Vous êtes maintenant dans la zone de contenu principale

UN VOTE FAVORABLE VEUT DIRE LA REPRISE DU CONTRÔLE

UN VOTE FAVORABLE VEUT DIRE LA REPRISE DU CONTRÔLE

C’est l’occasion de rebâtir la Laurentienne et d’en faire un établissement plus robuste

Tribune libre : Jeff Bangs

(17 août 2022) - Nous y sommes, on arrive à la fin… 

Il s’est déjà écoulé plus de dix-huit mois depuis que l’Université Laurentienne a engagé la procédure prévue par la LACC ouvrant ainsi la voie à un processus long, difficile, souvent conflictuel, qui a contraint notre établissement — et la communauté dans son ensemble — à faire un retour sur ses déficiences passées et à mieux comprendre comment assurer l’avenir de l’Université.
Parfois, je me suis demandé si nous n’avions pas atteint un point de non-retour. Ce n’est pas le cas. 

Lorsque je suis devenu membre du Conseil des gouverneurs, d’abord à titre intérimaire avant d’accepter officiellement le mandat de président au début de l’année, j’étais déterminé à faire en sorte que cette université ne tombe pas dans l’oubli. La raison est simple : la Laurentienne revêt une importance capitale pour Sudbury et l’Ontario, notamment au regard des populations autochtones et francophones qui comptent sur elle pour bénéficier des possibilités de formation locale et adaptées à leur milieu culturel. Elle compte également beaucoup pour les professeurs qui ont consacré leur carrière à la création et au maintien des programmes très appréciés par les étudiants de la région et du monde entier pour se préparer à des emplois d’aujourd’hui et de demain. Son importance est tout aussi immense pour les étudiants qui l’ont toujours privilégiée, un milieu du Nord où il fait bon de poursuivre des études postsecondaires de qualité élevée.      

Nous savons que l’avenir de la Laurentienne doit se faire par le rétablissement de relations fondées sur la confiance, la transparence et le respect mutuel. Nous sommes sur le point de tourner la page — si le Plan d’arrangements est approuvé prochainement à l’issue du vote des créanciers —, clôturant ainsi le chapitre le plus sombre de l’histoire de la Laurentienne, et de passer rapidement à la phase de reconstruction.

Pour y réussir, nous devons instituer des pratiques de gouvernance transparentes et un rôle participatif pour tous nos partenaires. Il y a autant de place pour collaborer avec les représentants syndicaux que pour travailler avec les retraités et les leaders de la communauté, dont la sagesse, l’expérience vécue et le dévouement envers la Laurentienne devraient être accueillis à bras ouverts. Un vote favorable au Plan d’arrangements est le moyen le plus sûr de conclure le processus voulu par la LACC et permettra à l’Université d’en sortir plus forte de son engagement à communiquer ouvertement avec toutes les parties prenantes.

Dernièrement, nous avons annoncé le recrutement de douze (12) professeurs à des postes à durée déterminée, et voulons investir davantage pour étoffer notre effectif professoral. À la suite d’un vote positif, nous trouverons les moyens de travailler ensemble pour augmenter les effectifs inscrits, ce qui nous permettra d’embaucher un complément de professeurs et de personnel. Nous accélérerons aussi le processus consistant à recruter un recteur ou une rectrice et un vice-recteur ou une vice-rectrice aux études et ferons participer toutes les parties prenantes à l’élaboration d’un nouveau Plan stratégique, réaliste et réalisable.

Ensemble, nous mènerons à bien, tant sur le plan du fonctionnement que sur celui de la gouvernance, la réforme nécessaire pour que la Laurentienne puisse se reconstruire et faire en sorte que les groupes de travail, les comités, le Sénat et le Conseil des gouverneurs œuvrent dans un esprit de collégialité et qu’ils se voient offrir la possibilité de contribuer valablement à ces instances de concertation qui nous aideront à façonner l’avenir de la Laurentienne. 

Pour les personnes appelées à voter, il est entendu que les temps présents sont stressants et que les tensions sont, à juste titre, très vives. Cependant, la désinformation qui prévaut actuellement au sein de la communauté, en exploitant les espoirs et les craintes de chacun, à l’exemple du mot d’ordre, « Votez non pour améliorer la donne », fait croire à tort que le rejet du Plan d’arrangements est un pari sans risque. Ce n’est pas le cas. Si le vote de rejet l’emporte, le dénouement le plus probable sera celui où les immenses efforts engagés pour sauver la Laurentienne cèderont la place à sa liquidation. Cela signifie la cessation des activités et, sous ce scénario, personne ne gagne : les emplois seront supprimés, les régimes de retraite dissous et les étudiants dispersés dans d’autres établissements d’enseignement postsecondaire.

Aux personnes qui croient pouvoir tenir bon et attendre une meilleure offre, la Laurentienne n’en a aucune à proposer. La vie suivra son cours et ce grand établissement sera relégué aux oubliettes de l’histoire. Sommes-nous vraiment prêts à voir disparaître la Laurentienne, sous nos yeux, alors que nous sommes si près de la sauver?

Dans sa nouvelle composition, le Conseil des gouverneurs est appelé à se montrer objectif dans son analyse de ce qu’il faudra faire pour sauver cette université. Travaillant sans répit, les membres bénévoles d’horizons et d’expérience de vie très divers en sont venus à proposer le meilleur plan possible et l’ont fait parce que les enjeux tiennent à la survie de la Laurentienne.

Pour les personnes qui doivent se prononcer, je reconnais que vous n’avez pas demandé à vous retrouver face à cette proposition. Toutefois, aussi modeste que vous puissiez juger votre participation à cette décision importante, je tiens à vous assurer que votre voix compte. Méfiez-vous donc des personnes qui voudraient vous faire croire le contraire. Nous vous prions de réfléchir longuement et avec soin aux conséquences d’un vote défavorable, car il pourrait déclencher une chaîne d’événements dont la Laurentienne ne se remettra pas.

En votant « oui », même à contrecœur, vous nous donnez le moyen de reprendre les rênes. En votant ainsi, vous nous donnez la chance de faire que la Laurentienne bénéficie d’un avenir plus prospère, plus solidaire et plus stable sur le plan financier.

-

Jeff Bangs, Président du Conseil des gouverneurs de l'Université Laurentienne

Des étudiantes de l’Université Laurentienne appuient à titre bénévole les jeunes de l’Association de ringuette de Sudbury

Des étudiantes de l’Université Laurentienne appuient à titre bénévole les jeunes de l’Association de ringuette de Sudbury

Des athlètes de ringuette de l’UL encadrent de jeunes joueuses

(17 novembre 2021) - Appuyées de leurs coéquipières, les athlètes de ringuette et étudiantes de l’Université Laurentienne, Jenna Gilchrist (Sudbury, Ontario) et Katie Vandeloo (Richmond Hill, Ontario) ont dirigé un camp d’entraînement à l’intention des jeunes joueuses de l’Association de ringuette de Sudbury. Mme Gilchrist a organisé l’activité pour les jeunes de 10 à 16 ans. « Nous voulions contribuer à notre communauté et aider les jeunes à se remettre dans le jeu, a-t-elle dit. Puisque ces jeunes n’avaient pas l’occasion de jouer pendant la pandémie, nous avons présenté un camp d’entraînement pour les aider à retrouver le rythme. Nous tenions à leur offrir une expérience agréable leur rappelant les raisons d’aimer le sport et de le jouer. »

Nouvelle diplômée en biochimie de la Laurentienne, Mme Gilchrist continue son cheminement universitaire dans la première année du programme de maîtrise en biologie, tandis que Mme Vandeloo est étudiante de troisième année en administration des sports à l’UL.

Le camp a été apprécié de toutes les personnes qui y ont participé, selon le trésorier de l’Association de ringuette de Sudbury, Troy McLaughlin. « Ces étudiantes ont été très généreuses en donnant de leur temps, a-t-il expliqué, et les jeunes étaient très enthousiasmés à la perspective d’en apprendre de ces joueuses chevronnées de ringuette. » Mme Vandeloo a trouvé cela gratifiant de faire du bénévolat pour cette initiative. « J’espère que le camp se poursuivra dans les années à venir, a-t-elle affirmé. Je ne voulais rien manquer. »

Le Club de ringuette de la Laurentienne a pris de l’ampleur au cours des dernières années et l’équipe fait preuve d’un engagement impressionnant envers le sport. À l’épreuve de la Coupe du défi universitaire 2019-2020, tournoi national à l’intention des équipes universitaires de ringuette au Canada, le Club de la Laurentienne a gagné le bronze dans sa division. Pendant la saison précédente, l’équipe a obtenu le Prix du meilleur esprit sportif lors du championnat provincial.

Mmes Gilchrist et Vandeloo sont pleines d’espoir pour l’avenir de la ringuette à la Laurentienne et enthousiastes en caractérisant l’engagement de leur équipe. « Il est merveilleux de constater le dévouement de l’équipe cette année, a dit Mme Vandeloo. Tout le monde se présente – c’est vraiment formidable. »

La prochaine série de matchs à domicile du Club de ringuette de la Laurentienne aura lieu le samedi 27 novembre, à l’arène Countryside de Sudbury, où l’équipe affrontera l’Université Nipissing à 10 h 15, les Tornadoes de Timmins à 16 h 15, et les Ice Hawks de Sault Ste. Marie à 21 h 15. Soyez au rendez-vous.
 

 

La rameuse des Voyageurs de la Laurentienne, Abbey Maillet, remporte des succès au championnat provincial

La rameuse des Voyageurs de la Laurentienne, Abbey Maillet, remporte des succès au championnat provincial

Une étudiante du programme d’éducation physique et de santé célèbre sa médaille d’or des SUO

(5 novembre 2021) - Abbey Maillet, membre des Voyageurs de la Laurentienne, a remporté la médaille d’or au Championnat d’aviron des SUO qui a eu lieu à Welland (Ontario) le samedi 30 octobre. Étudiante en troisième année en éducation physique et santé, Abbey a remporté l’épreuve féminine de skiff, dans la catégorie poids léger, avec un temps de 8 min. 49 sec. 30,5, soit une avance de cinq secondes sur sa plus proche concurrente. « Le moins que je puisse dire est que mon expérience au Championnat des SUO a été magnifique. J’ai atteint mon but sur lequel je travaille depuis longtemps qui est de représenter la Laurentienne et de remporter l’or. J’ai bien aimé l’environnement de compétition. »

Abbey Maillet (originaire de Dundas, en Ontario) a commencé à faire de l’aviron au Leander Boat Club de Hamilton un peu avant d’entrer à l’école secondaire. « J’ai été très active toute ma vie, explique-t-elle, et j’ai participé à de nombreux sports où j’ai représenté ma communauté. » Elle s’est rapidement fait remarquer pour son esprit compétitif, qui n’a d’égal que sa passion pour l’aviron. « Je suis tombée amoureuse avec ce sport tout de suite. »

D’autres exploits sportifs ont précédé son succès au Championnat des SUO. Lors de la première régate de la saison à Guelph, elle a remporté deux médailles d’or, une dans le skiff, catégorie poids léger, et l’autre dans le skiff ouvert. « Ce sont certainement les connaissances et l’expérience de mon entraîneuse, la professeure Amanda Schweinbenz, qui m’ont aidée à réussir. Ce que j’aime le plus en tant qu’athlète de sports interuniversitaires est de pouvoir représenter mon école avec fierté et respect. J’ai de nombreux souvenirs en tant qu’athlète à la Laurentienne et j’aime bien la beauté de Sudbury et du lac Ramsey. »

Selon Mme Schweinbenz, Abbey Maillet est une athlète excellente et dévouée. « Abbey est une magnifique jeune femme ayant une éthique de travail fantastique. Tout au long de la pandémie, elle a travaillé sans relâche pour améliorer sa forme physique, sa technique et son approche tactique de la course. »

Après avoir gagné la médaille d’or au Championnat d’aviron des SUO à Welland, le 30 octobre, l’étudiante de troisième année en éducation physique, Abbey Maillet, a remporté le bronze de skiff poids léger féminin au Championnat national d'aviron à l’Université Brock les 6 et 7 novembre.

« Avoir la possibilité de compétitionner et de remporter une médaille aux Championnats canadiens universitaires d’aviron (CCUA) a été fantastique. J’ai vraiment aimé l’atmosphère compétitive et affronté des femmes fortes et redoutables dans ma course. Je suis extrêmement fière d’avoir représenté l’Université Laurentienne au CCUA. »

Son entraîneuse a parlé avec autant d’enthousiasme du succès sportif récent d’Abbey Maillet. « Abbey a fait une magnifique course dimanche dans un groupe extrêmement compétitif. Elle a fait beaucoup de progrès depuis sa première année ici à la Laurentienne et je me réjouis de la voir s’améliorer au cours des deux prochaines années. »

Université Laurentienne accueillera des étudiants réfugiés syriens

Université Laurentienne accueillera des étudiants réfugiés syriens

Une initiative dirigée par des étudiants amènera deux réfugiés à Sudbury en 2016

November 13, 2015  - Two young Syrian refugees will be sponsored to study at Laurentian University next year as part of an initiative led by students under the World University Service of Canada aegis (EUMC).

 

Under the Student Refugee Program, WUSC Local Committee at Laurentian University has sponsored more than twenty refugees since the launch of the initiative in 1978. Some stayed to do graduate studies. Due to the worsening war in Syria and the international refugee crisis, EUMC expanded the scope of its Student Refugee Program and now works in refugee camps in Jordan and Lebanon, in cooperation with the High UN High Commissioner for refugees (UNHCR) to interview candidates and document their sponsorship.

 

"We are pleased to increase our efforts to sponsor two Syrian refugees who will study at Laurentian, said Semeniuk-Willow Mullin, a member of WUSC-Laurentian committee. Like many others in Canada and around the world, we want to help by giving young Syrians the chance to have a secure future. "

 

Laurentian University supports the EUMC and the Student Refugee Program by offering tuition, housing and meals for the first year of study. The student population Laurentian also make a financial contribution from a charge levied on contributions to student associations. After the first year, sponsored students can apply for financial assistance Assistance Program to the Ontario Student Assistance Program (OSAP). The WUSC committee at Laurentian intends to conduct fundraising activities on the campus and in the Greater Sudbury community to help defray the high costs of establishment of the students sponsored by the program WUSC.

Information on how groups and individuals can contribute to the local campaign EUMC will be announced in the coming weeks.

 

"It's a great program and a great initiative to bring Canadian students living in refugee camps to a PSE, said Professor Jorge Virchez the Department of Geography and faculty representative to the committee EUMC at Laurentian. Our students have shown a great commitment to the global response through WUSC and are proud of their decision to redouble efforts in the coming year. "

L'Université célèbre le Prix Nobel de Physique

L'Université célèbre le Prix Nobel de Physique

Les collègues du Pr Arthur McDonald portent un toast pour « le prix scientifique ultime »

9 octobre 2015 – Les collègues et associés du professeur Arthur McDonald, Ph.D., à l’Université Laurentienne et au centre de recherche SNOLAB applaudissent la nouvelle de l’attribution du Prix Nobel de physique de 2015 à celui-ci. M. McDonald, professeur émérite à l’Université Queen’s, à Kingston (Ontario), a été nommé avec un autre lauréat, M. Takaaki Kajita de l’Université de Tokyo, à Kashiwa, au Japon. M. McDonald a été honoré pour son travail à l’Observatoire de neutrinos de Sudbury, une collaboration entre l’Université Laurentienne et cinq autres universités canadiennes.

 

L’Académie royale suédoise des sciences a dit que le prix a été décerné aux professeurs McDonald et Kajita pour leurs contributions clés aux essais qui ont montré que les neutrinos changent d’identité. Cette métamorphose sous-entend obligatoirement que les neutrinos ont une masse. La découverte a changé notre compréhension du fonctionnement le plus intérieur de la matière et peut se révéler cruciale pour notre perspective de l’univers (communiqué intégral : http://www.nobelprize.org/nobel_prizes/physics/laureates/2015/press.html).

 

L’annonce du Prix Nobel s’est répandue dans la communauté de la Laurentienne « à la vitesse d’un neutrino » a dit M. Doug Hallman, professeur émérite de physique à l’Université Laurentienne et l’un des premiers collaborateurs de M. McDonald dans le SNOLAB. « C’est une magnifique nouvelle pour nous tous qui travaillons sur les neutrinos, a-t-il ajouté. C’est le prix scientifique ultime et nous sommes ravis de voir le travail récompensé à ce niveau. »

 

L’Université Laurentienne est membre fondatrice de l’Observatoire de neutrinos de Sudbury. Sur une période de vingt ans, le groupe de l’ONS a apporté une contribution majeure à la conception, à la construction et à l’exploitation du laboratoire de l’ONS, une installation unique à deux kilomètres sous terre dans la mine Creighton de Vale à Sudbury. Le laboratoire souterrain permet aux chercheurs de mener des expériences et de prendre des mesures hautement précises dans un environnement où les radiations de fond sont minimes et influencent très peu les mesures. Plus de 150 chercheurs d’universités et d’établissements de recherche du Canada, des États-Unis et d’Europe ont participé au projet.

 

Le laboratoire de l’ONS a arrêté de relever des données en 2006, mais les analyses et les publications des résultats continuent. Le détecteur de l’ONS est aux derniers stades de la conversion pour effectuer une nouvelle expérience ONS+ qui mesurera les neutrinos peu énergétiques provenant du Soleil et de la Terre et chercher un processus rare de dégradation nucléaire afin d’obtenir d’autres renseignements sur la nature des neutrinos.

 

L’essai réussi de l’ONS a conduit à la construction d’une plus grande installation souterraine de recherche, le SNOLAB, à côté du laboratoire de l’ONS, pour mener une autre série d’expériences. Dans cette salle blanche souterraine (la plus profonde du monde), l’environnement affiche les plus faibles radiations de fond, ce qui permet aux chercheurs de prendre des mesures hautement précises avec un minimum d’interférence.

 

« Nous sommes ravis que ce prix ait été décerné à M. McDonald et le félicitons ainsi que tous nos professeurs et chercheurs qui apportent des contributions dans ce domaine passionnant depuis des années, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Nous souhaitons la bienvenue aux nouveaux groupes de scientifiques qui travailleront dans l’installation et nous nous réjouissons des collaborations et initiatives de recherche supplémentaires qui auront lieu dans le SNOLAB quand se tiendra la prochaine génération d’expériences souterraines. »

 

L’Université Laurentienne collabore actuellement avec le SNOLAB pour organiser une visite des installations par les médias nationaux.

La Laurentienne nomme la titulaire de la nouvelle chaire de recherche en santé et sécurité au travail

La Laurentienne nomme la titulaire de la nouvelle chaire de recherche en santé et sécurité au travail

L’Université Laurentienne a annoncé aujourd’hui la nomination de Mme Tammy Eger, à compter du 1er janvier 2015, à titre de titulaire de la Chaire de recherche en santé et sécurité au travail.

20 novembre 2014 – L’Université Laurentienne a annoncé aujourd’hui la nomination de Mme Tammy Eger, à compter du 1er janvier 2015, à titre de titulaire de la Chaire de recherche en santé et sécurité au travail. Mme Eger est professeure agrégée à l’École des sciences de l’activité physique à l’Université Laurentienne et la directrice actuelle du Centre de recherche en santé et sécurité au travail (CRSST).

 

Comme titulaire de la Chaire de recherche, Mme Eger sera responsable de la croissance et du développement des recherches au CRSST et travaillera de près avec d’autres membres de l’équipe du Centre afin de consolider des partenariats nationaux et mondiaux pour la recherche, la formation et les meilleures pratiques en matière de santé et sécurité au travail.

 

« Mme Eger fait un travail exceptionnel, a dit la vice-rectrice intérimaire à la recherche, Mme Anne-Marie Mawhiney, pour obtenir des fonds et attirer l’attention sur ce domaine important de recherche qui a une incidence sur un si grand nombre de travailleurs dans notre région et ailleurs. »

 

À titre de chercheuse principale et de co-chercheuse, Mme Eger a reçu au-delà de 2 800 000 $ en fonds de recherche du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie, de la Fondation canadienne pour l’innovation, de la Commission de la sécurité professionnelle et de l’assurance contre les accidents du travail et du ministère du Travail de l’Ontario. En outre, à titre de directrice du Centre de recherche en santé et sécurité au travail, elle a obtenu 1 900 000 $ de plus. Elle est membre invitée du comité de normes ISO traitant de l’exposition humaine aux vibrations et du sous-comité pour la révision des lois minières touchant la détection de proximité ainsi que membre-ressource auprès du comité sur les dangers et du comité de gestion du changement pour l’Examen de la santé et la sécurité dans les mines et de la prévention.

 

« Les antécédents industriels à Sudbury et en Ontario font en sorte que ce domaine de recherche est prioritaire, a ajouté le président du Syndicat des métallos et du conseil consultatif du CRSST, M. Léo Gérard. La nomination de Mme Eger assurera le leadership qu’il faut pour bâtir sur les succès et élargir l’influence du CRSST afin de subvenir aux besoins communautaires, dégager les préoccupations liées à la santé et à la sécurité et éliminer les dangers et les maladies professionnelles des milieux de travail du Nord. »

 

Depuis plus d’une décennie, l’Université Laurentienne fait croître son expertise en santé et sécurité au travail, d’abord dans le domaine minier puis dans d’autres secteurs de travail. Approuvé officiellement par le Sénat de l’UL en 2008, le CRSST est un groupe pluridisciplinaire de chercheurs qui sont dirigés par un conseil consultatif formé de représentants de la main-d’œuvre, des secteurs industriels et des organismes régionaux de santé et de sécurité. Les chercheurs du CRSST participent à des études innovatrices visant à trouver des solutions afin d’éviter les maladies et les blessures professionnelles préoccupantes dans les milieux de travail nord-ontariens.

 

« Mme Eger apporte à cette chaire de recherche une expertise vaste et profonde, un engagement et de l’enthousiasme, a indiqué la directrice des services de production pour les opérations ontariennes de Vale et membre du conseil consultatif du CRSST, Mme Jody Kuzenko, et nous applaudissons sa nomination. Sous sa direction, le CRSST est bien placé pour concrétiser sa vision de rassembler l’industrie, la main-d’œuvre, le gouvernement et d’autres partenaires clés pour trouver des solutions appuyant l’objectif commun selon lequel toute personne qui travaille puisse chaque jour rentrer chez elle en santé et sécurité. »

 

« Le CRSST est en mesure de devenir un leader national en santé et sécurité au travail, a affirmé Mme Eger, et je me réjouis à la perspective d’exercer ces nouvelles fonctions et d’appliquer mon énergie à l’essor des recherches. »

 

Parmi les organismes subventionnaires clés de la Chaire de recherche en santé et sécurité, il faut souligner la Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario, Vale, le Syndicat des métallos, TECK, Domtar et Unifor.

La Laurentienne rend hommage à deux leaders en leur conférant un doctorat à la collation des grades de l'automne

La Laurentienne rend hommage à deux leaders en leur conférant un doctorat à la collation des grades de l'automne

Un chef politique renommé des Premières Nations et un politicien sudburois chevronné ont reçu un titre honorifique.

Armoiries de la Laurentienne

1 novembre 2014Un chef politique renommé des Premières Nations et un politicien sudburois chevronné ont reçu un titre honorifique pendant les cérémonies de collation des grades de l’automne de l’Université Laurentienne, qui ont eu lieu sur le campus de Sudbury le samedi 1er novembre 2014.

 

L’ex-maire de longue date et député de Sudbury, M. James K. (Jim) Gordon, a reçu un doctorat en droit (honoris causa) à la cérémonie de collation de grades. M. Gordon a été maire de Sudbury de 1976 à 1981 et encore de 1991 à 2003. De 1981 à 1987, il a été député provincial de Sudbury et en 1985, a exercé le rôle de ministre des Services gouvernementaux.

 

« C’est un honneur pour moi, a dit M. Gordon, de recevoir cette reconnaissance de l’Université Laurentienne, établissement qui enrichit notre communauté et rehausse son profil au plan mondial. »

 

L’ex-chef national de l’Assemblée des Premières Nations, M. Phil Fontaine, a reçu aussi un doctorat en droit (honoris causa) lors de la cérémonie de collation des grades de l’automne. Pendant les trois mandats qu’il a exercés en qualité de chef national, M. Fontaine a facilité les négociations pour régler la question tragique vieille de 150 ans touchant les pensionnats autochtones et a été le premier leader autochtone à s’adresser à l’Organisation des États américains.

 

« Grâce à son engagement envers les membres autochtones de la population étudiante et du corps professoral, a dit M. Fontaine, la Laurentienne joue un rôle de leader pour raffermir et élargir la formation des Autochtones au Canada. »

 

« Nos deux lauréats de titres honorifiques, a dit le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux, ont consacré leur vie au service public et ont laissé un héritage durable dans leur communauté respective. »

 

Quelque 300 membres de la population étudiante ont reçu un diplôme aux cérémonies de collation des grades de l’automne 2014. Depuis sa fondation, la Laurentienne a conféré plus de 50 000 diplômes.

Un nouvel ajout aux Services d'alimentation du campus de la Laurentienne

Un nouvel ajout aux Services d'alimentation du campus de la Laurentienne

Topper’s Pizza ouvrira son premier point de service en milieu universitaire

25 juillet 2014 – Dans le cadre de sa campagne soutenue pour améliorer et élargir les services d’alimentation offerts à la population étudiante, au personnel et au corps professoral du campus, l’Université Laurentienne a accueilli aujourd’hui Topper’s Pizza sur le campus de Sudbury. 

« À Sudbury depuis plus de 30 ans, Topper’s est bien connu et bien aimé, a dit le directeur des Services de logement et d’alimentation de la Laurentienne, M. Benjamin Demianiuk. Il s’agira sûrement d’un choix de repas populaire à l’Université et la compagnie cadre bien avec notre objectif d’offrir plus de choix d’aliments locaux. » 

En 1904, la famille Toppazzini a ouvert une boulangerie à Copper Cliff qui s’est imposée sur le marché de Sudbury pendant quelque huit décennies. Depuis le lancement de sa première pizzeria en 1982, l’entreprise familiale a grandi et comprend aujourd’hui 35 restaurants d’entreprise ou franchisés en Ontario, et mûrit d’autres plans d’expansion. 

« Nous nous réjouissons d’ouvrir à la Laurentienne notre premier point de service universitaire, a indiqué le PDG de Topper’s Pizza, M. Kelly Toppazzini. L’emplacement nous convient parfaitement et nous sommes fiers de faire partie de la communauté universitaire. » 

Le nouveau restaurant se situera directement à l’extérieur du Grand Salon à l’UL et ouvrira ses portes le 28 août 2014. L’ajout de Topper’s s’insère dans le plan à long terme de l’Université d’élargir les choix d’aliments et de boissons non alcoolisées, tout en créant plus de places sur le campus pour les rassemblements, les rencontres et les repas. Le Grand Salon rouvrira le 29 août après avoir subi des travaux de rénovation de 2 000 000 $, et offrira une expérience de style « marché » sous le nom Fresh Food Co. 

« Nous avons procédé à des consultations exhaustives et tenu compte des commentaires reçus des membres de la population étudiante et de notre communauté universitaire, a souligné la vice-rectrice à l’administration, Mme Carol McAulay. La rénovation du Grand Salon, l’ajout récent de Starbucks et du Bistro Est et l’ouverture imminente de Topper’s sur le campus nous permettent de fournir les places et les commodités requises pour assurer une excellente expérience à la population étudiante de la Laurentienne. » 

L'Université Laurentienne devient la première université bilingue reconnue en vertu de la la Loi sur les services en français

L'Université Laurentienne devient la première université bilingue reconnue en vertu de la la Loi sur les services en français

Cette désignation porte sur les services offerts au campus de Sudbury, de même que sur la prestation de programmes entièrement offerts en français

23 juin 2014 – Suite à une modification au règlement de l’Ontario 398/3 approuvée par le gouvernement de l’Ontario, l’Université Laurentienne devient à compter du 1er juillet 2014, la première université bilingue reconnue en vertu de la Loi sur les services en français. Cette désignation porte sur les services offerts au campus de Sudbury, de même que sur la prestation de programmes entièrement offerts en français et menant à treize grades aux niveaux du baccalauréat, de la maîtrise et du doctorat.

 

« Devenant la première université bilingue reconnue en vertu de la Loi sur les services en français, l’Université Laurentienne démontre de façon concrète une volonté affirmée de faire reconnaître les acquis de la communauté franco-ontarienne et d’assumer pleinement son rôle au service de la Francophonie », déclare le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, Dominic Giroux.

 

Pour sa part, le président du Conseil des gouverneurs, Michael Atkins, souligne : « En ce moment historique pour notre établissement, je souhaite remercier le Regroupement des professeures et professeurs francophones de l’Université Laurentienne d’avoir initié cette démarche en décembre 2011, laquelle fut chaudement appuyée par le Sénat et le Conseil des gouverneurs de l’Université, ainsi que par le gouvernement de l’Ontario. »

 

Me Claude Lacroix, président du Comité exécutif de l’Université Laurentienne, précise quant à lui : « Cette reconnaissance du gouvernement de l’Ontario en vertu de la Loi sur les services en français a fait l’objet d’un processus méticuleux permettant de promouvoir le mandat bilingue de notre université, tout en respectant son cadre de gouvernance ainsi que les recommandations de l’Office des affaires francophones. »

 

Claudette Paquin, membre du Comité exécutif de l’Université Laurentienne et présidente du Comité conjoint de bilinguisme du Sénat et du Conseil des gouverneurs de l’Université, ajoute : « Par cette mesure, le gouvernement de l’Ontario reconnaît légalement l’apport de l’Université Laurentienne au patrimoine culturel de la population francophone ainsi que ses efforts en faveur du développement durable de l’Ontario français. »

 

Annoncée en marge des festivités de la St-Jean, cette reconnaissance de l’Université Laurentienne en vertu de la Loi sur les services en français fera l’objet d’une célébration officielle à l’occasion du Jour des Franco-ontariens et des Franco-ontariennes, le 25 septembre prochain.

 

« L’obtention de la désignation partielle de l’Université Laurentienne en vertu de la Loi sur les services en français témoigne qu’il est possible pour un établissement bilingue de marier la liberté académique et la garantie juridique d’offrir activement une éducation universitaire à la communauté franco-ontarienne et à tous les francophiles » déclare le commissaire aux services en français de l’Ontario, François Boileau.

 

« Vingt-huit ans après l’adoption de la Loi sur les services en français, l’Université Laurentienne est fière d’avoir sollicité et obtenu cette désignation », de conclure Dominic Giroux