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M. Ming Cai gagne le prestigieux prix John A. Franklin

M. Ming Cai gagne le prestigieux prix John A. Franklin

M. Cai est reconnu pour ses travaux à trouver des solutions innovatrices en vue d’améliorer la sécurité et l’efficacité des mines.

L’Université Laurentienne tient à féliciter M. Ming Cai, Ph.D., titulaire de la Chaire de recherche en géomécanique à l’UL, qui a reçu le prestigieux Prix John A. Franklin de la Société canadienne de géotechnique (SCG). Ce prix souligne les travaux de M. Cai en mécanique et ingénierie des roches qui visent à améliorer la sécurité et l’efficacité dans l’industrie minière canadienne et mondiale.

« Je suis à la fois fier et humble et remercie la SCG de ce prix, a dit Ming Cai, Ph.D., qui est aussi professeur titulaire à l’Université Laurentienne. Cet honneur de mes pairs est une grande leçon d’humilité, mais je m’enorgueillis des travaux que nous accomplissons à la Laurentienne pour améliorer les technologies et pratiques minières dans l’intérêt de l’industrie et de ses travailleurs. »

Représentant les ingénieurs civils et miniers, la Société canadienne de géotechnique a créé le Prix John A. Franklin pour rendre hommage aux personnes apportant des contributions exceptionnelles à la mécanique et à l’ingénierie des roches. Le prix de 2017 a été remis à M. Cai pour reconnaître ses travaux en matière de support rocheux dans des conditions terrestres ardues, d’interprétation d’émissions acoustiques et de données de surveillance microséismique et d’approches quantitatives proposées pour estimer les forces maximales et résiduelles de masses rocheuses.

« Je félicite M. Cai, car il est digne de ce prestigieux prix, a dit le PDG de MIRARCO (Société de recherche appliquée en innovation minière et de réhabilitation) à l’Université Laurentienne, M. Vic Pakalnis. Il incarne en effet le meilleur de ce qu’offrent MIRARCO et notre Université en ce qui concerne le développement d’outils révolutionnaires pour l’industrie minière. »

Parmi les réalisations de M. Cai soulignées par le Prix John A. Franklin, il faut mentionner la mise au point de produits de soutien rocheux pour prévenir les coups de toit, effet des activités minières à grande profondeur pouvant mettre des vies en danger. Ces produits comprennent un boulon d’ancrage dynamique MCB33 utilisé par certaines mines profondes au Canada et un autre boulon d’ancrage prototype ayant une superbe capacité dynamique de soutien qui pourrait améliorer la sécurité et la productivité dans les mines souterraines à grande profondeur.

« C’est grâce à des chercheurs comme M. Cai que la Laurentienne s’est taillé une réputation de leader dans le développement de techniques et d’outils efficaces et rentables qu’emploie actuellement l’industrie minière et qui serviront aussi à l’avenir, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel, Ph.D. Je félicite Ming de ce prix et me réjouis à la perspective de ses futurs travaux, non seulement dans le laboratoire, mais aussi en salle de classe, où il aide à former la prochaine génération de chercheurs créatifs et innovateurs. »

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules ainsi que la santé et la sécurité professionnelles.

L’Université Laurentienne et l’Association des professeurs de l’Université Laurentienne ratifient une convention collective de trois ans

L’Université Laurentienne et l’Association des professeurs de l’Université Laurentienne ratifient une convention collective de trois ans

Aujourd’hui, le Conseil des gouverneurs de la Laurentienne a ratifié l’entente à l’unanimité.

10 octobre, 2017

L’Association des professeurs de l’Université Laurentienne (APUL) et l’Université Laurentienne ont ratifié officiellement une nouvelle convention collective. Vendredi dernier, les membres de l’APUL ont voté en faveur (98 %) du prolongement de trois ans de la convention collective qui est arrivée à échéance le 30 juin. Aujourd’hui, le Conseil des gouverneurs de la Laurentienne a ratifié l’entente à l’unanimité.

« L’accord est une bonne nouvelle pour notre personnel et l’ensemble de notre collectivité universitaire, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim, Pierre Zundel, Ph.D. Je tiens à remercier les équipes de négociation de l’UL et de l’APUL pour tous leurs efforts et leur collaboration. Cette entente donne à notre corps professoral la stabilité et les soutiens dont il a besoin pour continuer à offrir un enseignement de calibre mondial à notre population étudiante tout en assurant la solidité organisationnelle alors que nous peaufinons le Plan stratégique 2018-2023 de l’Université. »

Le prolongement de trois ans du contrat sera en vigueur jusqu’au 30 juin 2020. Les modalités de l’entente prévoient une augmentation salariale normative annuelle pour les membres de l’APUL et les deux parties s’engagent à entamer les discussions en matière de pension et d’équité dans la charge de travail.

« Je remercie les deux équipes de négociation qui ont travaillé si fort pour mener à bonne fin ce cycle de négociation assez ardu, a dit le président de l’APUL, Jim Ketchen, Ph.D. Nous croyons que le Conseil aussi bien que l’administration de la Laurentienne ont pris connaissance des préoccupations du corps professoral. L’entente fait valoir ces préoccupations, ce qui accorde à l’Université Laurentienne une position avantageuse allant de l’avant pour offrir un enseignement de qualité et poursuivre des recherches très importantes. »

L’Université Laurentienne et l’APUL tiennent à remercier les membres des équipes de négociation dirigées par Denis Hurtubise, Ph.D., pour l’APUL, et Geoff Tierney, pour l’Université Laurentienne, de leur dévouement et de leur engagement envers la conclusion d’une entente mutuellement avantageuse.

Les étudiants qui n’ont pas une semaine d’études prévue à l’horaire seront de retour en classe à compter de mercredi. Tous les autres étudiants reprendront les cours le lundi 16 octobre.

L’APUL représente 373 membres à plein temps et 304 membres à temps partiel du corps professoral de l’Université Laurentienne à Sudbury et à Barrie.
 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules ainsi que la santé et la sécurité professionnelles.

L'Université Laurentienne et L'Association des professeures de l’Université Laurentienne parviennent à un accord provisoire

L'Université Laurentienne et L'Association des professeures de l’Université Laurentienne parviennent à un accord provisoire

October 10, 2017

Although it was previously mentioned that classes would resume on Tuesday October 10th, at this point in time, pending a final ratification vote, classes will only start on Wednesday the 11th of October - for those who had a regularly scheduled class time that day (Faculty of Education and Barrie, for example). The reading week continues as scheduled for those who had one. A confirmation email will be sent to firm up the October 11th date after the ratification vote takes place.  Placements can also resume as of that date, as long as the department gives its approval.

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October 7, 2017

The Laurentian University Faculty Association (LUFA) and Laurentian University are pleased to announce they have reached a tentative agreement that will end the faculty strike.

“I am pleased that both bargaining teams have reached an agreement that fulfills the needs of our faculty and the university,” said Interim Laurentian President and Vice-Chancellor, Pierre Zundel. "Now we can all get back to providing a world-class education to our students."

“I am proud of our team and what we have all accomplished,” added Dr. Jim Ketchen, President of LUFA. “It hasn’t been easy but both sides should be congratulated for reaching this agreement.”

The tentative agreement is subject to ratification by LUFA members and the University’s Board of Governors.

Both parties will work to ensure ratification votes happen as quickly as possible so that faculty and students can return to the classroom.

LUFA and Laurentian University are committed to moving forward together to make sure that the return to class is smooth.

Classes will resume on October 16th for those students with a reading week. Courses in Barrie and online will resume Tuesday pending ratification.  More details will be available at laurentian.ca.

The terms of the tentative agreement will not be disclosed at this time.

La grande finale du plus vaste project de modernisation de l'histoire de l'université

La grande finale du plus vaste project de modernisation de l'histoire de l'université

Clôture du projet de modernisation du campus de 63 000 000 $ de la Laurentienne par l’inauguration de nouveau Centre d’accueil et le dévoilement du témoignage de reconnaissance des donateurs à la campagne Objectif 50

​L’Université Laurentienne a célébré le parachèvement du projet de modernisation du campus, chiffré à 63 000 000 $, lors de l’inauguration du nouveau Centre d’accueil. Situé au cœur de campus, ce nouveau point d’accueil et d’orientation reçoit les membres de la population étudiante et les visiteurs et leur donne accès aux renseignements et services du campus.

Parmi les transformations et nouveautés apportées au campus de Sudbury, il faut souligner le Centre autochtone de partage et d’apprentissage, le Centre d’apprentissage des cadres, le Club universitaire, la remise à neuf de 60 salles de classe et laboratoires, le réaménagement de taille du Pavillon Alphonse-Raymond et l’ajout du Centre d’accueil et de l’atrium qui s’élève sur trois étages. Le nouvel atrium est pourvu de places informelles à chaque étage qui se prêteront aux études et aux rencontres sociales ainsi que des sièges en gradins à partir du rez-de-chaussée à utiliser pour les activités spéciales sur le campus.

« Depuis le début du projet en octobre 2014, il y a eu des travaux de construction sur 250 000 pieds carrés de salles de classe, d’espaces de recherche et d’études et d’aires publics, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel. Il s’agissait du plus vaste programme de rénovation et d’expansion à la Laurentienne depuis sa fondation dans les années 1960 et il est gratifiant de constater les avantages que procure maintenant cette initiative colossale à notre population étudiante. »

Le nouveau Centre d’accueil comprend aussi un important témoignage de reconnaissance aux quelque 200 donateurs qui ont contribué chacun plus de 10 000 $ à la campagne « Objectif 50 » de l’Université. Lancée en 2010 pour marquer le 50e anniversaire de la Laurentienne, la campagne de mobilisation de fonds comptait plus de 10 000 donateurs, a recueilli au-delà de 65 000 000 $ et a apporté des contributions à d’importants projets, y compris le centre de recherche de pointe sur l’écologie de l’eau douce, la création de plus de 200 nouvelles bourses d’aide et d’études, la fondation de l’École des mines Goodman et l’établissement de la première chaire de recherche au Canada en exploitation de mines à ciel ouvert.

« L’histoire d’Objectif 50 : Notre campagne est marquée d’exemples inspirants de générosité de nos donateurs, de succès d’étudiants et d’appui communautaire remarquable, a dit la dirigeante principale de l’Avancement à l’Université Laurentienne et présidente de la campagne Objectif 50, Mme Tracy McLeod. Le fait de voir les noms des personnes qui ont fait des investissements dans notre population étudiante nous rappellera quotidiennement l’effet transformateur que la campagne Objectif 50 a eu sur la philanthropie dans le nord de l’Ontario. »

 « Le nouveau Centre d’accueil est vite devenu le cœur de notre beau campus et est le parfait endroit où célébrer la conclusion de l’ambitieux projet de modernisation de l’Université, a ajouté la présidente du Conseil des gouverneurs de la Laurentienne, Mme Jennifer Witty. Beaucoup des résultats visés par le Plan stratégique 2012-2018 se rattachaient à ce projet, et je suis très fière de la souplesse et de la patience dont la communauté universitaire a fait preuve et de l’orientation qu’elle a assurée dans le cadre de ce processus. Tout le monde a collaboré pour jeter les fondements d’un établissement qui servira notre région pour les générations à venir. »

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules ainsi que la santé et la sécurité professionnelles.

L'Université Laurentienne lance la première maîtrise en communication scientifique au Canada

L'Université Laurentienne lance la première maîtrise en communication scientifique au Canada

L’Université Laurentienne a célébré aujourd’hui le lancement du premier et unique programme complet de maîtrise en communication scientifique au Canada. Au début de septembre, la première cohorte d’étudiants a entrepris ses études dans le programme intensif de 12 mois.

La maîtrise en communication scientifique propose une expérience pluridisciplinaire abordant la théorie sous-jacente aux bonnes communications tout en examinant les défis pratiques que pose la communication efficace des sciences ainsi que les questions touchant les sciences en société. Les personnes actuellement inscrites au programme de diplôme d’études supérieures en communication scientifique ont pu faire la transition à la maîtrise en effectuant trois mois de cours supplémentaires.

« Ce programme de maîtrise est une prolongation naturelle du diplôme d’études supérieures que nous offrons depuis 2005 en partenariat avec Science Nord et saura répondre à la demande croissante pour nos diplômés, a dit la directrice du programme de communication scientifique à l’Université Laurentienne, Chantal Barriault, Ph.D. Les sciences se lient aux décisions qui touchent toutes les composantes de la vie, et les gens devraient être capables de faire des choix éclairés, sans avoir besoin d’un diplôme dans les sciences. C’est là que nos étudiants entrent en jeu. »

Selon Mme Barriault, les tendances en matière de recherches, d’industries et de politiques publiques dans les sciences font ressentir le besoin de personnes compétentes dans ce domaine en pleine expansion. Les diplômés de la Laurentienne sont des experts à communiquer le travail des meilleurs chercheurs et scientifiques à des publics de toutes les sortes, allant des enfants aux politiciens, et travaillent dans des domaines divers, y compris le gouvernement, les organismes non gouvernementaux, les secteurs industriels, les centres de sciences, les zoos, les aquariums, les publications de vulgarisation scientifique et les établissements de recherche de pointe.

« La mission centrale de Science Nord est de faire participer les gens au croisement entre les sciences et la vie quotidienne en leur communiquant les sciences d’une façon agréable et accessible, a dit le PDG de Science Nord, Guy Labine. En lançant le diplôme d’études supérieures en communication scientifique 12 ans passés en partenariat avec l’Université Laurentienne, nous l’envisagions comme une suite logique du travail effectué quotidiennement dans les centres de sciences. Les diplômés du programme ont une incidence concrète sur notre connaissance et notre compréhension des sciences d’aujourd’hui. L’évolution à la maîtrise témoigne de la reconnaissance au plan mondial de l’importance de la vulgarisation scientifique et n’aurait pas été possible sans notre partenariat étroit avec l’Université Laurentienne, Mme Chantal Barriault, M. David Pearson et mon prédécesseur, M. Jim Marchbank. » 

« Nous nous réjouissons d’offrir ce programme exceptionnel de communication scientifique au niveau de la maîtrise, a dit le vice-recteur aux études, Serge Demers, et attendons avec intérêt de poursuivre sur cette lancée avec nos partenaires à Science Nord. »

D’autres renseignements sur le programme figurent à https://laurentian.ca/program/science-communication.

 

À propos de Science Nord

Science Nord est l’attraction touristique la plus populaire du nord de l’Ontario et une ressource éducative à la disposition des enfants et adultes venant de tous les coins de la province. Science Nord gère les deuxième et huitième centres des sciences au Canada, et comprend le centre des sciences, la salle IMAX, le Planétarium, la galerie de papillons, la grande salle d’exposition et Terre dynamique – site du Big Nickel – un  centre distinct axé sur les mines et les sciences de la Terre. En plus des deux centres de sciences à Sudbury, Science Nord dirige aussi un secteur primé de production de films grand format et un secteur de ventes internationales, qui préparent des expositions personnalisées toutes faites pour vente ou location aux centres des sciences, musées et autres organismes culturels partout dans le monde. En partenariat avec l’Université Laurentienne, Science Nord offre le premier et unique programme de communication scientifique en Amérique du Nord. Science Nord est également installé à Thunder Bay, d’où il dessert le Nord-Ouest de la province en réalisant des expériences scientifiques dans les écoles et à divers festivals, organisant des camps d’été, et bien plus, ce qui s’inscrit dans le cadre de son mandat d’assurer des expériences scientifiques partout dans le nord de l’Ontario. De plus amples renseignements sur Science Nord, organisme du gouvernement de l’Ontario, sont affichés à sciencenord.ca.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules, et la santé et la sécurité au travail. D’autres renseignements sur l’Université Laurentienne figurent à www.laurentienne.ca.

Carol Kauppi de la Laurentienne est reconnue pour ses recherches sur le sans-abrisme

Carol Kauppi de la Laurentienne est reconnue pour ses recherches sur le sans-abrisme

La directrice du Centre de recherche en justice et politique sociales reçoit le Prix Partenariat - Impact 2017 du Conseil de recherches en sciences humaines

Carol Kauppi, Ph.D.

Aujourd’hui, la chercheuse de l’Université Laurentienne, Carol Kauppi, Ph.D., était à Ottawa afin de recevoir un prix qui souligne ses réalisations à collaborer avec des partenaires universitaires et communautaires pour comprendre le sans-abrisme en Ontario. Le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) lui a décerné le Prix Partenariat – Impact pour ses recherches en matière de sources d’inégalité sociale et économique et de stratégies pour viser la justice sociale.

Les Prix Impact visent à reconnaître et à souligner les réalisations de chercheurs exceptionnels en matière d’activités de recherche, de formation en recherche, de mobilisation des connaissances et de sensibilisation que le CRSH finance en tout ou en partie. Le Prix Partenariat rend hommage à Mme Kauppi, car elle a su proposer les plus brillantes idées dans les sciences sociales et les humanités et aider à comprendre et à améliorer le monde d’aujourd’hui et de demain. Elle reçoit avec le prix une subvention de 50 000 $ pour prolonger les recherches sur le sans-abrisme invisible lié à la réconciliation entre les personnes autochtones et allochtones. 

« Le sans-abrisme invisible est exactement ce qu’il laisse entendre, a dit Mme Carol Kauppi, professeure et directrice du Centre de recherche en justice et politique sociales à l’Université Laurentienne. Il s’agit de personnes qui n’ont pas de logement stable et passent largement inaperçues, comme les jeunes qui couchent d’une maison à l’autre, les vieillards qui ne peuvent pas se payer un logement approprié, les gens qui vivent dans des camps forestiers ou les familles habitant dans des bâtiments surpeuplés et inférieurs aux normes. »

Dans ses travaux, Mme Kauppi a examiné les diverses formes de sans-abrisme et de pauvreté extrême parmi de nombreux groupes vulnérables, y compris les femmes, les jeunes, les familles et les personnes âgées de groupes culturels clés dans le nord-est de l’Ontario. Le programme de recherche rattaché au Prix est axé tout particulièrement sur les populations autochtones dans le cadre d’un effort de mettre en œuvre quinze appels à l’action émis par la Commission pour la vérité et la réconciliation du Canada. Les recherches visent à faire des liens entre les connaissances sur le sans-abrisme invisible et les questions sous-jacentes touchant des difficultés de logement chez les populations autochtones du nord-est de l’Ontario, et à formuler des solutions pour améliorer les relations entre les autochtones et allochtones du Canada.

« Depuis quelques ans, tous les paliers du gouvernement accordent une plus importante attention à l’aggravation de la pauvreté et du sans-abrisme, ce qui est positif, a ajouté Mme Kauppi. Mais, pour élaborer de bonnes politiques publiques et faire des investissements appuyant autant de gens que possible, nous devons cerner plus précisément le nombre de Canadiens touchés et l’incidence sur ceux-ci. Je remercie le CRSH de cette reconnaissance et me réjouis à la perspective de poursuivre ces recherches des plus nécessaires avec une équipe bilingue, triculturelle et pluridisciplinaire à Sudbury. »

Mme Kauppi se prépare à élargir ses recherches sur le sans-abrisme invisible au plan national. Grâce à une subvention du CRSH, elle dirigera un groupe de chercheurs de l’Université Laurentienne, de l’Université de Sudbury et du Service de santé publique de Sudbury et du district qui mènera une série d’ateliers portant sur les enjeux, rassemblera les collègues du pays, organisera une conférence nationale et publiera un livre sur le sans-abrisme invisible et la réconciliation.

« Je félicite Mme Kauppi de ses travaux et de ce prix du CRSH, a dit le vice-recteur à la recherche à l’Université Laurentienne, M. Riu Wang. Notre établissement est très fier du leadership que nous jouons en recherche et du dévouement témoigné par notre personnel en travaillant de pair avec les intervenants de la communauté et du gouvernement sur des projets qui amélioreront la vie. Mme Kauppi en est un parfait exemple. »

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Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules, et la santé et la sécurité au travail.

Dix mois avant l’échéance de l’entente actuelle, l’UL et le syndicat des employés concluent un contrat de trois ans.

Dix mois avant l’échéance de l’entente actuelle, l’UL et le syndicat des employés concluent un contrat de trois ans.

1 septembre 2017

Le Syndicat des employés de l’Université Laurentienne (SEUL) et l’Université Laurentienne se sont entendus sur une nouvelle convention collective. 93 % des membres du Syndicat ont voté pour la prolongation de trois ans du contrat, négociée dix mois avant l’expiration de l’entente actuellement en place avec le SEUL.

« Cette entente est un point positif tant pour notre personnel que pour l’ensemble de la collectivité universitaire, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel, Ph.D. Je tiens à remercier nos partenaires du SEUL de leur travail ardu et de leur collaboration. En parvenant à cet accord presque un an avant la fin de la convention collective actuelle, nous témoignons de la qualité de la relation entre l’Université et le SEUL aussi bien que de notre intérêt commun à assurer la stabilité organisationnelle alors que nous finalisons le Plan stratégique 2018-2023 de l’Université. »

La prolongation de trois ans du contrat sera en vigueur jusqu’au 30 juin 2021. En vertu de l’entente, les membres du SEUL recevront des augmentations salariales de 1,8 %, 1,5 % et 1,5 % au 1er juillet 2018, 2019 et 2020 respectivement. Les membres augmenteront les cotisations au régime de retraite supérieures au MGAP de 8,2 % à 9,9 % et la Laurentienne continuera à partager équitablement les cotisations au régime. Un nouveau libellé en matière de gestion de main-d’œuvre est intégré à la convention pour indiquer que l’Université s’engage à éviter les postes redondants et permettre plus de souplesse pour le transfert des titulaires à d’autres postes.

« Les membres du SEUL sont fiers du travail qu’ils font pour assurer un fonctionnement de haut calibre dans tous les aspects du campus de la Laurentienne, a ajouté le président du SEUL, M. Tom Fenske. Nous nous enorgueillissons aussi des liens solides tissés entre notre syndicat et l’administration de l’Université qui nous ont permis d’achever ce processus contractuel bien avant l’échéance. Nous attendons tous avec intérêt de continuer à cultiver ce partenariat afin qu’en profite toute la collectivité de l’Université Laurentienne. »

Le SEUL représente environ 280 membres du personnel à l’Université Laurentienne, y compris des employés de bureau, secrétaires, technologues, techniciens, employés en informatique, personnel de l’entretien et de la Bibliothèque, y compris les techniciens et adjoints en bibliothèque, les ingénieurs d’exploitation ainsi que le personnel du Service d’impression et du Service de sécurité.

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux.

Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, l’astrophysique des particules, ainsi que la santé et la sécurité en milieu de travail.

Réaction à l'annonce du gouvernement au sujet de la création de la première université de langue française en Ontario

Réaction à l'annonce du gouvernement au sujet de la création de la première université de langue française en Ontario

​L’Université Laurentienne attend avec intérêt de collaborer avec la Province pour appuyer l’enseignement postsecondaire de langue française dans le centre et le sud-ouest de l’Ontario afin qu’il complète ce qui est offert actuellement en Ontario.

Nous continuerons d’offrir des programmes de langue française de haut calibre qui satisfont aux besoins de nos communautés et de notre population d’étudiants francophones qui ne cesse de croître.

En tirant profit des millions de dollars investis récemment dans la réfection des installations, la Laurentienne continuera aussi d’offrir un milieu dynamique de langue française où il fait bon vivre et apprendre. Nous nous réjouissons à la perspective de participer au dialogue permanent sur les études postsecondaires de langue française en Ontario.

Plus de 500 000 $ en financement fédéral pour appuyer la gestion de résidus miniers et des projets de recherche en sciences médico-légales

Plus de 500 000 $ en financement fédéral pour appuyer la gestion de résidus miniers et des projets de recherche en sciences médico-légales

L’Université Laurentienne recevra 508 765 $ en financement fédéral des infrastructures pour deux projets prévoyant des résultats innovateurs dans les domaines de la gestion de résidus miniers et des sciences médico-légales. Le financement, provenant du Fonds des leaders John-R.-Evans de la Fondation canadienne pour l’innovation, a été annoncé par la ministre des Sciences, Kirsty Duncan, qui était de passage sur le campus de l’Université Laurentienne, à Sudbury. La ministre Duncan a annoncé des projets de recherche et d’innovation estimés à quelque 52 000 000 $ dans 51 universités canadiennes.

 

Projets à l’Université Laurentienne

Domaine minier

L’un des projets profitant du financement annoncé est une nouvelle installation d’analyse sur le terrain et en laboratoire qui aidera Mme Nadia Mykytczuk et son équipe à trouver des moyens de maîtriser les grands coûts financiers et pour l’environnement des activités minières. Les travaux de Mme Mykytczuk, portant sur la mise au point de technologies alternatives de gestion de résidus miniers tout particulièrement dans le climat froid du nord, contribuent à une industrie minière plus propre, sécuritaire et efficace.


Sciences médico-légales et métabolomique

L’investissement fédéral financera aussi des installations de pointe de spectrométrie de masse qui aideront à définir le potentiel et les limites des conclusions tirées au moyen de l’analyse toxicologique de restes humains et à explorer les fondements du métabolisme. Les installations permettront d’identifier des composés chimiques choisis, tels que les toxines et les sous-produits métaboliques dans les restes décomposés, les tissus animaux et les échantillons environnementaux (eau, sol, etc.), et d’en mesurer la concentration. Elles serviront aussi à l’étude du changement de métabolisme en fonction des maladies, de l’exercice, voire même du travail souterrain profond.

 


Importance de l’investissement fédéral dans les infrastructures

L’Université Laurentienne continue d’être chef de file des recherches dans le nord de l’Ontario grâce en grande partie aux investissements de nos partenaires fédéraux. Par le passé, les investissements de la FCI ont financé des projets tels que le laboratoire partagé de MM. James Watterson et Thomas Merritt, Ph.D. Entre autres, dans ses recherches, M. Watterson met au point et caractérise des méthodes d’analyse de microéchantillons de sang séché pour appuyer les enquêtes médico-légales sur les conducteurs présumés sous l’effet de drogues.

Un professeur en psychologie du sport est élu président d’une société internationale

Un professeur en psychologie du sport est élu président d’une société internationale

Félicitations au professeur de la Laurentienne, M. Robert Schinke, titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur l’activité physique et sportive multiculturelle, qui a été élu président de l’International Society of Sports Psychology au début de l’été.

Âgé de 51 ans, M. Schinke est la plus jeune personne à présider cette prestigieuse société et le premier Canadien à exercer ce rôle dans lequel il mènera des efforts sur la scène mondiale pour rehausser la capacité en psychologie du sport dans les pays en développement.

Dans ses recherches actuelles, M. Schinke examine les défis liés aux sports que doivent relever les nouveaux arrivés au Canada dans le cadre du système sportif canadien.

Depuis 2000, il travaille de près avec des boxeurs professionnels, champions mondiaux mis en vedette sur HBO, et prépare actuellement les équipes canadiennes masculines et féminines de boxe et de karaté en vue des Jeux olympiques d’été de 2020.

Récemment, l’un de ses anciens étudiants au doctorat s’est vu décerner la Médaille d’or du gouverneur général pour souligner son projet de dissertation, et a été nommé lauréat du Prix de chercheur émergent de l’International Society of Sport Psychology en 2017.

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