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La famille Harquail investit 10 000 000 $ dans l’avancement de la recherche en exploration minérale

Le Département des sciences de la Terre sera dorénavant l’École des sciences de la Terre Harquail

*Photo de gauche à droite: James Harquail, Sofia Harquail, David Harquail, Birgitta Sigfridsson, Peter Harquail.

M. David Harquail a annoncé aujourd’hui que sa fondation familiale fait un investissement de 10 000 000 $ au Département des sciences de la Terre de l’Université Laurentienne et à son Centre de recherche en exploration minérale (CREM). Le Conseil des gouverneurs de l’Université a décidé à l’unanimité d’honorer la famille Harquail en changeant le nom du département à « École des sciences de la Terre Harquail » et en associant les activités du CREM au nom Harquail. La célébration de la générosité de la famille Harquail aura lieu dans quelques semaines.Logo

« L’Université Laurentienne est déjà un chef de file mondial dans la recherche en exploration minérale, a expliqué M. Harquail. Cet investissement est une étape pour faire de la Laurentienne le principal centre mondial de recherche en exploration minérale. Le secteur minier est dans l’ADN de cette université, car elle est proche des exploitations minières et d’un groupe de services et organismes de recherche gouvernementaux en ce domaine installés sur son campus. Le succès viendra avec la mise au point de nouveaux concepts et outils pour trouver la prochaine génération de gisements. »

 

Une dotation de 8 400 000 $ financera de nouvelles chaires de recherche, de l’équipement et des fournitures de laboratoire, du soutien technique et des bourses de recherche pour des étudiants au doctorat de partout au monde. Le solde de 1 600 000 $ permettra de recruter immédiatement le ou la titulaire de la Chaire de recherche en ciblage de l’exploration et du personnel de soutien.

 

« Nous sommes extrêmement reconnaissants à la famille Harquail de ce don transformateur, a dit le directeur de l’École des sciences de la Terre Harquail, M. Douglas Tinkham, Ph.D. Les activités d’exploration de l’industrie minière sont à la baisse et se concentrent sur le proche avenir. L’Université met l’accent sur l’activité scientifique à long terme qui pourrait conduire à de nouvelles découvertes. Cet investissement nous aidera à construire cette capacité. »

 

« Ces recherches sont fondamentales parce que la découverte de gisements est profitable pour toute la société, a indiqué M. Harquail. Les compagnies minières apportent de la valeur en construisant et en exploitant les mines. Et les différents ordres de gouvernement, les Premières Nations et l’ensemble de l’économie partagent cette valeur grâce à son effet multiplicateur. Rien de tout ceci ne pourrait se produire sans cette découverte initiale. »

 

« Le Canada profite disproportionnellement de sa force entrepreneuriale en exploration minérale mondiale, a ajouté M. Harquail. Même les découvertes en dehors du Canada contribuent au bien-être des Canadiens. Les entrepreneurs canadiens dans le domaine des ressources font partie des plus généreux philanthropes de ce pays qui aident bien des universités, hôpitaux et autres organismes. »

 

Après l’École de génie Bharti, l’École des mines Goodman et l’École d’architecture McEwen, l’École des sciences de la Terre Harquail est la quatrième école de l’UL renommée en moins de cinq ans en reconnaissance de dons privés de dizaines de millions de dollars d’entrepreneurs canadiens en ressources naturelles.

 

« Cet investissement de la famille Harquail est un geste exceptionnel de soutien à notre corps professoral, notre personnel et notre population étudiante des sciences de la Terre, a affirmé le recteur et vice-chancelier de la Laurentienne, M. Dominic Giroux. Nous pensons aussi qu’il témoigne de l’élan et de la reconnaissance nationale croissante de notre université. »

 

À propos de la famille Harquail

Par l’entremise de sa fondation, la Midas Touch Foundation, la famille Harquail aide des organismes de bienfaisance, des hôpitaux, ainsi que les secteurs de l’éducation et des arts. La fondation est gérée par David Harquail et Birgitta Sigfridsson et leurs enfants, Sofia, James et Peter. L’annonce d’aujourd’hui est le plus grand engagement de la fondation jusqu’à présent.

 

M. David Harquail est PDG de Franco-Nevada Corporation, une compagnie à redevances axée sur l’or inscrite aux bourses de Toronto et de New York. Franco-Nevada perçoit des redevances pour plus de 260 propriétés du monde abritant des minéraux, y compris nombre d’entre elles dans le bassin de Sudbury et le nord de l’Ontario. La compagnie fait aussi partie des commanditaires de l’École des mines Goodman de l’Université Laurentienne, où M. Harquail siège au conseil consultatif.

 

À propos de l’École des sciences de la Terre Harquail

L’École des sciences de la Terre Harquail et son Centre de recherche en exploration minérale (CREM) comptent 14 professeurs lauréats de prix, y compris trois de la division des gisements minéraux de l’Association géologique du Canada, sept membres du personnel, six chercheurs postdoctoraux, 78 étudiants aux cycles supérieurs et 94 étudiants au premier cycle lauréats de prix. Par rapport à toute autre école du Canada, elle a de loin obtenu le plus grand financement du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie et de l’Initiative géoscientifique ciblée pour les études en géologie économique. Elle est logée dans l’ultramoderne Centre Willet-Green-Miller aux côtés de la Commission géologique de l’Ontario, des Laboratoires géoscientifiques de l’Ontario et du ministère du Développement du Nord et des Mines de l’Ontario.

 

Situés dans la bordure sud de l’un des plus grands et plus anciens cratères de météorites les mieux exposés, les gisements massifs des éléments du groupe nickel, cuivre et platine de Sudbury offrent des occasions uniques de formation sur le terrain, de stages d’enseignement coopératif et de recherches pures et appliquées en exploitation minière. Le grand éventail d’environnements géologiques, y compris les ceintures volcaniques et sédimentaires de l’Archéen, la ceinture sédimentaire et volcanique du Protérozoïque, les terrains métamorphiques grenvillien, et les séquences paléozoïques faibles à moyennes. L’École offre des possibilités sans pareil d’études des gisements, de la géologie structurale, de la géophysique, de la minéralogie, de la pétrologie dans les zones ignées et métamorphiques, de la sédimentation et de la stratigraphie et de la paléoécologie.

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Située sur le territoire traditionnel des peuples anishinabe de la Première Nation d’Atikameksheng, elle prépare les étudiants à devenir des agents du changement et leur donne les moyens de créer des solutions innovatrices à de futurs enjeux locaux et mondiaux. Les étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.