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Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

19 juillet 2024 - Cet été, 22 membres de la population étudiante ont la possibilité de soutenir des projets de recherche par l’intermédiaire de l’Université Laurentienne grâce à un financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), et le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH). Les Bourses de recherche de premier cycle (BRPC) visent à nourrir l’intérêt des étudiants de premier cycle et à développer leur potentiel pour une carrière de recherche. Ce financement leur permet d’acquérir de l’expérience de travail de recherche qui complète leurs études universitaires.

Pour une période de 16 semaines, de mai à août, les étudiants épaulent la recherche à plein temps. Ils peuvent être titulaires d’une seule BRPC par exercice financier et pourraient en détenir jusqu’à trois pendant leur carrière de premier cycle.

Bien que la possibilité de contribuer de manière significative à un projet de recherche soit souvent réservée aux étudiants des cycles supérieurs, les BRPC donnent l’occasion exceptionnelle et convoitée à ceux du premier cycle d’acquérir de l’expérience dans leur domaine d’intérêt. L’année d’études, la spécialisation et les domaines de recherche des étudiants varient, mais ils reconnaissent tous de manière semblable l’incidence positive de cette expérience sur leurs études actuelles et leurs objectifs futurs.

Tout au long de l’été, les étudiants s’exprimeront au sujet d’eux-mêmes, de leurs ambitions et intérêts et un peu sur le projet de recherche auquel ils prêtent leur soutien.

Emma Mageau

4e année du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Confederation Secondary School

Cet été, je travaille sous la direction de M. Tharmalingam à l’Université de l’EMNO sur son projet qui examine le cancer du sein résistant aux radiations. Dans le cadre du projet, nous étudions certaines cibles qui pourraient être associées à la résistance aux radiations dans une lignée cellulaire spécifique du cancer du sein. Bien que j’ai toujours eu une passion pour la science, j’ai constaté que je manquais d’expérience en recherche. Cette possibilité est alors une excellente façon d’élargir mes connaissances et mes compétences en laboratoire.

Dans mes moments libres, j’aime jouer au soccer et au tennis et passer du temps avec ma famille et mes amis. J’aide également à organiser le Relais pour la vie à la Laurentienne, ce qui m’enthousiasme énormément. Le domaine de l’oncologie m’a toujours intéressé et, un jour, j’espère poursuivre une carrière en médecine. J’ai hâte de voir où ces recherches et cette année universitaire me dirigeront.

Avery Morin

4e année du programme de neurosciences du comportement à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Marymount Academy

Grâce à la BRPC, je peux nourrir ma passion pour l’écologie et la durabilité en explorant un domaine qui diffère complètement de celui que j’aborde en tant qu’étudiante en neurosciences comportementales. Au Centre pour la vitalité des lacs Vale, je dirige le Comité de durabilité environnementale de la Laurentienne et participe au programme mondial d’étudiants-ambassadeurs pour une Nature Positive. Dans le cadre de cette initiative, les établissements doivent réaliser des évaluations de référence de la biodiversité (celles-ci sont en cours depuis 2023). Cet été, je travaille avec M. John Gunn pour mieux comprendre la biodiversité des milieux humides en installant des enregistreurs d’appels d’oiseaux et de grenouilles dans tout l’espace vert de la Laurentienne. Ce projet contribuera non seulement aux évaluations de la biodiversité Nature Positive, mais soutiendra également un projet multiuniversitaire axé sur la restauration des tourbières des effets de la pollution due aux activités minières.

N’importe qui peut aider à appuyer les évaluations de la biodiversité grâce à la science participative en utilisant l’application iNaturalist où toutes les observations de plantes, d’animaux et d’insectes faites sur notre campus sont automatiquement ajoutées au projet de Réseau sur la biodiversité du campus de la Laurentienne pour contribuer à de véritables ensembles de données scientifiques.

Ellis Albrecht

4e année du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Onaping, Ontario

École secondaire : Chelmsford Valley District Composite School

Cet été, grâce au programme de BRPC, j’ai le plaisir de travailler avec Mme Brie Edwards au Centre pour la vitalité des lacs Vale (CVLV). En tant qu’étudiante-chercheuse, je suis responsable de prélever des échantillons d’eau et d’invertébrés, de préparer le matériel pour le travail sur le terrain et de saisir et analyser des données. La nature coopérative du CVLV me donne aussi l’occasion d’observer d’autres projets en cours et d’y contribuer.

Ayant grandi dans le Grand Sudbury, j’ai toujours profondément apprécié le milieu naturel et je me sens incroyablement chanceuse de travailler maintenant sur ces magnifiques cours d’eau. Ce poste me permet de faire mes passe-temps (nautisme, canotage, randonnée) tout en observant des travaux de restauration, de maintien et de surveillance de nos systèmes d’eau douce et y participant.

Alexandra Bertrim

3e année du programme de sciences de l’activité physique à l’Université de Guelph

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Lo-ellen Park Secondary School

Cet été, je travaille comme assistante de recherche de premier cycle au Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) à l’Université Laurentienne. Dans ce rôle, j’espère acquérir une expérience de recherche approfondie et appliquer mes connaissances à des situations réelles et pratiques pour améliorer la santé et la sécurité au travail. Je participe actuellement à quelques projets, dont un programme de formation sur le réglage de sièges. L’initiative vise à réduire les blessures professionnelles en proposant aux opérateurs d’équipement lourd un programme favorisant de bonnes pratiques ergonomiques.

J’apporte aussi une contribution à l’analyse des données saisies en matière de formation par simulation et en opérations minières. Grâce à cette analyse, le CRSST souhaite évaluer l’efficacité et la satisfaction des travailleurs à l’égard des programmes de formation par simulation. Ces programmes constituent une méthode modernisée de formation permettant aux personnes de mettre en pratique leurs compétences en toute sécurité comme préparation au travail dans le domaine. Jusqu’à présent, mon expérience pratique avec CRSST m’a permis de mieux reconnaître et saisir l’importance de la santé et de la sécurité au travail. J’ai hâte de continuer à travailler dans ce domaine dans l’espoir que mes efforts aideront à créer des milieux de travail plus sains et sûrs.

En tant que membre dévouée de l’équipe de natation universitaire des Gryphons, je vise l’excellence dans la piscine aussi bien que dans mes études, où je m’intéresse fortement aux domaines de la biomécanique, de la physiologie humaine et de l’anatomie.