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Un professeur associé est intronisé au Temple de la renommée du secteur minier canadien

Un professeur associé est intronisé au Temple de la renommée du secteur minier canadien

Le géoscientifique, M. James M. Franklin, Ph. D., est l’un de cinq nouveaux membres du TRSMC

(2019-01-11) – Le professeur associé de l’École des sciences de la Terre Harquail à l’Université Laurentienne, M. James M. Franklin, Ph. D., est l’une de cinq personnes influentes de l’industrie mondiale honorées en 2019 par le Temple de la renommée du secteur minier canadien.

Éminent géoscientifique qui a aidé à établir et à faire avancer la base de connaissances de l’industrie des minéraux du Canada, M. Franklin est passé une grande partie de sa carrière à la Commission géologique du Canada (CGC) à consigner l’évolution complexe du Bouclier canadien ainsi que la corrélation avec sa spectaculaire richesse minérale. Dans ce secteur, il a aussi été expert-conseil, éducateur, auteur, chargé de cours et ambassadeur industriel en matière géologique. Il est lauréat de nombreux prix soulignant ses réalisations, dont la Médaille d’or RAF Penrose de la Société des géologues économiques et la Médaille d’or Logan de l’Association géologique du Canada.

« M. Franklin apporte depuis plus de quinze ans, à titre de codirecteur et de membre de comité de thèse, un encadrement et des perspectives scientifiques inestimables à de nombreux candidats à la maîtrise et au doctorat, a dit le professeur de volcanologie et de gisements de minéraux de l’École des sciences de la Terre Harquail, M. Harold Gibson, Ph. D. Sa vaste expérience en matière de métallogénie précambrienne et de gisements miniers profite grandement à la population étudiante au corps professoral et ses contributions aux questions non résolues touchant la minéralisation en métaux de base ont aidé à orienter notre programme de recherche, Terre des métaux. »

« L’Université Laurentienne dans son ensemble félicite M. Franklin de cette grande distinction, a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, M. Pierre Zundel. Son intronisation au Temple de la renommée du secteur minier canadien témoigne de son engagement soutenu et des contributions qu’il apporte à l’industrie. »

Le TRSMC a tenu son treizième repas annuel d’intronisation hier soir au Palais des congrès du Toronto métropolitain, au centre-ville de Toronto. Pour obtenir de plus amples renseignements sur le Temple de la renommée du secteur minier canadien, y compris les portraits des personnes intronisées, veuillez consulter mininghalloffame.ca.

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire couvert par le Traité Robinson-Huron de 1850, l’Université Laurentienne reconnait qu’elle se trouve sur les terres traditionnelles des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et de Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.

Nouveaux membres nommés au Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne

Nouveaux membres nommés au Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne

Le 14 décembre 2018 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer que trois nouveaux membres ont été nommés pour une période de trois ans à son Conseil des gouverneurs, à savoir MM. Khari Gaynor, Ricus Grimbeek et Nelson Toulouse, à l’assemblée du 26 octobre 2018.

Un ancien de la Laurentienne, M. Khari Gaynor, est vice-président du marketing numérique chez Aha Insurance qui a acquis une quinzaine d’années d’expérience à élaborer et à exécuter des plans de marketing et d’expansion commerciale et dix autres à diriger des équipes chevronnées de projets en entreprise.

M. Ricus Grimbeek, qui a plus de 30 ans d’expérience dans l’industrie minière, est directeur principal de l’exploitation pour les opérations nord-atlantiques et les fonderies asiatiques de Vale. Au fil des ans, il a occupé des postes de cadre au sein de sociétés minières mondiales, dont South 32, BHP Billiton et Lonmin.

Chef de Sagamok Anishnawbek et ex-chef adjoint du Grand Conseil de la Nation Anishnawbek, M. Nelson Toulouse est le représentant des langues autochtones auprès de l’Unité de coordination de l’éducation des Premières Nations des Chefs de l’Ontario et un expert reconnu au Comité technique de langues autochtones de l’Assemblée des Premières Nations.

« Nos nouveaux membres apportent une riche expérience hétérogène au Conseil, a dit la présidente du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, Mme Jennifer Witty. Nous sommes heureux de les accueillir et avons hâte de mettre à profit leurs contributions. »

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire du Traité Robinson-Huron de 1850, L’Université Laurentienne reconnait que nous sommes sur le territoire traditionnel des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux. 
 

Au-delà de 56 000 $ amassés dans le cadre de la campagne « Mardi je donne » de l’Université Laurentienne

Au-delà de 56 000 $ amassés dans le cadre de la campagne « Mardi je donne » de l’Université Laurentienne

Les fonds recueillis seront alloués à des initiatives de promotion du bien-être de la Laurentienne

Le 28 novembre 2018 – Dans le cadre de Mardi je donne, l’Université a mis au défi la communauté de la Laurentinne de prélever des fonds pour soutenir la promotion de la santé mentale et du bien-être sur le campus. En 24 heures, les diplômés, les étudiants, le personnel, les membres des facultés et les partenaires de la Laurentienne ont amassé 56 593,55 $ en tout.

Le 27 novembre 2018 a marqué la cinquième année consécutive au cours de laquelle l’Université Laurentienne a participé à cette initiative mondiale. Les fonds recueillis cette année seront alloués à la création de trousses anti-stress pour les étudiants de la Laurentienne qui en ressentent le besoin ou qui sont à la recherche de stratégies d’adaptation ou de ressources.

« Notre but était de recueillir assez de fonds pour acheter 2 000 trousses et la communauté de la Laurentienne a réellement su relever le défi », a dit Tracy McLeod, dirigeante principale de l’avancement à l’Université Laurentienne. « Grâce à la générosité de nos donateurs, nous serons en mesure d’acheter 2540 trousses et faire soulager le stress de notre population étudiante actuelle. »

Des groupes d’étudiants de la Laurentienne prépareront les trousses anti-stress et les distribueront au cours des examens de mi-session et de fin d’année.

« L’Université Laurentienne s’engage à offrir aux étudiants les ressources nécessaires pour prospérer et réussir », a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, Pierre Zundel. « Au nom de l’Université, je tiens à remercier chaleureusement tous ceux et celles qui ont contribué au succès de notre campagne Mardi je donne 2018. Votre appui aura une incidence sur la vie de plusieurs étudiants. »

Mardi je donne est une journée mondiale de la générosité qui survient chaque année après le Vendredi fou et le Cyberlundi. C’est un moment où les Canadiens, les organismes de bienfaisance et les entreprises s’unissent pour célébrer la générosité et participer à des activités au profit des organismes de bienfaisance et des organismes sans but lucratif.

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire du Traité Robinson-Huron de 1850, L’Université Laurentienne reconnait que nous sommes sur le territoire traditionnel des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux. 

Des étudiants de l’Université Laurentienne représenteront le Canada sur la scène internationale

Des étudiants de l’Université Laurentienne représenteront le Canada sur la scène internationale

Six étudiants de la Faculté de gestion participeront à un concours de simulation d’entreprise en Russie

Le 22 novembre 2018 – La Faculté de gestion de l’Université Laurentienne est fière d’annoncer que six de ses étudiants représenteront le Canada au 22e atelier international (en anglais) qui se tiendra en Russie du 6 au 19 avril 2019.

Organisé par la South Westphalia University of Applied Sciences en Allemagne et accueilli par la M.I. Platov South-Russian State Polytechnic University (NPI) en Russie, l’atelier international comprend un concours de simulation d’entreprise et un échange culturel visant à rassembler des étudiants du monde entier pour découvrir comment la compétition, la coopération et la communication mènent au succès. Sept pays y participeront, notamment l’Allemagne, la Belgique, le Canada, la Chine, l’Indonésie, la Russie et la Suisse.

Le concours de simulation d’entreprise aura lieu sur une semaine à Sotchi. Les équipes composées d’étudiants de chaque pays participant auront à prendre des décisions d’affaires stratégiques dans le cadre d’un environnement culturellement diversifié. Par la suite, les étudiants iront à Moscou et à Saint-Pétersbourg pour visiter des entreprises et des organisations locales, telles que CLASS, une entreprise de machines agricoles, et la Chambre de commerce germano-russe.  

« Cet atelier permet à nos étudiants de mieux comprendre l’impact des différences culturelles sur nos décisions d’affaires. Il leur donne également l’occasion d’élargir leur réseau et d’établir des liens durables à l’international, » a dit Mme Bernadette Schell, doyenne par intérim de l’École de gestion de l’Université Laurentienne.

L’équipe Laurentienne-Canada est composée de Gavin Kadlec (Administration des affaires), Moe Alaeddine, Sawyer Baby et Wanlin Lv (Business Administration), ainsi que Jack Laushway et Ryan Dumoulin (Sports Administration).
 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire couvert par le Traité Robinson-Huron de 1850, l’Université Laurentienne reconnait qu’elle se trouve sur les terres traditionnelles des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et de Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux. 
 

Le Centre de recherche sur la santé et sécurité au travail célèbre ses 10 ans

Le Centre de recherche sur la santé et sécurité au travail célèbre ses 10 ans

Le CRSST organise une soirée soulignant une décennie de prévention par la recherche

Le 23 novembre 2018 – Un gala sous le thème « Prévention par la recherche » marquait aujourd’hui le 10e anniversaire du Centre de recherche sur la santé et sécurité au travail (CRSST) de l’Université Laurentienne. Le CRSST a été établi en 2008 pour fournir une structure officielle dans le cadre de laquelle les membres de l’industrie, les associations des milieux de travail sécuritaires, les groupes travaillistes, les organismes gouvernementaux et les chercheurs peuvent discuter de questions relatives aux lésions et aux maladies en milieu de travail.

« Comme il est formidable de voir célébrer le 10e anniversaire du CRSST », a dit M. Leo Gerard, président du Conseil consultatif du CRSST et président international du Syndicat des Métallos. « Le CRSST est passé d’une idée à un centre de renommée mondiale qui améliore la santé et la sécurité pour les travailleurs grâce à la recherche. De plus, il contribue à la formation d’étudiants qui deviendront les futurs leaders de la recherche et de l’activisme en santé et sécurité. »

« Je suis tellement fière de nos partenaires du milieu du travail, ainsi que des chercheurs, des étudiants et des agences gouvernementales qui ont soutenu, dès le départ, le concept du CRSST et l’établissement de celui-ci dans le Nord, pour le Nord. C’est grâce à leurs efforts collectifs que le CRSST a vu le jour et qu’il demeure toujours à la hauteur des attentes », a dit Mme Tammy Eger, Ph. D., titulaire de la Chaire de recherche du CRSST.

« Les bourses étudiantes, le laboratoire mobile et le simulateur de milieux de travail ne sont que quelques exemples de réalisations qui permettront au CRSST d’être à la pointe pour ce qui est de la prévention par la recherche en réglant des problèmes de santé et sécurité au travail qui touchent les travailleurs du nord de l’Ontario », a ajouté la directrice du CRSST, Mme Sandra Dorman, Ph. D.

L’annonce les lauréats et lauréates des bourses d’études de 2018, la reconnaissance des champions du CRSST et le dévoilement des dix meilleurs jalons du Centre ont eu lieu dans le cadre de cette soirée. Veuillez consulter le programme du gala (en anglais) pour la liste complète des personnes honorées. Un complément d’information au sujet du Centre de recherche sur la santé et sécurité au travail figure dans le site Web du CRSST.

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire couvert par le Traité Robinson-Huron de 1850, l’Université Laurentienne reconnait qu’elle se trouve sur les terres traditionnelles des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et de Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux. 

Le Centre autochtone de partage et d’apprentissage de la Laurentienne est honoré par le Conseil canadien du bois

Le Centre autochtone de partage et d’apprentissage de la Laurentienne est honoré par le Conseil canadien du bois

Le CAPA reçoit un Prix d’excellence en conception de bois 2018

Le 21 novembre 2018 – Le Centre autochtone de partage et d’apprentissage (CAPA) de l’Université Laurentienne a été honoré hier soir dans le cadre de la 18e cérémonie de remise des Prix d’excellence en conception de bois organisée par Wood WORKS Ontario, un programme dirigé par le Conseil canadien du bois. Le programme de reconnaissance vise à souligner les individus et les organismes qui promeuvent l’utilisation du bois dans tous les types de construction, soit par l’excellence de la conception, des activités de sensibilisation ou l’innovation.

Le CAPA a ouvert ses portes en 2017. Il a une superficie de 7 500 pieds carrés et une formidable salle ronde, inspirée du wigwam, un bâtiment traditionnel des Autochtones de la région. La conception primée est dotée de quatre entrées, l’une donnant sur chacun des points cardinaux (nord, sud, est et ouest). La salle a également un toit vert écologique et durable et offre une vue sur les espaces d’enseignement en plein air, la zone paysagère avoisinante et l’accès à ceux-ci. La conception du CAPA tient compte des idées de la collectivité autochtone, y compris du Conseil de l’Université Laurentienne pour la formation des Autochtones.

« Le caractère architectural unique du CAPA assure une présence visible pour la communauté autochtone de la Laurentienne. Cette distinction témoigne de l’architecture et de la conception incroyables de la salle ronde multifonctionnelle, un espace qui permet aux membres autochtones et non autochtones de notre collectivité à se réunir et à célébrer d’importants événements, tels que Maamwizing, le colloque autochtone biennal de l’Université Laurentienne, », a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, Pierre Zundel.

Le CAPA offre à la population étudiante des espaces d’apprentissage informels. Aux membres du personnel et aux aînés, il offre des espaces de travail et d’enseignement. La salle peut accueillir de grands groupes dans de nombreuses configurations, ce qui en fait l’emplacement idéal pour des activités d’enseignement, des réunions, des conférences et des célébrations.

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire couvert par le Traité Robinson-Huron de 1850, l’Université Laurentienne reconnait qu’elle se trouve sur les terres traditionnelles des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et de Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.
 

Maamwizing 2018 : le deuxième colloque autochtone de l’Université Laurentienne est axé sur la recherche autochtone et la priorisation de la voix autochtone

Maamwizing 2018 : le deuxième colloque autochtone de l’Université Laurentienne est axé sur la recherche autochtone et la priorisation de la voix autochtone

16 novembre 2018 – L’Université Laurentienne, son nouvel Institut de recherche autochtone Maamwizing et son partenaire fédéré, l’Université de Sudbury, sont heureux d’organiser le Colloque autochtone Maamwizing 2018 sous le thème « Faire des recherches autochtones dans une bonne approche ».

S’appuyant sur le succès de la conférence inaugurale Maamwizing en 2016, cette édition vise à favoriser le dialogue critique sur les recherches autochtones en explorant les relations qui existent entre les étudiants, chercheurs et collectivités. Les entretiens aborderont entre autres la priorisation de la voix autochtone et les rôles et responsabilités des chercheurs autochtones et allochtones.

« Compte tenu de l’importance accrue accordée aux cultures autochtones dans l’enseignement postsecondaire, des chercheurs non autochtones et autochtones travaillent de concert de diverses façons », a dit Mme Celeste Pedri-Spade, directrice de l’Institut de recherche autochtone Maamwizing de l’Université Laurentienne. « Ces relations changeantes affectent la façon dont la recherche autochtone est menée et cette conférence encouragera des modes d’échange qui favorisent la conduite de la recherche avec soin, dans le bon sens. »

« En intégrant la vision et des perspectives autochtones aux activités de recherche, nous pouvons les façonner d’une manière passionnante afin de contribuer à un milieu favorisant l’apprentissage et la découverte », a dit le recteur et vice-chancelier par intérim de l’Université Laurentienne, Pierre Zundel. « Nous continuerons de contribuer aux projets de recherche qui nous aident à mieux comprendre et intégrer les principes indigènes du savoir. »

Maamwizing 2018 aura lieu du 16 au 18 novembre au campus de l’Université Laurentienne à Sudbury, Ontario. Pour obtenir un complément d’information ou la liste complète des activités, veuillez consulter la page web de la conférence.

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire couvert par le Traité Robinson-Huron de 1850, l’Université Laurentienne reconnait qu’elle se trouve sur les terres traditionnelles des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et de Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.
 

Le programme de communication scientifique de la Laurentienne est honoré par l'Institut royal canadien des sciences

Le programme de communication scientifique de la Laurentienne est honoré par l'Institut royal canadien des sciences

Le programme, offert en partenariat avec Science Nord, est reconnu pour sa contribution à la compréhension de la science par le public

(2018-11-09) Le programme de communication scientifique de l'Université Laurentienne, en partenariat avec Science Nord, est le récipiendaire du prix William Edmond Logan 2018 de l'Institut royal canadien des sciences, qui reconnaît l'excellence dans la promotion des sciences par un organisme canadien. L'annonce a été faite ce matin à Ottawa dans le cadre de la 10e Conférence annuelle sur les politiques scientifiques canadiennes. 

Le programme de communication scientifique de la Laurentienne est unique au Canada. Il offre aux diplômés en sciences la formation nécessaire pour transformer l'information scientifique en connaissances accessibles et compréhensibles pour le public. De nombreux scientifiques reconnaissent la valeur de la vulgarisation, mais tous ne sont pas naturellement compétents en la matière. Ce programme favorise l'acquisition de ces compétences en offrant une expérience multidisciplinaire qui couvre la théorie sous-jacente à une bonne communication, ainsi que les défis pratiques d'une communication efficace de la science et des enjeux de la science dans la société.
 
Les diplômés du programme de communication scientifique de l'Université Laurentienne travaillent dans divers domaines partout au Canada et dans d'autres régions du monde, notamment à Science Nord, le partenaire du programme. Selon M. Reinhart Reithmeier, président de l'Institut royal canadien des sciences : « ces diplômés portent la communication scientifique dans ce pays à de nouveaux sommets, aidant les Canadiens de tous âges à reconnaître, comprendre et apprécier la science dans le monde qui les entoure. Nous croyons qu'il s'agit là d'un élément-clé pour favoriser une solide culture scientifique au Canada. »

« Les tendances de la recherche scientifique, de l'industrie et des politiques publiques ont fait naître un besoin de personnel qualifié dans ce domaine en pleine croissance », a déclaré Mme Chantal Barriault, Directrice du programme d'études supérieures en communication scientifique. « Les diplômés de l'Université Laurentienne sont des spécialistes de la communication des travaux des chercheurs et des scientifiques de premier plan, notamment auprès de divers publics, allant des jeunes enfants aux politiciens. Nous sommes très honorés de recevoir ce prix. »

« C'est une excellente nouvelle et une reconnaissance bien méritée pour une équipe très créative et dévouée. L’Université Laurentienne est fière d'être une pionnière dans ce domaine en pleine croissance. Je tiens aussi à souligner la contribution exceptionnelle de notre partenaire, Science Nord, dans la prestation du programme », a déclaré Pierre Zundel, recteur et vice-chancelier intérimaire de l'Université Laurentienne. 

« L'objectif principal de Science Nord est d'inspirer les gens de tous âges à s'intéresser à la science dans le monde qui les entoure. Nous communiquons la science de sorte que les gens peuvent la comprendre et l’apprécier. Lorsque le programme de communication scientifique a été lancé en partenariat avec l'Université Laurentienne, nous y avons vu un prolongement naturel de ce que nous faisons chaque jour dans nos centres des sciences. Ce prix célèbre un excellent partenariat entre deux institutions et renforce l'importance du programme de communication scientifique de même que la façon dont les diplômés de ce programme peuvent avoir un impact réel sur notre compréhension de la science aujourd'hui », a déclaré Guy Labine, chef de la direction de Science Nord.

Le programme offre aux étudiants des occasions d'apprentissage par l'expérience et l'application des principes de communication scientifique. Il propose une maîtrise (M.S.Com) ou un diplôme d'études supérieures en communication scientifique. 

De plus amples renseignements sur le programme et les conditions d'admission sont disponibles sur le site Web de l'Université Laurentienne. 

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire couvert par le Traité Robinson-Huron de 1850, l’Université Laurentienne reconnait qu’elle se trouve sur les terres traditionnelles des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et de Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux. 

 

À PROPOS DE SCIENCE NORD

Science Nord est l'attraction touristique la plus populaire du Nord de l'Ontario et une ressource éducative qui exploite les deuxième et huitième plus grands centres des sciences au Canada. Les attractions de Science Nord comprennent un centre des sciences, un théâtre IMAX®, un planétarium, une galerie de papillons, une salle d'expositions spéciales et Dynamic Earth : Home of the Big Nickel. Science Nord supervise également une unité des ventes internationales primée, qui met au point des expositions sur mesure et prêtes à l'emploi et des expériences multimédias à vendre aux centres scientifiques, musées et autres institutions culturelles du monde entier. Science Nord, en partenariat avec l'Université Laurentienne, offre le premier et le seul programme complet de communication scientifique en Amérique du Nord, un programme conjoint de maîtrise et de diplôme. Dans le cadre de son mandat, Science Nord offre des expériences scientifiques dans tout le Nord de l'Ontario, y compris des activités de sensibilisation dans les écoles et les festivals, des camps scientifiques d'été et plus encore, et a une base permanente à Thunder Bay qui assure la sensibilisation dans le Nord-Ouest. Science Nord est un organisme du gouvernement de l'Ontario. Pour de plus amples renseignements, visitez sciencenorth.ca. Pour de plus amples renseignements, visitez ScienceNorth.ca.

 

AU SUJET DE L'INSTITUT ROYAL CANADIEN DES SCIENCES

L'Institut royal canadien des sciences (RCIScience) est une plateforme d'engagement public avec d'éminents scientifiques, qui propose des causeries et des débats d'experts gratuits en direct ainsi qu'une vaste archive en ligne. Fondée en 1849, RCIS est l'une des plus anciennes sociétés de toutes sortes au Canada. Depuis 169 ans, nous nous efforçons d'atteindre l'objectif d'un public informé qui embrasse la science pour bâtir un Canada plus fort.
 

Des chercheuses de la Laurentienne soulignent la valeur de la participation des patients autochtones aux recherches

Des chercheuses de la Laurentienne soulignent la valeur de la participation des patients autochtones aux recherches

Un nouveau supplément de l’OSSU met en évidence les travaux de Mmes Jennifer Walker et Nancy Young

(2018-11-08) Des articles rédigés par deux chercheuses de l’Université Laurentienne sur la participation de patients autochtones aux recherches seront inclus dans le supplément de l’Ontario SPOR SUPPORT Unit (OSSU) qui sera publié dans le Canadian Medical Association Journal (CMAJ).

Les projets de la titulaire de la Chaire de recherche du Canada en santé autochtone, Mme Jennifer Walker, Ph. D., et de la titulaire de la Chaire de recherche en santé infantile dans les milieux ruraux et du nord, Mme Nancy Young, Ph. D., sont axés sur la recherche dans des collectivités des Premières Nations.

Dans son article « Describing the process of ethical conduct of research in an Ontario-wide First Nations diabetes research project », Mme Walker discute d’une étude menée à l’échelle provinciale pour subvenir aux besoins en information des leaders de Premières Nations, du gouvernement et des travailleurs communautaires. L’étude a été réalisée en partenariat avec les Chiefs of Ontario et l’article a été cosigné par Robyn Rowe, étudiante autochtone inscrite au Programme de doctorat interdisciplinaire en santé dans les milieux ruraux et du nord de l’Université Laurentienne. « Nos recherches dirigées par les Premières Nations, dit-elle, corrigent d’importantes lacunes dans les données requises pour améliorer la prise de décisions et la défense des droits. »

L’article de Mme Young, « Beyond the patient: lessons from community engagement in a rural First Nation », porte sur un projet de recherche en cours codirigé par la directrice des services de santé au Centre de santé Naandwechige-gaming Wikwemikong, Mme Mary Jo Wabano, voulant évaluer l’efficacité du dépistage, du triage et du traitement médical éventuel d’enfants de Wiikwemkoong. « Si tous les éléments du travail sont effectués dans le cadre d’une collaboration respectueuse, a affirmé Mme Young, la recherche a le potentiel d’améliorer la santé des enfants autochtones. »

Lancé hier, le supplément est un recueil d’articles relatant les expériences, les apprentissages et la valeur apportés par dix-sept projets de recherche expérimentaux appuyés par l’OSSU et servira de ressource aux chercheurs et aux autres personnes qui s’intéressent à cette approche progressive qui valorise les patients et les soignants à titre de partenaires dans les recherches sur la santé et les systèmes de santé.

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire couvert par le Traité Robinson-Huron de 1850, l’Université Laurentienne reconnait qu’elle se trouve sur les terres traditionnelles des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et de Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.

La Laurentienne en tête des universités de recherche de premier cycle au Canada

La Laurentienne en tête des universités de recherche de premier cycle au Canada

(2018-10-26) L’Université Laurentienne se classe au premier rang pour le revenu de recherche parmi les universités de premier cycle dans le classement des 50 meilleures universités de recherche au Canada, qui a été compilé par Research Infosource Inc.

Selon le classement, la Laurentienne a obtenu 32 millions en fonds de recherche pour l’exercice 2017. L’Université Laurentienne a également enregistré la plus grande croissance du revenu de recherche pour l’année parmi les établissements de sa catégorie. Ce revenu a fait un bond de 36,8 %, tandis que la croissance moyenne au pays était de 6,8 %.

Cette année, Research Infosource Inc. a mis l’accent sur les partenariats de recherche universitaire qui ont été évalués en fonction des subventions et des contributions reçues par des sociétés et des organismes sans but lucratif entre 2013 et 2017. La Laurentienne a enregistré la plus grande croissance dans cette catégorie parmi les universités de recherche de premier cycle.

L’Université se classe également au deuxième rang en matière d’intensité de la recherche par étudiant de cycles supérieurs.

En général, l’Université Laurentienne se classe au 28e rang parmi les 50 meilleures universités de recherche au Canada. Elle figurait en 30e place sur la liste de l’an dernier et au 33e rang en 2016.

« La Laurentienne continuera d’enrichir sa base de recherche, repoussant les frontières afin d’accroître les connaissances, a dit le vice-recteur à la recherche par intérim de la Laurentienne, M. Rizwan Haq. La croissance de notre revenu de recherche témoigne de l’expertise de nos chercheurs dans leurs domaines respectifs. »

« L’Université Laurentienne connaît un succès grandissant dans la recherche et l’innovation depuis plusieurs années, a affirmé le recteur et vice-chancelier par intérim, M. Pierre Zundel. Nous sommes ravis de célébrer cette réalisation encore une fois cette année et nous continuerons de nous démarquer ainsi. »

Consultez le classement complet des 50 meilleures universités de recherche au Canada de 2018.

 

AU SUJET DE L’UNIVERSITÉ LAURENTIENNE

Située sur le territoire du Traité Robinson-Huron de 1850, L’Université Laurentienne reconnait que nous sommes sur le territoire traditionnel des Premières Nations d’Atikameksheng Anishnawbek et Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche, d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux. 

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