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Des chercheurs de l’Université Laurentienne font partie du groupe qui bénéficiera d’une subvention de partenariat nationale de 8,6 M$ du CRSH

Des chercheurs de l’Université Laurentienne font partie du groupe qui bénéficiera d’une subvention de partenariat nationale de 8,6 M$ du CRSH

Le projet s’intéresse à la qualité des environnements publics, des espaces urbains, des bâtiments et des paysages.

(le 2 septembre, 2022) - Si nous voulons influer sur la vie quotidienne des Canadiens dans tout le pays, il importe d’avoir une diversité d’idées et de chercheurs. D’une envergure sans précédent dans les disciplines du design au Canada, ce projet inédit, chapeauté par le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH), verra s’associer 14 universités, 70 chercheurs et plus de 68 organismes publics et privés, à l’échelle municipale, provinciale et nationale, lequel se penchera sur la diversité des environnements publics qui touchent les Canadiens dans les espaces urbains, les bâtiments et les paysages. Cette subvention quinquennale concertée, intitulée « La qualité de l’environnement bâti au Canada : Feuilles de route vers l’équité, la valeur sociale et la durabilité », d’un montant de 8,6 M$ (2,5 M$ du CRSH et 6,1 M$ des partenaires, dont 4,2 M$ en contributions en nature), compte trois chercheurs principaux de l’Université Laurentienne.

Chaque groupe de recherche se compose d’une université, d’une ville, de groupes de citoyens et d’une association professionnelle, qui participent tous à des programmes de bourses. Cette formule se reproduit dans 14 universités du pays. À Sudbury, le groupe de recherche du CRSH est appuyé par de nombreux partenaires communautaires locaux, dont la Ville du Grand Sudbury, la Coalition Bien vivre à Sudbury et le Réseau d’action communautaire (RAC) Haute-Ville Sudbury. La liste complète des codemandeurs, des collaborateurs et des partenaires officiels dans tout le pays se trouve sur la plateforme des résultats du CRSH.

Cette subvention concertée donnera lieu à un dialogue vital qui montrera comment les créateurs d’environnements publics bâtis au Canada peuvent contribuer à redéfinir la qualité, à commencer par les bâtiments primés construits depuis 2000. L’objectif est de faire évoluer l’environnement bâti du Canada vers l’équité, la valeur sociale et la durabilité accrues à un moment critique pour nos sociétés et notre planète.

Le programme de cette subvention concertée compte trois objectifs :

  • 1. analyser les limites actuelles des normes environnementales et des modèles de durabilité dans l’optique de nous rapprocher des objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies;
  • 2. concevoir conjointement de nouvelles voies vers l’équité, la diversité et l’inclusion dans l’environnement bâti;
  • 3. élaborer de nouveaux cadres permettant de définir la qualité de manière à renforcer la valeur sociale de l’environnement bâti grâce à des feuilles de route portant sur la qualité.

À la Laurentienne, ce partenariat bénéficiera de la contribution de nombreux intervenants, dont des étudiants du premier cycle et des cycles supérieurs, aux côtés de trois professeurs, Terrance Galvin (leader) et Shannon Bassett et Thomas Strickland, chercheurs principaux. Tous sont enthousiastes à l’idée de collaborer et estiment que ce partenariat sera porteur de nombreuses possibilités de participation pour les étudiants, notamment les étudiants inscrits à l’École d’architecture McEwen. En effet, cette initiative interdisciplinaire et concertée donnera lieu à des formations, des stages et des maillages entre des centaines d’étudiants et des communautés de pratique dans tout le Canada.

M. Galvin, professeur titulaire et directeur fondateur de l’École d’architecture McEwen et ex-président de la Commission canadienne de certification en architecture (CCCA), a siégé à de nombreux conseils régissant l’enseignement et la pratique de la profession d’architecte au Canada. Ses recherches appliquées approfondies dans le domaine des technologies à usage des collectivités locales et de la durabilité culturelle l’ont amené à collaborer avec des communautés du Pérou, de l’Inde, de la Thaïlande, du Mexique et du Canada. « L’Université Laurentienne et les professeurs de l’École d’architecture McEwen sont fiers de bénéficier de cette subvention concertée du CRSH avec son consortium pancanadien. Le groupe de recherche du Grand Sudbury a déjà entrepris ses travaux et espère apporter, aux côtés des partenaires locaux et nationaux, des éclairages porteurs de changement dans le domaine de la culture matérielle et de la prospérité sociale du nord de l’Ontario. »

Mme Bassett, professeure adjointe, architecte et urbaniste de formation spécialisée dans l’urbanisme écologique, est présidente du conseil consultatif et cofondatrice de BEA(N) - Building Equality in Architecture North. Son apport à ce partenariat est le fruit de ses recherches sur l’urbanisme écologique, une approche qui place la nature au centre du processus de conception visant à relever les défis sociaux, économiques et environnementaux auxquels est confrontée la ville du XXIe siècle. « Nous nous intéressons à l’idée selon laquelle ce que nous, les humains, construisons n’est pas seulement un édifice, mais fait partie d’un paysage plus vaste, qu’il soit culturel ou écologique. »

M. Strickland est professeur adjoint, s’intéresse à l’environnement bâti et se penche sur sa capacité à soutenir les droits de la personne, l’accent étant mis sur la qualité de vie et la santé. Ses travaux sur la santé et l’environnement bâti lui ont valu notamment le soutien de l’Initiative de recherche stratégique des IRSC et du Centre canadien d’architecture. Son approche transdisciplinaire s’inspire des études sur la culture matérielle ou, comme il le décrit lui-même, des questions de savoir « comment nous fabriquons, consommons, interagissons, nous comportons et créons des rituels avec les choses qui nous entourent. » Ses récentes collaborations scientifiques, dont des expositions à Jiwar Creació i Societat, la Fondation ACATHI, Meilleur départ pour un avenir meilleur, Point de vue et l’Association ontarienne des architectes, font apprécier son optimisme. « L’envergure de ce partenariat est d’une incidence immédiate et je me réjouis à la perspective d’entreprendre les prochaines étapes. »

Au nombre des résultats attendus de la subvention de partenariat figurent des « feuilles de route vers la qualité » (guides, analyses d’études de cas exemplaires, ressources pour la réflexion sur la conception, propositions de politiques publiques, etc.). Ces éléments constitueront un « Atlas vivant sur la qualité de l’environnement bâti », un ouvrage bilingue, qui sera exposé sur une plateforme numérique mise en place grâce au soutien de la Fondation canadienne pour l’innovation. L’Atlas vivant donnera libre accès à des répertoires de projets primés, à des études de cas, à des analyses comparatives, à des ressources et articles scientifiques, à des balados didactiques interprétatifs, à des cartes analogiques et à des visualisations.

Le nouveau programme de subvention concertée du CRSH vient de tenir sa première conférence à l’Université de Montréal, du 24 au 26 août, avec les 14 emplacements de recherche. William Morin, artiste, éducateur, activiste et leader communautaire anishinaabe, s’est vu invité à représenter la Coalition Bien vivre à Sudbury. Pédagogue expérimenté, M. Morin a été conseiller culturel autochtone à l’École d’architecture McEwen où il exercera cet automne les fonctions de chargé de cours. Lors de la conférence, il a fait écho au dialogue inclusif des autres intervenants autochtones et a évoqué le rapport de la Commission de la vérité et de la réconciliation et les 94 appels à l’action. Il a souligné le devoir qu’ont tous les Canadiens de mieux connaître notre histoire commune et l’importance d’enseigner ces nouvelles connaissances à tous les paliers de la vie quotidienne. « Il y a, dit-il, une relation directe entre le logement et notre état de santé d’après les indicateurs en la matière. » Offrant une suggestion aux architectes et éducateurs présents, M. Morin a indiqué ce qui suit : « Si l’on construit une maison ou un bâtiment [dans la ville], on devrait faire de même sur une réserve de façon à faciliter davantage la Réconciliation. » Nous devons œuvrer ensemble pour que tous les Canadiens puissent vivre dans une communauté où il fait bon vivre et s’y épanouir.

Les travaux de recherche portant sur les études de cas, ainsi que les séminaires destinés aux étudiants, se poursuivront dans chaque université cet automne et au cours de l’hiver. Le chercheur principal chapeautant la subvention de partenariat est le professeur Jean-Pierre Chupin, un titulaire d’une Chaire de recherche à l’Université de Montréal.
 

 

L’Université Laurentienne lance les activités d’orientation d’automne

L’Université Laurentienne lance les activités d’orientation d’automne

La communauté universitaire est prête à accueillir au campus les étudiants qui commencent ou poursuivent les études.

(le jeudi 1 septembre, 2022) - L’été est vite passé et nous nous préparerons à nouveau au trimestre d’automne. En ces premiers jours de septembre, l’Université Laurentienne lance son programme d’orientation d’automne, une semaine d’accueil favorisant la positivité, la santé et les connexions pour les étudiants qui commencent ou poursuivent les études.

Il y a cette année une augmentation du nombre de nouveaux étudiants comparativement à 2021 et ces derniers ont hâte à une semaine d’orientation plus traditionnelle, en personne, même si les couvre-visages seront requis dans tous les espaces d’enseignement où il n’est pas possible d’assurer une distance convenable.

Du 1er au 3 septembre, les étudiants qui ont choisi de vivre sur campus emménageront en résidence. Bien que des activités soient prévues pour les accueillir à leur nouveau domicile, le Bureau de la vie en résidence offre aussi un appui à ceux qui ont besoin d’un coup de pouce pour s’installer.

Le 4 septembre, après l’emménagement en résidence, les étudiants pourront participer à la Journée à la plage, toujours populaire, qui réservera des possibilités de développer un esprit d’équipe et de nouer de nouvelles amitiés. Les activités d’orientation seront présentées jusqu’au 12 septembre et compteront, entre autre, des visites guidées du campus, les premiers matchs à domicile de soccer interuniversitaire, des enseignements culturels (dans le wigwam et la garde du feu), une journée de carnaval, une soirée de jeux et une chasse au trésor. Du 5 au 9 septembre, tout le monde est bienvenu au feu sacré qui brûlera dans le foyer à l’extérieur de la Salle ronde du Centre autochtone de partage et d’apprentissage.

Pour assurer l’accessibilité complète des activités d’orientation, certaines seront offertes en format hybride ou en ligne.

La coordonnatrice des transitions de la population étudiante et conseillère aux études, et ancienne des programmes de psychologie (B.A.) et de santé interdisciplinaire (M.A.), Corie Ann Flesch est certaine que les activités d’orientation auront une incidence positive sur les étudiants. « Nous voulons que les étudiants sachent, en arrivant sur le campus, que la Laurentienne est une véritable communauté, explique-t-elle. Il s’agit d’un milieu bien chaleureux et soutenant qui leur donnera, on l’espère, un sentiment d’appui et d’appartenance. »

Dans cet esprit, une journée d’orientation aux études aura lieu sur le campus le 6 septembre. Les étudiants sont encouragés à assister aux séances d’information afin de s’initier aux ressources pédagogiques et aux autres soutiens qui pourraient contribuer à leur bien-être physique, mental, social et spirituel.

« Cette année, en planifiant l’orientation, nous voulions faire plus qu’informer tout simplement les étudiants des ressources offertes sur le campus, nous voulions leur assurer les meilleurs outils pour accéder fructueusement aux systèmes de soutien, souligne l’étudiante de troisième année en biologie biomédicale et coordonnatrice des activités liées à la carrière, des événements et de la liaison communautaire, Emma Groulx. Des stands d’accueils seront situés au cœur du campus, dans l’Édifice R.D.-Parker, pendant la Semaine d’orientation aussi bien que tout au long des premières semaines du trimestre. »

Déjà, l’énergie déborde sur le campus et tous les étudiants, nouveaux ou poursuivant les études, contribuent à l’emballement. 

Pour obtenir d’autres renseignements sur l’orientation d’automne et le calendrier des activités, consultez laurentienne.ca/orientation.
 

Grâce à des diplômés de la Laurentienne, une révolution s’opère en matière de rééducation des victimes d’accident vasculaire cérébral

Grâce à des diplômés de la Laurentienne, une révolution s’opère en matière de rééducation des victimes d’accident vasculaire cérébral

IRegained est une entreprise locale qui agit positivement sur la santé des gens.

(le 23 août, 2022) - Lorsqu’il a fondé IRegained en 2016, une entreprise qui s’attache à révolutionner la rééducation des victimes d’accident vasculaire cérébral, Vineet Benjamin K. Johnson savait qu’il devait s’adjoindre une équipe constituée de professionnels issus d’horizons divers, notamment l’ingénierie, les sciences informatiques et la kinésiologie. D’après les statistiques mondiales, 70 % des victimes d’accident vasculaire cérébral (AVC) ont besoin d’une rééducation de la main. Entrent en jeu IRegained et son invention, le système MyHand(MC). Entre en jeu également notre alma mater, puisque près de 60 % du personnel de cette entreprise sont des diplômés de l’Université Laurentienne.

L’invention, MyHand(MC) est un système de rééducation numérique intelligent, dont la validité scientifique est éprouvée, qui rétablit les circuits du cerveau en faisant appel au pouvoir de la neuroplasticité. Selon M. Johnson, ce système a contribué aux résultats remarquables chez les victimes d’AVC, dans leur rétablissement, notamment l’usage de leurs mains, améliorant ainsi leur qualité de vie.

Rakshit Sorathiya, programmeur informatique chez IRegained, qui détient une maîtrise en sciences computationnelles et qui a participé au développement de la technologie à l’origine du système MyHand(MC) en donne écho. « Pour moi, qui ai bénéficié d’orientations judicieuses des mentors de IRegained et des professeurs de l’Université Laurentienne, cela a été une expérience géniale que de mettre au point cette nouvelle technologie. Le travail sur des dispositifs IOP, comme les microcontrôleurs, m’a fait vivre une expérience totalement nouvelle. »

Britney Lamarche, titulaire d’une maîtrise en sciences appliquées, génie mécanique et responsable de la recherche et du développement en génie mécanique chez IRegained, abonde dans le même sens. « Je sens que le rôle que j’occupe ici est bien différent des autres emplois d’ingénieur que l’on pourrait trouver ordinairement. Comme nous sommes une petite entreprise, nous faisons un peu de tout. Si bien que, même si je suis ingénieure, je ne fais pas seulement de la conception assistée par ordinateur, je monte aussi l’appareil [le système MyHand(MC), j’observe les patients qui l’utilisent, je fais du dépannage et je remanie également la conception. »

Parlant de son travail chez IRegained, Éric Dumais, titulaire d’un baccalauréat en kinésiologie et responsable de la recherche clinique, ne manque ni enthousiasme ni optimisme. « Mon poste est gratifiant à plusieurs titres. Il nous donne la possibilité de changer la vie des victimes d’AVC que nous avons aidées et qui n’avaient presque aucun espoir quand nous les avons rencontrés. On ne peut donc se réjouir d’assurer en permanence des soins de haute qualité grâce à une technologie de pointe. »

Évoquant l’avenir, le fondateur, chef de la direction et président d’IRegained, M. Johnson, observe ce qui suit. « Il y a beaucoup de choses qui peuvent se faire. » IRegained espère lancer le système The MyHand(MC) au cours des prochaines années au moyen de la télémédecine, afin que les patients puissent se connecter à distance et dialoguer avec un thérapeute alors qu’ils utilisent l’appareil à domicile. Étant donné les répercussions considérables que les AVC peuvent avoir sur l’organisme, IRegained est également enthousiaste à l’idée de se développer, allant de la main à d’autres parties du corps qui pourraient bénéficier d’une rééducation à la suite d’un AVC.

À ce propos, M. Johnson estime qu’« il est très important de privilégier le recrutement local. » En d’autres termes, il est logique d’employer des diplômés de l’Université Laurentienne. Parlant de son équipe, il le fait avec beaucoup d’affection et se dit fier de l’incidence qu’elle a sur la vie de tant de personnes alors qu’IRegained n’en est qu’à ses débuts. Forte de la contribution des diplômés de l’Université Laurentienne, l’entreprise gardera certainement le cap sur la réadaptation touchant les AVC, pendant des années à venir, et apportera aux patients des raisons d’espérer.

Pour en savoir plus sur IRegained, rendez-vous sur son site Web ou suivez son actualité sur les médias sociaux : Facebook, LinkedIn ou Instagram.

Optimisme prudent : les confirmations reçues dépassent les attentes

Optimisme prudent : les confirmations reçues dépassent les attentes

Augmentation du nombre d’inscriptions confirmées à l’Université Laurentienne en 2022.

(le 22 août, 2022) - L’Université Laurentienne annonce que le nombre total d’étudiants dont l’inscription a été confirmée a augmenté de 25 % par rapport à l’année précédente, un signe positif en prévision de la rentrée d’automne 2022.

Cette augmentation s’observe dans le nombre de nouveaux étudiants nationaux et étrangers, tous cycles d’études confondus, y compris parmi les étudiants de transfert, adultes et à distance. Cette augmentation réelle aussi bien que la diversité des confirmants apportent un certain optimisme quant à l’avenir de l’Université et à l’année universitaire qui s’amorce.

« Alors que se profile à l’horizon une sortie fructueuse du régime de la LACC, et après une restructuration complète de l’enseignement, alignant les programmes d’études et les cours sur la demande effective des étudiants, la Laurentienne est bien placée pour envisager avec optimisme les demandes d’inscription de demain, a indiqué le président du Conseil des gouverneurs de l’UL, M. Jeff Bangs. Forts du soutien des membres dévoués du personnel, du corps professoral et de la communauté, nous sommes convaincus que la Laurentienne attirera de plus en plus d’étudiants alors que nous sortons d’une période d’incertitude sans précédent. »

Alors que la rentrée s’annonce, la Laurentienne a en effet vu augmenter les confirmations reçues des étudiants en provenance de l’étranger, l’un des objectifs qu’elle cherchait à réaliser afin de diversifier ses effectifs.

En chiffres, 2022 par rapport à 2021 :

  • variation globale en pourcentage chez les confirmants à +25%;
  • confirmants nationaux et finissants du secondaire (101) à -23,9 % (données du CDAUO*);
  • étudiants nationaux de transfert, adultes et à distance (105) à +34,4 % (données du CDAUO);
  • nombre total des confirmants nationaux de premier cycle (101+105) à -1,7 % (données du CDAUO);
  • confirmants de premier cycle en provenance de l’étranger à +37 % (données internes de la Laurentienne);
  • nombre total des confirmants nationaux aux cycles supérieurs à +32 % (données internes de la Laurentienne).

*Il convient de noter que les données susmentionnées reçues du CDAUO ne reflètent qu’une proportion des étudiants pouvant faire partie de la cohorte entrante globale de l’Université. Les données du CDAUO ne sont pas représentatives de l’effectif total inscrit de la Laurentienne. Ne figurent pas dans les données fournies par le CDAUO les confirmations des nouveaux étudiants nationaux aux cycles supérieurs, les confirmations auprès des étudiants de pays étrangers, tous cycles d’études confondus, ainsi que toutes les personnes qui poursuivent leurs études.

Les cours du trimestre d’automne de la Laurentienne commenceront le 7 septembre 2022.

UN VOTE FAVORABLE VEUT DIRE LA REPRISE DU CONTRÔLE

UN VOTE FAVORABLE VEUT DIRE LA REPRISE DU CONTRÔLE

C’est l’occasion de rebâtir la Laurentienne et d’en faire un établissement plus robuste

Tribune libre : Jeff Bangs

(17 août 2022) - Nous y sommes, on arrive à la fin… 

Il s’est déjà écoulé plus de dix-huit mois depuis que l’Université Laurentienne a engagé la procédure prévue par la LACC ouvrant ainsi la voie à un processus long, difficile, souvent conflictuel, qui a contraint notre établissement — et la communauté dans son ensemble — à faire un retour sur ses déficiences passées et à mieux comprendre comment assurer l’avenir de l’Université.
Parfois, je me suis demandé si nous n’avions pas atteint un point de non-retour. Ce n’est pas le cas. 

Lorsque je suis devenu membre du Conseil des gouverneurs, d’abord à titre intérimaire avant d’accepter officiellement le mandat de président au début de l’année, j’étais déterminé à faire en sorte que cette université ne tombe pas dans l’oubli. La raison est simple : la Laurentienne revêt une importance capitale pour Sudbury et l’Ontario, notamment au regard des populations autochtones et francophones qui comptent sur elle pour bénéficier des possibilités de formation locale et adaptées à leur milieu culturel. Elle compte également beaucoup pour les professeurs qui ont consacré leur carrière à la création et au maintien des programmes très appréciés par les étudiants de la région et du monde entier pour se préparer à des emplois d’aujourd’hui et de demain. Son importance est tout aussi immense pour les étudiants qui l’ont toujours privilégiée, un milieu du Nord où il fait bon de poursuivre des études postsecondaires de qualité élevée.      

Nous savons que l’avenir de la Laurentienne doit se faire par le rétablissement de relations fondées sur la confiance, la transparence et le respect mutuel. Nous sommes sur le point de tourner la page — si le Plan d’arrangements est approuvé prochainement à l’issue du vote des créanciers —, clôturant ainsi le chapitre le plus sombre de l’histoire de la Laurentienne, et de passer rapidement à la phase de reconstruction.

Pour y réussir, nous devons instituer des pratiques de gouvernance transparentes et un rôle participatif pour tous nos partenaires. Il y a autant de place pour collaborer avec les représentants syndicaux que pour travailler avec les retraités et les leaders de la communauté, dont la sagesse, l’expérience vécue et le dévouement envers la Laurentienne devraient être accueillis à bras ouverts. Un vote favorable au Plan d’arrangements est le moyen le plus sûr de conclure le processus voulu par la LACC et permettra à l’Université d’en sortir plus forte de son engagement à communiquer ouvertement avec toutes les parties prenantes.

Dernièrement, nous avons annoncé le recrutement de douze (12) professeurs à des postes à durée déterminée, et voulons investir davantage pour étoffer notre effectif professoral. À la suite d’un vote positif, nous trouverons les moyens de travailler ensemble pour augmenter les effectifs inscrits, ce qui nous permettra d’embaucher un complément de professeurs et de personnel. Nous accélérerons aussi le processus consistant à recruter un recteur ou une rectrice et un vice-recteur ou une vice-rectrice aux études et ferons participer toutes les parties prenantes à l’élaboration d’un nouveau Plan stratégique, réaliste et réalisable.

Ensemble, nous mènerons à bien, tant sur le plan du fonctionnement que sur celui de la gouvernance, la réforme nécessaire pour que la Laurentienne puisse se reconstruire et faire en sorte que les groupes de travail, les comités, le Sénat et le Conseil des gouverneurs œuvrent dans un esprit de collégialité et qu’ils se voient offrir la possibilité de contribuer valablement à ces instances de concertation qui nous aideront à façonner l’avenir de la Laurentienne. 

Pour les personnes appelées à voter, il est entendu que les temps présents sont stressants et que les tensions sont, à juste titre, très vives. Cependant, la désinformation qui prévaut actuellement au sein de la communauté, en exploitant les espoirs et les craintes de chacun, à l’exemple du mot d’ordre, « Votez non pour améliorer la donne », fait croire à tort que le rejet du Plan d’arrangements est un pari sans risque. Ce n’est pas le cas. Si le vote de rejet l’emporte, le dénouement le plus probable sera celui où les immenses efforts engagés pour sauver la Laurentienne cèderont la place à sa liquidation. Cela signifie la cessation des activités et, sous ce scénario, personne ne gagne : les emplois seront supprimés, les régimes de retraite dissous et les étudiants dispersés dans d’autres établissements d’enseignement postsecondaire.

Aux personnes qui croient pouvoir tenir bon et attendre une meilleure offre, la Laurentienne n’en a aucune à proposer. La vie suivra son cours et ce grand établissement sera relégué aux oubliettes de l’histoire. Sommes-nous vraiment prêts à voir disparaître la Laurentienne, sous nos yeux, alors que nous sommes si près de la sauver?

Dans sa nouvelle composition, le Conseil des gouverneurs est appelé à se montrer objectif dans son analyse de ce qu’il faudra faire pour sauver cette université. Travaillant sans répit, les membres bénévoles d’horizons et d’expérience de vie très divers en sont venus à proposer le meilleur plan possible et l’ont fait parce que les enjeux tiennent à la survie de la Laurentienne.

Pour les personnes qui doivent se prononcer, je reconnais que vous n’avez pas demandé à vous retrouver face à cette proposition. Toutefois, aussi modeste que vous puissiez juger votre participation à cette décision importante, je tiens à vous assurer que votre voix compte. Méfiez-vous donc des personnes qui voudraient vous faire croire le contraire. Nous vous prions de réfléchir longuement et avec soin aux conséquences d’un vote défavorable, car il pourrait déclencher une chaîne d’événements dont la Laurentienne ne se remettra pas.

En votant « oui », même à contrecœur, vous nous donnez le moyen de reprendre les rênes. En votant ainsi, vous nous donnez la chance de faire que la Laurentienne bénéficie d’un avenir plus prospère, plus solidaire et plus stable sur le plan financier.

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Jeff Bangs, Président du Conseil des gouverneurs de l'Université Laurentienne

L’Université Laurentienne embauchera douze nouveaux professeurs pour une durée déterminée

L’Université Laurentienne embauchera douze nouveaux professeurs pour une durée déterminée

Ce complément d’effectif viendra appuyer de nombreux programmes et écoles.

(le 17 août 2022) - L’Université Laurentienne embauchera douze membres du corps professoral pour une durée déterminée dans diverses unités d’enseignement. Cet investissement contribuera au soutien des programmes d’études et d’apprentissage prévus pour l’année à venir et se prolongera par la suite lors de l’année universitaire 2023.
 
Parmi les programmes et écoles pour lesquels les nouveaux professeurs sont recrutés, il faut souligner :

  • École des relations autochtones
  • Sciences infirmières
  • École des arts libéraux
  • Génie
  • Sciences computationnelles
  • Administration des affaires
  • Bibliothèque et Archives

« Cet investissement dans notre capacité d’enseignement et d’apprentissage améliorera sans aucun doute l’expérience étudiante, a indiqué le président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, M. Jeff Bangs. Les étudiants continueront en effet de bénéficier d’un enseignement direct de leurs professeurs au moyen d’un apprentissage personnalisé. 

Les membres du personnel et du corps professoral de l’Université se préparent déjà à accueillir les étudiants dans le cadre des activités d’orientation, qui débuteront le 1er septembre, et lors du premier jour officiel de cours, le 7 septembre 2022.

La liste complète des douze postes de professeur à pourvoir figure à https://laurentienne.ca/carrieres/corps-professoral


 

M. Dominic Beaudry nommé vice-recteur associé à l’enseignement et aux programmes autochtones

M. Dominic Beaudry nommé vice-recteur associé à l’enseignement et aux programmes autochtones

(le 15 août, 2022) - Nous sommes heureux d’annoncer la nomination de M. Dominic Beaudry au poste de vice-recteur associé à l’enseignement et aux programmes autochtones (VRA-EPA), avec entrée en fonction le 1er octobre 2022.

Dans ce rôle, M. Beaudry assurera un leadership dans la promotion, le développement et la mise en œuvre d’initiatives et de programmes appuyant la mission du Conseil de l’Université Laurentienne pour la formation des Autochtones (CULFA) de soutenir l’autodétermination des peuples autochtones. En outre, il assurera l’accès aux étudiants autochtones et appuiera leur persévérance et leur diplomation. Il mettra un accent suivi sur les initiatives et les programmes récents, y compris l’Institut de recherche autochtone Maamwizing et le Centre autochtone de partage et d’apprentissage (hébergeant les Affaires étudiantes autochtones) tout en appuyant l’engagement continu envers la croissance de contenu autochtone dans tous les programmes d’études.

Historien anishnaabe et défenseur de la langue, il a acquis une vaste expérience de la formation des Autochtones et de l’apprentissage stratégique et axé sur la terre. Il a exercé récemment le rôle d’agent d’éducation auprès du ministère de l’Éducation de l’Ontario et, avant cela, d’enseignant et d’animateur culturel et linguistique anishinaabe.

M. Beaudry siège actuellement au CULFA et est membre du comité consultatif des Autochtones du nord-est de Science Nord ainsi que du comité consultatif des programmes généraux en arts et sciences au Collège Cambrian. Il est titulaire de grades en éducation et histoire et, en qualité d’historien anishinaabe, prépare actuellement un doctorat en sciences humaines et interdisciplinarité à la Laurentienne.

Nous tenons à remercier profondément Mme Susan Manitowabi d’avoir pourvu à l’intérim le poste de vice-rectrice associée à l’enseignement et aux programmes autochtones et sommes très reconnaissants aux membres du comité consultatif du temps et de l’énergie qu’ils ont accordés au procédé de recrutement.

En attendant avec intérêt de collaborer avec M. Beaudry, qui apportera des perspectives vastes et profondes en tant que leader autochtone en éducation, nous vous invitons à vous joindre à nous pour l’accueillir à l’Université Laurentienne.

Les camps d’été des Voyageurs attirent la jeunesse locale

Les camps d’été des Voyageurs attirent la jeunesse locale

Les camps renforcent les compétences en leadership et l’esprit d’équipe qui appuient le développement des jeunes.

(le 12 août, 2022) - Les camps d’été des Voyageurs pour les jeunes, gérés par l’équipe du Service des loisirs, constituent des services uniques de garde qui encouragent le développement des jeunes au moyen de diverses activités. Ils ont commencé au début de juillet et sont offerts jusqu’au 3 septembre. Jusqu’à présent, ils ont accueilli des centaines de jeunes qui ont acquis des compétences en leadership et renforcé leur esprit d’équipe.

Le camp d’aventure en plein air et le camp multisports, destinés aux 6 à 13 ans, ont lieu en alternance chaque semaine. Le camp d’aventure en plein air comporte diverses activités, notamment le canotage, le kayak, la pêche, la randonnée pédestre et la formation pour la survie dans la nature (construire un abri, allumer un feu de camp, faire des nœuds, etc.) Le camp multisports offre diverses activités sportives intérieures et extérieures, comme le hockey en salle, le basketball, le soccer, le frisbee ultime, le badminton, le volleyball et le squash.

Les camps des mini-Voyageurs, destinés aux enfants de 4 et 5 ans, ont lieu tout l’été et incluent une combinaison d’activités en plein air et multisports ainsi que d’autres qui favorisent le travail en équipe et la créativité.

Les camps de basketball, de soccer et de baseball font aussi partie des camps d’été des Voyageurs. Ils sont dirigés par des entraîneurs et des athlètes des équipes de la Laurentienne. Les jeunes apprennent les règles et techniques ainsi que les qualités d’un bon joueur d’équipe et l’acceptation de la défaite. Tous les camps se déroulent dans les installations du campus, à savoir des gymnases de pleine grandeur, deux terrains de squash, un terrain de volleyball de plage, une course d’obstacles (appelée la tour Tango), trois terrains de soccer et quatre courts de tennis.

Il est possible d’offrir les camps non seulement grâce au personnel du Service des loisirs, mais aussi aux moniteurs (des étudiants de la Laurentienne) qui encouragent le travail en équipe et la résilience tout en assurant l’environnement le plus sécuritaire possible pour toutes les activités. Les camps acceptent également des bénévoles élèves du secondaire qui apportent de l’aide pour la planification et l’exécution des activités, un excellent moyen pour eux d’accumuler des heures de services communautaires.

Jean Benoit, coordonnateur du Service des loisirs, dit des moniteurs dévoués que ce sont « des étudiants qui sont extrêmement attentionnés et prêts à aider les jeunes. Ils consacrent bien plus d’heures que ce que vous voyez durant la journée. Ils sont patients et travaillent consciencieusement ».

Le travail avec les jeunes participants passionne Shaelynne Wallace, monitrice à un camp des Voyageurs et étudiante dans le programme de Concurrent Education. « Chaque année, j’adore voir les enfants essayer de nouvelles choses, sortir de leur zone de confort, se faire de nouveaux amis et repartir avec des souvenirs. Le travail au camp m’a aidée à penser rapidement, à perfectionner mes compétences en leadership et à apprendre à travailler sur des idées avec différentes personnes. Le travail aux camps d’été est vraiment le meilleur moyen de passer l’été.»

Pour en savoir davantage sur les camps d’été des Voyageurs pour les jeunes, écrivez au coordonnateur du Service des loisirs, Jean Benoit, à campusrec@laurentian.ca, ou visitez le site Web des Voyageurs de l’Université Laurentienne ou leur page Facebook.

Mme Joy Gray-Munro est nommée doyenne de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture

Mme Joy Gray-Munro est nommée doyenne de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture

Une cadre de longue date de l’Université commence immédiatement ses nouvelles fonctions.

(29 juillet 2022) - Le recrutement à l’échelle nationale d’un doyen ou d’une doyenne de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture est maintenant terminé, et l’Université Laurentienne est heureuse de présenter la nouvelle doyenne, Mme Joy Gray-Munro.

Professeure agrégée à la Faculté des sciences, de génie et d’architecture, Mme Gray-Munro est à la Laurentienne depuis près de 20 ans et y a assumé diverses fonctions de dirigeante, notamment :

Leader parmi ses homologues, elle a obtenu le Prix d’excellence en enseignement à plein temps de l’Université Laurentienne en 2018 pour son dévouement envers l’enseignement. Ses recherches sont axées sur la chimie, en particulier la chimie de surface, avec un accent sur la modification de la surface des matériaux d’implants biomédicaux pour en améliorer la biocompatibilité. Elle se concentre surtout sur la conception d’enduits pour contrôler le taux de biodégradation et la biocompatibilité des implants métalliques biodégradables pour les applications orthopédiques.

Mme Gray-Munro a obtenu un doctorat en chimie de l’Université de Western Ontario en 2001 et un baccalauréat en chimie de l’Université Mount Allison. Son travail de doctorat consistait à modifier la surface de polymères biomédicaux pour leur donner des propriétés antibactériennes. Elle a fait des stages postdoctoraux au Conseil national de recherches et à l’Université de New Brunswick avant de devenir membre du corps professoral de l’Université Laurentienne en 2003.

Mme Gray-Munro entrera officiellement en fonction le 1er août 2022. L’Université remercie M. Dean Millar qui a été le doyen intérimaire depuis décembre 2020 de ses nombreuses contributions.

L’Université Laurentienne accueille des élèves d’écoles secondaires au Canada pour un programme bilingue et triculturel d’été

L’Université Laurentienne accueille des élèves d’écoles secondaires au Canada pour un programme bilingue et triculturel d’été

Shad Canada donne aux jeunes les outils requis pour relever des défis grâce à des solutions fondées sur les STIAM.

(le 28 juillet, 2022) - Du 3 au 29 juillet, une cohorte de 56 élèves canadiens de 10e et de 11e années s’affairent à participer au programme de 27 jours de Shad Canada sur le campus de l’Université Laurentienne. La Laurentienne est l’une de 21 universités hôtes au Canada à s’allier à Shad Canada, organisme sans but lucratif qui transmet aux jeunes les outils qu’il leur faut pour adresser des défis sociaux et économiques sous une optique de STIAM (sciences, technologie, ingénierie, arts et mathématiques) et d’entrepreneuriat.
 
« Des élèves de presque toutes les provinces participent au programme cette année, a expliqué le codirecteur de Shad à la Laurentienne, Christian Laforge. Les jeunes sont talentueux et hétérogènes. Certains sont des athlètes classés sur les plans provincial ou national tandis que d’autres sont d’excellents musiciens ou des gagnants d’expo-sciences nationales. » Beaucoup d’élèves y font leur première expérience loin de chez eux pour une longue période.

Les participants (appelés « Shads ») s’immergent complètement dans le programme en logeant en résidence sur le campus de la Laurentienne. Dans le cadre d’un programme d’activités soigneusement planifié, ils assistent à des cours magistraux et à des ateliers, participent à des excursions en canoë et à des aventures de camping et écoutent des enseignements autochtones grâce à l’identité triculturelle de la Laurentienne. En juillet, 18 des 21 établissements partenaires de Shad Canada ont offert le programme et la Laurentienne est la seule proposant une expérience bilingue.

Bien que l’enrichissement scolaire et culturel sous l’optique entrepreneuriale et des STIAM soit au cœur de Shad à la Laurentienne, la promotion d’un sentiment communautaire l’est aussi. Ainsi, les Shads sont allés faire des visites un peu partout dans le Grand Sudbury, y compris aux collèges Boréal et Cambrian, à Terre dynamique, à Science Nord, à l’Université de l’EMNO et même à un marché des fermiers. Une subvention du Fonds de soutien aux événements du secteur de tourisme et de culture de la Ville du Grand Sudbury a aidé à financer de la programmation axée sur le bien-être de Shad à la Laurentienne.

« La Ville du Grand Sudbury et Tourisme Sudbury sont fiers d’appuyer ce programme apportant des apprentissages transformateurs aux élèves de partout au Canada, a dit le maire du Grand Sudbury, Brian Bigger. Le programme de Shad offre une expérience inégalée qui permet aux élèves de s’initier aux STIAM et à l’entrepreneuriat tout en explorant le milieu d’apprentissage avoisinant dans le Grand Sudbury. » La semaine dernière, le maire Bigger est allé sur le campus de la Laurentienne pour rencontrer les Shads.

Alors que le programme de Shad à la Laurentienne 2022 se termine cette semaine, les Shads ont la chance aujourd’hui de faire valoir ce qu’ils ont appris et le plus apprécié de cette expérience en participant à une journée d’activités libres.

« C’est un merveilleux groupe de jeunes, a exprimé le codirecteur de Shad à la Laurentienne et professeur titulaire, Thomas Merritt, Ph.D. Durant les trois dernières semaines, nous les avons vus explorer leurs intérêts dans les domaines de STIAM, travailler en équipes, poser des questions et formuler des solutions. L’énergie et l’enthousiasme dont ils font preuve sont contagieux. »

L’équipe de Shad à la Laurentienne prévoit de nombreuses années de réussite dans le cadre de son partenariat avec Shad Canada. Le programme offre non seulement une possibilité pédagogique sans pareil aux élèves du palier secondaire dont les études à la Laurentienne pourraient intéresser, mais embauche aussi plusieurs anciens et étudiants de l’Université.

« Shad Canada se réjouit de compter l’Université Laurentienne parmi les établissements offrant un programme en personne en 2022, a dit la directrice des programmes nationaux de Shad Canada, Leanne O’Donnell. La Laurentienne offre une expérience triculturelle exceptionnelle à nos participants pancanadiens. »

Pour obtenir des renseignements sur les futures possibilités offertes dans le cadre de Shad à la Laurentienne, veuillez communiquer avec Christian Laforge à christian.laforge@laurentienne.shad.ca ou Thomas Merritt à thomas.merritt@laurentienne.shad.ca
 

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