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La Laurentienne et Wiikwemkoong aident à lancer la toute première mesure du bien-être adaptée aux particularités culturelles autochtones faite par et pour les enfants

La Laurentienne et Wiikwemkoong aident à lancer la toute première mesure du bien-être adaptée aux particularités culturelles autochtones faite par et pour les enfants

L’outil Aaniish Naa Gegii (Comment vas-tu?) a été lancé lors de la Journée nationale de l’enfant

(8 decembre 2020) L’Université Laurentienne félicite avec joie l’équipe qui a créé l’outil Aaniish Naa Gegii: the Children’s Health and Well-being Measure (ACHWM) mesurant la santé et le bien-être des enfants. L’initiative découle directement du partenariat dynamique noué entre le Centre de santé Naandwechige-Gamig Wikwemikong et le Centre de recherche ECHO (Evaluating Children’s Health Outcomes) à l’Université Laurentienne. Le lancement s’est fait le 20 novembre dernier, en même temps que le lancement du nouveau site Web de l’organisme et la célébration de la Journée nationale de l’enfant.

L’initiative reflète les années de recherche, de travail ardu et de leadership de la titulaire de la Chaire de recherche, Mme Nancy Young, Ph.D., de la directrice du Centre de santé Naandwechige-Gamig, Mme Mary Jo Wabano et de leurs équipes dévouées. Le tout a commencé en 2009 quand le territoire non cédé de Wiikwemkoong et l’Université Laurentienne ont noué une collaboration active pour créer une nouvelle mesure à l’intention des enfants autochtones. Depuis, ils ont mis au point l’outil ACHWM, appli pour tablette et site Web permettant aux dirigeants communautaires de consulter l’information et les statistiques. 

L’appli pour tablette propose une mesure adaptée aux particularités culturelles des enfants autochtones âgés de 8 à 18 ans. Créée par et pour les enfants, elle sert de catalyseur au discours, aux services et, éventuellement, au financement. L’appli comprend des fonctions d’analyse de la santé, d’évaluation de programme et de dépistage de santé mentale. Tout le travail requis pour créer l’application, qui vise à améliorer la vie des enfants autochtones, a été accompli grâce à des subventions des Instituts de recherche en santé du Canada, du ministère des Services à l’enfance et des Services sociaux et communautaires et d’AMS/OSSU.

Les services offerts actuellement par l’intermédiaire du site Web et de l’appli aideront les dirigeants communautaires à appuyer les jeunes de 8 à 18 ans, mais un modèle à utiliser auprès d’enfants plus jeunes, âgés de 3 à 7 ans, est aussi en voie de développement. L’équipe crée également un modèle pour les adultes, dont les étudiants autochtones postsecondaires, par exemple.

CITATIONS
« Je tiens à féliciter Mmes Young et Wabano et leurs équipes pour les années de travail utile qui ont permis la création de cette application. Il est tellement gratifiant de voir poursuivre ce partenariat entre le Centre de santé Naandwechige-gamig Wikwemikong et les nombreuses collectivités autochtones participantes. Les relations cultivées dans le cadre de cette œuvre importante traduisent véritablement les aspirations articulées dans notre Plan stratégique 2018-2023 à l’Université Laurentienne et notre engagement envers la vérité et la réconciliation. »
M. Robert Haché, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne

« Notre objectif est d’assurer que l’appli appuie le bien-être de tous les enfants et jeunes autochtones [inuits, métis et des Premières Nations]. Au début, nous voulions assurer la planification et l’évaluation dans la communauté, mais en cours de route, nous nous sommes rendu compte que nous devons, dans ce processus, aider chaque enfant. Les communautés n’ont aucun obstacle financier à franchir pour utiliser cet outil, que ce soit pour 5 ou 500 enfants. »
Mme Nancy L. Young, Ph.D., directrice de l’École de santé dans les régions rurales et du Nord et titulaire de la Chaire de recherche

« Assurer aux enfants de notre collectivité [Wiikwemkoong] et, maintenant, des communautés partout au Canada, un accès aux services qui appuient leurs besoins et comblent les lacunes est important pour moi. L’appli nous permettra de cerner ce que nous pouvons faire, en tant que communauté, pour soutenir collectivement les enfants dans le but d’équilibrer la vie et maintenir le bien-être. Je le fais pour les enfants; ils sont ma force motrice. » 
Mme Mary Jo Wabano, directrice des Services de santé, Centre de santé Naandwechige-Gamig Wikwemikong

« Cette équipe incroyable travaille inlassablement pour créer des ressources réfléchies qui ont un sens et sont efficaces pour les Autochtones. Notre équipe est très vaste et je suis fière d’en faire partie. »
Mme Mia Bourque, BA (spéc.)/candidate à la M.A., préposée à la liaison communautaire et culturelle ACHWM-Centre de recherche ECHO, Université Laurentienne
 

L’Université Laurentienne célèbre la sixième activité annuelle consécutive du Mardi je donne

L’Université Laurentienne célèbre la sixième activité annuelle consécutive du Mardi je donne

L’Université s’engage à appuyer les étudiants qui éprouvent des difficultés pendant la pandémie

(1 décembre 2020) Le 1er décembre 2020, l’Université Laurentienne participera pour la sixième année consécutive au Mardi je donne. L’activité mondiale de philanthropie fait suite, chaque année, au Vendredi fou et au cyberlundi, rassemblant les Canadiens, les entreprises et les œuvres caritatives pour célébrer la générosité et participer à des activités qui appuient les œuvres de bienfaisance et les organismes sans but lucratif.

Cette année ne ressemble à aucune autre. Nous traversons une période difficile et devons cadrer avec des conditions de travail et de vie sans précédent. En gardant à l’esprit notre Plan stratégique #Imagine2023, cette campagne du Mardi je donne mobilisera surtout des fonds pour les étudiants de l’Université Laurentienne qui connaissent de difficultés en raison de la pandémie mondiale.

Fonds de soutien d’urgence pour la population étudiante
Le Fonds de soutien d’urgence pour la population étudiante a été créé par l’Université Laurentienne peu après la déclaration de l’urgence de la COVID-19 le mardi 10 mars 2020. Cette année, notre généreux partenaire, TD, s’est allié à nous et offrira la contrepartie des dons jusqu’à un total de 15 000 $, doublant ainsi l’incidence des dons que font les membres de la communauté. Pour faire un don, consultez https://laurentian.ca/give/fr/faire-un-impact/.

L’objectif du fonds est d’apporter une aide financière aux membres de la population étudiante afin qu’ils :

  • achètent de la nourriture ou supportent d’autres coûts, s’ils sont démunis financièrement;
  • adressent les défis touchant le logement s’ils doivent s’isoler pour protéger leurs proches en régions rurales ou éloignées ou dans des collectivités autochtones ou sont incapables de rentrer chez eux avec leur famille à cause de la fermeture des frontières;
  • obtiennent une connexion internet à la maison, s’ils n’avaient qu’un accès sur le campus précédemment;
  • remplacent des revenus perdus en raison d’une mise à pied ou de la fermeture d’une entreprise;
  • surmontent d’autres difficultés financières entraînées par les mesures prises par l’Université Laurentienne et tous les paliers gouvernementaux à cause de la COVID-19.
     

Un chercheur de l’UL joue un rôle vital dans l’établissement de l’image des premiers jours de la Terre

Un chercheur de l’UL joue un rôle vital dans l’établissement de l’image des premiers jours de la Terre

Le professeur Alessandro Ielpi et ses collègues utilisent le zircon pour révéler le secret de l’émergence des continents.

(30 novembre 2020) M. Alessandro Ielpi célèbre une grande étape de sa carrière, car son travail est en vedette dans une publication prestigieuse dans son domaine. Le professeur adjoint en sédimentologie à l’École des sciences de la Terre Harquail a beaucoup voyagé afin de découvrir de précieux renseignements sur notre planète. Cette semaine, la revue réputée Earth and Planetary Science Letters publie quelques-uns de ses résultats les plus importants.

L’article, corédigé par Jesse Reimink de la Pennsylvania State University, Joshua Davies de l’Université du Québec à Montréal, et Alessandro Ielpi de l’Université Laurentienne, donne une idée de la façon dont les continents se sont formés il y a des milliards d’années. Même s’il existe depuis longtemps un consensus sur la formation des continents, les formes exactes, les emplacements et les âges de ces premiers morceaux de terrain sec font l’objet de désaccords depuis longtemps. Grâce aux recherches du trio sur le zircon, l’étude nous rapproche du lieu et du moment où ce processus a commencé. Miser sur la résilience du minéral au fil des années s’est révélé être la clé de cette étude. En effet, le zircon est tellement résilient qu’on peut le qualifier de sorte de capsule temporelle. Il se forme dans les magmas qui, une fois solidifiés, peuvent être érodés par les éléments. Les grains de zircon sont alors transportés et incorporés dans les sédiments partout au monde. En datant le zircon trouvé dans ces sédiments, les chercheurs peuvent reconstruire la taille et la distribution des roches précédentes d’un bassin hydrographique.

À un moment donné, la Terre aurait pu être plus exactement appelée un monde aquatique, car c’était une masse planétaire d’eau avec peu de masse terrestre, sinon aucune, qui en émergeait. Il y a environ trois milliards d’années, des formations rocheuses ont commencé à pointer alors que les premiers continents gagnaient en relief. Les auteurs font l’hypothèse qu’il y a à peu près deux milliards et demi d’années, des continents d’une taille semblable à celle des continents modernes se sont finalement établis. Pour arriver à cette conclusion, ils ont analysé une base mondiale de données des âges d’un minéral appelé zircon, et ont établi une théorie de travail sur la façon dont la terre sèche est apparue dans ce monde.

Nous félicitons les professeurs Ielpi, Reimink et Davies de leur travail, un témoignage de leur détermination individuelle ainsi que de la coopération internationale même pendant la pandémie actuelle.

CITATIONS
« La collaboration avec les professeurs Reimink et Davies fait partie des aspects les plus intéressants de mon étude actuelle. C’est formidable de voir comment l’étude des processus en surface au début de l’existence de la Terre peut s’intégrer à des analyses statistiques de grandes séries de données indépendantes. Comprendre l’émergence des continents du monde moderne dans le passé de la planète est en fait un but clé en géologie. » Alessandro Ielpi, professeur adjoint de sédimentologie à l’École des sciences de la Terre Harquail de l’Université Laurentienne

« Cette découverte du professeur Ielpi et de ses collaborateurs est vraiment remarquable et montre le pouvoir de la curiosité et de l’ingéniosité lorsque des chercheurs passionnés et chevronnés de partout au monde se réunissent pour résoudre des problèmes. » Tammy Eger, vice-rectrice à la recherche de l'Université Laurentienne

Une professeure de l’Université Laurentienne reçoit un financement du CRSNG pour avancer la formation en matière de communication scientifique

Une professeure de l’Université Laurentienne reçoit un financement du CRSNG pour avancer la formation en matière de communication scientifique

Mme Chantal Barriault formera des professeurs et chercheurs des STIM dans le Nord de l’Ontario en matière de vulgarisation scientifique

(23 novembre 2020) L’Université Laurentienne tient à féliciter Mme Chantal Barriault, Ph.D., qui a reçu 20 000 $ du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG) du gouvernement fédéral. Cette subvention permet à des experts en communication de partager leurs connaissances avec des professeurs, chercheurs et étudiants des cycles supérieurs en sciences, technologie, ingénierie et mathématiques pour améliorer leurs compétences de sorte qu’ils communiquent efficacement leur travail avec le public.

La Subvention de développement des compétences en communication scientifique (phase pilote) a été remise à Mme Barriault ainsi qu’à 20 autres lauréats choisis parmi une centaine de demandes provenant de partout au Canada. Les fonds aideront les experts nord-ontariens des STIM à contribuer à la conscientisation scientifique tout en luttant contre la désinformation scientifique.

Grâce à ce financement, l’Université Laurentienne, en partenariat avec Science Nord, donnera une formation essentielle en matière de communication scientifique dans le cadre d’ateliers interactifs offerts virtuellement et en personne. Les fonds soutiendront la création d’un modèle de formation qui pourra être adapté et offert en anglais et français ailleurs que dans le Nord de l’Ontario. En effectuant ce projet pilote, Mme Barriault espère bien valider les principes afin de pouvoir obtenir d’autres subventions à l’avenir. Appuyez ici pour lire sa proposition.

CITATION
« Cet octroi fait valoir que nous offrons, à la Laurentienne, un programme d’études supérieures de calibre mondial en communication scientifique et que nous habilitons les chercheurs et les professeurs de sciences partout dans le Nord de l’Ontario à communiquer efficacement leurs travaux. » Mme Chantal Barriault, directrice du programme d’études supérieures en communication scientifique
 

L’Université Laurentienne est ajoutée à la liste d’établissements d’enseignement désignés d’Immigration Canada

L’Université Laurentienne est ajoutée à la liste d’établissements d’enseignement désignés d’Immigration Canada

L’Université est autorisée à accueillir des étudiants étrangers

(17 novembre 2020) L’Université Laurentienne est fière d’annoncer qu’elle figure désormais sur la liste d’établissements d’enseignement désignés (EED), qui énumère tous les collèges et toutes les universités au Canada qui sont dotés de plan d’intervention en réponse à la COVID-19. Cette démarche permet à la Laurentienne d’accueillir les étudiants en provenance de l’étranger.

Cette annonce fait suite à des semaines de discussions constructives avec nos partenaires aux paliers provincial et fédéral du gouvernement et n’aurait pas été possible sans les efforts conjugués de nombreuses unités à l’Université qui assurent la sécurité de notre communauté.

Les équipes des services aux étudiants étrangers et des résidences à l’Université Laurentienne continuent d’offrir un appui aux étudiants d’autres pays en matière d’arrivée au Canada et de plan de quarantaine. La Laurentienne compte actuellement parmi sa population étudiante 602 étudiants étrangers de 75 pays qui font leurs études à distance dans leur pays d’origine ou au Canada.

Un chercheur de la Laurentienne reçoit une subvention fédérale pour intensifier la lutte contre le coronavirus

Un chercheur de la Laurentienne reçoit une subvention fédérale pour intensifier la lutte contre le coronavirus

Professeur au Département de chimie et de biochimie, M. Stefan Siemann, Ph.D., reçoit 200 000 $ de la FCI pour se procurer des appareils clés

(16 novembre 2020) L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer qu’un de ses chercheurs recevra un coup de pouce du gouvernement fédéral pour rehausser ses efforts de lutte contre le coronavirus.

Professeur au Département de chimie et de biochimie, M. Stefan Siemann déploie déjà des efforts tenaces pour conquérir le virus dans le cadre de sa participation à un réseau mondial d’experts qui se servent de la technologie d’imagerie en 3D pour cibler les faiblesses éventuelles dans la structure cellulaire de SARS-Cov-2, virus responsable de la pandémie en cours. Cette semaine, la Fondation canadienne pour l’innovation a annoncé que M. Siemann recevra 200 000 $ pour acheter deux appareils qui rehausseront davantage ses efforts. 

Ces appareils, un fluorimètre et un système de lecteur de microplaques, seront essentiels à M. Siemann et à son équipe dans leur recherche de l’enzyme nommé Mpro qui joue un rôle vital dans la réplication du virus. L’objectif des chercheurs est de trouver un composé qui empêchera l’enzyme Mpro de répliquer les cellules de SARS-Cov-2, ce qui arrêtera ou ralentira la propagation du virus.

Cette recherche figure parmi 79 projets financés par le Fonds des occasions exceptionnelles de la FCI. Annoncé récemment, le fonds comprend 28 000 000 $ à octroyer à des projets semblables dans 52 établissements partout au Canada dans le cadre de l’engagement élargi du gouvernement fédéral envers l’atténuation des effets dévastateurs de la pandémie. 

CITATION
« Le financement de l’infrastructure de recherche annoncé par l’honorable Navdeep Bains, ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie, n’aurait pu arriver à un meilleur moment pour les scientifiques canadiens, y compris le professeur Stefan Siemann de l’Université Laurentienne. Nous sommes incroyablement fiers de lui et de ses collaborateurs qui utilisent des outils scientifiques de pointe et de nouvelles méthodes pour lutter contre la COVID-19. » Mme Tammy Eger, vice-rectrice à la recherche, Université Laurentienne
 

La Laurentienne annonce une nouvelle bourse pour les jeunes confiés aux soins de la société d’aide

La Laurentienne annonce une nouvelle bourse pour les jeunes confiés aux soins de la société d’aide

La Bourse Desiderata de début d’études est financée par une donatrice qui souhaite « en remettre au suivant »

(5 novembre 2020) L’Université Laurentienne est fière d’annoncer la création de la Bourse Desiderata de début d’études grâce à un don de Mme Catherine Gravely. Ce fonds totalisant 120 000 $ permettra de décerner des bourses chaque année à trois membres de la population étudiante de la Laurentienne qui ont été pris en charge par une société en Ontario pendant leur jeunesse. Les bourses sont une première dans la province et misent sur l’annonce l’an dernier que l’Université accorderait à ces jeunes ontariens une exemption des droits de scolarité.

Les bourses portent le nom d’un poème – Desiderata, de Max Ehrmann – qui a été une source de force et de réconfort pour Mme Gravely. Le poème dit « Au-delà d’une discipline saine, soyez doux avec vous-même. Vous êtes un enfant de l’univers, pas moins que les arbres et les
étoiles; vous avez le droit d’être ici. »

Les bourses couvriront les frais de manuels et de subsistance des lauréats. Les personnes qui entament la première année d’études à la Laurentienne dans n’importe quel programme et remplissent les critères d’admissibilité seront considérées en premier lieu. La bourse a une valeur de 10 000 $ par année et est renouvelable pour quatre ans.

CITATIONS
« Je suis heureuse que vous ayez déjà fait croître le financement et me réjouis d’en faire encore plus. Mon objectif était de transmettre aux jeunes qui sont ou ont été pris en charge par une société d’aide le message que des gens les appuient, même s’ils ne les connaissent pas. Ces jeunes ont des partisans invisibles, y compris moi, qui veulent les voir réussir. Bien que la vie se définisse en quelque sorte par le travail ardu, la chance, bonne et mauvaise, joue aussi un rôle. Je veux créer un bon sort pour les jeunes ayant eu de la malchance qu’ils n’ont pas méritée en rééquilibrant un peu les choses, en leur montrant que d’autres bonnes choses imprévues les attendent et qu’il y aura des jours meilleurs dans la vie. » Mme Catherine Gravely, donatrice.

« Quelle merveilleuse occasion pour les membres de notre population étudiante de commencer à bâtir leur avenir grâce à l’appui financier d’une personne bienveillante. Pendant leur parcours universitaire, ces jeunes auront à se rappeler que la générosité envers les autres est une qualité essentielle menant au don de soi et favorisant la construction d’un monde plus rassembleur. » Mme Marie-Josée Berger, vice-rectrice aux études à l’Université Laurentienne.

La Laurentienne lance une nouvelle appli pour rehausser la sécurité sur le campus

La Laurentienne lance une nouvelle appli pour rehausser la sécurité sur le campus

SecurLU-UL propose un ensemble d’outils utiles pour simplifier les communications relatives à la sécurité

(4 novembre 2020) L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer le lancement de SecurLU-UL, l’appli officielle en matière de sécurité pour notre communauté. C’est la seule appli qui s’intègre dans les systèmes de sécurité de l’Université Laurentienne.

L’équipe du Service de sécurité du campus a travaillé pour concevoir une appli unique qui fournit à la population étudiante, au corps professoral et au personnel un supplément de sécurité sur le campus de l’Université Laurentienne. L’appli vous envoie des alertes importantes de sécurité et fournit l’accès instantané aux ressources du campus en matière de sécurité.

Caractéristiques de SecurLU-UL :

  • Coordonnées des services d’urgence : Communiquez avec les services appropriés de l’Université Laurentienne en cas de préoccupation urgente ou non.
  • Mobile Bluelight : Envoyez votre localisation en temps réel au Service de sécurité de l’Université Laurentienne en cas de crise.
  • Travail en isolement : Utilisez l’appli pour faire une « vérification » périodique lorsque vous travaillez en isolement ou tard le soir. Si vous ne répondez pas, l’appli enverra une alerte au Service de sécurité du campus.
  • Marcher avec un(e) ami(e) : Envoyez votre localisation à un(e) ami(e) par courrier électronique ou SMS. Lorsque l’ami(e) accepte votre demande, vous lui indiquez votre destination et il ou elle suit votre déplacement en temps réel.
  • Plans d’urgence : La documentation sur les urgences sur le campus peut vous préparer pour les catastrophes ou les urgences. Vous pouvez y accéder même quand vous n’êtes pas connecté(e) au Wi-Fi ou aux données cellulaires.
  • Programme d’accompagnement virtuel : Permet au Service de sécurité du campus de surveiller vos déplacements à pied. Si vous ne vous sentez pas en sécurité quand vous marchez sur le campus, vous pouvez demander un accompagnement virtuel, et un répartiteur surveillera votre parcours jusqu’à votre destination.
  • Boîte à outils de sécurité : Améliorez votre sécurité avec la série d’outils fournie dans une appli pratique.
  • Soutien : Accédez à du soutien dans une appli pratique afin d’avoir une expérience réussie à l’Université Laurentienne.

La Laurentienne nomme trois nouveaux membres au Conseil des gouverneurs

La Laurentienne nomme trois nouveaux membres au Conseil des gouverneurs

M. Martin Gran, Mmes Karen Restoule et Natalie Turvey se joignent au Conseil

(29 octobre 2020) Trois membres communautaires dynamiques se sont joints au Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne. Ils possèdent des expériences et des antécédents culturels divers et exercent d’importants rôles de leadership dans nos communautés.
 
« Les membres du Conseil jouent un rôle critique dans l’orientation de l’Université et ces trois nouveaux membres affichent des qualités clés qui auront une incidence positive pour nous en allant de l’avant. La Laurentienne tirera profit de leurs expériences et de leur leadership pendant les années à venir. Nous sommes très chanceux qu’ils apportent leurs perspectives et leur engagement à notre communauté. » M. Robert Haché, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne.
 
« Nous nous réjouissons d’accueillir Martin, Natalie et Karen au Conseil. Ils ont acquis une expérience impressionnante et sont des exemples d’engagement envers le service et le bénévolat ce qui rehausse ainsi davantage le groupe de personnes dévouées et engagées qui sont membres de notre Conseil. Nous attendons avec impatience de collaborer avec eux et leur souhaitons la plus chaleureuse bienvenue à la communauté Laurentienne. » M. Claude Lacroix, président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne

Martin Gran
Une personne assidue pleine d’initiative, M. Martin Gran a travaillé à Pioneer Construction au long de ses études, où il a joué divers rôles pendant sa carrière, grimpant les échelons pour devenir dirigeant principal des finances, l’un des postes les plus hauts de l’organisme, non seulement à Pioneer Construction, mais aussi pour Fisher Wavy et Silver Peak Capital, la division de capitaux de la société. De 2002 à 2018, il a siégé au conseil d’administration de l’Ontario Road Builders Association (ORBA) et y a assumé la présidence en 2008, étant la plus jeune personne à exercer ce rôle dans les 90 ans d’existence de l’organisme.
 
M. Gran est titulaire d’une maîtrise en administration des affaires (1995) de l’Université Laurentienne, d’un baccalauréat (science économique) de l’Université Western (1991) et de l’agrément de comptable professionnel (CPA, CA). Il habite le Grand Sudbury avec sa femme et ses trois enfants.

Karen Restoule
Mme Karen Restoule est présidente exécutive suppléante à Tribunaux décisionnels Ontario, où elle est responsable de dispenser la justice administrative partout en Ontario. Dans son rôle précédent de directrice du secteur de la justice de Chiefs of Ontario, elle a collaboré avec des dirigeants autochtones pour faire progresser la politique. Elle est cofondatrice de BOLD Realities, organisme à but non lucratif qui organise des discussions et met au point des outils pour renforcer les relations entre les secteurs industriels et les dirigeants autochtones.
 
Mme Restoule est diplômée de l’Université de Toronto et du programme de common law de l’Université d’Ottawa, où elle a été intronisée en 2014 à la Société honorifique de common law de la Faculté de droit, puisqu’elle met à profit sa formation juridique pour apporter des contributions considérables à la société. En outre, le Forum des politiques publiques l’a nommée boursière des premiers ministres du Canada en 2018.
 
Mme Restoule est membre de la Première nation de Dokis et ayant droit en vertu du traité de Robinson-Huron 1850.

Natalie Turvey
Voyageuse du monde et innovatrice, Mme Natalie Turvey est ardente défenseuse de l’éthique en journalisme. Elle est actuellement PDG de la Fondation pour le journalisme canadien (FJC), organisme sans but lucratif à Toronto qui appuie et célèbre l’excellence en journalisme dans le cadre de la formation, de bourses, de recherche et de l’un des plus prestigieux programmes de prix annuels.
 
Sous sa direction, la FJC a mis au point un curriculum national relatif à la culture d’information qui enseigne aux élèves à développer des habitudes de consommation de nouvelles et de pensée critique qui appuient le civisme éclairé. Plus tard, l’organisme a élargi le programme pour y inclure les citoyens d’âge majoritaire afin d’aider tous les Canadiens à comprendre la différence entre le journalisme factuel et les fausses informations du monde numérique. Cette année, Mme Turvey dirige le lancement d’un programme de bourses pour le journalisme relatif aux Noirs qui permettra de cultiver des talents émergents et de mettre en valeur les voix et récits des Noirs dans les principaux médias au Canada.
 
Mme Turvey est diplômée de l’Université Laurentienne (baccalauréat en éducation), de l’Université Western (baccalauréat ès arts) et de l’Université européenne (maîtrise en administration des affaires) à Bruxelles, en Belgique.

La Laurentienne décernera un doctorat honorifique à Mme Margarete Kalin-Seidenfaden

La Laurentienne décernera un doctorat honorifique à Mme Margarete Kalin-Seidenfaden

La distinction sera accordée à cette scientifique innovante lors de la Collation des grades de l’automne 2020

(28 octobre, 2020) L’Université Laurentienne rendra hommage à Mme Margarete Kalin-Seidenfaden et soulignera ses réalisations remarquables en lui décernant un doctorat ès sciences honoris causa lors de la Collation des grades de l’automne, le 31 octobre.

Mme Kalin-Seidenfaden est l’une des principales contributrices au Protocole de Sudbury, une approche en génie écologique adoptée pour la remise en état environnementale que l’Université Laurentienne a commercialisé en 2016. Même si des normes culturelles et industrielles oppriment les femmes dans des domaines dominés historiquement par les hommes, elle participe pleinement depuis 1963 au monde scientifique. En fait, elle a fait valoir sa résolution tout au long de sa carrière à titre d’experte-conseil sur l’environnement, culminée lorsqu’elle est devenue cofondatrice de Boojum Research.

Les recherches de Mme Kalin-Seidenfaden en 1978 sur les résidus d’uranium de la mine Madawaska à Bancroft et à Elliot Lake l’ont apporté ultimement à définir des approches plus écologiques au traitement des résidus miniers, y compris le polissage biologique et la réduction microbiologique de l’acide (ARUM).

Pendant les trois prochaines décennies, Boojum Research a réalisé des projets de réclamation environnementale, y compris le drainage minier acide sur les sites d’INCO et de Falconbridge à Levack et à Sudbury et de la mine Kam Kotia dans la périphérie de Timmins et le traitement de résidus de pyrite de la mine South Bay près de Thunder Bay, ainsi que des projets internationaux en Allemagne et Australie. En 2002, elle a fait don des nombreux rapports de Boojum Research à la Bibliothèque J.N.-Desmarais et a continué à cultiver sa relation avec la bibliothèque et à soutenir la collection en y apportant de nouvelles contributions issues de l’évolution de son travail.

Veuillez vous joindre à nous à la cérémonie de Collation des grades de l’automne 2020 pour souligner les contributions remarquables de Mme Kalin-Seidenfaden. 

CITATION
« Je suis tellement heureux que Mme Margarete Kalin-Seidenfaden ait accepté de recevoir un titre honorifique de l’Université Laurentienne. Le leadership dont elle fait preuve sur le plan mondial en matière d’ingénierie écologique et de rétablissement environnemental illustre pour nos étudiants les façons dont leurs travaux et leurs recherches peuvent vraiment changer les choses. » M. Robert Haché, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne
 

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