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La régime alimentaire urban est lié à l'obésité et à la glycémie élevée chez les ratons laveurs

La régime alimentaire urban est lié à l'obésité et à la glycémie élevée chez les ratons laveurs

L’Université Laurentienne examine les conséquences des déchets alimentaires des humains sur la faune

Les ratons laveurs qui vivent dans les régions urbaines se régalent de nos restes et en subissent les conséquences. Des chercheurs de l’Université Laurentienne ont trouvé que l’accès aux déchets alimentaires des humains augmente la masse corporelle et la glycémie dans les populations de ratons laveurs.

L’étude, publiée récemment dans la revue Conservation Physiology, a été dirigée par Albrecht I. Schulte-Hostedde, professeur en écologie évolutionnaire à l’Université Laurentienne, en collaboration avec le professeur adjoint Jeffrey Gagnon, chercheur sur l’obésité et les maladies métaboliques.

« Du point de vue évolutionnaire, les environnements urbains sont de nouveaux habitats pour les ratons laveurs, a déclaré M. Schulte-Hostedde. Nous voulons voir s’ils connaissent les mêmes problèmes que les humains, c.-à-d., l’obésité, le diabète, un syndrome métabolique. »

« La Laurentienne compte de nombreux biologistes de la vie sauvage et des écologistes, a expliqué M. Gagnon. Cette étude en collaboration m’a permis de fournir de l’expertise sur les effets métaboliques de la prise de poids découlant d’un régime alimentaire riche en gras et en sucre. »

L’étude a consisté à comparer des données provenant de trois groupes de ratons laveurs : ceux qui ont un grand accès à des déchets alimentaires d’humains et qui vivent sur le terrain du zoo de Toronto; ceux qui vivent dans une zone de conservation et ont un accès modéré à des déchets; ceux qui vivent dans une zone agricole et ont peu accès à des déchets alimentaires. Les résultats sont clairs : en raison de la grande consommation d’aliments d’humains, les ratons laveurs urbains affichent non seulement un excès de poids, mais ont aussi une glycémie élevée.

L’étude a en outre été menée dans le cadre de la thèse de premier cycle en biologie de Mlle Zvia Mazal, étudiante en quatrième année. « La publication d’un article sélectionné par un comité de lecture si tôt dans sa carrière est une réussite importante, a indiqué M. Gagnon, et témoigne de la qualité de nos étudiants et de nos programmes. »

Mme Claire Jardine, vétérinaire et professeure agrégée à l’Université de Guelph, a aussi participé à l’étude.

« La prochaine étape, a ajouté M. Schulte-Hostedde, serait d’explorer l’effet éventuel des aliments d’humains sur les ratons laveurs dans une perspective évolutionnaire. Restez à l’écoute. »

L’Université Laurentienne nomme le vice-recteur associé à l’enseignement et aux affaires francophones

L’Université Laurentienne nomme le vice-recteur associé à l’enseignement et aux affaires francophones

L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de M. Yves Pelletier

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé à l’unanimité la nomination de M. Yves Pelletier, Ph. D., au poste de vice-recteur associé à l’enseignement et aux affaires francophones pour un mandat renouvelable de cinq ans, à compter du 1er août 2018.

« M. Pelletier est un dirigeant chevronné et penseur stratégique du secteur postsecondaire, a indiqué le vice-recteur intérimaire aux études, M. Serge Demers, Ph. D., qui s’engage manifestement à améliorer l’offre et la qualité de programmes d’études de langue française. Il apporte à ce rôle une expérience appréciable, une expertise confirmée et des qualités incomparables de leader. »

Né et élevé à Sudbury, M. Pelletier a contribué considérablement au secteur postsecondaire au cours des vingt dernières années. Depuis 2013, il collabore directement avec des établissements postsecondaires au Canada pour appuyer des nouvelles directions stratégiques et diriger une gestion inclusive et participative du changement ainsi que des processus de planification commerciale. À titre de sous-ministre adjoint de l’enseignement postsecondaire au Nouveau-Brunswick, il a géré l’ensemble du secteur. En outre, il a mis à l’épreuve, pour la Fondation canadienne des bourses d’études du millénaire, des pratiques prometteuses pour écarter les obstacles à l’accès aux études postsecondaires. Au Conseil de recherches en sciences humaines, il a assuré la promotion de la recherche universitaire et l’expansion des possibilités de recherche. M. Pelletier a siégé à de nombreux conseils et comités en enseignement postsecondaire, dont le Conseil des ministres de l’Éducation du Canada, le Consortium national de la formation en santé et la Commission de l’enseignement supérieur des provinces maritimes. Il est titulaire de grades de premier cycle de l’Université Laurentienne et de l’Université d’Ottawa, d’une maîtrise de l’Université d’Ottawa et d’un doctorat en histoire de l’Université Queen’s. Il a siégé au Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne et au Comité de direction de l’Association des anciens de l’Université Laurentienne.

« J’ai bien hâte de retourner à Sudbury pour me joindre à l’équipe dynamique de la Laurentienne, a dit M. Pelletier. Cette possibilité est un honneur et je remercie l’Université de m’avoir confié la direction de ce dossier important. »

La nomination de M. Yves Pelletier a fait l’objet d’une recommandation à la suite d’un processus exhaustif de recrutement par un comité composé de douze membres du Conseil, du corps professoral, de la population étudiante et de l’administration.

Le doyen de la Faculté des études supérieures, M. David Lesbarrères, Ph. D., exerce depuis le 1er août 2017 les fonctions intérimaires de vice-recteur associé à l’enseignement et aux affaires francophones. « Au nom de l’Université, je tiens à remercier M. Lesbarrères d’avoir assumé ces responsabilités supplémentaires depuis un an, a ajouté M. Demers. Grâce à ses efforts, ce secteur a pu continuer à promouvoir le rayonnement et l’essor de la francophonie à la Laurentienne et ailleurs. »

L’Université Laurentienne nomme la vice-rectrice associée à l’apprentissage et à l’enseignement

L’Université Laurentienne nomme la vice-rectrice associée à l’apprentissage et à l’enseignement

L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de Mme Shelley Watson

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé à l’unanimité la nomination de Mme Shelley Watson, Ph. D., au poste de vice-rectrice associée à l’apprentissage et à l’enseignement pour un mandat renouvelable de cinq ans, à compter du 1er juillet 2018.

« Mme Watson connaît bien la communauté et la culture de la Laurentienne, a dit le vice-recteur intérimaire aux études, M. Serge Demers, Ph. D., et a apporté d’importantes contributions au fil des ans pour que l’Université soit un établissement de premier plan en matière d’excellence en enseignement. Je suis très heureux d’annoncer officiellement cette nomination. »

En juillet 2007, Mme Watson a été nommée professeure adjointe au Département de psychologie de l’Université Laurentienne, où elle a obtenu la permanence en 2011. Elle a reçu le Prix d’excellence en enseignement en 2016 et a été promue au rang de professeur titulaire l’année suivante. Elle a été doyenne intérimaire de la Faculté des études supérieures en 2016, coordonnatrice du programme de maîtrise interdisciplinaire en santé et membre du comité directeur du Plan stratégique 2018-2023 de l’Université Laurentienne. Mme Watson a obtenu un doctorat en psychologie éducationnelle de l’Université d’Alberta en 2008 et une M.Ed. en enseignement et apprentissage de l’Université Brock. Elle préside actuellement le groupe d’intérêt commun sur la recherche de l’Ontario Association on Developmental Disabilities et siège au conseil du CERD de Sudbury-Manitoulin.

En qualité de vice-rectrice associée intérimaire à l’apprentissage et à l’enseignement, Mme Watson a dirigé pendant la dernière année plusieurs initiatives clés, dont la création du Carrefour d’apprentissage, l’organisation du premier jour de l’enseignement et de l’apprentissage de l’Université et l’établissement du programme de professionnels en enseignement en résidence.

« À l’Université Laurentienne, l’enseignement et l’apprentissage nous définissent, a dit Mme Watson. Je m’enorgueillis de continuer à jouer un rôle de leader tant à la Laurentienne qu’au Centre d’excellence universitaire, en favorisant et appuyant l’enseignement de grande qualité et en assurant des expériences d’apprentissage du plus haut calibre aux membres de la population étudiante. »

La nomination de Mme Shelley Watson a fait l’objet d’une recommandation à la suite d’un processus exhaustif de recrutement par un comité composé de douze membres du Conseil, du corps professoral, de la population étudiante et de l’administration.

L’Université Laurentienne investit dans son plan stratégique

L’Université Laurentienne investit dans son plan stratégique

Le Conseil des gouverneurs approuve le budget de fonctionnement de l’Université pour 2018-2019

Le Conseil des gouverneurs de la Laurentienne a approuvé un budget de fonctionnement de 160 700 000 $ pour 2018-2019. Établi à la suite d’un rigoureux processus de consultation, le budget compte une hausse de 3 200 000 $ par rapport à l’an dernier en raison d’une augmentation des investissements prioritaires touchant le Plan stratégique 2018-2023 de la Laurentienne, intitulé Together. Ensemble. Maamwii.

En outre, l’Université Laurentienne aura un déficit jusqu’à concurrence de 4 400 400 $ en 2018-2019, mais prévoit le retour à un budget équilibré d’ici 2019-2020.

« L’évolution démographique s’est traduite par une diminution des inscriptions, a expliqué la vice-rectrice à l’administration, Mme Lorella Hayes, et nous avons formulé des stratégies pour contrecarrer la tendance. Puisqu’une baisse de neuf pour cent de la population âgée de 20 à 24 ans est prévue d’ici 2023, l’Université Laurentienne a dû prendre des décisions ciblées pour maintenir le cap dans les années à venir. »

Le Conseil a autorisé un déficit budgétaire temporaire afin de faciliter les investissements critiques dans le Plan stratégique et d’en permettre d’autres pour soutenir la croissance future. « Nous nous concentrerons davantage sur le recrutement de membres de la population étudiante dans tous les domaines, a ajouté Mme Hayes, et leur offrirons un enseignement complet qui les préparera après les études à la Laurentienne. »

L’adoption d’un nouveau processus budgétaire plus transparent et inclusif était essentielle à l’élaboration de propositions budgétaires conformes aux priorités stratégiques de l’Université tout en favorisant sa viabilité à long terme.


Des investissements seront faits pour :

  • améliorer les services de santé mentale pour la population étudiante, le corps professoral et le personnel;
  • accroître l’appui apporté aux stratégies de recrutement et de persévérance;
  • augmenter les ressources pour les programmes agréés ainsi que les services offerts en français;
  • continuer de fournir des possibilités d’apprentissage par des expériences réelles pour la population étudiante;
  • apporter un soutien additionnel aux programmes autochtones;
  • améliorer par la technologie les services à la population étudiante; et
  • prêter un soutien au Centre d’excellence universitaire afin de rehausser la réussite de la population étudiante et du corps professoral.
     

L’Université inaugurera le nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff Fielding avant le début du trimestre d’automne et décernera cette année les premiers diplômes de maîtrise en architecture et de maîtrise en communication scientifique, le seul programme de maîtrise du genre au Canada. La Laurentienne, dont la moyenne d’admission est passée de 80,8 % à 82,6 % au cours des huit dernières années, est au premier rang des universités similaires en matière de financement de la recherche et enregistre toujours les meilleurs taux d’emploi après l’obtention du diplôme parmi les universités ontariennes.

« L’Université Laurentienne mise sur ses réussites et aborde l’avenir avec un dynamisme nouveau, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim, M. Pierre Zundel, Ph. D. Depuis le lancement de notre nouveau Plan stratégique, nous mettons plus que jamais l’accent sur les possibilités de collaboration qui tirent parti de nos atouts actuels en enseignement et recherche. Nous nous engageons à créer des initiatives favorables pour le Nord, à ouvrir des possibilités d’apprentissage par l’expérience pour nos étudiants et à apporter une contribution importante au processus de réconciliation, comme en fait foi ce nouveau budget. »

Renouvellement du mandat du chancelier de l’Université Laurentienne

Renouvellement du mandat du chancelier de l’Université Laurentienne

Steve Paikin de TVO exercera un deuxième mandat à titre de chancelier jusqu’en 2021

L’Université Laurentienne a approuvé à l’unanimitél e renouvellement du mandat de M. Steve Paikin à titre de chancelier pour une période de trois ans, à compter du 1er juillet 2018.

En 2013, M. Steve Paikin a été nommé le deuxième chancelier de l’Université Laurentienne pour un mandat de cinq ans. Depuis ce temps, il a présidé à cinq reprises le Parlement modèle de la Laurentienne dans la Chambre des communes, tout en représentant l’Université dans beaucoup de fonctions honoraires. Il a en outre présidé de nombreuses cérémonies de collation des grades et les participants ont exprimé de maints éloges à l’égard de ses interactions sur la scène avec les nouveaux diplômés.

« C’est pour moi un grand honneur qu’on me demande d’exercer un deuxième mandat comme chancelier de l’Université Laurentienne, établissement dont la population étudiante, le corps professoral, le personnel et les diplômés contribuent considérablement à un monde plus sain, durable et inclusif, a indiqué M. Paikin. Je suis déterminé à collaborer avec les membres compétents du Conseil des gouverneurs et du Sénat et les nombreux partenaires et champions de l’Université pour rehausser et façonner les prochaines années à la Laurentienne. »

Journaliste, auteur, réalisateur de documentaires et personnalité reconnue de la télévision canadienne, M. Paikin a attiré l’attention nationale sur l’Université Laurentienne. Il est chef d’antenne-directeur principal de l’émission d’actualité The Agenda with Steve Paikin à TVO, qui a souvent recours à l’expertise de l’Université Laurentienne.

M. Paikin est titulaire de doctorats honorifiques de l’Université Laurentienne, de l’Université Victoria à l’Université de Toronto, de l’Université McMaster et de l’Université York et de diplômes honorifiques des collèges Humber, Centennial et Mohawk. En 2012, on a décerné à M. Paikin une Médaille du jubilé de la Reine pour souligner ses contributions marquantes à la société canadienne. En décembre 2013, il a été nommé officier de l’Ordre du Canada pour ses contributions à titre de journaliste qui informe et instruit ses spectateurs et les fait participer à tout un éventail de questions liées à la politique publique, et en 2014, il a été intronisé à l’Ordre de l’Ontario. Il est l’auteur de sept livres.

« Nous sommes fiers que M. Paikin soit le chancelier de l’Université Laurentienne et heureux qu’il ait accepté d’accomplir un deuxième mandat, a dit la présidente du Conseil des gouverneurs de l’UL, Mme Jennifer Witty. M. Paikin incarne les valeurs communes définies dans notre Plan stratégique Ensemble. Together. Maamwi et nous nous réjouissons à la perspective de son leadership soutenu en qualité d’ambassadeur de la Laurentienne. »

Journée nationale des peuples autochtones

Journée nationale des peuples autochtones

Message de Pamela Toulouse, vice-rectrice associée intérimaire à l’enseignement et aux programmes autochtones

La Journée nationale des peuples autochtones est l’occasion de célébrer et de souligner nos réussites, mais aussi de réfléchir afin de recenser les défis qui se posent encore.

La Laurentienne se fait un devoir d’observer les principes de la vérité et de la réconciliation, et son nouveau Plan stratégique reflète ceci de diverses façons. Un de nos cinq principaux atouts est le fait autochtone et notre engagement envers les principes établis par la Commission de vérité et réconciliation du Canada (CVR). Les objectifs incluent l’amélioration des relations avec les communautés autochtones, la mise en œuvre des appels à l’action de la CVR, des recherches qui améliorent le mino-bimaadziwin et l’offre d’une formation linguistique en anishinaabemowin au corps professoral, au personnel et à la population étudiante.

La Laurentienne est l’une des premières universités canadiennes à avoir créé un poste de cadre consacré aux questions autochtones. Cet engagement permanent envers le renforcement de la capacité s’est traduit par le recrutement de 25 membres autochtones du corps professoral. Nous sommes également fiers que notre population étudiante compte environ 1 100 étudiants qui se disent autochtones.

La Laurentienne est un chef de file en matière de programmes d’études autochtones. Nous avons un programme unique de maîtrise en relations autochtones fondé sur la communauté, et toute personne qui obtient un BA doit avoir obtenu au moins six crédits dans des cours à contenu principalement autochtone.

Aujourd’hui est le premier anniversaire de l’ouverture du Centre autochtone de partage et d’apprentissage qui accueille des étudiants autochtones et allochtones de la Laurentienne. C’est un lieu culturellement pertinent construit selon le concept du wigwam anishinabe traditionnel. Il se trouve à l’entrée du campus et rappelle que notre université se trouve sur un territoire traditionnel.

L’École d’architecture McEwen est fièrement dirigée par M. David Fortin, le premier directeur autochtone d’une école d’architecture au Canada. Son travail est actuellement exposé bien en vue à la Biennale d’architecture de Vienne. Il est important de souligner que, dans quelques années, les diplômés de l’École feront doubler le nombre d’architectes autochtones au Canada.

L’Institut de recherche Maamwizing de la Laurentienne se consacre à la création de partenariats avec les communautés autochtones. Il repose sur les principes du respect et de la réciprocité et est guidé par des membres autochtones du corps professoral. Il organisera sa deuxième conférence en novembre 2018 sur le thème « Mener des recherches de la bonne façon ».

Il est essentiel que la Journée nationale des autochtones devienne une plateforme à partir de laquelle nous envisageons l’avenir ensemble, disons nos vérités et écoutons honnêtement. C’est la seule façon d’effectuer des changements vitaux pour tout le monde.

La Laurentienne recrute une étoile montante locale au sein de sa nouvelles équipe de baseball

La Laurentienne recrute une étoile montante locale au sein de sa nouvelles équipe de baseball

Cet automne, l’étudiante de 17 ans de la St. Benedict Catholic Secondary School, Julia Jodouin, entrera dans l’histoire des Sports universitaires de l’Ontario (SUO) à titre de deuxième, et plus jeune, athlète féminine à jouer au sein d’une équipe masculine de baseball. Ayant accepté l’offre d’admission au baccalauréat en sciences infirmières de la Laurentienne, Julia se joindra à l’équipe à titre de lanceuse.

« Continuer de jouer à la balle était l’une de mes principales motivations en acceptant l’offre de l’UL, a dit Julia. J’ai hâte d’entreprendre cette étape de ma vie à la Laurentienne pour me consacrer à deux choses qui me tiennent à cœur – les soins infirmiers et le baseball. J’ai bien hâte au mois de septembre! »

Grâce à ses réussites au baseball, elle a été digne d’une place au sein de l’équipe masculine itinérante pee-wee des Shamrocks de Sudbury et s’est ensuite jointe à l’équipe féminine 16U de l’Ontario pour deux saisons. Pendant un été, elle a joué au baseball et à la balle molle avec l’équipe d’or 16U des Ghosts de Waterloo, allant avec elle jusqu’aux championnats nationaux. Comme membre de l’équipe féminine 21U de l’Ontario, elle a été nommée joueuse la plus utile (JPU) et joueuse étoile de premier but.

Julia continue de mettre en évidence ses aptitudes exemplaires sur tous les plans et s’est même vue accorder une place parmi l’équipe féminine nationale qui affrontera, pendant l’été 2017, l’équipe américaine dans le cadre d’une série de perfectionnement.

« Julia Jodouin est une excellente joueuse, a affirmé l’entraîneur de l’équipe masculine de baseball de la Laurentienne, Brodie Jeffery. Cette athlète de calibre relève la barre pour chaque membre de l’équipe. Pour monter un programme de baseball de A à Z, il faut des athlètes qui savent bien jouer afin d’assurer un solide fondement. Julia est un talent indispensable et se distingue tant par persévérance que par son engagement indéfectible envers le sport. »

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Notre propre récolte : Une école d’été plante les graines de la recherche sur la santé des autochtones

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La Laurentienne est l’hôte de l’école d’été du Réseau de mentorat autochtone de l’Ontario

Aujourd’hui, des étudiants des cycles supérieurs de tout l’Ontario assisteront à une séance d’apprentissage sans pareil. En effet, du 11 au 15 juin, l’Université Laurentienne sera l’hôte de la toute première école d’été du Réseau de mentorat autochtone (RMA) de l’Ontario, le premier réseau de formation sur la recherche en santé dirigé par des autochtones.

Cette école d’été est offerte à 25 étudiants des cycles supérieurs qui participent à des recherches communautaires sur la santé des autochtones, et s’adresse principalement à ceux qui étudient ou planifient de travailler dans des contextes nordiques.

RMA-Ontario apprécie l’importance des travaux savants menés par les autochtones et en collaboration et a établi la priorité d’activités qui renforceront et encourageront les possibilités d’apprendre avec la communauté et d’en tirer des enseignements.

L’école d’été regroupe des étudiants, des praticiens, des gardiens du savoir autochtone et des chercheurs et vise à renforcer les compétences, les capacités et les connaissances nécessaires pour effectuer des recherches fructueuses et respectueuses avec des communautés autochtones. Elle a pour but d’améliorer la présence autochtone et le sentiment d’appartenance dans le domaine de la recherche autochtone en intégrant des connaissances et des enseignements traditionnels autochtones, et en encourageant la participation communautaire.

Cette école constituera une plateforme à partir de laquelle les étudiants pourront établir des réseaux de collaboration qui feront partie intégrante de leurs recherches et de leur perfectionnement professionnel.

 

À propos du RMA

RMA-Ontario est un programme de formation en santé de cinq ans, financé par les Instituts de recherche en santé du Canada, qui fournit aux chercheurs et stagiaires autochtones du mentorat de haute qualité, de la formation et des possibilités de participer aux recherches sur la santé des autochtones.

Ce programme est une collaboration interdisciplinaire faisant entrer en jeu treize établissements ontariens de recherche, y compris les principaux chercheurs et centres de recherche en santé des autochtones de la province.

Régi par une structure infrarégionale qui englobe le nord, le centre et l’est de l’Ontario, il est guidé par un conseil communautaire consultatif et des aînés qui l’aide à s’acquitter de sa mission, à savoir, servir les besoins et les capacités communautaires en matière de recherche.

Renseignements sur le programme : https://m.facebook.com/OntarioIMN/ et http://imnp.uwo.ca/

La Laurentienne rendra hommage à deux éminents Canadiens lors des cérémonies de collation des grades du printemps 2018

La Laurentienne rendra hommage à deux éminents Canadiens lors des cérémonies de collation des grades du printemps 2018

Un physicien lauréat du Prix Nobel et une grande dirigeante d’entreprise recevront un titre honorifique

L’Université Laurentienne conférera un titre honorifique à deux personnes exceptionnelles lors des cérémonies de collation de grades du printemps 2018, à Sudbury.

« Chaque année, nous rendons hommage à des Canadiens hors pair qui sont chefs de file de leur domaine respectif, a dit le chancelier de l’Université Laurentienne, M. Steve Paikin. Nos lauréats de titres honorifiques sont des personnes très talentueuses et engagées qui sont une source d’inspiration pour notre population étudiante, notre corps professoral, nos chercheurs et notre personnel. »

« Les contributions et réalisations de ces personnes extraordinaires ont touché tellement de vies, a ajouté le recteur de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel. Grâce à leur leadership, ils nous servent de modèles et nous nous réjouissons de les accueillir dans notre famille d’anciens de la Laurentienne. »

 

Les deux lauréats de titre honorifique sont :

Nicole Boivin

(mardi 29 mai, à 10 h, à Sudbury)

Dirigeante bilingue d’entreprise et diplômée de la Laurentienne, Mme Nicole Boivin a acquis plus de 30 ans d’expérience dans les services financiers et de télécommunications et les secteurs publics et sans but lucratif. En plus d’être experte-conseil stratégique auprès de conseils et de dirigeants devant cadrer avec des perturbations et modifications de leadership et de stratégie, elle est aussi chargée de cours à la Schulich School of Business de l’Université York et conseillère auprès de DGC Capital, société de capital-risque. Elle siège actuellement aux conseils de l’entreprise privée RES PUBLICA et de la société ouverte Supremex et a auparavant été membre des conseils de l’Ontario Power Generation, Brampton Distribution Holdco, Passeport pour ma réussite et Harbourfront Centre.

Au cours d’une carrière de quatorze ans à Manuvie, société canadienne de services financiers, elle a été la première dirigeante principale mondiale de l’identité visuelle et des communications et a dirigé la première stratégie mondiale de marque de Manuvie ainsi que les efforts conjoints d’identité visuelle suivant la fusion avec John Hancock aux États-Unis. À titre de vice-présidente principale, elle a dirigé les ressources humaines et les communications de la division canadienne de Manuvie et, avant cela, a mené la création d’une stratégie de gestion des talents à l’échelle mondiale. Avant de se joindre à Manuvie, elle a été directrice à BCE Media, division de Bell Canada, adjointe du recteur de l’Université Laurentienne et directrice générale de Centraide Sudbury. Récemment, elle a lancé la série de balados « Leaders Unplugged » qui met en valeur des femmes dirigeantes à divers stades de leurs vies professionnelle et personnelle. 

Titulaire d’une MBA de l’Université Laurentienne, elle possède le titre professionnel de l’IAS de la Rotman School of Management. Elle a figuré parmi les 50 personnalités nommées dans le cadre de l’initiative Diversité 50 du Conseil canadien pour la diversité administrative et a reçu le Manulife Stars of Excellence Award.

 

Arthur B. McDonald, Ph.D.

(mercredi 30 mai, à 14 h 30, à Sudbury)

Physicien canadien et co-lauréat du Prix Nobel de physique en 2015, M. Arthur B. McDonald s’est fait connaître sur la scène mondiale pour ses travaux approfondis sur les neutrinos, particules subatomiques considérées comme éléments constitutifs de l’univers. Il a joué un rôle critique dans la création de l’Observatoire des neutrinos de Sudbury (ONS), essai voué à l’étude de la question de neutrinos solaires liée au nombre de neutrinos électroniques, car ceux observés en émanation du soleil étaient beaucoup moins nombreux que prévu. Il a été directeur de l’Observatoire situé à 2 070 mètres sous terre dans la mine Creighton près de Sudbury, en Ontario.

Il a présenté, avec des collaborateurs de l’ONS en 2001 et 2002, des résultats intéressants révélant que le nombre de neutrinos électroniques, muoniques et tauoniques était le même que le nombre de neutrinos électroniques prédit par les modèles solaires, notant que certains neutrinos électroniques avaient changé d’identité. Ces résultats ont attiré l’attention sur la scène mondiale, car ils ont aidé à reformuler la conception scientifique fondamentale du fonctionnement de la matière.

M. McDonald collabore abondamment et fructueusement depuis plus de 30 ans avec les physiciens de l’Université Laurentienne, l’un des membres fondateurs de la collaboration de l’ONS. Il est professeur émérite à l’Université Queen’s et compagnon de l’Ordre du Canada, et a reçu de nombreux honneurs scientifiques soulignant ses travaux, y compris le Prix Polanyi et le Prix de la percée, qu’il partage avec ses collaborateurs de l’ONS.

 

Cliquez ici pour les heures de collation des grades et les livestreams.

L’Université Laurentienne célèbre l’excellence en enseignement

L’Université Laurentienne célèbre l’excellence en enseignement

Réception en l’honneur des lauréates de Prix d’excellence en enseignement et des premiers professionnels de l’enseignement en résidence

​L’Université Laurentienne est fière de reconnaître Dres Joy Gray‑Munro, Andrée Beauchamp et Michelle K. Brunette en leur décernant un Prix d’excellence en enseignement pour 2017-2018. Pendant une cérémonie dans le Centre autochtone de partage et d’apprentissage, elle a aussi annoncé les deux professionnels de l’enseignement en résidence, M. Charles Daviau et Dr Aaron Langille.

Les Prix d’excellence en enseignement sont présentés annuellement aux membres du corps professoral qui ont fait preuve d’une capacité hors pair de transmettre des connaissances à leurs étudiants et de les inspirer d’enthousiasme. Chaque année, un prix est remis à un membre à plein temps et un ou deux prix à des membres à temps partiel.

« L’enseignement et l’apprentissage nous définissent à l’Université Laurentienne, a dit le vice-recteur intérimaire aux études à l’Université Laurentienne, M. Serge Demers. Ces prix célèbrent l’enseignement ayant une incidence positive durable sur les étudiants tout en approfondissant leur apprentissage. C’est un plaisir de décerner à ces éducatrices remarquables la reconnaissance qui leur est due. »

Le Programme de professionnels de l’enseignement en résidence a pour but d’encourager le corps professoral à être un moteur du changement et à témoigner d’une érudition en matière d’enseignement et d’apprentissage, et de prêter un soutien à des communautés de professeurs qui offrent du mentorat et font preuve de leadership en enseignement et apprentissage. Dans l’esprit des résultats 13 et 14 du Plan stratégique, on a choisi un professionnel ayant une expertise en apprentissage axé sur la technologie et l’autre se concentrant sur l’intégration d’un contenu autochtone au programme d’études.

« Grâce à notre Programme de professionnels de l’enseignement en résidence, nous voulons rehausser l’enseignement et avoir des retombées positives sur l’apprentissage, la participation, la persévérance et la réussite de notre population étudiante, a souligné la vice-rectrice associée à l’apprentissage et à l’enseignement par intérim, Mme Shelley Watson. Notre Plan stratégique propose un meilleur soutien pour le corps professoral grâce aux collaborations et au mentorat des pairs. Chacune des lauréates et nos deux professionnels de l’enseignement incarnent les qualités d’excellents éducateurs et nous sommes très chanceux qu’ils soient professeurs à l’Université Laurentienne. »

 

Les lauréats de Prix d’excellence en enseignement de la Laurentienne de 2017-2018 sont :


​Joy Gray-Munro

Professeure au Département de chimie et de biochimie, Mme Joy Gray-Munro, Ph. D., a reçu le prix pour membre à plein temps afin de souligner son style d’enseignement, que l’on qualifie de stimulant et rigoureux.

 

Andrée Beauchamp

Mme Andrée Beauchamp, Ph. D., donne des cours sur le campus et en ligne en anthropologie et archéologie. Elle est lauréate d’un prix pour membre à temps partiel qui souligne sa capacité d’inciter la participation de ses étudiants grâce à des approches diverses à l’enseignement et des travaux innovateurs.

 

Michelle K. Brunette

Professeure à l’École des sciences de l’activité physique, Mme Michelle Brunette, Ph. D., a reçu l’un des prix pour membre à temps partiel en reconnaissance des liens solides qu’elle noue avec ses étudiants et les efforts qu’elle fait pour leur fournir une rétroaction positive et constructive.

 

Les professionnels de l’enseignement en résidence de 2018-2019 sont :


Charles Daviau

Maître de conférences en études sur la main-d’œuvre et science économique, M. Charles Daviau a été le tout premier professionnel en résidence de l’enseignement avec une expertise en approches autochtones puisqu’il est un chef de file de la communauté autochtone à la Laurentienne et considéré comme un modèle par la population étudiante.

 

Aaron Langille

M. Aaron Langille, Ph. D., est maître de conférences dans le Département d’informatique. Il a été nommé professionnel en résidence de l’enseignement axé sur la technologie, car il intègre à ses cours les médias sociaux et l’utilisation novatrice de la technologie.

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