unis.

Le nouveau directeur adjoint de Maamwizing est M. David Fortin, architecte métis et professeur adjoint à l’École d’architecture McEwen. Dans ses recherches actuelles, il s’intéresse aux contributions des Prairies à la pensée architecturale au Canada. Il est membre du comité de réflexion autochtone formé récemment par l’Institut royal d’architecture du Canada pour favoriser et promouvoir la conception autochtone.

« Je me réjouis à la perspective de collaborer avec nos chercheurs et partenaires pour promouvoir les recherches autochtones tout en ouvrant d’autres domaines d’expertise pour nos communautés, a indiqué M. Fortin. Grâce à Maamwizing, la Laurentienne continue de joue un rôle décisif dans les études autochtones et je suis heureux de faire partie de cette initiative emballante. »

L’Institut de recherche autochtone Maamwizing a adopté un mandat élargi qui comprend la création d’un milieu universitaire favorisant l’excellence en recherche, une contribution à la formation d’étudiants aux cycles supérieurs et le développement de nouvelles expertises ainsi que de recherches plus fécondes.

« Lors de l’annonce de la création de l’Institut de recherche autochtone Maamwizing, j’ai dit qu’il jouerait un rôle non négligeable dans le cadre de notre engagement envers l’amélioration de la capacité et des activités de recherche autochtone, a dit le vice-recteur à la recherche à la Laurentienne, M. Rui Wang, Ph.D. Les nominations de Mme Pedri-Spade et de M. Fortin me persuadent d’autant plus que Maamwizing concrétisera non seulement sa mission, mais remplira aussi un rôle déterminant pour nos chercheurs, notre université et surtout notre communauté. »

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

La Laurentienne et le Collège Cambrian se donnent la main pour stimuler la recherche et l’innovation dans le nord de l’Ontario

La Laurentienne et le Collège Cambrian se donnent la main pour stimuler la recherche et l’innovation dans le nord de l’Ontario

​L’Université Laurentienne et le Collège Cambrian ont formalisé un protocole d’entente pour se faciliter les partenariats et permettre aux deux établissements, par le truchement des membres du corps professoral, de la population étudiante et du personnel, de poursuivre des projets de recherche de grande envergure – en mettant en commun l’expertise, les installations, l’équipement et les services administratifs – afin de stimuler l’innovation, la productivité et les résultats.

L’objectif de cette collaboration, qui verra mobiliser les ressources et l’expertise des deux établissements, consistera à :

  • enrichir l’expérience éducative des étudiants chercheurs;
  • attirer des professionnels de haute qualité et à développer leurs capacités;
  • augmenter la capacité de recherche fondamentale et appliquée de même que le revenu qu’elle génère;
  • renforcer la culture d’innovation de Sudbury par la collaboration entre les établissements d’enseignement postsecondaire.

 

Le protocole d’entente établit les lignes directrices permettant d’établir de nouveaux partenariats de recherche.

Lors d’une conférence de presse le 8 mars 2017, le recteur de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux, le vice-recteur à la recherche, Dr Rui Wang, le président du Collège Cambrian, M. Bill Best, et la vice-présidente aux activités internationales, à la recherche appliquée et au développement des affaires, Mme Sonia Del Missier, ainsi que des invités et des représentants des médias, ont pu voir de près une initiative déjà en cours et découlant du protocole d’entente.

Le projet de collaboration, mené par Dean Millar (Ph.D.), professeur de l’énergie dans le secteur minier à l’École de génie Bharti de la Laurentienne et directeur de l’énergie à MIRARCO de la Laurentienne, le voit chercher à mettre au point un compresseur d’air hydraulique (HAC), un système unique, pour épurer et refroidir l’air dans les mines ultra-profondes où la température de l’air peut dépasser 40 degrés Celsius. Déjà, grâce à cette collaboration, des chercheurs de la Laurentienne travaillent avec des professeurs et des étudiants du Collège Cambrian pour mettre à l’essai le « BabyHAC », une unité pilote installée à Glencore Centre for Innovation, au Collège Cambrian. Entre-temps, la construction d’une unité à grande échelle, Dynamic Earth HAC, est en cours. Les professeurs et les étudiants travaillant aux ateliers de métallurgie du Collège Cambrian sont en train de fabriquer une composante clé de Dynamic Earth HAC, soit une tête-malaxeur air-eau, version adaptée au XX1e siècle, utilisé pour la dernière fois en 1967, dans l’écluse-ascenseur HAC de Peterborough, conçue par des étudiants aux cycles supérieurs de la Laurentienne travaillant à MIRARCO.

Cette collaboration entre la Laurentienne et le Collège Cambrian s’inscrit dans le cadre d’un vaste projet de recherche à long terme auquel participent de nombreux partenaires, dont l’industrie et le gouvernement, financé par l’Ultra Deep Mine Network, la Société indépendante d’exploitation d’électricité, la Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario et Electrale Innovation Ltd.

 

Au sujet du Collège Cambrian

Plus grand collège du nord de l’Ontario, le Collège Cambrian dispense au-delà de 80 programmes à plein temps dans divers domaines d’études. Il offre des possibilités d’apprentissage pratique, des choix souples d’études et des centaines d’ententes permettant aux diplômés de continuer leurs études à l’université ou dans d’autres disciplines. Grâce à des programmes accrédités, des liens solides avec l’industrie et des services de soutien complets, les étudiants sont bien préparés à des carrières dynamiques. Les employeurs de diplômés collégiaux classent ceux du Cambrian parmi les meilleurs en Ontario et 85 % de ceux-ci trouvent des emplois dans leur domaine dans les six mois suivant l’obtention du diplôme. Pour voir tout ce qu’offre le Collège Cambrian, consultez www.cambriancollege.ca.

Recherche appliquée au Collège Cambrian

Le Collège Cambrian est un pôle d’activités de recherche appliquée dans le nord de l’Ontario employant 48 chercheurs étudiants en 2014-2015. Le Collège Cambrian se classe troisième au Canada parmi les collèges de taille moyenne, en raison du nombre d’étudiants voués à la recherche, et sixième dans l’ensemble. Il est le seul collège du nord de l’Ontario à figurer parmi les 50 meilleurs collèges de recherche du Canada, comme l’a déterminé Research Infosource. Les activités de recherche du Collège Cambrien sont concentrées dans son domaine de recherche appliquée, Cambrian Innovates.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Les étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention de leur diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

Le premier Défi d’or Goodman connaît un franc succès

Le premier Défi d’or Goodman connaît un franc succès

Le concours d’investissement minier attire des équipes de l’Ontario, du Québec et du Kentucky

L’édition inaugurale du Défi d’or Goodman, qui a eu lieu du 22 au 25 février, a enregistré un immense succès. Six équipes d’étudiants du premier cycle ont participé au concours, à savoir deux équipes de l’Université Laurentienne de l’École de génie Bharti et de la Faculté de gestion, ainsi que des équipes de l’Université Bishop de Sherbrooke, au Québec, de l’Institut universitaire de technologie de l’Ontario, à Oshawa, de l’Université Ryerson, à Toronto, et de l’Université du Kentucky, à Lexington (Kentucky).

Dans ce concours d’investissement minier, les équipes devaient analyser le potentiel d’investissement de trois sociétés d’exploitation aurifère inscrites à la TSX ou TSX-V et recommander une seule entreprise à conserver au portefeuille. Les trois sociétés à l’étude étaient Detour Gold Corporation, Dundee Precious Metals et Osisko Mining.

« Le concours a été conçu de façon à assurer aux participants une expérience réelle tout en mettant à l’épreuve les compétences acquises à l’université, a expliqué le directeur général fondateur de l’École des mines Goodman, M. Bruce Jago. Puisque nous sommes à proximité des mines, ils ont aussi eu l’occasion de visiter les mines Coleman et Copper Cliff de Vale et d’y voir de véritables activités minières. »

Dans l’espace de six semaines, les équipes ont analysé les sociétés et effectué des recherches. Le deuxième jour du concours, elles ont écouté les arguments de vente des cadres dirigeants de chacune des sociétés pour les convaincre du potentiel d’investissement et leur ont posé ensuite individuellement des questions. Les équipes ont présenté leur recommandation à un jury d’experts de l’industrie, à savoir des professionnels de Beacon Securities, de Franco Nevada, de Kinross Gold, du ministère du Développement du Nord et des Mines, d’Orix Geoscience et de RBC Marchés des capitaux.

Des étudiants en génie minier et administration des affaires de l’Université Laurentienne ont été déclarés gagnants pour leur recommandation de Detour Gold Corporation. Les membres de l’équipe sont Mitchell Menard, Ryan Hunter, Anthony Foreshew et Adam Tomlinson.

L’équipe gagnante a reçu des actions de Detour Gold Corporation, entreprise qu’elle a recommandée de conserver à titre d’investissement, valant le prix de quatre (4) onces d’or au 24 février 2017, soit 1 645 $ CAD. En outre, tous les membres des trois meilleures équipes ont reçu une pièce d’un quart d’once en or pour souligner le travail et l’analyse accomplis.

Le concours a bénéficié d’un soutien financier et non financier impressionnant d’organismes au plan local et provincial (Orix Geosciences, RBC Marchés des capitaux, Beacon Securities Ltd., Crosstown Chevrolet, PearTree Securities, Ordre des ingénieurs de l’Ontario – section de Sudbury, CEIM, Science Nord, Petryna Advertising, Millar Technology, Wabi, XPS, Wallbridge Mining), du ministère de Développement du Nord et des Mines, de la Ville du Grand Sudbury, de Jonathan Goodman et de l’École des mines Goodman.

Le comité organisateur du Défi d’or Goodman 2017, présidé par Jonathan Goodman, est déjà en plein redémarrage pour la deuxième édition du concours en 2018.

Les entreprises et organismes qui souhaitent apporter une participation au 2e Défi d’or Goodman en 2018 sont invités à s’inscrire à www.goodmangoldchallenge.com.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

Une chercheuse de la Laurentienne reçoit 500 000 $ pour des recherches sur la démence chez les autochtones

Une chercheuse de la Laurentienne reçoit 500 000 $ pour des recherches sur la démence chez les autochtones

L’équipe de rêve sur la recherche autochtone à la Laurentienne fera progresser les études sur la santé cognitive des Autochtones

La titulaire de la Chaire de recherche sur la santé autochtone à l’Université Laurentienne, Mme Jennifer Walker, Ph.D., a reçu 500 000 $ des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) pour le projet intitulé « Validation of the Canadian Indigenous Cognitive Assessment Tool in three provinces », première étude canadienne à mettre au point un outil valide, fiable et culturellement adapté d’évaluation cognitive à utiliser tout particulièrement auprès des populations autochtones hétérogènes du Canada.

« Il s'agit d'une contribution considérable à la qualité des soins de santé de première ligne offerts aux populations autochtones vieillissantes qui posera des jalons solides pour continuer la surveillance des taux de démence, a dit Mme Walker. J'ai hâte de collaborer à cette importante initiative de recherche avec des communautés de l'Ontario, de l'Alberta et de Saskatchewan. »

Parmi les membres de l'équipe de recherche de la Dre Walker figurent M. Lynden Crowshoe de l'Université de Calgary et Mmes Carrie Bourassa (IRHSN) et Janet McElhaney (IRHSN).

Dans le cadre de la Stratégie de recherche en démence des IRSC du gouvernement fédéral, la somme de 500 000 $ a été accordée aussi au Dre Janet McElhaney, vice-présidente à la recherche et directrice scientifique à l’Institut de recherche d’Horizon Santé-Nord (IRHSN), et à des codemandeurs de l’Université Laurentienne. Le projet empruntera une approche communautaire afin de marier les pratiques autochtones aux technologies occidentales pour habiliter les prestataires de soins auprès des aînés autochtones atteints de démence. Parmi les membres de l’équipe de recherche de la Dre McElhaney figurent Mmes Jennifer Walker, Sheila Cote-Meek, Taima Moeke-Pickering et Kristen Jacklin, de l’EMNO.

« Ces deux projets mettent en évidence la position émergente du Grand Sudbury comme chef de file national en recherche sur la santé des Autochtones, a dit le Dr Rui Wang, vice-recteur à la recherche à l’Université Laurentienne. Les deux sont de puissants exemples de collaborations de recherche innovatrices et axées sur le patient parmi les chercheurs de l’Université Laurentienne, de l’École de médecine du Nord de l’Ontario et de l’Institut de recherche d’Horizon Santé-Nord. »

Ces subventions de recherche viennent s’ajouter à trois importants avancements en recherche autochtone à l’Université Laurentienne, à savoir la nomination de Mme Jennifer Walker à la Chaire de recherche du Canada en santé autochtone, la fondation de l’Institut de recherche autochtone Maamwizing et la création du Fonds pour l’avancement de la recherche autochtone qui accélérera la recherche dans ce domaine.

 

Renseignements clés

  • Les populations autochtones au Canada courent plus de risques de développer la démence.
  • Les organismes et communautés autochtones collaborent avec les chercheurs pour subvenir aux besoins en données sur la santé.
  • Les Autochtones enregistrent des taux de démences qui sont 34 % plus élevés que ceux des populations allochtones, et ceux-ci augmentent plus rapidement.
  • La prévention, le diagnostic précoce et les approches adaptées à la culture peuvent aider à améliorer la santé et la qualité de vie des Autochtones.
  • Deux subventions seulement ont été accordées dans le cadre de ce concours national, toutes les deux à des chercheurs à Sudbury.
  • L’Université Laurentienne compte actuellement 25 membres autochtones du corps professoral.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

L’École de génie Bharti de la Laurentienne gagne la compétition mondiale de sauvetage minier

L’École de génie Bharti de la Laurentienne gagne la compétition mondiale de sauvetage minier

Les étudiants remportent deux catégories de sauvetage et le titre global

Des membres de la population étudiante de l’École de génie Bharti à l’Université Laurentienne ont gagné la compétition intercollégiale de sauvetage minier 2017 (Intercollegiate Mines Emergency Response Development [MERD]) tenue à Golden, au Colorado. L’équipe a triomphé dans les épreuves de premiers soins et sur le terrain et a remporté le titre global.

Le concours s’est déroulé sur deux jours avec des équipes de l’Université de Colombie-Britannique, l’Université Freiburg (Allemagne), Montana Tech, South Dakota School of Mines et Colorado School of Mines. La première compétition intercollégiale a eu lieu en 2011.

Pour ce concours, des catastrophes sont simulées dans une mine souterraine afin de permettre aux équipes de sauvetage minier d’obtenir une formation dans un milieu réaliste de recherche et de sauvetage en situation d’urgence. Il comprend une épreuve sur le terrain pendant laquelle les étudiants ont dû étouffer un véritable incendie sous terre, ainsi qu’une épreuve technique et une de premiers soins.

« Nous sommes très fiers de nos étudiants, de notre personnel et de notre corps professoral qui ont participé à cette compétition mondiale, a dit le directeur de l’École de génie Bharti, M. Markus Timusk, Ph.D. Leur travail ardu et leur dévouement se manifestent dans cette réalisation. Nous tenons à reconnaître nos partenaires de l’industrie et les commanditaires dont l’appui permet d’ouvrir des possibilités formidables aux étudiants de la Laurentienne. »

L’équipe lauréate de l’École de génie Bharti est composée de : Julien Lalande (capitaine de l’équipe), Alexander Dobrogost, Alexander Mulloy, Dalton Moncion, David Etheridge, Greg Moser, James Wilson, Gilles Paradis, Joseph Benoit et Zachary Werdekker. Le membre du personnel Ethan Armit a agi à titre de conseiller tandis que l’agent de sauvetage minier de l’Ontario, Tim Ebbinghaus, a assuré l’entraînement de l’équipe.

Parmi les commanditaires de l’Équipe de sauvetage minier de l’Université Laurentienne, il faut souligner : Goldcorp, Soucie Salo Safety, Draeger Safety, Institut canadien des mines, de la métallurgie et du pétrole, École des mines Goodman, McEwen Mining et Fonds de dotation de la famille Bharti.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années. 

Congratulations, Félicitations, Felicitazioni

Congratulations, Félicitations, Felicitazioni

M. Patrick Anthony Cavaliere, Ph.D., de l’Université Laurentienne, est le fier lauréat du Prix d’universitaire distingué en résidence Collegio Matteo Ricci.

M. Patrick Cavaliere

L’Université Laurentienne est heureuse de féliciter M. Patrick Anthony Cavaliere qui a reçu le Prix d’universitaire distingué en résidence Collegio Matteo Ricci, de l’Université de Macerata, en Italie.

Le dossier professionnel de M. Cavaliere a été proposé par le recteur et président de l’Université de Macerata, le Pr Luigi Lacché, et a reçu une note parfaite de 100/100. 

Le Sénat et le Conseil des gouverneurs de l’Université de Macerata ont appuyé à l’unanimité la nomination.

L’Université de Macerata a évalué les candidatures selon les critères suivants :

  • Expériences professionnelles
  • Incidence de publications distinguées
  • Excellence en enseignement
  • Honneurs et prix précédents
  • Importance des initiatives actuelles de recherche  


Dans ses recherches, M. Cavaliere s’intéresse à l’histoire de l’Italie moderne, avec une spécialisation en fascisme, régimes totalitaires et théorie institutionnelle des organismes en Italie.

 

Prix d’universitaire distingué en résidence Collegio Matteo Ricci

Le Prix d’universitaire distingué en résidence Collegio Matteo Ricci encourage la mobilité internationale parmi les universitaires et a pour but de nouer ou de solidifier les réseaux de collaboration dans le monde. Le prix comprend :

  • somme d’argent;
  • séjour à plein temps à la Faculté de droit, à compter du trimestre d’automne 2017;
  • nomination à titre de membre émérite en droit pénal et criminel afin de travailler particulièrement avec 'Fondo Mario Sbricoli' (Istituto di Studi Storici);
  • logement gratuit pour la famille au Collegio Matteo Ricci, dans la ville historique de Macerata;
  • série de conférences;
  • possibilité de diriger une initiative de recherche collaborative et pluridisciplinaire avec des doctorants et membres du corps professoral.

 

M. Cavaliere prépare actuellement une série de volumes sur la justice pénale dans le contexte politique pendant le régime fasciste, qui sera publiée par ARACNE Editrice, à Rome. Intitulée Antisemitism in Fascist Italy: From the Rise of Fascism to the Racial Laws of 1938 and the Politics of the Final Solution, cette initiative de recherche et de publication à long terme est financée par le Vidal Sassoon International Centre for the Study of Antisemitism (SICSA), à l’Université hébraïque de Jérusalem, en Israël, un centre qui est reconnu au plan mondial.
 

M. Cavaliere est membre du Département d’histoire de la Laurentienne et du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne et membre élu du Sénat de l’Université Laurentienne.   

L’Université Laurentienne célèbre l’ouverture officielle de la phase finale de l’École d’architecture McEwen

L’Université Laurentienne célèbre l’ouverture officielle de la phase finale de l’École d’architecture McEwen

Un édifice à la fine pointe de la technologie de 45 millions de dollars et de 72 000 pieds carrés au centre-ville de Sudbury

Aujourd’hui, l’Université Laurentienne a fièrement célébré l’ouverture officielle de la dernière phase de l’École d’architecture McEwen, qui complète un édifice à la fine pointe de la technologie de 45 millions de dollars et de 72 000 pieds carrés au centre-ville de Sudbury.

« C’est un jour de fierté pour de nombreuses personnes de la Laurentienne et de la communauté en général, a dit le recteur et vice-chancelier de l’Université laurentienne, M. Dominic Giroux. L’École d’architecture McEwen est en préparation depuis dix ans et a pu être réalisée grâce à de nombreux partenariats et collaborations. C’est un exemple revigorant de changement transformateur, réalisé grâce à une vision communautaire harmonieuse. »

La planification de l’École a débuté en 2007 quand des membres de la communauté du Grand Sudbury et des représentants de l’Université Laurentienne ont compris les bienfaits économiques et la possibilité d’exploiter l’expertise régionale en créant une possibilité unique d’enseignement.

Le directeur-fondateur de l’École, M. Terrance Galvin, arrivé dans l’équipe en janvier 2012, a vu l’avenir de ce programme unique qui mise sur la capacité de résilience de la population du Nord et la beauté sans pareil du paysage du nord de l’Ontario.

« Les cinq dernières années ont consisté à opérationnaliser la vision, ce qui inclut la conception et la construction des nouveaux édifices, la mise en œuvre du programme de baccalauréat en études architecturales et l’approbation du programme de maîtrise en architecture, a expliqué M. Galvin. Les dix prochaines années porteront davantage sur l’expansion des possibilités de recherche. »

L’École d’architecture McEwen a accueilli sa toute première promotion en septembre 2013. En seulement trois ans, les étudiants se sont distingués et l’École a obtenu de nombreux prix nationaux et internationaux, y compris la première place au Festival international du bois à Bergen, en Norvège, en mai 2016. Cette promotion obtiendra son grade en juin. L’École lancera son programme de maîtrise en architecture en septembre.

« C’est une étape incroyable non seulement pour la Laurentienne, mais aussi pour la Ville du Grand Sudbury, la province et le Canada, a dit la présidente du Conseil des gouverneurs de l’Université laurentienne, Mme Jennifer Witty. L’École d’architecture McEwen de la Laurentienne est la première nouvelle école d’architecture créée au Canada en 45 ans. C’est la première du genre dans le nord de l’Ontario et la première au Canada en dehors du Québec à offrir des cours en français. »

L’École a vu le jour grâce des investissements axés sur l’avenir effectués par le ministère ontarien de l’Enseignement supérieur et de la Formation professionnelle, la Ville du Grand Sudbury, Rob et Cheryl McEwen, la Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario, FedNor, le Centre de recherche et d’innovation en bioéconomie, Blaine et Lise Nicholls, le Fonds en fiducie F. Jean MacLeod, Susan et Perry Dellelce et bien d’autres bienfaiteurs privés.

 

Au sujet de l’École d’architecture McEwen

L’École McEwen offre une expérience éducationnelle en immersion empreinte de la nécessité inhérente de jumeler l’expertise technique et la profonde compréhension de l’esprit des paysages et de la population qui les habite afin de concevoir des édifices intelligents, écologiques et fonctionnels. La 12e école d’architecture au Canada, l’École McEwen se veut un lieu où les étudiants du Nord peuvent étudier dans leur région. Elle encouragera également les diplômés à rester dans la région et à faire partie de la communauté grandissante de conception architecturale du Nord. L’École sera réputée pour ses recherches et ses concepts reposant sur le bois, ses recherches sur l’architecture autochtone, ainsi que son expertise dans l’étude du bassin de Sudbury qui inspire la conception architecturale.

L’École McEwen occupe au centre-ville de Sudbury un magnifique complexe de 45 000 000 $ conçu par LGA Architectural Partners; elle couvre 72 000 pieds carrés comprenant deux édifices centenaires transformés qui appartenaient à CP Rail et CP Telegraph, et une phase finale de 52 000 pieds carrés. Les inscriptions à ce programme hautement concurrentiel passeront à 400 étudiants d’ici 2018 quand il comptera 25 membres du corps professoral et du personnel.

La philosophie de l’École McEwen repose sur la fierté de l’endroit. C’est une expérience naissante dans les pédagogies en émergence et les diverses cultures. Le regroupement d’un corps professoral et d’une population étudiante francophones, anglophones, métis et anishinabeks reflète la raison d’être unique de la Laurentienne qui est d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français en plus d’une approche complète de l’éducation autochtone.

 

Prix et distinctions de l’École d’architecture McEwen

En plus des trois « Subventions Savoir » du Conseil de recherches en sciences humaines attribuées aux Prs David Fortin, Tammy Gaber et Kai Mah, en collaboration avec des membres du corps professoral de l’École, des étudiants ont reçu les prix ou distinctions ci-dessous :

  • 2016    CCA – Charrette interuniversitaire annuelle : Recomposer le Nord – Prix de l’opinion publique attribué pour Nutri-Nunavik : The Potential of Northern Farming (équipe d’étudiants du premier cycle)
  • 2016    IIDEX Canada
    L’étudiant Edward Chung a été sélectionné pour exposer EAB Floor Lamp à Toronto
  • 2016    Festival international du bois à Bergen
    Premier prix de conception-construction en bois (Pre Tammy Gaber, Pr Randall Kober et des étudiants)
  • 2015    Pride House that Kids Built, Sudbury pour les Jeux parapanaméricains
    Prix d’excellence des Ressources humaines, ministère du Développement du Nord et des Mines de l’Ontario pour l’installation en courtepointes de peintures d’enfants « Inclusions dans les sports » (Pr Thomas Strickland et des étudiants)
  • 2015    Science Nord
    Prix du partenariat pour la conception du pavillon Terre dynamique (Pr David Fortin et Pr Roch Belair, avec Francis Thorpe et des étudiants)
  • 2015    CANStruction
    Prix Choix du peuple pour PARALLAX : “a” is for architecture
    (Pr Terrance Galvin et des étudiants)
  • 2014    Prix international VELUX pour les étudiants en architecture (Vienne)
    Mention honorable pour la conception d’une cabane de pêche sur la glace Northern Lights (Pre Tammy Gaber et des étudiants)

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Les étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

Trois membres de la communauté de L’Université Laurentienne reçoivent la distinction la plus prestigieuse de la province

Trois membres de la communauté de L’Université Laurentienne reçoivent la distinction la plus prestigieuse de la province

David Pearson, Angèle Brunelle et Ronald Caza reçoive l’Ordre de l’Ontario.

L’Université Laurentienne tient à féliciter le professeur David Pearson, le membre du conseil de l’EMNO, Angèle Brunelle, et le titulaire d’un doctorat honorifique, Ronald Caza, de leur nomination à l’Ordre de l’Ontario. 

L’Ordre de l’Ontario reconnaît des personnes dont un accomplissement personnel dans leur domaine a laissé un héritage durable dans la province, au Canada et au-delà. Les membres de l’Ordre de l’Ontario sont issus de tous les milieux sociaux et proviennent de partout à travers le Canada. Ils représentent des professions diverses et ont joué un rôle important dans le façonnement de notre province. 

Professeur de l’École de l’environnement et chercheur en sciences de la Terre, M. David Pearson, Ph.D., travaille dans le Centre pour la vitalité des lacs Vale à la Laurentienne. Il a été membre du Département des sciences de la Terre de 1969 à 2005 et est ensuite devenu l’un des deux codirecteurs fondateurs du programme de diplôme d’études supérieures en vulgarisation scientifique de l’Université Laurentienne et Science Nord. De 1980 à 1986, il était le directeur fondateur de Science Nord, dont la méthode interactive novatrice est devenue un modèle pour la participation du public aux sciences.

Angèle Brunelle est porte-parole de la communauté francophone du nord-ouest de l’Ontario et directrice de l’Accueil francophone de Thunder Bay. Elle a consacré sa vie à la promotion des droits des Francophones dans les secteurs de la santé et de l’éducation. Elle participe activement comme membre du conseil de direction de l’École de médecine du Nord de l’Ontario.

Franco-Ontarien bien connu, Ronald F. Caza est ancien de l’Université Laurentienne, où il a reçu aussi un doctorat honorifique en mai 2013. Avocat et ardent défenseur des droits linguistiques des Francophones, il s’est fait le champion de la préservation de la langue et de la culture française en Ontario en contestant avec succès devant les plus hauts tribunaux des tentatives d’éliminer ou d’affaiblir des institutions essentielles.

Nouvelle politique en matière de violence sexuelle approvée à l’Université Laurentienne

Nouvelle politique en matière de violence sexuelle approvée à l’Université Laurentienne

Conseil des gouverneurs approuve une politique axée sur la population étudiante

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé une politique axée sur la population étudiante qui aborde la réponse à la violence sexuelle et la prévention.

« Nous sommes heureux que le Conseil des gouverneurs ait accepté cette politique créée en consultation avec la population étudiante de la Laurentienne, a dit le vice-recteur adjoint à l’équité, à la diversité et aux droits de la personne, M. Noël Badiou. La nouvelle politique représente plus de deux ans de travail par de nombreux intervenants à l’Université et aidera à sensibiliser les gens au processus pour répondre aux incidents de violence sexuelle et les traiter, tout en assurant que les membres de la collectivité universitaire sont conscients des ressources et des soutiens à leur disposition. »

Conformément à la Loi 132, Plan d’action contre la violence et le harcèlement sexuels de l’Ontario, le Groupe de travail sur la réponse aux agressions sexuelles et la prévention de l’Université Laurentienne a consulté des membres de la population étudiante ainsi que les représentants des groupes étudiants afin de mettre au point le cadre de la politique et leur a ensuite présenté l’embauche aux fins de rétroaction.

En plus des consultations auprès des étudiants, le Groupe de travail a aussi demandé l’avis d’experts dans ce domaine afin de tenir compte d’une large perspective en mettant au point les soutiens, services et adaptations appropriés en matière de violence sexuelle touchant les membres de la population étudiante.

« Je remercie toutes les personnes concernées de l’engagement et du dévouement dont ils ont fait preuve dans le cadre de ce projet important, a ajouté M. Badiou. La Laurentienne s’engage à créer et à conserver un milieu inclusif, sécuritaire et sain pour tous les membres de sa collectivité et chaque personne joue un rôle pour concrétiser cet objectif. »

Le Bureau de l’équité, de la diversité et des droits de la personne (BEDDP) de l’Université offre des ateliers aux conseillers en résidence et aux étudiants agissant comme mentors sur l’importance de l’inclusion et de la prévention de la violence sexuelle. Une introduction semblable est aussi offerte aux nouveaux membres de la population étudiante. En outre, des campagnes de sensibilisation et de formation ont été mises en œuvre pour l’ensemble de la communauté universitaire à la Laurentienne.

La Politique de réponse à la violence sexuelle et de prévention figure parmi les quatre politiques adoptées par la Laurentienne pour appuyer l’apprentissage et le travail dans un milieu sans discrimination, harcèlement, harcèlement sexuel, intimidation, violence et violence sexuelle. Les trois autres documents sont : le Code de conduite étudiante dans les domaines autres que les études, la Politique pour un milieu respectueux de travail et d’étude, et la Politique sur la prévention de la violence au travail.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Les étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

D’autres renseignements sur l’Université Laurentienne figurent à www.laurentienne.ca.

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