Trois membres de la communauté de L’Université Laurentienne reçoivent la distinction la plus prestigieuse de la province
David Pearson, Angèle Brunelle et Ronald Caza reçoive l’Ordre de l’Ontario.
L’Université Laurentienne tient à féliciter le professeur David Pearson, le membre du conseil de l’EMNO, Angèle Brunelle, et le titulaire d’un doctorat honorifique, Ronald Caza, de leur nomination à l’Ordre de l’Ontario.
L’Ordre de l’Ontario reconnaît des personnes dont un accomplissement personnel dans leur domaine a laissé un héritage durable dans la province, au Canada et au-delà. Les membres de l’Ordre de l’Ontario sont issus de tous les milieux sociaux et proviennent de partout à travers le Canada. Ils représentent des professions diverses et ont joué un rôle important dans le façonnement de notre province.
Professeur de l’École de l’environnement et chercheur en sciences de la Terre, M. David Pearson, Ph.D., travaille dans le Centre pour la vitalité des lacs Vale à la Laurentienne. Il a été membre du Département des sciences de la Terre de 1969 à 2005 et est ensuite devenu l’un des deux codirecteurs fondateurs du programme de diplôme d’études supérieures en vulgarisation scientifique de l’Université Laurentienne et Science Nord. De 1980 à 1986, il était le directeur fondateur de Science Nord, dont la méthode interactive novatrice est devenue un modèle pour la participation du public aux sciences.
Angèle Brunelle est porte-parole de la communauté francophone du nord-ouest de l’Ontario et directrice de l’Accueil francophone de Thunder Bay. Elle a consacré sa vie à la promotion des droits des Francophones dans les secteurs de la santé et de l’éducation. Elle participe activement comme membre du conseil de direction de l’École de médecine du Nord de l’Ontario.
Franco-Ontarien bien connu, Ronald F. Caza est ancien de l’Université Laurentienne, où il a reçu aussi un doctorat honorifique en mai 2013. Avocat et ardent défenseur des droits linguistiques des Francophones, il s’est fait le champion de la préservation de la langue et de la culture française en Ontario en contestant avec succès devant les plus hauts tribunaux des tentatives d’éliminer ou d’affaiblir des institutions essentielles.
Nouvelle politique en matière de violence sexuelle approvée à l’Université Laurentienne
Conseil des gouverneurs approuve une politique axée sur la population étudiante
Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé une politique axée sur la population étudiante qui aborde la réponse à la violence sexuelle et la prévention.
« Nous sommes heureux que le Conseil des gouverneurs ait accepté cette politique créée en consultation avec la population étudiante de la Laurentienne, a dit le vice-recteur adjoint à l’équité, à la diversité et aux droits de la personne, M. Noël Badiou. La nouvelle politique représente plus de deux ans de travail par de nombreux intervenants à l’Université et aidera à sensibiliser les gens au processus pour répondre aux incidents de violence sexuelle et les traiter, tout en assurant que les membres de la collectivité universitaire sont conscients des ressources et des soutiens à leur disposition. »
Conformément à la Loi 132,Plan d’action contre la violence et le harcèlement sexuels de l’Ontario, le Groupe de travail sur la réponse aux agressions sexuelles et la prévention de l’Université Laurentienne a consulté des membres de la population étudiante ainsi que les représentants des groupes étudiants afin de mettre au point le cadre de la politique et leur a ensuite présenté l’embauche aux fins de rétroaction.
En plus des consultations auprès des étudiants, le Groupe de travail a aussi demandé l’avis d’experts dans ce domaine afin de tenir compte d’une large perspective en mettant au point les soutiens, services et adaptations appropriés en matière de violence sexuelle touchant les membres de la population étudiante.
« Je remercie toutes les personnes concernées de l’engagement et du dévouement dont ils ont fait preuve dans le cadre de ce projet important, a ajouté M. Badiou. La Laurentienne s’engage à créer et à conserver un milieu inclusif, sécuritaire et sain pour tous les membres de sa collectivité et chaque personne joue un rôle pour concrétiser cet objectif. »
Le Bureau de l’équité, de la diversité et des droits de la personne (BEDDP) de l’Université offre des ateliers aux conseillers en résidence et aux étudiants agissant comme mentors sur l’importance de l’inclusion et de la prévention de la violence sexuelle. Une introduction semblable est aussi offerte aux nouveaux membres de la population étudiante. En outre, des campagnes de sensibilisation et de formation ont été mises en œuvre pour l’ensemble de la communauté universitaire à la Laurentienne.
L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Les étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.
D’autres renseignements sur l’Université Laurentienne figurent à www.laurentienne.ca.
Progrès Majeurs dans la Recherche Autochtone à la Laurentienne
Trois annonces marquent une journée mémorable pour la recherche autochtone
La recherche autochtone à l’Université Laurentienne a reçu un bon coup de pouce lorsque le député fédéral Marc Serré a annoncé du financement pour la nouvelle Chaire de recherche du Canada en santé des Autochtones. De plus, la Laurentienne a annoncé la création de l’Institut de recherche autochtone Maamwizing et du Fonds pour l’avancement de la recherche autochtone pour accélérer la recherche dans ce domaine.
« L’Université Laurentienne s’est engagée à améliorer la capacité de recherche autochtone et les activités connexes, et nous sommes ravis de faire des progrès dans cette orientation stratégique, a dit le vice-recteur à la recherche, M. Riu Wang, Ph.D. Les trois annonces d’aujourd’hui auront de grandes répercussions sur la capacité et la qualité de la recherche autochtone à la Laurentienne, et nous nous réjouissons de conserver cet élan. »
Mme Jennifer Walker est la première titulaire de la Chaire de recherche du Canada en santé des Autochtones. Ses recherches menées en collaboration avec des communautés et organismes des Premières Nations et métis utiliseront des données sur les troubles de santé de la population et les services offerts au cours du cycle de vie, en se concentrant sur les maladies chroniques et les populations âgées. Ces recherches contribueront à améliorer l’utilisation des données sur la santé des Autochtones utilisées dans la planification des services et des politiques.
« J’attends avec impatience l’occasion d’appuyer les partenaires autochtones pour l’utilisation efficace des données et de voir l’incidence que notre vaste recherche aura. Les peuples autochtones ont une perspective holistique du bien-être qu’ils considèrent comme le reflet de la santé en général, a ajouté Mme Walker. En s’assurant de tenir compte des données recueillies sous une optique autochtone, nous espérons qu’elles serviront pour la “médecine qui guérit” et seront mises à profit pour le bien-être général des gens et des communautés autochtones. Cette recherche pourrait avoir une immense incidence sur la santé des générations futures des peuples autochtones et des communautés de tout le nord de l’Ontario. »
En vue de lancer la recherche autochtone concertée à l’échelle universitaire, la Laurentienne a créé l’Institut de recherche autochtone Maamwizing (IRAM) dont le principal objectif sera de mener et de promouvoir la recherche autochtone sociale et culturelle en collaboration avec des partenaires communautaires.
« Le mot “maamwizing” signifie “regroupement” ou “collaboration” en langue anishinaabe, a expliqué la vice-rectrice associée à l’enseignement et aux programmes autochtones, Mme Sheila Cote-Meek, Ph.D. Après la conférence inaugurale Maamwizing le mois dernier, l’IRAM continuera de mettre en lumière la recherche autochtone et facilitera le développement d’une nouvelle expertise pour nos communautés. »
Dans le cadre de son engagement permanent à encourager la recherche, la Laurentienne a créé le Fonds pour l’avancement de la recherche autochtone (FARA), assorti de 100 000 $ par an, pour appuyer tout particulièrement les initiatives de recherche autochtone à l’Université. En faisant des investissements stratégiques, le FARA aidera à favoriser des relations constructives durables et à explorer des solutions à des défis uniques qui se posent pour les peuples autochtones.
Au sujet de l’Université Laurentienne
L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Les étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.
Un nouveau centre de recherche et de développement en collaboration portera le nom de Norinne Perdue
Un investissement d’un million de dollars de la famille Perdue dans le nouveau centre de recherche et de développement
L’Université Laurentienne a annoncé un investissement d’un million de dollars de la famille Perdue dans le nouveau centre de recherche et de développement. En guise de reconnaissance, le centre sera nommé le Centre de recherche et de développement en collaboration Norinne E. Perdue.
Hébergé dans l’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff Fielding, le Centre de recherche et de développement en collaboration Norinne E. Perdue permettra aux chercheurs des sept facultés de l’Université de collaborer et de partager matériel et expertise. L’installation a été conçue à la suite de consultations auprès des secteurs industriels locaux, des chercheurs et du corps professoral et permettra d’optimiser les collaborations et possibilités pluridisciplinaires.
Norinne était la petite-fille de Cliff Fielding. Le nouveau centre sera situé dans le futur édifice qui portera, comme il a été annoncé récemment, le nom de son grand-père.
« La famille Perdue appuie depuis longtemps l’Université Laurentienne, a dit la présidente du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, Mme Jennifer Witty. Nos étudiants profitent énormément de sa générosité et, grâce à cet investissement, le Centre de recherche et de développement en collaboration permettra à notre région de continuer à prospérer. »
L’investissement de la famille Perdue était un élément important de la proposition de l’Université au Fonds d’investissement stratégique annoncé le 23 septembre 2016 par les gouvernements canadien et ontarien. Le projet s’élèvera à 60 700 000 $ et sera parachevé en 2018.
« Norinne croyait fermement qu’il fallait faire des études et travailler fort afin d’atteindre les objectifs, a affirmé M. Gerry Perdue, son mari. En partageant et travaillant ensemble, tout le monde est gagnant. Ce sont des valeurs que Norinne et moi avons inculquées à nos enfants à un très jeune âge. Ce centre commémorera le souvenir de Norinne en rehaussant les possibilités éducatives offertes aux étudiants et favorisant des collaborations qui se traduiront par des innovations dans le Nord. »
En 1960, Norinne Perdue, fille de Jim et Shirley Fielding, est née à Sudbury. Elle a fréquenté la Lockerby Secondary School jusqu’à la 12e année et a obtenu ensuite un diplôme de la Sudbury Secondary School comme lauréate du Mérite scolaire de l’Ontario. Elle a fait des études de B.A. à l’Université de Toronto et ensuite à l’Université Laurentienne en préparation de ses études supérieures menant à la maîtrise ès arts à l’Université Columbia, à New York.
Elle affichait toujours un intérêt pour ses propres études ainsi que les réussites scolaires de ses enfants et appuyait aussi les autres dans la poursuite de leurs objectifs éducationnels et de leurs intérêts. En outre, Norinne excellait au dressage et a gagné à deux reprises les Championnats juniors canadiens de dressage pendant ses études à Toronto.
Au sujet de l’Université Laurentienne
L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Les étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.
Mme Linda Ambrose dirigera l’élaboration du prochain plan stratégique de la Laurentienne
Ambrose assumera le rôle de conseillère spéciale auprès du recteur
L’Université Laurentienne est fière d’annoncer que Mme Linda Ambrose assumera le rôle de conseillère spéciale auprès du recteur pour la période allant du 1er janvier 2017 au 31 mars 2018.
Dans ce rôle, Mme Ambrose appuiera le travail d’un comité directeur représentatif qui sera créé en février 2017 pour mettre au point le prochain plan stratégique de l’Université. Elle guidera la portée, les principes et le processus approuvés par le Conseil des gouverneurs et acceptés par le Sénat afin d’en assurer la mise en œuvre.
« Nous nous réjouissons de voir Mme Ambrose diriger cette initiative si importante pour la Laurentienne, a dit M. Dominic Giroux. Elle est bien connue et très respectée au sein de la communauté universitaire et a une riche connaissance et compréhension de l’Université Laurentienne. Même si certains établissements se fient à des experts-conseils externes pour mener leur exercice de planification stratégique, nous avons préféré choisir une personne de talent au sein de notre université, comme nous l’avons fait en 2011, pour diriger ce processus collégial. »
Mme Linda Ambrose
Professeure titulaire au Département d’histoire, Mme Ambrose a été lauréate du Prix d’excellence en enseignement et du Prix pour femmes exceptionnelles de l’Université Laurentienne. En plus de son engagement envers la francophonie, de sa participation à la promotion des perspectives autochtones et de sa présence sur les médiaux sociaux, elle a acquis une expérience panuniversitaire au Sénat et à la Foire annuelle des universités ontariennes (pour ne nommer que celles-ci) et a exercé les fonctions de doyenne intérimaire des Facultés des sciences sociales et des humanités.
Comme professeure à la Laurentienne depuis 22 ans et coauteure du livre L’Université Laurentienne : Une histoire (McGill-Queen’s University Press, 2010), elle connait très bien cet établissement. Lauréate de prix de la Société historique de l’Ontario pour ses publications érudites, elle s’intéresse dans ses projets de recherche actuels à l’histoire des femmes en régions rurales et à l’histoire des sexes dans le pentecôtisme canadien. Parmi ses livres récents, il faut souligner A Great Rural Sisterhood: Madge Robertson Watt and the Associated Country Women of the World (University of Toronto Press, 2015) et le recueil Women in Agriculture: Professionalizing Rural Life in North America and Europe, 1880-1965 (University of Iowa Press, sous presse), qu’elle a coédité.
« Diriger le processus de planification stratégique de la Laurentienne sera un défi intéressant, a souligné Mme Ambrose, et j’ai hâte de collaborer avec les étudiants, collègues, membres du Conseil des gouverneurs, diplômés et partenaires communautaires qui aideront à façonner et à orienter notre nouveau plan stratégique. »
Il s’agit de la dernière année du Plan stratégique 2012-2017 de l’Université Laurentienne qu’un éditorial du Globe and Mail d’octobre 2012 qualifiait « d’excellente stratégie ». Audacieux, ambitieux, déterminé et concis, le Plan de 2012-2017 a été mis au point à la suite de consultations exhaustives qui ont permis de recueillir quelque 900 commentaires et suggestions.
Le Prix Latner de poésie, dont le lauréat est choisi par un jury autonome, souligne l’ensemble des travaux d’un poète en milieu de carrière qui apportera de futures contributions à la poésie canadienne.
« Dans ses sept recueils de poésie, Gregory Scofield nous impressionne par ses paroles mémorables et nuances subtiles. Il épouse les formes musicales, documentaires et expérimentales en alimentant une vision de risque et de générosité. L’étendue de ses sujets, de son œuvre et de son style parcourt les réalités urbaines et rudimentaires et illustre le confort des rythmes cri, allant du battement de cœur du tambour au flux poétique d’un jeune Louis Riel. » - Jury du Prix Latner de poésie.
Au sujet de l’Université Laurentienne
L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.
L'Université Laurentienne félicite Mme Lucie Moncion de sa nomination au Sénat du Canada
Une ancienne de la Laurentienne siègera à titre de sénatrice indépendante représentant l’Ontario
Le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, Dominic Giroux, a félicité à son tour Mme Lucie Moncion de sa nomination au Sénat du Canada comme représentante de l’Ontario.
« Nous sommes fiers de voir nommer au Sénat Mme Lucie Moncion, une ancienne de a Laurentienne ayant accumulé d’impressionnantes réussites professionnelles, a dit M. Giroux. Grâce à son expérience et son expertise considérables, elle est un bon choix pour représenter l’Ontario et nous lui souhaitons du succès pour l’avenir. »
Mme Lucie Moncion est titulaire d’un baccalauréat en administration des affaires spécialisé en administration des coopératives de l’Université Laurentienne ainsi qu’une maîtrise en administration des affaires de l’Université de Moncton. Elle détient les titres professionnels d’administratrice de sociétés de l’Université Laval et de directrice agréée de l’Université McMaster.
Au cours de sa carrière, Mme Moncion a occupé de nombreux postes au sein du réseau des caisses populaires de l’Ontario. Depuis mai 2001, elle occupe le poste de présidente et chef de la direction de l’Alliance des caisses populaires de l’Ontario, devenant ainsi la première femme à occuper un tel poste dans une fédération de caisses populaires au Canada. L’Alliance regroupe 12 caisses populaires qui servent 23 municipalités francophones du nord-est de la province. Mme Moncion joue un rôle important dans le développement économique des communautés francophones et apporte une stabilité importante aux opérations de L’Alliance. En effet, la croissance de l’actif a presque triplé depuis son arrivée à la direction générale et se situe à 1,4 milliard de dollars. Mme Moncion est devenue présidente du Conseil d’administration de coopératives et mutuelles Canada en 2016 et est également présidente du Conseil de la coopération de l’Ontario. Active au sein des instances gouvernementales et de sa communauté, elle a siégé à divers conseils d’administration, entre autres comme vice-présidente du conseil de direction de l’Université Nipissing, trésorière du conseil de Direction Ontario et membre du conseil d’administration du Collège Boréal.
Au sujet de l’Université Laurentienne
L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.
L’Université Laurentienne rend hommage à deux éminents Sudburois
MM. Rick Bartolucci et Antoni Cimolino recevront un doctorat honorifique aux collations des grades de l’automne
Aux cérémonies de Collation des grades de l’automne, l’Université Laurentienne conférera un doctorat honorifique à l’enseignant et au politicien de longue date, M. Rick Bartolucci, et au directeur artistique du Festival Stratford, M. Antoni Cimolino.
« Sur la scène de la politique et du théâtre, les lauréats des doctorats honorifiques de cet automne sont la preuve que les diplômés en arts peuvent aller loin, a dit le chancelier Steve Paikin. Une formation dans les arts apporte des connaissances théoriques et transférables qui peuvent déboucher sur toute une gamme de voies professionnelles pour les personnes qui se servent de leur imagination et s’ouvrent à des possibilités nouvelles. »
M. Antoni Cimolino
M. Antoni Cimolino recevra un doctorat ès lettres à la cérémonie de 10 h. Directeur artistique du Festival Stratford et metteur en scène des productions de Macbeth et The Hypochondriac en 2016, M. Cimolino est né à Sudbury, où il a terminé ses études secondaires. Ce sont les enseignants aux collèges St. Charles et Marymount qui lui ont présenté le théâtre et fait naître son amour pour l’art dramatique. Dans la communauté théâtrale mondiale, il est un artiste respecté et un influent leader. En 1988, il a lancé sa carrière Stratford à titre de comédien et, vers le milieu des années 1990, a commencé à faire de la mise en scène, s’attirant des éloges pour de nombreuses productions. Il adore en effet enrichir la vie des autres au moyen de l’éducation et des arts. Son engagement envers ceux-ci l’a entraîné à diriger la participation du Festival dans un projet en collaboration avec CUSO, organisme coopératif canadien de bénévolat international, pour créer un centre d’éducation et des arts de la scène dans la ville de Suchitoto, au El Salvador.
M. Rick Bartolucci
M. Rick Bartolucci recevra un doctorat en droit à la cérémonie de 14 h 30. Né à Sudbury, M. Bartolucci a obtenu un baccalauréat ès arts de l’Université
Laurentienne en 1973. Il a été, pendant 30 ans, enseignant et directeur d’école au Sudbury Catholic District School Board avant de commencer sa carrière
« Nous sommes fiers de rendre hommage à deux Sudburois qui font preuve de vision, d’ambition et de cran en assumant des rôles de leadership qui améliorent nos vies et enrichissent nos communautés, a ajouté le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Nous sommes fiers de les accueillir comme membres distingués de notre collectivité universitaire. »
Les deux cérémonies auront lieu dans l’auditorium de l’édifice H.J.-Fraser. Les interviews avec les membres des médias peuvent se tenir avant la tenue des cérémonies.
Les cérémonies de collation des grades sera en direct streaming et disponibles pour les médias qui ont la capacité COMREX et Dejero.
La Laurentienne désigne le nouvel Édifice de recherche, d'innovation et de génie en l'honneur de M. Clifford A. Fielding
Un investissement de 3 000 000 $ de la famille Fielding permet d’édifier une installation de pointe
En l’honneur d’un investissement de 3 000 000 $ de Mme Lily Fielding et de sa famille, l’Université Laurentienne désignera son nouveau centre ultramoderne « Édifice de recherche, d’innovation et de génie Clifford A. Fielding ».
Pour souligner ce don, l’Université rendra également hommage à M. Jim Fielding, le fils décédé de Clifford et Lily Fielding. M. Jim Fielding croyait fermement dans l’enseignement et aimait beaucoup le rôle que joue la Laurentienne dans l’accès à celui-ci et la stimulation de l’activité économique et de l’innovation dans la Ville du Grand Sudbury, le nord de l’Ontario et ailleurs.
« La famille Fielding appuie ce projet depuis le début et a joué un rôle à part entière dans la réalisation de cette expansion fort nécessaire des locaux de recherche et d’innovation dans notre région, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Cliff a été un grand ambassadeur de notre ville et a encouragé la croissance innovatrice dans le nord. Sa famille marche dans ses traces et nous sommes fiers de désigner cet édifice en son honneur. »
L’investissement de Mme Lily Fielding et de sa famille a occupé une place importante au sein d’une proposition de financement dans le cadre d’un investissement stratégique annoncé par les gouvernements du Canada et de l’Ontario le 23 septembre 2016. Le projet totalise 60 700 000 $ et sera terminé en 2018.
« Nous sommes heureux d’aider l’Université Laurentienne à stimuler la croissance et l’innovation dans notre communauté, a dit le premier diplômé de l’Université Laurentienne à présider le Conseil des gouverneurs, M. Jamie Wallace. L’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Clifford. A. Fielding aura une immense influence sur l’avancement de l’activité économique et de l’innovation dans la Ville du Grand Sudbury, le nord-est de l’Ontario et au-delà. »
Depuis longtemps, la famille Fielding fait des investissements dans la Laurentienne et la communauté sudburoise, dont un généreux don récent de Mme Lily Fielding qui a rendu possible la création du plus grand parc de la ville, le Parc Kivi. En outre, la famille Fielding a établi d’importantes bourses d’études à l’Université Laurentienne et à l’École de médecine du Nord de l’Ontario, y compris la Bourse d’études supérieures Clifford Fielding, la Bourse en gestion Brenda-Wallace et la Bourse commémorative Jim Fielding. En 1968, la générosité de la famille Fielding a permis la construction de la Chapelle commémorative Fielding de St. Mark à l’Université Thorneloe.
L’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Clifford. A. Fielding inclura des locaux de recherche-développement en collaboration, d’innovation et de commercialisation ainsi que des locaux fort nécessaires pour l’École de génie Bharti primée, y compris quatre laboratoires Capstone d’innovation, un laboratoire d’analyse des matériaux, un laboratoire de mécanique environnementale et des sols, un atelier de conception de prototypes, un laboratoire de logiciels intégrés et amphithéâtre, et un laboratoire d’hydraulique et de mécanique des fluides. Chacun de ces locaux a été déterminé en consultation avec l’industrie locale afin d’optimiser les possibilités de collaboration interdisciplinaire.
Au sujet de Clifford A. Fielding
M. Cliff Fielding est né en 1915 dans la ferme familiale qui est maintenant le parc Fielding, dans le canton de Waters, et a été élevé à Copper Cliff. Entrepreneur à l’âge de 20 ans, il a créé une entreprise de transport de minerai et de gravier pour les entreprises minières et pour fournir des services de construction. À ses débuts, l’entreprise assurait le transport avec les chevaux de la ferme familiale et s’est peu après dotée d’un camion.
En 1950, Cliff Fielding Limited avait 50 employés et une flotte de 40 camions. M. Fielding avait alors établi Wavy Industries qui fabriquait du béton prêt à l’emploi et du mélange à ciment en vrac. À son décès, M. Fielding était président-directeur général de Waters Holding Corporation et avait des intérêts dans Alexander Centre Industries Limited (ACIL), Fisher Wavy Inc., Wavy Industries, Fisher Construction of Sudbury, et Fisher Harbour sur l’île La Cloche. Il a aussi été propriétaire de la Northern Ski Company qui a fabriqué des skis alpins et de fond de 1943 à 1950.
Réputé pour ses entreprises florissantes dans la région de Sudbury, M. Fielding a en outre travaillé pour le Canadian Pacific Railway et a siégé au Conseil de l’Hôpital Memorial et de l’Université Laurentienne (1964-1979). Il a reçu un doctorat honorifique ès sciences de l’Université Laurentienne et un autre en droit canon de l’Université Thorneloe.
Au sujet de Malcolm James (Jim) Fielding
Pour sa part, fier Sudburois né et élevé à Sudbury, M. Jim Fielding a présidé le Conseil d’Alexander Centre Industies Ltd. (ACIL), de la Waters Holding Corporation et de sociétés associées créées par son père en 1935.
Il a été élu au Conseil du Canadien Pacifique le 7 mai 1986 et y a siégé jusqu’en avril 2000 après y avoir été réélu à diverses reprises.
Au sujet de l’Université Laurentienne
L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.
Les gouvernements fédéral et ontarien s'associent pour investir 27 400 000 dans l'infrastructure de la Laurentienne
Volet d’un projet de 60 700 000 $ comprenant un nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie
23 SEPTEMBRE 2016– Les gouvernements fédéral et ontarien investiront, respectivement, 21,1 et 6,3 millions de dollars dans l’infrastructure de recherche et d’innovation à l’Université Laurentienne. Inscrite dans le cadre d’un vaste programme d’immobilisations totalisant 60 700 000 $, lequel devrait s’achever en mars 2018, cette enveloppe de 27 400 000 $ viendra financer la construction immédiate d’un nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie de 47 000 pieds carrés. L’annonce en a été faite aujourd’hui par les députés Marc Serré et Paul Lefebvre, la vice-première ministre, Deb Matthews, et le ministre de l’Énergie et député provincial de Sudbury, Glenn Thibeault.
« Le soutien substantiel reçu aujourd’hui, soit les 27 400 000 $ annoncés conjointement par les gouvernements fédéral et provincial, le plus grand soutien à l’infrastructure depuis la création de la Laurentienne il y a 56 ans, permet l’expansion de l’espace de recherche et d’innovation tant nécessaire dans notre région, a déclaré la présidente du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, Mme Jennifer Witty. Grâce à cet investissement, nous bâtirons l’infrastructure nécessaire pour appuyer l’enseignement et la recherche, favoriser l’innovation et créer des possibilités pour les étudiants tout en renforçant l’économie. »
L’investissement fédéral se fait par le truchement du Fonds d’investissement stratégique pour les établissements postsecondaires annoncé dans le budget fédéral de 2016. Ce fonds, doté de 2 milliards de dollars, est destiné à stimuler la création d’emplois, à accroître les efforts de recherche et à cultiver l’innovation en améliorant, voire en modernisant, les installations de recherche dans les campus universitaires canadiens, tout en renforçant leur durabilité environnementale.
« Les établissements d’enseignement postsecondaire au Canada, affirme le ministre de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique, l’honorable Navdeep Bains, sont des agents de première ligne dans la promotion de la science et de l’excellence en recherche. Ils aident à former la main-d’œuvre de demain et à créer pour le secteur privé et les décideurs les connaissances et les perspectives nécessaires à l’édification d’une économie florissante et verte. L’Université Laurentienne s’est dotée des plans ambitieux, créateurs d’emplois bien rémunérés dans cette collectivité et porteurs de croissance économique pour les années à venir. »
L’investissement provincial comprend un apport de 5 000 000 $ de la Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario. « Le gouvernement de l’Ontario est fier d’appuyer ce projet d’envergure qui se traduira par de nouvelles installations nécessaires pour préparer les étudiants à une carrière fructueuse dans les domaines du génie et de la recherche, a déclaré la ministre ontarienne de l’Enseignement supérieur et de la Formation professionnelle, l’honorable Deb Matthews. Grâce à ces investissements, les membres de la population étudiante, du corps professoral et du personnel travailleront dans des installations ultramodernes qui feront avancer la recherche de pointe du pays et favoriseront tant l’apprentissage à vie que la formation professionnelle. »
Le nouvel édifice de recherche, d’innovation et de génie sera situé entre les édifices Parker et Fraser du campus de Sudbury et comprendra ce qui suit :
Espace coopératif de recherche et développement, permettant aux chercheurs de l’Université de mettre en commun l’équipement et les compétences voulues pour exploiter des instruments très spécialisés.
Espace d’innovation et de commercialisation pour aider les nouvelles entreprises à combler le fossé actuel entre le laboratoire et le marché. Pour ce faire, l’Université mettra à profit son partenariat avec le Northern Centre for Advanced Technology (NORCAT).
Quatre laboratoires d’innovation Capstone permettant aux étudiants de génie civil, chimique, mécanique et minier de mettre leurs connaissances et compétences à l’œuvre et de s’attaquer à des problèmes de conception créative de véritables clients.
Un laboratoire d’analyse de matériaux pour appuyer les chercheurs, les étudiants et les partenaires de l’industrie dans le domaine de l’analyse chimique ainsi que dans les essais mécaniques, métallurgiques, de corrosion, de traitement thermique et de capacité.
Un laboratoire d’études environnementales et de mécanique des sols, équipé d’instruments, de salles d’environnement et d’autres équipements spécialisés, pour appuyer la recherche, l’innovation et les partenaires de l’industrie dans la conception des structures de fondation et en terre et aborder des problèmes dans plusieurs domaines (chimie de l’eau, microbiologie environnementale, processus physiques et chimiques, procédés microbiologiques) de même que de l’équipement d’analyse et de systèmes de traitement en laboratoire.
Un atelier de développement de prototypes et de construction mécanique pour favoriser les travaux d’innovation nécessitant des installations physiques.
Un laboratoire de logiciels et une salle de conférence intégrés, équipés pour les activités assistées par ordinateur et les logiciels d’ingénierie. Cette capacité supplémentaire permettra aux étudiants en génie civil de finir les années 3 et 4 à l’Université Laurentienne et pourra accueillir les étudiants bilingues en génie qui doivent actuellement aller ailleurs, de 400 à 600 km, pour se diplômer.
Un laboratoire de circuits hydrauliques et de mécanique des fluides permettant aux étudiants en génie d’en apprendre plus et de faire des recherches sur les débits fluidiques à canal ouvert et fermé.
« Au cours des dix dernières années, l’Université Laurentienne a reçu plus de 200 000 000 $ en fonds de recherche tandis que, au cours de la même période, les inscriptions à l’École de génie Bharti, un établissement primé, ont augmenté, passant de 100 à 700 étudiants, indique le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux. Nous avons un rôle important à jouer dans le soutien à la recherche et à l’innovation en créant des possibilités à la fois pour les étudiants et les partenaires de l’industrie. Le soutien reçu des gouvernements fédéral et provincial nous aidera certainement à répondre à ces impératifs. »
Outre le nouvel Édifice de recherche, d’innovation et de génie, le programme d’immobilisations de l’UL, chiffré à 60 700 000 $, la verra investir dans une nouvelle Unité de recherche cardiovasculaire et métabolique, un nouveau service aux étudiants à guichet unique, un nouveau Centre autochtone de partage et d’apprentissage, les rénovations de cinq laboratoires de la Faculté des sciences de la santé et une nouvelle toiture à la Bibliothèque J.N.-Desmarais. Cela comprend aussi un partenariat de 11 200 000 $ avec Greater Sudbury Utilities dans le cadre d’une initiative de cogénération devant moderniser les systèmes de chauffage de l’Université, à l’échelle du campus, à la suite de la mise en place d’un réseau urbain, à haute efficacité énergétique, axé sur la production combinée de chaleur et d’électricité, une initiative qui permettra à l’UL de réduire sa consommation d’électricité de 79 %.
D’après une étude réalisée par le cabinet KPMG, l’activité économique directe tributaire de ce projet, en résultats économiques bruts, est estimée à plus de 102 000 000 $, dont 54 000 000 $ en contribution au produit intérieur brut du Canada. Par ailleurs, le projet devrait appuyer 625 années-personnes d’emploi.
Le projet RIG (Recherche, innovation et génie) de la Laurentienne a été développé de concert et en réponse aux besoins propres à la collectivité et recensés, entre autres, par la Ville du Grand Sudbury, la Chambre de Commerce du Grand Sudbury, la SAMSSA (Sudbury Area Mining Supply and Service Association), Greater Sudbury Utilities, Horizon Santé-Nord, Science Nord, NORCAT - Sudbury Innovation Centre, le Conseil consultatif mondial de l’École de génie Bharti et le Conseil de l’Université Laurentienne pour la formation des Autochtones (CULFA). La Laurentienne a reçu plus de 50 lettres d’appui des partenaires de la collectivité et de l’industrie. Pour en savoir plus sur le projet, cliquez ici.