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Biographie
Titulaire d'un doctorat de l'Université de Toronto (2001), Mme Susan Glover a enseigné à son alma mater pendant quelques années, ainsi qu'à l'IEPO, et s'est jointe, en 2004, au Département d'anglais de l'Université Laurentienne. Au début, elle donnait des cours de littérature britannique avec un accent sur la Restauration anglaise et le 18e siècle. Elle contribue aussi à la M.A. interdisciplinaire en humanités et assure la supervision de stages pratique dans ce programme. La riche nature bilingue et triculturelle (anglophone, francophone et autochtone) de la Laurentienne l'a incitée à étudier d'autres domaines et a élargi son intérêt pour le 18e siècle, en y incluant le Canada. Sur le campus, elle aide à organiser les soirées de musique et, avec sa collègue Shannon Hengen, organise aussi le repas annuel pour souligner l'anniversaire de Margaret Atwood en novembre. En outre, elle s'intéresse aux droits de la femme et collabore avec le comité organisateur du FAEJ Canada, qui organise depuis plus de 20 ans des activités pour la Journée de la personne, et elle siège aussi à son conseil de direction. Pendant l'hiver, elle pourchasse l'idée de faire de la raquette et en été, elle tâche à relever le défi du jardin de légumes à longueur d'année.
Recherche
Dans ses recherches, Mme Glover s'intéresse au roman anglais du 18e siècle, avec un accent sur la femme et le droit. Elle a prononcé de nombreuses communications sur la vie et l'œuvre de Sarah Chapone, correspondante de Samuel Richardson et auteure de The Hardships of the English Laws in Relation to Wives (1735). Elle prépare actuellement une publication à ce sujet pour la maison d'édition Ashgate (RU). Son intérêt à l'égard de l'état civil des femmes de l'époque la mène aussi à examiner les femmes et la religion. En 2011, elle a passé une période de son congé sabbatique au
McGill Centre for Research on Religion, où elle a entamé son projet actuel, qui porte sur l'écrivaine Frances Brooke. Mme Glover prépare un manuscrit qui examine les rencontres de l'écrivaine avec les mondes autochtone et catholique du Québec pendant son séjour dans les années 1760.