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Un professeur d’architecture de la Laurentienne est élu président de l’Ordre des architectes de l’Ontario.

Un professeur d’architecture de la Laurentienne est élu président de l’Ordre des architectes de l’Ontario.

L’élection de M. Ted Wilson ne l’écartera pas de son mandat d’enseignement à l’École d’architecture McEwen.

4 mars 2025 - L’Université Laurentienne applaudit M. Ted Wilson, maître de conférences à l’École d’architecture McEwen, qui a été élu président de l’Ordre des architectes de l’Ontario, marquant ainsi une étape importante de sa carrière.

M. Wilson, qui a plus de 30 ans d’expérience en architecture, sans compter ses onze ans au sein du corps professoral de la Laurentienne, a consacré sa carrière à combler l’écart entre le monde universitaire et la pratique professionnelle. Il a joué un rôle majeur dans la conception de l’École d’architecture McEwen, au centre-ville de Sudbury, et demeure depuis longtemps un membre actif de la Société des architectes du nord de l’Ontario.

Motivé par sa passion pour le réseautage, qui l’a vu contribuer à l’essor de plusieurs cabinets d’architecture, il a gravi les étapes de la hiérarchie pour en arriver aujourd’hui à la tête de l’Ordre, une organisation provinciale. 

« Cela fait des années que je me suis fixé cet objectif, a indiqué M. Wilson. L’Ordre joue un rôle vital en aidant les architectes dans leur cheminement professionnel, de la formation au permis d’exercice, tout en forgeant l’avenir de l’architecture en Ontario. Je me réjouis à l’idée de poursuivre notre mission, celle de renforcer la profession et de promouvoir le travail remarquable qui se fait dans nos collectivités. »

Éducateur actif chargé de plusieurs cours, son influence s’exerce au-delà du champ de la pratique, ce qui a une incidence sur la réussite des étudiants de l’École McEwen. Elishba Manzoor, étudiante de quatrième année en architecture qui a l’intention de s’inscrire à la maîtrise l’an prochain, lui en attribue le crédit. Selon elle, le mentorat de M. Wilson a été une source d’inspiration et l’élément déterminant de son cheminement universitaire.

« Il adapte son enseignement aux champs d’intérêt des étudiants et s’assure que nous avons bien des occasions de les explorer, dit-elle. Son encouragement m’a motivé à poursuivre mes études à la maîtrise, et il m’a aidé à choisir un sujet de thèse qui m’intéresse et qui répond à mes objectifs personnels. Ses conseils ont été inestimables. »

En tant que président de l’Ordre, M. Wilson se dit résolu à s’attaquer aux questions de durabilité et d’équité que soulève l’architecture de même que du rôle évolutif de la profession dans le façonnement des collectivités. Il voit dans sa présidence une occasion de mettre en valeur les talents émergents du nord de l’Ontario et dont les champs d’intérêt sont l’adaptation au changement climatique, la durabilité, les pratiques et la collaboration soucieuses des différences culturelles.

« Ce qui se passe à l’École McEwen, a déclaré M. Wilson, est précisément ce que nous voulons voir se produire au sein de l’Ordre, à savoir former les futurs architectes de sorte qu’ils s’engagent pleinement auprès des collectivités et qu’ils se soucient de l’environnement. »

Alors qu’il entame ce rôle de leader provincial de la profession, son influence à titre d’éducateur est plus importante que jamais. « J’ai été attirée par la Laurentienne en partie parce que les professeurs ne sont pas seulement là pour enseigner la théorie; ils sont aussi des praticiens sur le terrain. De voir nos professeurs réussir non seulement en classe, a déclaré Elishba, mais se hisser à de tels sommets, comme Ted qui a été élu président de l’Ordre, cela m’inspire et me motive énormément. »

Son engagement au service de l’enseignement et son leadership professionnel à titre de président de l’Ordre illustrent le lien important qui existe entre l’enseignement théorique et la pratique sur le terrain. Alors qu’il se fait le champion de la durabilité, de retombées sociétales et des valeurs du nord de l’Ontario au niveau provincial, M. Wilson continue d’inspirer la prochaine génération d’architectes à l’École d’architecture McEwen, preuve que le leadership commence en classe, mais ne s’y limite pas.

IAMGOLD et l’Université Laurentienne annoncent un fonds d’innovation de 2,5 millions de dollars.

IAMGOLD et l’Université Laurentienne annoncent un fonds d’innovation de 2,5 millions de dollars.

Un don marquant de IAMGOLD appuiera l’investissement stratégique et l’innovation.

3 mars 2025 – L’Université est fière d’annoncer la création du Fonds de la rectrice pour l’innovation IAMGOLD pour l’investissement stratégique en partenariat avec la société IAMGOLD. Cette initiative de 2,5 millions de dollars financera des projets d’enseignement et de recherche qui aideront à mettre en œuvre les priorités stratégiques de l’Université tout en favorisant l’innovation dans l’enseignement et la recherche sur les ressources minérales et l’exploitation minière.

Ce fonds unique permettra de concrétiser des idées et de façonner l’avenir de nombreuses industries grâce à des recherches de pointe et à l’innovation. Des possibilités de projets verront le jour dans divers domaines, y compris :

  • possibilités environnementales comme la réduction des émissions, la gestion de l’eau, le soutien à la biodiversité et la gestion des résidus;
  • possibilités sociales, comme l’engagement étudiant/communautaire, la formation de la main-d’œuvre ainsi que le perfectionnement;
  • réconciliation avec les peuples autochtones;
  • possibilités à l’échelle du campus qui favorisent la collaboration et l’innovation.

La vision de IAMGOLD « Zéro incident » donne la priorité à la santé, à la sécurité, à la responsabilité environnementale et aux solides relations communautaires. Cet investissement renforce la situation de la Laurentienne dans le secteur minier canadien.

 

Faire progresser l’innovation dans le secteur minier et la durabilité

Offert à la population étudiante, aux associations étudiantes, au corps professoral et au personnel, le Fonds appuiera des projets :

  • portant sur les défis de l’industrie minière et apportant des solutions pratiques, innovatrices et fondées sur l’enseignement et la recherche;
  • alignés sur les objectifs du Plan stratégique 2024-2029 de l’Université Laurentienne ainsi que du Plan d’enseignement et du Plan stratégique de recherche.

 
Le Fonds appuiera également des thèmes du Plan stratégique, notamment les priorités comme l’excellence dans le Nord en exploitation minière et minéraux critiques, la collaboration institutionnelle et les partenariats, et renforcera l’identité bilingue et triculturelle de la Laurentienne, tout en appuyant des groupes divers et en quête d’équité. Le Fonds financera des projets jusqu’à concurrence de 250 000 $ par an pendant deux ans au maximum.
 

Citations

« IAMGOLD est fier d’investir dans la prochaine génération de leaders du secteur minier au moyen de ce Fonds. C’est un honneur de nous allier à l’Université Laurentienne pour aider notre industrie à franchir la prochaine étape, a dit le président et PDG de IAMGOLD, Renaud Adams. Ce fonds reflète notre engagement envers l’exploitation minière durable et les recherches innovatrices, et nous nous réjouissons à la perspective de voir les effets que cela aura. »

« Nous sommes profondément reconnaissants à IAMGOLD de nous offrir son soutien, a indiqué la rectrice et vice-chancelière de l’Université Laurentienne, Lynn Wells. Ce fonds donne à la population étudiante, au corps professoral et au personnel les moyens de façonner l’avenir de l’exploitation minière et de l’enseignement. Nous sommes fiers de jouer un rôle clé dans la formation de chefs de file qui feront progresser l’exploitation minière. »

Courtney Lessel reçoit le Prix du service à la recherche Dan-Archambault

Courtney Lessel reçoit le Prix du service à la recherche Dan-Archambault

Reconnaissance de neuf années de contributions exceptionnelles à la recherche et de soutien aux étudiants au CRSST

28 février 2025 – Courtney Lessel est lauréate du Prix du service à la recherche Dan-Archambault pour ses contributions inestimables aux efforts de recherche du Centre de recherche en santé et sécurité au travail (CRSST).


Depuis ses années d’études à la maîtrise, de 2013 à 2016, Courtney fait partie intégrante de la communauté de recherche de l’Université Laurentienne. Membre du personnel à plein temps du CRSST depuis 2016, elle joue un rôle clé dans le soutien des membres de la population étudiante et du corps professoral, faisant progresser l’excellence en recherche. 

 

Courtney a siégé à des comités de soutien à la recherche et aux études, notamment le comité organisateur de l’activité annuelle CROSHCon et l’équipe de direction du CRSST, où elle aide à organiser des possibilités de développement de carrière pour les étudiants. Elle dispense également une formation essentielle sur l’analyse documentaire et statistique, encadrant les étudiants aux cycles supérieurs et ceux qui préparent un mémoire ou une thèse de recherche.


Représentant la Laurentienne au-delà du campus, Courtney contribue à diverses initiatives externes de recherche, y compris la série sur l’immunité communautaire du nord de l’Ontario et le comité de développement du programme de sensibilisation au stress thermique. Elle siège aussi au comité consultatif local des Centres de santé des travailleurs de l’Ontario (OHCOW). 


« Courtney travaille sans relâche pour appuyer les étudiants et la recherche à la Laurentienne, a souligné la directrice du CRSST, Sandra Dorman, Ph.D. Sa collaboration va au-delà du cadre normal de travail, l’apportant à contribuer de manière importante à la création et à la diffusion de l’échange de connaissances en Ontario. Elle incarne l’esprit de ce prix et le mérite vraiment. »


 « L’expertise en recherche de Courtney, a ajouté la chercheuse principale au CRSST, Katie Goggins, Ph.D., et son engagement envers la réussite des étudiants font d’elle un atout exceptionnel pour notre communauté de recherche. »
Créé en 2024 à la mémoire de Daniel Archambault, Ph.D., le Prix du service à la recherche Daniel-Archambault reconnaît les membres du corps professoral, du personnel et de la population étudiante de l’Université Laurentienne qui font preuve de dévouement et de contributions exceptionnelles à la communauté de recherche universitaire.


La communauté de l’Université Laurentienne félicite Courtney Lessel de cette reconnaissance bien méritée et la remercie de son incidence remarquable sur la recherche universitaire.
 

Mme Tammy Gaber est lauréate du Prix d’excellence en recherche

Mme Tammy Gaber est lauréate du Prix d’excellence en recherche

Ses contributions exceptionnelles à titre de chercheuse ont été saluées lors de la Semaine de recherche 2025

28 février 2025 - Le Prix d’excellence en recherche de l’Université Laurentienne a été décerné à Mme Tammy Gaber (Ph.D.), directrice et professeure agrégée à l’École d’architecture McEwen. Cet honneur, déterminé par un comité de sélection, consacre les contributions originales exceptionnelles d’un membre du corps professorat à son domaine au cours des cinq dernières années, qui a fait preuve de leadership universitaire, reçu des fonds de recherche externes et rehaussé sur la scène nationale et internationale la réputation de l’Université en matière de recherche.

La vice-rectrice à la recherche, Mme Tammy Eger, a félicité l’heureuse lauréate lors de la remise du prix qui a eu lieu lors de la cérémonie clôturant la Semaine de recherche 2025. « Mme Gaber, par ses recherches pionnières et son engagement au mentorat des étudiants, a eu une immense incidence tant chez les étudiants qu’au sein de la communauté architecturale. Ses travaux font rayonner la recherche qui se fait à la Laurentienne sur la scène internationale, et il importe de célébrer ce prix bien mérité. »

Ses travaux de recherche, qui ont fait avancer le savoir en architecture, l’ont aussi vue encadrer des étudiants de tous les cycles, contribuant ainsi à la formation de la prochaine génération de concepteurs et de chercheurs innovateurs.

« La recherche se fait dans un esprit de collaboration et de transformation, a indiqué Mme Gaber, et je suis reconnaissante envers mes étudiants et collègues et la communauté de la Laurentienne, dont le soutien et l’engagement permettent de repousser les limites des connaissances en architecture. Que le travail qui me passionne soit reconnu est à la fois un honneur et un privilège. »

Outre ce prix, Mme Gaber verra reconnaître ses mérites lors d’une prochaine cérémonie de remise des diplômes. Elle sera aussi invitée à prendre la parole lors de la Semaine de recherche 2026 au cours de laquelle une réception sera organisée en son honneur. Dans l’immédiat, son Prix d’excellence en recherche sera célébré par la Bibliothèque de l’École d’architecture McEwen, sous la forme d’une exposition de ses publications, notamment son livre, ses chapitres, ses articles de revues, entre autres. 

La communauté universitaire de la Laurentienne tient à saluer les réalisations de Mme Gaber et se réjouit des retombées durables de ses recherches, de ses travaux universitaires et de son enseignement.

 

À propos de Tammy Gaber (Ph.D.)
Mme Gaber jouit d’une grande réputation en raison de son engagement qui consiste à offrir aux étudiants des possibilités d’apprentissage expérientiel uniques et transformatrices dans le cadre de ses travaux de recherche. Son travail, mené à titre d’érudite et d’éducatrice de renom, l’a vue apporter une importante contribution à l’histoire de l’architecture, notamment à l’étude des espaces sacrés et de ce qu’ils représentent pour les communautés. À titre de directrice de l’École d’architecture McEwen, son leadership a donné lieu à des initiatives innovatrices dans l’enseignement et à des possibilités d’apprentissage expérientiel uniques, confortant ainsi la réputation d’excellence de l’établissement. 

Ses travaux ont bénéficié de plusieurs subventions fédérales, dont le prix 2022 pour son étude des espaces sacrés par les architectes modernistes Alvar, Aino et Elissa Aalto. Son livre pionnier, Beyond the Divide - A Century of Canadian Mosque Design, fruit de nombreuses années de recherche soutenues par le CRSH et d’autres subventions, a fait l’objet d’éloges dans nombre de revues et de périodiques prestigieux, dans un balado, le Globe and Mail et une émission de télévision. Son livre a récemment reçu une mention honorable dans le cadre du Melva Dwyer Award, un prix qui récompense les créateurs d’outils de référence ou de recherche exceptionnels dans le domaine de l’art et de l’architecture canadiens.

Son plus récent projet de recherche a vu son ouvrage Sacred Spaces: Community and Continuity in Aaltos’ Architecture, en vedette dans une exposition au musée Alvar Aalto de Jyväskylä, en Finlande. L’exposition, une exploration minutieuse de 35 espaces sacrés conçus par les Aalto, sur une période de 50 ans, s’accompagne de dessins 3D détaillés et de recherches historiques, offrant ainsi une compréhension complète de ces ouvrages architecturaux.

L’Université Laurentienne célèbre l’innovation et la découverte pendant la Semaine de la recherche 2025

L’Université Laurentienne célèbre l’innovation et la découverte pendant la Semaine de la recherche 2025

La Semaine de la recherche 2025 aura lieu du 24 au 28 février

24 février 2025 – La Semaine de la recherche 2025 propose une programmation dynamique d’activités conçues pour mettre en valeur l’étendue et la profondeur des recherches menées à l’Université Laurentienne. Auprès des chercheurs mêmes, les participants s’initieront à des travaux novateurs dans bon nombre de disciplines pendant cette célébration de la découverte, de la créativité et du milieu universitaire.


Lors de la cérémonie d’ouverture ce matin, la semaine est partie du bon pied avec l’annonce de trois nouvelles bourses de recherche qui récompensent des chercheurs exceptionnels faisant progresser des projets dans des domaines clés :

  • Bourse pour avancer la recherche à la Faculté de gestion : Kamran Eshghi (École d’administration des sports)
  • Bourse pour avancer la recherche autochtone : Sharlene Webkamigad (École des relations autochtones)
  • Bourse pour avancer la recherche francophone : Émilie Pinard (École d’architecture McEwen)

Il s’agit des plus récentes bourses de recherche dans plusieurs catégories offertes à l’Université Laurentienne.

« Ces bourses témoignent de l’engagement de l’Université Laurentienne à encourager l’excellence en recherche et à soutenir les projets innovateurs, a indiqué la vice-rectrice à la recherche, Tammy Eger, Ph.D. Les progrès en recherche, créativité et érudition se produisent à longueur d’année grâce au dévouement et à la passion de nos chercheurs. Cette semaine est l’occasion pour que tous les membres de la communauté se réunissent afin de partager leurs connaissances et de célébrer notre réussite collective. »

 

La Semaine de la recherche de cette année propose et reprend de nombreuses activités, notamment :

  • Défi innovation des Voyageurs – Ce concours apportera des équipes du corps professoral et de la population étudiante à présenter des idées commerciales innovantes à un jury.
  • Concours de thèses en trois minutes (3MT) et GRADFlix – Les étudiants des cycles supérieurs présenteront leurs recherches dans des formats brefs, mais intéressants.
  • Lecture de la lauréate du Prix d’excellence en recherche 2024 – Mme Linda Ambrose, Ph.D., partagera des idées tirées de son récent livre, Pentecostal Preacher Woman: The Faith and Feminism of Bernice Gerard.
  • *NOUVEAUTÉ* Projection du film Planter l’espoir – Dans le cadre der cette activité spéciale en partenariat avec Science Nord, le film Planter l’espoir sera joué en anglais, français et anishinaabemowin.
  • *NOUVEAUTÉ* Perspectives de recherche en 5 minutes – Pour cette nouvelle activité, les membres du corps professoral communiqueront leurs recherches dans le cadre de présentations concises et convaincantes de cinq minutes.
  • Symposium de recherche des étudiants des cycles supérieurs – Les travaux innovateurs des étudiants des cycles supérieurs seront présentés lors de courts exposés interactifs.
  • *NOUVEAUTÉ* Parcours vers la recherche pour les étudiants de premier cycle – Cette séance spéciale fera valoir les possibilités pour les étudiants du premier cycle de participer à la recherche, y compris aux projets de mémoire, aux recherches d’été et aux parcours d’études supérieures.

 

La communauté aura de nombreuses occasions d’explorer les diverses recherches des étudiants des cycles supérieurs. Cette année, pour la première fois, des affiches de recherche seront exposées dans l’atrium de l’Édifice Parker tout au long de la semaine. En outre, l’une des activités préférées sera présentée à nouveau, à savoir, Gradflix, qui met en valeur de courtes vidéos créées par des chercheurs étudiants pour faire connaître leurs projets.

Ces activités rassembleront des chercheurs de tous les niveaux pour échanger et explorer ensemble, tout en nouant de nouvelles relations autour d’intérêts universitaires communs. Les gens qui assistent aux activités auront la chance de gagner des prix incroyables, y compris des cartes-cadeaux, des produits fabriqués au Canada et un laissez-passer de stationnement de l’Université Laurentienne.

Tous les membres de la communauté Laurentienne sont encouragés à assister aux activités de la Semaine de la recherche afin d’appuyer l’excellence en recherche et de célébrer l’innovation à l’Université Laurentienne.

Journée de la robe rouge et Campagne de la peau d’orignal pour sensibiliser et inciter à l’action

Journée de la robe rouge et Campagne de la peau d’orignal pour sensibiliser et inciter à l’action

Activité de sensibilisation à la violence fondée sur le genre

 

13 février 2025 - L’équipe du Bureau des affaires étudiantes autochtones de l’Université Laurentienne organise une journée pour reconnaître la Campagne de la robe rouge et la Campagne de la peau d’orignal, le 14 février, favorisant la sensibilisation et la formation. Cette initiative combine deux campagnes de sensibilisation bien connues afin d’attirer l’attention sur le besoin urgent de mettre fin à la violence sexiste et d’encourager la responsabilisation en créant un avenir fondé sur le respect mutuel.

Un programme complet d’activités est proposé pour la journée, y compris le repas du midi dans le Centre autochtone de partage et d’apprentissage et des activités de groupe pour favoriser le renforcement de la communauté et le partage. Les participants pourront assister à deux exposés de membres du corps professoral de la Laurentienne :

  • Paula Pitawanakwat, maître de conférences, École de service social  

    • Mme Pitawanakwat dirigera une présentation sur le sens et l’importance soutenue de la Journée de la robe rouge, soulignant la crise des femmes, des filles et des personnes bispirituelles autochtones disparues ou assassinées.

  • Randy Pitawanakwat, professeur adjoint, École des relations autochtones 

    • Dans son exposé, « Perspectives of Anishinaabe Fatherhood and Indigenous Masculinity: A Modern Look at Our Shared History », M. Pitawanakwat examinera les perspectives historiques et sociologiques sur la paternité dans les communautés anishinaabe, y compris l’incidence qu’ont eue le colonialisme et les pensionnats, et la voie vers la guérison pour les générations futures.

L’activité rendra hommage aux FFADA2E+ et soulignera le rôle collectif que joue la société pour mettre fin à la violence contre les femmes, les enfants et les personnes LGBTQ2S+.

« La conjugaison de ces deux journées de sensibilisation renforce le message que nous jouons tous un rôle pour favoriser la sécurité et le respect, a expliqué la directrice du Centre autochtone de partage et d’apprentissage, Mary Laur. Cette année, l’exposition des robes rouges se fera dans un endroit plus restreint à l’extérieur du CAPA afin d’avoir une incidence plus considérable et de garantir que le message résonne fortement au sein de notre communauté. »

En plus de faire des recherches sur la paternité anishinaabe, le professeur Randy Pitawanakwat a un lien personnel avec les campagnes de sensibilisation et préconise l’importance des établissements d’enseignement pour soutenir la guérison et la réconciliation.

« Aîné d’une famille avec quatre sœurs, j’ai toujours ressenti une profonde responsabilité d’épauler et d’encourager les femmes de ma vie, a-t-il exprimé. Depuis qu’elle s’est liée en 2022, l’Université Laurentienne est un campus ambassadeur de la Campagne de la peau d’orignal, ce qui renforce notre engagement envers la réconciliation, les appels à l’action et l’élimination de la violence contre les femmes, les enfants et les personnes bispirituelles. Cette activité permet à tous les membres de la communauté de se renseigner et de s’engager à faire partie de la solution. »

M. Pitawanakwat a souligné l’importance de la campagne pour mettre fin à la violence contre les femmes et les enfants, en particulier au sein des communautés autochtones. « En portant une pièce de peau d’orignal, nous reconnaissons notre responsabilité collective d’agir, a-t-il ajouté. Il ne s’agit pas seulement d’un problème autochtone; on fait appel à toutes les personnes sur l’île de la Tortue pour qu’elles s’unissent et mettent fin à la violence sexiste. »

La communauté est invitée à l’Université Laurentienne pour cette journée qui débutera lors d’une cérémonie d’ouverture à 10 h dans l’atrium de l’Édifice Parker, suivie d’autres activités à cet endroit et dans le CAPA.

L’héritage d’Anne Kossatz perdure dans le cadre d’une bourse d’études

L’héritage d’Anne Kossatz perdure dans le cadre d’une bourse d’études

Un don de plus de 115 000 $ apportera un appui aux femmes dans les sciences à l’Université Laurentienne

10 février 2025 – À la veille de la Journée internationale des femmes et des filles de science, la famille de la défunte Anne Kossatz a généreusement fait don de quelque 115 000 $ pour créer une bourse destinée aux étudiantes du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne. Cette contribution bienveillante rend hommage à Anne et à son engagement de toute une vie envers l’avancement des possibilités pour les femmes en sciences.

 

 

« C’est un privilège d’honorer ma femme en créant cette bourse d’études à la Laurentienne, a exprimé Ray Dalby. Elle croyait profondément au pouvoir transformateur de l’éducation et à l’importance d’encourager les femmes à briller dans des domaines où elles ont traditionnellement été sous-représentées. Cette bourse est une façon d’alimenter sa vision et d’avoir une incidence durable sur les générations futures. »

 

 

Décédée en 2021, Anne était originaire de Sudbury et diplômée de la Laurentienne. Elle avait une incroyable joie de vivre et un enthousiasme pour vivre pleinement. Sa passion pour les chevaux l’a apportée à siéger au conseil d’administration d’Ontario Equestrian et à devenir commissaire auprès de la Fédération équestre internationale. Elle avait une formation approfondie incluant deux maîtrises, mais a obtenu en premier lieu un baccalauréat ès sciences en biologie de l’Université Laurentienne en 1977.

 

 

« La communauté Laurentienne est profondément reconnaissante envers la famille d’Anne pour cette contribution importante, a affirmé la doyenne de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture, Joy Gray-Munro, Ph.D. Nous reconnaissons la différence notable que ce généreux don aura dans la vie des lauréates ainsi que l’incidence positive d’offrir un plus grand nombre de possibilités aux femmes dans les sciences. »

 

 

Ce don permettra de créer une bourse d’études qui sera décernée tous les ans à une étudiante de troisième année en biologie biomédicale ayant obtenu la moyenne pondérée cumulative la plus élevée au cours des deux années d’études précédentes. Grâce à cette bourse, l’héritage d’Anne Kossatz aidera une étudiante de la Laurentienne à réaliser tout son potentiel et, dans un sens plus large, à contribuer à l’avenir de la recherche scientifique.

 

Un moment phare : John Gunn est lauréat de la Médaille du couronnement du Roi Charles III.

Un moment phare : John Gunn est lauréat de la Médaille du couronnement du Roi Charles III.

Un professeur émérite de l’Université Laurentienne est honoré pour son leadership environnemental pérenne aux incidences mondiales.

6 février 2025 - John Gunn (Ph.D.), professeur émérite de la Laurentienne et chercheur de renommée internationale dans le domaine de l’environnement, s’est vu attribuer la prestigieuse Médaille du couronnement du Roi Charles III. Cet honneur consacre ses travaux sur la science de l’environnement, son mentorat auprès de futurs leaders de la durabilité et son intendance de l’histoire de la restauration environnementale de Sudbury, trois volets d’une carrière, d’envergure internationale, qui enjambe des décennies.

« Je suis vraiment honoré de recevoir cette médaille, a déclaré M. Gunn. Cette distinction témoigne des vertus que revêtent la collaboration et l’innovation face aux défis à relever dans le domaine de l’environnement. Je suis particulièrement heureux du fait que cela m’a permis de souligner le rôle unique de l’Université Laurentienne au sein de l’Alliance des universités pour une nature positive, à titre de leader de la restauration de la biodiversité et des initiatives de durabilité à l’échelle planétaire. Les membres du corps professoral et de la population sont en effet résolus à changer la donne et je suis fier des efforts engagés. »

Ses contributions, à commencer par ses recherches innovatrices sur les répercussions des pluies acides sur les écosystèmes aquatiques, enjambent plus de quarante ans. Ses conclusions - et celles de ses collègues - ont largement orienté la formulation de politiques qui ont permis de réduire les émissions industrielles et de rétablir sensiblement la biodiversité sudburoise.

M. Gunn est l’ex-directeur de l’Unité conjointe d’écologie d’eau douce et le fondateur du Centre pour la vitalité des lacs Vale, pôle de la recherche environnementale et de l’engagement communautaire. Il est titulaire depuis 21 ans de la Chaire de recherche du Canada sur les systèmes aquatiques stressés, poste qui lui a permis de faire avancer la collaboration entre le monde universitaire, l’industrie et le secteur gouvernemental. 

« Nous félicitons de tout cœur le professeur Gunn, a dit la vice-rectrice à la recherche, Mme Tammy Eger. Cette médaille souligne ses réalisations exceptionnelles qui ont redonné la santé à nos lacs ici et fait progresser la science de l’environnement à l’échelle mondiale, et consacre son dévouement constant au mentorat auprès des leaders de la prochaine génération dans le domaine de l’environnement. Son travail continue de nous inspirer. » 

M. Gunn s’attache à mieux faire connaître à l’échelle internationale la remarquable épopée qu’est la restauration environnementale sudburoise. 

Lors de la conférence COP15 des Nations Unies, qui s’est tenue à Montréal en 2022, M. Gunn représentait le Canada et a fait connaître aux leaders du monde le cheminement et le bilan de Sudbury, précisant comment son rôle de mentor a déterminé l’adhésion de la Laurentienne à l’Alliance des universités pour une nature positive, un réseau mondial comptant plus de 700 établissements œuvrant au rétablissement de la biodiversité et à l’action en faveur du climat. La Laurentienne est la seule université ontarienne à avoir pris auprès de l’alliance un engagement garanti qui est soutenu par la haute administration et un programme d’étudiants ambassadeurs.

La Médaille du couronnement du Roi Charles III, frappée par la Monnaie royale canadienne, est une marque de reconnaissance importante de personnes qui ont apporté au Canada une contribution exceptionnelle dans divers domaines.

Alors qu’il poursuit son travail en tant que professeur émérite, son influence, qui se fait sentir au sein des étudiants, des chercheurs et des communautés, se traduit aussi en héritage incarné par une nouvelle génération de champions de l’environnement et d’artisans du changement en faveur de la durabilité qui s’attaquent aux problèmes du changement climatique et de la perte de biodiversité à l’échelle planétaire.

Le 25 février, un hommage spécial sera rendu à M. John Gunn (Ph.D.) lors de la projection du film « Planting Hope: A Regreening Story ». Cet événement de la Semaine de la recherche est présenté en partenariat avec Science Nord et est ouvert au public. 

Onze équipes universitaires participent au Défi d’or Goodman

Onze équipes universitaires participent au Défi d’or Goodman

Des équipes de toute l’Amérique du Nord ont fait concurrence dans le cadre du concours d’investissement minier

5 février 2025 – La 7e édition annuelle du Défi d’or Goodman a eu lieu du 29 au 31 janvier 2025 et 11 équipes venues de partout sur le continent se sont affrontées pour gagner de l’or véritable. Dans ce concours de cas d’investissement minier réaliste présenté par Kinross Gold et organisé par l’École des mines Goodman à l’Université Laurentienne, des équipes d’étudiants de premier cycle jouent le rôle de sociétés de financement cherchant à investir dans une compagnie minière.

Les équipes devaient évaluer trois sociétés minières et justifier laquelle constituerait le meilleur investissement. De réels PDG de G Mining Ventures, de Meridian Mining et d’Omai Gold Mines ont eu 30 minutes pour convaincre les équipes d’investir dans leur entreprise. Ensuite, les équipes ont eu le temps de leur poser des questions percutantes, de réfléchir aux données importantes et de discuter d’analyses afin d’arriver à leur décision. L’équipe d’étudiants ayant présenté l’argumentaire le plus soigné et professionnel pour son choix de société minière a été couronnée gagnante.

En fin de compte, c’était Queen's University qui a gagné le concours. Son équipe a choisi Meridian Mining aux fins d’investissement et remporté l’équivalent en espèces de quatre onces d’or.

« Toutes les équipes ont fait des présentations impressionnantes, a affirmé le président du Défi d’or Goodman et PDG de Dundee Corporation, Jonathan Goodman. Les étudiants ont travaillé fort pour représenter leur université, profitant au maximum de cette occasion pour faire valoir leur sens des affaires et leurs connaissances de l’industrie minière tout en développant de nouvelles compétences et relations. Félicitations à Queen's University de sa victoire bien méritée. »

La directrice générale de l’École des mines Goodman, Nadia Mykytczuk, a félicité les étudiants de leur approche visionnaire. « Les activités minières traversent actuellement une importante transition technologique, a-t-elle expliqué, et le fait que les étudiants comprennent comment exploiter de nouveaux gisements et établir des mines prospères constituera un atout précieux pour l’industrie dans son ensemble. »

Cet événement de trois jours, plus qu’un simple concours, a permis aux étudiants de s’entretenir avec des experts de l’industrie. Le président et directeur général de Rule Investment Media, Rick Rule, a prononcé le discours principal au gala de clôture tandis que des dirigeants de Nuclear Fuels Inc., Dundee Corporation, Kinross Gold, RBC Marchés des capitaux, Technica Mining, Magna Mining, Lakeshore Gold, SCP Resource Finance et Let’s Roll « Ideation » Consulting ont formé le jury.

Les équipes de McMaster University et de l’Université Laurentienne se sont classées en deuxième et troisième places, recevant des pièces d’argent, et, pour leur participation, tous les concurrents ont reçu des boîtes à lunch de mineurs fabriquées à Sudbury. Les étudiants des 11 équipes ont tiré des leçons inestimables sur la prise de décision en matière d’investissement dans le secteur minier et ont noué des relations durables avec leurs pairs et des leaders de l’industrie. 

Les célébrations du Mois de l’histoire des Noirs sont lancées aujourd’hui à l’Université Laurentienne

Les célébrations du Mois de l’histoire des Noirs sont lancées aujourd’hui à l’Université Laurentienne

Calendrier des activités organisées par les dirigeants étudiants

3 février 2025 – L’Association des étudiants afro-antillais de l’Université Laurentienne (AEAAUL) est heureuse de présenter des activités intéressantes sur le campus à l’occasion du Mois de l’histoire des Noirs, pour célébrer la richesse de la culture, de l’histoire et des réalisations des Noirs. Grâce au soutien du Centre étudiant d’équité (CEE) et du Bureau d’équité, de diversité et des droits de la personne (BEDDP), l’AEAAUL propose une série d’activités qui visent à sensibiliser et à responsabiliser les étudiants et la communauté tout en nouant des liens entre eux.

« L’AEAAUL est une communauté de soutien pour les étudiants africains et caribéens, favorisant les échanges culturels et la cohésion dans le cadre d’activités de groupe, a expliqué la présidente, Aya Atomini, une étudiante de quatrième année en administration des affaires -finances. Ce mois-ci est l’occasion de mettre en valeur les réalisations et les contributions des personnes noires tout en célébrant avec les pairs et ouvrant des discussions importantes sur la représentation. »

Les activités du Mois de l’histoire des Noirs offriront aux étudiants la possibilité de s’initier à l’histoire des Noirs et aux enjeux contemporains et de faire du réseautage avec des professionnels et des entrepreneurs. En voici quelques-unes :

  • Comprendre le passé (3 février) – Une présentation des organismes des Noirs de Sudbury, avec des tables rondes et des discussions interactives.
  • Discussions entre pairs (6 février) – Un débat mené par les étudiants sur le rôle des nations africaines dans l’élaboration des récits du Mois de l’histoire des Noirs.
  • Trois matchs de basketball (8 février) – Les étudiants encourageront les équipes de basket-ball des Voyageurs et Sudbury Five en profitant de billets commandités par le BEDDP. Regardez les 3 matchs pour 10 $ avec le code promotionnel LAURENTIAN25. Achetez vos billets.
  • Journée des entrepreneurs noirs (11 février) – Une célébration des entrepreneurs noirs et de leurs contributions à la communauté.
  • Soirée de jeux (13 février) – Une soirée amusante de jeux interactifs et de camaraderie.
  • Soirée cinéma (25 février) – La projection d’un film célébrant la narration et l’histoire des Noirs.
  • « Becoming Unstoppable » avec Tychon Carter (25 février) – Atelier pratique avec un ancien d’UL.
  • Nikki Clarke: L’innovation canadienne noire (26 février) – Une présentation favorisant l’engagement et la collaboration du public.
  • Mini-gala culturel (1er mars) – La grande finale, avec un défilé de mode, des spectacles en direct et un repas culturel.
  • Florish Adebayo a fréquenté le St. Charles College et est étudiante en quatrième année de biochimie. Elle travaille à temps partiel dans une pharmacie locale, dirige sa propre entreprise, Beiwty Rishrish Cosmetics, et siège au comité de direction de l’AEAAUL. Étudiante et jeune entrepreneure avec un horaire chargé, Florish souligne l’importante incidence de l’AEAAUL sur la vie étudiante. « Cette association m’a donné la chance de nouer des relations sur les plans personnel, universitaire et social, a-t-elle expliqué, et de bénéficier d’un soutien réciproque de mes pairs. Le Mois de l’histoire des Noirs est le moment d’amplifier ces liens et de célébrer notre communauté. »

    Menée par un conseil de direction de 12 étudiants dévoués, l’AEAAUL a une solide présence à la Laurentienne depuis des années. Puisque de nombreux dirigeants actuels en sont à leur dernière année d’études, elle prépare une transition en douceur vers une nouvelle direction. « Nous avons de nombreux nouveaux membres qui peuvent se présenter aux prochaines élections, a souligné Barakat Salami, qui a fréquenté la Lasalle Secondary School, est vice-présidente de l’AEAAUL et étudiante de quatrième année en droit et justice. Nous sommes convaincus que l’AEAAUL continuera à prospérer et à faire évoluer cette célébration d’année en année. »

    Grâce à un éventail d’activités pour répondre à des intérêts différents, le groupe attend avec intérêt deux toutes nouvelles initiatives. « Le mini-gala culturel et le débat étudiant, Discussions entre pairs, nous intriguent tout particulièrement, a dit Esther Oseni-Ketefe, diplômée de la St. Benedict Catholic Secondary School et étudiante de quatrième année en droit et de justice. C’est notre première fois à présenter quelque chose de ce genre et nous pensons que la communauté appréciera ces deux activités uniques et intéressantes. »

    En collaboration avec l’AEAAUL, le CEE et le BEDDP de l’Université Laurentienne ont fait en sorte que deux conférenciers invités, l’ancien étudiant-athlète et diplômé de l’Université Laurentienne, Tychon Carter, et la leader communautaire, Nikki Clarke, se joignent aux célébrations pour partager leurs idées et leurs expériences. L’AEAAUL invite la communauté Laurentienne à participer à l’histoire, à la culture et aux réalisations des Noirs et à les célébrer dans le cadre d’un mois rempli d’activités captivantes.

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