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Des chercheurs de l’UL reçoivent 50 000 $ pour examiner la confiance à l’égard des vaccins dans le nord de l’Ontario

Des chercheurs de l’UL reçoivent 50 000 $ pour examiner la confiance à l’égard des vaccins dans le nord de l’Ontario

3 août, 2021 - Grâce à l’appui du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), les chercheurs et le personnel du Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) et du programme d’études supérieures en communication scientifique parcourront en septembre le nord de l’Ontario afin de renforcer la confiance des milieux de travail et des communautés à l’égard de l’utilisation de vaccins.

 

Même si beaucoup de personnes ont déjà reçu le vaccin contre la COVID-19, d’autres hésitent encore à le faire et ont des questions à ce sujet. « La confiance à l’égard des vaccins, a affirmé la directrice du programme d’études supérieures en communication scientifique, Mme Chantal Barriault, a de véritables répercussions sur la santé et la sécurité des milieux de travail et des communautés. »

 

Cette subvention de 50 000 $ permettra de développer des documents et ressources fondés sur des données probantes. De plus, une équipe sera en mesure de se rendre dans des communautés éloignées et du Nord afin d’ouvrir le dialogue avec les travailleurs et les résidents en matière d’atténuation de risques liés à la COVID-19 et de renforcer la confiance à l’égard de l’efficacité et de la sécurité du programme de vaccination contre la COVID-19 en Ontario.

 

« Le nord de l’Ontario a une culture distincte et les gens pourraient avoir des questions et préoccupations qui diffèrent de celles des personnes situées ailleurs en Ontario, a expliqué la directrice du CRSST, Mme Sandra Dorman. Le partage et l’échange avec les Nord-Ontariens de renseignements relatifs à la santé et à la sécurité font partie de la mission essentielle du CRSST. Nous nous réjouissons à la perspective de rétablir le contact avec les communautés et de mieux cerner leurs choix et leurs appréhensions. »

 

Des chercheurs, étudiants et membres du personnel du CRSST et du programme d’études supérieures en communication scientifique iront dans les milieux de travail et les communautés du nord de l’Ontario affichant un intérêt en utilisant le Laboratoire itinérant de recherche du CRSST, conçu sur mesure aux fins de recherche et de sensibilisation en matière de santé et de sécurité.

 

« Depuis plus de dix ans, le CRSST noue des liens avec les milieux de travail et communautés du nord de l’Ontario et les mobilise, a dit la vice-rectrice à la recherche, Mme Tammy Eger, Ph.D. De plus, le programme d’études supérieures en communication scientifique de l’Université Laurentienne est reconnu sur la scène mondiale pour la formation de communicateurs scientifiques professionnels et est très bien placé pour effectuer ce travail important. »

 

Si une visite de l’équipe de recherche au sein de votre milieu de travail vous intéresse, veuillez envoyer un message à croshtech@laurentian.ca.

La Laurentienne accueille les chercheurs qui reviennent sur le campus

La Laurentienne accueille les chercheurs qui reviennent sur le campus

Certaines installations de recherche rouvriront leurs portes dans le cadre d’un projet pilote

(8 juin 2020) L’Université Laurentienne a annoncé récemment son intention de mener un projet pilote permettant l’ouverture de certains laboratoires sur le campus à des chercheurs et étudiants des cycles supérieurs, nouvelle que beaucoup d’entre eux attendaient avec impatience. Dans le cadre du projet, les laboratoires du Centre pour la vitalité des lacs, de l’École des sciences de la Terre Harquail et du Centre d’analyse Perdue ouvriront leurs portes à quelque 120-130 étudiants des cycles supérieurs et boursiers postdoctoraux afin qu’ils reprennent leurs activités de recherche.

Le plan comprend des protocoles détaillés relatifs à la santé et à la sécurité afin d’assurer le bien-être de toutes les personnes. Par exemple, de nouvelles affiches exigeront la distanciation physique, la circulation de piétons se fera en sens unique et le nombre de personnes sera limité dans tous les endroits du campus. En outre, toutes les unités recevront, au fur et à mesure que le personnel revient au bureau, du désinfectant pour les mains produit par M. Eric Gauthier, Ph.D., de l’Université Laurentienne.

Le projet pilote sera mis à exécution immédiatement. L’Université met actuellement au point un procédé à suivre par les chercheurs qui n’y sont pas inclus afin qu’ils puissent demander l’accès au campus et (ou) la reprise des travaux sur le terrain.

CITATIONS
« Les activités de recherche sont au cœur de notre université et nous sommes maintenant en mesure de reprendre certaines d’entre elles de façon sécuritaire. Nous nous réjouissons de commencer à mettre en œuvre la première étape du plan de réouverture du campus. » M. Robert Haché, Ph.D., recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne

« Dans la mesure du possible, les professeurs et étudiants des cycles supérieurs ont continué leur recherche et leurs travaux d’érudition à distance. Cependant, nombreux sont ceux qui utilisent un matériel spécialisé, des bases de données et des archives auxquels ils ont uniquement accès sur le campus. Nous sommes ravis de cette annonce qui permettra à un nombre important d’étudiants à reprendre leur projet de recherche sur le campus et le terrain. Notre équipe continuera de collaborer étroitement avec le doyen de la Faculté des études supérieures tout au long de ce processus. » Mme Tammy Eger, Ph.D., vice-rectrice intérimaire à la recherche, Université Laurentienne.

L’Université Laurentienne annonce ses plans pour l’automne

L’Université Laurentienne annonce ses plans pour l’automne

Cet automne, l’Université offrira surtout des cours à distance avec un certain nombre de cours en personne.

28 mai 2020 - Pour continuer à faire valoir le leadership qu’elle a manifesté tout au long de la pandémie de la COVID-19, l’Université Laurentienne a décidé d’offrir, à compter de septembre, la plupart de ses cours selon des formats à distance tout en donnant en toute sécurité autant de
cours que possible en personne.

Le 27 mai, l’Université et l’Association des professeurs de l’Université Laurentienne (APUL) ont conclu un protocole d’entente définissant les modalités et les conditions d’emploi pour le corps professoral. Maintenant que l’entente est signée, l’Université convoquera une assemblée extraordinaire du Sénat le lundi 1 er  juin afin d’approuver le plan établi pour le trimestre d’automne et les cours complets qui commenceront en septembre 2020.

Les doyens consulteront les unités d’enseignement et procéderont ensuite à l’évaluation des programmes d’études et des cours. Ils considéreront l’effectif étudiant, les salles de classe et laboratoires et les exigences de cours en décidant si la prestation se fera à distance ou en personne. La liste des cours donnés en personne sera dressée d’ici la fin de juin. Les doyens et les unités établiront ensuite des plans pour tenir compte de l’équipement de protection
individuelle, de la distanciation physique et du respect des protocoles de santé publique pour le corps professoral, le personnel et la population étudiante.

D’autres cours seront donnés à distance en misant sur la technologie et un logiciel de gestion d’apprentissage en ligne. Les membres de la population étudiante, à Sudbury et ailleurs dans le monde, auront l’option de suivre des cours à distance ou, s’il préfère un mode asynchrone, de choisir parmi tout un éventail de cours en ligne créés au fil des ans.

CITATIONS
« Ce qui importe le plus pour nous est la sécurité de notre communauté. Nous serons donc en mesure d’offrir de façon sécuritaire certains cours en personne, en assurant une expérience exceptionnelle et hautement personnalisée en salle de classe. Nous avons hâte d’accueillir en septembre des étudiants à des cours sur le campus. Il va sans dire que l’ambiance sera différente, mais nous nous engageons à trouver le meilleur moyen possible d’assurer l’enseignement tout en optimisant l’apprentissage, car nos étudiants ne méritent rien de moins. » M. Robert Haché, Ph.D., recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne

« Nous tenons à remercier notre partenaire syndical, l’APUL, du dévouement qu’il manifeste à l’endroit de nos étudiants et de sa collaboration pour conclure ce protocole d’entente. Nous devions franchir cette première étape afin de pouvoir concrétiser notre plan de reprise de l’enseignement sur le campus et nous nous réjouissons à la perspective de mettre en oeuvre les prochaines étapes de ce plan en ce qui concerne le trimestre d’hiver. » M. Serge Demers, Ph.D.,
vice-recteur intérimaire aux études

Défis de l’Université Laurentienne liés à la COVID-19

Défis de l’Université Laurentienne liés à la COVID-19

Sudbury ON, 29 avril 2020. L’Université Laurentienne a annoncé aujourd’hui qu’elle est confrontée à d’importants défis financiers découlant de la COVID-19. Quoique ses retombées sur le secteur universitaire ne soient pas encore toutes connues et comprises, la COVID-19 et d’autres pressions financières préexistantes obligent l’Université à modifier son plan de viabilité et en accélérer la mise en œuvre afin de régler un manque à gagner d’environ 15 000 000 $ pour l’exercice 2020-2021.

 

« Ces dernières années, nous nous sommes regroupés en tant que communauté et avons mobilisé l’ingéniosité de notre main-d’œuvre pour trouver des solutions viables, a indiqué le recteur et vice-chancelier, M. Robert Haché. Nous continuerons de prouver que nous pouvons faire cela en travaillant together, ensemble, maamwi. »

 

« La pandémie a créé une crise supplémentaire urgente pour la Laurentienne, a dit la vice-rectrice à l’administration, Mme Lorella Hayes. Notre université a connu des difficultés financières ces dernières années, mais nous avons mis en œuvre notre plan de viabilité et constatons d’importants résultats positifs. »

 

Le tableau financier de l’Université a fait l’objet de beaucoup de discussions au Conseil des gouverneurs de l’UL et au sein de communauté alors que l’UL travaille pour assurer un avenir durable pendant une période difficile. Avant la COVID-19, l’Université devait afficher un petit déficit de moins de 1 000 000 $ pour l’exercice en cours qui se termine le 30 avril 2020. La pandémie pourrait le faire grimper à quelque 6 000 000 $.

 

De plus, avant la COVID-19, l’Université essayait de combler un manque à gagner de 9 000 000 $ pour l’exercice 2020-2021, découlant principalement de la réduction permanente et du gel des droits de scolarité des étudiants canadiens et des réductions des subventions provinciales. Elle appliquait une approche équilibrée de réduction continue des coûts et de croissance des inscriptions. Elle modifie maintenant ses prévisions financières et planifie des réductions supplémentaires des coûts afin d’avoir un budget équilibré en 2020-2021.

 

« Si nous n’agissons pas, a indiqué M. Haché, la combinaison de la baisse potentielle des inscriptions, de nos défis financiers préexistants et des nouvelles retombées de la COVID-19 pourrait nous faire basculer au point de menacer la viabilité financière de l’Université. »

 

La Laurentienne fera tout en son pouvoir pour ne pas en arriver là. Elle explore activement des possibilités de réduire les risques financiers et d’appuyer la population étudiante actuelle et les nouveaux étudiants. L’Université tiendra aujourd’hui une réunion publique pour fournir des renseignements sur ses difficultés financières aux membres de sa communauté et leur demander de fournir de nouvelles idées audacieuses. Elle a aussi pris des mesures immédiates, notamment :

 

  • suspension des nouvelles embauches;
  • report du remplacement ou élimination de nombreux postes vacants;
  • réduction des contrats de travail occasionnel, à temps partiel et de durée déterminée;
  • suspension de toutes les dépenses de fonctionnement non essentielles.

 

« Ces décisions difficiles ne reposaient pas sur le rendement, mais plutôt sur nos défis financiers, a souligné Mme Hayes. Nous remercions nos collègues et notre main-d’œuvre de leurs immenses contributions à l’Université. Tous ces employés ont accompli un travail important et précieux; nous espérons pouvoir leur offrir de nouveau du travail à l’avenir. »

 

La Laurentienne accélérera la mise en œuvre du plan actuel de viabilité. Elle envisage également d’autres mesures et initiatives de viabilité.

 

« Nous voulons que notre population étudiante et nos étudiants potentiels sachent que leur réussite scolaire et leur expérience étudiante seront pleinement maintenues alors que nous remanions nos processus opérationnels, a indiqué M. Haché. Comme nous l’avons montré dans la réponse à la COVID-19, nous continuerons de donner la priorité à la population étudiante dans tout ce que nous faisons. »

 

« Nous visons des buts et des objectifs qui gardent la Laurentienne sur la voie pour réaliser son plein potentiel en tant que l’une des universités canadiennes hors pair, englobantes et axées sur la recherche, a souligné M. Haché. Nous atteindrons nos buts et objectifs renouvelés en tant que fier établissement bilingue et triculturel, offrant de solides programmes en français et en anglais et en tant que leader du succès de notre population étudiante autochtone. »

 

Inspirée par ses chercheurs, son corps professoral et son personnel dont les efforts concertés pour lutter contre la COVID-19 prouvent le pouvoir des solutions collaboratives dans les temps difficiles, l’Université Laurentienne consulte largement sa communauté et ses partenaires syndicaux pour solliciter leurs nouvelles idées audacieuses en vue de s’attaquer au déficit et d’assurer l’excellence universitaire.

 

L’Université Laurentienne est un chef de file des universités dans la réponse à l’éclosion de la COVID-19. Elle a été la première au Canada à reconnaitre la gravité de l’éclosion et à suspendre les activités en personne. Elle a aussi été la première à faire la transition complète vers l’apprentissage à distance. La grande majorité de sa population étudiante est sur la bonne voie pour terminer le trimestre dans les temps et elle est déterminée à continuer d’offrir ses programmes aux trimestres du printemps et de l’automne.

 

« Notre but est de continuer de fournir à notre population étudiante une expérience universitaire exceptionnelle et de faire en sorte que la Laurentienne demeure l’université par excellence du nord de l’Ontario, a conclu M. Haché. Nous demeurons déterminés à fournir un enseignement qui prépare la population étudiante pour le marché du travail et à apporter une contribution au Grand Sudbury et à la compétitivité économique de l’ensemble du Nord. »

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne est située sur le territoire couvert par le Traité Robinson-Huron de 1850 et reconnait qu’elle se trouve sur les terres traditionnelles des Atikameksheng Anishnawbek et à proximité de la Première Nation de Wahnapitae. La Laurentienne se fait un devoir de renforcer les fondements du savoir dans l’enseignement supérieur et la recherche et d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français assortie d’une approche englobante de l’éducation autochtone. Avec ses partenaires fédérés, elle prépare des leaders qui apportent des solutions innovatrices et intelligentes à des problèmes locaux et mondiaux.

L’Université Laurentienne donne des milliers de masques de haute qualité aux travailleurs de la santé de première ligne à Sudbury

L’Université Laurentienne donne des milliers de masques de haute qualité aux travailleurs de la santé de première ligne à Sudbury

Ce don à HSN est attribuable à un partenariat continu avec la Jianxi University of Science and Technology

L’Université Laurentienne continue de faire preuve d’engagement envers la sécurité des travailleurs essentiels pendant la pandémie de la COVID-19. Cette semaine, elle a fait un don de 8 000 masques à ses collègues d’Horizon Santé-Nord.

Ces masques chirurgicaux aident à atténuer les risques d’exposition aux matières aériennes nuisibles en éliminant par filtrage 95 % des particules possiblement nocives. Santé Canada recommande ce masque pour tous les travailleurs de la santé qui sont en étroit contact avec des patients pouvant être atteints de maladies transmises par des gouttelettes aéroportées.

Ce don aurait été impossible sans l’aide opportune de nos partenaires à la Jiangxi University of Science and Technology (JXUST). Nous les remercions de leurs efforts et nous réjouissons à la perspective d’une collaboration positive suivie avec eux.

CITATION
« Le don de ces masques témoigne de la mobilisation de nos partenaires pour assurer la réussite de notre programme commun. La collaboration entre la Jiangxi University of Science and Technology et l’Université Laurentienne est un exemple à suivre par tous les partenaires du monde universitaire sur la scène internationale, car elle repose sur le respect réciproque et l’objectif commun d’améliorer chaque communauté. Le partenariat n’aurait pas évolué sans l’aide de M. Dongyu Tom Lin, de SLARK, qui a appuyé le don de masques conjointement avec nos collègues à la JXUST. Nous le remercions ainsi que le recteur Yang Bin. Nous sommes plus forts ensemble. » Justin Lemieux, directeur du recrutement de la population étudiante à l’Université Laurentienne.
 

La Laurentienne met à profit des technologies de pointe dans la lutte contre la COVID-19

La Laurentienne met à profit des technologies de pointe dans la lutte contre la COVID-19

La Laurentienne et des partenaires utilisent des imprimantes tridimensionnelles pour créer de l’équipement essentiel de protection

La communauté de l’Université Laurentienne continue de faire son possible et de mobiliser des efforts pour lutter contre la propagation du coronavirus. Notre projet le plus récent vise à aider à protéger les travailleurs de santé de première ligne pendant la pandémie.

En utilisant les imprimantes tridimensionnelles de l’Espace-création (Makerspace) de l’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff-Fielding, nous avons créé un serre-tête pour la tenue d’écran facial en nous fondant sur une conception libre du cabinet suédois 3D Verkstan. Le serre-tête est simple, polyvalent et facile à fabriquer et permet l’apposition de matériaux, comme le plastique transparent, que les travailleurs de la santé portent comme écran facial pour se protéger de matières dangereuses, dont le virus.

Le projet découle d’une bonne volonté d’aider. La gestionnaire de l’innovation et de la commercialisation à la Laurentienne, Mme Gisele Roberts, a appelé récemment Horizon Santé-Nord pour déterminer l’aide que la Laurentienne pouvait apporter. En tenant compte de tous les outils à notre disposition, nous avons décidé de fabriquer les serre-tête.

Pour concrétiser ce projet, l’équipe dévouée de chercheurs et d’innovateurs de la Laurentienne collabore avec des collègues d’établissements partenaires. La conception a été proposée par l’École de médecine du Nord de l’Ontario tandis que le Collège Cambrian, le Collège Boréal, Science Nord, les écoles secondaires Lively District et Lo-Ellen Park et le partenaire industriel Ionic Mechatronics ont été appelés à produire des matériaux. Les 300 premiers serre-tête ont déjà été livrés à Horizon Santé-Nord et des centaines d’autres suivront.