L’édition inaugurale du Défi d’or Goodman, qui a eu lieu du 22 au 25 février, a enregistré un immense succès. Six équipes d’étudiants du premier cycle ont participé au concours, à savoir deux équipes de l’Université Laurentienne de l’École de génie Bharti et de la Faculté de gestion, ainsi que des équipes de l’Université Bishop de Sherbrooke, au Québec, de l’Institut universitaire de technologie de l’Ontario, à Oshawa, de l’Université Ryerson, à Toronto, et de l’Université du Kentucky, à Lexington (Kentucky).
Dans ce concours d’investissement minier, les équipes devaient analyser le potentiel d’investissement de trois sociétés d’exploitation aurifère inscrites à la TSX ou TSX-V et recommander une seule entreprise à conserver au portefeuille. Les trois sociétés à l’étude étaient Detour Gold Corporation, Dundee Precious Metals et Osisko Mining.
« Le concours a été conçu de façon à assurer aux participants une expérience réelle tout en mettant à l’épreuve les compétences acquises à l’université, a expliqué le directeur général fondateur de l’École des mines Goodman, M. Bruce Jago. Puisque nous sommes à proximité des mines, ils ont aussi eu l’occasion de visiter les mines Coleman et Copper Cliff de Vale et d’y voir de véritables activités minières. »
Dans l’espace de six semaines, les équipes ont analysé les sociétés et effectué des recherches. Le deuxième jour du concours, elles ont écouté les arguments de vente des cadres dirigeants de chacune des sociétés pour les convaincre du potentiel d’investissement et leur ont posé ensuite individuellement des questions. Les équipes ont présenté leur recommandation à un jury d’experts de l’industrie, à savoir des professionnels de Beacon Securities, de Franco Nevada, de Kinross Gold, du ministère du Développement du Nord et des Mines, d’Orix Geoscience et de RBC Marchés des capitaux.
Des étudiants en génie minier et administration des affaires de l’Université Laurentienne ont été déclarés gagnants pour leur recommandation de Detour Gold Corporation. Les membres de l’équipe sont Mitchell Menard, Ryan Hunter, Anthony Foreshew et Adam Tomlinson.
L’équipe gagnante a reçu des actions de Detour Gold Corporation, entreprise qu’elle a recommandée de conserver à titre d’investissement, valant le prix de quatre (4) onces d’or au 24 février 2017, soit 1 645 $ CAD. En outre, tous les membres des trois meilleures équipes ont reçu une pièce d’un quart d’once en or pour souligner le travail et l’analyse accomplis.
Le concours a bénéficié d’un soutien financier et non financier impressionnant d’organismes au plan local et provincial (Orix Geosciences, RBC Marchés des capitaux, Beacon Securities Ltd., Crosstown Chevrolet, PearTree Securities, Ordre des ingénieurs de l’Ontario – section de Sudbury, CEIM, Science Nord, Petryna Advertising, Millar Technology, Wabi, XPS, Wallbridge Mining), du ministère de Développement du Nord et des Mines, de la Ville du Grand Sudbury, de Jonathan Goodman et de l’École des mines Goodman.
Le comité organisateur du Défi d’or Goodman 2017, présidé par Jonathan Goodman, est déjà en plein redémarrage pour la deuxième édition du concours en 2018.
Les entreprises et organismes qui souhaitent apporter une participation au 2e Défi d’or Goodman en 2018 sont invités à s’inscrire à www.goodmangoldchallenge.com.
Au sujet de l’Université Laurentienne
L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.