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Trois professeurs de la Laurentienne sont lauréats d’une bourse de recherche.

Trois professeurs de la Laurentienne sont lauréats d’une bourse de recherche.

Cette bourse individuelle fera avancer le Plan stratégique de recherche.

29 octobre 2024 - La diversité que reflète la Laurentienne en matière d’expertise scientifique est incarnée par trois chercheurs boursiers nouvellement nommés : Kerry R. McGannon (Ph.D.), Albrecht Schulte-Hostedde (Ph.D.) et Mark Kuhlberg (Ph.D.). Ces personnes ont ainsi vu consacrer leurs contributions importantes et diverses à la Laurentienne ainsi que leur engagement à la formation d’une nouvelle génération de chercheurs.

Ces bourses, établies par le Bureau de la vice-rectrice à la recherche et dont les lauréats ont été sélectionnés par un comité composé de membres du corps professoral, du personnel et de la population étudiante exigeaient que les candidats en lice démontrent qu’ils possèdent l’expertise scientifique qui fait progresser le Plan stratégique de recherche de l’Université Laurentienne.

Outre leur bilan probant de recherche rigoureuse, les lauréats se distinguent par leur engagement à former une main-d’œuvre hautement qualifiée en associant à leurs projets de recherche des étudiants de tous les cycles, des postdoctoraux et des techniciens, ainsi que par la diffusion systématique du savoir sous forme de publications et de participation active à la vie de la communauté. Leur bourse de recherche consiste en une décharge d’enseignement de trois (3) crédits par année universitaire, pendant trois (3) ans, afin qu’ils puissent consacrer plus de temps à leurs travaux de recherche.

« Grâce à la création des bourses de recherche instituées par la Laurentienne, l’Université rend fièrement hommage à trois professeurs dont le leadership exceptionnel dans la recherche, l’innovation et la découverte ne se limite pas à façonner leur domaine, mais inspire également la prochaine génération de chercheurs, a dit la vice-rectrice à la recherche, Mme Tammy Eger. Qui plus est, en faisant progresser la formation des étudiants et en cultivant des liens fructueux avec les partenaires communautaires et industriels, ces premiers lauréats sont des fleurons de l’excellence de la recherche. »

L’Université Laurentienne se réjouit d’annoncer la sélection de ces lauréats à la Faculté d’éducation et de la santé, à la Faculté des sciences, de génie et d’architecture et à la Faculté des arts.

 

Kerry R. McGannon, Faculté d’éducation et de la santé

● Centres d’intérêt : Approche socioculturelle du sport/de l’exercice et de la santé (par exemple, santé mentale, violence à caractère sexiste, inclusion identitaire), méthodes qualitatives, équité hommes-femmes dans le sport et les médias.

● Projets actuels : « Expanding understanding of motherhood and sport in socio-cultural context: A narrative analysis of stories in the digital landscape », financé par une subvention Savoir du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) et un supplément de l’Initiative de recherche sur la participation au sport.

Albrecht Schulte-Hostedde, Faculté des sciences, de génie et d’architecture

● Centres d’intérêt : Écologie évolutive; urbanisation et faune sauvage; conservation des zoos; interactions hôtes-parasites/pathogènes.

● Projets actuels : « Establishing causes of small-mammal population trends in Algonquin Provincial Park » financé par le ministère des Ressources naturelles et des Forêts et « Consequences of sexual selection for mammals » financé par une subvention à la découverte du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG).

Mark Kuhlberg, Faculté des arts

● Centres d’intérêt : histoire de l’environnement, de la politique, de l’économie, des affaires et des Premières Nations au Canada; conservation des forêts; gestion des ressources.

● Projets actuels : « Trusting the Paper Makers: The Globalization of Canada's Newsprint Industry, 1900-1947 » financé par une subvention Savoir du CRSH; « The History of Tembec » financé par un don philanthropique; co-chercheur de « Green Growth and Sami Stakeholders » financé grâce au soutien financier du Conseil norvégien de la recherche.

 

Dans leur domaine de recherche en santé, sciences et arts, respectivement, les professeurs McGannon, Schulte-Hostedde et Kuhlberg continueront d’encadrer des étudiants et de faire avancer l’innovation par la recherche à la Laurentienne. Les chercheurs boursiers sont nommés pour une durée de trois ans. Un appel de candidatures à des bourses de recherche a été lancé en vue de favoriser la recherche à la Faculté de gestion, la recherche en milieu francophone et la recherche autochtone.

Échos du passé - À la découverte de la religion, de l’histoire et de l’horreur.

Échos du passé - À la découverte de la religion, de l’histoire et de l’horreur.

M. Todd Webb (Ph.D.) donne un aperçu des questions qui interpellent sa classe.

28 octobre 2024 - Dans un monde où l’histoire semble souvent lointaine et décousue, M. Todd Webb fait revivre le passé à ses étudiants de l’Université Laurentienne. Spécialiste de l’histoire de l’Atlantique, en particulier du XVIIIe et du XIXe siècle, il examine des domaines souvent négligés par l’histoire classique comme le conflit qui opposait les mouvements conservateurs et radicaux au sein de l’Église méthodiste. Ses connaissances de l’histoire et de la religion fascinent les étudiants et fournissent une analyse intéressante de la manière dont l’horreur religieuse captive le public dans la culture populaire.

Rompu à l’art de tisser des histoires humaines en narrations sociopolitiques complexes, M. Webb fait de l’histoire plus qu’un simple sujet d’étude, puisqu’il y voit une panoplie de vécus humains que les étudiants ne peuvent s’empêcher d’explorer. Parmi ses nombreux cours figurent des cours d’histoire générale et des études approfondies portant sur les premiers temps de la Révolution française. Son approche pédagogique, en replaçant les événements historiques dans le cadre de récits intemporels de révolutions, de contre-révolutions et de bouleversements, interpelle les étudiants. « Les histoires de vie humaine les accrochent vraiment, dit-il, et les aident à contextualiser les questions complexes de manière compréhensible. »

Alors qu’il souligne l’importance de bonnes capacités de rédaction et de pensée critique pour tous les étudiants, il encourage un dialogue plus poussé en classe afin qu’ils apprennent à se garder de tirer des conclusions hâtives sur l’histoire. « Je veux que les étudiants puissent creuser le sens profond du passé, qu’ils réfléchissent vraiment aux moteurs de certains choix et qu’ils aillent au-delà de la surface en cherchant à comprendre le contexte qui a conduit à de grands événements historiques. »

Pour favoriser ce dialogue, il soulève des questions comme : « Y a-t-il dans la dynamique religion-horreur un sens plus profond? » M. Webb, qui s’intéresse avant tout à l’histoire des religions et qui, à plus forte raison, explique pourquoi la religion et l’horreur suscitent tant d’intérêt dans la culture populaire est d’avis que le phénomène remonte loin, à savoir à une branche de la théologie appelée « théodicée », qui s’attaque à la question suivante : si Dieu est tout-puissant, pourquoi le mal existe-t-il? Cette question est profondément ancrée dans les enseignements religieux et la morale.

Il rappelle comment certains des revivalistes (personnes se trouvant à la tête d’un réveil religieux), qu’il étudie, ont usé de la terreur religieuse pour faire régner la peur au sein des assemblées. L’une des figures notables en la matière est James Caughey, un revivaliste américain réputé pour ses prédications animées et à forte charge émotionnelle. « Il allait de ville en ville, explique le professeur, exploitant la peur de l’enfer et du diable pour effrayer les gens et les faire entrer dans l’église. »

À l’automne 2024 sortiront en salles trois films d’horreur, dont deux à thème religieux. Le film « Heretic » retrace l’histoire de deux jeunes femmes évangélistes qui se font piéger dans un jeu d’esprit sinistre au domicile d’un homme étrange. Ce dernier, incarné par Hugh Grant, défie leur dévotion en disant ce qui suit. « C’est un choix simple, mais on ne doit pas le faire à la légère, le choix étant alors une simple question de foi ou de mécréance ». Le film se nourrit des thèmes communs de l’horreur religieuse présents à la fois dans l’histoire et les récits modernes.

« Je trouve fascinant comment ces histoires remettent en question notre compréhension de la foi et de la moralité, dit M. Webb. Le film « Heretic » ressemble aux revivalistes, car leur objectif commun est de remettre en question les croyances. La religion est une épreuve de foi, de moralité, de croyance et de choix. Les revivalistes mettaient à l’épreuve les croyances en menaçant que leurs choix actuels détermineraient non seulement leur vie, mais aussi leur vie après la mort. Dans ce film, on met à l’épreuve la dévotion des femmes à leur credo dans cette vie. Je suppose qu’on nous racontera au sujet de l’hérétique une histoire humaine poignante qui l’a conduit à son état actuel d’hérésie. »

Les études de M. Webb nous rappellent, et cela est essentiel, que l’histoire n’est pas simplement une cascade d’événements, mais une riche mosaïque de vécus humains qui façonnent notre présent et donc notre avenir. Comblant le fossé entre les récits historiques et contemporains, il amène les étudiants non seulement à mieux comprendre ce qu’est l’histoire, mais aussi à se familiariser aux complexités intemporelles que revêtent la nature humaine, la moralité et l’attrait pour la narration.

Inscription dès maintenant à la conférence bisannuelle de l’Institut de recherche autochtone Maamwizing

Inscription dès maintenant à la conférence bisannuelle de l’Institut de recherche autochtone Maamwizing

Tradition, culture et innovation sont au cœur des activités des 15 et 16 novembre 2024

28 octobre 2024 - L’Institut de recherche autochtone Maamwizing (« Institut ») accueillera la quatrième édition bisannuelle de la Conférence Maamwizing axée sur la recherche communautaire par, pour et avec les peuples autochtones. L’événement promet d’être un rassemblement enrichissant favorisant une collaboration innovatrice et un partage de connaissances avec des points saillants culturels, comme un défilé de mode et un marché d’art.

Les conférencières principales seront Kathy Absolon, Ph.D., et Amy Shawanda, Ph.D. Originaire de la Première Nation de Flying Post et professeure agrégée à l’Université Wilfrid Laurier, Mme Absolon présentera « The Pause in Indigenous Research: Building Courage to Re-think and Look Again ». Professeure adjointe à l’Université McGill, Mme Shawanda vient du territoire non cédé de Wikwemikong et prononcera « Paddling Upstream: An Anishinaabekwe Journey Towards Ethical Frameworks in Indigenous Research ».

 

Points saillants de la conférence :

● Un défilé de mode et un marché d’art mettant en vedette des artistes locaux et célébrant la créativité et les expressions culturelles des artisans autochtones

● Une exposition des étudiants, permettant aux chercheurs émergents de présenter leurs recherches et de nouer des liens avec d’autres universitaires

● Les communications de conférenciers exceptionnels qui se vouent à l’avancement de la recherche autochtone

 

La Conférence Maamwizing joue un rôle primordial pour mettre en relation des étudiants de tous les cycles et des chercheurs en début de carrière avec des universitaires autochtones. L’Institut favorise une collaboration communautaire essentielle pour dénouer les complexités de la recherche et des services communautaires qui tiennent compte de la culture. « Cette conférence réunit tradition et innovation, a expliqué la directrice de l’Institut de recherche autochtone Maamwizing, Nicole Wemigwans, en soulignant l’importance de l’événement. Maamwizing est heureux d’accueillir ce rassemblement d’esprits brillants pour dynamiser la communauté de recherche autochtone dans le Nord. »

Joignez-vous à l’Institut Maamwizing et à l’Université Laurentienne lors de la Conférence Maamwizing les 15 et 16 novembre 2024. Les inscriptions seront acceptées jusqu’au 4 novembre 2024. Pour obtenir un complément d’information sur la conférence et l’œuvre de l’Institut de recherche autochtone Maamwizing, veuillez consulter le site Web.

Pleins feux sur les diplômés : Eric Roots

Pleins feux sur les diplômés : Eric Roots

« Sous la surface » grâce à la géophysique électromagnétique

25 october 2024 - Le 2 novembre, lors de la collation des grades d’automne 2024, Eric Roots, doctorant spécialisé en gisements minéraux et géologie précambrienne à l’Université Laurentienne, recevra son diplôme pour couronner un parcours exceptionnel de sept ans. Ses recherches, qui portent sur la géophysique électromagnétique dans le cadre du projet révolutionnaire Terre des métaux, ont contribué de manière importante à la compréhension des fondements géologiques des régions riches en minéraux du Canada.

Dans ses recherches, Eric a recueilli et analysé des données électromagnétiques pour découvrir pourquoi certaines zones du Bouclier canadien sont dotées de métaux alors que d’autres n’en ont pas. Il a trouvé à la fois un défi et une camaraderie, car il était le seul chercheur travaillant sur son sous-ensemble particulier de données dans un milieu collaboratif d’étudiants des cycles supérieurs et de membres du corps professoral.

« Travailler sur un projet d’une telle envergure était vraiment intéressant, a expliqué Eric, car, tout en avançant ma part du projet, j’ai eu l’occasion de réseauter et de collaborer avec d’autres géologues en les appuyant dans leurs données et leur travail. »

La pandémie de la COVID-19 a apporté des obstacles importants, perturbant la recherche et déplaçant le contexte universitaire vers l’apprentissage à distance. Alors que de nombreux collègues ont dû relever des défis pour l’échantillonnage et la collecte de données, Eric avait accompli ces tâches dans le Bouclier canadien, en Ontario et au Québec, au cours de l’été 2018. Ayant déjà ses données en main, il était mieux placé que beaucoup d’autres étudiants après le début de la pandémie, car il avait ce dont il avait besoin pour continuer à avancer son projet. Cependant, il se souvient que l’isolement du travail à distance a eu des répercussions, apportant de nouveaux obstacles à franchir alors que la technologie et la collaboration virtuelle se sont rapidement développées pour s’adapter aux besoins du monde.

Tout au long du projet, Eric a perfectionné ses compétences en recherche et participé à des projets communs de rédaction. Il a également fait un voyage de recherche de quatre mois à Prague, expérience qui lui a permis de présenter ses observations sur la scène mondiale, renforçant davantage le profil de l’initiative Terre des métaux.

« Mon doctorat a duré près de sept ans et le cheminement m’a beaucoup appris sur moi-même et a contribué à ma croissance sur divers plans, a-t-il affirmé. Je suis reconnaissant d’avoir noué des liens tout au long de mon parcours et pour tout ce que je retire de cette expérience. J’ai hâte à mon avenir en géophysique. »

Alors que la collation des grades approche, Eric réfléchit à sa croissance personnelle et scolaire. La pandémie est survenue au milieu de son parcours et l’a considérablement marqué, le motivant à quitter Sudbury pour Ottawa afin de se rapprocher de sa famille. Maintenant pleinement implanté à Ottawa, il a hâte de se trouver une possibilité locale ou à distance qui correspond à ses antécédents de recherche.

Des chefs d’entreprise visitent le campus pour inspirer la prochaine génération

Des chefs d’entreprise visitent le campus pour inspirer la prochaine génération

Entrepreneurs inspirés : une activité bien réussie

23 octobre, 2024 - La première édition de l’activité des Entrepreneurs inspirés a réuni une centaine d’étudiants de divers programmes de l’Université Laurentienne. Tenue dans l’espace d’innovation et de commercialisation Jim-Fielding de l’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff-Fielding, l’activité avait pour but de rassembler les étudiants avec des chefs d’entreprise chevronnés de la communauté.

Les entrepreneurs et dirigeants d’entreprise locaux ont partagé de précieux renseignements sur la création de commerces prospères et la façon de cadrer avec les complexités de l’entrepreneuriat.

Le groupe de professionnels comprenait des entrepreneurs communautaires de divers horizons, dont bon nombre sont diplômés de la Laurentienne. Ils ont tous partagé leur cheminement, soulignant à la fois les défis et les réussites en cours de route.  

Les entrepreneurs communautaires suivants ont participé à l’activité :

  • Pat Dubreuil, président, Let's Roll Ideation Consulting
  • Nicole Paquin, propriétaire, Nickel City Cheese Sudbury
  • Hailey Hastie, fondatrice et PDG, The Social Soulpreneur
  • Melissa Deschenes, Quartiers de l’innovation, Centre régional des affaires  


L’activité, dirigée par Patricia Orozco, Ph.D, et appuyée par le Bureau des affaires francophones de l’Université Laurentienne, comprenait un groupe de discussion bilingue composé d’étudiants entrepreneurs actuels ou anciens, des conférenciers principaux et un repas de réseautage à l’heure du midi. L’objectif de l’activité concordait avec les intérêts de recherche de Mme Orozco, qui portent sur les compétences et aptitudes entrepreneuriales et l’importance de caractéristiques comme la créativité, la résilience et le leadership.

« En tant qu’éducateurs, nous souhaitons que les étudiants se sentent autonomes et habiles dans l’atteinte de leurs objectifs, a expliqué Mme Orozco. En présentant cette activité, nous voulions créer un espace dans lequel ils ont pu en apprendre davantage sur les affaires tout en comprenant également les parcours personnels qui ont permis à ces divers entrepreneurs de réussir. »

Une table ronde animée par l’étudiante de quatrième année en administration des affaires, Athena Florentis Grandmaison, a donné aux participants l’occasion d’entendre les perspectives d’étudiantes actuelles et anciennes qui ont concilié leurs études et la création d’une entreprise à titre d’entrepreneures émergentes, notamment :  

  • Samantha Blender, propriétaire de Gwiddy (@shopgwiddy)
  • Emma Lapointe, fondatrice de Solace Supply et cofondatrice de Go & Glow Cleaning Services (@shopsolacesupply, @goandglowservices)
  • Florish Abebayo, propriétaire de Beiwty Rish Rish Cosmetics, étudiante de quatrième année en biochimie (@beiwty_rish)  


« C’est l’approche multidimensionnelle de cette activité qui l’a rendue si spéciale, a noté Florentis Grandmaison. Les participants ont côtoyé de brillants entrepreneurs locaux et eu la chance de discuter avec eux. En écoutant leurs expériences et contribuant au dialogue, nous avons pu constater comment les entrepreneurs du nord de l’Ontario ont une incidence sur le monde des affaires. »

L’activité des Entrepreneurs inspirés illustre la mission élargie de l’École d’administration des affaires qui consiste à nouer des liens entre les étudiants et la communauté d’affaires locale, en favorisant les relations pour orienter et inspirer les futurs entrepreneurs. Les préparatifs sont déjà en cours pour faire des Entrepreneurs inspirés une activité annuelle.

Une exposition au musée présente des recherches canadiennes sur l’architecture finlandaise

Une exposition au musée présente des recherches canadiennes sur l’architecture finlandaise

Les recherches de Tammy Gaber, Ph.D., sur l’architecture d’Aalto seront présentées au musée Alvar Aalto en Finlande.

21 octobre 2024 - La directrice et professeure associée à l’École d’architecture McEwen, Tammy Gaber, Ph.D., est reconnue dans une exposition spéciale au musée Alvar Aalto de Jyvaskyla, en Finlande. L’exposition, intitulée Sacred Spaces : Community and Continuity in Aaltos’ Architecture, se déroulera du 27 septembre 2024 au 5 janvier 2025.

Mme Gaber a effectué les recherches, organisé et créé l’exposition qui présente 35 espaces sacrés conçus par Alvar, Aino et Elissa Aalto. Au cours de cinq décennies, les Aalto ont participé à la rénovation de sept églises historiques, conçu 11 structures ecclésiastiques et conceptualisé 17 espaces sacrés non construits pour des communautés dans diverses régions de Finlande et plusieurs autres pays. Les dessins détaillés en 3D mettent en valeur la contribution particulière des Aalto à l’architecture des églises.

Financée par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH) avec le soutien collaboratif de l’Alvar Aalto Foundation, l’exposition est une représentation tactile du travail des Aalto tout au long de leur vie, accompagnée d’informations historiques détaillées. Les éléments sont organisés en ordre chronologique, révélant les relations entre les conceptions développées au cours de cinq décennies. Elle comprend également des réflexions textuelles et visuelles sur des thèmes clés des espaces sacrés, tels que l’art, les projets conçus à l’extérieur de la Finlande et les phases ultérieures des églises construites.

Mme Gaber a dirigé deux cours sur le thème des Aalto à l’École d’architecture McEwen, pendant lesquels les étudiants ont eu l’occasion de collaborer. Dans le cadre du cours d’études supérieures de 2022, « Mythic Places: Crafting Aaltos’ Design Universe » et le cours de premier cycle de 2024 « Community and Continuity in Aalto’s Sacred Spaces », les étudiants ont joué un rôle important dans la création des dessins 3D présentés dans l’exposition. Ces dessins incorporent des plans architecturaux originaux (y compris des plans d’étage, des coupes et des élévations) avec toutes les informations disponibles, permettant une compréhension spatiale complète des espaces ecclésiastiques construits et non construits tels que les Aalto les envisageaient.

En septembre, dix étudiants et deux anciens de l’École d’architecture McEwen ont voyagé avec Mme Gaber pour monter et lancer l’exposition.

Les membres suivants de la population étudiante ont créé les dessins tridimensionnels présentés dans l’exposition.

À la maîtrise : Laura Auchinleck, Abigail Hudyma, Sarah Belchker, Livingston Boyd, Zachary Briguglio, MacKenzie Cameron, Lauren Carr, Cat Daigle, John Grzeda, Jonathan Kabumbe, Candice Kinnunen, Sarah Mason, Aaron McRoberts, Janae Rodrigues, Sydney Sheppard, Jacob Smith (ancien, 2022).

Au baccalauréat : Elijah Alkhoury, Noam Aufgang, Sam Ballantyne, Maddison Belanger, Andrew Eveleigh, Humbert Gelas, Ravleen Gill, Kalila Hamilton-Bachiu, Gustav Jost, Isi Lusha, Sasha Sousa (ancienne, 2024).

Les dessins ont été créés avec l’aide de la doctorante, Laura Auchinleck, tandis qu’Abigail Hudyma a collaboré avec Mme Gaber à titre d’adjointe de recherche pendant toute la durée du projet, en assurant soutien et contribution à la collecte de données, à la création de dessins et à la conservation de l’exposition.

L’exposition Sacred Spaces offre l’occasion inégalée d’explorer l’héritage multiforme et pertinent des Aalto dans l’architecture des églises. Lors de la soirée de l’ouverture de l’exposition, Mme Gaber a prononcé une conférence publique devant 60 visiteurs locaux et internationaux et reçu la « Alvar Aalto Medal of Valor » pour souligner ses années de dévouement à la recherche sur les bâtiments Aalto.

Ce projet met en valeur la créativité et l’engagement de Tammy Gaber non seulement envers ses recherches, mais aussi envers ses étudiants dont l’expérience universitaire a été enrichie grâce à ce chevauchement exceptionnel entre l’éducation et le patrimoine architectural.

Des chercheurs de la Laurentienne bénéficient d’un financement de 2,2 millions de dollars

Des chercheurs de la Laurentienne bénéficient d’un financement de 2,2 millions de dollars

Une floraison de projets entrepris dans les domaines de l’écologie, de la génétique et des sciences sociales attire des investissements auprès du gouvernement et des partenaires de l’industrie

17 octobre 2024 - Cinq chercheurs de l’Université Laurentienne ont reçu du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) et du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), deux organismes subventionnaires fédéraux, un total de 1,79 million de dollars en soutien à des projets qui seront menés au cours des cinq prochaines années. À ce montant important s’ajoutent des contributions substantielles de Vale et de Glencore. Ces fonds verront mener des études en profondeur dans les domaines de la conservation des reptiles, de l’aquaculture, de la génétique, des normes de pratique du travail social et du marketing, confortant ainsi l’engagement de la Laurentienne en faveur de recherches innovatrices porteuses de solutions à des problèmes sociétaux pressants.

« Ces octrois de fonds attestent de l’ingéniosité et de l’innovation des chercheurs de la Laurentienne, a dit la vice-rectrice à la recherche, Mme Tammy Eger. Nous sommes reconnaissants de l’investissement des deux organismes subventionnaires, qui jouent un rôle clé dans l’avancement de la recherche au Canada. Les projets entrepris nous feront progresser dans notre compréhension des défis sociétaux et sont vitaux pour l’avenir. Félicitations à tous nos lauréats. »

« Nous nous réjouissons de cette possibilité de collaborer, a déclaré la directrice du Centre pour la vitalité des lacs Vale, titulaire d’une bourse de recherche Jane Goodall en biologie de la conservation et comptant parmi les chercheurs bénéficiant de fonds de soutien à leur projet, Mme Jacqueline (Jackie) Litzgus. Grâce à l’appui tant de nos partenaires de l’industrie que du CRSNG, nous donnons une nouvelle dimension au travail de restauration écologique à Sudbury, une dimension qui tient compte de nouveaux facteurs de stress et qui s’inspire de nouvelles approches, et formons des étudiants pour que ce bon travail se poursuive à l’avenir. »

Le financement accordé s’applique aux projets de recherche suivants :

 

Jackie Litzgus – École des sciences naturelles – est chercheuse principale de CRADLES (Conservation et restauration de la diversité aquatique face aux facteurs de stress actuels et émergents), projet pour lequel une subvention Alliance de 1,35 million de dollars a été accordée par le CRSNG. Le projet CRADLES, effectué au Centre pour la vitalité des lacs Vale et auquel s’associent plusieurs partenaires universitaires, bénéficie des contributions de Vale et de Glencore, partenaires industriels, à raison de 450 000 $, ainsi que du soutien en nature du ministère des Ressources naturelles et du ministère de l’Environnement, de la Conservation et des Parcs. Mme Litzgus est également titulaire d’une subvention à la découverte de 65 000 $ par an, pendant cinq ans, accordée par le CRSNG en appui à son programme de recherche intitulé « Population ecology and behaviour inform the conservation of reptiles ».

Thomas Johnston – École des sciences naturelles – a reçu du CRSNG une subvention à la découverte axée sur le développement à raison de 20 000 $ par an, pendant deux ans, pour étudier la niche trophique dans les réseaux alimentaires aquatiques.

Thomas Merritt – École des sciences naturelles – a obtenu du CRSNG une subvention à la découverte de 67 000 $ par an, pendant cinq ans, pour ses études génétiques et expérimentales sur les voies du stress d’après le système d’organismes modèles de Drosophila melanogaster (mouches à fruits communes).

Isabelle Côté – École de service social – a reçu du CRSH une subvention de développement Savoir de 105 080 $ pour ses travaux intégrant le concept de contrôle coercitif aux pratiques professionnelles de lutte contre la violence conjugale, voire familiale.

Kamran Eshghi – École d’administration du sport (SPAD) – a reçu du CRSH une subvention de développement Savoir de 81 715 $ pour son projet d’analyse des facteurs et des résultats depuis l’adoption, dans le secteur de la vente au détail, du modèle de promotion « Achetez maintenant, payez plus tard » (BNPL).

 

Les octrois de fonds ont été annoncés par Viviane Lapointe, députée de Sudbury, et Marc G. Serré, député de Nickel Belt et secrétaire parlementaire auprès des ministres de l’Énergie et des Ressources naturelles et des Langues officielles, le 17 octobre 2024, à l’Université Laurentienne. Cet événement a permis de souligner l’importance des projets de recherche en question et leurs contributions prévues tant au progrès du savoir universitaire que de l’avancement de la société.

 

Le nouveau Centre étudiant d’équité de l’Université Laurentienne assure un soutien et la défense des droits

Le nouveau Centre étudiant d’équité de l’Université Laurentienne assure un soutien et la défense des droits

16 october 2024 - L’inauguration du Centre étudiant d’équité (CEE) apporte un nouvel espace partagé aux groupes d’étudiants dignes d’équité. En mettant l’accent sur la promotion de la communauté et adressant les défis particuliers que ces groupes doivent relever, le CEE sera une ressource inestimable pour les étudiants.

Sous l’égide du Bureau d’équité, de diversité et des droits de la personne de l’Université Laurentienne, le CEE vise à fournir aux étudiants un espace sûr dans lequel ils trouveront le soutien dont ils ont besoin avec des ressources d’éducation sur des questions précises comme la justice sociale et l’équité et des sujets importants comme la violence sexuelle et sexiste et la sensibilisation au consentement.

Grâce à son emplacement central au rez-de-chaussée de l’Édifice des arts (A-126) près du Tim Hortons, le CEE est un centre d’accueil et un espace partagé dans lequel les étudiants peuvent tisser des liens. En assurant un mentorat et un plaidoyer, il facilite pour eux l’accès au soutien dont ils ont besoin.

Sous la direction de la coordonnatrice de l’équité et de la mobilisation communautaire, Lyailya Makhambet, et de la coordonnatrice du soutien en cas de violence sexuelle et sexiste, Kayla Deschatelets, le CEE collabore avec quatre groupes clés d’étudiants formant un réseau de soutien amélioré : le Centre des femmes, Fierté/Pride Laurentienne, le Comité des étudiants pour l’action sociale et l’Équipe d’action « Le consentement est simple ». Chaque groupe aborde des questions capitales allant des droits de la personne à l’égalité des sexes en passant par les droits de la communauté 2SLGBTQIA+ et la sensibilisation au consentement. Les étudiants sont encouragés à faire appel à ces groupes pour obtenir des services ou faire du bénévolat.

Tout au long de l’année, les étudiants peuvent s’attendre à des campagnes de sensibilisation et à des ateliers, y compris les 16 jours d’action sociale à compter du 25 novembre, qui est également la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes. Parmi les autres activités importantes, il faut souligner la Journée des droits de la personne, le Mois de l’histoire des Noirs et la Journée internationale des femmes, qui visent tous à assurer une conscientisation et une promotion en matière de culture d’inclusion.

Pendant la Semaine de sensibilisation au consentement, qui aura lieu du 21 au 26 octobre, le CEE organisera des activités pour mettre en valeur le message d’un consentement clair et enthousiaste. Si vous êtes membre de la population étudiante de la Laurentienne à la recherche d’un espace qui favorise l’équité et la justice sociale, rendez-vous au Centre étudiant d’équité, dans la salle A-126 de l’Édifice des arts, où vous serez accueilli au sein d’une communauté qui s’engage à faire une différence.

Aurel Fox-Recollet : Sur la bonne voie vers l’excellence en athlétisme et l’épanouissement personnel

Aurel Fox-Recollet : Sur la bonne voie vers l’excellence en athlétisme et l’épanouissement personnel

Mise en place des conditions propices à la réussite.

9 octobre 2024 - Aurel Fox-Recollet, 30 ans, étudiant au programme de baccalauréat en service social à la Laurentienne, se prépare à un bel avenir où les études constituent une priorité, où la résilience a ses mérites et où l’équilibre est la clé du succès. Alors que ses exploits sportifs se font nombreux, il aborde son parcours universitaire de la même manière qu’il appréhende sa course de fond : à son propre rythme.

Aurel Fox Recollet a grandi à Wikwemikong, une petite communauté rurale qui, dit-il, l’a incité à envisager une carrière dans le domaine du travail social. « Dans ma jeunesse, on entend parler des besoins des habitants et j’ai pensé que le travail social me conviendrait bien. » Il s’est d’abord inscrit au programme de travail social, spécialisation autochtone, du Collège Cambrian et a ensuite transféré nombre de ses crédits à l’Université Laurentienne, où il a entrepris le programme de baccalauréat en service social.

Le milieu naturel du campus lui procure un sentiment de bien-être et d’appartenance. « Le campus est bien circonscrit. J’ai rendu visite à un ami qui étudiait dans une université du sud de l’Ontario et le campus avait l’air d’une ville. À l’Université Laurentienne, on se familiarise rapidement avec le campus et les membres qui le composent. On se sent comme à domicile, et les classes à effectif restreint m’ont permis de tisser des liens avec les professeurs. »

Son intérêt manifeste envers le service social est profondément ancré. « Je voulais mettre à profit les leçons tirées de ma vie d’étudiant aux prises par moments avec l’alcoolisme et en faire un instrument au service d’autrui. Je pense que mon vécu me rend particulièrement apte à épauler des personnes aux prises avec les difficultés de la vie. »

Alliant son affinité pour la communauté et son engagement à aider autrui, Aurel a offert de l’encadrement dans le cadre du Programme de bien-être par les pairs et au sein du Centre autochtone de partage et d’apprentissage au cours de l’été.

Parallèlement à ses études, il est passionné de course de fond et s’y consacre avec discipline. « Je cours presque tous les jours, à raison d’environ 80 km par semaine. Je cours au maximum 95 km par semaine et au minimum, 70 km. Courir est un mode de vie pour moi; la course fait partie de qui je suis. »

Dernièrement, en septembre, il a remporté le demi-marathon du circuit Sudbury Masters Ramsey Tour, sans oublier les médailles d’argent et de bronze qu’il a décrochées, en 2023, aux Masters Indigenous Games. « J’aime courir pour me faire plaisir, en respectant mon calendrier, et je me réjouis à l’idée de défendre mon titre l’an prochain et continue à trouver de nouvelles courses à disputer. »

Courir, il l’avoue, va au cœur de son bien-être. « Si je ne cours pas, je ne suis pas au meilleur de ma forme. » En d’autres termes, pour lui, courir est synonyme de clarté et de bien-être émotionnel, c’est prendre le temps de réfléchir et de se sentir en phase avec la nature. « Je suis introverti et la course de fond m’amène à réfléchir et à y voir plus clair. »

Son esprit de compétition le motive à courir et à poursuivre ses objectifs universitaires. « Je cherche toujours à me dépasser. Je veux gagner des courses et je rêve de me qualifier pour le marathon de Boston. Mais plus que tout, je veux réussir mes études avec brio parce que je veux que mes parents me voient réussir. Ramener, chez moi, un diplôme universitaire, voilà l’objectif. »

Alors qu’il poursuit ses études à la Laurentienne, il est loin de se contenter de se forger un chemin. Il a en effet su inspirer ceux qui l’entourent par sa résilience, sa discipline et son engagement indéfectible. Son parcours s’inscrit dans la logique d’une croyance, celle du pouvoir de la communauté, la connaissance de soi et la poursuite implacable du dépassement de soi.

L’Université Laurentienne remet des titres honorifiques à Jason F. McLennan et Tom Blake

L’Université Laurentienne remet des titres honorifiques à Jason F. McLennan et Tom Blake

Les lauréats seront à l’honneur lors de la cérémonie de Collation des grades du 2 novembre

8 octobre 2024 – L’Université Laurentienne décernera deux doctorats honoris causa lors de la cérémonie de Collation des grades de cet automne, le 2 novembre 2024. Les lauréats de ces titres honorifiques seront présents et reconnus aux côtés des nouveaux diplômés.

« Nous sommes très chanceux d’avoir ces leaders inspirants parmi nous pour être reconnus et prendre la parole devant nos nouveaux diplômés, a souligné la rectrice et vice-chancelière de l’Université Laurentienne, Lynn Wells, Ph.D. En fait, Jason et Tom ont tous deux accompli tant de choses au cours de leur brillante carrière respective, ils feront voir aux diplômés qu’il n’y a pas de limite à leur avenir. Jason est un pionnier et un innovateur dans son secteur et Tom est un leader de calibre mondial qui a choisi de redonner tant à la Laurentienne. Ils méritent tous les deux le plus grand honneur que nous puissions leur décerner. »

Les cérémonies de Collation des grades seront diffusées en direct sur YouTube et affichées à www.laurentienne.ca.

 

Dates de remise de titres honorifiques

2 novembre, à 10 h : Jason F. McLennan – Doctorat honorifique en architecture

2 novembre, 14 h 30 : Tom Blake – Doctorat honorifique en administration des sports

 

Jason F. McLennan Dirigeant principal du développement durable de l’entreprise mondiale Perkins&Will et fondateur de McLennan Design, Jason McLennan est concepteur, auteur, conférencier, expert-conseil et environnementaliste de renom et l’une des personnes les plus influentes au monde dans le domaine de l’architecture et du mouvement de construction écologique. Ses idées ont été reconnues à l’échelle nationale et mondiale, notamment en remportant le Prix Buckminster Fuller, le Prix national d’excellence ENR et la Bourse Ashoka. Il a été concepteur et expert-conseil de nombreux projets parmi les plus écologiques au monde et les entreprises et établissements de premier plan l’abordent régulièrement pour des stratégies de développement durable et de justice sociale. Jason a créé le Living Building Challenge, principale norme de certification des édifices écologiques au monde, et est l’auteur de sept livres sur le développement durable et la justice sociale, dont Philosophy of Sustainable Design, qui a été utilisé dans des dizaines d’écoles d’architecture dans le monde. Né et élevé à Sudbury, Jason a travaillé partout dans le monde.

 

Tom Blake L’un des directeurs des ventes les plus respectés et dynamiques au monde, Tom Blake a écrit le livre à succès, Championship Selling, cofondé Optimé International et travaillé pendant 18 ans, du premier échelon à la direction, pour Procter & Gamble, leader mondial des ventes et du marketing. Tom et Optimé ont assuré la formation dans des centaines d’organismes de vente comme AT&T, PepsiCo, P&G et de nombreuses autres entreprises du Fortune 100. En fait, Optimé a été récemment reconnu comme l’une des meilleures entreprises de formation à la vente en 2024 par Selling Power. En 2011, Tom a cofondé Sprout Wellness Solutions, organisme numérique de santé et de bien-être holistiques acquis par Telus Health en 2022. Il a fait partie de la première promotion de l’École d’administration des sports (SPAD) en 1972 et figure parmi les premiers diplômés du programme. Au cours des 50 dernières années, il a apporté des contributions régulières à la Laurentienne en siégeant à divers conseils consultatifs, embauchant des diplômés et stagiaires de l’UL et donnant le cours « Championship Selling » pendant 15 ans dans le cadre du programme de SPAD.

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