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Alain Simard, Ph.D., nommé doyen des études supérieures et de la stratégie internationale à l’Université Laurentienne

Alain Simard, Ph.D., nommé doyen des études supérieures et de la stratégie internationale à l’Université Laurentienne

M. Simard entrera en fonction le 1er septembre 2024.

15 juillet 2024 — M. Alain Simard, Ph.D., a été nommé doyen des études supérieures et de la stratégie internationale. Diplômé de l’Université Laurentienne, il apporte une riche expérience et un profond engagement envers l’excellence pédagogique et la mobilisation communautaire.

M. Simard a obtenu un baccalauréat ès sciences en biochimie et une maîtrise ès sciences en chimie de l’Université Laurentienne avant de préparer un doctorat en physiologie-endocrinologie à l’Université Laval et d’effectuer des recherches postdoctorales aux États-Unis.

« Je suis heureux de revenir à la Laurentienne à titre de doyen des études supérieures et de la stratégie internationale, a indiqué M. Simard. Je crois que l’Université offre aux étudiants un milieu idéal pour l’apprentissage avancé et j’ai hâte de travailler en collaboration avec le corps professoral, le personnel et la population étudiante pour favoriser un environnement dans lequel chaque membre se sent soutenu et autonomisé de façon à réaliser son potentiel. »

Avant de revenir dans le nord de l’Ontario, de 2011 à 2017, M. Simard a été professeur adjoint et ensuite professeur agrégé à l’Université de Moncton au Nouveau-Brunswick, où il a apporté son concours au Département de chimie et de biochimie et au Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick. En 2017, il a accepté un poste de professeur agrégé dans la Division des sciences médicales de l’Université de l’EMNO où, depuis 2020, il est doyen adjoint aux études supérieures et, le 1er juillet 2024, a été nommé professeur titulaire.

Au fil des ans, M. Simard a participé activement à plusieurs comités et siégé au Conseil ontarien des études supérieures. À l’Université de l’EMNO, il préside le Comité des études supérieures et le Comité du programme de maîtrise en études médicales. Il a également été membre du Comité de recherche de l’Université de l’EMNO, du Conseil des études supérieures de l’Université Laurentienne et du Comité des études supérieures du doctorat en sciences de la vie de l’Université de Moncton.

Grâce à plus de 35 articles publiés depuis 2001 dans des revues à comité de lecture et la supervision d’une trentaine d’étudiants à tous les cycles, M. Simard fait preuve de dévouement envers les activités universitaires et le mentorat des étudiants. Il est également un ardent défenseur de l’établissement de partenariats internationaux solides qui favorisent les possibilités pour les étudiants des cycles supérieurs, les collaborations de recherche et l’enrichissement de l’apprentissage et de la compréhension.

Sa connaissance du contexte des études supérieures en Ontario, son approche axée sur les solutions, son esprit de collaboration et son engagement envers le mandat triculturel de l’Université Laurentienne sont des atouts pour qu’il dirige avec succès ce nouveau dossier.

M. Simard assumera ses nouvelles fonctions de doyen des études supérieures et de la stratégie internationale le 1er septembre 2024.

Une ancienne de la Laurentienne et étudiante de la maîtrise en service social se réjouit d’étudier et de travailler dans le nord de l’Ontario

Une ancienne de la Laurentienne et étudiante de la maîtrise en service social se réjouit d’étudier et de travailler dans le nord de l’Ontario

Chloé Génier s’intéresse vivement aux jeunes, à la santé mentale et à l’éducation

(16 mars, 2023) - Née et élevée à Cochrane (Ontario), petite ville à environ 400 kilomètres au nord du Grand Sudbury, Chloé Génier, étudiante de la maîtrise en service social (MSW), a obtenu le DESO de l’École catholique Nouveau Regard (2016) avant de préparer un diplôme en Community and Justice Services (2018) au Collège Cambrian. Elle a ensuite fait des études de premier cycle à l’Université Laurentienne et y a obtenu un baccalauréat en service social (2022). 

« Mon expérience postsecondaire a été assez particulière, a expliqué Chloé, qui a obtenu à la Laurentienne l’équivalent d’environ un an d’études en crédits grâce à son diplôme du Collège Cambrian. J’ai fait toutes mes études de premier cycle en ligne à l’UL, me gardant sur le qui-vive, car les étudiants de programmes en ligne doivent déterminer leur propre emploi du temps tout en travaillant pour respecter des échéances serrées. »

Tout au long de son parcours postsecondaire, Chloé s’est fait une priorité de garder l’esprit positif. Elle a avoué que, à la fin du secondaire, elle n’était pas convaincue de vouloir aller à l’université. Par contre, après l’obtention du diplôme collégial, elle ressentait le besoin de le faire. « Je savais que je voulais fréquenter la Laurentienne et, même si j’étais un peu nerveuse, un mentor important et membre de ma famille m’a dit que nous avons besoin d’apprendre à accepter les sentiments désagréables. Cette façon de penser m’a aidé à arriver là où je suis aujourd’hui et à continuer à me dépasser et à sortir de ma zone de confort. »

Bien qu’elle ait été attirée par un programme pour lequel elle recevrait des équivalences à la Laurentienne, le fait qu’il soit offert en français était tout aussi important pour elle. « En recevant mon baccalauréat en service social, j’ai reçu aussi mon certificat de bilinguisme, a affirmé cette fière francophone, ce qui a été vraiment génial. » Le certificat reconnaît officiellement la compétence bilingue en français et anglais que recherchent les employeurs de la province.

Quoiqu’elle ait suivi ses cours de premier cycle en ligne, Chloé a noué de bonnes amitiés à la Laurentienne. « Je suis chanceuse d’avoir établi des relations solides avec mes pairs, a-t-elle dit. Mes amis et ma famille sont tellement importants pour moi; ils me motivent à réaliser mon potentiel. » Elle a ajouté que des membres du corps professoral lui ont aussi prêté un appui et que ses expériences de stages la préparent davantage à des possibilités de carrière.

En préparant actuellement sa maîtrise, Chloé travaille comme agente de probation et de libération conditionnelle dans le bureau de Cochrane. « Je suis également travailleuse sociale autorisée, ajoute-t-elle. J’apporte un soutien à tout un éventail de clients, mais m’intéresse surtout à la santé mentale chez les enfants et les jeunes. » Elle devra bientôt choisir le sujet de sa thèse de maîtrise. « Je ne suis pas encore certaine, mais mon penchant pour les jeunes, la santé mentale et l’éducation est un bon point de départ. »

Après qu’elle reçoit sa maîtrise, Chloé espère rester dans la région de Cochrane, car elle tient à cœur le nord de l’Ontario et aime apporter des contributions à sa communauté. « Je m’ouvre aux possibilités et j’ai hâte de voir ce que me réserve l’avenir. »
 

L’Université Laurentienne nomme le doyen de la faculté des études supérieures

L’Université Laurentienne nomme le doyen de la faculté des études supérieures

La Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de M. David Lesbarrères, Ph.D., au poste de doyen de la Faculté des études supérieures

25 février 2016 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de M. David Lesbarrères, Ph.D., au poste de doyen de la Faculté des études supérieures pour un mandat renouvelable de cinq ans à compter du 1er juillet 2016. 

M. Lesbarrères est le doyen intérimaire de la nouvelle Faculté des études supérieures qui a été créée en mars 2014 pour refléter l’importance croissante des 38 programmes de maîtrise et de doctorat à l’Université. Il était auparavant directeur des études supérieures. 

« M. Lesbarrères a d’impressionnants antécédents à la Laurentienne, a souligné le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux. Sous sa direction depuis août 2011, les inscriptions aux études supérieures à la Laurentienne ont augmenté, tout comme le nombre de programmes offerts. Avec David à la barre, nous continuerons d’élargir notre portée et de rehausser les possibilités aux cycles supérieurs. » 

En 2004, M. Lesbarrères s’est joint à la Laurentienne, après l’obtention d’un doctorat à Angers, en France, et d’une bourse postdoctorale au Département des sciences environnementales et biologiques à l’Université de Helsinki. De 2005 à 2008, il a été directeur adjoint du Département de biologie et depuis 2007, coordonne la M.Sc. en biologie à l’Université Laurentienne. En outre, il siège actuellement au Conseil ontarien des études supérieures. 

« Je suis fier de cultiver les programmes d’études supérieures à la Laurentienne, a affirmé M. Lesbarrères. Notre corps professoral et notre population étudiante se font connaître sur la scène mondiale pour leur expertise dans des domaines divers et je me réjouis à la perspective de voir multiplier les réussites au fur et à mesure que nous offrirons davantage de programmes au cours des prochaines années. » 

Le plan d’expansion des études supérieures de la Laurentienne précise le besoin d’accélérer les possibilités offertes dans trois domaines d’excellence (durabilité environnementale, innovation et exploration minières et santé dans les milieux ruraux et du nord) ainsi que deux domaines axés sur les besoins régionaux (gouvernance et relations autochtones, et développement économique durable du nord). L’Université prévoit une croissance des inscriptions allant de 589 étudiants en 2014-2015 à 859 étudiants en 2018-2019. 

Parmi les programmes qui prendront de l’expansion, il faut souligner, entre autres, les maîtrises en architecture, santé interdisciplinaire, géologie, biologie, humanités et orthophonie et les doctorats en écologie boréale, santé dans les régions rurales et du nord, génie des ressources naturelles et géologie des gisements minéraux. 

L'Université Laurentienne investit dans la recherche, la technologie et l'expansion des études supérieures

L'Université Laurentienne investit dans la recherche, la technologie et l'expansion des études supérieures

Il s’agit de la cinquième année consécutive que la Laurentienne affiche un budget équilibré.

19 juin 2015 – Aujourd’hui, le Conseil des gouverneurs a approuvé le budget de fonctionnement de 2015-2016 de 147 700 000 $. Il s’agit de la cinquième année consécutive que la Laurentienne affiche un budget équilibré. Ce budget contient une hausse de 7 000 000 $ par rapport à l’an dernier pour financer des priorités clés dans les domaines des immobilisations, de la recherche, des services aux étudiants, des études supérieures et de la technologie de l’information.

 

Voici quelques points saillants du budget :

 

  • La hausse de 42 % du budget du Bureau des services de recherche en 2015-2016 facilitera la préparation des demandes de subvention et l’établissement d’un système en ligne de gestion des données pour appuyer les activités de recherche. La Laurentienne augmentera aussi le soutien à l’innovation et à la gestion de la propriété intellectuelle. « Nous renforçons a dit le vice-recteur à la recherche à l’Université Laurentienne, M. Rui Wang, Ph.D., l’appui aux activités de recherche dans toutes les disciplines par l’entremise du programme des leaders des trois Conseils et de fonds stratégiques de contrepartie pour les demandes de subventions majeures. »
  • Le budget comprend également une hausse de 12 % des investissements dans les études supérieures afin d’appuyer l’expansion des inscriptions de 589 étudiants en 2014-2015 à 859 en 2018-2019. « Nous continuerons d’élargir notre champ d’action et améliorerons les possibilités d’études supérieures, a déclaré le doyen intérimaire de la Faculté des études supérieures, M. David Lesbarrères, Ph.D. Les programmes qui prendront de l’expansion incluent entre autres des programmes de maîtrise en architecture, géologie, biologie et orthophonie, et des programmes de doctorat en écologie boréale, santé dans les milieux ruraux et du nord, génie des ressources naturelles et géologie des gisements minéraux. »
  • L’investissement accru dans la technologie de l’information effectué cette année apportera une infrastructure de TI moderne maintenant et pour l’avenir. Les améliorations comprennent un solide réseau à haute vitesse, un réseau sans fil dense à haute vitesse, un système de gestion des dossiers de l’établissement, le sans-fil et l’audiovisuel dans les salles de classe, et la poursuite de l’automatisation de fonctions administratives, pour ne donner que quelques exemples. Ces mises à niveau amélioreront l’expérience de la population étudiante et du corps professoral. Les investissements de l’Université dans la technologie de l’information augmenteront de 12 % en 2015-2016 et s’inscriront dans la hausse de 70 % enregistrée au cours des quatre dernières années.
  • Les investissements dans les services aux étudiants grimperont de 14 % en 2015-2016. La Laurentienne encouragera encore l’apprentissage continu de son personnel avec l’équivalent de 1 % de la masse salariale réservée au perfectionnement professionnel.
  • L’achèvement de la transformation physique de 115 500 000 $ en 2016 du campus de Sudbury, y compris la réfection de 34 salles de classe et de cinq laboratoires, la construction du Centre autochtone de partage et d’apprentissage, du Club universitaire, du Centre d’apprentissage pour cadres et d’un laboratoire de calibre mondial de recherche cardiovasculaire et métabolique, l’amélioration des services de restauration, un guichet unique de services aux étudiants, les rénovations de la Résidence des étudiants célibataires, la nouvelle École d’architecture et des investissements accrus dans l’entretien différé.

 

« Ces dernières années, nous avons établi de solides bases pour appuyer les aspirations de l’Université, a indiqué le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Nous sommes bien placés pour aller de l’avant avec un plan de croissance équilibré et stratégique qui répond aux besoins des communautés que nous servons aujourd’hui et servirons à l’avenir. »

 

Cette année est la neuvième année consécutive où le financement provincial par étudiant baisse à la Laurentienne. Pour la première fois, les subventions provinciales représentent moins de la moitié des revenus généraux de l’Université. L’approbation unanime du Conseil des gouverneurs fait suite à une série de dix-sept consultations tenues en avril dans la communauté de la Laurentienne à Sudbury et à Barrie.

 

Pour obtenir des renseignements sur l’Université ou sur son plan stratégique pour 2012-2017, qualifié d’excellente stratégie dans un éditorial du Globe and Mail, consultez le site www.laurentienne.ca.

 

Résumé

  • Budget 2015-2016 de 147 000 000 $, une hausse de 7 000 000 $ par rapport à l’an dernier.
  • Budget équilibré pour la cinquième année consécutive, malgré neuf années consécutives de baisse du financement provincial par étudiant. Pour la première fois, les subventions provinciales représentent moins de la moitié des revenus généraux de l’Université.
  • Hausses budgétaires en 2015-2016 de 42 % pour le Bureau des services de recherche, de 14 % pour les services aux étudiants, de 12 % pour la Faculté des études supérieures et de 12 % pour la technologie de l’information.
  • 115 000 000 $ pour la transformation des immobilisations qui se terminera en 2016 à Sudbury.
  • 1 % de la masse salariale du personnel allouée au perfectionnement professionnel et à la formation.
  • Établissement d’un fonds écologique de 1 000 000 $ : la communauté universitaire sera invitée à proposer des projets, le principal critère de sélection étant l’effet positif sur l’environnement et le rendement financier.

Prévisions équilibrées pour six ans. Pendant cette période, des investissements majeurs sont prévus dans l’entretien différé, les études supérieures, la recherche, la Bibliothèque et la Faculté de gestion pour appuyer son agrément international par l’AACSB.

L'Université Laurentienne équilibre son budget pour la quatrième année consécutive

L'Université Laurentienne équilibre son budget pour la quatrième année consécutive

Le budget vise le Plan stratégique, l’expansion des études supérieures, la recherche et le campus de Barrie

20 JUIN 2014 – Aujourd’hui, le Conseil des gouverneurs a approuvé à l’unanimité le budget de fonctionnement de 141 200 000 $ pour 2014-2015, marquant ainsi la quatrième année consécutive que l’Université affiche un budget équilibré. L’approbation du Conseil fait suite à une série de seize séances de consultations auprès de plus de 160 personnes de la communauté universitaire de Sudbury et de Barrie. 

« Alors que nous entamons la troisième année de notre plan stratégique, nous continuons d’investir pour façonner l’avenir de l’Université Laurentienne, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. En dépit des pressions financières grandissantes, la Laurentienne a conservé les investissements dans ses aspirations. Nous remercions toutes les personnes qui ont participé au processus de consultation et nous ont ainsi aidés à atteindre ce but. » 

La nouvelle Faculté des études supérieures fait partie d’un plan ambitieux de mise en oeuvre de l’expansion des études supérieures demandé par le Conseil des gouverneurs pour répondre aux besoins régionaux, qui a presque doublé les inscriptions d’étudiants canadiens entre 2011 et 2018. Cette expansion inclura une augmentation du nombre de postes d’auxiliaires à l’enseignement. Les demandes d’admission aux programmes de maîtrise pour l’automne 2014 ont augmenté de 71 %. 

Les prochaines nominations de professeurs incluront de nouvelles chaires de recherche sur le cancer, la santé et la sécurité au travail, le développement durable du Nord, la gouvernance et les relations autochtones, et l’histoire franco-ontarienne. 
 

 Voici les autres points saillants du budget : 

  • Hausse du budget de 4 300 000 $ ou de 3,1 % par rapport à 2013; 
  • 41 900 000 $ pour appuyer les objectifs du Plan stratégique de 2012 à 2020; 
  • La deuxième phase de l’École d’architecture est sur la bonne voie et respecte le budget; 
  • 44 600 000 $ pour moderniser le campus de Sudbury, y compris la création du Club universitaire, le Centre d’apprentissage des cadres et le Centre autochtone de partage et d’apprentissage (financé en partie par des dons de Glencore et de RBC); 
  • Hausse de 14 à 25 000 000 $ de l’engagement pour ouvrir un nouveau campus satellite à Barrie; 
  • Le Grand Salon sur le campus de Sudbury est en rénovations et rouvrira en septembre 2014 sous l’étiquette de la Fresh Food Company; 
  • Achèvement des rénovations de la Résidence des étudiants célibataires sur le campus de Sudbury; 
  • 3 300 000 $ d’investissements supplémentaires pour appuyer la recherche jusqu’en 2020; 
  • Effectif professoral et du personnel stable; 
  • Nouvelle Faculté des sciences de la santé, nouvelle Faculté des sciences de l’éducation, nouvelle Faculté des études supérieures, nouvelle École des sciences de l’environnement; 
  • Nouveau programme de maîtrise en relations autochtones et en sciences infirmières;
  • Augmentation de 536 000 $ pour appuyer la croissance de l’École primée de génie Bharti. 


« Nous tentons toujours d’offrir une expérience étudiante hors pair, a dit la vice-rectrice à l’administration de l’UL, Mme Carol McAulay. Ce budget renforce cet engagement et nous met sur la bonne voie pour réaliser les 40 résultats énoncés dans notre Plan stratégique. » 


Aperçu des accomplissements en 2014 : 

  • L’École d’architecture a accueilli sa première classe de 68 étudiants en septembre 2013; 
  • Le Centre d’excellence universitaire est bien établi et appuie autant la pédagogie que la réussite scolaire; 
  • Le modèle de guichet unique de services aux étudiants a été conçu et mis en oeuvre. Les locaux centralisés figureront dans le plan d’immobilisations pour la modernisation du campus; 
  • Nouveaux comptoirs de restauration (Bistro Est, Starbucks, Subway); 
  • Rétablissement de l’équipe masculine de hockey universitaire et création de l’équipe féminine; 
  • Nouveau site Web : www.laurentienne.ca
  • La Faculté de gestion est en voie d’obtenir deux agréments internationaux prestigieux; 
  • La moyenne à l’admission a atteint les 81 %; 
  • Le campus de Sudbury est entièrement sans fil; 
  • Le Certificat de bilinguisme est décerné à un nombre grandissant d’étudiants; 
  • Neuf nouveaux membres autochtones du corps professoral; 
  • 1 % de la paie est alloué aux unités pour la formation du personnel. 

L'Université Laurentienne crée de nouvelles facultés en santé, éducation et études supérieures

L'Université Laurentienne crée de nouvelles facultés en santé, éducation et études supérieures

Nouvelle structure des facultés, ce qui se traduit par une réorganisation de nombreux départements et écoles de l’UL.

Le Sénat de l’Université Laurentienne a approuvé une nouvelle structure des facultés, ce qui se traduit par une réorganisation de nombreux départements et écoles de l’UL. 
 

La Faculté de la santé et la Faculté de l’éducation remplaceront la Faculté des écoles professionnelles. La Faculté des sciences et de génie portera dorénavant le nom de Faculté des sciences, de génie et d’architecture. La Faculté des sciences sociales et la Faculté des humanités seront unifiées dans la Faculté des arts et l’École des études supérieures deviendra la Faculté des études supérieures. 
 

« La réorganisation de certains de nos programmes d’enseignement, indique le vice-recteur aux études, M. Robert Kerr, facilitera la promotion des études interdisciplinaires et le développement de nouveaux programmes et de nouvelles options de programmes. » 
 

La création de la Faculte de la santé est l’un des résultats indiqués dans le Plan stratégique 2012-2017 de l’Université, selon lequel on regrouperait les programmes professionnels de la santé dans une faculté, ce qui fera de la Laurentienne un chef de file dans l’éducation et la santé interprofessionnelle. La décision d’aujourd’hui découle de consultations étendues au sein de la communauté universitaire depuis le début de 2012. 


La nouvelle Faculté de la santé comprendra les écoles des sciences de l’activité physique, des relations autochtones, des sciences infirmières, de santé dans les milieux ruraux et du nord et de service social, les programmes de formation des sages-femmes et d’orthophonie et le Département de gérontologie de l’Université Huntington. 
 

La Faculté des sciences, de génie et d’architecture a été rebaptisée et comptera les départements de biologie, de chimie et de biochimie, des sciences de la Terre, des sciences médico-légales, de mathématiques et d’informatique et de physique, l’École de génie Bharti qui a été fondée en octobre 2011, la nouvelle École d’architecture qui a accueilli sa première promotion de 70 étudiants en septembre 2013 et l’École de l’environnement qui a vu le jour plus tôt cette année. 
 

La nouvelle Faculté de l’éducation inclura les écoles anglophone et francophone des sciences de l’éducation. 
 

La nouvelle Faculté des arts comprendra les départements de science économique, d’anglais, d’études françaises, de géographie, d’histoire, de droit et justice, de langues et des littératures modernes, de musique, de philosophie, de science politique, de psychologie et de sociologie, la nouvelle École des Études du Nord et des communautés, le programme de maîtrise interdisciplinaire en humanités, le doctorat en sciences humaines et la plupart des départements des établissements fédérés et affiliés de la Laurentienne (études classiques, communication publique, études en communication, folklore et ethnologie, études autochtones, philosophie, sciences religieuses, art dramatique, études sur la femme). 
 

La nouvelle Faculté des études supérieures traduit bien l’importance grandissante des 38 programmes de maîtrise et de doctorat de l’Université. Les demandes d’admission aux programmes d’études supérieures sont en hausse de 60 % pour l’automne 2014. Deux programmes de maîtrise verront aussi le jour cet automne : la M.A. en relations autochtones et la maîtrise en sciences infirmières. 


Aucun changement n’a été apporté à la Faculté de gestion, à la Faculté de médecine (École de médecine du Nord de l’Ontario) et à l’École des mines Goodman. 

La Faculté de gestion continuera de comprendre l’École de commerce et d’administration et l’École d’administration des sports. 

La Faculté de médecine (École de médecine du Nord de l’Ontario) continue d’offrir un programme d’enseignement médical de premier cycle, des programmes d’internat au niveau supérieur, une formation continue et du perfectionnement professionnel et des programmes d’enseignement interprofessionnel. 

L’École des mines Goodman a été créée en 2013 avec l’objectif d’élargir le cadre des majeures et des mineurs pluridisciplinaires afin de rehausser les compétences des futurs professionnels de l’exploration minérale et de l’exploitation minière, de favoriser la création de programmes de calibre international destinés aux cadres dans les cinq domaines clés du cycle minier, à savoir l’exploration minérale, la faisabilité de projets, le développement de mines, la fermeture de mines et la surveillance.