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Mme Linda Ambrose dirigera l’élaboration du prochain plan stratégique de la Laurentienne

Mme Linda Ambrose dirigera l’élaboration du prochain plan stratégique de la Laurentienne

Ambrose assumera le rôle de conseillère spéciale auprès du recteur

L’Université Laurentienne est fière d’annoncer que Mme Linda Ambrose assumera le rôle de conseillère spéciale auprès du recteur pour la période allant du 1er janvier 2017 au 31 mars 2018.

Dans ce rôle, Mme Ambrose appuiera le travail d’un comité directeur représentatif qui sera créé en février 2017 pour mettre au point le prochain plan stratégique de l’Université. Elle guidera la portée, les principes et le processus approuvés par le Conseil des gouverneurs et acceptés par le Sénat afin d’en assurer la mise en œuvre.

« Nous nous réjouissons de voir Mme Ambrose diriger cette initiative si importante pour la Laurentienne, a dit M. Dominic Giroux. Elle est bien connue et très respectée au sein de la communauté universitaire et a une riche connaissance et compréhension de l’Université Laurentienne. Même si certains établissements se fient à des experts-conseils externes pour mener leur exercice de planification stratégique, nous avons préféré choisir une personne de talent au sein de notre université, comme nous l’avons fait en 2011, pour diriger ce processus collégial. »
 

Mme Linda Ambrose

Professeure titulaire au Département d’histoire, Mme Ambrose a été lauréate du Prix d’excellence en enseignement et du Prix pour femmes exceptionnelles de l’Université Laurentienne. En plus de son engagement envers la francophonie, de sa participation à la promotion des perspectives autochtones et de sa présence sur les médiaux sociaux, elle a acquis une expérience panuniversitaire au Sénat et à la Foire annuelle des universités ontariennes (pour ne nommer que celles-ci) et a exercé les fonctions de doyenne intérimaire des Facultés des sciences sociales et des humanités.

Comme professeure à la Laurentienne depuis 22 ans et coauteure du livre L’Université Laurentienne : Une histoire (McGill-Queen’s University Press, 2010), elle connait très bien cet établissement. Lauréate de prix de la Société historique de l’Ontario pour ses publications érudites, elle s’intéresse dans ses projets de recherche actuels à l’histoire des femmes en régions rurales et à l’histoire des sexes dans le pentecôtisme canadien. Parmi ses livres récents, il faut souligner A Great Rural Sisterhood: Madge Robertson Watt and the Associated Country Women of the World (University of Toronto Press, 2015) et le recueil Women in Agriculture: Professionalizing Rural Life in North America and Europe, 1880-1965 (University of Iowa Press, sous presse), qu’elle a coédité.

« Diriger le processus de planification stratégique de la Laurentienne sera un défi intéressant, a souligné Mme Ambrose, et j’ai hâte de collaborer avec les étudiants, collègues, membres du Conseil des gouverneurs, diplômés et partenaires communautaires qui aideront à façonner et à orienter notre nouveau plan stratégique. »

Il s’agit de la dernière année du Plan stratégique 2012-2017 de l’Université Laurentienne qu’un éditorial du Globe and Mail d’octobre 2012 qualifiait « d’excellente stratégie ». Audacieux, ambitieux, déterminé et concis, le Plan de 2012-2017 a été mis au point à la suite de consultations exhaustives qui ont permis de recueillir quelque 900 commentaires et suggestions.
 

L’Université Laurentienne félicite le Pr Gregory Scofield

L’Université Laurentienne félicite le Pr Gregory Scofield

Lauréat du Prix Latner de poésie 2016 de la Société d’encouragement aux écrivains du Canada

L’Université Laurentienne tient à féliciter le Pr Gregory Scofield qui a reçu le Prix Latner de poésie 2016 à la cérémonie de la Société d’encouragement aux écrivains du Canada, à Toronto.

Le Prix Latner de poésie, dont le lauréat est choisi par un jury autonome, souligne l’ensemble des travaux d’un poète en milieu de carrière qui apportera de futures contributions à la poésie canadienne.

« Dans ses sept recueils de poésie, Gregory Scofield nous impressionne par ses paroles mémorables et nuances subtiles. Il épouse les formes musicales, documentaires et expérimentales en alimentant une vision de risque et de générosité. L’étendue de ses sujets, de son œuvre et de son style parcourt les réalités urbaines et rudimentaires et illustre le confort des rythmes cri, allant du battement de cœur du tambour au flux poétique d’un jeune Louis Riel. » - Jury du Prix Latner de poésie.

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

L'Université Laurentienne félicite Mme Lucie Moncion de sa nomination au Sénat du Canada

L'Université Laurentienne félicite Mme Lucie Moncion de sa nomination au Sénat du Canada

Une ancienne de la Laurentienne siègera à titre de sénatrice indépendante représentant l’Ontario

Le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, Dominic Giroux, a félicité à son tour Mme Lucie Moncion de sa nomination au Sénat du Canada comme représentante de l’Ontario.

« Nous sommes fiers de voir nommer au Sénat Mme Lucie Moncion, une ancienne de a Laurentienne ayant accumulé d’impressionnantes réussites professionnelles, a dit M. Giroux. Grâce à son expérience et son expertise considérables, elle est un bon choix pour représenter l’Ontario et nous lui souhaitons du succès pour l’avenir. »

Mme Lucie Moncion est titulaire d’un baccalauréat en administration des affaires spécialisé en administration des coopératives de l’Université Laurentienne ainsi qu’une maîtrise en administration des affaires de l’Université de Moncton. Elle détient les titres professionnels d’administratrice de sociétés de l’Université Laval et de directrice agréée de l’Université McMaster.

Au cours de sa carrière, Mme Moncion a occupé de nombreux postes au sein du réseau des caisses populaires de l’Ontario. Depuis mai 2001, elle occupe le poste de présidente et chef de la direction de l’Alliance des caisses populaires de l’Ontario, devenant ainsi la première femme à occuper un tel poste dans une fédération de caisses populaires au Canada. L’Alliance regroupe 12 caisses populaires qui servent 23 municipalités francophones du nord-est de la province. Mme Moncion joue un rôle important dans le développement économique des communautés francophones et apporte une stabilité importante aux opérations de L’Alliance. En effet, la croissance de l’actif a presque triplé depuis son arrivée à la direction générale et se situe à 1,4 milliard de dollars. Mme Moncion est devenue présidente du Conseil d’administration de coopératives et mutuelles Canada en 2016 et est également présidente du Conseil de la coopération de l’Ontario. Active au sein des instances gouvernementales et de sa communauté, elle a siégé à divers conseils d’administration, entre autres comme vice-présidente du conseil de direction de l’Université Nipissing, trésorière du conseil de Direction Ontario et membre du conseil d’administration du Collège Boréal.

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

L’Université Laurentienne rend hommage à deux éminents Sudburois

L’Université Laurentienne rend hommage à deux éminents Sudburois

MM. Rick Bartolucci et Antoni Cimolino recevront un doctorat honorifique aux collations des grades de l’automne

Aux cérémonies de Collation des grades de l’automne, l’Université Laurentienne conférera un doctorat honorifique à l’enseignant et au politicien de longue date, M. Rick Bartolucci, et au directeur artistique du Festival Stratford, M. Antoni Cimolino. 

« Sur la scène de la politique et du théâtre, les lauréats des doctorats honorifiques de cet automne sont la preuve que les diplômés en arts peuvent aller loin, a dit le chancelier Steve Paikin. Une formation dans les arts apporte des connaissances théoriques et transférables qui peuvent déboucher sur toute une gamme de voies professionnelles pour les personnes qui se servent de leur imagination et s’ouvrent à des possibilités nouvelles. »
 

M. Antoni Cimolino

Antoni Cimolino

M. Antoni Cimolino recevra un doctorat ès lettres à la cérémonie de 10 h. Directeur artistique du Festival Stratford et metteur en scène des productions de Macbeth et The Hypochondriac en 2016, M. Cimolino est né à Sudbury, où il a terminé ses études secondaires. Ce sont les enseignants aux collèges St. Charles et Marymount qui lui ont présenté le théâtre et fait naître son amour pour l’art dramatique. Dans la communauté théâtrale mondiale, il est un artiste respecté et un influent leader. En 1988, il a lancé sa carrière Stratford à titre de comédien et, vers le milieu des années 1990, a commencé à faire de la mise en scène, s’attirant des éloges pour de nombreuses productions. Il adore en effet enrichir la vie des autres au moyen de l’éducation et des arts. Son engagement envers ceux-ci l’a entraîné à diriger la participation du Festival dans un projet en collaboration avec CUSO, organisme coopératif canadien de bénévolat international, pour créer un centre d’éducation et des arts de la scène dans la ville de Suchitoto, au El Salvador. 


 

M. Rick Bartolucci

M. Rick Bartolucci

M. Rick Bartolucci recevra un doctorat en droit à la cérémonie de 14 h 30. Né à Sudbury, M. Bartolucci a obtenu un baccalauréat ès arts de l’Université 

Laurentienne en 1973. Il a été, pendant 30 ans, enseignant et directeur d’école au Sudbury Catholic District School Board avant de commencer sa carrière 

politique à Sudbury comme conseiller régional de 1979 à 1982 et de 1985 à 1991. Il a gagné cinq élections provinciales, siégeant, de 1995 à 2014, comme membre de l’Assemblée législative de l’Ontario représentant Sudbury pendant 19 ans. Durant cette période, il a occupé trois postes de ministre et a été président de Cabinet. Inlassable dans ses efforts de mobilisation de fonds, il a apporté sa contribution à la création de l’École de médecine du Nord de l’Ontario, de l’École d’architecture McEwen de la Laurentienne, le Centre d’excellence en innovation minière (CEIM) et le Centre pour la vitalité des lacs Vale.

« Nous sommes fiers de rendre hommage à deux Sudburois qui font preuve de vision, d’ambition et de cran en assumant des rôles de leadership qui améliorent nos vies et enrichissent nos communautés, a ajouté le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Nous sommes fiers de les accueillir comme membres distingués de notre collectivité universitaire. »

Les deux cérémonies auront lieu dans l’auditorium de l’édifice H.J.-Fraser. Les interviews avec les membres des médias peuvent se tenir avant la tenue des cérémonies.

Les cérémonies de collation des grades sera en direct streaming et disponibles pour les médias qui ont la capacité COMREX et Dejero.

La Laurentienne désigne le nouvel Édifice de recherche, d'innovation et de génie en l'honneur de M. Clifford A. Fielding

La Laurentienne désigne le nouvel Édifice de recherche, d'innovation et de génie en l'honneur de M. Clifford A. Fielding

Un investissement de 3 000 000 $ de la famille Fielding permet d’édifier une installation de pointe

En l’honneur d’un investissement de 3 000 000 $ de Mme Lily Fielding et de sa famille, l’Université Laurentienne désignera son nouveau centre ultramoderne « Édifice de recherche, d’innovation et de génie Clifford A. Fielding ».

Pour souligner ce don, l’Université rendra également hommage à M. Jim Fielding, le fils décédé de Clifford et Lily Fielding. M. Jim Fielding croyait fermement dans l’enseignement et aimait beaucoup le rôle que joue la Laurentienne dans l’accès à celui-ci et la stimulation de l’activité économique et de l’innovation dans la Ville du Grand Sudbury, le nord de l’Ontario et ailleurs.

« La famille Fielding appuie ce projet depuis le début et a joué un rôle à part entière dans la réalisation de cette expansion fort nécessaire des locaux de recherche et d’innovation dans notre région, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Cliff a été un grand ambassadeur de notre ville et a encouragé la croissance innovatrice dans le nord. Sa famille marche dans ses traces et nous sommes fiers de désigner cet édifice en son honneur. »

L’investissement de Mme Lily Fielding et de sa famille a occupé une place importante au sein d’une proposition de financement dans le cadre d’un investissement stratégique annoncé par les gouvernements du Canada et de l’Ontario le 23 septembre 2016. Le projet totalise 60 700 000 $ et sera terminé en 2018.

« Nous sommes heureux d’aider l’Université Laurentienne à stimuler la croissance et l’innovation dans notre communauté, a dit le premier diplômé de l’Université Laurentienne à présider le Conseil des gouverneurs, M. Jamie Wallace. L’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Clifford. A. Fielding aura une immense influence sur l’avancement de l’activité économique et de l’innovation dans la Ville du Grand Sudbury, le nord-est de l’Ontario et au-delà. »

Depuis longtemps, la famille Fielding fait des investissements dans la Laurentienne et la communauté sudburoise, dont un généreux don récent de Mme Lily Fielding qui a rendu possible la création du plus grand parc de la ville, le Parc Kivi. En outre, la famille Fielding a établi d’importantes bourses d’études à l’Université Laurentienne et à l’École de médecine du Nord de l’Ontario, y compris la Bourse d’études supérieures Clifford Fielding, la Bourse en gestion Brenda-Wallace et la Bourse commémorative Jim Fielding. En 1968, la générosité de la famille Fielding a permis la construction de la Chapelle commémorative Fielding de St. Mark à l’Université Thorneloe.

L’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Clifford. A. Fielding inclura des locaux de recherche-développement en collaboration, d’innovation et de commercialisation ainsi que des locaux fort nécessaires pour l’École de génie Bharti primée, y compris quatre laboratoires Capstone d’innovation, un laboratoire d’analyse des matériaux, un laboratoire de mécanique environnementale et des sols, un atelier de conception de prototypes, un laboratoire de logiciels intégrés et amphithéâtre, et un laboratoire d’hydraulique et de mécanique des fluides. Chacun de ces locaux a été déterminé en consultation avec l’industrie locale afin d’optimiser les possibilités de collaboration interdisciplinaire.

Au sujet de Clifford A. Fielding

M. Cliff Fielding est né en 1915 dans la ferme familiale qui est maintenant le parc Fielding, dans le canton de Waters, et a été élevé à Copper Cliff. Entrepreneur à l’âge de 20 ans, il a créé une entreprise de transport de minerai et de gravier pour les entreprises minières et pour fournir des services de construction. À ses débuts, l’entreprise assurait le transport avec les chevaux de la ferme familiale et s’est peu après dotée d’un camion.

En 1950, Cliff Fielding Limited avait 50 employés et une flotte de 40 camions. M. Fielding avait alors établi Wavy Industries qui fabriquait du béton prêt à l’emploi et du mélange à ciment en vrac. À son décès, M. Fielding était président-directeur général de Waters Holding Corporation et avait des intérêts dans Alexander Centre Industries Limited (ACIL), Fisher Wavy Inc., Wavy Industries, Fisher Construction of Sudbury, et Fisher Harbour sur l’île La Cloche. Il a aussi été propriétaire de la Northern Ski Company qui a fabriqué des skis alpins et de fond de 1943 à 1950.

Réputé pour ses entreprises florissantes dans la région de Sudbury, M. Fielding a en outre travaillé pour le Canadian Pacific Railway et a siégé au Conseil de l’Hôpital Memorial et de l’Université Laurentienne (1964-1979). Il a reçu un doctorat honorifique ès sciences de l’Université Laurentienne et un autre en droit canon de l’Université Thorneloe.

Au sujet de Malcolm James (Jim) Fielding

Pour sa part, fier Sudburois né et élevé à Sudbury, M. Jim Fielding a présidé le Conseil d’Alexander Centre Industies Ltd. (ACIL), de la Waters Holding Corporation et de sociétés associées créées par son père en 1935.

Il a été élu au Conseil du Canadien Pacifique le 7 mai 1986 et y a siégé jusqu’en avril 2000 après y avoir été réélu à diverses reprises.

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

Les gouvernements fédéral et ontarien s'associent pour investir 27 400 000 dans l'infrastructure de la Laurentienne

Les gouvernements fédéral et ontarien s'associent pour investir 27 400 000 dans l'infrastructure de la Laurentienne

Volet d’un projet de 60 700 000 $ comprenant un nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie

23 SEPTEMBRE 2016 Les gouvernements fédéral et ontarien investiront, respectivement, 21,1 et 6,3 millions de dollars dans l’infrastructure de recherche et d’innovation à l’Université Laurentienne. Inscrite dans le cadre d’un vaste programme d’immobilisations totalisant 60 700 000 $, lequel devrait s’achever en mars 2018, cette enveloppe de 27 400 000 $ viendra financer la construction immédiate d’un nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie de 47 000 pieds carrés. L’annonce en a été faite aujourd’hui par les députés Marc Serré et Paul Lefebvre, la vice-première ministre, Deb Matthews, et le ministre de l’Énergie et député provincial de Sudbury, Glenn Thibeault.

 

« Le soutien substantiel reçu aujourd’hui, soit les 27 400 000 $ annoncés conjointement par les gouvernements fédéral et provincial, le plus grand soutien à l’infrastructure depuis la création de la Laurentienne il y a 56 ans, permet l’expansion de l’espace de recherche et d’innovation tant nécessaire dans notre région, a déclaré la présidente du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, Mme Jennifer Witty. Grâce à cet investissement, nous bâtirons l’infrastructure nécessaire pour appuyer l’enseignement et la recherche, favoriser l’innovation et créer des possibilités pour les étudiants tout en renforçant l’économie. »

 

L’investissement fédéral se fait par le truchement du Fonds d’investissement stratégique pour les établissements postsecondaires annoncé dans le budget fédéral de 2016. Ce fonds, doté de 2 milliards de dollars, est destiné à stimuler la création d’emplois, à accroître les efforts de recherche et à cultiver l’innovation en améliorant, voire en modernisant, les installations de recherche dans les campus universitaires canadiens, tout en renforçant leur durabilité environnementale.

 

« Les établissements d’enseignement postsecondaire au Canada, affirme le ministre de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique, l’honorable Navdeep Bains, sont des agents de première ligne dans la promotion de la science et de l’excellence en recherche. Ils aident à former la main-d’œuvre de demain et à créer pour le secteur privé et les décideurs les connaissances et les perspectives nécessaires à l’édification d’une économie florissante et verte. L’Université Laurentienne s’est dotée des plans ambitieux, créateurs d’emplois bien rémunérés dans cette collectivité et porteurs de croissance économique pour les années à venir. »

 

L’investissement provincial comprend un apport de 5 000 000 $ de la Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario. « Le gouvernement de l’Ontario est fier d’appuyer ce projet d’envergure qui se traduira par de nouvelles installations nécessaires pour préparer les étudiants à une carrière fructueuse dans les domaines du génie et de la recherche, a déclaré la ministre ontarienne de l’Enseignement supérieur et de la Formation professionnelle, l’honorable Deb Matthews. Grâce à ces investissements, les membres de la population étudiante, du corps professoral et du personnel travailleront dans des installations ultramodernes qui feront avancer la recherche de pointe du pays et favoriseront tant l’apprentissage à vie que la formation professionnelle. »

 

Le nouvel édifice de recherche, d’innovation et de génie sera situé entre les édifices Parker et Fraser du campus de Sudbury et comprendra ce qui suit :

 

  • Espace coopératif de recherche et développement, permettant aux chercheurs de l’Université de mettre en commun l’équipement et les compétences voulues pour exploiter des instruments très spécialisés.
  • Espace d’innovation et de commercialisation pour aider les nouvelles entreprises à combler le fossé actuel entre le laboratoire et le marché. Pour ce faire, l’Université mettra à profit son partenariat avec le Northern Centre for Advanced Technology (NORCAT).
  • Quatre laboratoires d’innovation Capstone permettant aux étudiants de génie civil, chimique, mécanique et minier de mettre leurs connaissances et compétences à l’œuvre et de s’attaquer à des problèmes de conception créative de véritables clients.
  • Un laboratoire d’analyse de matériaux pour appuyer les chercheurs, les étudiants et les partenaires de l’industrie dans le domaine de l’analyse chimique ainsi que dans les essais mécaniques, métallurgiques, de corrosion, de traitement thermique et de capacité.
  • Un laboratoire d’études environnementales et de mécanique des sols, équipé d’instruments, de salles d’environnement et d’autres équipements spécialisés, pour appuyer la recherche, l’innovation et les partenaires de l’industrie dans la conception des structures de fondation et en terre et aborder des problèmes dans plusieurs domaines (chimie de l’eau, microbiologie environnementale, processus physiques et chimiques, procédés microbiologiques) de même que de l’équipement d’analyse et de systèmes de traitement en laboratoire.
  • Un atelier de développement de prototypes et de construction mécanique pour favoriser les travaux d’innovation nécessitant des installations physiques.
  • Un laboratoire de logiciels et une salle de conférence intégrés, équipés pour les activités assistées par ordinateur et les logiciels d’ingénierie. Cette capacité supplémentaire permettra aux étudiants en génie civil de finir les années 3 et 4 à l’Université Laurentienne et pourra accueillir les étudiants bilingues en génie qui doivent actuellement aller ailleurs, de 400 à 600 km, pour se diplômer.
  • Un laboratoire de circuits hydrauliques et de mécanique des fluides permettant aux étudiants en génie d’en apprendre plus et de faire des recherches sur les débits fluidiques à canal ouvert et fermé.

« Au cours des dix dernières années, l’Université Laurentienne a reçu plus de 200 000 000 $ en fonds de recherche tandis que, au cours de la même période, les inscriptions à l’École de génie Bharti, un établissement primé, ont augmenté, passant de 100 à 700 étudiants, indique le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux. Nous avons un rôle important à jouer dans le soutien à la recherche et à l’innovation en créant des possibilités à la fois pour les étudiants et les partenaires de l’industrie. Le soutien reçu des gouvernements fédéral et provincial nous aidera certainement à répondre à ces impératifs. »

 

Outre le nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie, le programme d’immobilisations de l’UL, chiffré à 60 700 000 $, la verra investir dans une nouvelle Unité de recherche cardiovasculaire et métabolique, un nouveau service aux étudiants à guichet unique, un nouveau Centre autochtone de partage et d’apprentissage, les rénovations de cinq laboratoires de la Faculté des sciences de la santé et une nouvelle toiture à la Bibliothèque J.N.-Desmarais. Cela comprend aussi un partenariat de 11 200 000 $ avec Greater Sudbury Utilities dans le cadre d’une initiative de cogénération devant moderniser les systèmes de chauffage de l’Université, à l’échelle du campus, à la suite de la mise en place d’un réseau urbain, à haute efficacité énergétique, axé sur la production combinée de chaleur et d’électricité, une initiative qui permettra à l’UL de réduire sa consommation d’électricité de 79 %.

 

D’après une étude réalisée par le cabinet KPMG, l’activité économique directe tributaire de ce projet, en résultats économiques bruts, est estimée à plus de 102 000 000 $, dont 54 000 000 $ en contribution au produit intérieur brut du Canada. Par ailleurs, le projet devrait appuyer 625 années-personnes d’emploi.

 

Le projet RIG (Recherche, innovation et génie) de la Laurentienne a été développé de concert et en réponse aux besoins propres à la collectivité et recensés, entre autres, par la Ville du Grand Sudbury, la Chambre de Commerce du Grand Sudbury, la SAMSSA (Sudbury Area Mining Supply and Service Association), Greater Sudbury Utilities, Horizon Santé-Nord, Science Nord, NORCAT - Sudbury Innovation Centre, le Conseil consultatif mondial de l’École de génie Bharti et le Conseil de l’Université Laurentienne pour la formation des Autochtones (CULFA). La Laurentienne a reçu plus de 50 lettres d’appui des partenaires de la collectivité et de l’industrie. Pour en savoir plus sur le projet, cliquez ici

La Laurentienne célèbre d'importantes réussites en matière de financement du CRSNG et du CRSH

La Laurentienne célèbre d'importantes réussites en matière de financement du CRSNG et du CRSH

Un investissement de 3 500 000 $ du gouvernement fédéral appuiera un éventail de projets de recherche et de formation

13 SEPTEMBRE 2016 – La Laurentienne a reçu 3 500 000 $ du gouvernement fédéral sous forme de subventions du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG) et du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH).

 

Par l’intermédiaire des programmes FONCER, de subventions à la découverte et de subventions d’outils et d’instruments de recherche, le CRSNG accordera quelque 3 150 000 $ à l’Université Laurentienne. « Cette année, un plus grand nombre de chercheurs ont présenté des demandes de financement dans le cadre de ces programmes, a expliqué M. Thomas Merritt, Ph.D., responsable du CRSNG à la Laurentienne, et un nombre record de demandes de l’Université ont été approuvées. »

 

Dans le but d’améliorer le taux de réussite aux concours du CRSNG, la Laurentienne a offert aux chercheurs des ateliers, de l’encadrement et un soutien entre les pairs afin d’étayer les demandes.

 

En outre, la Laurentienne a vu une augmentation du financement accordé par le CRSH. « Nos subventions du CRSH ont augmenté de 11 % depuis l’an passé, a dit Mme Gillian Crozier, Ph.D., responsable du CRSH à la Laurentienne, dû notamment à de nouveaux octrois dans les programmes Subventions Savoir et de développement Savoir. »

 

Les chercheurs de la Laurentienne ont reçu aussi un nouveau financement dans le cadre du programme subventions Connexions qui apporte un soutien aux initiatives de mobilisation des connaissances de grande envergure.

 

Le vice-recteur à la recherche, M. Rui Wang, Ph.D., tient à féliciter tous les chercheurs de la Laurentienne et à remercier le CRSNG et le CRSH de leur appui. « Je suis si fier des chercheurs des sept facultés de la Laurentienne qui ont brillé dans les concours du CRSNG et du CRSH. Nos réussites dans ces concours nationaux évalués par les pairs prouvent que la Laurentienne est reconnue au plan national pour son excellence dans ces domaines. »

Points saillants

  • Augmentation du financement du CRSH de 11 % en 2015-2016 par rapport à 2014-2015.
  • Augmentation du financement du CRSNG de 45 % en 2015-2016 par rapport à 2014-2015.
  • Le financement du CRSNG appuiera les domaines suivants : biologie, chimie et biochimie, sciences de la Terre, génie, sciences de l’activité physique, mathématiques et informatique, et physique.
  • Le taux de réussite des demandes de la Laurentienne aux subventions à la découverte du CRSNG est passé de 29 % en 2016 à 55 % en 2016.  
  • Le Programme de formation orientée vers la nouveauté, la collaboration et l’expérience en recherche (FONCER) du CRSNG appuie la formation d’équipes composées d’étudiants et de stagiaires postdoctoraux hautement qualifiés du Canada et d’autres pays grâce à des programmes de formation innovateurs.
  • Le Programme de subventions à la découverte du CRSNG appuie des programmes continus de recherche comportant des objectifs à long terme.
  • Le Programme de subventions d’outils et d’instruments de recherche (OIR) du CRSNG, qui offre un soutien jusqu’à concurrence de 150 000 $, est la principale source d’appui financier aux chercheurs universitaires en sciences naturelles et en génie pour l’achat d’outils et d’instruments de recherche.
  • L’objectif du programme Savoir du CRSH est d’approfondir les connaissances à partir de perspectives à caractère disciplinaire, interdisciplinaire ou multisectoriel en appuyant les meilleurs chercheurs.
  • Les subventions de développement Savoir du CRSH visent à appuyer les étapes initiales de la recherche. Elles favorisent l’approfondissement de nouvelles questions de recherche ainsi que l’expérimentation de nouvelles approches théoriques, idées et méthodes. Elles servent à financer des projets de développement de la recherche à court terme (jusqu’à deux ans) proposés par un chercheur travaillant seul ou en équipe.

Les subventions Connexion du CRSH appuient des événements et des activités de rayonnement à court terme ciblant des initiatives de mobilisation des connaissances.    

Le gouvernement fédéral investit 49 000 000 $ dans le programme d'exploration minérale de 104 000 000 $

Le gouvernement fédéral investit 49 000 000 $ dans le programme d'exploration minérale de 104 000 000 $

Le financement accordé est le plus grand investissement ponctuel dans l’histoire de l’Université

L’Université Laurentienne lance une initiative de recherche sans précédent pour aider l’industrie des minéraux à faire, tant au Canada qu’à l’étranger, des investissements d’exploration à faible risque et à inverser la tendance actuelle, celle des faibles taux de découverte de nouveaux gisements minéraux.

 

Cette initiative de sept ans, baptisée Metal Earth, a reçu du Fonds d’excellence en recherche Apogée Canada (FERAC) un coup d’impulsion de 49 269 000 $, sur sept ans. L’annonce a été faite aujourd’hui par le député de Sudbury, Paul Lefebvre, et le député de Nickel Belt, Marc Serré, au nom de la ministre des Sciences, Kirsty Duncan. Au total, 22 partenaires issus des milieux universitaires, industriels et gouvernementaux versent 55 000 000 $, en espèces et en nature, à cette initiative estimée à 104 000 000 $.

 

« L’Université Laurentienne est déjà le bénéficiaire le plus en vue au Canada de fonds de recherche en géologie économique et figure parmi les meilleurs établissements au monde, a déclaré le député de Sudbury, M. Paul Lefebvre. Nous sommes fiers d’appuyer la Laurentienne et le Centre de recherche en exploration minérale à l’École des sciences de la Terre Harquail, et de la voir devenir le leader mondial incontesté dans la recherche en exploration minérale. »

« Cet investissement fera augmenter les dépenses d’exploration et les investissements au Canada, de même que les taux de découverte et le développement de nouvelles mines, a expliqué le député de Nickel Belt, M. Marc Serré. Les résultats des travaux de Metal Earth seront transférables dans le monde entier et feront du Canada un leader de poids dans la quête mondiale de métaux. Cet investissement attirera encore plus de talents à Sudbury et y fera créer d’autres possibilités de partenariat. »

 

Par son mandat, le FERAC aide les établissements d’enseignement postsecondaire canadiens à exceller à l’échelle mondiale dans les domaines de recherche porteurs d’avantages économiques à long terme pour le Canada. Le concours inaugural a donné lieu à cinq octrois de fonds totalisant 350 000 000 $ en 2015. L’annonce faite par le gouvernement fédéral aujourd’hui voit attribuer 900 000 000 $ à 13 universités sur 51 candidats. Chaque établissement ne pouvait présenter qu’une seule demande. Un troisième concours devrait être lancé en 2021-2022. Les décisions de financement ont été prises par un comité de sélection de premier plan, après examen des demandes par les pairs basé sur le mérite scientifique et la capacité manifeste à mener des projets à l’échelle internationale, la pertinence stratégique pour le Canada et la qualité du plan de mise en œuvre.

 

« L’annonce de financement d’aujourd’hui est la plus importante depuis la création de la Laurentienne il y a 56 ans et le plus grand programme de recherche en exploration jamais entrepris au Canada. Nous tenons à remercier le gouvernement fédéral de son engagement croissant pour la science et l’innovation, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux, ajoutant que la Laurentienne est, depuis la création du FERAC, la seule université offrant principalement des programmes de premier cycle parmi les 16 universités choisies par concours. »

 

Plus tôt dans la journée, l’Université Laurentienne a également annoncé un don de 10 000 000 $ qu’a fait la famille Harquail au Département des sciences de la Terre, nouvellement rebaptisé l’École des sciences de la Terre Harquail. M. David Harquail est président et chef de la direction de Franco-Nevada Corporation, une société de redevances axée sur l’or et inscrite à la cote des bourses de Toronto et de New York.

 

« La subvention du FERAC, ajoute M. Giroux, témoigne de la qualité exceptionnelle du corps professoral, du personnel et de la population étudiante de l’École des sciences de la Terre Harquail et de son Centre de recherche en exploration minérale. »

 

« Les réserves mondiales de métaux sont en train de s’épuiser du fait de la demande accrue et de la diminution des taux de découverte au cours des dix dernières années, a expliqué M. Harold Gibson, directeur du Centre de recherche en exploration minérale (CREM) de l’École des sciences de la Terre Harquail et chercheur principal à Metal Earth. Or, il se trouve que les dépenses consacrées à la prospection ont augmenté tandis que les taux de découverte ont diminué. Sans moyen de découvrir et d’extraire des métaux, les sociétés modernes seront confrontées à une crise qui aura des répercussions négatives sur le développement social, technologique et industriel. Pourtant, le Canada dispose de gisements minéraux encore inexploités. »

 

Les métaux, qui représentent 19,6 % des exportations et 4 % du produit intérieur brut (PIB), constituent l’un des principaux leviers de l’économie canadienne. Avec Metal Earth, l’industrie et le gouvernement seront dotés de nouvelles connaissances, de personnel hautement qualifié, de protocoles et d’outils leur permettant de concentrer les crédits alloués à l’exploration et à l’infrastructure dans les domaines à forte minéralisation en métaux. « Metal Earth est une nouvelle approche qui va au-delà de la recherche traditionnelle au niveau du gisement ou du district, a conclu M. Gibson. Il transformera la façon dont nous faisons l’exploration de métaux et notre compréhension de l’évolution de la Terre. »

 

Metal Earth mobilisera des chercheurs de la Laurentienne et de ses établissements partenaires, recrutera plus de 35 chercheurs postdoctoraux, assistants de recherche, techniciens et employés de soutien, et verra participer plus de 80 étudiants des cycles supérieurs et de 100 étudiants de premier cycle et de nombreux sous-traitants. Par ailleurs, Metal Earth fera embaucher à l’Université Laurentienne un titulaire d’une chaire de recherche en ciblage d’exploration et trois autres professeurs en géologie précambrienne, modélisation de systèmes terrestres et géophysique appliquée.

 

Metal Earth compte de nombreux partenaires, dont les sociétés géologiques du Canada, de l’Ontario, du Québec, du Manitoba, des Territoires du Nord-Ouest et du Nunavut, le Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario (SGFPNO), TMAC Resources, le Carnegie Institute, Noront Resources Ltd., l’Université de Western Australia, l’Université Laval, l’Université de Tasmanie, l’Université de Toronto, la famille Harquail, l’Université du Québec à Chicoutimi, l’Université d’Ottawa, Vale, MIRA Geoscience Ltd., le Centre d’excellence en innovation minière et MIRARCO.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Les étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

La famille Harquail investit 10 000 000 $ dans l’avancement de la recherche en exploration minérale

La famille Harquail investit 10 000 000 $ dans l’avancement de la recherche en exploration minérale

Le Département des sciences de la Terre sera dorénavant l’École des sciences de la Terre Harquail

*Photo de gauche à droite: James Harquail, Sofia Harquail, David Harquail, Birgitta Sigfridsson, Peter Harquail.

M. David Harquail a annoncé aujourd’hui que sa fondation familiale fait un investissement de 10 000 000 $ au Département des sciences de la Terre de l’Université Laurentienne et à son Centre de recherche en exploration minérale (CREM). Le Conseil des gouverneurs de l’Université a décidé à l’unanimité d’honorer la famille Harquail en changeant le nom du département à « École des sciences de la Terre Harquail » et en associant les activités du CREM au nom Harquail. La célébration de la générosité de la famille Harquail aura lieu dans quelques semaines.Logo

« L’Université Laurentienne est déjà un chef de file mondial dans la recherche en exploration minérale, a expliqué M. Harquail. Cet investissement est une étape pour faire de la Laurentienne le principal centre mondial de recherche en exploration minérale. Le secteur minier est dans l’ADN de cette université, car elle est proche des exploitations minières et d’un groupe de services et organismes de recherche gouvernementaux en ce domaine installés sur son campus. Le succès viendra avec la mise au point de nouveaux concepts et outils pour trouver la prochaine génération de gisements. »

 

Une dotation de 8 400 000 $ financera de nouvelles chaires de recherche, de l’équipement et des fournitures de laboratoire, du soutien technique et des bourses de recherche pour des étudiants au doctorat de partout au monde. Le solde de 1 600 000 $ permettra de recruter immédiatement le ou la titulaire de la Chaire de recherche en ciblage de l’exploration et du personnel de soutien.

 

« Nous sommes extrêmement reconnaissants à la famille Harquail de ce don transformateur, a dit le directeur de l’École des sciences de la Terre Harquail, M. Douglas Tinkham, Ph.D. Les activités d’exploration de l’industrie minière sont à la baisse et se concentrent sur le proche avenir. L’Université met l’accent sur l’activité scientifique à long terme qui pourrait conduire à de nouvelles découvertes. Cet investissement nous aidera à construire cette capacité. »

 

« Ces recherches sont fondamentales parce que la découverte de gisements est profitable pour toute la société, a indiqué M. Harquail. Les compagnies minières apportent de la valeur en construisant et en exploitant les mines. Et les différents ordres de gouvernement, les Premières Nations et l’ensemble de l’économie partagent cette valeur grâce à son effet multiplicateur. Rien de tout ceci ne pourrait se produire sans cette découverte initiale. »

 

« Le Canada profite disproportionnellement de sa force entrepreneuriale en exploration minérale mondiale, a ajouté M. Harquail. Même les découvertes en dehors du Canada contribuent au bien-être des Canadiens. Les entrepreneurs canadiens dans le domaine des ressources font partie des plus généreux philanthropes de ce pays qui aident bien des universités, hôpitaux et autres organismes. »

 

Après l’École de génie Bharti, l’École des mines Goodman et l’École d’architecture McEwen, l’École des sciences de la Terre Harquail est la quatrième école de l’UL renommée en moins de cinq ans en reconnaissance de dons privés de dizaines de millions de dollars d’entrepreneurs canadiens en ressources naturelles.

 

« Cet investissement de la famille Harquail est un geste exceptionnel de soutien à notre corps professoral, notre personnel et notre population étudiante des sciences de la Terre, a affirmé le recteur et vice-chancelier de la Laurentienne, M. Dominic Giroux. Nous pensons aussi qu’il témoigne de l’élan et de la reconnaissance nationale croissante de notre université. »

 

À propos de la famille Harquail

Par l’entremise de sa fondation, la Midas Touch Foundation, la famille Harquail aide des organismes de bienfaisance, des hôpitaux, ainsi que les secteurs de l’éducation et des arts. La fondation est gérée par David Harquail et Birgitta Sigfridsson et leurs enfants, Sofia, James et Peter. L’annonce d’aujourd’hui est le plus grand engagement de la fondation jusqu’à présent.

 

M. David Harquail est PDG de Franco-Nevada Corporation, une compagnie à redevances axée sur l’or inscrite aux bourses de Toronto et de New York. Franco-Nevada perçoit des redevances pour plus de 260 propriétés du monde abritant des minéraux, y compris nombre d’entre elles dans le bassin de Sudbury et le nord de l’Ontario. La compagnie fait aussi partie des commanditaires de l’École des mines Goodman de l’Université Laurentienne, où M. Harquail siège au conseil consultatif.

 

À propos de l’École des sciences de la Terre Harquail

L’École des sciences de la Terre Harquail et son Centre de recherche en exploration minérale (CREM) comptent 14 professeurs lauréats de prix, y compris trois de la division des gisements minéraux de l’Association géologique du Canada, sept membres du personnel, six chercheurs postdoctoraux, 78 étudiants aux cycles supérieurs et 94 étudiants au premier cycle lauréats de prix. Par rapport à toute autre école du Canada, elle a de loin obtenu le plus grand financement du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie et de l’Initiative géoscientifique ciblée pour les études en géologie économique. Elle est logée dans l’ultramoderne Centre Willet-Green-Miller aux côtés de la Commission géologique de l’Ontario, des Laboratoires géoscientifiques de l’Ontario et du ministère du Développement du Nord et des Mines de l’Ontario.

 

Situés dans la bordure sud de l’un des plus grands et plus anciens cratères de météorites les mieux exposés, les gisements massifs des éléments du groupe nickel, cuivre et platine de Sudbury offrent des occasions uniques de formation sur le terrain, de stages d’enseignement coopératif et de recherches pures et appliquées en exploitation minière. Le grand éventail d’environnements géologiques, y compris les ceintures volcaniques et sédimentaires de l’Archéen, la ceinture sédimentaire et volcanique du Protérozoïque, les terrains métamorphiques grenvillien, et les séquences paléozoïques faibles à moyennes. L’École offre des possibilités sans pareil d’études des gisements, de la géologie structurale, de la géophysique, de la minéralogie, de la pétrologie dans les zones ignées et métamorphiques, de la sédimentation et de la stratigraphie et de la paléoécologie.

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Les étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

Séance de réflexion du cabinet fédéral à l'Université Laurentienne un « immense succès »

Séance de réflexion du cabinet fédéral à l'Université Laurentienne un « immense succès »

La toute première séance de réflexion d’un cabinet fédéral tenu dans un établissement postsecondaire est un succès sans précédent et une occasion unique de mettre en évidence la recherche et l’innovation universitaires

La toute première séance de réflexion d’un cabinet fédéral tenu dans un établissement postsecondaire est un succès sans précédent et une occasion unique de mettre en évidence la recherche et l’innovation universitaires selon le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux.

 

« Nous avons été ravis d’accueillir le premier ministre, son personnel, le cabinet fédéral, les chefs de cabinet, les sous-ministres, le personnel du Conseil privé et l’ambassadeur du Canada aux États-Unis sur notre campus, a indiqué M. Giroux, et nous estimons que l’événement a été un immense succès à tous les égards. »

 

La Laurentienne a été invitée à héberger la séance en raison de sa capacité prouvée d’accueillir des événements de haut niveau comme les Jeux d’été de l’Ontario, les Jeux de la francophonie canadienne et de nombreuses conférences nationales et internationales, ainsi que de son leadership en recherche et innovation, de son profil d’établissement bilingue et de son approche englobante de l’éducation des Autochtones.

 

Le premier ministre, tout le cabinet et le personnel ont logé dans l’une des deux nouvelles résidences étudiantes ouvertes à la Laurentienne depuis 2008.


 

« Cela a été un privilège unique de travailler avec le bureau du Conseil privé pour organiser cette séance de réflexion, et un grand plaisir d’avoir eu l’occasion de discuter avec des ministres, des sous-ministres et leur personnel pendant leur visite, a dit M. Giroux. Bien entendu, nous avons été heureux de leur montrer notre magnifique campus de 765 acres entouré par cinq lacs, un terrain de golf, une plage, et un réseau de sentiers. »

 

Le recteur de la Laurentienne, de même que des membres du corps professoral et du personnel ont rencontré plusieurs ministres au cours de la séance, et parlé librement de la recherche et de l’innovation universitaire et de leur incidence sur l’économie canadienne.

 

La Laurentienne se classe au premier rang au Canada pour la recherche subventionnée en géologie économique, géophysique appliquée, mécanique des roches, psychologie du sport et politique, planification et prévention sociales. Elle compte actuellement neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche spécialisés.

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