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Défis de l’Université Laurentienne liés à la COVID-19

Défis de l’Université Laurentienne liés à la COVID-19

Sudbury ON, 29 avril 2020. L’Université Laurentienne a annoncé aujourd’hui qu’elle est confrontée à d’importants défis financiers découlant de la COVID-19. Quoique ses retombées sur le secteur universitaire ne soient pas encore toutes connues et comprises, la COVID-19 et d’autres pressions financières préexistantes obligent l’Université à modifier son plan de viabilité et en accélérer la mise en œuvre afin de régler un manque à gagner d’environ 15 000 000 $ pour l’exercice 2020-2021.

 

« Ces dernières années, nous nous sommes regroupés en tant que communauté et avons mobilisé l’ingéniosité de notre main-d’œuvre pour trouver des solutions viables, a indiqué le recteur et vice-chancelier, M. Robert Haché. Nous continuerons de prouver que nous pouvons faire cela en travaillant together, ensemble, maamwi. »

 

« La pandémie a créé une crise supplémentaire urgente pour la Laurentienne, a dit la vice-rectrice à l’administration, Mme Lorella Hayes. Notre université a connu des difficultés financières ces dernières années, mais nous avons mis en œuvre notre plan de viabilité et constatons d’importants résultats positifs. »

 

Le tableau financier de l’Université a fait l’objet de beaucoup de discussions au Conseil des gouverneurs de l’UL et au sein de communauté alors que l’UL travaille pour assurer un avenir durable pendant une période difficile. Avant la COVID-19, l’Université devait afficher un petit déficit de moins de 1 000 000 $ pour l’exercice en cours qui se termine le 30 avril 2020. La pandémie pourrait le faire grimper à quelque 6 000 000 $.

 

De plus, avant la COVID-19, l’Université essayait de combler un manque à gagner de 9 000 000 $ pour l’exercice 2020-2021, découlant principalement de la réduction permanente et du gel des droits de scolarité des étudiants canadiens et des réductions des subventions provinciales. Elle appliquait une approche équilibrée de réduction continue des coûts et de croissance des inscriptions. Elle modifie maintenant ses prévisions financières et planifie des réductions supplémentaires des coûts afin d’avoir un budget équilibré en 2020-2021.

 

« Si nous n’agissons pas, a indiqué M. Haché, la combinaison de la baisse potentielle des inscriptions, de nos défis financiers préexistants et des nouvelles retombées de la COVID-19 pourrait nous faire basculer au point de menacer la viabilité financière de l’Université. »

 

La Laurentienne fera tout en son pouvoir pour ne pas en arriver là. Elle explore activement des possibilités de réduire les risques financiers et d’appuyer la population étudiante actuelle et les nouveaux étudiants. L’Université tiendra aujourd’hui une réunion publique pour fournir des renseignements sur ses difficultés financières aux membres de sa communauté et leur demander de fournir de nouvelles idées audacieuses. Elle a aussi pris des mesures immédiates, notamment :

 

  • suspension des nouvelles embauches;
  • report du remplacement ou élimination de nombreux postes vacants;
  • réduction des contrats de travail occasionnel, à temps partiel et de durée déterminée;
  • suspension de toutes les dépenses de fonctionnement non essentielles.

 

« Ces décisions difficiles ne reposaient pas sur le rendement, mais plutôt sur nos défis financiers, a souligné Mme Hayes. Nous remercions nos collègues et notre main-d’œuvre de leurs immenses contributions à l’Université. Tous ces employés ont accompli un travail important et précieux; nous espérons pouvoir leur offrir de nouveau du travail à l’avenir. »

 

La Laurentienne accélérera la mise en œuvre du plan actuel de viabilité. Elle envisage également d’autres mesures et initiatives de viabilité.

 

« Nous voulons que notre population étudiante et nos étudiants potentiels sachent que leur réussite scolaire et leur expérience étudiante seront pleinement maintenues alors que nous remanions nos processus opérationnels, a indiqué M. Haché. Comme nous l’avons montré dans la réponse à la COVID-19, nous continuerons de donner la priorité à la population étudiante dans tout ce que nous faisons. »

 

« Nous visons des buts et des objectifs qui gardent la Laurentienne sur la voie pour réaliser son plein potentiel en tant que l’une des universités canadiennes hors pair, englobantes et axées sur la recherche, a souligné M. Haché. Nous atteindrons nos buts et objectifs renouvelés en tant que fier établissement bilingue et triculturel, offrant de solides programmes en français et en anglais et en tant que leader du succès de notre population étudiante autochtone. »

 

Inspirée par ses chercheurs, son corps professoral et son personnel dont les efforts concertés pour lutter contre la COVID-19 prouvent le pouvoir des solutions collaboratives dans les temps difficiles, l’Université Laurentienne consulte largement sa communauté et ses partenaires syndicaux pour solliciter leurs nouvelles idées audacieuses en vue de s’attaquer au déficit et d’assurer l’excellence universitaire.

 

L’Université Laurentienne est un chef de file des universités dans la réponse à l’éclosion de la COVID-19. Elle a été la première au Canada à reconnaitre la gravité de l’éclosion et à suspendre les activités en personne. Elle a aussi été la première à faire la transition complète vers l’apprentissage à distance. La grande majorité de sa population étudiante est sur la bonne voie pour terminer le trimestre dans les temps et elle est déterminée à continuer d’offrir ses programmes aux trimestres du printemps et de l’automne.

 

« Notre but est de continuer de fournir à notre population étudiante une expérience universitaire exceptionnelle et de faire en sorte que la Laurentienne demeure l’université par excellence du nord de l’Ontario, a conclu M. Haché. Nous demeurons déterminés à fournir un enseignement qui prépare la population étudiante pour le marché du travail et à apporter une contribution au Grand Sudbury et à la compétitivité économique de l’ensemble du Nord. »

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne est située sur le territoire couvert par le Traité Robinson-Huron de 1850 et reconnait qu’elle se trouve sur les terres traditionnelles des Atikameksheng Anishnawbek et à proximité de la Première Nation de Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche et d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.

Un chercheur de l’UL formule des recommandations essentielles pour la recherche de la vie sur Mars

Un chercheur de l’UL formule des recommandations essentielles pour la recherche de la vie sur Mars

La recherche du Prof. Alessandro Ielpi vise à aider la NASA à optimiser l’efficacité de l’imminente mission du rover sur Mars

(23 avril 2020) Professeur adjoint de sédimentologie à l’École des sciences de la Terre Harquail de l’Université Laurentienne, M. Alessandro Ielpi, Ph.D., a publié un article qui pourrait avoir une incidence profonde sur la recherche de la vie autre que sur Terre. Il a corédigé avec M. Mathieu Lapôtre de l’Université Stanford un article qui met l’accent sur un site prometteur d’atterrissage sur Mars.

La National Aeronautics and Space Administration (NASA) a choisi le delta d’une ancienne rivière dans le cratère Jezero de Mars comme site d’atterrissage du nouveau rover terrestre Perseverance. La région, qui hébergeait auparavant un réseau de voies d’eau, est, selon les experts, un endroit idéal où trouver des preuves de la vie sur la planète rouge.

Publié cette semaine dans la revue AGU Advances de l’American Geophysical Union, l’article de MM. Lapôtre et Ielpi détaille le paysage du delta de Jezero tout en présentant des recommandations clés relatives aux stratégies d’échantillonnage une fois que le rover aura atterri et sera fonctionnel. Essentiellement, l’article indique que les sédiments de rivières anciennes ont été enfouis rapidement, ce qui favoriserait la préservation à long terme d’éventuelle matière organique.

Comme pour toute recherche scientifique, il est impossible d’entrevoir les résultats de la mission, qui élucideraient des mystères de l’évolution de la vie sur Terre et ailleurs, et dont les bienfaits s’avèreraient illimités. Nous espérons que l’article de MM. Lapôtre et Ielpi jouera un rôle clé dans l’œuvre de l’agence spatiale.

CITATION
« Les études comme la nôtre consolident l’importance de la recherche scientifique fondamentale visant, par exemple, à trouver des signes de vie extraterrestre et à examiner l’habitabilité d’autres planètes, même pendant les périodes difficiles comme celle que nous vivons actuellement. En outre, elles illustrent la façon dont les chercheurs peuvent examiner sur Terre des paysages analogues à Mars afin de mieux comprendre l’histoire du début de la planète rouge. » M. Alessandro Ielpi, professeur adjoint de sédimentologie à l’École des sciences de la Terre Harquail de l’Université Laurentienne

Image courtoisie de la NASA  / JPL / UA / Seán Doran, utilisée sous la licence Creative Commons

L’Université Laurentienne donne des milliers de masques de haute qualité aux travailleurs de la santé de première ligne à Sudbury

L’Université Laurentienne donne des milliers de masques de haute qualité aux travailleurs de la santé de première ligne à Sudbury

Ce don à HSN est attribuable à un partenariat continu avec la Jianxi University of Science and Technology

L’Université Laurentienne continue de faire preuve d’engagement envers la sécurité des travailleurs essentiels pendant la pandémie de la COVID-19. Cette semaine, elle a fait un don de 8 000 masques à ses collègues d’Horizon Santé-Nord.

Ces masques chirurgicaux aident à atténuer les risques d’exposition aux matières aériennes nuisibles en éliminant par filtrage 95 % des particules possiblement nocives. Santé Canada recommande ce masque pour tous les travailleurs de la santé qui sont en étroit contact avec des patients pouvant être atteints de maladies transmises par des gouttelettes aéroportées.

Ce don aurait été impossible sans l’aide opportune de nos partenaires à la Jiangxi University of Science and Technology (JXUST). Nous les remercions de leurs efforts et nous réjouissons à la perspective d’une collaboration positive suivie avec eux.

CITATION
« Le don de ces masques témoigne de la mobilisation de nos partenaires pour assurer la réussite de notre programme commun. La collaboration entre la Jiangxi University of Science and Technology et l’Université Laurentienne est un exemple à suivre par tous les partenaires du monde universitaire sur la scène internationale, car elle repose sur le respect réciproque et l’objectif commun d’améliorer chaque communauté. Le partenariat n’aurait pas évolué sans l’aide de M. Dongyu Tom Lin, de SLARK, qui a appuyé le don de masques conjointement avec nos collègues à la JXUST. Nous le remercions ainsi que le recteur Yang Bin. Nous sommes plus forts ensemble. » Justin Lemieux, directeur du recrutement de la population étudiante à l’Université Laurentienne.
 

La Laurentienne met à profit des technologies de pointe dans la lutte contre la COVID-19

La Laurentienne met à profit des technologies de pointe dans la lutte contre la COVID-19

La Laurentienne et des partenaires utilisent des imprimantes tridimensionnelles pour créer de l’équipement essentiel de protection

La communauté de l’Université Laurentienne continue de faire son possible et de mobiliser des efforts pour lutter contre la propagation du coronavirus. Notre projet le plus récent vise à aider à protéger les travailleurs de santé de première ligne pendant la pandémie.

En utilisant les imprimantes tridimensionnelles de l’Espace-création (Makerspace) de l’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff-Fielding, nous avons créé un serre-tête pour la tenue d’écran facial en nous fondant sur une conception libre du cabinet suédois 3D Verkstan. Le serre-tête est simple, polyvalent et facile à fabriquer et permet l’apposition de matériaux, comme le plastique transparent, que les travailleurs de la santé portent comme écran facial pour se protéger de matières dangereuses, dont le virus.

Le projet découle d’une bonne volonté d’aider. La gestionnaire de l’innovation et de la commercialisation à la Laurentienne, Mme Gisele Roberts, a appelé récemment Horizon Santé-Nord pour déterminer l’aide que la Laurentienne pouvait apporter. En tenant compte de tous les outils à notre disposition, nous avons décidé de fabriquer les serre-tête.

Pour concrétiser ce projet, l’équipe dévouée de chercheurs et d’innovateurs de la Laurentienne collabore avec des collègues d’établissements partenaires. La conception a été proposée par l’École de médecine du Nord de l’Ontario tandis que le Collège Cambrian, le Collège Boréal, Science Nord, les écoles secondaires Lively District et Lo-Ellen Park et le partenaire industriel Ionic Mechatronics ont été appelés à produire des matériaux. Les 300 premiers serre-tête ont déjà été livrés à Horizon Santé-Nord et des centaines d’autres suivront.

La Laurentienne lance son premier manuel gratuit en ligne

La Laurentienne lance son premier manuel gratuit en ligne

Le livre de Susan Manitowabi sur l’histoire des autochtones et leurs contributions au Grand Sudbury sera offert pendant la Semaine des ressources éducatives en libre accès

(N'SWAKAMOK/SUDBURY, le 4 mars 2020) L’Université Laurentienne est fière d’annoncer le lancement d’un manuel électronique inégalé et le premier en son genre qu’elle distribue, à savoir Historical and Contemporary Realities: Movement Towards Reconciliation: The Traditional and Cultural Significance of the Lands Encompassing the District of Greater Sudbury and Area. 

L’auteure du livre est Jidmoonh-kwe, la professeure Susan Manitowabi, Ansihinaabekwe de Wigwaskinaga et membre du mkwa dodem (clan des ours). Rédigé avec l’appui de l’École des relations autochtones, le manuel explique le sens autochtone historique des terres entourant le Grand Sudbury tout en décrivant les contributions des peuples et organismes autochtones du territoire. Il jette des fondements qui facilitent la compréhension des enseignements culturels, des pratiques de guérison et des formes du savoir tout en ouvrant le dialogue sur la réconciliation.

De manière décisive, ce manuel présente des lignes directrices pouvant orienter d’autres personnes qui veulent produire une ressource semblable dans leur domaine et leur permettre d’adapter l’approche pour un autre ouvrage.

Même si le contenu de ce manuel électronique a été conçu pour deux cours particuliers à la Laurentienne, il est offert en libre accès aux éducateurs et aux étudiants. La ressource conviviale est téléchargeable sur le Web en PDF, ePub et d’autres formats standard et les utilisateurs peuvent y choisir la matière de chaque module qui convient à leur propre plan de cours. Le contenu du manuel est protégé sous une licence Creative Commons Attribution et offert dans le cadre de l’Initiative de manuels libres d’eCampusOntario.
Pour la rédaction de ce manuel, la professeure Manitowabi a été solidement appuyée de collègues et a collaboré étroitement avec des membres de l’Unité d’enseignement et d’innovation du Centre d’excellence universitaire, de la population étudiante et du corps professoral. En outre, eCampusOntario a apporté un financement au projet.

CITATION
« Préparer une ressource éducative à libre accès a été un projet intéressant, dont j’envisageais difficilement le produit final, un peu comme faire un casse-tête. Chaque collaborateur travaillait sa part et je devais être sûre que tous les éléments s’agenceraient bien. Il n’y avait aucun modèle à suivre, un peu comme une œuvre d’art, et nous ne savions pas à quoi nous attendre en ce qui concerne le produit final, même si nous pouvions l’entrevoir. Après que tous les éléments ont été rassemblés, nous avons pu admirer l’œuvre produite. Je tiens à remercier tous les collaborateurs qui ont aidé à produire ce manuel dans très peu de temps. Je suis très reconnaissante à l’équipe qui m’a aidée à préparer ce livre, sans qui le projet n’aurait pas vu le jour. » -- Mme Susan Manitowabi, Professeure adjointe dans l’École des relations autochtones à l’Université Laurentienne

La Laurentienne et Waubetek jettent les bases d’une collaboration future

La Laurentienne et Waubetek jettent les bases d’une collaboration future

L'université signe une lettre d’intérêt avec la société autochtone de développement commercial

(TORONTO, 3 mars 2020) – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer qu’elle a signé aujourd’hui, lors du Congrès de l’Association canadienne des prospecteurs et entrepreneurs (ACPE) à Toronto, une lettre d’intérêt avec la Waubetek Business Development Corporation. Cette lettre prépare le terrain pour une collaboration interinstitutionnelle sous l’égide du Centre autochtone d’excellence en mise en valeur des minéraux de Waubetek.

La directrice générale de Waubetek, Mme Dawn Madahbee Leach, a signé le document avec le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Robert Haché, après une discussion d’experts de projets communs d’exploration minérale lors du Congrès de l’ACPE. Waubetek, qui signifie l’avenir an anishinaabemowin, vise à nouer de plusieurs façons des partenariats authentiques entre les sociétés minières et les communautés autochtones, y compris en concluant des ententes exhaustives sur les répercussions et les avantages. La lettre d’intérêt en question constitue une étape de plus pour concrétiser ces projets éventuels. Le Centre d’excellence bénéficiera de liens directs de communication avec des unités de la Laurentienne axées sur les mines, notamment MIRARCO, l’École des mines Goodman et l’École des sciences de la Terre Harquail.

CITATIONS
« Je me réjouis d’appuyer cette lettre d’intérêt conclue avec la Waubetek Business Development Corporation pour le Centre autochtone d’excellence en mise en valeur des minéraux, une association naturelle pour l’École des mines Goodman et MIRARCO. Je me réjouis à la perspective de collaborations suivies de recherche et de formation entre la Laurentienne et Waubetek qui appuieront la mise en valeur des minéraux par les autochtones. » -- Jennifer Abols,  directrice générale de l’École des mines Goodman et PDG de MIRARCO

« La Waubetek Business Development Corporation est heureuse de travailler aux côtés de l’Université Laurentienne pour renforcer les compétences et les connaissances des autochtones dans l’industrie du développement minéral. Le Centre autochtone d’excellence en mise en valeur des minéraux profitera de cette importante relation avec le monde universitaire, une centrale indispensable d’information, de recherche, d’études de cas, de pratiques exemplaires, d’outils, de modèles et de formation, surtout pour les autochtones, mais aussi pour seconder l’industrie minière et les gouvernements. Waubetek comprend que forger des relations est un élément clé pour favoriser la compréhension. » -- Dawn Madahbee Leach, directrice générale de la Waubetek Business Development Corporation

AU SUJET DE LA WAUBETEK BUSINESS DEVELOPMENT CORPORATION
Waubetek Business Development Corporation a pour mission d’améliorer la situation économique des collectivités de Premières Nations et du nord-est de l’Ontario en offrant des services commerciaux et économiques à la fois proactifs, professionnels et pertinents.
 

La Laurentienne couronne une autre fructueuse Semaine de la recherche à la cérémonie de remise de prix

La Laurentienne couronne une autre fructueuse Semaine de la recherche à la cérémonie de remise de prix

La communauté met en valeur la bonne éthique de travail et les approches innovatrices à l’apprentissage

(Le 2 mars 2020) : Pour clôturer la Semaine de la recherche, qui a été aussi agréable qu’achalandée, l’Université Laurentienne a rendu hommage à certains des esprits les plus brillants de sa communauté lors du gala de remise de prix.

Prix d’innovation
Lauréate du Prix d’innovation de cette année, Mme Nancy Young, qui est directrice de l’École de santé dans les milieux ruraux et du Nord et titulaire de la Chaire de recherche en santé infantile en milieux ruraux et du Nord, s’évertue à améliorer la vie des enfants partout dans le monde. Le gouvernement fédéral a octroyé récemment 1 500 000 $ à IaMWell, programme de santé mentale pour les jeunes autochtones créé en partie grâce aux efforts de Mme Young. Le Prix d’innovation de l’Université Laurentienne, décerné à Mme Young, reconnaît les membres du corps professoral dont les recherches ont débouché sur une technologie, un procédé ou un produit des plus innovants et avantageux pour la communauté universitaire et la société en général.

Prix d’excellence en recherche
Félicitations au directeur du Programme de théâtre à l’Université Laurentienne, M. Alain Doom, auteur publié, éducateur primé et dramaturge, qui a gagné le Prix d’excellence en recherche. Son œuvre la plus récente, Le Club des éphémères, sera présentée en mars au Théâtre du Nouvel-Ontario, à Sudbury. Le Prix d’excellence en recherche est remis aux personnes qui ont enregistré un rendement exceptionnel dans un ou plusieurs domaines de recherche au cours des cinq dernières années. Les travaux de M. Doom ont rehaussé le prestige et la réputation de l’Université Laurentienne. Il donnera une conférence spéciale pendant la Semaine de la recherche 2021.
 
Consultez une liste des lauréats

CITATION
« Félicitations au Bureau des services de recherche, au Vice-rectorat à la recherche et à la Faculté des études supérieures qui ont assuré le succès de la Semaine de la recherche. Nous avons raison de célébrer. Je tiens à remercier toutes les personnes qui apportent une contribution à la croissance de notre établissement; j’ai hâte de voir les voies qu’elles se frayeront à l’avenir. » M. Robert Haché, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne
 

Les étudiants brillent pendant la 4e édition annuelle du défi d'or Goodman

Les étudiants brillent pendant la 4e édition annuelle du défi d'or Goodman

Ce concours d’investissement minier exceptionnel et réaliste accorde aux étudiants une précieuse expérience pratique

SUDBURY, ON (le 24 février 2020) – Des étudiants de partout au Canada sont venus à Sudbury au début du mois pour participer à l’édition annuelle du Défi d’or Goodman, concours d’investissement minier réaliste et inégalé. Des équipes de sept universités canadiennes ont participé au concours et devaient analyser le potentiel d’investissement de trois entreprises et en recommander une aux fins d’investissement.

Le Défi d’or Goodman est organisé par l’École des mines Goodman de l’Université Laurentienne et présenté par Kinross Gold, commanditaire en titre pour la quatrième année consécutive. Cette année, les compagnies aurifères Lundin Gold, Maritime Resources et Marathon Gold Corporation ont fait l’objet des études de cas.

Les étudiants ont mis au défi les entreprises pendant la période de deux jours. Le coup d’élan s’est donné le vendredi 7 février, quand les PDG de chacune des entreprises ont tenté de convaincre les équipes d’investir dans leur compagnie. Ensuite, les équipes ont eu des entretiens individuels de 10 minutes avec chacun d’entre eux, pour poser des questions percutantes et demander des données concrètes sur lesquelles fonder leur décision.

Suivant les rencontres initiales, il y a eu d’autres échanges fructueux avec des experts de l’industrie. En fait, le jury était composé de dirigeants chevronnés de chacun des commanditaires du niveau d’or, à savoir Canaccord Genuity, Dundee Corporation, Kinross Gold, Nighthawk Gold Corp., Orix Geoscience, Osisko Mining, RBC Capital Markets, Technica Mining et Wesdome. Les équipes ont eu la possibilité de rencontrer chacun des juges hautement compétents pour obtenir un encadrement et une rétroaction et poser des questions pendant des séances individuelles.

Le vendredi, les équipes ont passé la nuit à élaborer et à perfectionner leur exposé pour le lendemain. Samedi 8 février, les équipes ont été divisées en trois ligues et la meilleure de chaque ligue a progressé à la série finale d’exposés. 

Au gala de remise de prix le samedi soir, le PDG d’INV Metals Inc., M. Terry MacGibbon a prononcé un exposé galvanisant au sujet de l’exploitation minière écologique, sujet qu’il tient à cœur à titre d’intronisé au Temple de la renommée du secteur minier canadien en 2018.

Les trois équipes à la finale du Défi d’or Goodman 2020 étaient l’Université McGill, l’Université de Colombie-Britannique et l’Université du Manitoba. En fin de compte, c’est l’équipe de l’Université de Colombie-Britannique qui a gagné le concours en raison de son analyse solide et approfondie de Marathon Gold Corporation. L’équipe a remporté l’équivalent en argent de quatre onces d’or.

« Félicitations à l’Université de Colombie-Britannique, qui a gagné le 4e Défi d’or Goodman, et aussi à tous les participants dont le travail ardu et les exposés ont rendu humbles nous qui avons passé de nombreuses années dans le domaine de l’investissement, a dit le président du Défi d’or Goodman et PDG de Dundee Corporation, M. Jonathan Goodman. Les étudiants de ce concours ne manquent jamais de m’impressionner, et c’est encore le cas cette année. Je suis soulagé de savoir que leur génération prendra en main les enjeux financiers de l’avenir. »

Il ne serait pas possible d’offrir cette expérience d’apprentissage sans le généreux soutien financier et en nature de partenaires industriels, tels que Kinross Gold (commanditaire en titre), Dundee Corporation (gala d’ouverture), Canaccord Genuity (soirée sociale du jeudi), XPS Expert Process Solutions et Sudbury Integrated Nickel Operations (repas du midi), l’ACPE (collations), la Société de développement du Grand Sudbury (pièces dorées remises à chaque équipe) et Norcat (visites de mine pendant trois jours). Lundin Gold, Marathon Gold Corporation et Maritime Resources étaient commanditaires faisant l’objet des études de cas, tandis que les commanditaires de niveau d’or représentés au jury étaient Kinross Gold, Nighthawk Gold Corp., Dundee Corporation, Canaccord Genuity, Orix Geoscience, Technica Mining, Osisko Mining, Wesdome et RBC Marchés des capitaux.

En outre, le comité organisateur du Défi d’or Goodman remercie toutes les équipes, de loin et de près, qui ont participé au concours cette année, à savoir l’Université de Colombie-Britannique, l’Université McGill, l’Université du Manitoba, l’Université Laurentienne, l’École de gestion Ted Rogers à l’Université Ryerson, le Département des mines Robert M. Buchan de l’Université Queens et l’Université York.

La Laurentienne et le Syndicat des métallos du Canada s’unissent pour rendre hommage à un leader syndical originaire de Sudbury

La Laurentienne et le Syndicat des métallos du Canada s’unissent pour rendre hommage à un leader syndical originaire de Sudbury

Le nouveau Fonds du patrimoine Leo Gerard permettra la création d’une bourse et d’une série de conférences qui examineront les questions relatives aux travailleurs

(Le 21 février 2020) L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la création du Fonds du patrimoine Leo Gerard grâce à une généreuse contribution financière du Syndicat des métallos du Canada et du Conseil de travail de Sudbury et du district.

Le don de 33 500 $ servira à financer deux nouvelles initiatives d’envergure :

En outre, la contribution souligne l’engagement à vie de M. Leo Gerard envers les familles et les droits des travailleurs partout dans le monde.

« Je suis rempli d’humilité à l’égard des contributions faites à ce fonds qui m’honore et porte mon nom, a dit M. Gerard. Il reconnaîtra et appuiera les personnes inscrites au Programme d’études sur les milieux de travail et la main-d’œuvre tout en formant de futurs leaders syndicaux au moyen de l’enseignement, de la recherche et du rayonnement communautaire. »

Diverses instances du Syndicat des métallos du Canada ont fait de ce fonds une réalité, notamment le Bureau national, le District 6 et les Sections 6500 et 2020.

« Nous nous réjouissons, a indiqué le directeur national du Syndicat des métallos du Canada, M. Ken Neumann, d’aider l’Université à préparer la prochaine génération de dirigeants syndicaux et à lui apporter les outils, la formation et les possibilités nécessaires à la réussite. »

Titulaire d’un baccalauréat et d’un doctorat honorifique de l’Université Laurentienne, M. Gerard a passé la plus grande partie de ses années formatrices à Sudbury. Le professeur agrégé du Programme d’études sur les milieux de travail et la main-d’œuvre à l’École des études du Nord et des communautés, M. John Peters, Ph.D., s’enorgueillit de voir le nom de M. Gerard lié aux initiatives de son alma mater qui forment la prochaine génération de dirigeants syndicaux.

« Nous sommes très reconnaissants de ce don, a dit M. Peters, qui permettra à un plus grand nombre d’étudiants d’acquérir une expérience pratique et d’appliquer leurs compétences à des enjeux réels avant même d’obtenir leur diplôme. Depuis longtemps, le Programme d’études sur les milieux de travail et la main-d’œuvre préconise l’apprentissage expérientiel tout en visant à préparer des diplômés qui travailleront dans des syndicats, des organismes non gouvernementaux, les paliers gouvernementaux et les entreprises du Canada et des États-Unis. »
 

L’Université Laurentienne et RBC s’allient pour offrir aux étudiants une formation concrète pendant la Journée de l’apprentissage expérientiel

L’Université Laurentienne et RBC s’allient pour offrir aux étudiants une formation concrète pendant la Journée de l’apprentissage expérientiel

Les deux organismes prennent un autre pas pour rompre le cycle « pas d’expérience – pas d’emploi ».

(SUDBURY – 13 février 2020) L’Université Laurentienne et RBC ont collaboré afin d’offrir pour la première fois sur le campus la Journée de l’apprentissage expérientiel. Projet commun appuyé par RBC dans les établissements d’enseignement supérieur au Canada, l’initiative vise un seul but : frayer la voie pour la prochaine génération de travailleurs en leur transmettant de l’expérience pratique du monde réel. 
 
À ces fins, les membres de la population étudiante ont eu l’occasion de rencontrer individuellement des employeurs éventuels et d’écouter des professionnels chevronnés. Ils ont aussi fait valoir leurs compétences auprès d’entreprises dans le cadre d’une séance de réseautage éclair Du sac à dos au porte-documents RBC. En outre, la journée a marqué le lancement à la Laurentienne de l’initiative Ten Thousand Coffees, plateforme de mentorat en ligne qui noue entre les gens des liens fondés sur les objectifs et les intérêts. Nous remercions le fondateur de l’organisme, M. Dave Wilkin, de ses propos bienveillants lors de la célébration du lancement aujourd’hui.
 
De plus, l’Université Laurentienne a célébré une étape importante de sa collaboration suivie avec RBC, notamment le premier anniversaire du généreux don de 300 000 $ de RBC pour le programme universitaire de Plan de développement de carrière, tout en soulignant l’arrivée de Ten Thousand Coffees dans notre communauté. Nous remercions le vice-président régional de RBC, M. Scott Simon, d’avoir discuté d’Objectif avenir.
L’apprentissage, tout comme notre collaboration avec RBC, n’a pas de fin. D’autres activités Du sac à dos au porte-documents auront lieu le 13 mars. 

CITATION
« Nous sommes tellement chanceux d’avoir à l’Université Laurentienne des membres dévoués du corps professoral qui intègrent l’apprentissage expérientiel à leurs cours. Nous avons formé aussi de nombreux partenariats solides avec des employeurs qui aident nos étudiants à acquérir une expérience d’apprentissage intégré au travail. Grâce à de généreux donateurs comme RBC et son initiative Objectif avenir, nos étudiants continuent de tirer profit d’une programmation enrichie appuyant leurs apprentissages par l’expérience. » Mme Rachel Meehan, conseillère spéciale en leadership et apprentissage par l’expérience à l’Université Laurentienne
 

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