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La Laurentienne se classe au premier rang pour les revenus de recherche parmi les universités de premier cycle

La Laurentienne se classe au premier rang pour les revenus de recherche parmi les universités de premier cycle

Les revenus de recherche ont augmenté de quelque 40 % pendant le dernier exercice financier

Le 13 novembre 2019 -- Les chercheurs de l’Université Laurentienne se réjouissent de voir leur établissement figurer aux plus hauts échelons de la liste nationale des universités de recherche dressée par Research Infosource. L’organisme a classé la Laurentienne au premier rang pour les revenus de recherche parmi les universités offrant principalement des programmes de premier cycle. En fait, les réussites de la Laurentienne dans des domaines divers lui ont donné droit à ce classement pour la deuxième année consécutive. L’Université occupe aussi la 27e place dans le classement général au Canada.

Selon Research Infosource, les revenus de recherche de la Laurentienne pendant le plus récent exercice financier se chiffraient à 44 000 000 $, ce qui représente une croissance de 37,2 %, la plus importante hausse parmi tous les établissements figurant sur la liste. La Laurentienne a progressé du deuxième rang l’an dernier au premier rang cette année pour ce qui est de l’intensité des recherches des étudiants.

Plusieurs facteurs ont permis à la Laurentienne de concrétiser ces résultats, notamment son Plan stratégique de recherche, qui met l’accent sur des valeurs clés, dont la collaboration, la transparence et la coopération pluridisciplinaire.

Pour consulter les divers classements, veuillez appuyer ici.

CITATION
« La Laurentienne progresse dans la bonne direction en ce qui concerne les classements relatifs à la recherche, reflétant ainsi l’engagement et le travail ardu de notre corps professoral, de notre personnel et de notre population étudiante, qui font une différence sur les scènes locale, nationale et mondiale. Je tiens à féliciter tout le monde de cette réussite et à inciter l’accélération du rythme de cet essor. » Rizwan Haq, vice-recteur intérimaire à la recherche, Université Laurentienne

AU SUJET DE RESEARCH INFOSOURCE
Research Infosource Inc. se déclare la source d’information en matière de recherche et de développement au Canada. Cabinet de recherche, d’expert-conseil et de publication de premier plan, il se spécialise dans les domaines de politique, de recherche, de veille économique et d’analyse en matière de sciences, de technologie, d’innovation et de l’écosystème canadien de R.-D.
 

L’Université Laurentienne accueillera de brillants esprits des écoles secondaires canadiennes dans le cadre d’un nouveau programme triculturel d’été

L’Université Laurentienne accueillera de brillants esprits des écoles secondaires canadiennes dans le cadre d’un nouveau programme triculturel d’été

Shad Canada offrira une formation en STIM et entrepreneuriat adaptée au nord de l’Ontario

L’Université Laurentienne se réjouit d’annoncer qu’elle s’est alliée à Shad Canada, organisme caritatif de Waterloo qui offre des programmes de formation en sciences et entrepreneuriat aux élèves de 10e et de 11e années. Ces deux instances ont en effet collaboré pour présenter un programme d’été qui tient compte du paysage culturel et linguistique sans égal du nord de l’Ontario.

Notre établissement accueillera Shad pour la première fois en juillet 2020 et la Laurentienne sera le seul endroit au Canada où les participants pourront apprendre en anglais et français. En outre, les directeurs du programme collaborent avec le Centre autochtone de partage et d’apprentissage afin d’y intégrer des perspectives autochtones.

L’Université Laurentienne est située sur le territoire Atikameksheng Anishnawbek et tout près de la Première Nation de Wahnapitae. Elle est aussi un élément important du Grand Sudbury dont plus de 25 % des résidents affirment que le français est leur langue maternelle. Il est logique que le programme de Shad à la Laurentienne reflète ces faits, et nous sommes fiers de cette collaboration.
 
CITATIONS
« Un des objectifs de Shad est de faire comprendre aux élèves très performants qu’il n’est pas nécessaire de travailler seul et que la coopération et la collaboration sont possibles. Nous espérons aussi le faire à un autre niveau, c.-à-d. sur le plan linguistique. » —  Christian LaForge, codirecteur du programme Shad à la Laurentienne

« Plus nous parlons aux élèves de l’hétérogénéité des gens qui propulsent les STIM (sciences, technologie, ingénierie et mathématiques), plus ils se voient dans ces domaines. Plus nous intégrons de visages et de langues dans l’expérience, plus nous représentons la vraie image des sciences. » — Thomas Merritt, codirecteur du programme Shad à la Laurentienne
 
AU SUJET DE SHAD
Programme de STIM et d’entrepreneuriat, Shad Canada s’adresse aux élèves des 10e et 11e années qui sont preneurs de risque, curieux, et font preuve d’excellence et de résilience, et les prépare à relever des défis sociaux et économiques. Pendant le programme d’un mois, les élèves sont appelés à relever un véritable défi de conception dans un domaine comme la sécurité alimentaire, la gestion de l’eau et les déchets.

Une professeure de la Laurentienne participera à une aventure dans l’Antarctique

Une professeure de la Laurentienne participera à une aventure dans l’Antarctique

Mme Tammy Eger se joindra à une centaine de dirigeantes de STIM dans le cadre du programme Homeward Bound

Après plusieurs mois de préparation, la professeure Tammy Eger partira pour l’Antarctique le vendredi 15 novembre afin de participer au projet Homeward Bound. Professeure titulaire des sciences de l’activité physique et titulaire d’une Chaire de recherche au Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail, elle est l’une de quatre Canadiennes choisies pour la quatrième cohorte du programme.

Homeward Bound vise à former 1 000 femmes dirigeantes des STIM d’ici les dix prochaines années en les munissant des outils dont elles ont besoin pour orienter les politiques et diriger la prise de décisions afin de créer un avenir planétaire plus durable. Le programme de leadership de cette année se déroulera pendant trois semaines en Antarctique et se penchera sur le changement climatique et les sciences polaires. Mme Eger sera accompagnée d’une centaine de chercheuses de domaines divers de partout dans le monde, y compris la chercheuse en santé psychiatrique, Mme Hinemoa Elder, la scientifique géospatiale, Mme Charity Mundava, et la chercheuse clinique, Mme Pallavi Prathivadi.

La communauté universitaire de la Laurentienne appuie pleinement les objectifs de Homeward Bound et souhaite un bon voyage à Mme Eger.

Pour en apprendre davantage sur Homeward Bound, veuillez regarder cette vidéo qui met en valeur Mme Eger.

CITATION
« Je suis incroyablement chanceuse de pouvoir voyager avec 99 leaders accomplies des STIMM de partout dans le monde. Je suis en effet enthousiasmée, touchée, curieuse et grandement inspirée. Je sais que l’expérience nous changera et je me réjouis à la perspective de voir l’incidence qu’aura ma cohorte sur le monde entier. L’une des devises du programme est « Plus forte ensemble » et j’en suis persuadée. Lorsque nous collaborerons en tenant compte de toutes les voix, que ce soit dans le laboratoire, la salle de conférences, à élaborer des politiques ou à innover, nous vivrons dans un monde meilleur. » — Tammy Eger, participante à Homeward Bound

AU SUJET DE HOMEWARD BOUND
Ayant comme toile de fond l’Antarctique, Homeward Bound est une initiative mondiale révolutionnaire de leadership qui vise à rehausser l’influence et l’incidence des femmes dans la prise de décisions qui façonnent notre planète.
 

Étudiants de la Laurentienne remportent la deuxième place du concours international de plans d'affaires en Corée du Sud

Étudiants de la Laurentienne remportent la deuxième place du concours international de plans d'affaires en Corée du Sud

Cette équipe est la première et la seule équipe canadienne à être invitée à cette compétition.

 Nous sommes fiers d’annoncer qu’une équipe d’étudiant(e)s de la Laurentienne a remporté la deuxième place à la septième édition du concours international de plans d’affaires à la SolBridge International School of Business en Corée du Sud. L’équipe est composée de Daniel Boileau, Stéphane Lauzon, Sarah Napoli et Maxime Leduc. Cette équipe est la première et la seule équipe canadienne à être invitée à cette compétition.

« J’aimerais féliciter nos étudiants a déclaré Prof Michel Delorme, doyen de la Faculté de gestion. J'espère qu'ils ont beaucoup appris et apprécié cette expérience. C'est une expérience unique qui peut les aider à terminer leurs études et avoir un impact tout au long de leur carrière. » 

Michel Delorme souhaite remercier le professeur Luc Lagrandeur pour son mentorat et ses conseils dans la préparation des étudiants pour ce concours. Il aimerait également remercier Bernie Schell, pour avoir accompagné les étudiants en Corée du Sud et avoir été leur mentor pendant le concours.

« C’est un grand succès pour la Faculté de gestion de l’Université Laurentienne. Nous sommes très fiers de nos étudiants! »

Mme Jennifer Abols est nommée dirigeante de l'École des Mines Goodman et PDG de MIRARCO

Mme Jennifer Abols est nommée dirigeante de l'École des Mines Goodman et PDG de MIRARCO

Nomination effective le 4 novembre 2019

Sudbury ON, le 30 octobre 2019 – L’Université Laurentienne et la Société de recherche appliquée en innovation minière et de réhabilitation (MIRARCO) se font un plaisir d’annoncer la nomination de Mme Jennifer Abols au poste de directrice générale de l’École des mines Goodman et de PDG de MIRARCO, avec entrée en fonction le 4 novembre 2019.

Puisque M. Bruce Jago, Ph.D., a terminé son mandat en tant que directeur général fondateur de l’École des mines Goodman et que M. Vic Pakalnis a pris sa retraite à titre de président de MIRARCO, le moment était propice de trouver une personne pour diriger les deux organismes afin de miser sur leurs synergies et de positionner l’Université Laurentienne comme l’Université des mines du Canada.

« Pour gagner sa place à titre d’Université des mines du Canada et élargir sa portée sur la scène mondiale, la Laurentienne était à la recherche d’une personne enthousiaste et innovatrice du secteur en mesure de cultiver des relations globales et de rapprocher l’industrie et l’Université, a dit le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Robert Haché, Ph.D. Nous avons trouvé une leader qui ralliera les gens du campus et préparera les diplômés à faire la transition réussie à leur carrière dans laquelle ils contribueront à des innovations qui feront progresser le secteur minier. »

Mme Jennifer Abols a été un choix unanime du comité de sélection composé de représentants de l’Université Laurentienne et des conseils de l’École des mines Goodman et de MIRARCO.

Originaire de Sudbury, Mme Abols est titulaire d’un baccalauréat en génie en métallurgie extractive de l’Université Laurentienne et d’une MBA axée sur le marketing et la stratégie mondiale de l’Université Wilfrid Laurier. Ingénieure professionnelle bilingue ayant acquis plus de 20 ans d’expérience dans le secteur des mines et des minéraux, elle a de riches acquis dans tout le cycle minier qui font d’elle la parfaite candidate pour affermir la réputation de la Laurentienne en tant qu’Université des mines du Canada.

Elle est ex-présidente du Western Australia Mining Club (2009-2010) et présidente sortante de la Division de la minéralogie (2005), qui lui a décerné le Prix de minéralurgiste de l’année en 2015. « Je me réjouis de cette possibilité et à la perspective d’occuper ce nouveau poste à l’Université Laurentienne, a affirmé Mme Abols. J’ai hâte de travailler avec les gens talentueux de MIRARCO et de l’École des mines Goodman afin de consolider la place de la Laurentienne à titre d’Université des mines du Canada. »

Président général de Dundee Corporation et président du Conseil consultatif international auprès de la direction générale de l’École des mines Goodman, M. Jonathan Goodman siégeait au comité de sélection. « Ma famille a investi dans la Laurentienne, a-t-il dit, parce que nous sommes persuadés qu’elle assure la formation de futurs cadres dirigeants de l’industrie minière en intégrant les aspects environnementaux, sociaux, gouvernementaux et financiers à un solide enseignement technique. »

Vice-président de XPS Expert Process Solutions (une entreprise de Glencore) et président du Conseil de direction de MIRARCO, M. Dominic Fragomeni siégeait aussi au comité de sélection et connaissait bien le sens aigu des affaires et du marketing de Mme Abols, ainsi que son expérience dans l’industrie. Il est convaincu que ces forces permettront à MIRARCO de servir l’écosystème de l’innovation minière, y compris les chercheurs, les autres organismes de collaboration du secteur, le gouvernement et l’industrie minière dans son ensemble, sur les scènes locale et mondiale, tout en continuant à faire avancer ses programmes de recherche axés sur l’industrie.

Nouvelle convention collective entre la Laurentienne et le SCFP

Nouvelle convention collective entre la Laurentienne et le SCFP

Le syndicat représente quelque 330 auxilliaires à l’enseignement

Le 29 octobre 2019 -- L’Université est heureuse de vous informer qu’une nouvelle convention collective de deux ans a été ratifiée entre l’Université Laurentienne et le Syndicat des employés de la fonction publique (SCFP) qui représente quelque 330 auxiliaires à l’enseignement à l’Université.


« Les auxiliaires à l’enseignement jouent un rôle essentiel dans l’expérience universitaire, a déclaré le vice-recteur intérimaire aux études, M. Serge Demers. Ils secondent les membres du corps professoral pour l’enseignement, fournissent du mentorat et de la formation à la population étudiante du premier cycle, et apportent de l’aide dans les laboratoires et pour les tutoriels. L’expérience d’auxiliaire à l’enseignement est une occasion unique d’apprentissage intégré au travail pour nos étudiants des cycles supérieurs, et nous apprécions leurs diverses perspectives et contributions importantes. »
 

L’Université Laurentienne réaffirme son engagement envers la gestion environnementale

L’Université Laurentienne réaffirme son engagement envers la gestion environnementale

Plantation d’un arbre sur le campus pour symboliser l’engagement envers le progrès

Dans une ville très consciente du pouvoir de transformation que les arbres peuvent avoir, l’Université Laurentienne a été fière que la boursière Gitxsan et activiste, Mme Cindy Blackstock, plante un arbre sur le campus dans le cadre de la collation des grades du 26 octobre 2019 où elle a reçu un doctorat honorifique en droit. Conjugué à l’engagement continu envers l’environnement, ce geste souligne l’engagement de la Laurentienne envers la plantation d’arbres et la restauration du sol sur le campus.

« Le fait que Mme Blackstock plante un arbre sur le campus, qui aide à réaffirmer l’importance que nous accordons à l’action contre le changement climatique, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Robert Haché, Ph.D., est une étape marquante. »

« Les Nations Unies ont déclaré la prochaine décennie la Décennie de la restauration environnementale, a indiqué le titulaire de la Chaire de recherche du Canada en systèmes aquatiques stressés, M. John Gunn, Ph.D. Le corps professoral et la population étudiante de l’Université Laurentienne, de concert avec la communauté, l’industrie et le gouvernement ainsi que nos partenaires collégiaux et universitaires, montrent la voie au monde depuis plus de 40 ans avec leurs « recherches sur le reverdissement et la restauration environnementale connexe » afin de régler les problèmes locaux de pollution et d’endommagement des terrains industriels. »

La Laurentienne puisera dans ce talent et cette passion pour travailler sur la mise à jour de sa Politique environnementale tout en explorant des initiatives potentielles comme la compensation des émissions de carbone et la restauration des forêts sur le campus. Cet accent fait partie des priorités du Plan stratégique de la Laurentienne, en particulier, l’un des 25 résultats qui stipule que « Nous aurons une influence sur la scène mondiale avec nos recherches et notre expertise en gestion environnementale de l’eau et du sol. »

La Laurentienne félicite l’AGÉ de l’inauguration du Centre étudiant

La Laurentienne félicite l’AGÉ de l’inauguration du Centre étudiant

Ce projet de plusieurs millions de dollars est en préparation depuis cinq ans

Le lundi 28 octobre 2019 -- L’Université Laurentienne tient à féliciter l’Association générale des étudiants (AGÉ) de l’inauguration de son nouveau Centre étudiant. Cet édifice de plusieurs millions de dollars est un projet entrepris par les étudiants depuis plus de cinq ans à la suite d’un référendum étudiant. Les membres de l’AGÉ paient des frais et investissent dans ce projet depuis 2014.

Construit en veillant à la durabilité, le Centre se divise en deux grandes parties : le foyer et l’étage inférieur. Le foyer est ouvert au public et héberge un café, les salles de clubs et un bureau d’hygiéniste dentaire. Tous les étudiants qui apportent une contribution à l’édification du Centre auront accès à l’étage inférieur qui comprend un atrium spacieux, des salles de jeux et plusieurs zones privées d’études.

Le Centre est ouvert tous les jours, 24 heures sur 24 (sauf lors d’activités spéciales). L’AGÉ est ainsi en mesure de servir la population étudiante de cet emplacement. L’Association des étudiantes et étudiants francophones (AEF) et l’Association étudiants d’études supérieures (AEES) ont aussi des nouveaux espaces dans l’Édifice Parker depuis la modernisation du campus.

CITATION
« L’AGÉ est ravie de disposer d’un espace extrascolaire sur le campus qui contribuera davantage à l’expérience de la population étudiante à la Laurentienne, a déclaré le président de l’Association générale des étudiants, M. Eric Chappell. Je tiens à remercier l’Université, les dirigeants précédents de l’AGÉ et tous les membres de la communauté qui ont contribué à ce projet. »
 

La Laurentienne conférera un titre honorifique à Cindy Blackstock

La Laurentienne conférera un titre honorifique à Cindy Blackstock

24 octobre 2019 – Dans le cadre des cérémonies de collation des grades d’automne 2019, l’Université Laurentienne reconnaîtra et célébrera la remarquables carrière et réalisations de Mme Cindy Blackstock, Ph.D., qui recevra un doctorat en droit (honoris causa).

 

Cindy Blackstock, Ph.D.

Membre de la Première Nation Gitxsan, Cindy a l’honneur d'occuper le poste de directrice générale de la Société de soutien à l'enfance et à la famille des Premières Nations et d’être professeure à l'École de service social de l'Université McGill. Elle cumule plus de 30 ans d'expérience dans le domaine de la protection de l'enfance et des droits des enfants autochtones et a publié plus de 75 articles sur des sujets liés à la réconciliation, à la pratique du travail social en milieu autochtone, à la protection de l'enfance des Premières Nations et aux
droits humains. 

Cindy a eu l'honneur de travailler avec ses collègues des Premières Nations pour contester, avec succès, l'iniquité en matière de prestation des services à l'enfance et à la famille au Canada ainsi que le non-respect du Principe de Jordan. Ce litige âprement disputé a donné lieu à la prestation de centaines de milliers de services aux enfants, aux jeunes et aux familles Inuites, Métis et Premières Nations. 

Elle a récemment siégé à la Pan American Health Commission on Health Equity and Inequity (une commission panaméricaine de la santé sur l'équité et l'iniquité en matière de santé) et croit fondamentalement que l'équité fondée sur la culture est essentielle à une réconciliation significative. Cindy est souvent vue en compagnie de l’ourson Spirit Bear de la Société de soutien, qui se réconcilie avec les enfants en les engageant dans des actions significatives pour mettre en œuvre les appels à l'action de la Commission de vérité et réconciliation (CVR).

 

La recherche en psychologie se transforme en livre d’enfants

La recherche en psychologie se transforme en livre d’enfants

'Les émotions : Comment mieux les comprendre' est maintenant disponible

Sudbury, 18 octobre 2019 – Entourées de plus de 100 élèves de l’École publique Jeanne-Sauvé, Mmes Annie Roy-Charland, de l’Université de Moncton, et Mélanie Perron, de l’Université Laurentienne, ont fait le lancement officiel de leur ouvrage Les émotions : comment mieux les comprendre.

Les émotions : comment mieux les comprendre, développé selon le modèle de Pons, Harris et deRosnay (2004), comprend neuf histoires qui mettent en évidence les particularités des expériences émotionnelles des petits et des grands. Il a pour but de promouvoir le développement de la compréhension des émotions chez les jeunes enfants francophones (3 à 12 ans) et est le fruit de plusieurs travaux de recherche en psychologie menés par Mmes Roy-Charland et Perron sur l’impact de la lecture conjointe pour la compréhension des émotions chez les enfants.

 « Depuis 2007, nous nous intéressons au développement émotionnel des enfants ainsi qu’aux stratégies destinées à améliorer la compréhension qu’ils ont des émotions. Notre objectif était de développer un moyen simple et efficace permettant aux enfants de mieux comprendre certains phénomènes affectifs tout en offrant une ressource éducative riche et peu coûteuse qui peut être utilisée par tous. Sans la participation de plusieurs enfants, parents, écoles et conseils scolaires, du Grand Sudbury et de Moncton ainsi que l’appui d’adjoints de recherche dévoués, ceci n’aurait pas eu lieu, » disent les chercheuses. Les travaux qui ont mené à la création de cet ouvrage sont le résultat d’un effort collaboratif important entre divers conseils scolaires, garderies et de nombreux adjoints de recherche et chercheurs de Sudbury (Université Laurentienne) et de Moncton (Université de Moncton) qui, malgré la distance géographique, ont démontré la force et la diversité de la francophonie canadienne en situation minoritaire.    

Reconnue comme une école d’innovation universitaire en 2016, l’École publique Jeanne-Sauvé a participé au projet. « Nous sommes heureux que cette vision que nous avons eu de faire de Jeanne-Sauvé un centre privilégié pour les chercheurs de la Laurentienne se concrétise dans le cadre de projets aussi concrets et pertinents que celui-ci.  La régulation des émotions commence par la compréhension, un défi important relevé à l’échelle de tout l’élémentaire et l’intermédiaire, » a affirmé la directrice de l’École, Mme Lynn Tellier.

Grâce au financement de Santé Canada et à l’appui du Consortium national de formation en santé (CNFS) et des Éditions Prise de Parole, ce qui n’était au départ qu’un document de travail est devenu un superbe livre à couverture rigide et aux couleurs vibrantes. « Pour le CNFS, il est important de non seulement développer des connaissances sur la santé des francophones en situation minoritaire, mais aussi de les mobiliser. Ainsi, nous nous réjouissons d’appuyer les professeures Perron et Roy-Charland à rendre ce livre accessible à la communauté francophone, » a expliqué le gestionnaire de recherche du CNFS, M. Éric Chevaucherie.

Le livre est offert à plusieurs endroits dans les communautés du Grand Sudbury et de Timmins, en Ontario, ainsi qu’au Nouveau-Brunswick dans les bibliothèques et les garderies francophones. Il se retrouve aussi en version numérique à cnfslaurentienne.ca.

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