Nouvelles

Le 1 octobre, 2025 | 7 minute(s) de lecture

Concours international en Corée du Sud : les équipes d’étudiants de la Laurentienne y font bonne figure

Les étudiants de l’Université Laurentienne ont parfois l’occasion de présenter leurs projets au public, voire à l’étranger, mettant ainsi en valeur le haut niveau de leurs innovations. L’exemple le plus récent a été rendu possible par le Fonds de la rectrice pour l’innovation IAMGOLD pour l’investissement stratégique.

SNOBots
Nouvelles

Le 18 septembre, 2025 | 3 minute(s) de lecture

L’École des sciences naturelles confère 290 000 $ en bourses

S’appuyant sur le legs de la Fondation McLaughlin, dont le don majeur a aidé à financer la Chaire de l’Initiative de recherche sur le cancer à l’Université Laurentienne de 2000 à 2005, l’École des sciences naturelles est fière d’annoncer l’attribution de vingt-trois bourses d’études totalisant 290 000 $.

An aerial view of the Laurentian University campus.

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Aerial view of Campus

La Laurentienne annonce une nouvelle bourse pour les jeunes

Aerial view of Campus

L’Université Laurentienne approuve l’exemption des droits de

Laurentian University interim President and Vice Chancellor, Dr. Pierre Zundel and United Steelworkers President (USW), Leo Gerard announced that the United Steelworkers are committing a total of $225,000 in research funding

Le Syndicat des métallos s'engage à verser 225 000 $ dans la

RBC

Objectif avenir de RBC fait un don de 300 000 $ à la Laurent

Hatch

Hatch fait un don de 250 000 $ à l’École de génie Bharti

Bharti receives renewed investment from IAMGOLD

L’École de génie Bharti de l’Université Laurentienne reçoit

Aerial view of Campus

Vidéo: Mots d'encouragement

Student with glasses holding backpack and smiling at camera

Fonds de soutien d’urgence pour la population étudiante

Wyona Thompson

Une bienfaitrice donne 200 000 $ pour soutenir les programme

Nouvelles bourses de Perkins&Will sont décernées pour appuye

Ces bourses annuelles sont maintenant offertes aux étudiants autochtones en partenariat avec l’Université Laurentienne et Indspire.

McEwen School of Architecture

Chelsea Wegner

B.A., B.Ed.

Quand j’ai reçu ma lettre, je me suis assise sur mon lit et suis restée prostrée en la regardant. Comment allais-je dire à mes amis et à ma famille que j’allais à l’université? J’avais toujours rêvé de poursuivre mes études et d’obtenir un grade universitaire, mais ma famille, comme beaucoup d’autres, vivait d’une paie à l’autre. J’avais besoin d’aide. Heureusement pour moi, il y avait le RAFEO. Malheureusement, à un moment donné, au milieu du deuxième trimestre de ma première année, l’aide du RAFEO ne suffisait pas et j’ai commencé à chercher un emploi.

Il n’était pas facile d’équilibrer la vie, les études et le travail et je commençais à être stressée. Ensuite, j’ai reçu le message électronique. J’ai posé ma candidature au plus de bourses possible et j’ai obtenu une bourse financée par un ancien. Cela a été la lumière au bout d’un tunnel très sombre. Je savais alors que je m’en sortirais et que je me tirerais d’affaire jusqu’à la fin du mois d’avril.

Ce soulagement financier était étonnant, mais il y avait autre chose : le fait que quelqu’un qui ne m’avait jamais rencontrée voulait que je réussisse et qu’il croyait suffisamment en moi pour faire un don a eu une énorme incidence dans ma vie. Qui que vous soyez et où que vous vous trouvez, je vous remercie du fond du cœur. Dans moins d’un an, j’obtiendrai mon brevet pour enseigner en Ontario, et un jour, je ferai un don à mon tour parce que j’ai eu la chance d’en recevoir un.

Scott Ladd

B. Eng.

Je n’ai pas un souvenir préféré de l’Université Laurentienne – j’en ai plusieurs. Je me rappelle d’avoir fait des études avec mes camarades de génie dans la Bibliothèque J.N.‑Desmarais du matin au soir n’importe quel jour de la semaine, de jouer au tennis sur les terrains du campus, de me promener dans les sentiers et de m’entraîner au Centre Ben-Avery. Avant de commencer le programme d’enseignement coopératif, je me débrouillais tant bien que mal sur le plan financier. L’obtention de la Bourse Mason Kossatz m’a permis de joindre les deux bouts. Étant bien reconnaissant d’avoir reçu cette bourse, je voulais réinvestir dans mon alma mater en apportant la même aide que j’ai reçue pendant mes études à la Laurentienne. Je fais des dons à l’Université, car je sais que les fonds aident à améliorer l’établissement et l’expérience éducative des étudiants. Chaque fois que je me rends à la Laurentienne, je m’émerveille des changements et des innovations apportés au campus et j’ai toujours hâte de revenir pour voir ce qu’il y a de neuf.

Konrad Gorski

Étudiant de 3e année en science politique

M. Konrad Gorski, étudiant de 3e année à l’Université Laurentienne, se dit très fier d’avoir reçu une bourse, d’autant plus qu’il s’agissait d’une bourse célébrant la vie d’une personne.

Lauréat de la Bourse commémorative Keith Sinclair, M. Gorski, qui prépare une majeure en science politique et une mineure en français et espagnol, croit qu’un accomplissement de ce genre transmet un « message positif » à la population étudiante.

« Cette bourse m’inspire à continuer à aller de l’avant, dit-il. M. Sinclair était bien respecté et avait reçu une bonne éducation et j’ai l’intention de suivre la même voie. »

La Bourse commémorative Keith Sinclair repose sur un don planifié de la famille et des amis à la mémoire de M. Sinclair. La bourse est remise à une personne inscrite à plein temps à un programme de science politique qui a un bon rendement scolaire et a besoin d’aide financière et qui réside en Ontario conformément à la définition du RAFEO.

Les dons planifiés constituent un excellent moyen de laisser un héritage durable à la Laurentienne, comme cela a été fait pour M. Keith Sinclair et sa carrière. Au cours des 33 ans qu’il a passés à la Laurentienne, il a été directeur du Département de science politique et membre de pratiquement tous les comités d’unité, de faculté et de l’Université.

Gorski, dont les parents sont originaires de la Pologne, se dit très reconnaissant de recevoir la bourse aussi bien que d’entendre citer son nom au même titre que M. Sinclair.

« Mes parents ne sont pas allés à l’université et je suis étudiant de première génération, ajoute-t-il, ce qui présente de nombreux obstacles et défis. Cependant, je suis honoré de voir que quelqu’un croit et investit en moi. Cela transmet un puissant message. »

Cette bourse l’inspire à poursuivre une carrière dans le droit ou la politique tout en l’encourageant à apporter sa propre contribution un jour.

« Je me ferai un devoir de redonner un peu de moi à l’Université, a-t-il affirmé, car j’y en ai tellement reçu et je le ferai avec joie, car la Laurentienne me tient à cœur. Recevoir une bourse qui commémore une personne d’une telle influence prête un soutien aux étudiants et, croyez-moi, il s’agit d’un gros coup de pouce. Si je me trouve dans une telle situation, je ferai de même. »

Pour obtenir un complément d’information sur les dons planifiés à l’Université Laurentienne, veuillez composer le 705.675.4872 ou communiquer avec le Bureau du développement à development@laurentian.ca

Christopher Baziw

Étudiant de troisième année à l’École d’architecture McEwen

Aussi longtemps qu’il s’en souvienne, Christopher Baziw a rêvé de devenir architecte.

« L’architecture a toujours été pour moi une passion et un amour, dit-il. J’étais l’un de ces enfants qui aimaient jouer avec des Legos et qui étaient assez chanceux d’avoir des parents qui avaient confiance en moi et qui m’ont laissé construire en bois d’œuvre une cabane dans l’arbre dans notre arrière-cour. »

Aujourd’hui, en troisième année à l’École d’architecture McEwen de la Laurentienne et gardant le cap, M. Baziw a vu reconnaître ses efforts en étant lauréat de la Bourse d’architecture de Peddler’s Pub, une bourse établie par la famille Gainer, propriétaire depuis longtemps d’entreprises au centre-ville de Sudbury et grand appui de l’Université Laurentienne. Cette bourse récompense les étudiants qui font preuve de connaissance technique dans leur travail de conception tout en conservant une moyenne pondérée élevée.

« C’est absolument gratifiant, dit-il, de me voir remettre cette bourse. »

« C’est vraiment super que les gens me reconnaissent et saluent tous mes efforts assidus. Cela me rappelle toutes ces longues heures supplémentaires passées à dessiner, à faire des croquis et à me stresser à la préparation aux examens. Une récompense comme celle-ci me dit que le jeu en valait la chandelle. »

Les projets architecturaux, de la conception à la mise en œuvre, peuvent se révéler coûteux, mais, grâce à une bourse, M. Baziw se sent à l’aise financièrement et disposé à réaliser son meilleur travail possible.

« Cette bourse me pousse à travailler encore plus fort maintenant, dit-il. Les projets d’architecture sont très chers parce que, dans bien des cas, vous devez ébaucher des dessins et disposer du matériel supplémentaire pour en venir à bout. Je n’aurai certainement plus peur de dépasser mon budget lorsqu’un projet l’exige. »

En plus de son rendement excellent en classe, grâce au soutien généreux qu’il a reçu, M. Baziw a également pu mieux profiter des expériences d’apprentissage pratique unique qu’offre le programme d’architecture. L’an dernier, M. Baziw et neuf autres étudiants se sont rendus à la ville de Dinkelsbühl, en Allemagne, où ils ont passé cinq semaines à travailler aux côtés du professeur Randall Kober.

« Ce n’était aucunement la traversée classique, sac au dos, à travers l’Europe, se rappelle M. Baziw. C’était un voyage d’étude architecturale, un programme d’apprentissage chargé, et plus précisément, des pratiques de construction en bois dans toute l’Europe. »

Lui et ses camarades ont travaillé à des projets de menuiserie consistant à reconstruire un comble et une structure de toit dans une maison vieille de près de 800 ans, ainsi qu’un escalier liant une maison et un jardin à l’intérieur d’un vieux mur médiéval. Ils se sont également rendus en Autriche et en Suisse pour observer des conceptions architecturales uniques et, pour terminer leur voyage, ont visité Vienne où, lors d’une exposition organisée en marge d’une conférence internationale, ils ont mis en valeur leurs travaux aux côtés des écoles venues du monde entier.

« Ce voyage m’a motivé à bien des égards et a élargi mon horizon au point de refonder complètement ma compréhension de l’architecture, dit M. Baziw. Il m’a vraiment permis de pousser plus loin mes conceptions et de mieux apprécier les bâtiments canadiens que j’étudie. Au cours de ce qui reste de mes études, je pourrai certainement revenir à cette expérience pour y puiser de l’inspiration et des idées; c’était vraiment le voyage d’une vie. »

Communiquez avec le Bureau du développement si vous souhaitez en savoir plus sur l’École d’architecture McEwen de l’Université Laurentienne et l’appuyer.

Konstantin Manukyan

La bourse de l’Association de la construction du nord-est de l’Ontario

Ayant élu domicile au Canada depuis l’âge de 9 ans, Konstantin Manukyan est bien loin de la ville qui l’a vu naître, à savoir, Saint-Pétersbourg, en Russie. Les magnifiques édifices qui l’entouraient à l’époque ont suscité chez lui une passion immense pour l’architecture. Toutefois, il n’aurait sans doute pas été possible d’assouvir sa passion dans son pays d’origine.

« L’expérience aurait été complètement différente, » dit-il. « Le système d’enseignement est très différent. Les études sont de plus courte durée et vous devez faire votre service militaire pendant quelques mois. Je ne crois pas que j’aurais fait des études en architecture si j’étais encore là-bas. »

Konstantin Manukyan a plutôt choisi d’étudier à l’École d’architecture McEwen de l’Université Laurentienne, et il s’est vite distingué grâce à son ardeur au travail. L’an dernier, il a reçu la bourse d’études en architecture décernée par l’Association de la construction du nord-est de l’Ontario.

Cette bourse d’études, créée par l’Association de la construction du nord-est de l’Ontario (ACNEO), est décernée chaque année à un membre du corps étudiant inscrit à plein temps, qui est citoyen canadien ou résident permanent, et qui entame sa première d’études à l’École d’architecture McEwen. L’ACNEO fait partie du secteur de la construction industrielle, commerciale, institutionnelle (ICI) qui appuie les entrepreneurs, les fabricants et les fournisseurs, les prestataires de services, les sociétés d’experts-conseils, et les fournisseurs de formation et de personnel. La finalité de cette bourse d’études est d’aider à attirer de jeunes architectes brillants dans le nord de l’Ontario.

« Elle [la bourse d’études] m’a beaucoup surpris, parce que je n’y pensais pas vraiment, » de dire Konstantin Manukyan. « Si j’ai bien compris, seulement 10 bourses d’études de ce genre sont décernées. Je suis très touché d’être de ce nombre. Cela fait prendre conscience que l’on œuvre pour quelque chose, puisqu’on en bénéficie. Cela m’encourage vraiment. »

Konstantin Manukyan dit qu’il souhaite travailler un jour comme architecte professionnel, et il espère exercer une influence sur les méthodes d’écoconception. Illustrer l’importance de créer des bâtiments durables sur le plan de l’environnement occupe une place importante dans le curriculum de l’École d’architecture McEwen.

Selon lui, l’environnement est très important. « L’environnement joue un rôle majeur dans la vie de tout le monde et le réchauffement climatique est un problème alarmant qui n’est pas prêt de se résorber. L’écoconception adopte une perspective à long terme afin d’aider à réduire l’empreinte carbone. Peut-être que dans le futur, je pourrai aussi bâtir des bâtiments et des maisons plus écologiques et contribuer ainsi à préserver ce que nous avons. »

Pour en savoir plus sur les possibilités de soutien à l’École d’architecture McEwen, veuillez communiquer avec le Bureau du développement de l’Université Laurentienne.

Celina Rios-Nadeau

La Bourse d’architecture de la RBC

Grandir dans une famille monoparentale peut être difficile, même si cela n’a pas empêché Celina Rios-Nadeau de poursuivre son rêve de devenir architecte.

« J’aime le design et la manière dont il inspire véritablement les gens, » dit Celina Rios-Nadeau. « Cela n’a pas toujours été facile pour moi de grandir juste avec ma mère et mes deux frères, mais depuis que je fréquente l’Université, je commence à me forger ma propre opinion sur ce que je veux et ce qui m’inspire. »

Après sa deuxième année d’études à l’École d’architecture McEwen, le flair artistique et la motivation dont fait preuve Celina pour réussir sa scolarité lui ont valu une bourse soulignant ses origines autochtones.

Instituée par le Groupe Financier de la RBC, la Bourse d’architecture de la RBC, qui se base sur les résultats scolaires, est décernée à une personne autochtone qui poursuit des études à plein temps en architecture à l’Université Laurentienne.

Celina Rios-Nadeau est reconnaissante d’avoir décroché cette bourse et elle se dit fortement encouragée par le « regain de confiance » que cela lui a donné juste avant d’entamer sa troisième année d’études.

« Étudier peut parfois être très stressant, » dit-elle. « Obtenir une bourse est incontestablement un moyen de vous aider à davantage vous concentrer sur vos aspirations. Cela permet de ne pas vous écarter des objectifs que vous vous êtes fixés et vous n’avez pas l’impression de faire face au problème tout seul. »

L’École d’architecture McEwen a une mission triculturelle, qui se reflète dans les cours auxquels contribuent des aînés et des invités métis et membres des Premières Nations, et offre aux étudiants un plus large éventail de points de vue culturels et pédagogiques.

Pour Celina Rios-Nadeau, bénéficier de l’opinion d’un aîné sur des projets d’architecture lui a certainement permis d’épouser encore plus sa culture autochtone.

« C’est vraiment bien qu’ils nous viennent en aide, » ajoute-t-elle. « Pour l’un de mes projets, j’ai fait un pavillon inspiré de la culture autochtone, et qui tente de rallier toutes les cultures. J’ai conçu quatre panneaux ayant chacun un concept de création différent, en plus d’une forme représentant le cercle qui est très fort en symboles pour les Autochtones. J’ai reçu de nombreux conseils sur la roue médicinale et toutes les différentes positions. »

Grâce à des échanges avec des aînés qui l’ont ramenée à ses véritables dimensions, ainsi qu’à plusieurs expériences pratiques révélatrices, Celina a commencé à aborder son travail en y insufflant une nouvelle créativité et une énergie artistique.

« L’art et l’architecture ont un rôle indissociable, mais la créativité d’une personne est une chose difficile à enseigner, » ajoute-t-elle. « Une des choses que l’on nous inculque, c’est de ne jamais aborder un projet sous le même angle que le précédent. »

Pendant ses deux premières années d’études, Celina a eu l’occasion de travailler sur de multiples projets pratiques, comme la construction d’un canot en écorce de bouleau et d’une cabane de pêche sur la glace, la nouvelle conception de la cour de la place St. Andrews, et la fabrication d’une maquette du Dôme du Rocher à Jérusalem.

Celina Rios-Nadeau est très optimiste quant à son avenir et elle espère, un jour, devenir une architecture influente du Grand Sudbury.

« J’ai tellement appris ici que j’aimerais poursuivre mon cheminement dans le Nord, » dit-elle. « Je trouve que Sudbury a de petits détails d’architecture qui gagneraient à être développés. Je crois aux vertus du Nord et je ferai de mon mieux pour continuer à l’améliorer. »

Pour en savoir plus sur les possibilités de soutien à l’École d’architecture McEwen, veuillez communiquer avec le Bureau du développement de l’Université Laurentienne.