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Renouvellement de l’agrément des programmes français de formation à l’enseignement à l’Université Laurentienne

Renouvellement de l’agrément des programmes français de formation à l’enseignement à l’Université Laurentienne

De nouveaux programmes aideront à remédier à la pénurie en personnel enseignant

(21 mars, 2023) - Les diplômés des programmes en éducation de l’Université Laurentienne ont toujours été très recherchés et le sont encore aujourd’hui. Les programmes de langue française offerts par son École d’éducation ont fructueusement renouvelé leur agrément pour une période de sept ans auprès de l’Ordre des enseignantes et enseignants de l’Ontario, ce qui comprend l’agrément de programmes actuels et nouveaux : 

Une incitation exceptionnelle est offerte aux étudiants francophones pour qu’ils s’inscrivent au Baccalauréat en éducation (en plusieurs parties, en ligne, à temps partiel) à la Laurentienne. Ce programme reconnu par l’OEEO vise à épauler les candidats à la profession enseignante en leur décernant, en cours de formation, un certificat de qualification et d’inscription transitoire. Ils y sont admissibles après avoir satisfait des exigences précises, y compris deux semaines de stage.

« Les diplômés des programmes en éducation de la Laurentienne sont en grande demande, a expliqué le doyen intérimaire de la Faculté d’éducation et de santé de la Laurentienne, Patrice Milewski, Ph.D., surtout ceux de nos programmes de formation à l’enseignement en français. L’agrément saura avoir un effet catalyseur pour les personnes qui considèrent une carrière en éducation. »

Depuis de nombreuses années, les conseils scolaires de langue française de la province se soucient de la pénurie en personnel enseignant. Grâce à ces programmes en éducation, la Laurentienne aidera à remédier à cette insuffisance.

« L’Université Laurentienne s’engage à répondre à la pénurie actuelle d’enseignants, a affirmé le conseiller spécial au Bureau des affaires francophones à la Laurentienne, Roch Gallien. Ces programmes nouvellement agréés ne feront pas qu’aider nos étudiants, mais aussi les conseils scolaires français qui cherchent à pourvoir des postes avec du personnel enseignant qualifié. La Laurentienne est bien placée pour appuyer les besoins en enseignants dans le nord de l’Ontario et partout dans la province. »

Quelque 250 étudiants sont actuellement inscrits aux programmes de langue française en éducation à l’Université Laurentienne, qui continue à accepter les demandes d’admission pour l’automne 2023.
 

Une ancienne de la Laurentienne et étudiante de la maîtrise en service social se réjouit d’étudier et de travailler dans le nord de l’Ontario

Une ancienne de la Laurentienne et étudiante de la maîtrise en service social se réjouit d’étudier et de travailler dans le nord de l’Ontario

Chloé Génier s’intéresse vivement aux jeunes, à la santé mentale et à l’éducation

(16 mars, 2023) - Née et élevée à Cochrane (Ontario), petite ville à environ 400 kilomètres au nord du Grand Sudbury, Chloé Génier, étudiante de la maîtrise en service social (MSW), a obtenu le DESO de l’École catholique Nouveau Regard (2016) avant de préparer un diplôme en Community and Justice Services (2018) au Collège Cambrian. Elle a ensuite fait des études de premier cycle à l’Université Laurentienne et y a obtenu un baccalauréat en service social (2022). 

« Mon expérience postsecondaire a été assez particulière, a expliqué Chloé, qui a obtenu à la Laurentienne l’équivalent d’environ un an d’études en crédits grâce à son diplôme du Collège Cambrian. J’ai fait toutes mes études de premier cycle en ligne à l’UL, me gardant sur le qui-vive, car les étudiants de programmes en ligne doivent déterminer leur propre emploi du temps tout en travaillant pour respecter des échéances serrées. »

Tout au long de son parcours postsecondaire, Chloé s’est fait une priorité de garder l’esprit positif. Elle a avoué que, à la fin du secondaire, elle n’était pas convaincue de vouloir aller à l’université. Par contre, après l’obtention du diplôme collégial, elle ressentait le besoin de le faire. « Je savais que je voulais fréquenter la Laurentienne et, même si j’étais un peu nerveuse, un mentor important et membre de ma famille m’a dit que nous avons besoin d’apprendre à accepter les sentiments désagréables. Cette façon de penser m’a aidé à arriver là où je suis aujourd’hui et à continuer à me dépasser et à sortir de ma zone de confort. »

Bien qu’elle ait été attirée par un programme pour lequel elle recevrait des équivalences à la Laurentienne, le fait qu’il soit offert en français était tout aussi important pour elle. « En recevant mon baccalauréat en service social, j’ai reçu aussi mon certificat de bilinguisme, a affirmé cette fière francophone, ce qui a été vraiment génial. » Le certificat reconnaît officiellement la compétence bilingue en français et anglais que recherchent les employeurs de la province.

Quoiqu’elle ait suivi ses cours de premier cycle en ligne, Chloé a noué de bonnes amitiés à la Laurentienne. « Je suis chanceuse d’avoir établi des relations solides avec mes pairs, a-t-elle dit. Mes amis et ma famille sont tellement importants pour moi; ils me motivent à réaliser mon potentiel. » Elle a ajouté que des membres du corps professoral lui ont aussi prêté un appui et que ses expériences de stages la préparent davantage à des possibilités de carrière.

En préparant actuellement sa maîtrise, Chloé travaille comme agente de probation et de libération conditionnelle dans le bureau de Cochrane. « Je suis également travailleuse sociale autorisée, ajoute-t-elle. J’apporte un soutien à tout un éventail de clients, mais m’intéresse surtout à la santé mentale chez les enfants et les jeunes. » Elle devra bientôt choisir le sujet de sa thèse de maîtrise. « Je ne suis pas encore certaine, mais mon penchant pour les jeunes, la santé mentale et l’éducation est un bon point de départ. »

Après qu’elle reçoit sa maîtrise, Chloé espère rester dans la région de Cochrane, car elle tient à cœur le nord de l’Ontario et aime apporter des contributions à sa communauté. « Je m’ouvre aux possibilités et j’ai hâte de voir ce que me réserve l’avenir. »
 

L’Université de l’EMNO et l’Université Laurentienne célèbrent une nouvelle entente de recherche.

L’Université de l’EMNO et l’Université Laurentienne célèbrent une nouvelle entente de recherche.

Les universités s’unissent pour attirer davantage de fonds de recherche dans le nord de l’Ontario.

(15 mars, 2023) - La recherche en santé vitale dans le Nord continuera, et prendra peut-être de l’expansion, grâce à une nouvelle entente entre l’Université de l’EMNO et l’Université Laurentienne.

Les universités ont négocié une nouvelle entente de recherche à la suite de l’établissement de l’Université de l’EMNO à titre de première université autonome de médecine du Canada en 2021.

« Nos établissements ont toujours collaboré étroitement dans la recherche en santé dans le Nord, a déclaré Sarita Verma, rectrice, vice-chancelière et PDG de l’Université de l’EMNO. Nous avons l’occasion de continuer à tirer parti de nos atouts respectifs pour mieux répondre aux besoins du nord de l’Ontario. »

L’Université Laurentienne collabore avec l’Université de l’EMNO et l’appuie depuis sa création. Alors que l’Université de l’EMNO joue un rôle vital dans la recherche médicale et clinique dans le Nord et les zones rurales, la Laurentienne possède les systèmes et soutiens pour permettre un niveau de recherche si élevé.

« La diversité des intérêts et de l’expertise de la Laurentienne en recherche permettra à cette collaboration de dépasser la recherche traditionnelle en santé, a indiqué la rectrice et vice-chancelière par intérim de l’Université Laurentienne, Sheila Embleton. Exploiter les connaissances des chercheurs en affaires, dans les arts et même dans des disciplines comme le génie apportera de nouvelles possibilités. »

« Nous partageons un intérêt à renforcer la capacité de recherche et à attirer davantage de fonds de recherche dans le nord de l’Ontario, a expliqué David Marsh, vice-doyen à l’innovation en recherche et relations internationales à l’Université de l’EMNO. La poursuite de la recherche avec des partenaires de recherche en santé alignés est indispensable si nous voulons contribuer à résoudre les problèmes de soins de santé dans le nord de l’Ontario et au-delà. »

« C’est pour nos universités et la population du Nord, a ajouté la vice-rectrice à la recherche de l’Université Laurentienne, Tammy Eger. En travaillant ensemble, les chercheurs et les étudiants de l’Université de l’EMNO et de l’Université Laurentienne pourront aborder de nombreuses questions vitales de recherche soulevées par des partenaires communautaires et sectoriels. »
 

Au sujet de l’Université de l’EMNO :
L’Université de l’EMNO est la première université autonome de médecine du Canada et une des stratégies les plus réussies de formation de main-d’œuvre en santé dans le nord de l’Ontario. Ce n’est pas uniquement un établissement de formation en médecine. Établie expressément pour répondre aux besoins du nord de l’Ontario en matière de santé, en plus d’encourager l’accès équitable aux soins, elle contribue au développement économique de la région. L’Université de l’EMNO compte sur l’engagement et l’expertise des gens du nord de l’Ontario pour former des professionnels de la santé aptes à exercer dans des communautés autochtones, francophones, rurales, éloignées et insuffisamment servies. Axée sur la diversité, l’inclusion et la défense des intérêts, l’Université de l’EMNO est un organisme primé et socialement responsable réputé pour son modèle innovateur de formation et de recherche régionalisées faisant appel aux communautés.

Célébration de la Journée internationale de la femme tout au long de la semaine à la Laurentienne

Célébration de la Journée internationale de la femme tout au long de la semaine à la Laurentienne

On présentera, entre autres, une séance de portes ouvertes au Centre des femmes et des discussions clés en matière de femmes, de corps genrés et d’équité des sexes.

(6 mars, 2023) - La Journée internationale de la femme est une célébration mondiale des réalisations sociales, économiques, culturelles et politiques des femmes. Nous devons œuvrer collectivement pour parvenir à l’égalité des sexes dans un monde libre de préjugés, de stéréotypes et de discrimination. Même si la Journée internationale de la femme est célébrée annuellement le 8 mars, l’Université Laurentienne rendra hommage aux femmes et à leurs accomplissements tout au long de la semaine du 6 au 10 mars 2023.

Le 6 mars, les célébrations seront lancées dans le cadre d’un exposé au Centre autochtone de partage et d’apprentissage avec la journaliste, professeure, défenseuse de l’action sociale et ex-poète officielle de Halifax, Mme El Jones, qui prononcera « Women, Resistance and Empowerment ».

Le 7 mars, le Centre des femmes de la Laurentienne (P-222), dirigé par des bénévoles assurant un plaidoyer pour l’égalité des femmes et un milieu positif pour les femmes sur le campus, tiendra une journée portes ouvertes de 10 h à 15 h. « Le Centre des femmes est important à la Laurentienne, a expliqué la coordonnatrice du Centre et étudiante de troisième année en psychologie du sport, Monica Jean-Baptiste, car il accorde aux femmes un endroit paisible, sécuritaire et encourageant. »

« Traditionnellement, le but du Centre des femmes est de prêter un soutien aux femmes désavantagées ou en crise, a ajouté la bénévole et étudiante de troisième année au baccalauréat ès arts, Josephine Suorineni, mais nous proposons un milieu chaleureux en plus d’un appui d’urgence. Puisque le Centre est dirigé par des étudiantes, les femmes peuvent se faire entendre parmi leurs pairs et contribuer au changement positif à la Laurentienne. Puisque les membres de la communauté ne sont parfois pas au courant des services offerts, le Centre joue un rôle essentiel à tisser des liens entre les femmes et les services et ressources. » 

Le 8 mars, la conseillère en équité, diversité et inclusion, Victoria Kannen, Ph.D., lira un extrait de son livre, Gendered Bodies and Public Scrutiny, dans la Salle de lecture Brenda-Wallace de la Bibliothèque J.N.-Desmarais.

Le 9 mars, il y aura entre autres des exposés dans le CAPA de la conceptrice inuite en architecture, Nicole Luke, qui sera la conférencière principale et participera à une discussion d’expertes à l’École d’architecture McEwen, sous le thème « Relever les défis et saisir les possibilités » avec Brenda Brouwer, Ph.D. (vice-rectrice aux études par intérim), Jennifer Johnson, Ph.D. (gestionnaire de la Laurentienne en ligne et professeure associée) et Yacine Cisse. 

« Célébrer les réalisations des femmes est à la fois inspirant et dynamisant, a affirmé la vice-rectrice aux études par intérim à l’Université Laurentienne, Brenda Brouwer. En partageant leurs expériences et leur vécu, les femmes sensibilisent les autres à leurs défis et réussites ainsi qu’à leurs sources d’inspiration. » Elle a ajouté que les activités de la Semaine internationale de la femme mettront également en lumière les questions touchant l’équité des genres. 

Les membres de la communauté sont encouragés à participer aux nombreuses activités de la Semaine internationale de la femme.

Le calendrier complet des activités figure ici

Les étudiants en génie de l’Université Laurentienne remportent plusieurs catégories aux Jeux miniers canadiens.

Les étudiants en génie de l’Université Laurentienne remportent plusieurs catégories aux Jeux miniers canadiens.

Nos étudiants ont remporté la première place en conception de mines souterraines et développement durable.

(3 mars 2023) - Les étudiants de la Laurentienne ont encore une fois laissé leur empreinte sur les Jeux miniers canadiens, remportant deux premières places ainsi que deux troisièmes places lors du concours de 2023. La 33e édition de cet événement de longue date a vu des étudiants s’affronter dans de multiples facettes de l’exploitation minière. Le concours de cette année a été organisé conjointement à Vancouver par l’UBC et le BCIT, avec des événements sur chaque campus.


Université Laurentienne :

  • 1re place : Conception de mines souterraines
  • 1re place : Développement durable
  • 3e place : Santé et sécurité
  • 3e place : Gestion des résidus et de la fermeture d’installations

L’an prochain, l’Université Laurentienne sera l’hôte des 34e Jeux miniers canadiens et des centaines de participants se rendront à Sudbury.

En plus des étudiants qui ont concouru à Vancouver, un autre groupe d’étudiants en génie a concouru à Denver, au Colorado, dans le cadre de la compétition internationale de sauvetage minier. Ils ont terminé en troisième place pour l’épreuve de secourisme et Quinn Roos a terminé troisième à l’épreuve individuelle des techniciens d’essais sur le terrain.


Membres de l’équipe des Jeux miniers canadiens de l’Université Laurentienne :

  • Georgina Coste-Ramsay - Mississauga
  • Jackson Miteff - Toronto
  • Zayan Mansoori - Milton
  • Nicholas Eyre - Sudbury
  • Joshua Kroll - Thompson, Manitoba
  • Matthieu Price - Toronto
  • Nana Awuah-Ben - Accra, Ghana
  • Darshan Shah - Ahmedabad, Inde
  • Kirsten Deneka - Sudbury
  • Joseph Boye – Richmond Hills
  • Alex Colangelo - Georgetown
  • Justin Gmehlin - Strathroy
  • Quentin Quibbell - Innisfil
  • Miguel Lefebvre - Sudbury
  • Sharon Cardenas Sanchez - Junin, Pérou
  • Chat Biskupski - Vaughan

Membres de l’équipe de sauvetage minier de l’Université Laurentienne :

  • Noah Lambert – Iroquois Falls
  • Dan McCormick - Barrie
  • Felix Gervais - Hanmer
  • Quinn Roos - Sudbury
  • Camryn Dunn - Ottawa
  • Jordan Sutton – Kirkland Lake
  • Philip Vipond - Conseiller membre du personnel
     

Le Relais pour la vie de la Laurentienne est présenté pour la 8e année consécutive.

Le Relais pour la vie de la Laurentienne est présenté pour la 8e année consécutive.

La campagne de cette année espère ajouter 30 000 $ à un total de plus de 280 000 $ depuis 2015.

(3 mars, 2023) - Les 10 et 11 mars 2023, on tiendra le huitième événement annuel du Relais pour la vie de la Laurentienne. Cet événement sensibilise les gens en ce qui concerne la lutte contre le cancer et recueille des fonds en ce sens. Les sommes recueillies sont versées à la Société canadienne du cancer (SCC), le plus grand organisme canadien de bienfaisance contre le cancer et bailleur de fonds de la recherche sur le cancer. La campagne a recueilli 284 493,61 $ depuis 2016 et espère amasser 30 000 $ de plus cette année.

Ann VanDerAa (Mount Forest, Ontario), étudiante de quatrième année au baccalauréat ès arts en Education, en double spécialisation en History et English Literature, Media and Writing, est la présidente du Relais pour la vie de l’UL de cette année et l’un des vingt étudiants bénévoles du comité organisateur de 2022-2023. « J’ai commencé à faire du bénévolat avec le Relais pour la vie de l’UL dès ma première année et j’ai gravi les divers échelons jusqu’à l’équipe de direction. La campagne de chaque année m’a beaucoup appris, et c’est incroyable de faire partie de quelque chose qui touche tant de gens. Je n’ai jamais rencontré une personne qui n’a pas été touchée par le cancer d’une manière ou d’une autre. Faire une différence, c’est donc vraiment puissant. »

Les autres membres de l’équipe de direction du Relais pour la vie de l’UL de 2022-2023 sont la vice-présidente de l’engagement, Caitlyn Brannon (Whitby, Ontario), étudiante de quatrième année en Sports Psychology, et le vice-président aux finances, Cameron Hourtovenko (Sudbury, Ontario), étudiant de quatrième année en Biomedical Biology.

« Nous sommes très fiers du travail accompli pour appuyer le Relais pour la vie, un véritable effort de collaboration, a déclaré Ann VanDerAa. L’événement se déroule au gymnase Ben-Avery de 19 h le vendredi à 7 h le samedi matin. La nuit est remplie de divertissements, de stations de restauration, de jeux, de tournois sportifs, tout ce à quoi vous pouvez penser. En fin de compte, à la fin de la nuit, nous nous réunissons pour révéler le total de notre collecte de fonds. » La Laurentienne rivalise avec certaines des plus grandes écoles du pays en matière de nombre de participants et des sommes recueillies.

« Le Relais pour la vie, c’est un mouvement mondial, qui se déroule dans 29 pays et 6 000 communautés dans le monde entier, et cette année, nous sommes ravis de célébrer le 8e événement annuel du Relais pour la vie à l’Université Laurentienne, a déclaré Allie Raper, spécialiste principale, Relais pour la vie de la jeunesse, Société canadienne du cancer. La communauté universitaire de la Laurentienne permet à la Société canadienne du cancer d’offrir un système national de soutien aux personnes atteintes de cancer et à leurs familles. Ensemble, nous aidons les gens à gérer leur vie malgré le cancer grâce à des services comme l’hébergement dans nos pavillons de cancérologie, le transport vers le lieu de traitement et un soutien individuel avec des pairs bénévoles. Le travail de nos incroyables leaders étudiants, bénévoles et donateurs fait en sorte que notre mission à la SCC est possible. Nous remercions la communauté de l’Université Laurentienne d’avoir eu une incidence remarquable et ensemble, nous pouvons unir et inspirer tous les Canadiens et Canadiennes à maîtriser le cancer. »

Le Relais pour la vie de l’UL compte quatre cérémonies clés. Une cérémonie d’ouverture et de clôture, une cérémonie des survivants et une cérémonie des luminaires. « La cérémonie des luminaires est un moment particulièrement émouvant et sincère où les participants ont la chance d’honorer les personnes qu’ils ont perdues d’une manière très respectueuse, a déclaré Ann VanDerAa. Les participants reçoivent chacun un petit sac en papier à décorer, dans lequel une lumière est insérée. Nous tamisons les lumières du gymnase et donnons aux gens le temps de réfléchir. C’est vraiment la partie préférée de nombre de personnes qui participent au Relais. »

Bien que plus de 125 étudiants de la Laurentienne se soient déjà inscrits cette année à titre de volontaires, l’objectif est que plus de 300 étudiants de l’UL participent. Les étudiants peuvent s’inscrire individuellement ou en équipes de 5 à 12.

Le Relais pour la vie de l’UL accueille les nouveaux inscrits jusqu’au jour de l’événement qui se tiendra le 10 mars. Il importe de souligner les nombreuses personnes ou groupes qui nous appuient, y compris les commanditaires locaux suivants :

Commanditaire Platine : Verdicchio’s Ristorante.
Commanditaires Or : Starbucks, Sudbury Five, Angèle’s Bakes.
Commanditaires Argent : Services publics du Grand Sudbury, Peavey Mart, Ferguson Deacon Taws, TestMark.
Commanditaires Bronze : Salute Coffee Company, Handmade by Logan, New Sudbury Spice Co., Science Nord, Joyful Home, Sage, Twiggs Coffee Roasters, Daventry, That's My Jam, Positive Inception, Mastermind Toys, Sudbury Wolves, Party City et Gourmet World.
 

Conférence principale Black Futures – « Trust Black Women »

Conférence principale Black Futures – « Trust Black Women »

(2 mars, 2023) - Le Bureau d’équité, de diversité et des droits de la personne de l’Université Laurentienne et Black Lives Matter Sudbury se réjouissent de présenter la conférence principale Black Futures intitulée « Trust Black Women » le samedi 4 mars 2023, de 14 h à 17 h, dans l’Auditorium Fraser. 

La conférence prendra la forme d’une conversation intime avec la journaliste, professeure, défenseuse de l’action communautaire et ex-poète officielle de Halifax, Mme El Jones, et l’artiste, professeure, ancienne de l’UL et cofondatrice de Black Lives Matter Sudbury, Mme Ra’anaa Ekundayo (anciennement Brown).

Pendant la discussion, les conférencières aborderont les thèmes de race et de genre, soulignant là où les Noires ont été à la tête de nombreux mouvements préconisant le changement social. L’interprétation en ASL sera assurée par Interprétation signes et paroles.

Les biographies des conférencières et de l’animatrice figurent ici. Veuillez vous inscrire afin d’obtenir un billet à l’avance. Un billet est offert gratuitement à tous les membres de la population étudiante de la Laurentienne.

Appuyez ici pour voir l’affiche.


Renseignements ou questions :
Bureau d’équité, de diversité et des droits de la personne, Université Laurentienne
edhr@laurentienne.ca 
 

Journée de la Campagne de la peau d’orignal

Journée de la Campagne de la peau d’orignal

(1er mars 2023) – Le Bureau des affaires étudiantes autochtones de l’Université Laurentienne est heureux de présenter la Journée de la Campagne de la peau d’orignal le 2 mars 2023, de 9 h 30 à 13 h. 

9 h 30 –         Cérémonie d’ouverture
9 h 45 –         Discours de Jason Najogee, coordonnateur du programme Kitzhaay Anishnaabe Niin
11 h –            Discours de Sage Lacerte, ambassadrice des jeunes pour la Campagne de la peau d’orignal, et de Dominic Paul, coordonnateur national de la Campagne 
Midi –            Festin / fin du jeûne*

Cette campagne vise à sensibiliser le public à la violence contre les femmes et les enfants ainsi qu’à l’engagement pris par des hommes et garçons de se tenir responsables de leurs gestes et de mettre fin à ce type de violence dans notre société.

Tout le monde est invité à cette activité gratuite dans le Centre autochtone de partage et d’apprentissage et sur Zoom.

Pour participer au jeûne ou obtenir d’autres renseignements, communiquez avec : 
Mélanie Roque, coordonnatrice des activités et des relations avec les médias, Bureau des affaires étudiantes autochtones
isa@laurentienne.ca | my_roque@laurentienne.ca 

L’Université prépare la Journée portes ouvertes du 11 mars 2023

L’Université prépare la Journée portes ouvertes du 11 mars 2023

Des visites personnalisées, un salon de services et des leçons types sont au programme

(1er mars, 2023) - La communauté de l’Université Laurentienne se prépare à recevoir de nombreux futurs étudiants, avec leurs parents et invités, lors de la Journée portes ouvertes du 11 mars, de 10 h à 15 h. 

« Les visiteurs pourront participer à des exposés intéressants et à des leçons captivantes qui donneront un avant-goût de la première année d’études à la Laurentienne, a expliqué la coordonnatrice des activités et des communications du Bureau du recrutement au Canada, Danielle Yasko-Pellerin. Ils auront aussi l’occasion de faire une visite guidée personnalisée du campus. » Les destinations sur le campus incluront, entre autres, des espaces d’apprentissage et des salles de classe, des laboratoires, des bibliothèques, des résidences et des services d’alimentation.

« Toute la communauté universitaire – diplômés, étudiants-ambassadeurs, personnel et corps professoral – fait front commun pour planifier et présenter cette activité qui accueillera des étudiants éventuels et des invités de loin et de près, a ajouté le gestionnaire du recrutement au Canada, Pieter Breijer. Nous sommes ravis de pouvoir mettre en valeur la nature exceptionnelle des facultés, des services et de la vie étudiante à la Laurentienne. »

Les personnes voulant visiter l’École d’architecture McEwen de la Laurentienne pourront utiliser le service de navette pour s’y rendre à partir du campus principal, accompagnées d’un étudiant-ambassadeur qui les accueillera chaleureusement.

Celles qui assisteront à des leçons types par des membres extraordinaires du corps professoral auront une idée de ce que c’est que d’étudier à la Laurentienne. Parmi les leçons proposées, il faut souligner « Qu’est-ce que le stress et comment le gérer », « Analyse sociologique du phénomène de tatouage », « Ecohealth Promotion » et « Genetics and Genetic Diversity ».

En outre, pour les amateurs des étoiles et du ciel nocturne, il y aura des démonstrations dans le 
Planétarium Doran, dôme de dix mètres projetant une simulation du ciel resplendissant de centaines d’étoiles scintillantes.

Un salon des services et des facultés fera en sorte qu’aucune question n’est laissée sans réponse en ce qui concerne les nombreux programmes et services de la Laurentienne.

L’Université Laurentienne offre régulièrement des séances d’information et des visites guidées faisant valoir son campus.

Il est possible de s’inscrire en ligne à la Journée portes ouvertes.

 

Post-scriptum : 

Quelques points saillants :

  • un nombre record de 253 étudiants éventuels et quelque 800 invités ont participé aux activités;
  • 117 étudiants et anciens ont été ambassadeurs aux activités;
  • une vingtaine de clubs étudiants ont participé aux activités.
     

Une diplômée de la Laurentienne se penche sur vingt-trois ans d’enseignement en français.

Une diplômée de la Laurentienne se penche sur vingt-trois ans d’enseignement en français.

Jennifer LaBrosse inspire la prochaine génération d’élèves de sa classe de maternelle/jardin d’enfants

(28 février, 2023) - Un bon départ à l’école aide les enfants à apprendre, à développer la résolution de problèmes et la pensée créative, et soutient la croissance sociale et émotionnelle. Les avantages associés aux expériences engageantes au cours des premières années scolaires sont vastes, et les parents et les tuteurs gagnent en tranquillité d’esprit lorsqu’ils ont confiance dans les compétences et l’empathie de l’éducatrice de leur enfant.

Jennifer LaBrosse (née Johnson), diplômée de la Laurentienne (Géographie, 1998, et Éducation, 1999), éduque les jeunes esprits depuis vingt-trois ans. Elle est précisément le genre d’enseignante que les parents et les tuteurs aiment en raison de son enthousiasme, de son dévouement envers ses élèves et de sa bienveillance.

« J’adore être enseignante. Les enfants sont incroyables et uniques en ce qui concerne leurs besoins. Pouvoir faire une différence positive dans les premières années de mes élèves est ce qui me motive. »

Mme LaBrosse a grandi dans la petite communauté de Warren, en Ontario, située à une quarantaine de kilomètres à l’est de la Ville du Grand Sudbury. Elle est diplômée de l’École secondaire catholique Franco-Cité (1994) de Sturgeon Falls. « Mes enseignants d’anglais et de géographie au secondaire m’ont beaucoup soutenu, dit-elle. C’est grâce à eux que j’ai voulu enseigner. Ma mère était enseignante et je me souviens d’avoir aimé de pouvoir l’aider quand j’étais enfant. J’étais toujours enthousiaste à l’idée de visiter sa classe et j’avais l’impression que l’enseignement serait une carrière que je voudrais poursuivre. »

Quelques mois après avoir obtenu son diplôme d’enseignante, Mme LaBrosse a été embauchée pour enseigner une classe mixte de la 1re à la 3e année à l’École publique Franco-Manitou, à Manitouwadge, en Ontario. « Je dois admettre que j’étais un peu nerveuse de déménager si loin de chez moi dans une communauté qui ne m’était pas familière. Mais dès que je suis arrivée, je me suis attaqué à la tâche et j’ai eu une très bonne expérience. Je n’avais que neuf élèves dans ma classe. Nous étions une très petite école, mais cela m’était familier, ayant grandi dans une petite communauté. »

Au printemps 2000, lorsque des postes d’enseignement plus près de chez elle sont devenus disponibles, Mme LaBrosse a soumis une demande à l’École publique Camille-Perron, à Markstay, en Ontario. « Au cours de ma première année, j’ai enseigné de la 4e à la 6e année, précisément le groupe d’âge qui m’avait toujours intéressée. Cependant, après deux ans d’enseignement à ces niveaux, on m’a demandé si je voulais enseigner à la classe de maternelle/jardin d’enfants. C’est la directrice de l’école qui m’a convaincu de faire ce changement. Elle m’a dit : Je pense que tu serais géniale. Je vois comment tu es et je pense que tu serais super avec les jeunes enfants. Au départ, je n’en étais pas si sûre, mais j’ai accepté le poste en septembre 2002 et depuis, je n’ai pas regardé en arrière. »

Il est évident que Mme LaBrosse est passionnée par l’enseignement et le fait de soutenir l’avenir brillant de ses élèves. « On n’a jamais le temps de s’ennuyer. Chaque jour est différent et vous ne savez jamais ce qui se passera. Les enfants sont attentionnés et il est facile de les aimer. Ils sont si curieux et imaginatifs, et c’est formidable de faire partie de ce processus. »

Mme LaBrosse intègre nombre de réflexions hors des sentiers battus dans ses méthodes d’enseignement. « J’aime partager ce que j’aime avec mes élèves, et cela inclut la musique et les voyages. Je pense que faire entrer dans la classe ce qui me passionne rend les choses plus intéressantes. En tant qu’enseignant de maternelle/jardin d’enfants, vous voulez essayer de trouver des façons amusantes d’apprendre les choses, comme apprendre des syllabes au moyen de la musique à l’aide d’instruments. » Dans ses temps libres, Mme LaBrosse joue de la guitare. Elle enseigne souvent la musique pour faire participer nombre de ses élèves. « J’essaie de faire preuve d’imagination autant que possible dans mon enseignement. »

Mme LaBrosse favorise également l’inclusivité dans sa classe. « J’enseigne dans une école de langue française, mais cela ne veut pas dire que chaque élève qui entre dans ma classe parle le français avant de commencer l’école, explique-t-elle. J’accueille tous les élèves dans ma classe, et je dois dire que, au fil des jours et des semaines, c’est incroyable de voir à quelle vitesse ils apprennent et acquièrent la langue française. Mes élèves sont comme de petites éponges. Ils s’imprègnent de tout ce qui les entoure et être témoin de leurs progrès est vraiment gratifiant. »

Lorsque les parents et les tuteurs rencontrent Mme LaBrosse pour la première fois, ils sont souvent agréablement surpris de voir des dizaines de photos de ses anciens élèves fièrement accrochées aux murs de sa classe. « Toutes les photos de fin d’études de mes élèves sont dans ma classe. C’est un peu comme une mosaïque. Lorsque les parents entrent, ils aiment bien voir cela. Il importe de rendre nos espaces d’enseignement accueillants. En tant qu’enseignants, nous avons tendance à être très fiers de nos élèves. »

Il y a un fort sentiment de communauté entre Mme LaBrosse et ses collègues. En plus d’enseigner, elle est présidente du comité des activités sociales de son école, ce qui signifie qu’elle assume la responsabilité d’entretenir des relations positives entre ses pairs. « Nous nous entendons tous très bien et beaucoup d’entre nous travaillent ensemble depuis des années. En fait, j’ai grandi avec certains de mes collègues, ce qui, je pense, est assez incroyable. »

Mme LaBrosse encourage les personnes qui envisagent une carrière dans l’enseignement à poursuivre leurs rêves. « Acquérez autant d’expérience que possible tout en poursuivant votre formation pédagogique, a-t-elle déclaré. Soyez ouvert d’esprit et aux possibilités. J’adore mon travail et je suis enthousiasmée par ce que me réserve mon avenir dans l’enseignement. »
 

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