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Le CRSNG octroie à deux chercheurs de Sudbury 1,1 M$ pour faire avancer des projets à teneur minière.

Le CRSNG octroie à deux chercheurs de Sudbury 1,1 M$ pour faire avancer des projets à teneur minière.

13 mai 2024 - Deux chercheurs de l’Université de l’EMNO et de l’Université Laurentienne sont très heureux d’avoir reçu d’importants investissements du programme Missions d’Alliance du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) pour leurs projets de recherche. Grâce à ces subventions, un projet, qui s’intéresse à l’extraction du gallium, un minéral essentiel, cherchera à déterminer comment l’exploiter plus efficacement, et l’autre projet se penchera sur l’extraction de minéraux essentiels dans les bassins de décantation.

« Investir dans la recherche, c’est financer les progrès de la technologie, l’innovation et la prospérité économique. Les travaux des professeurs Tharmalingam et Scott sont indispensables si le Canada veut s’assurer d’un rôle de premier ordre dans un monde carboneutre, tout en favorisant la croissance économique, la restauration de l’environnement et la création d’emplois. Les minéraux essentiels constituent pour Sudbury et notre avenir carboneutre un atout générationnel. Investir dans la recherche est la meilleure voie à suivre pour faire en sorte que ce potentiel se concrétise. » Viviane Lapointe, députée de Sudbury.

Extraction du gallium

Sujeenthar Tharmalingam est professeur adjoint à l’Université de l’EMNO et a reçu du CRSNG 600 000 $ pour le projet de recherche intitulé A microbial sponge to mine the critical mineral gallium.

Le gallium est un élément essentiel à la production de semi-conducteurs, composantes de toutes sortes d’appareils électroniques. Récemment, une pénurie mondiale de semi-conducteurs a souligné la nécessité de trouver d’autres sources d’approvisionnement. La Chine détient actuellement environ 80 % de l’offre mondiale de gallium.

Le gallium n’existe pas à l’état de minéral dans la nature, mais se trouve à l’état de traces dans les bassins de décantation des résidus, à savoir les déchets des procédés d’exploitation minière. Les méthodes actuelles d’extraction de ces sources se révèlent toutefois coûteuses et inefficaces.

Cherchant à mettre au point un procédé nouveau et écophile d’extraction, le projet que poursuit M. Tharmalingam, en collaboration avec Vasu Appanna, cofondateur de Biomine LTD et professeur à l’Université Laurentienne, se veut donc pionnier. L’équipe de recherche, s’appuyant sur des travaux antérieurs, met l’accent sur l’extraction efficace du gallium à l’aide de microbes.

La subvention du programme Mission d’Alliance du CRSNG aidera à perfectionner une nouvelle technologie microbienne permettant de récupérer le gallium, de façon non polluante et rentable, dans les bassins de décantation. Le projet conjugue le savoir-faire en biologie moléculaire, microbiologie et édition génique, domaines d’expertise de M. Tharmalingam, avec les acquis de Biomine LTD dans le développement de solutions microbiennes écophiles sur mesure.

Ce projet a le potentiel de révolutionner l’extraction du gallium en permettant la mise au point d’un procédé d’approvisionnement régulier et durable de ce minéral essentiel.

« L’importance du gallium dans la fabrication de produits électroniques se confirme en raison de la récente pénurie de semi-conducteurs, indique M. Tharmalingam. Notre objectif principal est de faire œuvre de pionnier en mettant au point un procédé microbien innovateur pour extraire le gallium des résidus miniers, offrant ainsi une solution écophile et rentable face à la demande mondiale croissante de ce matériau essentiel aux semi-conducteurs. Nous tenons à remercier le CRSNG et Biomine LTD de leur soutien généreux alors que nous nous lançons dans cette entreprise. »

Optimisation des bassins de décantation

John Ashley Scott, professeur titulaire à l’École de génie Bharti de l’Université Laurentienne, est à la tête du projet intitulé Microalgal biosorption of critical minerals from mining related tailing ponds - recovering key metals to better protect aquatic systems and water supplies aux côtés du Pr Corey Laamanen, cochercheur. Ce projet bénéficiera d’une subvention de 530 990 $ du CRSNG et d’importantes contributions en nature de Sudbury Integrated Nickel Operations (Sudbury INO) de Glencore, un partenaire industriel vital.

Le projet utilisera des microalgues naturelles bioprospectées sur des sites miniers du nord du Canada afin d’extraire des effluents miniers des minéraux essentiels comme le cuivre, le nickel et le cobalt grâce à des processus naturels de biosorption. Le projet examinera également les procédés de récupération des métaux de la biomasse et s’intéressera aux applications bénéfiques de la biomasse restante comme un améliorant des sols contribuant à la remise en état des terres.

Pour l’industrie des minéraux essentiels, cette approche à moindre coût revêt une double valeur : elle aide à gérer les bassins opérationnels et à optimiser la récupération des ressources minérales essentielles. Elle peut aussi servir de rempart durable à la protection des sources d’alimentation hydrique des communautés régionales, en continuant à « éponger » les métaux et à entretenir les anciens bassins, après leur fermeture, dans le respect des normes élevées, assurant ainsi la protection de l’environnement aujourd’hui et pour les générations à venir.

« Ce projet pourrait ouvrir à l’industrie et à la protection de l’environnement de nouveaux créneaux aux possibilités encore inexploitées, a dit John Ashley Scott. Nous nous félicitons du concours du CRSNG et de Sudbury INO, sans lequel ce projet ne serait pas possible. »

Diplômée en histoire et avocate en exercice

Diplômée en histoire et avocate en exercice

« Faites simplement ce que vous aimez et cela vous mènera à quelque chose de grand. »

9 mai 2024 - Certains étudiants universitaires ont une vision claire de l’orientation qu’ils souhaitent donner à leur carrière. Une infirmière. Un enseignant. Un architecte. Pour d’autres, le chemin n’est pas si simple. C’était le cas d’Aimee Dezeure qui s’est inscrite au programme d’histoire de l’Université Laurentienne en 2012. Aujourd’hui avocate, Aimee exerce à London, en Ontario, passe son temps libre en plein air et organise des soirées de jeux de société avec d’anciens amis universitaires.

Originaire de la communauté rurale de Chatham-Kent, dans le sud-ouest de l’Ontario, Aimee a fréquenté l’École secondaire catholique de Pain Court avant de commencer son programme de premier cycle. « J’excellais dans les cours d’histoire au secondaire et je voulais continuer dans cette voie, se souvient Aimee. Je n’ai pas réfléchi à ce que je ferais après, je savais seulement que c’était un sujet qui m’intéressait. »

Aimee était particulièrement intéressée par les options de cours bilingues de la Laurentienne. Ayant fréquenté une école secondaire française, Aimee souhaitait améliorer ses compétences rédactionnelles en anglais en suivant son programme en anglais. Elle a été rassurée par le fait que des cours d’histoire étaient également offerts en français à la Laurentienne, ce qui lui permettait de suivre des cours en français si elle trouvait la barrière de la langue trop difficile à un moment donné.

Venant d’une petite ville, la Laurentienne a procuré le même sentiment d’unité à Aimee avec des classes de petite taille, des étudiants amicaux et des professeurs engageants. « J’ai noué des relations durables avec mes professeurs et mes amis. Mes amis de la Laurentienne sont toujours proches et nous nous réunissons régulièrement, dit-elle. Une grande partie de la communauté que j’ai établie à la Laurentienne est encore solide aujourd’hui. »

Une fois qu’Aimee a obtenu son diplôme de la Laurentienne, elle a travaillé comme archiviste, mais n’a pas trouvé ce travail aussi enrichissant qu’elle l’espérait. Peu de temps après, une amie l’a encouragé à poursuivre des études en droit et, sur un coup de tête, elle a commencé à étudier pour le test d’admission à la faculté de droit (LSAT). Rêvant alors de devenir avocate, Aimee a entrepris des études à l’Université de Windsor où, au printemps 2022, elle a obtenu un diplôme de Juris Doctor et a été admise au Barreau de l’Ontario en 2023.

Pratiquant le droit de la construction, le litige commercial et une touche de droit du travail dans un cabinet d’avocats de London, en Ontario, Aimee est fière de l’aboutissement de sa carrière. « Bon nombre des compétences que j’ai acquises au cours de mes études de premier cycle en histoire à la Laurentienne m’ont préparé au travail que j’accomplis quotidiennement en tant qu’avocate. J’écris ou je fais des recherches presque tous les jours. J’ai toujours bien aimé le mentorat et je suis reconnaissante de l’avoir eu au cours de mes études de premier cycle et de l’avoir maintenant dans ma carrière. »

Alors qu’elle se préparait à plaider son premier appel devant la Cour divisionnaire, Aimee a reçu une notification sur Facebook l’informant qu’il y a douze ans « ce jour-là », elle avait été acceptée dans le programme de premier cycle à la Laurentienne. C’était un rappel du cheminement parcouru depuis qu’elle avait décidé de poursuivre des études d’histoire. « Je me suis alors rendu compte, dit-elle, que douze ans auparavant, j’avais commencé ce voyage et que maintenant, je vis ce dont mon passé n’aurait même pas pu rêver. »

Aimee a trouvé sa place dans le monde professionnel en travaillant dur et en suivant sa passion. « Vous n’avez pas besoin de tout comprendre dès votre première année d’université. Votre passion vous mènera toujours là où vous devez être et les possibilités sont infinies, dit-elle. Les étudiants devraient simplement faire ce qu’ils aiment et cela les mènera à quelque chose de grand. »

​​Malcolm M. Campbell, Ph.D., nommé vice-recteur principal aux études

​​Malcolm M. Campbell, Ph.D., nommé vice-recteur principal aux études

Un éminent universitaire mondial et cadre dirigeant dévoué se joint à la Laurentienne

8 mai 2024 – L’Université Laurentienne est fière d’annoncer la nomination de Malcolm M. Campbell, Ph.D., au poste de vice-recteur principal aux études. Il apporte une richesse d’expérience et une carrière universitaire distinguée à son nouveau rôle, dans le cadre duquel il veillera aux affaires touchant les études et assurera un leadership pour avancer l’élaboration du Plan d’enseignement de l’Université.

M. Campbell se joint à l’Université Laurentienne après avoir travaillé, de 2015 à 2023, comme vice-recteur à la recherche à l’Université de Guelph, où il a obtenu son doctorat en biochimie. Il a également été professeur titulaire aux universités d’Oxford, de Toronto et de Guelph. Tout au long de sa carrière, M. Campbell a fait preuve d’engagement envers l’excellence en enseignement, recherche et administration, faisant de lui le candidat idéal pour ce poste indispensable de direction.

« Le comité de recherche a été profondément impressionné par les qualifications et le leadership exceptionnel de M. Campbell, a dit la rectrice et vice-chancelière de l’Université Laurentienne, Lynn Wells, Ph.D. Son dévouement à favoriser l’innovation et l’excellence universitaire est en parfaite harmonie avec les valeurs et les objectifs stratégiques de notre université. Nous sommes heureux de pouvoir retrouver toutes ces qualités remarquables dans un candidat bilingue et sommes convaincus que M. Campbell assurera un leadership exceptionnel dans l’avancement de nos programmes d’études tout en appuyant la réussite de notre population étudiante et de notre corps professoral. »

« Tout au long du recrutement, a ajouté Mme Wells, je savais que notre prochain vice-recteur principal devait être un leader chevronné capable de s’investir dans la communauté Laurentienne pour poursuivre l’important travail de guérison et de rétablissement, tout en positionnant l’Université pour être forte et stable à l’avenir. Heureusement, c’est exactement ce que nous avons trouvé. »

À titre de vice-recteur principal aux études, M. Campbell collaborera étroitement avec la communauté universitaire pour améliorer les programmes d’études, promouvoir la recherche et les activités d’érudition et favoriser une culture d’inclusion et d’innovation.

« C’est un honneur d’avoir l’occasion d’être le prochain vice-recteur principal aux études de la Laurentienne à ce moment décisif, a exprimé M. Campbell. L’Université approche l’avenir avec puissance en ayant recours aux modes de connaissance autochtones et aux forces particulières de la culture francophone, ce qui la distingue des autres universités. Grâce à un engagement remarquable envers son mandat triculturel et bilingue, de solides antécédents d’incidence régionale positive avec une pertinence mondiale et un nouveau plan stratégique audacieux, l’Université Laurentienne est destinée à être une étoile polaire qui guide la population étudiante, le personnel et le corps professoral vers un avenir brillant. Je m’enthousiasme à l’idée de travailler pour la communauté Laurentienne afin de créer un avenir prospère pour tous ses membres. »

L’Université Laurentienne souligne et reconnait les contributions extraordinaires de la vice‑rectrice principale aux études, Brenda Brouwer, Ph.D., qui occupe ce poste depuis janvier 2023.

Veuillez vous joindre à nous pour accueillir M. Campbell à l’Université Laurentienne lorsqu’il  assume ses nouvelles fonctions le 1er août 2024.

« Partout où je vais, j’entends ce qui suit : nous avons besoin de personnel infirmier. »

« Partout où je vais, j’entends ce qui suit : nous avons besoin de personnel infirmier. »

Nous marquons la Semaine nationale des soins infirmiers en mettant en vedette deux étudiants en sciences infirmières.

6 mai, 2024 - Pour célébrer la Semaine nationale des soins infirmiers (6-12 mai), il n’est pas nécessaire de regarder loin pour voir que l’avenir de la profession est entre de bonnes mains.

Deux futurs infirmiers sont sur des trajectoires parallèles à l’Université Laurentienne. Joseph « Joe » Colasimone, originaire de Sudbury, est diplômé de la St. Benedict Catholic Secondary School. Caleb Smith, originaire d’Azilda, est diplômé de l’École secondaire Macdonald-Cartier. Ils sont tous les deux fiers de leurs origines nord-ontariennes et aiment bien le mode de vie dans le Nord, sont en quatrième année en sciences infirmières et consacrent beaucoup de leur temps libre à faire du bénévolat et à acquérir de l’expérience en sciences infirmières et en soins de santé.

« Partout où je vais, j’entends ce qui suit : nous avons besoin de personnel infirmier. Vous n’aurez pas de mal à trouver du travail, dit Joe, l’étudiant du programme de Bachelor of Science in Nursing. » En raison de la forte demande de personnel infirmier en Ontario, Joe voit avec optimisme son avenir dans le secteur de la santé. L’automne prochain, Caleb, qui entamera également sa dernière année d’études dans le programme de Sciences infirmières, est tout aussi optimiste. « J’ai beaucoup de possibilités en tant qu’infirmier. Je m’intéresse en particulier à l’accès aux services de santé en français en Ontario, et je vois des possibilités d’amélioration dans ce domaine. Ce travail me passionne et je pense que le plus grand défi consiste simplement à choisir la voie dans laquelle faire carrière. »

À eux deux, Joe et Caleb ont effectué des stages en cardiologie, orthopédie, neurologie, chirurgie générale, soins aigus en psychiatrie aux patients hospitalisés, maternité et médecine interne. Ils estiment que cette expérience clinique est précisément ce qui les a attirés à la Laurentienne et qu’elle fait partie intégrante de leur formation.

C’est la passion pour les sciences qui les a amenés à choisir leur programme, mais le facteur décisif a été que le personnel infirmier interagit avec des patients et améliore la vie quotidienne. « La Laurentienne fait partie des quelques universités de l’Ontario qui offrent de l’expérience clinique dès la première année, explique Joe. Cela comptait beaucoup pour moi parce que je n’avais pas d’expérience clinique. J’ai été heureux d’acquérir cette expérience de contact avec les patients dès le début. »

« J’aime bien que, dès la première année, nous ayons l’occasion de faire des stages et d’interagir avec des patients, dit Caleb. L’exposition à divers cadres de soins, comme les soins à long terme, en milieu communautaire et à l’hôpital, nous aident à renforcer nos compétences et connaissances dans les soins généraux et spécialisés. »

Joe et Caleb ont assumé plusieurs fonctions dans l’association étudiante de leur programme, respectivement, la Laurentian University Nursing Student Association et l’Association des étudiants et étudiantes en sciences infirmières. Dans leur dernière année au premier cycle, Joe sera vice-président à l’enseignement, et Caleb co-président de leur association respective.

En plus de consacrer du temps à leur association, ils siègent à des comités directeurs, font du bénévolat pour des organismes sans but lucratif, travaillent comme étudiants ambassadeurs et font des stages à Horizon Santé-Nord.

Caleb constate déjà l’effet positif de ses activités et de son enrichissement personnel. « J’ai acquis de la confiance et élargi ma compréhension des processus et procédures d’une organisation, et je rencontre des gens qui m’inspirent et j’interagis toujours avec eux. »

Joe pense de même et espère que la participation à ces activités fera de lui un prestataire de soins accompli. « Je suis membre de l’association étudiante, je fais un stage à la clinique de prévention des accidents vasculaires cérébraux et je siège au Comité directeur de la planification stratégique d’Horizon Santé-Nord. Je veux acquérir le plus d’expérience possible et enrichir mes connaissances et compétences afin de prodiguer les meilleurs soins possibles. Je pose toujours beaucoup de questions et je saisis toutes les occasions qui se présentent à moi.»

À l’aube de leur dernière année d’études, Joe et Caleb se rendent compte qu’il est temps de commencer à penser à ce que l’avenir leur réserve. Tous les deux conviennent que leurs possibilités en tant que futurs infirmiers à Sudbury abondent. Ils n’ont pas l’intention de se limiter à un parcours et continueront de saisir de nouvelles possibilités et de s’épanouir en tant que personnes et infirmiers.

Que vous puissiez remercier Joe, Caleb ou tout membre du personnel infirmier, la Semaine nationale des soins infirmiers est le meilleur moment de réfléchir et de souligner le rôle important des travailleurs de la santé.

Programmes de l’École des sciences infirmières

Bachelor of Science in Nursing (BScN)

Nurse Practitioner (M.Sc.N./G.Dip)

Nursing (MScN)

Master of Health Administration (MHA)

Baccalauréat ès sciences infirmières (B.Sc.Inf.)

Sciences infirmières - Passerelle pour infirmiers et infirmières auxiliaires autorisées

Sciences infirmières - Pour infirmiers et infirmières autorisées

Infirmières et infirmiers praticiens en soins de santé primaire (M.Sc.N./G.Dip)

Maîtrise en sciences infirmières (M.Sc.Inf.)

Maîtrise en Administration de la santé (MAS)

Contributions vitales des orthophonistes

Contributions vitales des orthophonistes

La diplômée de la Laurentienne, Krysta Beaudry, contribue à faire connaître l’aspect médical de l'orthophonie.

3 mai 2024 – Les orthophonistes apportent une contribution clé au secteur de l’enseignement et sont réputés pour leur travail avec les enfants en milieu scolaire. Localement, vous constaterez que beaucoup d’orthophonistes des conseils scolaires francophones et anglophones sont diplômés du programme d’orthophonie de la Laurentienne. Même si le milieu scolaire est le premier à venir à l’esprit lorsqu’on pense aux orthophonistes, ce n’est pas le seul où ils laissent leur marque.

Krysta Beaudry est orthophoniste à l’Hôpital de Timmins et du district. Originaire de Timmins, elle a fréquenté l’École secondaire catholique Thériault avant d’obtenir un baccalauréat en orthophonie de la Laurentienne en 2019 et une maîtrise en orthophonie en 2021. Son rôle d’orthophoniste médicale, où elle offre des services en français et en anglais, illustre les nombreuses possibilités de carrière dans cette discipline.

Elle a su qu’elle ferait carrière en orthophonie après avoir effectué un stage d’études coopératives au Bureau de santé Porcupine à Timmins durant ses études secondaires. Pendant ses études de premier cycle, elle a renforcé son expérience dans des milieux de santé avec des emplois d’été dans divers organismes. « Ces premières expériences m’ont donné un avant-goût de l’orthophonie en tant que soin de santé et m’ont séduite. »

« Pour moi qui viens d’une petite ville, la Laurentienne me convenait parfaitement, dit-elle. J’ai aimé l’accès à la nature et l’aspect de petite ville de l’Université. » L’Association des étudiants francophones (AEF) a joué un grand rôle dans son expérience d’étudiante. Elle se souvient de la communauté que l’association crée et de la façon dont les activités et les liens ont fait qu’elle était à l’aise et se sentait chez elle. Elle dit aussi que « la vie en résidence a été une expérience parfaite » durant la première année loin de chez elle. Elle a bien aimé les occasions d’apporter de l’aide pour des événements et a été particulièrement heureuse d’assumer du leadership en coordonnant le programme de sports intramuros.

À la Laurentienne, elle a aimé les classes de petite taille qui lui ont permis de recevoir directement du soutien de ses professeurs manifestement désireux que leurs étudiants réussissent. « J’ai adoré le programme d’orthophonie de la Laurentienne. Il y avait tellement d’ouverture d’esprit et de collaboration dans les cours. » 

Krysta demeure occupée et ambitieuse. Elle joue actuellement au basketball et au hockey trois fois par semaine. Elle est également tutrice d’élèves francophones au niveau élémentaire.
 
Les orthophonistes aident les patients qui ont des troubles d’élocution, de langage, de déglutition, de voix et de cognition-communication. Une grande partie du travail actuel de Krysta consiste à aider des victimes d’accident vasculaire cérébral, de traumatismes cérébraux et de troubles neurologiques. « Beaucoup de gens ne réalisent pas que nous effectuons des tests et de la réadaptation de nature tout à fait médicale. Nous effectuons des évaluations, élaborons un plan de traitement avec les patients, collaborons avec d’autres prestataires de soins et rétablissons la capacité de communication et de déglutition. » 

Le travail clinique est certes valorisant, mais ce que Krysta aime le plus est les progrès constants dans le domaine de l’orthophonie. « Il y a toujours de nouvelles pratiques intéressantes où les normes s’améliorent. J’ai l’impression de ne jamais faire la même chose d’une année à l’autre parce que j’apprends toujours quelque chose et me tiens au courant des progrès de la recherche, souligne Krysta en pensant à ses trois premières années d’orthophoniste en exercice. La portée de l’exercice garde cet emploi très intéressant, il n’y a pas deux journées pareilles. Un des aspects qui me plaît le plus est la collaboration avec d’autres praticiens dans le cercle des soins de santé dans un cadre hospitalier. »

Le prestigieux programme Amgen Scholars 2024 accueille un étudiant en neurosciences

Le prestigieux programme Amgen Scholars 2024 accueille un étudiant en neurosciences

Ashtyn Mowbray-Mcmillan s’apprête à entamer de la recherche de pointe au sein d’une communauté scientifique canadienne.

30 avril 2024 - Chaque été, le programme Amgen Scholars Program. accueille des étudiants de premier cycle du monde entier afin de leur permettre de faire de la recherche de haut niveau. La branche canadienne de ce programme prestigieux n’admet que dix (10) étudiants et, cette année, Ashtyn Mowbray-Mcmillan, étudiant en neurosciences du comportementà l’Université Laurentienne, sera au nombre des participants au volet sciences et biotechnologie.

Le programme d’été de dix semaines se déroulera à l’Université de Toronto où Ashtyn aura l’occasion de collaborer et d’effectuer de la recherche aux côtés de chercheurs de renommée mondiale. Le programme offre la possibilité d’apprendre la valeur du travail d’équipe et de la responsabilité sociale grâce à des événements de réseautage et de renforcement de la communauté, et se termine par un symposium au cours duquel les recherches sont présentées à la communauté universitaire.

« Le programme est une excellente occasion d’acquérir davantage d’expérience pratique en recherche avant de me diplômer, dit-il. Pour me porter candidat, j’ai dû choisir un professeur de l’Université de Toronto et lui expliquer pourquoi je souhaitais faire de la recherche dans son laboratoire. Je travaillerai avec ce professeur, j’apprendrai de lui et je collaborerai à la recherche. C’est un sentiment irréel d’avoir été sélectionné pour ce programme, qui est très compétitif. »

Alors qu’il se prépare à entamer à l’automne sa dernière année d’études de premier cycle, il se réjouit à la perspective de revenir à la Laurentienne fort de ses nouvelles compétences de chercheur, autant d’acquis du programme d’été qui lui serviront à mener à bien ses travaux de thèse. Ashtyn, qui s’intéresse aux systèmes de mémoire du cerveau et à la conscience, espère poursuivre ses recherches au niveau de la maîtrise, puis du doctorat.

« Les neurosciences sont une application concrète des concepts de chimie et de psychologie et me sont utiles au quotidien, dit-il. En apprendre davantage sur le fonctionnement du cerveau est incroyable. Par exemple, le nombre de circuits et de mécanismes qui entrent en jeu dans un acte aussi simple que le fait de dire cette phrase est absolument intéressant. J’adore en apprendre davantage à ce sujet. »

Ashtyn est particulièrement enthousiaste face à cette expérience, sachant qu’elle lui permettra non seulement de renforcer ses compétences pratiques, mais aussi d’étoffer son curriculum vitæ. Animé par l’ambition de devenir un jour professeur de neurosciences, il se dit impatient de tisser des liens et de s’imprégner de chaque moment dans le cadre de cette expérience. « J’aimerais être professeur et chercheur et je l’espère, enseigner à l’université. Je sais que cela exige beaucoup de travail et encore bien des années d’études, mais je suis vraiment motivé. Mon baccalauréat en sciences à l’Université Laurentienne et le programme Amgen ne sont qu’un début. »

Inscriptions maintenant acceptées au camp d’été Archi·Nord

Inscriptions maintenant acceptées au camp d’été Archi·Nord

Les camps accueillent les élèves qui commenceront la 11e ou 12e année

26 avril 2024 - Cet été, une expérience préuniversitaire exceptionnelle incitant les participants à pratiquer de nouvelles façons de voir, de s’imaginer et de concevoir le monde qui les entoure sera de retour au Grand Sudbury. Les inscriptions sont maintenant acceptées à Archi·Nord, camp d’été d’architecture bilingue et triculturel présenté en personne à l’École d’architecture McEwen de l’Université Laurentienne.

Grâce à un enseignement dispensé par des membres du corps professoral et des récents diplômés, Archi·Nord accordera aux participants une expérience inégalée d’introduction à l’architecture, à la conception et au dessin général et technique au campus primé de l’École d’architecture McEwen.

« Puisque la première saison d’Archi·Nord à l’été 2023 a connu un si grand succès, il a été facile de décider de présenter à nouveau le programme, a expliqué le professeur adjoint de l’École d’architecture McEwen et coordonnateur d’Archi·North, Louis-Pierre Bélec. Les professeurs et diplômés se sont réjouis d’enseigner les élèves et de collaborer avec eux. Nous avons reçu de ces derniers et de leurs parents des commentaires très positifs. Nous avons ainsi hâte non seulement de présenter à nouveau le camp, mais aussi de continuer à le faire évoluer pour les élèves qui y participent pour la première ou deuxième fois. »

Misant sur la réussite des tout premiers camps l’an dernier, il y aura cette année des camps à deux niveaux, à savoir la Session 01 pour les nouveaux participants et la Session 02 pour les participants de l’année précédente qui reviennent pour une expérience prolongée de camp de deux semaines. En outre, Archi·Nord décernera des certificats d’expérience des partenaires du secteur aux élèves qui préparent une majeure haute spécialisation (MHS) dans un domaine pertinent.

Les camps Archi·Nord sont offerts aux élèves qui commenceront la 11e ou 12e année en septembre 2024; il n’y a aucune autre condition. Dans le cadre du programme de commandite Collab-Nord, un nombre limité de bourses seront offertes aux élèves admissibles.

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne approuve le budget annuel 2024-2025

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne approuve le budget annuel 2024-2025

Le budget appuie l’expérience étudiante, le Plan stratégique et le Plan de transformation

26 avril 2024 - Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé le budget annuel pour l’année 2024-2025. Ce budget est axé sur l’amélioration de l’expérience étudiante, l’investissement dans la transformation de l’Université et la mise en œuvre du nouveau Plan stratégique 2024-2029.

« Ce budget nous permettra de libérer le grand potentiel de la Laurentienne. Il nous aidera à nous concentrer sur ce qui compte le plus et mettra le Plan stratégique en action. Nous avons bien aimé faire les nombreuses consultations des parties prenantes clés qui, à mon avis, sont un aspect précieux du processus de planification et d’établissement du budget. » Lynn Wells, Ph.D., rectrice et vice-chancelière.

Diverses réunions de planification ont eu lieu avec les gestionnaires de budgets des facultés et de l’administration (plus d’une quarantaine), y compris des représentants de l’Association des professeurs de l’Université Laurentienne (APUL), du Syndicat des employés de l’Université Laurentienne (SEUL) et de l’Association du personnel administratif et professionnel de l’Université Laurentienne (APAPUL), pour discuter des défis et priorités du moment.

Le budget met l’accent sur le soutien à l’expérience étudiante en finançant des postes nouveaux et vacants du corps professoral et du personnel; cela s’est traduit par une hausse de 64,10 du personnel équivalent temps plein (enseignement 33,9, soutien aux études 16,8, administration 12,9, services auxiliaires 0,5). Il convient de noter que les nouveaux postes de professeurs soutiennent les programmes en croissance et à forte demande, les initiatives stratégiques et les mandats de l’Université, y compris l’intégration des connaissances et des enseignements autochtones dans de multiples disciplines et le renforcement des capacités dans les programmes de langue française.

« Le but du budget est également de répondre aux besoins essentiels de la dotation en personnel et opérationnels en continuant de bâtir sur une base solide. La Laurentienne est dans une position unique pour investir dans sa transformation afin de devenir plus rentable et viable financièrement, et offrir une expérience étudiante exceptionnelle. » Sylvie C. Lafontaine, vice-rectrice aux finances et à l’administration.

En plus des multiples projets d’entretien différé entrepris l’année précédente, des travaux clés sont prévus pour 2024-2025 (8 500 000 $) afin d’améliorer l’infrastructure essentielle (chauffage et ventilation, toitures, ascenseurs, installations de restauration, escaliers extérieurs et éclairage).

Points saillants du budget

  • Revenus consolidés : 201 710 000 $.
  • Dépenses consolidées et coûts de la restructuration : 201 170 000 $.
  • Excédent consolidé : 540 000 $.


Budget de fonctionnement

  • Bourses d’études et d’aide : 7 500 000 $.
  • Coûts de la transformation : 7 200 000 $.
  • Entretien différé : 8 500 000 $.
  • Nouvel investissement dans la technologie de l’information : 2 600 000 $.

Les Jeux MineOpportunité présentés à l’Université Laurentienne

Les Jeux MineOpportunité présentés à l’Université Laurentienne

Les jeux accueilleront quelque 300 élèves et enseignants de 13 écoles représentant les quatre conseils scolaires locaux.

25 avril 2024 - Le 1er mai, Mine moderne et technologie Sudbury (MMTS), en collaboration avec l’Université Laurentienne et l’École des mines Goodman, présentera les Jeux MineOpportunité dans le cadre de la Semaine des mines et technologies modernes à Sudbury. Grâce à ces jeux, depuis 18 ans, plus de 4 000 étudiants anglophones et francophones des paliers secondaires et postsecondaires de la région ont été initiés aux technologies modernes et aux possibilités de carrière dans l’industrie des ressources minérales.

Les Jeux MineOpportunité transmettent des compétences et connaissances touchant les cheminements d’études, les leaders du secteur et les possibilités de carrière dans l’industrie des ressources minérales du Grand Sudbury. Pour le jeu, les équipes d’élèves lancent un dé sur une planche de jeu et participent auprès de professionnels universitaires et industriels pour en apprendre sur les programmes, les activités des entreprises et les carrières. Au départ, les équipes ont un budget défini et jouent le jeu afin d’augmenter leurs revenus en construisant des mines, trouvant des réponses aux questions sur l’industrie et accomplissant des tâches pratiques. Pour progresser dans le jeu, les étudiants doivent trouver des réponses et relever des défis liés, entre autres, à la technologie minière, à l’ingénierie, aux géosciences, à l’environnement, aux affaires, à la santé et à la sécurité, aux carrières et à la responsabilité sociale des entreprises. Les étudiants doivent collaborer, interagir et faire des recherches tout en tirant parti de ces compétences afin de devenir « les plus riches » et gagner le jeu.

Cette année, le concours est plus grand que jamais, puisque les jeux en français et anglais se dérouleront le même jour et accueilleront quelque 300 élèves et enseignants de 13 écoles représentant les quatre conseils scolaires locaux. Parmi les organismes partenaires qui attendent avec intérêt de s’entretenir avec les étudiants pendant les jeux, il faut souligner : Université Laurentienne, Collège Cambrian, Vale, Glencore, Technica Mining, Unmanned Aerial Services, Orix Geosciences, Levert, Deswik, Responsible Mining Solutions, NSS, Norcat, Froskr, Bestech, Epiroc, Sandvik, MineConnect, Women in Mining, et Cementation.

Les jeux sont offerts gratuitement aux élèves et aux écoles grâce aux entreprises partenaires qui donnent de leur temps pour y assister ainsi qu’aux commanditaires de MMTS qui soutiennent financièrement tous ses événements. Nous tenons à remercier les généreux commanditaires et partenaires de MMTS de cette année : Université Laurentienne, Vale, Glencore, Technica Mining, Komatsu, Maestro Digital Mine, KGHM International, ICM – section de Sudbury, Association canadienne des prospecteurs et entrepreneurs – section de Sudbury, Groupe de discussion géologique de Sudbury, SOVFIE, Sudbury Rock and Lapidary Society, Hyperflo, My Mining Tee, PG Creative, the Web Boutique. Ministère des mines de l’Ontario, Terre Dynamique, Collège Boréal et Rainbow District School Board.

Endroit

Université Laurentienne – Édifices Parker, Cliff-Fielding et Fraser

Programme de la journée

1er mai 2024

9 h 30 – 10 h - Aperçu du jeu et affectation à une planche de jeu (Auditorium Fraser)

10 h – 11 h 30 – Jeu, partie 1 (édifices Parker et Cliff-Fielding)

11 h 30 – midi – Repas (édifice Parker et Cliff-Fielding)

Midi – 12 h 45 – Jeu, partie 2 (édifices Parker et Cliff-Fielding)

12 h 45 – 13 h – Calcul des points et détermination de gagnants aux planches de jeu

13 h – 13 h 30 – Cérémonie de remise des prix (Auditorium Fraser)

Catégories d’équipe

Anglophone junior - 9e et 10e années

Anglophone senior - 11e et 12e années

Francophone junior - 9e et 10e années

Francophone senior - 11e et 12e années

Prix ​​(dans chaque catégorie)

1er prix : Carte-cadeau de 75 $ de Best Buy + bannière de gagnant

2e prix : Carte-cadeau de 50 $ de Best Buy + bannière de gagnant

3e prix : Carte-cadeau de 25 $ de Best Buy + bannière de gagnant

De nouveaux prix soulignant le service exceptionnel à la communauté de recherche de l’Université Laurentienne honorent l’héritage de Daniel Archambault, Ph.D.

De nouveaux prix soulignant le service exceptionnel à la communauté de recherche de l’Université Laurentienne honorent l’héritage de Daniel Archambault, Ph.D.

Pendant la Semaine de la recherche cette année, les tout premiers Prix du service à la recherche Daniel-Archambault ont été décernés. Ceux-ci reconnaissent les membres du corps professoral, du personnel et de la population étudiante de l’Université Laurentienne qui ont fait preuve d’un dévouement et d’un engagement hors pair, et ont eu une influence grâce à leurs précieuses contributions à la communauté de recherche universitaire.

Ces prix ont été créés à la mémoire de M. Daniel Archambault, Ph.D., qui a servi la communauté de recherche universitaire de l’UL pendant plus de 15 ans, en reconnaissance de ses réalisations et de son dévouement. M. Archambault est décédé en 2021.

Le service peut inclure la participation à des comités qui appuient la recherche, le mentorat et le soutien aux collègues et à la population étudiante, la promotion de recherches interdisciplinaires, l’avancement de l’engagement communautaire au moyen de la diffusion de connaissances, et l’établissement de nouvelles collaborations en recherche.

Voici les premiers lauréats des Prix du service à la recherche Daniel-Archambault.
 

Lauréat du corps professoral

Thomas Merritt, Ph.D. (professeur titulaire, École des sciences naturelles)

Pour son travail de sensibilisation présentant des œuvres d’art à thème scientifique aux écoles élémentaires locales et à Science Nord, ses initiatives de mentorat, son travail de comité de lecture pour le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG) et son service à la Laurentienne dans des rôles au sein du comité directeur du plan stratégique, des trois conseils (CRSNG) à l’UL et du Comité de recherche, de développement et de créativité.
 

Lauréate de la population étudiante

Valérie Gauthier-Fortin (doctorante en sciences humaines et interdisciplinarité)

Pour son travail et son leadership auprès de l’Acfas-Nouvel-Ontario (anciennement connue sous le nom de l’Acfas-Sudbury); elle s’est jointe au comité directeur en 2019 après avoir soutenu son mémoire de sa maîtrise et en amorçant ses études doctorales à la Laurentienne. Elle siège au Conseil administratif de l'Acfas-Nouvel-Ontario à titre de présidente. On la décrit comme la force motrice de la renaissance de l’Acfas et la reconnaît pour avoir offert aux chercheurs du Nouvel-Ontario un forum dans lequel présenter leurs travaux en français.
 

Lauréate du personnel

Karen Oman (gestionnaire des activités, Unité conjointe d’écologie d’eau douce et Centre pour la vitalité des lacs Vale)

Pour ses contributions professionnelles et son enthousiasme à appuyer depuis 19 ans la recherche de calibre mondial de l’Unité conjointe d’écologie d’eau douce et du Centre pour la vitalité des lacs Vale. En plus de s’acquitter de nombreuses tâches quotidiennes, Karen a joué un rôle clé tout au long de la collecte de fonds de 22 000 000 $ pour la construction du Centre pour la vitalité des lacs, ainsi que pour l’obtention d’une subvention de 1 200 000 $ de la FCI pour le soutien au matériel et à l’infrastructure de recherche.


On a remis aux lauréats un certificat personnalisé dans un cadre et ajouté leurs noms de manière permanente à un présentoir de l’Université qui indiquera toutes les personnes qui reçoivent cet honneur.

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