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Durabilité

Vue d’ensemble

L’Université Laurentienne tient à promouvoir une culture solide de la durabilité. En 2009, notre recteur et vice-chancelier a signé l’engagement du Conseil des universités de l’Ontario (Ontario Universities Committed to a Greener World) donnant ainsi la preuve de notre volonté d’accepter la responsabilité énoncée comme suit : « aider à trouver des solutions aux défis de la durabilité environnementale, diffuser les connaissances sur la durabilité et le changement climatique et incorporer, autant que possible, les principes de durabilité dans nos propres activités ».

Les initiatives prises à l’Université Laurentienne au chapitre de la durabilité sont menées et réalisées, en collaboration et comme preuve d’engagement, par des membres du corps professoral, de la population étudiante et du personnel. Notre mission est de promouvoir la gérance environnementale au nom de la communauté universitaire dans l’espoir de bâtir en continu un avenir où, parce que durable, il est toujours possible d’apprendre, de travailler, de vivre et de jouer.

Quoi de neuf?

 

Recyclez vos téléphones cellulaires à la Bibliothèque J.N. Desmarais ou au Centre Techno pour aidez le zoo de Toronto à protéger les gorilles et leur habitat. En recyclant votre téléphone cellulaire, vous réduirez la demande de coltan, un minéral utilisé dans la fabrication de téléphones cellulaires. L’exploitation minière de coltan a lieu en Afrique centrale et elle affecte l’habitat des gorilles et d’autres espèces.

L’Université Laurentienne s’est jointe au nombre croissant de signataires de l’Appel de Paris, émis le 16 décembre 2015, et s’engage ainsi à soutenir toute action pour réduire immédiatement les émissions de gaz et à respecter voire dépasser le niveau d’ambition énoncé par l’accord adopté à la récente COP21. L’Université Laurentienne est parmi les premières universités canadiennes à signer l’appel.

Selon l’organisme l’Appel de Paris (www.parispledgeforaction.org), cet engagement présente « une occasion unique pour les acteurs non étatiques de voir reconnaître leur leadership en matière de climat dans le contexte de la COP21. » Les signataires « saluent l’adoption, à la COP21 à Paris, d’une nouvelle entente universelle pour le climat, qui s’avère une étape clé pour nous aider à régler le problème du changement climatique. Nous nous engageons à apporter notre appui pour que soit respecté, même dépassé, le niveau visé par l’accord. Ainsi, nous prendrons collectivement et individuellement, dès maintenant, des mesures concrètes sans attendre l’entrée en vigueur de l’entente en 2020, afin de ramener les émissions de gaz à effet de serre à des niveaux acceptables et de développer une résistance aux effets néfastes qui ont lieu déjà. »

L’Université Laurentienne se joint à plus de 1 000 villes, conseils municipaux et régionaux, compagnies, investisseurs, groupes de la société civile, organismes syndicaux et signataires divers de partout dans le monde pour favoriser un avenir stable, durable et moins pollué par le carbone afin de limiter la hausse des températures mondiales à moins de 2° Celsius.

« Notre établissement est fier de ses nombreuses réalisations axées sur la durabilité jusqu’à présent, a dit la gestionnaire de l’énergie et de la durabilité à la Laurentienne, Mme Kati McCartney, grâce à des innovations de recherche mettant au point des technologies dont le monde a besoin et à des modifications apportées à notre fonctionnement quotidien tout simplement pour réduire l’empreinte de carbone. La signature de cet accord est une preuve de plus de notre engagement et nous espérons qu’elle inspirera les autres et les motivera à le signer également. »

« Que ce soit des recherches sur l’écologie des lacs, la surveillance du changement climatique ou le projet de reverdissement reconnu mondialement, a ajouté le recteur et vice-chancelier de la Laurentienne, M. Dominic Giroux, l’Université Laurentienne s’est affirmée comme chef de file dans les sciences environnementales et la durabilité. Nous maintenons notre engagement afin d’accélérer les mesures transformatives qui s’imposent pour adresser les défis du changement climatique. »

3 juillet 2014 – La nouvelle École de l’environnement, que le Sénat de l’Université Laurentienne a approuvée plus tôt cette année, a ouvert ses portes avec pour noyau un corps enseignant de treize professeurs auquel s’ajouteront bientôt, par voie de nomination conjointe, treize autres issus d’autres unités. L’École regroupe cinq programmes existants : Environmental StudiesEnvironmental Science, Études de l’environnement, Science Communication et Archaeology. Forte de son cursus, l’École contribuera aux programmes d’études offerts par d’autres unités et collaborera avec le Centre pour la vitalité des lacs Vale et d’autres centres de recherche, notamment le Centre d’écologie évolutionniste et de conservation éthique (CEECE).

D’autre part, l’École aidera à consolider et à renforcer l’expertise et la réputation de l’Université dans tous les domaines liés à l’environnement comme le souligne son premier directeur, M. Brett Buchanan(Ph.D).

« L’École marque vraiment une étape importante et une progression naturelle pour l’Université Laurentienne et le Grand Sudbury, a dit M. Buchanan. Notre expertise environnementale, assisse dans cette collectivité, est reconnue dans le monde entier, et la Laurentienne possède un groupe de professeurs et de chercheurs qui sont des chefs de file dans les études et les sciences de l’environnement. L’École permettra de mettre en valeur nos atouts uniques dans ce domaine et d’offrir à nos étudiants à Sudbury et à Barrie de meilleures possibilités d’apprentissage. »

« L’École offre des possibilités de synergie et de collaboration qui nous propulseront vers l’avant en tant que centre d’innovation aussi bien dans l’enseignement que dans la recherche, a indiqué le doyen de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture, M. Osman Abou-Rabia. Elle nous avance aussi vers notre objectif inscrit au Plan stratégique, à savoir la reconnaissance nationale accrue de nos forces distinctives. »

« Notre société doit s’attaquer à des questions environnementales capitales et d’envergure, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Il est donc logique que la Laurentienne se dote d’une École à la hauteur des enjeux et capable d’animer les efforts essentiels dans la recherche et l’action environnementale. »

Le lancement officiel de l’École de l’environnement se tiendra le 17 septembre 2014.

L’Université Laurentienne se réjouit d’être membre de l’Association for the Advancement of Sustainability in Higher Education (AASHE), une qualité qui, bien que nouvellement acquise, lui permettra de se mailler à plus de 800 autres établissements d’enseignement supérieur en Amérique du Nord pour partager les meilleures pratiques et mesurer leurs progrès en matière de durabilité. Comme ses homologues soucieux de promouvoir la gérance environnementale, l’Université Laurentienne reconnaît sa responsabilité envers la prochaine génération arrivant sur le marché du travail et, pour réussir à cet effort mené au moyen de ses pratiques de base - enseignement, recherche et activités - entend s’appuyer sur la précieuse ressource qu’est l’AASHE.

Durabilité à l’UL

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