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Une nouvelle entente fait prospérer un établissement partenaire de la Laurentienne tout en s’attaquant aux changements climatiques

Une nouvelle entente fait prospérer un établissement partenaire de la Laurentienne tout en s’attaquant aux changements climatiques

Titulaire d'un nouvel accord provincial, l'Institut de recherche sur les risques climatiques est une société dérivée de MIRARCO à l'UL

16 décembre 2020 -- L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer qu’une entente d’affiliation a été conclue avec l’Institut de recherche sur les risques climatiques (Climate Risk Institute [CRI]), société sans but lucratif axée sur la prestation de services et la progression de la pratique en matière d’évaluation des risques de changement climatique et d’adaptation de la planification dans le cadre de programmes et de projets favorisant la mobilisation de connaissances et le renforcement des capacités. L’entente ouvrira de précieuses possibilités de collaboration, y compris des apprentissages pour la population étudiante, des collaborations de recherche et l’élaboration de programmes. La relation favorisera une compréhension et des connaissances poussées de l’incidence du changement climatique par le biais de services climatologiques fondés sur l’expérience, l’expertise, les sciences et les connaissances locales.

La consolidation des liens entre l’Institut et le milieu universitaire rehaussera sa capacité d’accès aux recherches, ce qui affirme l’engagement de la Laurentienne envers l’action en matière de changement climatique. La collaboration permettra de nouer des liens entre les chercheurs, les praticiens locaux et les décisionnaires et d’orienter les mesures de résilience dans les secteurs et les communautés.

2019 a marqué la fondation de l’Institut, presque 20 ans après la création d’une division d’adaptation au changement climatique à la Société de recherche appliquée en innovation minière et de réhabilitation (MIRARCO) sans but lucratif à l’Université Laurentienne. Grâce à des collaborations nationales et mondiales, ses travaux continueront de mobiliser le savoir et d’améliorer les pratiques de résilience au changement climatique dans l’ensemble des professions et secteurs. La Laurentienne poursuit ce partenariat avec enthousiasme, rehaussant son rôle de leader mondial en gérance de l’environnement.

CITATIONS
« L’Institut de recherche sur les risques climatiques se réjouit des liens noués avec l’Université Laurentienne. Notre partenariat permettra dans une large mesure d’offrir aux étudiants des possibilités d’apprentissage expérientiel et de faire progresser la collaboration en matière de recherche sur le changement climatique en Ontario et au Canada. Ces liens apporteront aussi un soutien aux collectivités nord-ontariennes qui continuent à concevoir des plans pour rehausser la résilience au changement climatique. »
M. Al Douglas, président, Institut de recherche sur les risques climatiques (Climate Risk Institute)

« À l’Université Laurentienne, nous attendons avec intérêt de collaborer avec l’Institut de recherche sur les risques climatiques. Grâce à cette entente, nos établissements pourront appuyer l’apprentissage des étudiants, collaborer aux recherches, faire des mises en commun pour l’élaboration de programmes et offrir des services relatifs au climat fondés sur l’expérience, l’expertise, les sciences et les connaissances traditionnelles locales. »
M. Robert Haché, recteur et vice-chancelier, Université Laurentienne

La Laurentienne adapte son initiative de Souhaits d’examens en raison de la pandémie

La Laurentienne adapte son initiative de Souhaits d’examens en raison de la pandémie

Des efforts un peu différents cette année pour remonter le moral des étudiants qui se préparent aux examens

11 décembre 2020 -- Il va de soi que la pandémie a créé en 2020 des hauts et des bas sans précédent. Ainsi, le besoin de maintenir l’esprit généreux de la saison se fait ressentir d’autant plus, même si nous devons adapter nos traditions en fonction du contexte. C’est pourquoi nous présentons encore cette année les Souhaits d’examens, en y apportant quelques modifications.

Les Souhaits d’examens sont une initiative de l’Association des anciens de l’Université Laurentienne (AAUL). Par le passé, les membres de la population étudiante qui avaient besoin d’un remontant en se préparant aux examens finaux n’avaient qu’à afficher l’appel dans les médias sociaux; certains demandaient du café, d’autres souhaitaient recevoir un goûter (surtout de la pizza). Une équipe de bénévoles se mobilisait pour déléguer la tâche à un ancien qui allait chercher et livrer les provisions demandées. Les membres de l’AAUL apportaient aussi de l’encouragement aux étudiants dévoués pendant cette période de stress.

Cette année, l’AAUL a adopté sa façon de procéder. Cette semaine, les anciens de l’Université Laurentienne ont transmis aux étudiants se préparant aux examens des conseils et suggestions pratiques tout en incluant des cartes-cadeaux électroniques pour l’achat de consommations à la caféine ou de collations dont ils ont envie. Du 7 au 10 décembre, 273 étudiants ont profité du programme.

Nous avons hâte de pouvoir relancer pleinement cette initiative un jour.

Le Sénat de l’Université Laurentienne approuve la notation humanitaire

Le Sénat de l’Université Laurentienne approuve la notation humanitaire

La population étudiante aura davantage d’options de notes dans son dossier scolaire

10 décembre 2020 - À la suite d’un débat intense, le Sénat de l’Université Laurentienne a voté en faveur d’une proposition qui apportera des résultats équitables et humanitaires à toute la population étudiante, en particulier pour les personnes qui ont subi la pleine incidence de la pandémie. Cette proposition permet aux étudiants de choisir la mention « Réussite » ou « Échec » sur les relevés finals de notes des cours individuels plutôt qu’une note précise.

 

Beaucoup d’établissements canadiens, comme, entre autres, l’Université Concordia, l’Université de Toronto et l’Université d’Alberta, ont institué des options de notation humanitaire comme le système « Réussite/Échec ». Avec cette décision, le Sénat de l’Université Laurentienne montre sa détermination à fournir toutes les possibilités de réussir à la population étudiante.

 

La Laurentienne est fière du leadership montré par les représentants de ses associations étudiantes qui ont présenté cette proposition au Sénat de l’Université.

 

Citation

« La population étudiante est au centre de notre prise de décision, et cette décision offrira de la latitude à un moment où elle est la plus nécessaire. C’est une mesure inhabituelle qui, à notre avis, aura un effet positif sur la réussite de la population étudiante. » Robert Haché, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne

Sudbury 2050 - L’École d’architecture McEwen annonce ses lauréats.

Sudbury 2050 - L’École d’architecture McEwen annonce ses lauréats.

Le concours a reçu une centaine de conceptions de l’avenir de notre communauté provenant de plus de 20 pays

(10 décembre, 2020) Ces conceptions présentent des approches et les solutions très diverses, mais toutes font preuve de créativité et livrent des réflexions stimulantes sur le présent et l’avenir de notre ville, le Grand Sudbury. Chacune des soumissions a raconté notre ville autrement.
Il est rare qu’une ville ait la chance d’être le thème d’un concours de design international.

Le jury du concours a d’abord choisi cinq finalistes dans la catégorie étudiante et huit finalistes dans la catégorie libre. Toutes les équipes finalistes ont fait des présentations publiques en ligne les 23 et 24 novembre 2020.

À la suite de ces présentations, le jury du concours a choisi les lauréats. Le public était également invité à voter pour la soumission de son choix. Plus de 2000 votes ont été soumis en ligne.

 

Et les lauréats sont...

Document d’information

La Laurentienne et Wiikwemkoong aident à lancer la toute première mesure du bien-être adaptée aux particularités culturelles autochtones faite par et pour les enfants

La Laurentienne et Wiikwemkoong aident à lancer la toute première mesure du bien-être adaptée aux particularités culturelles autochtones faite par et pour les enfants

L’outil Aaniish Naa Gegii (Comment vas-tu?) a été lancé lors de la Journée nationale de l’enfant

(8 decembre 2020) L’Université Laurentienne félicite avec joie l’équipe qui a créé l’outil Aaniish Naa Gegii: the Children’s Health and Well-being Measure (ACHWM) mesurant la santé et le bien-être des enfants. L’initiative découle directement du partenariat dynamique noué entre le Centre de santé Naandwechige-Gamig Wikwemikong et le Centre de recherche ECHO (Evaluating Children’s Health Outcomes) à l’Université Laurentienne. Le lancement s’est fait le 20 novembre dernier, en même temps que le lancement du nouveau site Web de l’organisme et la célébration de la Journée nationale de l’enfant.

L’initiative reflète les années de recherche, de travail ardu et de leadership de la titulaire de la Chaire de recherche, Mme Nancy Young, Ph.D., de la directrice du Centre de santé Naandwechige-Gamig, Mme Mary Jo Wabano et de leurs équipes dévouées. Le tout a commencé en 2009 quand le territoire non cédé de Wiikwemkoong et l’Université Laurentienne ont noué une collaboration active pour créer une nouvelle mesure à l’intention des enfants autochtones. Depuis, ils ont mis au point l’outil ACHWM, appli pour tablette et site Web permettant aux dirigeants communautaires de consulter l’information et les statistiques. 

L’appli pour tablette propose une mesure adaptée aux particularités culturelles des enfants autochtones âgés de 8 à 18 ans. Créée par et pour les enfants, elle sert de catalyseur au discours, aux services et, éventuellement, au financement. L’appli comprend des fonctions d’analyse de la santé, d’évaluation de programme et de dépistage de santé mentale. Tout le travail requis pour créer l’application, qui vise à améliorer la vie des enfants autochtones, a été accompli grâce à des subventions des Instituts de recherche en santé du Canada, du ministère des Services à l’enfance et des Services sociaux et communautaires et d’AMS/OSSU.

Les services offerts actuellement par l’intermédiaire du site Web et de l’appli aideront les dirigeants communautaires à appuyer les jeunes de 8 à 18 ans, mais un modèle à utiliser auprès d’enfants plus jeunes, âgés de 3 à 7 ans, est aussi en voie de développement. L’équipe crée également un modèle pour les adultes, dont les étudiants autochtones postsecondaires, par exemple.

CITATIONS
« Je tiens à féliciter Mmes Young et Wabano et leurs équipes pour les années de travail utile qui ont permis la création de cette application. Il est tellement gratifiant de voir poursuivre ce partenariat entre le Centre de santé Naandwechige-gamig Wikwemikong et les nombreuses collectivités autochtones participantes. Les relations cultivées dans le cadre de cette œuvre importante traduisent véritablement les aspirations articulées dans notre Plan stratégique 2018-2023 à l’Université Laurentienne et notre engagement envers la vérité et la réconciliation. »
M. Robert Haché, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne

« Notre objectif est d’assurer que l’appli appuie le bien-être de tous les enfants et jeunes autochtones [inuits, métis et des Premières Nations]. Au début, nous voulions assurer la planification et l’évaluation dans la communauté, mais en cours de route, nous nous sommes rendu compte que nous devons, dans ce processus, aider chaque enfant. Les communautés n’ont aucun obstacle financier à franchir pour utiliser cet outil, que ce soit pour 5 ou 500 enfants. »
Mme Nancy L. Young, Ph.D., directrice de l’École de santé dans les régions rurales et du Nord et titulaire de la Chaire de recherche

« Assurer aux enfants de notre collectivité [Wiikwemkoong] et, maintenant, des communautés partout au Canada, un accès aux services qui appuient leurs besoins et comblent les lacunes est important pour moi. L’appli nous permettra de cerner ce que nous pouvons faire, en tant que communauté, pour soutenir collectivement les enfants dans le but d’équilibrer la vie et maintenir le bien-être. Je le fais pour les enfants; ils sont ma force motrice. » 
Mme Mary Jo Wabano, directrice des Services de santé, Centre de santé Naandwechige-Gamig Wikwemikong

« Cette équipe incroyable travaille inlassablement pour créer des ressources réfléchies qui ont un sens et sont efficaces pour les Autochtones. Notre équipe est très vaste et je suis fière d’en faire partie. »
Mme Mia Bourque, BA (spéc.)/candidate à la M.A., préposée à la liaison communautaire et culturelle ACHWM-Centre de recherche ECHO, Université Laurentienne
 

L’Université Laurentienne célèbre la sixième activité annuelle consécutive du Mardi je donne

L’Université Laurentienne célèbre la sixième activité annuelle consécutive du Mardi je donne

L’Université s’engage à appuyer les étudiants qui éprouvent des difficultés pendant la pandémie

(1 décembre 2020) Le 1er décembre 2020, l’Université Laurentienne participera pour la sixième année consécutive au Mardi je donne. L’activité mondiale de philanthropie fait suite, chaque année, au Vendredi fou et au cyberlundi, rassemblant les Canadiens, les entreprises et les œuvres caritatives pour célébrer la générosité et participer à des activités qui appuient les œuvres de bienfaisance et les organismes sans but lucratif.

Cette année ne ressemble à aucune autre. Nous traversons une période difficile et devons cadrer avec des conditions de travail et de vie sans précédent. En gardant à l’esprit notre Plan stratégique #Imagine2023, cette campagne du Mardi je donne mobilisera surtout des fonds pour les étudiants de l’Université Laurentienne qui connaissent de difficultés en raison de la pandémie mondiale.

Fonds de soutien d’urgence pour la population étudiante
Le Fonds de soutien d’urgence pour la population étudiante a été créé par l’Université Laurentienne peu après la déclaration de l’urgence de la COVID-19 le mardi 10 mars 2020. Cette année, notre généreux partenaire, TD, s’est allié à nous et offrira la contrepartie des dons jusqu’à un total de 15 000 $, doublant ainsi l’incidence des dons que font les membres de la communauté. Pour faire un don, consultez https://laurentian.ca/give/fr/faire-un-impact/.

L’objectif du fonds est d’apporter une aide financière aux membres de la population étudiante afin qu’ils :

  • achètent de la nourriture ou supportent d’autres coûts, s’ils sont démunis financièrement;
  • adressent les défis touchant le logement s’ils doivent s’isoler pour protéger leurs proches en régions rurales ou éloignées ou dans des collectivités autochtones ou sont incapables de rentrer chez eux avec leur famille à cause de la fermeture des frontières;
  • obtiennent une connexion internet à la maison, s’ils n’avaient qu’un accès sur le campus précédemment;
  • remplacent des revenus perdus en raison d’une mise à pied ou de la fermeture d’une entreprise;
  • surmontent d’autres difficultés financières entraînées par les mesures prises par l’Université Laurentienne et tous les paliers gouvernementaux à cause de la COVID-19.
     

Un chercheur de l’UL joue un rôle vital dans l’établissement de l’image des premiers jours de la Terre

Un chercheur de l’UL joue un rôle vital dans l’établissement de l’image des premiers jours de la Terre

Le professeur Alessandro Ielpi et ses collègues utilisent le zircon pour révéler le secret de l’émergence des continents.

(30 novembre 2020) M. Alessandro Ielpi célèbre une grande étape de sa carrière, car son travail est en vedette dans une publication prestigieuse dans son domaine. Le professeur adjoint en sédimentologie à l’École des sciences de la Terre Harquail a beaucoup voyagé afin de découvrir de précieux renseignements sur notre planète. Cette semaine, la revue réputée Earth and Planetary Science Letters publie quelques-uns de ses résultats les plus importants.

L’article, corédigé par Jesse Reimink de la Pennsylvania State University, Joshua Davies de l’Université du Québec à Montréal, et Alessandro Ielpi de l’Université Laurentienne, donne une idée de la façon dont les continents se sont formés il y a des milliards d’années. Même s’il existe depuis longtemps un consensus sur la formation des continents, les formes exactes, les emplacements et les âges de ces premiers morceaux de terrain sec font l’objet de désaccords depuis longtemps. Grâce aux recherches du trio sur le zircon, l’étude nous rapproche du lieu et du moment où ce processus a commencé. Miser sur la résilience du minéral au fil des années s’est révélé être la clé de cette étude. En effet, le zircon est tellement résilient qu’on peut le qualifier de sorte de capsule temporelle. Il se forme dans les magmas qui, une fois solidifiés, peuvent être érodés par les éléments. Les grains de zircon sont alors transportés et incorporés dans les sédiments partout au monde. En datant le zircon trouvé dans ces sédiments, les chercheurs peuvent reconstruire la taille et la distribution des roches précédentes d’un bassin hydrographique.

À un moment donné, la Terre aurait pu être plus exactement appelée un monde aquatique, car c’était une masse planétaire d’eau avec peu de masse terrestre, sinon aucune, qui en émergeait. Il y a environ trois milliards d’années, des formations rocheuses ont commencé à pointer alors que les premiers continents gagnaient en relief. Les auteurs font l’hypothèse qu’il y a à peu près deux milliards et demi d’années, des continents d’une taille semblable à celle des continents modernes se sont finalement établis. Pour arriver à cette conclusion, ils ont analysé une base mondiale de données des âges d’un minéral appelé zircon, et ont établi une théorie de travail sur la façon dont la terre sèche est apparue dans ce monde.

Nous félicitons les professeurs Ielpi, Reimink et Davies de leur travail, un témoignage de leur détermination individuelle ainsi que de la coopération internationale même pendant la pandémie actuelle.

CITATIONS
« La collaboration avec les professeurs Reimink et Davies fait partie des aspects les plus intéressants de mon étude actuelle. C’est formidable de voir comment l’étude des processus en surface au début de l’existence de la Terre peut s’intégrer à des analyses statistiques de grandes séries de données indépendantes. Comprendre l’émergence des continents du monde moderne dans le passé de la planète est en fait un but clé en géologie. » Alessandro Ielpi, professeur adjoint de sédimentologie à l’École des sciences de la Terre Harquail de l’Université Laurentienne

« Cette découverte du professeur Ielpi et de ses collaborateurs est vraiment remarquable et montre le pouvoir de la curiosité et de l’ingéniosité lorsque des chercheurs passionnés et chevronnés de partout au monde se réunissent pour résoudre des problèmes. » Tammy Eger, vice-rectrice à la recherche de l'Université Laurentienne

Une professeure de l’Université Laurentienne reçoit un financement du CRSNG pour avancer la formation en matière de communication scientifique

Une professeure de l’Université Laurentienne reçoit un financement du CRSNG pour avancer la formation en matière de communication scientifique

Mme Chantal Barriault formera des professeurs et chercheurs des STIM dans le Nord de l’Ontario en matière de vulgarisation scientifique

(23 novembre 2020) L’Université Laurentienne tient à féliciter Mme Chantal Barriault, Ph.D., qui a reçu 20 000 $ du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG) du gouvernement fédéral. Cette subvention permet à des experts en communication de partager leurs connaissances avec des professeurs, chercheurs et étudiants des cycles supérieurs en sciences, technologie, ingénierie et mathématiques pour améliorer leurs compétences de sorte qu’ils communiquent efficacement leur travail avec le public.

La Subvention de développement des compétences en communication scientifique (phase pilote) a été remise à Mme Barriault ainsi qu’à 20 autres lauréats choisis parmi une centaine de demandes provenant de partout au Canada. Les fonds aideront les experts nord-ontariens des STIM à contribuer à la conscientisation scientifique tout en luttant contre la désinformation scientifique.

Grâce à ce financement, l’Université Laurentienne, en partenariat avec Science Nord, donnera une formation essentielle en matière de communication scientifique dans le cadre d’ateliers interactifs offerts virtuellement et en personne. Les fonds soutiendront la création d’un modèle de formation qui pourra être adapté et offert en anglais et français ailleurs que dans le Nord de l’Ontario. En effectuant ce projet pilote, Mme Barriault espère bien valider les principes afin de pouvoir obtenir d’autres subventions à l’avenir. Appuyez ici pour lire sa proposition.

CITATION
« Cet octroi fait valoir que nous offrons, à la Laurentienne, un programme d’études supérieures de calibre mondial en communication scientifique et que nous habilitons les chercheurs et les professeurs de sciences partout dans le Nord de l’Ontario à communiquer efficacement leurs travaux. » Mme Chantal Barriault, directrice du programme d’études supérieures en communication scientifique
 

L’Université Laurentienne est ajoutée à la liste d’établissements d’enseignement désignés d’Immigration Canada

L’Université Laurentienne est ajoutée à la liste d’établissements d’enseignement désignés d’Immigration Canada

L’Université est autorisée à accueillir des étudiants étrangers

(17 novembre 2020) L’Université Laurentienne est fière d’annoncer qu’elle figure désormais sur la liste d’établissements d’enseignement désignés (EED), qui énumère tous les collèges et toutes les universités au Canada qui sont dotés de plan d’intervention en réponse à la COVID-19. Cette démarche permet à la Laurentienne d’accueillir les étudiants en provenance de l’étranger.

Cette annonce fait suite à des semaines de discussions constructives avec nos partenaires aux paliers provincial et fédéral du gouvernement et n’aurait pas été possible sans les efforts conjugués de nombreuses unités à l’Université qui assurent la sécurité de notre communauté.

Les équipes des services aux étudiants étrangers et des résidences à l’Université Laurentienne continuent d’offrir un appui aux étudiants d’autres pays en matière d’arrivée au Canada et de plan de quarantaine. La Laurentienne compte actuellement parmi sa population étudiante 602 étudiants étrangers de 75 pays qui font leurs études à distance dans leur pays d’origine ou au Canada.

Un chercheur de la Laurentienne reçoit une subvention fédérale pour intensifier la lutte contre le coronavirus

Un chercheur de la Laurentienne reçoit une subvention fédérale pour intensifier la lutte contre le coronavirus

Professeur au Département de chimie et de biochimie, M. Stefan Siemann, Ph.D., reçoit 200 000 $ de la FCI pour se procurer des appareils clés

(16 novembre 2020) L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer qu’un de ses chercheurs recevra un coup de pouce du gouvernement fédéral pour rehausser ses efforts de lutte contre le coronavirus.

Professeur au Département de chimie et de biochimie, M. Stefan Siemann déploie déjà des efforts tenaces pour conquérir le virus dans le cadre de sa participation à un réseau mondial d’experts qui se servent de la technologie d’imagerie en 3D pour cibler les faiblesses éventuelles dans la structure cellulaire de SARS-Cov-2, virus responsable de la pandémie en cours. Cette semaine, la Fondation canadienne pour l’innovation a annoncé que M. Siemann recevra 200 000 $ pour acheter deux appareils qui rehausseront davantage ses efforts. 

Ces appareils, un fluorimètre et un système de lecteur de microplaques, seront essentiels à M. Siemann et à son équipe dans leur recherche de l’enzyme nommé Mpro qui joue un rôle vital dans la réplication du virus. L’objectif des chercheurs est de trouver un composé qui empêchera l’enzyme Mpro de répliquer les cellules de SARS-Cov-2, ce qui arrêtera ou ralentira la propagation du virus.

Cette recherche figure parmi 79 projets financés par le Fonds des occasions exceptionnelles de la FCI. Annoncé récemment, le fonds comprend 28 000 000 $ à octroyer à des projets semblables dans 52 établissements partout au Canada dans le cadre de l’engagement élargi du gouvernement fédéral envers l’atténuation des effets dévastateurs de la pandémie. 

CITATION
« Le financement de l’infrastructure de recherche annoncé par l’honorable Navdeep Bains, ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie, n’aurait pu arriver à un meilleur moment pour les scientifiques canadiens, y compris le professeur Stefan Siemann de l’Université Laurentienne. Nous sommes incroyablement fiers de lui et de ses collaborateurs qui utilisent des outils scientifiques de pointe et de nouvelles méthodes pour lutter contre la COVID-19. » Mme Tammy Eger, vice-rectrice à la recherche, Université Laurentienne
 

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