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Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne nomme trois nouveaux membres et remercie les membres sortants

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne nomme trois nouveaux membres et remercie les membres sortants

(7 avril 2022) - L’Université Laurentienne est heureuse d’accueillir trois nouveaux membres à son Conseil des gouverneurs et remercie six membres sortants de leurs contributions.

En se joignant au Conseil des gouverneurs, Judy Gougeon, Vernon Cameron et David Harquail apportent l’expertise et les compétences nécessaires pour faire avancer le plan de transformation de l’Université. Les membres sortants sont : Maxim Jean-Louis, Cathy Modesto, Brian Montgomery, Guy Labine, Gerry Bilodeau et Debbi Nicholson.

« Au nom du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, je suis heureux de souhaiter la bienvenue à nos trois nouveaux membres qui apportent une expérience exceptionnelle, a dit le président intérimaire du Conseil, M. Jeff Bangs. Je tiens à remercier les membres sortants de leur bénévolat, surtout en cette période où l’Université continue de naviguer dans sa restructuration. »

 

Membres nommés au Conseil

Judy Gougeon

Judy Gougeon, diplômée de l’Université, est experte en assurance et directrice des assurances commerciales nationales pour BrokerLink. Elle a toujours été active au sein de la communauté. Elle a en effet siégé aux conseils de la Fondation communautaire de Sudbury, du Club de ski Adanac et du YWCA.

 

Vernon Cameron

Dirigeant chevronné, Vernon Cameron a passé les dix-neuf dernières années aux États-Unis dans les secteurs public et privé, et douze ans à la tête de sociétés de capital-investissement à titre de président et de président-directeur général.

 

David Harquail

David Harquail préside le Conseil d’administration de la Franco-Nevada Corporation. Il possède plus de 35 années d’expérience en tant que membre de conseils d’organismes publics et sans but lucratif et de groupes de travail consultatifs. Ce grand bienfaiteur de l’École des sciences de la Terre et de son Centre de recherche en exploration minérale (CREM) à l’Université Laurentienne, participe depuis longtemps à l’amélioration de l’Université.

Les gagnants au Symposium de recherche des cycles supérieurs sont annoncés

Les gagnants au Symposium de recherche des cycles supérieurs sont annoncés

Divers thèmes ont été examinés pendant cette activité d’une semaine.

(30 mars, 2022) - Du 21 au 25 mars 2022, l’Association des étudiants des cycles supérieurs de la Laurentienne, appuyée du Bureau des études supérieures, a organisé le Symposium de recherche des cycles supérieurs « Découverte et dissémination », mettant en valeur les projets variés de recherche d’étudiants inscrits aux programmes de maîtrise et de doctorat. Les exposés ont témoigné de l’ampleur et de la portée des recherches effectuées à l’Université Laurentienne.  

Les prix décernés lors du symposium ont souligné les meilleurs exposés dans diverses catégories jugées par les étudiants du programme de communication scientifique

  • Faculté des arts : Sarah de Blois (Ph.D. Human Studies and Interdisciplinarity), « Gendered experiences of women in mining: Challenging resistance to acceptance and respect »
  • Faculté d’éducation et de santé : Taylor Watkins (M.A. Interdisciplinary Health), « Supporting Healthy Pregnancies: Understanding Pregnant Women and New Mothers’ Perspectives Regarding Fetal Alcohol Spectrum Disorder Campaigns to Inform Effective and Non-Stigmatizing Prevention Approaches in Northeastern Ontario »
  • Faculté des sciences, de génie et d’architecture : Kyle Vincent (M.Sc. Biology), « Weaving Indigenous Knowledge and Western Science to Investigate the Impacts of Railways on Wildlife »
  • Exposé de langue française : Léa Fieschi-Méric (Ph.D Écologie boréale), « Améliorer la conservation des amphibiens grâce à l’étude de leur microbiome cutané »
  • Exposé à contenu autochtone : Kyle Vincent (M.Sc. Biology), « Weaving Indigenous Knowledge and Western Science to Investigate the Impacts of Railways on Wildlife»

La gagnante du Concours de thèse en 3 minutes (3MT), Sarah de Blois, doctorante au programme de Human Studies and Interdisciplinarity, a été choisie par les juges Markus Schwabe (animateur, CBC Radio), Leah Britt (ancienne et avocate, Lacroix Lawyers / Avocats) et Cindy Fowler (ancienne et gestionnaire des sites institutionnels, Plan A Long Term Care Staffing and Recruiting). Elle est aussi lauréate du Prix du choix du public et participera à la finale provinciale à l’Université de Guelph, le 4 mai 2022, où elle prononcera « Women, Mining, and Gender: Experiences from Sudbury, Ontario ».

« Quelle semaine dynamique pour les recherches aux cycles supérieurs à la Laurentienne, a exprimé avec gratitude le président de l’AECS et étudiant à la maîtrise en Biology, Paul Marchetta. Je remercie tous les participants dont les recherches ont contribué à cette semaine remarquable et reconnais tout particulièrement les membres dévoués de la population étudiante et du personnel qui ont aidé à organiser l’activité aussi bien que les professeurs qui épaulent les étudiants tout au long de leurs études supérieures. »
 

 

Une étude à la Laurentienne fait voir le rôle de l’urbanisation dans l’évolution des plantes dans le monde

Une étude à la Laurentienne fait voir le rôle de l’urbanisation dans l’évolution des plantes dans le monde

L’étudiante de deuxième année en biochimie, Danica Levesque, figure parmi les chercheurs publiés dans la revue Science

(21 mars, 2022) - Les êtres humains refaçonnent les milieux dans lesquels ils vivent et les villes sont parmi les environnements les plus profondément transformés sur Terre. Une nouvelle étude démontre que les milieux urbains modifient en effet la manière dont la vie évolue.

Une étude pionnière dirigée par des biologistes évolutionnistes de l’Université de Toronto à Mississauga examine si une évolution parallèle se produit dans les villes partout dans le monde. Selon les résultats publiés dans la revue Science, le projet GLUE (Global Urban Evolution Project) a analysé des données recueillies par 287 chercheurs dans 160 villes de 26 pays ayant prélevé des échantillons de trèfle blanc dans leur ville et les régions rurales avoisinantes. L’étude comprend des échantillons de Sudbury, où les travaux et l’analyse de données ont été appuyés par le professeur de biochimie de l’Université Laurentienne, Thomas Merritt, Ph.D., Lila Elizabeth Merritt et l’étudiante de biochimie de deuxième année, Danica Levesque.

La recherche a trouvé les preuves les plus probantes que les êtres humains en général, et les villes plus précisément, sont une force directrice principale de l’évolution de la vie dans le monde. Les chercheurs ont découvert que le trèfle blanc évolue fréquemment à grandeur de la planète en réponse directe aux changements environnementaux qui se produisent dans les milieux urbains.

L’étude GLUE illustre que les conditions environnementales dans les villes ont tendance à se ressembler entre elles plutôt qu’à celles des habitats ruraux avoisinants. Ainsi, le centre-ville de Sudbury se compare mieux à bien des égards au centre-ville de Tokyo qu’aux terres agricoles et aux forêts qui bordent la ville. « Comme la génétique, l’évolution est complexe, a expliqué M. Merritt. Ainsi, plus nous avons d’exemples tirés du monde réel, plus il est facile d’expliquer et de comprendre les complexités de la génétique et de l’évolution. »

Les chercheurs de GLUE ont non seulement réussi à observer l’adaptation générale du trèfle aux villes, mais aussi à déterminer le fondement génétique de celle-ci ainsi que les facteurs environnementaux responsables de l’évolution. Le trèfle blanc produit de l’acide cyanhydrique comme mécanisme de défense contre les herbivores ainsi que pour rehausser sa tolérance au stress hydrique. L’étude GLUE a fait voir que le trèfle poussant dans les villes produit généralement moins de cette substance que le trèfle dans les régions rurales voisines à cause d’une adaptation constante aux milieux urbains.

Ce sont les changements liés à la présence d’herbivores et au stress hydrique dans les villes qui forcent le trèfle blanc à s’adapter différemment que les espèces de trèfle rural. Cela se constate dans les villes ayant des climats variés et a des répercussions qui dépassent largement l’humble trèfle.

« L’une des véritables forces de la Laurentienne, a expliqué M. Merritt, est que, sur le plan géographique, nous sommes à un point limite, car beaucoup d’espèces ne se trouvent pas bien plus au Nord que là où nous sommes. Même si cela peut être perçu comme un défi, du côté scientifique, notre emplacement est un avantage. Nous sommes en mesure de participer à des études comme celle-ci, car nous sommes situés à la limite nord de beaucoup de choses. »

Il est impressionnant de souligner que Danica Levesque a commencé à participer à l’étude GLUE quand elle n’avait que 16 ans et était élève de 11e année à l’École secondaire du Sacré-Cœur. À l’époque, elle a manifesté un intérêt pour la biochimie en communiquant avec la Laurentienne pour s’informer des possibilités de stage de recherche. « Danica est un véritable atout à cette étude, a affirmé M. Merritt. Il est incroyable comme professeur de voir un membre de la population étudiante générer son premier ensemble de données. C’est quelque chose qu’on n’oublie pas. » Cet été, Mme Levesque travaillera dans le laboratoire grâce à une Bourse de recherche de premier cycle du CRSNG.

« Ma participation à l’étude GLUE a été dynamisante, a exprimé Mme Levesque, aussi membre de l’équipe interuniversitaire de ski nordique, et constituait ma première expérience dans un laboratoire. Je me réjouis d’y participer, de me retrousser les manches, d’observer les résultats et d’apporter une contribution à l’étude. Jouer un rôle dans un projet de cette envergure est vraiment extraordinaire. »  

Ce projet est en fait un modèle de science inclusive. L’équipe GLUE est composée de femmes et d’hommes en nombre égaux, non seulement des chercheurs chevronnés, mais aussi des étudiants à tous les cycles et de tous les continents peuplés dans le monde. Cette publication n’est qu’un début pour l’équipe GLUE appuyant une collaboration mondiale inégalée.
 

 

L’Ordre des infirmières et infirmiers de l’Ontario approuve provisoirement un nouveau programme de transition permettant aux IAA francophones d’obtenir un baccalauréat ès sciences infirmières

L’Ordre des infirmières et infirmiers de l’Ontario approuve provisoirement un nouveau programme de transition permettant aux IAA francophones d’obtenir un baccalauréat ès sciences infirmières

L’Université Laurentienne et le Collège Boréal célèbrent l’agrément du programme passerelle.

(21 mars, 2022) - Le 3 mars 2022, l’Ordre des infirmières et infirmiers de l’Ontario a approuvé provisoirement un nouveau programme passerelle à l’intention des membres du personnel infirmier auxiliaire autorisé de langue française qui souhaitent préparer un baccalauréat ès sciences infirmières (B.Sc.inf.). Le programme permettra aux titulaires d’un diplôme de soins infirmiers auxiliaires (SIA) du Collège Boréal à préparer un B.Sc.inf. à l’Université Laurentienne en trois ans au lieu des quatre ans normalement requis. La mise au point du programme a été motivée par la pénurie en personnel infirmier autorisé dans le Nord de l’Ontario. 

L’Association canadienne des écoles de sciences infirmières (ACESI) a décerné au B.Sc.Inf. de la Laurentienne un agrément exceptionnel de sept ans, la plus haute distinction de l’organisme. Les étudiants qui suivent le programme profitent de mises à jour appuyant l’exercice actuel et futur de la profession en soins infirmiers.

Ce nouveau programme passerelle de SIA-IIA est adapté aux besoins particuliers en apprentissage des titulaires du diplôme collégial. « Le personnel infirmier de langue française est appelé à prodiguer d’excellents soins dans nos communautés francophones et du Nord, a expliqué la doyenne de la Faculté de l’Éducation et santé de la Laurentienne, Mme Céline Larivière, Ph.D. Le programme aidera à remédier à la pénurie actuelle en personnel infirmier. Je remercie Mmes Sylvie Larocque et Anne Marise Lavoie, ainsi que les membres du B.Sc.inf. et les collègues du Collège Boréal de leurs efforts inlassables pour le créer. »

« Les étudiantes et les étudiants d’aujourd’hui veulent de la flexibilité plus que jamais. Cette entente va bonifier l’offre de mobilité étudiante et s’inscrit dans notre engagement à faire partie de la solution pour contrer la pénurie de main-d’œuvre qualifiée et bilingue des professionnels de la santé en Ontario, a souligné la Vice-Présidente à l’Enseignement au Collège Boréal, Mme Lyne Michaud. Nous sommes fiers de former la relève de demain. »

Il existe effectivement de nombreuses ententes pédagogiques entre le Collège Boréal et l’Université Laurentienne et ce nouveau programme passerelle mise sur l’excellence de la programmation des deux établissements. Il est justement pertinent de célébrer pendant le Mois de la francophonie ce nouveau programme à l’intention des étudiants francophones. Il importe de souligner que les infirmières auxiliaires autorisées (IAA) diplômées de n’importe quel programme collégial sont admissibles à ce nouveau programme de transition. La Laurentienne incite en effet les IAA désireuses d’obtenir un B.Sc. en sciences infirmières en trois ans, plutôt qu’à l’issue des quatre années conventionnelles, à soumettre une demande d’admission.

Pendant l’année universitaire suivant l’octroi des premiers diplômes, l’Ordre des infirmières et infirmiers de l’Ontario effectuera un examen complet du nouveau Programme de baccalauréat ès sciences infirmières en français pour les IAA [programme passerelle].
 

L’Université Laurentienne célèbre une fructueuse Journée portes ouvertes

L’Université Laurentienne célèbre une fructueuse Journée portes ouvertes

Les étudiants éventuels ont exploré le campus et rencontré des employés, professeurs et étudiants.

(17 mars, 2022) - Samedi 12 mars 2022, l’Université Laurentienne a présenté une Journée portes ouvertes des plus réussies, accueillant au campus de nombreux étudiants éventuels et leur famille. Le campus brillait d’énergie, d’enthousiasme et de joie et les invités ont fait l’objet d’une attention personnalisée et d’une bienveillance qui caractérisent l’expérience Laurentienne.

« Je crois que samedi marquait un tournant pour nous en progressant de manière positive vers l’avenir et une nouvelle normalité, a dit le recteur et vice-chancelier, M. Robert Haché, Ph.D. Les inscriptions ont dépassé celles de la Journée portes ouvertes du printemps 2019, ce qui témoigne d’une solide confiance en la Laurentienne et ses antécédents à préparer les étudiants à de bonnes perspectives de carrière ainsi qu’à diplômer des leaders innovateurs compétents pour les communautés du Nord et ailleurs. » 

L’activité a été dirigée par le Service de liaison, premier point de contact pour les personnes s’intéressant aux programmes et services de l’Université. « Nous sommes très fiers des efforts inlassables de tous les membres de la population étudiante, du corps professoral et du personnel qui ont contribué à la journée, a souligné la coordonnatrice des activités et des communications de liaison, Mme Danielle Yasko-Pellerin. Notre équipe comprend un groupe dévoué d’étudiants-ambassadeurs bien renseignés qui ont assuré des visites guidées personnalisées du campus. » Les invités ont aussi eu l’occasion de discuter avec des membres dynamiques du corps professoral et du personnel des nombreuses unités de la Laurentienne.

Les visites guidées du campus se poursuivent cette semaine pour le congé de mars. Il est aussi possible de faire une visite guidée du lundi au vendredi, à 10 h et à 13 h 30, et le samedi, à midi, tout au long de l’année. Venir voir le campus est la meilleure façon d’avoir un avant-goût de la vie étudiante à l’Université Laurentienne pour les études de premier cycle ou des cycles supérieurs, car vous pouvez visiter les espaces d’études et d’apprentissage, les salles de cours, les laboratoires, les bibliothèques, les résidences, les services d’alimentaires et tout ce qui se situe entre eux.

 

Lancement du livre Beyond the Divide - A Century of Canadian Mosque Design

Lancement du livre Beyond the Divide - A Century of Canadian Mosque Design

La directrice de l’École d’architecture McEwen célèbre la publication de la première étude exhaustive de l’histoire et de l’architecture de mosquées au Canada.

(17 mars, 2022) - Aujourd’hui, 17 mars 2022, à 18 h 30, L’École de l’architecture McEwen présentera une activité hybride pour célébrer le lancement du livre de Mme Tammy Gaber, Ph.D. intitulé Beyond the Divide : A Century of Canadian Mosque Design, qui explore l’hétérogénéité, la beauté, la fonctionnalité et la polyvalence des mosquées du Canada. 

Depuis un siècle, environ, les musulmans créent des mosquées dans des endroits des plus divers, comme des ateliers aménagés, des églises désaffectées et de grands édifices bâtis à ces fins. Dans cette étude, qui comprend des photos des lieux, des dessins architecturaux et des entrevues, Mme Gaber explore la diversité extraordinaire des façons dont les espaces de mosquée ont été conçus, construits et utilisés, non seulement comme endroit confessionnel, mais aussi comme lieu de rassemblement communautaire, d’éducation, d’œuvre caritative et de civisme. Le livre complet apporte une analyse révolutionnaire de l’espace sexospécifique des mosquées canadiennes, des moyens de les configurer et consolider et de la façon dont ces divisions façonnent l’expérience communautaire.

« Nous avons amorcé les recherches pour ce livre en 2015, appuyés d’une Subvention de développement Savoir du CRSH, a expliqué Mme Gaber. De 2015 à 2017, je suis allée dans 53 villes canadiennes pour documenter 90 mosquées, dont celles dans les régions le plus au nord du Canada, au Nunavut et aux Territoires-du-Nord-Ouest. »

En 2017, une exposition de photos prises pour la recherche de Mme Gaber a mis en valeur ses premières constatations. L’exposition a été tenue à Toronto et organisée en partenariat avec le Conseil canadien des femmes musulmanes (CCFM). Par la suite, au début de 2021, Mme Gaber a présenté au CRSH une autre demande de subvention avec la McGill-Queen’s Press. «  J’ai reçu un PAES du CRSH permettant de financer la publication du livre en couleur. » Le résultat est une superbe publication faisant valoir la première étude exhaustive de l’histoire et de l’architecture des mosquées au Canada. 

Le lancement du livre Beyond the Divide : A Century of Canadian Mosque Design de Mme Gaber aura lieu à la bibliothèque de l’École d’architecture McEwen. Elle y prononcera une communication au sujet de sa recherche et du livre, dont des exemplaires seront en vente sur place. Bien que quelques personnes participent en personne à l’activité, tout le monde est bienvenu d’assister à la webdiffusion en direct le 17 mars, à 18 h 30, sur Zoom.

 

La communauté universitaire se prépare au Symposium de recherche des cycles supérieurs

La communauté universitaire se prépare au Symposium de recherche des cycles supérieurs

L’Association des étudiants des cycles supérieurs planifie l’activité d’une semaine qui appuie la découverte et la dissémination de la recherche.

(16 mars, 2022) - Du 21 au 25 mars 2022, une activité de promotion de la recherche des cycles supérieurs aura lieu à l’Université Laurentienne. Le Symposium de recherche des cycles supérieurs « Découverte et dissémination » est dirigé par l’Association des étudiants des cycles supérieurs avec l’appui du Bureau des études supérieures.

Les communications porteront sur les projets actuels de recherche des personnes inscrites aux programmes de maîtrise et de doctorat. Un jury formé d’étudiants du programme de communication scientifique choisira les lauréats de prix pour les meilleurs exposés dans chaque faculté. Des prix seront aussi décernés pour les meilleures communications en français et avec contenu autochtone.

De plus, les étudiants des programmes de biologie et de communication scientifique participeront à l’exposition « Sci Comm Bio Bites Showcase ». Dans le cadre de cette activité réalisée et dirigée par les étudiants de communication scientifique, un groupe de biologistes mettra en évidence ses recherches fascinantes et ses brillantes compétences d’exposé afin d’inspirer et de mobiliser les spectateurs.

En outre, les étudiants auront la possibilité de participer au concours 3MT (Ma thèse en 3 minutes). Pour ce concours universitaire, les participants font un exposé de recherche de pas plus de trois minutes à un jury de non-spécialistes. Le défi est de présenter la recherche complexe de manière abordable, intéressante et captivante en utilisant qu’une seule diapositive.

« Le concours 3MT donne aux étudiants des cycles supérieurs la possibilité d’affiner des compétences qu’ils pourront transférer à diverses carrières après l’obtention du diplôme, a expliqué la responsable de l’information des études supérieures, Mme Stacy Sathaseevan. Pouvoir condenser la recherche afin de la présenter de façon claire – pas trop simple et pas trop complexe – tout en soulignant les répercussions élargies sont des habiletés importantes à posséder pour l’emploi post-diplôme et le service public. »

Le lauréat ou la lauréate du concours 3MT de la Laurentienne pourra participer à la finale provinciale qui aura lieu le 4 mai 2022 à l’Université de Guelph.

« Nous sommes très fiers des efforts inlassables et du dévouement des étudiants aux cycles supérieurs, a affirmé la vice-rectrice à la recherche de la Laurentienne, Mme Tammy Eger, en parlant des nombreuses composantes du symposium. La recherche et les travaux d’érudition qu’ils effectuent continuent d’aborder des questions importantes pour le Nord de l’Ontario et le Canada et sont souvent accomplis en partenariat avec des secteurs industriels et des organismes communautaires. »

Tout le monde est invité à participer à cette semaine d’activités. Toutes les activités auront lieu sur Zoom, à l’exception du concours 3MT qui aura lieu dans la salle C-203 de l’Édifice des classes, le 23 mars 2022, de midi à 14 h.

Cet hyperlien Zoom ouvre l’accès aux exposés de recherche durant la semaine.  
Le calendrier des présentations, ainsi que les résumés des recherches peuvent être consulté, ici.
 

 

Les pierres de curling ne sont plus prises pour des pierres de granit

Les pierres de curling ne sont plus prises pour des pierres de granit

Une étude remet en question les idées bien ancrées sur la fabrication des pierres de curling

(14 mars, 2022) - Curling est un sport d’hiver populaire qui a vu le jour en Écosse au XVIe siècle et qui a été introduit au Canada par les Highlanders écossais. Depuis lors, le Canada a dominé cette discipline, ayant remporté des médailles à presque tous les Jeux olympiques. Lors des derniers olympiques d’hiver qui ont eu lieu à Beijing, en Chine, du 4 au 20 février 2022, l’équipe masculine canadienne a défait l’équipe américaine et remporté la médaille de bronze.

Jouer au curling consiste à faire glisser des pierres circulaires sur une couche de glace en direction de la maison. Les pierres de compétition internationale proviennent de deux endroits seulement : Ailsa Craig, une île rocheuse située au large de la côte ouest de l’Écosse, et la carrière de Trefor, qui se trouve dans le nord du Pays de Galles. Mais ces roches sont-elles uniques? Les pierres de curling pourraient-elles provenir d’ailleurs?

Derek Leung, doctorant de l’Université Laurentienne, spécialiste des gisements minéraux et de la géologie précambrienne, s’est intéressé à ces questions dans une étude, la première du genre depuis 1890. Un article tiré de sa thèse de premier cycle et coécrit avec Andrew McDonald (Ph.D.), son superviseur et professeur de minéralogie et directeur du Centre de microanalyse, qui fait partie de l’École des sciences de la Terre Harquail de la Laurentienne, a paru récemment dans The Canadian Mineralogist. L’étude, qui a été menée grâce à une bourse de la Fondation de la Société des géologues économiques du Canada, a, lors des travaux sur le terrain, bénéficié du soutien du Fonds Mykura de la Société géologique d’Édimbourg. Tout dernièrement, Derek Leung a également reçu une bourse prestigieuse dans le cadre du Programme de bourses d’études supérieures du CRSNG – doctorat (ES D)

Armée des techniques d’analyse modernes, scrutant la composition minéralogique des roches, l’équipe de la Laurentienne a découvert que les pierres de curling appartiennent à un groupe de roches apparentées au granit, appelées granitoïdes, et que, bien qu’elles partagent certaines caractéristiques, aucune de ces caractéristiques géologiques ne peut être considérée comme étant unique aux pierres de curling. Ces découvertes ouvrent donc la porte à la fabrication de ces pierres à partir de matériaux provenant d’autres endroits, peut-être même de notre arrière-cour, à Sudbury, en Ontario. 

« Je me suis toujours demandé en quoi les pierres de curling étaient faites, a indiqué M. Leung en parlant des conclusions de l’étude qui jette les bases de recherches ultérieures sur les pierres de curling comme le lien qui unit la texture des roches au mouvement de rotation d’une pierre, ce qui est un sujet controversé parmi les scientifiques et dans le monde du curling. »

« Le curling fait partie de l’ADN du Canada, a indiqué M. McDonald. Il est donc tout à fait normal qu’une étude de pointe de haute qualité sur la composition géologique et minéralogique des pierres de curling soit menée dans un institut canadien, et y a-t-il meilleur endroit que l’École des sciences de la Terre Harquail. »

Nomination d’un diplômé du programme d’administration des sports de l’UL au poste de directeur général des Blackhawks de Chicago

Nomination d’un diplômé du programme d’administration des sports de l’UL au poste de directeur général des Blackhawks de Chicago

Kyle Davidson, originaire de Sudbury, a décroché le plus haut poste d’un club membre des six équipes originales de la LNH.

(9 mars, 2022) - Il n’y a pas si longtemps, Kyle Davidson passait son examen final à l’École d’administration des sports de l’Université Laurentienne, et ce natif de Sudbury est maintenant directeur général des Blackhawks de Chicago.

Membre de la promotion de 2010 du programme d’administration des sports (SPAD), M. Davidson, 33 ans, a commencé sa carrière chez les Blackhawks en tant que stagiaire des opérations de hockey à l’été 2010 et rapidement gravi les échelons. Promu six fois au cours des onze dernières saisons de hockey, son ascension au sommet témoigne de sa passion pour ce sport et de son dévouement pour sa profession.

« J’ai toujours su que je voulais travailler dans les sports, en particulier le hockey, et faire des études qui m’apporteraient un bon réseau et une précieuse expérience dans ce domaine. En outre, SPAD avait une base de diplômés très réputés à laquelle les étudiants avaient accès. » - Kyle Davidson, SPAD 2010

M. Davidson est le plus récent d’une longue liste de diplômés de SPAD à décrocher un poste de dirigeant, notamment :

  • Ken Derrett, ancien VP du marketing, Chargers de San Diego (SPAD 1978)
  • Dale Hooper, directeur général de Fan Duel Canada (SPAD 1991)
  • Jennifer DelVecchio, directrice principale mondiale, Strategic Alliances chez McDonald’s International (SPAD 2005)
  • Andrew Baker, vice-président, Relations internationales et affaires publiques au Comité olympique canadien (SPAD 2005)
  • Celine Seguin, vice-présidente, Administration des affaires aux Prix Juno (SPAD 2009)

« Nous sommes très fiers de Kyle ainsi que des nombreux diplômés de l’Université Laurentienne qui occupent des rôles de chefs de file partout dans le monde. Notre corps professoral, notre personnel, notre population étudiante et nos diplômés devraient tous être fiers, car cet accomplissement personnel exceptionnel est aussi à l’honneur de l’ensemble de la communauté. » - Robert Haché, recteur et vice-chancelier

Cette annonce fait suite à une autre nouvelle positive au sein du programme SPAD comme en fait foi la nomination de Rachel Doerrie (SPAD 2017) à titre d’analyste au bureau des analyses du hockey des Canucks de Vancouver.
 

 

L’Université prépare la journée Portes ouvertes du 12 mars 2022

L’Université prépare la journée Portes ouvertes du 12 mars 2022

Les ambassadeurs du Service de liaison, Stéphanie Ménard et Caleb Piché-Larocque, influencent positivement le parcours étudiant

(3 mars, 2022) - À l’heure où l’Université Laurentienne accueille de nouveau sa population sur le campus en raison de la reprise des cours en présentiel cette semaine, la communauté universitaire se prépare également à recevoir de nombreux futurs étudiants lors de la journée Portes ouvertes du 12 mars.

Le Service de liaison de la Laurentienne coordonne l’événement et facilite le parcours des futurs étudiants vers l’enseignement postsecondaire. Ce service est le premier point de contact de toutes les personnes qui s’intéressent aux programmes et services de la Laurentienne, et son équipe s’est donné pour mission de guider celles qui envisagent la Laurentienne comme destination postsecondaire de choix.

Stéphanie Ménard, étudiante de troisième année en psychologie, et Caleb Piché-Larocque, étudiant de quatrième année en administration des affaires, sont des ambassadeurs du Service de liaison. Ils sont tous les deux francophones et comptent obtenir leur grade avec un certificat de bilinguisme.

« Nous guidons les nombreux étudiants ambassadeurs qui travaillent au Service de liaison, explique Stéphanie. Nous aidons aussi l’Université et veillons au déroulement harmonieux des événements. » Stéphanie travaille au Service de liaison depuis le début de ses études de premier cycle, et Caleb s’est joint à l’équipe quand il était en deuxième année. Le recrutement étudiant le passionne. « J’ai bien aimé mon expérience étudiante, dit-il, et je suis heureux de la partager. » Stéphanie est également de cet avis et souligne qu’elle aime beaucoup ce travail parce qu’il lui permet d’avoir une « incidence positive ». « L’équipe du Service de liaison est formidable, ajoute-t-elle. Tout le monde se passionne pour son travail et nous faisons de notre mieux pour que l’expérience de chaque étudiante ou étudiant potentiel soit unique. »

« Les étudiants ambassadeurs comme Stéphanie et Caleb nous inspirent, indique la coordonnatrice des activités et des communications au Service de liaison, Danielle Yasko-Pellerin. Ils arrivent chaque jour prêts à aider des étudiants de partout dans le monde. »

Même si le Service de liaison offre régulièrement des séances d’information et des visites pour montrer le magnifique campus de la Laurentienne, il met actuellement l’accent sur la journée Portes ouvertes, qui se tiendra le samedi 12 mars 2022 de 10 h à 15 h. Cet événement en présentiel inclura un salon des études et des services ainsi que la possibilité de participer à une visite personnalisée du campus.

Il est possible de s’inscrire en ligne à la journée Portes ouvertes.

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