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Tamerra London était audacieuse en poursuivant la vie

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Tamerra London souriant Le 22 novembre 2020, Mme Tamerra London a perdu la vie dans un accident tragique. Une brillante jeune leader qui laisse un puissant héritage de changement à Sudbury comme à Toronto, elle a eu une incidence incommensurable et inspirant. Aujourd’hui, les drapeaux du campus sont en berne pour honorer la vie et l’héritage de Tamerra. Sa mère, Mme Caprice Rowland, a partagé ce texte pour nous aider à garder un souvenir de Tamerra et de la grande incidence positive qu’elle a eue sur tant de personnes.

« Tamerra est née leader et aidante avec un don pour l’humanité et l’environnement qui a orienté sa façon de vivre, d’être et de faire.

Elle était mordue du plein air, faisant de l’Université Laurentienne le milieu idéal pour ses études, car elle y a trouvé la tranquillité qu’elle recherchait et la possibilité de profiter d’un cadre naturel dans toute sa splendeur. Tamerra aimait faire de la pêche avec son père et faire du ski, de la planche à neige et des randonnées pédestres avec moi et ses amis.

Tamerra vivait par des paroles que je lui disais souvent : “Pour remporter le succès, il faut que la volonté de réussir dépasse la crainte d’échouer.” Pour citer Babe Ruth, “ne laissez jamais la peur de retirer sur trois prises vous empêcher de jouer le sport”. Tamerra aimait également citer Marie Curie : “Rien dans la vie n’est à craindre, tout doit être compris. C’est maintenant le moment de comprendre davantage, afin de craindre moins.”

À 22 ans, elle était audacieuse en poursuivant la vie. Elle aimait faire du bénévolat et donner un peu d’elle-même à la communauté à Toronto aussi bien qu’à Sudbury, où elle a siégé aux conseils, entre autres, de Black Lives Matter Sudbury, des fondations des maladies du cœur et Fais-un-Vœu et de She Matters. Elle avait le goût de vivre et aimait sa famille et ses amis, aussi bien que les personnes moins fortunées auxquelles elle veillait dans le cadre de ses nombreux rôles bénévoles, qu’elle a commencé à exercer dès l’âge tendre de 10 ans.

Tout le monde aimait Tamerra. Elle travaillait fort dans ses cours et dans sa vie en général. Elle prenait à cœur ses rôles et responsabilités de bénévole, de fille, de tante, de sœur, de nièce, de cousine et d’amie.

Comme l’a dit Desmond Tutu, “Faites le bien par petits bouts, là où vous êtes. Car ce sont ces petits bouts de bien, une fois assemblés, qui transforment le monde.” Nous sommes très fiers de notre petite fille qui est arrivée dans ce monde de façon bien ordinaire, mais qui est devenue une jeune femme incroyable. Elle a fait son bout de bien. Elle nous manque tous et laisse un grand vide. »

 

- Mme Caprice Rowland, mère de Tamerra