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Les gouvernements financent l’éducation francophone

Les gouvernements financent l’éducation francophone

Quelque 5 000 000 $ pour faire croître les possibilités d’éducation bilingue et française

(26 avril 2023) – Grâce à un financement de plus de 5 000 000 $, le ministère des Collèges et Universités de l’Ontario et le gouvernement du Canada unissent leurs efforts pour soutenir la croissance de l’éducation francophone et bilingue à l’Université Laurentienne.
 
Ces fonds permettront d’appuyer deux importantes initiatives qui sont au cœur du mandat bilingue de la Laurentienne et qui sont alignées avec le cadre de l’Entente Canada-Ontario relative à l’enseignement dans la langue de la minorité et à l’enseignement de la seconde langue officielle.
 
« La première initiative permettra de maintenir et de développer des programmes universitaires à l’intention des étudiants pour qui le français est la langue seconde, comme des programmes bilingues et d’appui linguistique dans un contexte d’éducation bilingue, a expliqué le conseiller spécial aux affaires francophones à l’Université Laurentienne, Roch Gallien. La deuxième initiative vise à créer un laboratoire de langues et un atelier de conversation qui appuient l’apprentissage d’une langue seconde et le perfectionnement de compétences linguistiques. »
 
Le laboratoire de langue sera offert en format divers :

  • autoapprentissage libre : un accès libre aux activités d’apprentissage (bibliothèque de tutoriels et de ressources variées) permettant d’aiguiser continuellement les compétences langagières;
  • autoapprentissage guidé : les activités d’apprentissage sont choisies conjointement par le membre de la population étudiante et un chargé de cours formé à la didactique des langues et à l’utilisation des ressources numériques;
  • autoapprentissage intégré : les activités s’insèrent dans les travaux de cours des étudiants ou encore, l’utilisation du laboratoire est intégrée aux leçons de cours.

 
« Nous sommes reconnaissants à nos collègues du gouvernement d’avoir collaboré avec nous tout au long du processus de financement, a ajouté la directrice des partenariats et collaborations aux affaires francophones à Université Laurentienne, Charlotte Primeau. Nos efforts sont parfaitement alignés et nous sommes impatients de faire progresser l’éducation francophone et bilingue à l’Université Laurentienne. »
 
L’intention du financement est de voir augmenter le nombre d’étudiants d’expression française, le nombre de programmes bilingues ou français ainsi que le nombre de cours bilingues ou de langue française. Quelque 1 700 étudiants de l’Université Laurentienne suivent actuellement des cours dans un programme menant à un diplôme en français, ce qui représente 23 % de la population étudiante. En 2022-2023, la Laurentienne a offert 400 cours uniques en français et décerné 280 certificats de bilinguisme, une augmentation par rapport à l’année précédente.
 
Le contenu relève de la responsabilité de ses auteurs sans refléter nécessairement les opinions de la province ou du gouvernement du Canada.

Nomination de M. James Gallagher au Conseil des gouverneurs

Nomination de M. James Gallagher au Conseil des gouverneurs

Ce dirigeant minier chevronné se joint au Conseil

(24 avril 2023) – Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a accueilli un autre dirigeant chevronné en nommant M. James Gallagher pour un mandat de trois ans qui commence dès ce mois-ci.

« Un leader en affaires de longue date dans l’industrie minière, James est très respecté et saisit le potentiel de la Laurentienne à prêter un soutien aux partenaires industriels, a dit le président du Conseil des gouverneurs de l’UL, Jeff Bangs. Son expérience renforcera le sens des finances et des affaires du Conseil tout en apportant un solide leadership. Cette annonce se fait dans le cadre du renouvellement suivi des membres du Conseil et nous prévoyons de faire d’autres annonces semblables au cours des prochains mois. »

Au sujet de James (Jim) Gallagher


Ingénieur minier professionnel ayant acquis plus de 35 ans d’expérience dans les activités minières, les projets et la haute direction, James Gallagher est actuellement président général de Clean Air Metals et a été PDG de North American Palladium ainsi que directeur mondial du secteur minier de Hatch, où il a dirigé une grande équipe de conception de mines et d’exécution de projets. Il a passé plus de 20 ans à Falconbridge, exerçant divers rôles en ingénierie, projets et gestion des opérations. Ce diplômé du programme de génie minier de l’Université Laurentienne et du programme international de leadership minier de l’Université Queen’s a également siégé aux conseils d’administration de Harte Gold, de Continental Gold et de l’Ontario Mining Association.
 

La province finance la création d’une grappe d’innovation

La province finance la création d’une grappe d’innovation

Cette grappe se penchera sur les minéraux critiques, l’écotechnologie et les technologies électriques à batterie

(21 avril 2023) – De nouveaux fonds de la province rehausseront les connaissances en matière de propriété intellectuelle au sein de divers établissements et écosystèmes dans les régions rurales et du Nord de l’Ontario. Octroyé par Propriété intellectuelle Ontario (PIO), ce financement favorisera la création, dans ces régions, d’une grappe d’innovation axée sur les minéraux critiques, l’écotechnologie et les technologies électriques à batterie. Le partenariat, dirigé par la Laurentienne et englobant les universités Lakehead, Trent et Nipissing, bénéficiera de 294 000 $ pour le projet pilote d’un an.

« La grappe permettra aux chercheurs de profiter d’un éventail de relations, de mentors et d’expertise, ce qui augmentera la vitesse et l’incidence de leurs travaux d’innovation, a dit la vice-rectrice à la recherche de l’Université Laurentienne, Tammy Eger. Nos communautés possèdent un potentiel exceptionnel dans ces secteurs que nous pourrons aider à valoriser grâce à ce financement. Celui-ci permettra aux entreprises de renforcer leur capacité de croissance tout en mettant en valeur le développement économique en collaboration. »

Le financement permettra d’embaucher pour les quatre établissements un agent ou une agente de liaison avec l’industrie qui misera sur les ressources d’éducation et de commercialisation de PIO pour rehausser les connaissances en matière de propriété intellectuelle, améliorer l’interconnexion entre les intervenants et faciliter le développement économique dans le cadre de collaboration de recherche et d’innovation entre le secteur industriel et le monde universitaire.

« La grappe sert de lien important non seulement entre l’industrie et le monde universitaire, a ajouté la directrice de la recherche et de l’innovation à la Laurentienne, Gisèle Roberts, mais aussi entre l’industrie et PIO dans un domaine que la province reconnait comme très prioritaire pour le développement économique avec un accès limité à des prestataires de services liés à la propriété intellectuelle. »

Cette initiative s’aligne sur la Stratégie ontarienne relative aux minéraux critiques en jetant des ponts entre les experts de la recherche et de la commercialisation aux établissements postsecondaires et les partenaires de l’industrie et des écosystèmes d’innovation pour accélérer la mise au point et l’adoption de nouvelles technologies.

PIO a été créée par le Gouvernement de l’Ontario en avril 2022 pour apporter des soutiens et services en matière de propriété intellectuelle qui aident les entreprises et les chercheurs à innover et à progresser.

L’Université Laurentienne se joint à l’Alliance des universités pour une nature positive

L’Université Laurentienne se joint à l’Alliance des universités pour une nature positive

L’UL appuie la priorisation de la remise en état de la nature

(20 avril 2023) - L’Université Laurentienne célèbre le Jour de la Terre (22 avril 2023) en annonçant son engagement à joindre l’Alliance des universités pour une nature positive (Nature Positive University Alliance [NPUA]) qui priorise la restauration de la nature dans le secteur de l’enseignement supérieur. Formée par l’Université d’Oxford et le Programme environnemental des Nations Unies et lancée pendant la Conférence des Nations unies sur la biodiversité (COP 15) en décembre 2022, l’Alliance compte 128 universités dans le monde, dont quatre en Ontario.

« L’Alliance des universités pour une nature positive est une initiative qui apportera une importante contribution à la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes, a dit la présidente du Comité de durabilité environnementale à l’Université Laurentienne, Anastacia Chartrand. De plus, elle nous aidera à perpétuer l’héritage environnemental actuel de la Laurentienne et à fournir des contributions encore plus appréciables à la remise en état d’écosystèmes. »

La première étape pour joindre l’Alliance consiste à réaliser une étude de base de la biodiversité du campus. Afin d’adhérer au principe de « nature positive », la Laurentienne devra mesurer les conditions de base de la diversité, définir des actions claires et rendre des comptes de manière transparente.

« Nous nous réjouissons de prendre cet engagement, a affirmé la rectrice et la vice-chancelière de l’Université Laurentienne, Sheila Embleton, Ph.D. Il s’agit d’une importante étape pour assurer l’intendance environnementale de la biodiversité de l’Université. »

« En nous préparant au processus de planification stratégique de la Laurentienne, a ajouté Mme Embleton, nous collaborerons étroitement avec nos intervenants et nous positionnerons afin de contribuer au but plus général de la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes. Nous tenons également à assumer notre responsabilité de maintenir l’évacuation d’eaux propres au lac Ramsey et à participer au défi du maire qui consiste à protéger, d’ici 2030, 30 % des terres et des eaux sur le territoire municipal. »

Fondé en 2019, le Comité de durabilité environnementale à l’UL est formé d’étudiants et de diplômés et assure la promotion de la conscientisation environnementale.

L’École d’architecture McEwen lance des camps d’été

L’École d’architecture McEwen lance des camps d’été

Des camps bilingues et triculturels seront offerts en juillet 2023

(19 avril 2023) - L’École d’architecture McEwen (EAM) à Sudbury est fière d’annoncer ses tout premiers camps d’été Archi·Nord en architecture.

Archi·Nord est un camp d’été d’architecture incomparable, bilingue et triculturel, présenté en personne et organisé par la plus récente école d’architecture du Canada à l’Université Laurentienne, qu’ArchDaily qualifie de l’un des « 15 bâtiments d’écoles d’architecture les plus inspirants au monde ». Les camps Archi·Nord sont offerts aux élèves qui commencent la 11e ou 12e année en septembre 2023. Des séances en personne sont proposées du 17 au 21 juillet 2023 (en anglais) et du 24 au 28 juillet 2023 (en français).

Grâce à un enseignement dispensé par des membres du corps professoral et des récents diplômés, Archi·Nord accordera aux élèves une expérience d’introduction au dessin, à la conception architecturale, à la modélisation physique et aux logiciels numériques. Pendant chaque séance d’une semaine, ils auront droit à une introduction générale au processus architectural et à la réflexion sur la conception dans un milieu universitaire axé sur le design, clôturée par une exposition des travaux à la fin de la semaine pour les familles et la communauté.

Dans le contexte de la première école bilingue d’architecture au Canada, le programme Archi·Nord s’engage à offrir une expérience préuniversitaire qui rend plus accessible et abordable la formation architecturale pour les communautés nord-ontariennes. Les camps valorisent aussi l’emploi de matériaux et de technologies durables, le bâtiment de l’EAM étant un excellent exemple de construction en bois massif. Il est espéré qu’Archi·Nord apporte aux élèves une expérience non conventionnelle de camp d’été qui les incite à cultiver de nouvelles façons de voir et de repenser le monde qui les entoure.

Pour obtenir un complément d’information et inscrire votre jeune, consultez Archi·Nord ou écrivez-nous à archicamp@laurentian.ca.

La province réinvestit dans le Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail

La province réinvestit dans le Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail

Le CRSST poursuit son mandat pour prévenir les blessures et maladies professionnelles dans le cadre de partenariats avec des milieux de travail nord-ontariens

(18 avril 2023) - Le Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) à l’Université Laurentienne est heureux d’annoncer que le ministère du Travail, de l’Immigration, de la Formation et du Développement des compétences (MTIFDC) a investi 2 500 000 $ sur les cinq prochaines années pour appuyer les principales activités du Centre.

« Notre mission est simple : garder les travailleurs à l’écart du danger, a dit le ministre du Travail, de l’Immigration, de la Formation et du Développement des compétences, Monte McNaughton. Notre gouvernement est fier de financer des programmes comme celui-ci dans le nord de l’Ontario qui favorisent la sécurité des gens au travail tout en apportant une plus grande tranquillité d’esprit à eux et à leur famille. En collaborant, nous sommes sur la bonne voie pour faire de l’Ontario le meilleur endroit en Amérique du Nord où vivre, travailler et élever une famille. »

La province constate les problèmes hors de l’ordinaire du nord de l’Ontario en matière de santé et de sécurité au travail et reconnait le rôle que joue le CRSST en tant que centre de recherche partenaire dans l’atteinte de ses objectifs stratégiques. À titre d’exemple, dans les communautés du nord, les industries d’exploitation de ressources naturelles se font plus nombreuses, les défis environnementaux sont particuliers et les caractéristiques démographiques diffèrent de celles d’autres régions.

« Le CRSST est un excellent exemple de centre de recherche qui collabore directement avec des partenaires industriels et le secteur public pour résoudre les problèmes dans nos communautés locales, a exprimé la rectrice et vice-chancelière par intérim de l’Université Laurentienne, Sheila Embleton, Ph.D. Nous sommes reconnaissants au ministère d’investir dans cette recherche importante. »

Depuis cinq ans, le CRSST a réglé des problèmes en milieu de travail avec 37 partenaires commerciaux, placé 71 membres de la population étudiante dans des stages rémunérés et décerné 124 000 $ en bourses d’études. Pendant cette période, il a également obtenu au-delà de 5 500 000 $ en subventions, contrats de recherche et dons.

« Le CRSST effectue des recherches de calibre mondial dans des installations de pointe dont ne dispose aucune autre université ontarienne, a expliqué la vice-rectrice à la recherche à l’Université Laurentienne, Tammy Eger, Ph.D. Nous sommes chanceux que ces recherches se fassent ici dans le nord de l’Ontario, dans des collectivités qui profiteront directement des avancements. » Le CRSST héberge un simulateur de milieux de travail estimé à 1 000 000 $ dont l’infrastructure permet la reproduction de tâches professionnelles prépondérantes dans le nord de l’Ontario afin de pouvoir vérifier des solutions dans le contexte de laboratoire. Il est également doté d’un laboratoire itinérant de recherche qui permet d’apporter ces solutions directement aux milieux de travail et aux collectivités pour la mise en œuvre.

« Cet investissement nous donne l’occasion d’élargir nos services de recherche et la formation d’étudiants tout en conservant nos collaborations avec des partenaires du système, a précisé la directrice du CRSST, Sandra Dorman, Ph.D. Il fait ressortir aussi l’engagement de la province envers la viabilité à long terme du premier centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail qui porte sur les besoins particuliers de recherche dans le nord de l’Ontario. »

 

Au sujet du Centre de recherche sur la santé et la sécurité (CRSST)

Fondé en 2008 à l’Université Laurentienne, le CRSST accorde aux secteurs industriels, aux associations de sécurité au travail, aux groupes syndicaux, aux organismes gouvernementaux et aux chercheurs une structure formelle pour le partage de problèmes et de solutions en matière de blessures et de maladies en milieu de travail. Nous envisageons le nord de l’Ontario comme endroit où les milieux de travail s’allient pour assurer que, chaque jour, après le travail, chaque personne rentre chez elle en toute santé et toute sécurité. Notre mission est d’être un agent de l’innovation et de la découverte qui aide à résoudre des problèmes pertinents et critiques auxquels font face les industries du nord afin qu’elles puissent éliminer les blessures et maladies professionnelles des milieux de travail.

Annonce des gagnants du Symposium de recherche des cycles supérieurs à l’Université Laurentienne

Annonce des gagnants du Symposium de recherche des cycles supérieurs à l’Université Laurentienne

Divers thèmes ont été examinés pendant cette activité d’une semaine

(12 avril 2023) - Du 27 au 31 mars 2023, l’Association des étudiants des cycles supérieurs de la Laurentienne, appuyée du Bureau des études supérieures, a organisé le Symposium de recherche des cycles supérieurs « Découverte et dissémination », mettant en valeur les projets variés de recherche d’étudiants inscrits aux programmes de maîtrise et de doctorat. Les exposés ont témoigné de l’ampleur et de la portée des recherches effectuées à l’Université Laurentienne.

Les prix décernés lors du symposium ont souligné les meilleurs exposés dans diverses catégories jugées par des membres du corps professoral qui se sont portés volontaires : 

  • Éducation et santé : Taylor Watkins (M.A. Interdisciplinary Health), Supporting Healthy Pregnancies: Understanding Pregnant Women and New Mothers’ Perspectives Regarding Fetal Alcohol Spectrum Disorder Prevention Campaigns to Inform Effective and Non-Stigmatizing Approaches in Northeastern Ontario.
  • Sciences, génie et architecture : Meghan McCue (Ph.D. Biomolecular Sciences), Exploring the effect of cancer and chemotherapy on skeletal muscle.
  • Arts : Jennifer Dufoe (M.A. Psychology), The Efficacy of Mobile Mental Health Applications (mHealth apps) in Reducing Symptoms of Anxious and Depressive Distress in a University Population, et Luc Huneault (M.A. Psychology), The Effects of Different Message Frames on COVID-19 Vaccine Beliefs.
  • Exposé à contenu autochtone : Katherine Snazel (M. Indigenous Relations), Indigenous Authorship: towards understanding the intersections in inter-Indigenous science fiction and fantasy.

La gagnante du Concours de thèse en 3 minutes (3MT), Victoria Camp, a été choisie par les juges bénévoles du corps professoral et participera à la finale provinciale à l’Université Queen’s, le 17 mai 2023, où elle prononcera, Victoria Camp (M. Science Communication), « Exploring public opinion of tailings practitioners through Facebook comments on digital news media ».

« J’ai beaucoup apprécié participer au concours 3MT, a expliqué Victoria Camp, car j’ai dû ressortir que les éléments essentiels de ma recherche, me permettant ainsi de formuler un bref argumentaire soulignant l’importance de ce travail. Je me réjouis de pouvoir partager mon exposé au concours provincial en mai et de faire valoir le travail que j’accomplis à la Laurentienne. »

Feu sacré pour honorer les membres de la population étudiante, du personnel et du corps professoral.

Feu sacré pour honorer les membres de la population étudiante, du personnel et du corps professoral.

Des leaders étudiants témoignent de leur confiance envers l’Université Laurentienne.

(6 avril 2023) - À l’approche de la fin du semestre, les étudiants de l’Université Laurentienne commenceront très bientôt leurs examens finaux. Depuis le début de l’année universitaire, la communauté de la Laurentienne a fait face à beaucoup d’adversité dans le cadre du processus de la LACC. Au cours de cette période, la communauté universitaire a vu de nombreux membres de la population étudiante, du personnel et du corps professoral partir à la recherche de nouvelles possibilités. Nombre de ceux-ci ont toutefois choisi de rester, d’aider nos étudiants à réussir et de s’entraider.

Pour souligner le travail ardu de la population étudiante, du corps professoral et du personnel pendant l’année universitaire 2022-2023 et pour « Ishkode » (raviver le feu dans votre cœur), on organisera un feu sacré pendant quatre jours. Cet événement se déroulera du premier jour de la période d’examens d’hiver, le 11 avril, au 14 avril 2023, de 9 h à 16 h, à l’extérieur de la salle ronde du Centre autochtone de partage et d’apprentissage. Tout le monde est le bienvenu.

Les étudiants de la Laurentienne ont choisi de rester inspirés et confiants quant au brillant avenir de la Laurentienne tout au long de ces difficultés. Voici quelques leaders étudiants et leurs opinions positives sur les années à venir :

Avery Morin est en troisième année de neurosciences comportementales et du programme concomitant d’éducation de Sudbury, en Ontario. Elle est présidente de l’Association générale des étudiants. « Je crois au brillant avenir de la Laurentienne en raison des possibilités incroyables que notre université peut offrir. En tant que leader étudiante, je suis devenue une défenseuse passionnée des étudiants du monde entier et je suis très reconnaissante des expériences que la communauté de la Laurentienne m’a offertes. »

Emily Appadoo est en première année de sciences infirmières de Chambly, au Québec. Elle est spécialiste au sein du programme de bien-être par les pairs de l’UL. « Je crois de tout cœur au brillant avenir de l’Université Laurentienne. Malgré les récents défis, notre communauté est toujours solide grâce à sa résilience et à sa détermination. Je suis convaincue que l’UL atteindra dans un proche avenir de grands objectifs en raison du dévouement du corps professoral et du personnel et du dynamisme de la population étudiante. »

Meghan McCue est doctorante en sciences biomoléculaires de Sudbury, en Ontario. Elle est présidente de l’Association des étudiants des cycles supérieurs. « Au cours des dernières années, les passionnés de la Laurentienne ont persévéré et ont continué d’embellir les choses jour après jour. En tant qu’étudiante, c’est formidable de revoir des visages heureux sur le campus, d’assister à des événements étudiants et de représenter la Laurentienne lors d’événements sportifs et de conférences. En tant que leader étudiante, je suis toujours impressionnée par ce que nos étudiants accomplissent pendant leur séjour ici et au-delà. Les diplômés de la Laurentienne comptent parmi les personnes les plus prospères que je connais. »

Darshan Shah est en quatrième de génie mécanique d’Ahmedabad, en Inde. Il est ambassadeur étudiant au Service de liaison et un compétiteur des Jeux miniers canadiens. « L’Université Laurentienne a une longue tradition en matière d’enseignement et de recherche de haute qualité dans divers domaines. Elle a une population étudiante diversifiée et des avantages uniques comme son emplacement et l’accent mis sur les études autochtones. L’Université a pris des mesures pour restructurer ses activités et émerger avec un nouveau plan financier axé sur le renforcement des programmes universitaires, l’augmentation des inscriptions et l’amélioration des activités de recherche. Ces facteurs suggèrent que l’Université Laurentienne a le potentiel d’un brillant avenir. »

Conditions météorologiques défavorables

Conditions météorologiques défavorables

5 avril, 2023

Aux membres de la communauté,

Étant donné les graves intempéries à Sudbury, l’Université Laurentienne encourage les membres du corps professoral à donner leurs cours à distance dans la mesure du possible aujourd’hui (à la discrétion de chacun) et recommande aux employés qui sont capables de faire du télétravail de rester à la maison.

L’Université est ouverte.

Profil : Un étudiant en service social fait des efforts supplémentaires pour l’inclusivité sur le campus.

Profil : Un étudiant en service social fait des efforts supplémentaires pour l’inclusivité sur le campus.

Étudiant du programme travail-études à Fierté Laurentienne, Sam Bénard-Barry, est fier de défendre ses pairs.

(4 avril 2023) - Sam Bénard-Barry est un leader étudiant et un défenseur déterminé de ses pairs.

Sam Bénard-Barry est un étudiant queer, francophone et anishinaabe-algonquin inscrit en quatrième année au programme de Service social de l’Université Laurentienne. Originaire de Sudbury, en Ontario, Sam est également diplômé de l’École secondaire catholique l’Horizon (2019). En tant que président du Cercle des étudiants autochtones, membre de l’Équipe d’action « Le consentement est simple » de la Laurentienne et membre fondateur des Étudiants pour la coalition de l’action sociale, il va sans dire que Sam est un membre actif de la communauté universitaire.

En participant au programme travail-études à Fierté Laurentienne, Sam a la possibilité de suivre sa passion pour l’engagement en représentant la communauté queer sur le campus et au sein du Grand Sudbury. Avant d’occuper ce poste rémunéré, Sam a été étudiant bénévole pendant deux ans.

Fierté Laurentienne est un centre de ressources pour la communauté queer et l’un des nombreux services aux étudiants offerts sur le campus. Les ressources et les activités de sensibilisation et de plaidoyer de Fierté Laurentienne sont rendues possibles grâce à des partenaires comme les Services de santé et de bien-être de l’UL, Sudbury Pride, Réseau Access Network et Black Lives Matter Sudbury. En affiliation avec le Bureau de l’équité, de la diversité et des droits de la personne, les étudiants bénévoles de Fierté Laurentienne organisent de nombreux événements passionnants tout en offrant un espace sécuritaire. Se réunissant récemment en équipe, une semaine entière d’événements sur le campus a été consacrée aux objectifs d’équité, de diversité et d’inclusion. Par exemple, le Centre étudiant a organisé le 24 mars une activité où de nombreux étudiants se sont amusés et ont rencontré de nouveaux amis au Pride Prom.

« Une grande partie du travail que je fais pour Fierté Laurentienne est intersectionnelle puisque je suis un étudiant queer, francophone et autochtone. J’essaie de trouver un moyen d’intégrer ces communautés afin que tout le monde puisse coexister. En tant que personne queer et de genre non conforme, mon expérience est essentielle pour apporter un changement positif. »

Fierté Laurentienne est actuellement à la recherche de bénévoles. « Je pense que faire du bénévolat pour Fierté Laurentienne est une excellente occasion pour les étudiants de participer à des activités et de s’épanouir sur le plan personnel, a dit Sam. Le bénévolat et les relations que vous créez au sein du groupe permettent d’établir des liens d’amitié et des réseaux. »

Les personnes désirant faire du bénévolat pour Fierté Laurentienne peuvent communiquer avec ce service sur Instagram ou à pride@laurentienne.ca.

« Avoir un sentiment de communauté sur le campus a été important pour moi, a déclaré Sam. Cela m’intéresse grandement de sensibiliser les gens et de défendre les intérêts dans un grand éventail de sujets qui favorisent l’inclusivité. Je suis grandement fier de le faire. »

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