Vous êtes maintenant dans la zone de contenu principale

Les futurs étudiants en sciences infirmières de la Laurentienne sont admissibles à l’exonération des droits de scolarité.

Les futurs étudiants en sciences infirmières de la Laurentienne sont admissibles à l’exonération des droits de scolarité.

Les personnes inscrites à des programmes en sciences infirmières de premier cycle et des cycles supérieurs en Ontario pourront bénéficier d’une généreuse subvention provinciale.

(9 février 2023 - Sudbury ON) - Les personnes ayant l’intention de poursuivre une carrière en sciences infirmières ont récemment reçu de bonnes nouvelles. Le gouvernement provincial a effet lancé la « Subvention ontarienne Apprendre et rester ». Cette subvention, qui s’applique aux résidents de l’Ontario, offrira bientôt des droits de scolarité gratuits aux personnes qui s’inscrivent à certains programmes de soins de santé comme les programmes de sciences infirmières de l’Université Laurentienne au premier cycle et aux cycles supérieurs.

« Cet investissement du gouvernement provincial dans l’avenir des prestataires de soins de santé du nord de l’Ontario est très encourageant, a déclaré la rectrice et vice-chancelière, Mme Sheila Embleton (Ph.D.). Notre bassin diversifié d’étudiants, y compris les francophones, bénéficiera grandement de cette subvention, tout comme les nombreux résidents de la région. »

Les personnes qui recevront cette subvention doivent s’engager à travailler dans la région où elles ont étudié. Il faudra en effet travailler dans la région pendant six mois pour chaque année d’études financée dans le cadre de cette subvention. En plus des droits de scolarité, la subvention couvrira les livres et d’autres dépenses directement liées aux études.

« Le fait que cette possibilité soit offerte aux personnes inscrites à des programmes de sciences infirmières de premier cycle et de cycles supérieurs réduira grandement les sérieuses pénuries en matière de personnel infirmier, a indiqué la vice-rectrice intérimaire aux études, Mme Brenda Brouwer (Ph.D.). Les étudiantes en formation pour devenir infirmières et les infirmières faisant progresser leur formation professionnelle contribueront à renforcer les soins de santé dans les communautés du nord de l’Ontario. »

Les personnes qui s’inscrivent aux programmes de sciences infirmières de premier cycle en français ou en anglais seront admissibles et la Laurentienne collabore actuellement avec la province pour déterminer les volets spécifiques des programmes de sciences infirmières de cycles supérieurs qui pourront bénéficier de cette subvention.

Pour en savoir plus sur cette subvention, consultez https://www.ontario.ca/fr/page/subvention-ontarienne-apprendre-et-rester ou communiquez avec l’Université Laurentienne à info@laurentienne.ca.

 

À propos de l’École des sciences infirmières de l’Université Laurentienne

L’École des sciences infirmières a une histoire et une présence de longue date dans le nord de l’Ontario et prépare les gens à entrer dans la profession infirmière depuis plus de 50 ans. Les programmes de baccalauréat en sciences infirmières (BScInf) de quatre ans en anglais et en français sont agréés à l’échelle nationale par l’Association canadienne des écoles de sciences infirmières et approuvés à l’échelle provinciale par l’Ordre des infirmières et infirmiers de l’Ontario. L’École des sciences infirmières de l’Université Laurentienne offre également deux programmes supplémentaires en français : le programme BScInf pour les infirmières autorisées et le programme pour les infirmières auxiliaires autorisées.

En plus d’offrir une formation en sciences infirmières de premier cycle, les personnes ont également la possibilité d’étudier les sciences infirmières aux cycles supérieurs. Le programme de maîtrise en sciences infirmières (MScInf) est offert en anglais et en français avec quatre volets : infirmière praticienne (volet clinique), pratique infirmière avancée (volet basé sur des cours), thèse (volet recherche) et certificat post-infirmière praticienne (volet basé sur des cours). Tous les volets du programme MScInf sont offerts à distance, à l’exception des exigences sur place pour le programme d’infirmières praticiennes. L’École est fière de contribuer aux activités de la communauté en renforçant la capacité de pratique infirmière avancée dans le Nord et au-delà.

Le tribunal approuve le Plan d’arrangements de la Laurentienne

Le tribunal approuve le Plan d’arrangements de la Laurentienne

L’approbation permettra à l’Université de se dégager de la procédure aux termes de la LACC

(5 octobre 2022) – L’émergence de l’Université Laurentienne de la procédure aux termes de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC) est maintenant à portée de main, car la Cour supérieure de justice de l’Ontario a approuvé son Plan d’arrangements.

Grâce à cette approbation, la Laurentienne en est à quelques semaines d’un fructueux dégagement de la procédure. Cette étape importante devrait rassurer les personnes demandant l’admission à la Laurentienne sur le fait qu’elles pourront commencer et terminer leurs études ici.

L’approbation du tribunal permet à l’Université de procéder à la mise en œuvre du plan, dès que les conditions de celle-ci sont satisfaites. Quand le plan est mis en œuvre plus tard cet automne, la Laurentienne aura émergé avec succès de la restructuration en vertu de la LACC en tant qu’université financièrement viable empruntant un chemin sûr vers la réussite à l’avenir. Le Plan d’arrangements a été approuvé le 14 septembre 2022 par les créanciers de l’Université.

L’Université accueillera prochainement des centaines d’étudiants éventuels et leur famille lors de la Journée portes ouvertes d’automne, le 22 octobre. Pendant cette activité, ils feront des visites guidées du campus, rencontreront des membres du corps professoral et auront même l’occasion de participer à des cours simulés dans diverses disciplines. Il est possible de s’inscrire aux portes ouvertes dès maintenant.

La Laurentienne nomme sa première Gestionnaire de l'Énergie et de la Durabilité

La Laurentienne nomme sa première Gestionnaire de l'Énergie et de la Durabilité

Mme Kati McCartney dirigera les efforts de l’Université visant à réduire l’empreinte écologique et à promouvoir les meilleures pratiques

11 septembre 2014 – Étalonnage de la consommation d’énergie, compostage dans les résidences et zéro déchet dans la cafétéria, telles sont les trois initiatives en cours à l’Université Laurentienne, lancées à l’appui de son « programme vert » que fera avancer la gestionnaire de l’énergie et de la durabilité, Mme Kati McCartney. 

« Ce poste est nouveau à la Laurentienne, mais l’Université est déjà une championne reconnue de l’environnement sur de nombreux fronts, a dit Mme McCartney. Nous avons le potentiel de nous hisser vraiment au rang de leader en matière de durabilité et de conservation et je suis convaincue que nous pouvons être dans le peloton de tête des universités vertes. » 

À titre de gestionnaire de l’énergie et de la durabilité, Mme McCartney dirigera la planification des opérations durables et gérera le portefeuille énergétique (achat et consommation). Titulaire d’une maîtrise ès sciences (sciences chimiques) et d’une MBA de l’Université Laurentienne, elle est en train de développer des objectifs de durabilité, à court et à long terme, au moyen d’initiatives dans quatre domaines : consommation d’énergie, réacheminement des déchets, sensibilisation et éducation. 

Mme McCartney dirigera également les efforts visant à mesurer la consommation d’énergie dans tout le campus, et avec précision, à établir les données de référence et à réduire celle-ci. Ces efforts consisteront, entre autres, à installer des compteurs pour tous les services publics — électricité, gaz naturel et eau — pour suivre de près la consommation et étalonner l’efficacité. 

 Selon Mme McCartney, un audit énergétique du campus réalisé en juillet a révélé que la Laurentienne, en matière de rendement, fait « un peu mieux que la moyenne pour les universités en Ontario ». « Grâce à notre étalonnage, dit-elle, nous pourrons cerner les domaines où nous pourrons améliorer les économies d’énergie. Nous procéderons aux réaménagements là où c’est logique et encouragerons des changements de comportements relativement à la consommation énergétique. » 

Le compostage dans les résidences de la Laurentienne, l’une des initiatives de grande envergure en cours sur le campus de Sudbury, va aussi dans ce sens. En lançant cette initiative au début de l’année scolaire, la Laurentienne est devenue le premier établissement dans la Ville du Grand Sudbury à avoir adopté le programme de compostage résidentiel de la municipalité. 

« Nous sommes la première université dans le nord à mettre en oeuvre le compostage à une si grande échelle et nous y arriverons certainement sous l’impulsion de nos étudiants, se réjouit le directeur des Services de logement et d’alimentation à l’UL, M. Ben Demianiuk. Nous avons travaillé avec la Ville pour le mettre en place, mais ce sera à nous tous de créer une culture de prise en charge. » Selon les estimations, le compostage dans les résidences pourrait détourner chaque année jusqu’à 50 tonnes de déchets organiques des sites d’enfouissement. 

Cet effort, celui du réacheminement des déchets, va encore plus loin dans le Grand Salon de l’Université, la salle à manger nouvellement rénovée. La cafétéria de style restaurant n’a ni poubelle, ni bac bleu pour récipients en verre, plastique ou aluminium. 

« C’est un véritable changement d’étape, un geste audacieux, a déclaré Mme McCartney. Il n’y a pas de gobelet jetable, pas d’assiette en papier, pas de couvert en plastique, pas de canette de boisson gazeuse, pas de bouteille en verre à jeter dans le bac bleu. Tout ce qui sert aux repas est lavable, et tous les restes de repas vont droit au compost. En matière de réacheminement des déchets, c’est vraiment énorme. » 

L’Université Laurentienne tient à promouvoir une culture solide de la durabilité et de la gérance environnementale. Elle a signé l’engagement du Conseil des universités de l’Ontario (Ontario Universities Committed to a Greener World) selon lequel les universités aideront à trouver des solutions aux défis de la durabilité environnementale, diffuseront les connaissances sur la durabilité et le changement climatique et incorporeront, autant que possible, les principes de durabilité dans leurs propres activités. 

La Laurentienne tiendra un Forum sur la durabilité du campus le 29 septembre 2014, au cours duquel une conférence publique sera donnée par M. David Miller, militant écologiste, ex-maire de Toronto et actuellement PDG de WWF Canada. De plus amples détails sur le forum seront publiés dans le courant du mois. 

L'Université Laurentienne devient la première université bilingue reconnue en vertu de la la Loi sur les services en français

L'Université Laurentienne devient la première université bilingue reconnue en vertu de la la Loi sur les services en français

Cette désignation porte sur les services offerts au campus de Sudbury, de même que sur la prestation de programmes entièrement offerts en français

23 juin 2014 – Suite à une modification au règlement de l’Ontario 398/3 approuvée par le gouvernement de l’Ontario, l’Université Laurentienne devient à compter du 1er juillet 2014, la première université bilingue reconnue en vertu de la Loi sur les services en français. Cette désignation porte sur les services offerts au campus de Sudbury, de même que sur la prestation de programmes entièrement offerts en français et menant à treize grades aux niveaux du baccalauréat, de la maîtrise et du doctorat.

 

« Devenant la première université bilingue reconnue en vertu de la Loi sur les services en français, l’Université Laurentienne démontre de façon concrète une volonté affirmée de faire reconnaître les acquis de la communauté franco-ontarienne et d’assumer pleinement son rôle au service de la Francophonie », déclare le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, Dominic Giroux.

 

Pour sa part, le président du Conseil des gouverneurs, Michael Atkins, souligne : « En ce moment historique pour notre établissement, je souhaite remercier le Regroupement des professeures et professeurs francophones de l’Université Laurentienne d’avoir initié cette démarche en décembre 2011, laquelle fut chaudement appuyée par le Sénat et le Conseil des gouverneurs de l’Université, ainsi que par le gouvernement de l’Ontario. »

 

Me Claude Lacroix, président du Comité exécutif de l’Université Laurentienne, précise quant à lui : « Cette reconnaissance du gouvernement de l’Ontario en vertu de la Loi sur les services en français a fait l’objet d’un processus méticuleux permettant de promouvoir le mandat bilingue de notre université, tout en respectant son cadre de gouvernance ainsi que les recommandations de l’Office des affaires francophones. »

 

Claudette Paquin, membre du Comité exécutif de l’Université Laurentienne et présidente du Comité conjoint de bilinguisme du Sénat et du Conseil des gouverneurs de l’Université, ajoute : « Par cette mesure, le gouvernement de l’Ontario reconnaît légalement l’apport de l’Université Laurentienne au patrimoine culturel de la population francophone ainsi que ses efforts en faveur du développement durable de l’Ontario français. »

 

Annoncée en marge des festivités de la St-Jean, cette reconnaissance de l’Université Laurentienne en vertu de la Loi sur les services en français fera l’objet d’une célébration officielle à l’occasion du Jour des Franco-ontariens et des Franco-ontariennes, le 25 septembre prochain.

 

« L’obtention de la désignation partielle de l’Université Laurentienne en vertu de la Loi sur les services en français témoigne qu’il est possible pour un établissement bilingue de marier la liberté académique et la garantie juridique d’offrir activement une éducation universitaire à la communauté franco-ontarienne et à tous les francophiles » déclare le commissaire aux services en français de l’Ontario, François Boileau.

 

« Vingt-huit ans après l’adoption de la Loi sur les services en français, l’Université Laurentienne est fière d’avoir sollicité et obtenu cette désignation », de conclure Dominic Giroux

La province s’engage à apporter un financement pluriannuel à Professions Nord/North

La province s’engage à apporter un financement pluriannuel à Professions Nord/North

L’initiative favorise les carrières pour les professionnels formés à l’étranger

Sudbury, ON (8 janvier 2013) –  Le ministère de la Citoyenneté et de l’Immigration de l’Ontario s’engage à offrir un financement sur trois ans pour appuyer les travaux qu’effectue Professions Nord/North (PNN) dans le but d’épauler les professionnels formés à l’étranger qui cherchent un emploi approprié dans le Nord de l’Ontario.
 

À la suite d’un processus concurrentiel d’appels d’offres, l’investissement de 2 700 000 $ a été attribué à l’Université Laurentienne à la lumière des succès connus par le projet pilote de PNN. Le député provincial de Sudbury Rick Bartolucci a fait l’annonce aujourd’hui à l’Université Laurentienne, où s’étaient rassemblés des agents et clients de PNN et des représentants universitaires.
 

« Depuis sa création en 2010, Professions Nord/North se forge d’importants succès, a dit Stephen Havlovic, doyen de la Faculté de gestion à l’Université Laurentienne. Grâce à cette annonce, le financement sera prolongé et permettra au programme de continuer de croître et de subvenir aux besoins en main-d’œuvre des employeurs nord-ontariens. »
 

« Cet engagement de trois ans, a ajouté le député provincial de Sudbury Rick Bartolucci, aidera les professionnels formés à l’étranger à atteindre leurs objectifs de carrière en comblant l’écart entre l’éducation, l’expérience, la culture et l’emploi, leur permettant ainsi de réaliser leur plein potentiel. Je suis très fier de l’innovation dont fait preuve le programme et l’important rôle qu’il joue à dynamiser l’économie et à améliorer la vie des immigrants et de leur famille. »
 

Professions Nord/North offre aussi aux employeurs nord-ontariens des services de recrutement, de jumelage emploi-travailleur, de triage de CV et de rétention du personnel. « En tâchant de combler les besoins en recrutement des employeurs du Nord, a expliqué Michel Racine, gestionnaire de projet de Professions Nord/North, le programme favorise la diversité, la croissance et le développement économique dans les communautés nord-ontariennes. »

 

Initiative lancée par la Faculté de gestion de l’Université Laurentienne pour faciliter les possibilités d’agrément et de carrière chez les professionnels formés à l’extérieur du Canada, PNN offre tout un éventail de services à ces derniers, y compris l’élaboration de dossier, le cheminement vers l’agrément, le réseautage et l’encadrement, tout en fournissant des services aux employeurs éventuels du Nord de l’Ontario, les aidant à trouver des professionnels formés et employables qui assumeront des rôles prépondérants dans l’économie régionale.


 

Au sujet de Professions Nord/North

Initiative de l’Université Laurentienne, Professions Nord/North (PNN) épaule sans frais les employeurs qui ont une pénurie de travailleurs ainsi que les professionnels formés à l’étranger qui se cherchent un emploi dans le Nord de l’Ontario.  


Financé par le ministère de la Citoyenneté et de l’Immigration du Gouvernement de l’Ontario, Professions Nord/North offre aux employeurs nord-ontariens des services de recrutement, de jumelage emploi-travailleur, de triage de CV et de rétention du personnel par l’intermédiaire de bureaux situés à Sudbury, à North Bay, à Timmins, à Thunder Bay et à Sault Ste. Marie.

 

Professions Nord/North aide aussi aux professionnels formés à l’étranger d’atteindre leurs objectifs de carrière en comblant l’écart entre l’éducation, l’expérience, la culture et l’emploi, leur permettant d’obtenir l’information, la formation et les ressources dont ils ont besoin pour poursuivre une carrière avec succès dans leur domaine dans le Nord de l’Ontario.  
 

PNN a établi une banque de données exhaustive de professionnels formés à l’étranger présélectionnés dans de nombreux domaines, tel qu’en génie, comptabilité, gestion, sciences environnementales et TI, parmi d’autres. Ces professionnels formés à l’étranger se cherchent de nouvelles possibilités dans le Nord de l’Ontario, région dans laquelle ils habitent. 
 

Au sujet de l’Université Laurentienne

La Laurentienne fait partie des universités canadiennes qui ont pris le plus d'expansion au cours de la dernière décennie, avec un effectif étudiant près de 10 000 membres. Bien que son campus principal soit situé à Sudbury, elle offre de plus en plus de programmes aux 1 200 membres de la population étudiante du campus de Barrie. La Laurentienne a l’un des plus forts taux d'emploi après l'obtention du grade en Ontario, soit 92 % dans les six mois et 95 % dans les deux ans suivant l’obtention du diplôme, et est grandement réputée pour la taille enviable de ses classes qui sont en moyenne parmi les moins nombreuses au Canada.

 

 

PERSONNES-RESSOURCES POUR LES MÉDIAS

Renseignements et entrevues :

Joanne Musico                                                                         
Chef des communications
705-675-1151, p. 3445 ou 1-800-263-4188, p. 3445                     
jmusico@laurentienne.ca                                                          

Sherry Drysdale
Communications
sdrysdale@laurentienne.ca

Amy Bouillon
Agente du marketing, Professions Nord/North
705-222-1766, p. 4  
abouillon@laurentienne.ca