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L’Université Laurentienne crée la première Chaire de recherche en exploitation minière à ciel ouvert

L’Université Laurentienne crée la première Chaire de recherche en exploitation minière à ciel ouvert

14 janvier, 2013 - L’École de génie Bharti de l’Université Laurentienne à Sudbury établira la première Chaire de recherche en exploitation minière à ciel ouvert au Canada grâce à un investissement important de la compagnie minière canadienne, IAMGOLD Corporation.

Le président-directeur général de IAMGOLD, M. Stephen Letwin, a annoncé cet investissement de 1 250 000 $ pour la création de la chaire lors d’une cérémonie tenue à l’Université Laurentienne cet après-midi.

« Cet investissement représente une amélioration vitale de notre capacité de recherche à l’École Bharti, a déclaré M. Ramesh Subramanian, (Ph.D.), directeur de l’École de génie Bharti. Elle produira des connaissances de pointe pour nos programmes de génie minier, et rehaussera certainement notre réputation internationale en exploitation minière. »

« L’avenir de l’industrie minière dépend de notre capacité d’accélérer l’innovation, et cela doit commencer par les programmes d’enseignement et les possibilités de recherche spécialisée dans les techniques avancées d’exploitation minière, a indiqué M. Stephen Letwin, PDG de IAMGOLD. La création au Canada de la première chaire de recherche dans le domaine hautement spécialisé de l’exploitation minière à ciel ouvert fait de l’Université Laurentienne un chef de file en recherche minière. Nous sommes honorés d’appuyer ce programme unique et utile qui, étant donné la réputation de la Laurentienne, attirera les esprits les plus brillants. Avec la mise en œuvre de notre chantier de mine à ciel ouvert Côté Gold dans le nord de l’Ontario, nous nous réjouissons de savoir que nous contribuerons à résoudre la grave pénurie de professionnels qualifiés dans le domaine minier dans ce pays et que nous créerons des possibilités d’emploi pour nos futurs ingénieurs des mines. »

IAMGOLD est une entreprise moyenne d’exploitation aurifère qui produit un million d’onces d’or par an provenant de cinq mines d’or sur trois continents (y compris les coentreprises actuelles). Son chantier Côté Gold, qui deviendra une mine à ciel ouvert, se trouve au sud de Gogama à environ 180 kilomètres au nord de Sudbury.

« C’est une nouvelle fantastique pour la Laurentienne et l’École de génie Bharti, affirme le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Il s’agira de la première chaire de recherche de la Laurentienne entièrement financée par un investisseur du secteur privé. Nous sommes particulièrement fiers d’être associés à une compagnie comme IAMGOLD dont la philosophie consacre les plus hautes normes en matière de santé humaine, d’incidences environnementales, de responsabilité sociale et de coopération avec les collectivités hôtes. »

Le recrutement du titulaire de la chaire de recherche en exploitation minière à ciel ouvert devrait débuter prochainement et on espère doter ce poste d’ici juillet 2013. Cette personne montrera la voie en matière de recherche concertée en exploitation minière à ciel ouvert sur les scènes nationale et internationale, et mettra à contribution l’École de génie Bharti et le Département des sciences de la Terre. Le candidat idéal aura de l’expérience universitaire et de l’expertise dans le domaine, y compris en conception de mine à ciel ouvert, en stabilité de la pente, en estimation des ressources, en optimisation du forage et du dynamitage, et en application pratique de la simulation de pente.

La Société de Gestion du Fonds du Patrimoine du Nord de l'Ontario fait un investissement dans la chaire de recherche en santé et sécurité au travail à l’Université Laurentienne

La Société de Gestion du Fonds du Patrimoine du Nord de l'Ontario fait un investissement dans la chaire de recherche en santé et sécurité au travail à l’Université Laurentienne

19 décembre, 2012 - L’honorable Rick Bartolucci, ministère du Développement du Nord et des Mines et président de la Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario (SGFPNO), a annoncé aujourd’hui l’octroi de fonds pour la création d’une Chaire de recherche en santé et sécurité au travail à l’Université Laurentienne.  

Sous l’égide du Centre de recherche en santé et sécurité au travail (CRSST), le ou la titulaire de la nouvelle Chaire de recherche dirigera des recherches touchant tout un éventail de milieux professionnels avec l’appui d’une équipe d’adjoints de recherche et d’autres membres du personnel. En outre, la Chaire fera du CRSST un chef de file en recherche, développement, enseignement, formation et meilleures pratiques dans le domaine de la santé et de la sécurité au travail sur la scène nationale et mondiale.  

« Le gouvernement, a dit le ministre Bartolucci, continue de collaborer avec les universités afin d’appuyer d’importantes initiatives de recherche. Il me fait plaisir de voir la SGFPNO consacrer des fonds à cette chaire de recherche qui rehaussera la réputation de l’Université Laurentienne tout comme du nord de l’Ontario en qualité de centre de premier plan en santé et sécurité au travail. »  

« Nous remercions le gouvernement tout comme les membres du conseil de la SGFPNO, a exprimé le recteur de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux, d’appuyer ce projet qui permettra à la Laurentienne de mettre à profit de solides fondements de recherche en santé et sécurité au travail et d’apporter une contribution à de nombreux secteurs industriels de notre communauté. »  

« Cet investissement, a ajouté Mme Tammy Eger, professeure agrégée à l’École des sciences de l’activité physique et directrice du CRSST, nous aidera à atteindre notre objectif de devenir le centre innovateur d’excellence au plan mondial en matière de santé et sécurité au travail. Nous sommes persuadés que les recherches du CRSST contribueront à l’amélioration de la sécurité tant des travailleurs que des milieux de travail. »  

Depuis plus d’une décennie, l’Université Laurentienne ajoute à son expertise en santé et sécurité au travail, qui était axée au début sur l’industrie minière, mais touche maintenant à divers secteurs de l’emploi. Approuvé par le Sénat de l’Université Laurentienne en 2008, le CRSST est une équipe de chercheurs de diverses disciplines, dirigée par un conseil consultatif composé de représentants de syndicats, de l’industrie et d’organismes locaux de santé et sécurité. Le CRSST mène des études innovatrices dans le but de déterminer les questions de santé et de sécurité et de supprimer les maladies, blessures et risques professionnels des milieux de travail du nord de l’Ontario. 

Vale fait un investissement dans le Centre de recherche en santé et sécurité au travail de l’Université Laurentienne

Vale fait un investissement dans le Centre de recherche en santé et sécurité au travail de l’Université Laurentienne

7 décembre. 2012 - Lors du 3e Colloque communautaire annuel du Centre de recherche en santé et sécurité au travail (CRSST), des représentants de Vale ont présenté un chèque de 125 000 $ à Mme Tammy Eger, Ph.D., professeure agrégée de l’École des sciences de l’activité physique et directrice du CRSST. Ces fonds contribueront à la création d’une chaire permanente de recherche en santé et sécurité au travail, l’une des priorités indiquées dans le plan de croissance du Centre.  

« Il s’agit d’un jour mémorable pour le CRSST, a dit Mme Eger. Nous avons fait beaucoup de progrès depuis quatre ans et ce don nous aidera à concrétiser l’un de nos plus importants objectifs, à savoir la création d’une chaire de recherche en santé et sécurité au travail qui affirmera le leadership du CRSST afin de bâtir sur ses réussites et élargir sa vision et sa portée. »

Approuvé par le Sénat de l’Université Laurentienne en 2008, le CRSST est une équipe de chercheurs de diverses disciplines, dirigée par un conseil consultatif composé de représentants de syndicats, de l’industrie et d’organismes locaux de santé et sécurité. Le CRSST mène des études innovatrices dans le but de déterminer les questions de santé et sécurité et de supprimer les maladies et les risques professionnels des milieux de travail du nord de l’Ontario.

Lorsque tout le financement sera en place, la chaire de recherche en santé et sécurité au travail sera le moteur de recherches d’avant-garde qui feront du CRSST un leader en recherche, développement, enseignement, formation et meilleures pratiques dans le domaine de la santé et de la sécurité au travail sur la scène nationale et mondiale.

« Nous considérons nos liens permanents avec la Laurentienne, a ajouté M. Kelly Strong, vice-président des opérations chez Vale en Ontario et au Royaume-Uni, comme un important partenariat stratégique aussi bien qu’un avantage pour l’Université, la communauté et la compagnie. En appuyant la création d’une chaire de recherche en santé et sécurité au travail, nous réitérons notre engagement envers des milieux de travail plus sécuritaires et salubres pour les travailleurs tant à Vale qu’ailleurs dans le cadre d’une initiative dont nous sommes très fiers. »

« Il va sans dire, a affirmé Mme Jody Kuzenko, directrice générale de la durabilité pour les opérations de Vale dans l’Atlantique Nord et membre du conseil consultatif du CRSST, que le Centre apporte des contributions importantes à l’amélioration des pratiques de santé et sécurité dans le nord de l’Ontario. J’ai vu moi-même la façon dont les recherches menées par le CRSST ajoutent de la valeur dans notre secteur industriel et je suis persuadée que la chaire de recherche sera un catalyseur de l’innovation. »

« Une fois de plus, a exprimé le recteur de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux, Vale témoigne d’un profond engagement envers la communauté sudburoise et d’une grande confiance dans la Laurentienne et son habilité d’établir des normes d’excellence en recherche.

Son appui soutenu du CRSST sous forme financière et consultative favorisera le succès du Centre et sa capacité exceptionnelle de répondre aux besoins de l’industrie à l’échelle locale, régionale et nationale. »

Collaboration exceptionnelle entre le petit ensemble de jazz du départment de musique de l’Université Laurentienne et le programme de techniques et gestion de scène du Collège Boréal

Collaboration exceptionnelle entre le petit ensemble de jazz du départment de musique de l’Université Laurentienne et le programme de techniques et gestion de scène du Collège Boréal

décembre, 2012 - Le professeur Allan J. Walsh, directeur du Petit Ensemble de jazz du Département de musique de l’Université Laurentienne, et Mathieu Grainger, gestionnaire du Programme de techniques et gestion de scène au Collège Boréal, sont les fers de lance d’une collaboration qui rehaussera l’apprentissage de ces deux groupes d’étudiants.

Dans la toute nouvelle salle de concert ultramoderne du Collège Boréal, les membres du Petit Ensemble de jazz de l’UL collaboreront avec les étudiants du Programme de techniques et gestion de scène, sous la direction de MM. Walsh et Grainger, et du directeur technique, François Labelle.

Pendant une série de cours et de laboratoires, les étudiants de musique de la Laurentienne s’initieront à la préparation d’un programme complet de concert qui comprend tous les éléments de la réalisation, tels que :

  • coordonner l’horaire et préparer le montage de la scène et du matériel technique;
  • comprendre le rôle du groupe et de chaque musicien pendant le réglage sonore;
  • choisir le bon microphone et le positionner adéquatement;
  • tenir compte des besoins en matière d’amplification des chanteurs;
  • tenir compte des besoins en matière d’amplification des divers instruments (électriques et acoustiques);
  • surveiller les niveaux sonores sur la scène et dans la salle;
  • communiquer efficacement avec les techniciens afin d’assurer que le son est approprié.

L’initiative s’achèvera par un concert qui aura lieu le mardi 4 décembre 2012, au Collège Boréal, mettant en valeur les talents des membres de la population étudiante tant de l’Université Laurentienne que du Collège Boréal. Tous les membres de la communauté universitaire et du grand public sont les bienvenus à ce concert dont les billets sont disponibles au Département de musique de l’UL, au Collège Boréal et à l’entrée avant la représentation.

« Le Département de musique à l’Université Laurentienne, a dit sa directrice, Charlotte Leonard, se réjouit de cette collaboration avec le Programme de techniques et gestion de scène du Collège Boréal, car elle permet à nos étudiants de jazz d’acquérir de l’expérience pratique de la production électronique du son, de l’enregistrement et de l’exécution dans des installations de pointe. Il s’agit d’une excellente initiative d’Allan Walsh et de Mathieu Grainger. »

Pour sa part, la doyenne de l’École des arts du Collège Boréal, Tina Montgomery, souligne le bien-fondé d’une telle collaboration : « Ce nouveau partenariat entre le Collège Boréal et l’Université Laurentienne met en évidence notre volonté commune et durable de partager les ressources postsecondaires mises à la disposition des étudiants du Grand Sudbury. Grâce à cette collaboration aussi naturelle qu’innovante, le Collège Boréal et l’Université Laurentienne optimisent l’utilisation de leurs infrastructures et de leur corps professoral, offrant ce qu’il y a de mieux aux prochaines générations de professionnels du spectacle. »

La Laurentienne accueille un illustre porte-parole autochtone

La Laurentienne accueille un illustre porte-parole autochtone

30 novembre, 2012- Le mercredi 28 novembre, l’Université Laurentienne a accueilli sur son campus de Sudbury M. Phil Fontaine, l’un des plus fervents défenseurs des droits des Premières Nations au Canada. La visite appuyait l’éventuel Centre autochtone de partage et d’apprentissage à la Laurentienne et était parrainée par la RBC, important commanditaire qui a fait don de 40 000 $ envers la construction du Centre. Jusqu’à présent, quelque 1 500 000 $ ont été recueillis pour établir ce carrefour exceptionnel d’apprentissage et de culture autochtones.  

« Depuis 2009, M. Fontaine est conseiller spécial auprès de la RBC, a dit Bill Bray, vice-président régional de la RBC pour la région des lacs du Nord de l’Ontario, et grâce à sa perspicacité et à ses conseils, nous avons renforcé notre capacité pour satisfaire aux besoins de nos clients autochtones partout au Canada. Nous sommes ravis de constater qu’il partage notre engagement envers le Centre autochtone de partage et d’apprentissage et qu’il croit, comme nous, que le Centre sera une puissante ressource favorisant la réussite des Autochtones au niveau postsecondaire. »  

Ex-chef de l’Assemblée des Premières Nations ayant exercé trois mandats, M. Fontaine a rencontré les membres du Conseil de l’Université Laurentienne pour la formation des Autochtones (CULFA) pour discuter du Centre autochtone de partage et d’apprentissage et le rôle que celui-ci jouera pour appuyer la population étudiante autochtone en pleine croissance à l’UL. Un comité consultatif formé de représentants d’organismes autochtones, de Premières Nations et de Métis de la région, le CULFA offre des conseils en ce qui concerne les questions touchant l’éducation autochtone à la Laurentienne.  

« Puisqu’il a vécu lui-même les réalités des pensionnats, a ajouté Mme Sheila Cote-Meek, vice-rectrice associée à l’enseignement et aux programmes autochtones à la Laurentienne, M. Fontaine reconnait pleinement la nécessité d’avoir des programmes d’enseignement qui tiennent compte de la culture et répondent aux besoins des étudiants autochtones, puisque l’éducation permet en effet de pourchasser les rêves les plus beaux. De ce fait, la Laurentienne a proposé comme priorité stratégique la construction du Centre autochtone de partage et d’apprentissage et le fait que M. Fontaine appuie notre objectif affirme avec force le rôle de leader que joue notre université dans la formation des Autochtones. »  

Pendant son passage sur campus, M. Fontaine a prononcé une conférence publique dans l’auditorium Alphonse-Raymond et s’est aussi entretenu avec plus d’une douzaine d’étudiants autochtones, de conseillers pédagogiques et de membres du Cercle des étudiants autochtones

Les Universités Laurentienne et Zhejiang offrent un programme conjoint innovateur

Les Universités Laurentienne et Zhejiang offrent un programme conjoint innovateur

22 octobre, 2012 - L’Université Laurentienne a annoncé un partenariat exceptionnel qu’elle a noué avec la Zhejiang University of Finance and Economics (ZUFE), à Hangzhou, en Chine, pour présenter un programme conjoint de baccalauréat en comptabilité.  

Aujourd’hui, lors d’une cérémonie officielle à Hangzhou, l’entente a été signée par le recteur de la ZUFE, M. Wang Junhao, et le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux.  

« Nous sommes heureux d’offrir à notre population étudiante l’occasion de faire des études à l’Université Laurentienne, a dit le recteur Wang, et de rehausser la valeur de son baccalauréat. Nos liens avec la Laurentienne leur donneront un véritable avantage sur le marché du travail mondial. »  

Selon le recteur Giroux, ce partenariat est le premier en son genre pour l’Université Laurentienne. « Le ministère de l’Éducation de la Chine n’approuve qu’un nombre infime de demandes de collaborations internationales, a-t-il expliqué, et c’est un honneur pour nous de faire partie de ce groupe d’élite d’universités. »  

Le programme conjoint de baccalauréat en comptabilité offrira ce qu’il y a de plus récent en la matière, avec un accent sur les questions d’actualité et les défis que présente la mondialisation.  

Grâce à cette entente, les personnes inscrites au programme feront les deux premières années d’études à la ZUFE suivies de trois trimestres d’études à l’Université Laurentienne, à Sudbury, et la dernière année en Chine. Il est prévu que, en janvier 2015, de 60 à 100 personnes entameront la troisième année d’études sur le campus de Sudbury de la Laurentienne pour obtenir un total de 42 crédits dont on tiendra compte pour l’obtention du grade. Le partenariat avec la ZUFE permet aussi aux étudiants de la Chine de suivre, à Hangzhou, le Programme de préparation universitaire en anglais de l’UL avant de venir au Canada pour la troisième année d’études.  

« Cette collaboration découle d’une minutieuse planification et de beaucoup de discussion sur la façon de présenter un programme conjoint de calibre mondial à la fine pointe, a ajouté le doyen de la Faculté de gestion de l’UL, M. Peter Luk, Ph.D., qui a aussi assisté à la signature de l’entente à Hangzhou. Nous sommes aussi conscients et reconnaissants des efforts déployés par le doyen Wang Yaoxiang qui a aidé à mener l’entente à bien, et le professeur Fu Liying qui a collaboré avec nous pour développer un contenu approprié pour le programme d’études. »      

Bien que l’entente avec la ZUFE soit la première de la sorte pour la Laurentienne, celle-ci a aussi cultivé des relations étendues avec plusieurs partenaires du domaine de l’éducation en Chine. En effet, depuis trois ans, les inscriptions d’étudiants étrangers à l’UL ont augmenté de 40 % ou de 648 étudiants. Dans son plan stratégique, la Laurentienne s’est fixé comme objectif d’accroître la proportion d’étudiants étrangers afin qu’il atteigne 8 % d’ici 2017. Il s’élève actuellement à 6,1 % en 2011.

Reconduction de M. Dominic Giroux pour un deuxième mandat

Reconduction de M. Dominic Giroux pour un deuxième mandat

18 octobre, 2012 - Lors de l’assemblée ordinaire tenue à Barrie aujourd’hui, le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé la recommandation unanime du Comité d’examen du rendement du recteur de renouveler le mandat de M. Dominic Giroux à titre de recteur et vice-chancelier.

Le Comité d’évaluation du rendement du recteur, composé de membres du Conseil et du corps professoral représentant le Sénat, a largement consulté la population étudiante, le corps professoral, le personnel, les associations de l’Université, le Sénat et des membres de la communauté externe et du secteur de l’éducation pour éclairer sa décision. Le Comité a reçu des commentaires de 70 personnes et organismes tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la communauté universitaire.

« Les commentaires reçus sur les accomplissements et progrès de l’Université depuis l’entrée en fonction de M. Dominic Giroux étaient extrêmement positifs, a souligné le président du Conseil des gouverneurs de l’UL, M. Floyd Laughren, et le Conseil est très satisfait de son rendement. Nous sommes aussi très motivés par la vision fascinante qui nous a été présentée et sommes convaincus que le recteur Giroux est le leader qui fera de cette vision une réalité. »

« En 2009, M. Giroux a été embauché comme agent du changement, tâche qu’il a certainement menée à bien, a ajouté le vice-président du Conseil, M. Michael Atkins. Sous sa direction, la Laurentienne a établi des priorités claires, équilibré le budget et vu augmenter exponentiellement le nombre de dons à l’UL, y compris le don historique de M. Ned Goodman annoncé cette semaine, qui fera en sorte que la nouvelle École des mines portera son nom. Nous avons investi plusieurs millions de dollars dans les services étudiants et dans les salles d’enseignement pour le corps professoral, avons créé et doté en personnel le Centre d’excellence universitaire, affecté 51 000 000 $ à la modernisation et au renouvellement du campus et adopté une vision pragmatique et ambitieuse pour le campus de Barrie. En outre, nous avons obtenu des fonds pour l’École d’architecture qui sera inaugurée en 2013 au centre-ville de Sudbury et noué de nouveaux partenariats considérables au sein de la communauté et dans les secteurs industriels. Nombreux sont les gens de la Laurentienne qui ont apporté une contribution à ces réalisations en suivant l’inspiration de M. Dominic Giroux. »

« Je tiens à féliciter M. Giroux, a dit le maire de Sudbury, M. Jeff Lehman, à l’occasion du renouvellement de son mandat, car il comprend très bien le rôle crucial que joue l’Université dans le développement économique et régional en plus d’être le champion de la création d’un campus universitaire dans notre centre-ville. Je me réjouis à la perspective de son leadership dynamique et stratégique dont il continuera de faire preuve. »

Le 1er avril 2009, M. Giroux est devenu le neuvième recteur de l’Université Laurentienne, pour un mandat renouvelable de cinq ans se terminant le 30 juin 2014. Normalement, la procédure d’examen du rendement est entreprise quelque 18 mois avant la fin du mandat. Le deuxième mandat de M. Giroux est aussi renouvelable et se terminera le 30 juin 2019.

« Les réussites d’une université, a expliqué le recteur Giroux, découlent du talent, de l’engagement et de la créativité de la population étudiante, du corps professoral, du personnel, des diplômés et des personnes qui l’appuient. J’ai le privilège de diriger cette université et ce témoignage de confiance du Conseil des gouverneurs me donne un sentiment d’humilité et d’honneur. La Laurentienne traverse une période intéressante et, alors que nous nous affairons à la mise en œuvre du Plan stratégique de 2012-2017, beaucoup d’autres réalisations sont à l’horizon. J'ai donc le grand plaisir de pouvoir continuer à diriger ces efforts concertés. »

Les qualités de leader du recteur Giroux se manifestent aussi dans son rôle auprès de la Commission de la réforme des services publics de l'Ontario, dont il est l’un des quatre membres; il a aussi été nommé par la province co-conseiller spécial pour la création d’un Institut des politiques du Nord et est l’un des quatre membres du Conseil consultatif de développement du Cercle de feu de la province. Respecté par ses pairs, M. Giroux copréside le nouveau Conseil ontarien pour l’articulation et le transfert (COAT), est l’un des douze recteurs siégeant au conseil de direction de l’Association des universités et collèges du Canada (AUCC), est coprésident du Consortium national de formation en santé (CNFS) et a été vice-président de l’Association des universités de la francophonie canadienne (AUFC). Récemment, on lui a demandé de siéger au Higher Education Panel du Globe and Mail ainsi qu’au conseil consultatif du Mowat Centre. Nommé l’un des 40 plus performants âgés de moins de 40 ans en 2011, il est lauréat d’une Médaille du jubilé de la reine Élisabeth et, en 2010, a été nommé Personnalité de l’année en éducation par Radio-Canada/Le Droit.

La famille Goodman investit dans l’École des mines de l’Université Laurentienne

La famille Goodman investit dans l’École des mines de l’Université Laurentienne

15 octobre, 2012 - M. Ned Goodman, PDG de Dundee Corporation, et la Fondation de la famille Goodman - JODAMADA, ont annoncé aujourd’hui un don historique à la nouvelle École des mines de l’Université Laurentienne. En reconnaissance de la générosité de la famille Goodman, le recteur de la Laurentienne, M. Dominic Giroux, a déclaré que l’Université nommera l’École en l’honneur de celle-ci.

M. Ned Goodman possède dans les domaines des affaires et des investissements, en tant que géologue, analyste en valeurs mobilières, gestionnaire de portefeuille et cadre supérieur, plus de 40 ans d’expérience et sa réputation le place au premier rang des meilleurs conseillers en placements au Canada. Sous son impulsion, le groupe Dundee, un groupe de sociétés financières qui s’est développé sous la direction de sa famille, a vu son actif passer de 300 millions de dollars à une entité gérant 50 milliards de dollars en fonds communs de placement. Par son travail dans le secteur minier autant que par le financement qu’il a apporté à nombre de petites sociétés, M. Goodman a contribué à générer dans de nombreuses collectivités éloignées du nord du Canada des investissements et des emplois, aidé à développer des entreprises en croissance et favorisé la prospérité des milliers d’autres Canadiens. Il décrit le don de sa famille comme un vote de confiance dans l’avenir de l’exploitation minière.

« Le Grand Sudbury a le meilleur gisement minéral et la plus grande concentration mondiale d’expertise en approvisionnement, produits et services miniers, a déclaré M. Goodman. Nous voulons être associés à l’Université Laurentienne parce que c’est indubitablement l’université par excellence pour l’exploration et l’exploitation minières au Canada. Quand j’ai appris que la Laurentienne avait l’intention de créer une École des mines innovatrice, j’ai décidé d'y contribuer, a indiqué M. Goodman lors d’une visite récente à Sudbury. Nous inciterons aussi nos amis de l’industrie à appuyer cette magnifique initiative. »

La combinaison du vieillissement de la main-d’œuvre, de la compétition pour recruter des travailleurs qualifiés et de la baisse des inscriptions dans les programmes axés sur les mines dans la plupart des autres universités canadiennes pose un grand problème dans l’industrie minière mondiale. Cette situation accélérera probablement la hausse des coûts, retardera les nouveaux projets et rétrécira les marges de profit. Beaucoup de chefs de file de l’industrie ont signalé un besoin criant de diplômés dont les habiletés techniques sont étayées par des compétences dans les aspects commerciaux, culturels et environnementaux de l’exploitation minière.

Le recrutement à l’échelle mondiale du directeur général fondateur de l’École des mines Goodman est en voie d’être complété et la personne choisie aura pour fonctions de :

  • enrichir les compétences des futurs professionnels de l’exploration minérale et de l’exploitation minière dans des domaines comme la santé et la sécurité au travail, les relations avec les Autochtones, la gestion minière et les finances;
  • diriger la création de programmes de perfectionnement de cadres à tous les cycles qui reposeront sur une formule de modules, de cours de courte durée ou de formation à distance, et d’autres moyens selon les possibilités qui se présentent;
  • officialiser de nouvelles alliances provinciales, nationales et internationales avec d’autres établissements postsecondaires, y compris le Réseau international des écoles des mines qui aura un siège important à la Laurentienne;
  • doubler les inscriptions aux programmes du domaine minier d’ici 2020;
  • améliorer l’expérience universitaire pour les étudiants en sciences de la Terre et en génie.

L’École des mines Goodman est une initiative interfacultaire. Elle relèvera directement du vice-recteur aux études et sera appuyée par un Conseil consultatif mondial et un fonds de dotation de 20 000 000 $ alimenté par des dons de l’industrie et de bienfaiteurs, dont la majorité a déjà été recueillie. De plus, l’Université Laurentienne investira 5 000 0000 $ dans cette École d’ici 2023.

La Fondation de la famille Goodman a stipulé que tout engagement financier, présent ou futur, reste confidentiel. Ce don sera utilisé exclusivement par l’École des mines Goodman. « Il appuiera la conception de nouveaux cours et programmes liés aux mines, l’amélioration de l’environnement d’apprentissage et des possibilités tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la salle de classe, le recrutement d’étudiants, les services de placement et de carrière, la visite de conférenciers et toute autre utilisation particulière convenue mutuellement, a expliqué M. Dominic Giroux. En outre, le don de la famille Goodman permettra d’attirer des étudiants brillants de partout au monde à qui nous offrirons des bourses, et de promouvoir nos programmes du domaine minier sur la scène internationale. »

Le fils aîné de M. Goodman, Jonathan Goodman, ing., CFA, MBA, diplômé de l’École des mines du Colorado, membre et directeur de la Fondation JODAMADA, exercera les fonctions de professeur associé à l’Université Laurentienne.

La Laurentienne est aussi attrayante pour M. Goodman parce qu’il réside à Barrie. « Je veux faire tout ce qui est possible pour aider à établir le nouveau campus de l’Université Laurentienne au centre-ville de Barrie, y compris attirer des dons privés pour soutenir cet important projet, a souligné M. Goodman. Barrie en a absolument besoin, et la Laurentienne a beaucoup à offrir. » L’Université Laurentienne a déjà promis 14 000 000 $ pour son nouveau campus à Barrie, engagement dont la Ville versera la contrepartie.

La campagne de l’Université Laurentienne, Objectif 50, présidé par M. Terry MacGibbon, fondateur de FNX Mining, a largement dépassé son objectif original de 50 000 000 $. En effet, il reste encore six mois et elle a recueilli 63 300 000 $ jusqu’à présent. 

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L'honorable ministre de la Formation et des Collèges et Universités, Glen Murray.

Une Famille Sudburoise Fait Un Investissement Dans La Santé Des Lacs

Une Famille Sudburoise Fait Un Investissement Dans La Santé Des Lacs

2 octobre, 2012 - Lundi soir, les eaux du lac Ramsey scintillaient à travers les fenêtres de l’atrium du Centre pour la vitalité des lacs Vale à l’Université Laurentienne lorsque Nora et Milad Mansour de Sudbury ont annoncé un don de 500 000 $ pour appuyer des recherches environnementales vitales qui aideront à assurer la santé et la durabilité des systèmes d’eau douce du monde.      

Des invités spéciaux, des chercheurs et divers membres de la communauté universitaire ont participé à l’événement qui soulignait la générosité de la famille Mansour et célébrait la dénomination officielle de l’Atrium Milad Gebrael Mansour dans le Centre pour la vitalité des lacs Vale.

« Ce don est bien spécial, a dit M. John Gunn, Ph.D., directeur du Centre pour la vitalité des lacs Vale et titulaire d’une Chaire de recherche du Canada en écosystèmes aquatiques stressés, car un investissement privé de cette ampleur d’une éminente famille sudburoise indique clairement que les membres de notre communauté reconnaissent l’importance du travail que nous accomplissons. Ce don aura des retombées positives tant sur la population étudiante, le personnel et les chercheurs que sur l’ensemble de la communauté et du nord de l’Ontario. »

« La famille Mansour témoigne d’un formidable leadership aujourd’hui, a ajouté M. Dominic Giroux, recteur de l’Université Laurentienne, et je suis convaincu que ce don nous aidera à réaliser le résultat indiqué dans le Plan stratégique 2012-2017 de faire de la Laurentienne un établissement synonyme au plan mondial de recherches sur les eaux douces. Je me réjouis de ce partenariat et suis fier que le nom Mansour soit maintenant associé avec le Centre pour la vitalité des lacs. »

« La durabilité à long terme de nos lacs, a expliqué M. Milad Mansour, président de Milman Industries Inc., est l’une des questions les plus cruciales de notre génération et nous devons concevoir des solutions innovatrices afin d’en assurer la conservation. Il ne fait aucun doute que le Centre Vale est l’endroit idéal pour réaliser cet objectif. » 

« J’ai toujours appris à mes enfants, a ajouté Mme Nora Mansour, qu’il est plus précieux de donner que de recevoir. De fait, il est vraiment merveilleux d’apporter une telle contribution à notre communauté en appuyant l’Université Laurentienne. »

Le don de la famille Mansour s’ajoute à la liste croissante des contributions faites dans le cadre de l’Initiative des familles sudburoises, programme de reconnaissance mené par l’Université, qui célèbre et honore les familles locales qui participent à la croissance et au développement de la Ville.

« Depuis de nombreuses années, la famille Mansour est un catalyseur économique dans notre ville, a dit M. John Pollesel, bénévole de la campagne Objectif 50 et coprésident de l’Initiative des familles sudburoises. Elle mobilise maintenant des efforts pour assurer la santé environnementale à long terme. L’exemple qu’elle donne aujourd’hui inspirera sûrement d’autres personnes à favoriser l’amélioration de la qualité de vie de tous les résidents de Sudbury, du nord de l’Ontario et de la collectivité mondiale. »

Au sujet d’Objectif 50 : Notre campagne

Afin de demeurer un fer de lance de la créativité, de l’innovation et de la prospérité, la Laurentienne a lancé « Objectif 50 : Notre campagne », l’initiative la plus ambitieuse jamais entreprise dans le nord de l’Ontario, qui vise à recueillir 50 000 000 $. La campagne, qui se poursuit jusqu’en avril 2013, mobilise des fonds pour des projets clés de l’Université, y compris le Centre autochtone de partage et d’apprentissage, l’École d’architecture, l’École des mines et un fonds de dotation qui financera la création de chaires de recherche et de bourses de recherche et d’études pour aider les chercheurs, les étudiants des cycles supérieurs et les étudiants-athlètes à exceller.

 Au sujet de l’Université Laurentienne

La Laurentienne fait partie des universités canadiennes qui ont pris le plus d'expansion au cours de la dernière décennie, avec un effectif étudiant près de 10 000 membres. Bien que son campus principal soit situé à Sudbury, elle offre de plus en plus de programmes aux 1 200 membres de la population étudiante du campus de Barrie. La Laurentienne a l’un des plus forts taux d'emploi après l'obtention du grade en Ontario et est grandement réputée pour la taille enviable de ses classes qui ont le plus faible rapport professeur/étudiants au Canada. D’autres renseignements sur l’Université Laurentienne figurent à www.laurentienne.ca.

Le recrutement du corps professoral d'architecture est commencé

Le recrutement du corps professoral d'architecture est commencé

25 septembre, 2012 - Cette semaine, l’École d’architecture de l’Université Laurentienne a commencé à faire les entrevues et la sélection de membres du corps professoral qui assureront l’enseignement de la première cohorte d’étudiants en septembre 2013. Au cours des six prochaines semaines, le Comité de sélection aura des entrevues pour doter des postes d’enseignement et, dans le cadre de ce processus, les candidats présenteront des exposés touchant leurs projets et approches en architecture. Le public est invité à assister aux exposés qui auront lieu chaque lundi, à 17 h 30, dans le bureau de projet d’Architecture Laurentienne, au centre-ville de Sudbury.

« Nous sommes satisfaits du calibre des candidats et de l’étendue de leur expérience, a dit M. Terrance Galvin, Ph.D., directeur fondateur de l’École d’architecture de la Laurentienne. Ces candidats proviennent du milieu scolaire et de cabinets professionnels du Canada et des États-Unis, allant de Kuujjuaq dans le nord du Québec jusqu’au Connecticut. Il s’agit d’un bon départ et d’une étape importante dans l’établissement de notre école. »

Les candidats aux postes d’enseignement en architecture donnent normalement des exposés au comité de sélection, aux dires de M. Galvin. « Nous suivons cette tradition et l’étendons afin d’inclure aussi la communauté, a-t-il ajouté, pour que toutes les personnes qui ont un intérêt pour l’architecture puissent observer ces entretiens et en profiter. »

Les premiers membres du corps professoral d’Architecture Laurentienne entreront en fonction au début de janvier 2013.

Les embauches en architecture figurent parmi les 24 postes d’enseignement à pourvoir au cours de l’année universitaire.

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