Le 12 novembre, 2025 | 9 minute(s) de lecture
De nouveaux membres du corps professoral enrichissent l’enseignement et la recherche
L’Université Laurentienne accueille encore cette année une nouvelle cohorte de membres du corps professoral. Forts d’une vaste expertise et animés par une même passion pour l’enseignement, leurs travaux enrichiront les salles de classe, stimuleront la recherche innovatrice et favoriseront des partenariats communautaires pertinents.
Le corps professoral est renforcé par 14 nouveaux membres.
12 novembre 2025 – L’Université Laurentienne accueille encore cette année une nouvelle cohorte de membres du corps professoral. Forts d’une vaste expertise et animés par une même passion pour l’enseignement, leurs travaux enrichiront les salles de classe, stimuleront la recherche innovatrice et favoriseront des partenariats communautaires pertinents.
« L’entrée en fonction de ce groupe exceptionnel de professeurs renforce notre engagement envers l’excellence et l’innovation universitaires, a exprimé le vice-recteur principal aux études, Malcolm M. Campbell, Ph.D. Leur expertise couvre divers domaines et profite à chacune de nos facultés. Nous sommes ravis de les accueillir à l’Université Laurentienne et savons qu’ils inspireront les étudiants, contribueront à des recherches percutantes et permettront à notre université de rayonner dans le Nord et ailleurs. »
Grâce à leur recherche et leur enseignement, ces nouveaux membres du corps professoral aideront à élargir l’incidence de la Laurentienne dans le Nord, l’éducation autochtone et l’innovation interdisciplinaire.
Quatorze de ces nouveaux membres sont indiqués ci-dessous, selon la faculté. Bon nombre d’entre eux sont nouveaux à l’Université Laurentienne, tandis que d’autres y travaillent depuis de nombreuses années et assument de nouvelles responsabilités.
Faculté des arts
Birgit Pianosi, École des sciences sociales
Intérêts de recherche : Intimité et sexualité chez les personnes âgées, formation en gérontologie, compétences en gérontologie, communautés adaptées à l’âge.
Qu’est-ce qui vous a attiré à l’Université Laurentienne?
En 1998, j’ai obtenu ma maîtrise en développement humain à l’Université Laurentienne. Après avoir soutenu ma thèse de doctorat en Allemagne en 2001, je me suis jointe au programme de gérontologie de l’Université Huntington, lançant ainsi une carrière universitaire de 20 ans. Bien que mon parcours ait été interrompu de façon inattendue par la procédure aux termes de la LACC à l’Université Laurentienne, je suis honorée de revenir à mon alma mater en tant que professeure titulaire et suis impatiente de contribuer à l’avancement de la formation en gérontologie tout en menant des recherches qui améliorent la qualité de vie des personnes âgées.
Christine Sansalone, Faculté des arts libéraux
Intérêts de recherche : Littérature et théâtre modernes et contemporains.
Qu’est-ce qui vous a attiré à l’Université Laurentienne?
L’alliance unique de l’excellence en enseignement et des valeurs communautaires m’a séduit. J’ai aussi été attiré par l’engagement de la Laurentienne envers la recherche interdisciplinaire et ses liens solides avec la communauté du nord de l’Ontario.
Melissa Schnarr, Faculté des arts libéraux
Intérêts de recherche : Expression autochtone (poétique, littérature, cinéma, musique, culture populaire), modes de connaissance, d’être et d’agir autochtones, autochtonité et autodétermination, narration autochtone (métaphore, rhétorique et souveraineté rhétorique autochtones).
Qu’est-ce qui vous a attiré à l’Université Laurentienne?
Je suis inspirée par le travail accompli à l’Université Laurentienne pour renforcer et célébrer les modes de savoir, d’être et de faire autochtones — voir émerger une telle excellence autochtone au sein du cercle d’universitaires autochtones de la Laurentienne et participer à ce parcours est stimulant et enrichissant.
Valérie Gauthier-Fortin, École des arts libéraux
Intérêts de recherche : La phraséologie et son imbrication avec la culture, ainsi que les multiples liens qu’entretient la phraséologie avec d’autres disciplines, telles que la pragmatique, la variation linguistique et la didactique des langues.
Qu’est-ce qui vous a attiré à la Laurentienne?
Le Département d’études françaises m’a attirée à l’Université Laurentienne pour mes études de premier cycle. Au fil de ma spécialisation (avec essai), j’ai eu le privilège de rencontrer des professeurs hors pair, passionnés et bienveillants qui ont éveillé en moi un vif intérêt pour la linguistique, les statistiques, la recherche et le monde universitaire. C’est grâce à leur encadrement que j’ai choisi de poursuivre mes études à l’Université Laurentienne, d’abord au deuxième cycle (maîtrise en sociologie, avec mémoire), puis au troisième cycle (doctorat en sciences humaines et interdisciplinarité, avec thèse en cours).
Faculté des sciences, de génie et d’architecture
Lisa Gibson, École des sciences de la Terre Harquail
Intérêts de recherche : Gisements de sulfures magmatiques, modélisation de données géoscientifiques.
Qu’est-ce qui vous a attiré à l’Université Laurentienne?
J’ai accepté le poste de directrice du programme de M.Sc. in Geology – Applied Mineral Exploration afin de mettre à profit mon expertise du secteur pour optimiser le programme et préparer au mieux les diplômés à ce domaine en constante évolution. Je me réjouis à l’idée d’encadrer les géoscientifiques en herbe et de faire rayonner davantage le programme sur la scène mondiale grâce à de nouvelles collaborations et de nouveaux partenariats.
Nabil Shawwa, École des sciences de la Terre Harquail
Intérêts de recherche : Sédimentologie, stratigraphie, géologie précambrienne.
Qu’est-ce qui vous a attiré à l’Université Laurentienne?
C’est l’emplacement à Sudbury de l’Université Laurentienne qui m’a attiré, car il offre une occasion unique d’étudier le Supergroupe huronien, une séquence géologique de classe mondiale exposée directement sur le campus et qui est au cœur de mes recherches depuis de nombreuses années.
Subash Bastola, École de génie et d’informatique Bharti
Intérêts de recherche : Mécanique des roches et contrôle opérationnel des terrains, rupture dynamique de massifs rocheux, modélisation numérique, caractérisation des massifs rocheux, évaluation de risques géotechniques, microsismicité induite par les activités minières, optimisation de la séquence minière contrainte par les risques géotechniques.
Qu’est-ce qui vous a attiré à l’Université Laurentienne?
L’emplacement stratégique de l’Université Laurentienne offre un accès direct aux principaux sites d’exploitation minière, et cette proximité facilite la collaboration directe en matière de recherche avec l’industrie, garantissant ainsi la pertinence de la recherche face à ses enjeux. Ce poste de professeur à l’Université Laurentienne représente pour moi l’occasion de travailler en étroite collaboration avec les grandes entreprises minières du nord de l’Ontario. De plus, la possibilité de collaborer avec des établissements de recherche comme MIRARCO, voué à la recherche minière à forte incidence, a été un facteur déterminant dans ma décision de me joindre à l’Université Laurentienne.
Amanda Reis, École d’architecture McEwen
Intérêts de recherche : Solutions conceptuelles aux problèmes d’injustice sociale et environnementale, relation entre l’art et l’architecture, pratiques de conception économes en ressources et efficaces.
Qu’est-ce qui vous a attiré à l’Université Laurentienne?
J’ai été attirée par l’École d’architecture McEwen de l’Université Laurentienne pour sa pédagogie axée sur la communauté et la conception-construction, son approche de la recherche participative et appliquée, ainsi que son accent sur la durabilité et la construction en bois. De plus, je me suis intéressée à l’École et à l’Université en raison de leur engagement envers la diversité et le bilinguisme.
Faculté de gestion
Amir M. Fathollahi-Fard, École d’administration des affaires
Intérêts de recherche : Gestion des opérations, recherche opérationnelle, chaînes d’approvisionnement, transport, ordonnancement, durabilité.
Qu’est-ce qui vous a attiré à l’Université Laurentienne?
Je suis heureux de me joindre à l’Université Laurentienne, reconnue pour son solide engagement envers l’excellence en enseignement, l’innovation en recherche et son incidence communautaire. J’ai été particulièrement attiré par son milieu interdisciplinaire, qui correspond parfaitement à mes recherches sur les opérations, la gestion de la chaîne d’approvisionnement et la prise de décision fondée sur les données. L’accent que la Laurentienne met sur la recherche appliquée et la collaboration avec les partenaires industriels offre une plateforme idéale pour faire le lien entre les avancées théoriques et les applications du monde réel, un aspect qui a toujours été au centre de mon travail.
Nabhan Refaie, École d’administration des affaires
Intérêts de recherche : Comparaisons sociales, culture organisationnelle, attitudes au travail.
Qu’est-ce qui vous a attiré à l’Université Laurentienne?
L’importance qu’elle accorde à la francophonie, au bilinguisme et à l’éducation autochtone.
Khaled Al Masri, École d’administration des affaires
Intérêt de recherche : Information extrafinancière et son incidence sur l’image et la valeur de l’entreprise.
Qu’est-ce qui vous a attiré à la Laurentienne?
La Laurentienne me donne l’occasion de m’épanouir au sein d’une université dynamique, riche par ses recherches, son professionnalisme et sa diversité linguistique et culturelle.
Faculté d’éducation et de santé
Alicia Williamson, École des relations autochtones
Intérêts de recherche : Art anishinaabe en piquants de porc-épic, résurgence, recherche-création, méthodologies anishinaabe, pédagogie fondée sur le territoire.
Qu’est-ce qui vous a attiré à l’Université Laurentienne?
J’ai eu le plaisir de terminer mes études de premier cycle dans le programme d’Indigenous Social Work à l’Université Laurentienne. J’ai ensuite travaillé comme coordonnatrice de projets de recherche auprès de Mme Joey-Lynn Wabie, Ph.D. Durant cette période, j’ai tissé des liens avec des universitaires et des communautés autochtones de N’Swakamok (Sudbury) et de toute la région. Ces relations durables et la proximité de mes territoires d’origine (Mnidoo Mnising, Île Manitoulin) m’ont incitée à revenir à l’Université Laurentienne. Je suis ravie de travailler auprès d’un collectif de brillants chercheurs autochtones sur le territoire du Traité Robinson-Huron.
Charles Daviau, École d’éducation
Intérêts de recherche : Mathématiques, culture financière, science économique et théorie des jeux.
Qu’est-ce qui vous a attiré à l’Université Laurentienne?
Je suis né dans le nord de l’Ontario et j’ai fait mes études de premier cycle à l’Université Laurentienne. J’ai toujours eu le sentiment que la priorité absolue de son corps professoral et son personnel est la réussite des étudiants. Cet accent sur les étudiants m’a toujours attirée vers la communauté de l’Université Laurentienne.
Bibliothèque et Archives
Kat A. Hicks
Intérêts de recherche : Comportements et pratiques informationnels, culture informationnelle.
Qu’est-ce qui vous a attiré à l’Université Laurentienne?
J’ai été attirée à la communauté d’enseignement et de recherche interdisciplinaire et soudée à l’Université Laurentienne. J’apprécie la variété et les défis que représente le soutien de la population étudiante et du corps professoral dans de multiples disciplines : chaque jour est différent et intéressant. C’est un honneur pour moi de faire partie d’une communauté aussi enthousiaste et encourageante.
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