Vous êtes maintenant dans la zone de contenu principale

Histoire de L'Université Laurentienne

Le saviez-vous?

  • En novembre 1960, le Conseil des gouverneurs et le Sénat ont adopté comme couleurs d’équipe de l’UL le bleu et l’or, repoussant le rouge-cuivre et gris-nickel préférés par la population étudiante, qui, même s’ils convenaient plus à la région, étaient moins attrayants.
     
  • Au début des années 1960, on s’attendait que les étudiants de l’UL s’habillent convenablement pour assister aux cours. Les vestons et les cravates étaient obligatoires tandis que les chemises ouvertes et les coupe-vent étaient interdits. Bien que les directeurs d’unités devaient signaler les transgressions au doyen, ils refusaient souvent de le faire, car ce geste portait atteinte aux relations entre le corps professoral et la population étudiante. Pour la collation des grades, on publiait dans le journal local les directives liées à la tenue vestimentaire voulant que les hommes portent un complet foncé et les femmes, des robes et souliers de couleur pâle.
     
  • En mars 1966, à la recommandation du Fr. Roger Leclaire, S.J., professeur de physique et d’astronomie, la Laurentienne a passé un accord avec la National Aeronautics and Space Administration (NASA) aux É.-U. pour l’hébergement d’une station de poursuite qui a contribué, pendant trois ans, aux projets de satellite GEOS-A et GEOS-B. En outre, M. Leclaire a animé les efforts donnant lieu, à l’automne 1967, à la création d’un planétarium temporaire sur le campus. Deux ans plus tard, l’Université a construit des installations permanentes, le Planétarium Doran,  portant le nom de W.J. Doran, président de Northern Breweries, qui a appuyé financièrement le projet. Grâce à ces réalisations, la Laurentienne a établi en 1967 son premier centre de recherche, l’Institut d’astronomie.
     
  • En 1968, le Conseil des gouverneurs et le Sénat de l’Université Laurentienne ont approuvé un programme bilingue de baccalauréat ès arts dans lequel les membres de la population étudiante devaient suivre au moins six cours complets dans la langue seconde (anglais ou français) et passer des épreuves orale et écrite dans les deux langues avant l’obtention du grade. On a décerné le diplôme pour la première fois en juin 1970.
     
  • À l’automne 1972, la Laurentienne a lancé le programme en administration des sports, programme innovateur mariant les études en éducation physique et commerce.
     
  • En juillet 1975, Mme Gamila Morcos, Ph.D., est devenue la doyenne des humanités et la première femme à être nommée à un poste de cadre supérieur à la Laurentienne.
     
  • Bien qu’une association des anciens ait été créée vers le milieu des années 1960, elle était inactive par la fin de la décennie. En 1974, l’Association des anciens de l’Université Laurentienne a été rétablie et a lancé des sections à Toronto, Ottawa et Sudbury. L’automne de cette même année, elle a organisé des Retrouvailles, son premier événement d’envergure.
     
  • L’enseignement et la recherche se sont mérité une place d’honneur à la Laurentienne en 1986 lorsqu’elle a créé le Prix d’excellence en enseignement, le Prix d’excellence en recherche et le Fonds de recherche de l’UL.
     
  • En 1984, l’Association générale des étudiants a premièrement approuvé la création d’une station radio, mais CFLR 106.7 n’a vu le jour que deux ans plus tard. À l’époque, 35 membres bénévoles de la population étudiante assuraient le fonctionnement de cette radio « alternative »,  laissant entendre que les chansons de Madonna et de Bruce Springsteen n’avaient pas leur place.
     
  • La première Semaine de sensibilisation aux cultures autochtones à l’UL a eu lieu en octobre 1995 et comprenait des activités, des conférenciers et un pow-wow.
     
  • En 1996, Aaron Marsaw, étudiant de 4e année en philosophie et science politique, âgé de 22 ans et aveugle au sens de la loi, élevé et éduqué à Sudbury, est devenu le seul boursier Rhodes de l’Université Laurentienne à l’Université Oxford.
     
  • En janvier 1996, la Laurentienne décide de naviguer sur Internet avec son tout premier site Web www.nickel.Laurentian.ca.
     

Les extraits ci-dessus sont tirés du livre L’Université Laurentienne : Une histoire, rédigée par Linda Ambrose, Matt Bray, Sara Burke, Donald Dennie et Guy Gaudreau et éditée par Matt Bray.