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Le Conseil des gouverneurs de la Laurentienne accueille quatre nouveaux membres

Le Conseil des gouverneurs de la Laurentienne accueille quatre nouveaux membres

Quatre nouveaux membres au Conseil des gouverneurs pour un mandat de trois ans.

2 février 2016 – L‘Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de quatre nouveaux membres au Conseil des gouverneurs pour un mandat de trois ans, à savoir MM. Stuart Harshaw, Brian Lyle Montgomery et Yves Pelletier et Mme Tina Sartoretto.

 

M. Stuart Harshaw est le nouveau vice-président des opérations de l’Ontario chez Vale Canada Limited et était, avant cela, vice-président au marketing et aux ventes pour l’Asie pacifique à Vale Base Metal. Depuis qu’il s’est joint à Inco (maintenant Vale) en 1990, il a exercé diverses fonctions dans le génie, les opérations et le marketing. En outre, il est, depuis octobre 2014, commissaire de PT Vale Indonesia Tbk. Il est titulaire d’une MBA de l’Université Laurentienne et d’un baccalauréat ès sciences en génie métallurgique de l’Université Queen’s.

 

Né et élevé dans la région de Sudbury, M. Brian Lyle Montgomery est avocat et associé retraité du cabinet Weaver Simmons LLP. Reconnu pour son expertise dans tous les aspects du droit des mines, des sociétés, de l’immobilier et des affaires, il accorde beaucoup d’importance à la communauté de Sudbury et a siégé à de nombreux conseils, y compris ceux du YMCA, de la Chambre de commerce de Sudbury et du district, du Sudbury Theatre Centre, du Idylwylde Golf and Country Club et du Greater Sudbury Utilities Inc. Il est actuellement membre des conseils de la Galerie d’art de Sudbury, de Transition Metals Corp. et de Sudbury Platinum Corporation. Il est titulaire d’un baccalauréat ès arts et d’un baccalauréat en droit à l’Université de Windsor.

 

Né et élevé à Sudbury, M. Yves Pelletier est expert-conseil chevronné en enseignement supérieur et ex-sous-ministre adjoint de l’enseignement postsecondaire au Nouveau-Brunswick. Il a aussi occupé des postes de leadership au Conseil de recherches en sciences humaines, à la Fondation canadienne des bourses d’études du millénaire et à Ressources humaines et Développement des compétences Canada (maintenant appelé Emploi et Développement social Canada). Il est titulaire de baccalauréats de la Laurentienne et de l’Université d’Ottawa, d’une maîtrise de l’Université d’Ottawa et d’un doctorat en histoire de l’Université Queen’s. Il siège actuellement au comité directeur de l’Association des anciens de l’Université Laurentienne.

 

Mme Tina Sartoretto est mairesse de la Ville de Cobalt. Elle a été vice-présidente à l’enseignement et aux services étudiants au Collège Boréal et secrétaire générale au Collège Cambrian. Dans la communauté, elle a participé entre autres aux activités du Club Rotary Sudbury Sunrisers et de Centraide. Elle a obtenu un baccalauréat en éducation physique et santé de l’Université Laurentienne et une maîtrise en éducation de l’Université de Boston.

« Nous tenons à souligner la vaste expérience et le bel enthousiasme qu’apportent nos nouveaux membres au Conseil, a exprimé M. Michael Atkins, président du Conseil des gouverneurs, et avons hâte de collaborer avec eux lors d’un autre chapitre intéressant de l’histoire de la Laurentienne. »

 

Ces quatre nouveaux membres viennent remplacer MM. Andrew Battistoni, John Pollesel et Kelly Strong et Mme Julie Strong qui ont siégé avec distinction pendant de nombreuses années au Conseil des gouverneurs. « Le Conseil est très reconnaissant des importantes contributions de ces personnes, a ajouté M. Atkins, et de l’appui indéfectible qu’elles prêtent à la Laurentienne. »

Les étudiants de l'École de génie Bharti de la Laurentienne remportent encore les grands honneurs

Les étudiants de l'École de génie Bharti de la Laurentienne remportent encore les grands honneurs

Les équipes seniors se dirigent aux épreuves nationales après avoir remporté la victoire à la Compétition d’ingénierie de l’Ontario

1er février 2016 – L’École de génie Bharti de l’Université Laurentienne a continué à dominer la Compétition d’ingénierie de l’Ontario, ses équipes se classant au premier rang de deux catégories le week-end dernier, à l’Université de Waterloo. Dans le cadre du concours provincial, les étudiants de la Laurentienne ont décroché le premier prix dans les catégories de design senior et de génie-conseil. Les équipes gagnantes de l’École Bharti se rendront maintenant à la Compétition canadienne d’ingénierie qui aura lieu à l’Université McGill, à Montréal (Québec), du 3 au 6 mars 2016.

 

« Il s’agit d’un autre moment historique pour l’Université Laurentienne et l’École de génie Bharti, a dit le recteur et vice-chancelier, M. Dominic Giroux. Nous sommes ravis pour ces étudiants et pour l’expérience et la formation pratique qu’ils acquièrent et continuerons à les encourager. »

 

L’équipe de design senior de la Laurentienne se compose d’étudiants de la troisième année du programme de génie mécanique, à savoir Colin Roos, Stephane Labine, Matt Bennison et Aidan Simpson. Cette équipe a remporté l’épreuve de design junior à la Compétition d’ingénierie de l’Ontario 2015 et a gagné aussi la Compétition canadienne d’ingénierie 2015.

 

Une équipe de la Laurentienne a aussi obtenu la victoire dans la catégorie de génie-conseil de la compétition provinciale et représentera l’Ontario lors de la Compétition canadienne d’ingénierie. Inscrits à la quatrième année du programme de génie chimique, les membres de cette équipe sont Frederique Belanger, Jasmina Omri, Joseph Fyfe et Tyler Provencal.

 

« Ces honneurs mettent en évidence nos programmes de génie à la Laurentienne, a ajouté le directeur de l’École de génie Bharti, M. Ramesh Subramanian, Ph.D. Notre équipe de design senior a encore mis ses forces en valeur au concours provincial contre une vive concurrence et, pour la première fois, l’une de nos équipes a gagné la catégorie de génie-conseil. Je suis tellement fier de ces étudiants de talent exceptionnel. »

 

Avant la tenue de la compétition nationale à Montréal, les étudiants de génie minier de la Laurentienne participeront au Jeux miniers du Canada, à UBC, à Vancouver, du 18 au 21 février.

 

Les étudiants de l’École de génie Bharti de la Laurentienne se sont distingués dans de nombreux concours provinciaux, nationaux et internationaux. Ils ont remporté les Jeux miniers du Canada plus souvent que les étudiants de toute autre université canadienne. En 2011, l’équipe de la Laurentienne a remporté le concours de robots lunaires de la NASA avec son concept de module lunaire-minier télécommandé.

 

De plus amples renseignements sur la Compétition d’ingénierie de l’Ontario et la Compétition canadienne d’ingénierie figurent respectivement à oec2016.io et à www.cec2016.com.

 

Une collaboration innovante et renforcée entre l'Université Laurentienne, le Collège Boréal et La Cité

Une collaboration innovante et renforcée entre l'Université Laurentienne, le Collège Boréal et La Cité

Établissement d’un parcours accessible et sans précédent pour les diplômés collégiaux francophones en administration des affaires

Sudbury ON, le 26 janvier 2016 – L’Université Laurentienne, le Collège Boréal et La Cité ont procédé aujourd’hui à la signature d’une entente d’articulation accélérant l’obtention d’un baccalauréat en administration des affaires pour les diplômés des deux collèges francophones de la province.

 

Dès septembre 2016, les diplômés des programmes de deux ans en Techniques en administration des affaires du Collège Boréal et de La Cité bénéficieront d’un modèle avantageux de type 2+2 permettant d’acquérir un baccalauréat en administration des affaires (B.A.A.) de l’Université Laurentienne. Selon cette entente, les diplômés collégiaux n’auront qu’à compléter l’équivalent de deux ans d’études universitaires ainsi qu’un cours de statistique afin d’obtenir leur diplôme. Cette reconnaissance est sans précédent au sein de la communauté francophone dans le domaine de l’administration et figure parmi les plus profitables en Ontario.   

 

Les étudiants du Collège Boréal et de La Cité désireux de poursuivre leurs études à la Faculté de gestion de l’Université Laurentienne pourront également accéder à leur cours en français soit sur campus ou selon un modèle hybride. Cette flexibilité permettra à ceux qui désirent entrer dans le monde du travail de compléter leur formation à distance tout en poursuivant leurs activités professionnelles. De plus, la combinaison d’un diplôme collégial et d’un baccalauréat fournira à ces étudiants un avantage concurrentiel sur le marché du travail et l’accès à plusieurs désignations professionnelles.

 

Cette entente a été réalisée grâce à une subvention du Conseil pour l’articulation et le transfert – Ontario (CATON).

 

Citations :

 

« Mise sur pied par l’Université Laurentienne, le Collège Boréal et La Cité, cette entente s’inscrit dans une volonté assumée de faire progresser le continuum d’études postsecondaire en français, à l’échelle de l’Ontario. En tant que première université bilingue désignée en vertu de la Loi sur les services en français, la Laurentienne veut reconnaître la qualité des programmes de formation en français offerts au niveau collégial et augmenter les passerelles francophones menant au niveau universitaire pour le bénéfice des étudiants. »

            Dominic Giroux, recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne

 

« Par cette nouvelle entente d’articulation, le Collège Boréal et ses partenaires poursuivent une collaboration étroite à l’échelle de la province afin d’offrir aux étudiantes et étudiants francophones de tout l’Ontario davantage de flexibilité dans l’atteinte et la réalisation de leurs objectifs de carrière. Cette initiative témoigne d’une volonté conjointe qu’ont le Collège Boréal, La Cité et l’Université Laurentienne de travailler ensemble dans le cadre d’une stratégie concertée plaçant ces étudiantes et étudiants au premier plan. » 

Pierre Riopel, président du Collège Boréal

 

« Cette nouvelle entente, une collaboration innovante et renforcée, témoigne d’une volonté commune entre nos trois établissements d’offrir à nos étudiants et étudiantes ce qu’il y a de mieux comme options de formation tout en répondant davantage aux réalités actuelles et futures du marché de l’emploi. »

Lise Bourgeois, présidente de La Cité

 

« Le CATON est fier d’apporter un soutien à ses partenaires collégiaux et universitaires, comme l’Université Laurentienne, le Collège Boréal et La Cité, dans leur engagement envers l’établissement d’un système éducatif qui répond aux besoins des étudiants. Cette entente est axée sur la mobilité et permettra à former des diplômés hautement compétents, hétérogènes et capables de s’adapter aux exigences économiques de l’Ontario. »

Glenn Craney, directeur général du Conseil pour l’articulation et le transfert – Ontario

L'Université Laurentienne signe l'appel de Paris

L'Université Laurentienne signe l'appel de Paris

Plus de 1 000 signataires dans le monde s’engagent à appuyer l’entente parisienne

22 décembre 2015 – L’Université Laurentienne s’est jointe au nombre croissant de signataires de l’Appel de Paris, émis le 16 décembre 2015, et s’engage ainsi à soutenir toute action pour réduire immédiatement les émissions de gaz et à respecter voire dépasser le niveau d’ambition énoncé par l’accord adopté à la récente COP21. L’Université Laurentienne est parmi les premières universités canadiennes à signer l’appel.

 

Selon l’organisme l’Appel de Paris, cet engagement présente « une occasion unique pour les acteurs non étatiques de voir reconnaître leur leadership en matière de climat dans le contexte de la COP21. » Les signataires « saluent l’adoption, à la COP21 à Paris, d’une nouvelle entente universelle pour le climat, qui s’avère une étape clé pour nous aider à régler le problème du changement climatique. Nous nous engageons à apporter notre appui pour que soit respecté, même dépassé, le niveau visé par l’accord. Ainsi, nous prendrons collectivement et individuellement, dès maintenant, des mesures concrètes sans attendre l’entrée en vigueur de l’entente en 2020, afin de ramener les émissions de gaz à effet de serre à des niveaux acceptables et de développer une résistance aux effets néfastes qui ont lieu déjà. »

 

L’Université Laurentienne se joint à plus de 1 000 villes, conseils municipaux et régionaux, compagnies, investisseurs, groupes de la société civile, organismes syndicaux et signataires divers de partout dans le monde pour favoriser un avenir stable, durable et moins pollué par le carbone afin de limiter la hausse des températures mondiales à moins de 2° Celsius.

 

« Notre établissement est fier de ses nombreuses réalisations axées sur la durabilité jusqu’à présent, a dit la gestionnaire de l’énergie et de la durabilité à la Laurentienne, Mme Kati McCartney, grâce à des innovations de recherche mettant au point des technologies dont le monde a besoin et à des modifications apportées à notre fonctionnement quotidien tout simplement pour réduire l’empreinte de carbone. La signature de cet accord est une preuve de plus de notre engagement et nous espérons qu’elle inspirera les autres et les motivera à le signer également. »

 

« Que ce soit des recherches sur l’écologie des lacs, la surveillance du changement climatique ou le projet de reverdissement reconnu mondialement, a ajouté le recteur et vice-chancelier de la Laurentienne, M. Dominic Giroux, l’Université Laurentienne s’est affirmée comme chef de file dans les sciences environnementales et la durabilité. Nous maintenons notre engagement afin d’accélérer les mesures transformatives qui s’imposent pour adresser les défis du changement climatique. »

 

 

En 2014, avec quelque 400 collèges et universités dans plus de 40 pays, l’Université Laurentienne a signé la Déclaration de Talloires, plan d’action à dix points qui vise à incorporer les connaissances en durabilité et environnement à l’enseignement, à la recherche, au fonctionnement et aux activités de rayonnement.

L’Université Laurentienne embauche le prochain vice-recteur aux études

L’Université Laurentienne embauche le prochain vice-recteur aux études

Le Conseil des gouverneurs nomme M. Pierre Zundel

Le 8 décembre 2015 – Aujourd’hui, le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé la nomination de M. Pierre Zundel, Ph.D., au poste de vice-recteur aux études. Il entrera en fonction le 1er juillet 2016.

Après seize ans comme professeur et directeur de département à l’Université de Moncton et à l’Université du Nouveau-Brunswick (UNB), M. Zundel a été cadre supérieur de l’enseignement pendant douze ans, tout d’abord comme doyen du Collège Renaissance de l’UNB (2004 à 2009) puis comme recteur et vice-chancelier de l’Université de Sudbury (depuis 2009). Sous sa direction, l’Université de Sudbury a créé des programmes satellites de transition sur la côte de la baie James et à l’île Manitoulin, accomplissement souligné par la Chambre de commerce du Canada comme un modèle pour l’enseignement régionalisé dans les collectivités autochtones. Même si les demandes dans les arts et le journalisme ont baissé à l’échelle provinciale, les inscriptions aux cours ont augmenté et le budget a été équilibré pour cinq ans consécutifs.

En 2014, il a été reconduit dans ses fonctions de recteur et vice-chancelier de l’Université de Sudbury.

M. Zundel a été nommé « Teaching Scholar » de l’UNB en 2001, a reçu le prix régional du leadership en enseignement de l’Atlantic Association of Universities en 2002 et a remporté un prestigieux Prix national 3M d’excellence en enseignement en 2003. En 2006, alors qu’il était à la tête du Collège Renaissance, l’établissement a reçu le prix Alan K. Blizzard pour l’enseignement en collaboration décerné par la Société pour l’avancement de la pédagogie dans l’enseignement supérieur.

Il préside l’Association of Catholic Colleges and Universities of Canada qui compte 21 membres. De 2010 à 2014, il a présidé le Consortium des universités de la francophonie ontarienne et a été nommé Personnalité franco-ontarienne de l’année à Sudbury en 2014. Il siège au comité de direction de la Société de développement du Grand Sudbury, préside le Comité de développement économique communautaire et Espace partagé Sudbury, a siégé au conseil de Mangeons local Sudbury et a été conseiller du Conseil d’entreprises du Nouveau-Brunswick.

Titulaire d’un baccalauréat ès sciences et d’une maîtrise ès sciences de l’Université de Toronto, ainsi que d’un doctorat en exploitation forestière et économie de l’Université Laval, M. Zundel a été rédacteur en chef de l’International Journal of Forest Engineering de 2000 à 2005. Il a mené des recherches sur les politiques d’accès aux territoires forestiers et sur l’énergie de la biomasse, ainsi que des missions de recherche et des cours d’études sur le terrain dans 14 pays. Il est auteur et co-auteur de plus de 40 publications, a présenté plus de 40 exposés sur l’enseignement et l’apprentissage dans l’enseignement supérieur et sur la foresterie, et a animé de nombreux ateliers et séminaires de perfectionnement du corps professoral.

« Nous nous réjouissons d’accueillir Pierre dans ce poste de direction, a indiqué le recteur et vice-chancelier de la Laurentienne, M. Dominic Giroux. Il est un éducateur primé et un administrateur chevronné qui se passionne pour l’innovation en enseignement et apprentissage. Il connait à fond le fonctionnement de la Laurentienne et les communautés que nous servons, y compris nos partenaires francophones, métis et des Premières Nations. »

« Je suis très enthousiasmé de participer à la croissance stratégique à la Laurentienne, a dit M. Zundel. L’Université prend un formidable élan et je me réjouis à la perspective de collaborer avec mes collègues et les partenaires communautaires pour servir la population étudiante et avoir une incidence plus considérable sur son expérience universitaire. Je crois que la Laurentienne continuera de se distinguer favorablement des autres universités. »

La nomination de M. Zundel a été recommandée à la suite d’une campagne nationale de recrutement menée par un comité composé de 10 membres du corps professoral, de la population étudiante, de l’administration et du Conseil des gouverneurs et a été appuyée par le Sénat de l’Université. Il succédera à M. Robert Kerr, Ph.D., dont le mandat non renouvelable de 6,5 ans prendra fin le 30 juin 2016.

L’Université Laurentienne félicite Khaled Taktek, Ph.D., boursier Fulbright de 2014-2015

L’Université Laurentienne félicite Khaled Taktek, Ph.D., boursier Fulbright de 2014-2015

À la fin de son mandat, M. Taktek a été honoré en recevant le Médaillon d’excellence.

L’Université Laurentienne est heureuse de féliciter M. Khaled Taktek, Ph.D., professeur agrégé de l’École des sciences de l’éducation, qui a mené à bien son mandat à titre de boursier canadien Fulbright à l’Académie militaire de West Point, à New York, aux États-Unis.

 

À la fin de son mandat, M. Taktek a été honoré en recevant le Médaillon d’excellence du brigadier général Timothy Trainor, doyen du conseil d’enseignement de l’Académie militaire de West Point.

 

Le projet de recherche de M. Taktek à West Point s’intitulait « Mental Imagery Training for Peak Performance: An Efficient Strategy for Motor Skills and Performance Enhancement as well as Cognitive Functioning Development. »

 

La Fondation pour les échanges éducatifs, créée entre le Canada et les États-Unis et connue sous le nom Fulbright Canada, est un organisme binational sans but lucratif qui se charge de trouver les esprits les plus brillants dans ces deux pays et de leur offrir un appui financier afin qu’ils participent à un échange universitaire et contribuent à la compréhension réciproque entre les peuples du Canada et des États-Unis.

 

Pour obtenir des informations sur les travaux effectués par M. Taktek dans le cadre de la Bourse Fulbright, veuillez consulter http://issuu.com/fulbrightcanada/docs/2014-15_biographies_and_photos/15?e=1636925/9081748

Université Laurentienne accueillera des étudiants réfugiés syriens

Université Laurentienne accueillera des étudiants réfugiés syriens

Une initiative dirigée par des étudiants amènera deux réfugiés à Sudbury en 2016

November 13, 2015  - Two young Syrian refugees will be sponsored to study at Laurentian University next year as part of an initiative led by students under the World University Service of Canada aegis (EUMC).

 

Under the Student Refugee Program, WUSC Local Committee at Laurentian University has sponsored more than twenty refugees since the launch of the initiative in 1978. Some stayed to do graduate studies. Due to the worsening war in Syria and the international refugee crisis, EUMC expanded the scope of its Student Refugee Program and now works in refugee camps in Jordan and Lebanon, in cooperation with the High UN High Commissioner for refugees (UNHCR) to interview candidates and document their sponsorship.

 

"We are pleased to increase our efforts to sponsor two Syrian refugees who will study at Laurentian, said Semeniuk-Willow Mullin, a member of WUSC-Laurentian committee. Like many others in Canada and around the world, we want to help by giving young Syrians the chance to have a secure future. "

 

Laurentian University supports the EUMC and the Student Refugee Program by offering tuition, housing and meals for the first year of study. The student population Laurentian also make a financial contribution from a charge levied on contributions to student associations. After the first year, sponsored students can apply for financial assistance Assistance Program to the Ontario Student Assistance Program (OSAP). The WUSC committee at Laurentian intends to conduct fundraising activities on the campus and in the Greater Sudbury community to help defray the high costs of establishment of the students sponsored by the program WUSC.

Information on how groups and individuals can contribute to the local campaign EUMC will be announced in the coming weeks.

 

"It's a great program and a great initiative to bring Canadian students living in refugee camps to a PSE, said Professor Jorge Virchez the Department of Geography and faculty representative to the committee EUMC at Laurentian. Our students have shown a great commitment to the global response through WUSC and are proud of their decision to redouble efforts in the coming year. "

Génie et gestion : l’Université Laurentienne offrira
 10 nouveaux programmes en français ou bilingues dès 2016

Génie et gestion : l’Université Laurentienne offrira
 10 nouveaux programmes en français ou bilingues dès 2016

Ces 10 programmes en génie et en gestion contribueront à répondre aux attentes des futurs étudiants francophones et francophiles.

13 novembre 2015 – Dès la rentrée 2016, l’Université Laurentienne élargira son offre de cours en français. L’École de génie Bharti offrira trois baccalauréats bilingues en génie chimique, génie mécanique et génie minier où 50 % des cours devront être complétés en français. La Faculté de gestion proposera quant à elle son baccalauréat en administration des affaires entièrement en français comprenant sept spécialisations également offertes entièrement en français dans les domaines de la comptabilité, de l’entrepreneurship, de la finance, de la gestion des affaires, de la gestion internationale, du marketing et des ressources humaines.

« Aucune université canadienne ne s’est classée au premier rang aux Jeux miniers canadiens plus souvent que l’Université Laurentienne. Nos étudiants de l’École de génie Bharti ont remporté la victoire l’an dernier tant à la compétition ontarienne qu’à la compétition canadienne de génie, en plus d’avoir gagné en 2011 la compétition Lunabotics de la NASA. Pour sa part, la Faculté de gestion convoite plusieurs accréditations internationales. Il allait de soi que l’expansion des programmes en français à l’Université Laurentienne comprenne ces disciplines », explique le recteur, Dominic Giroux.

« Déjà plus de 80 étudiants francophones fréquentent l’École de génie Bharti, et un nombre équivalent sont inscrits à la Faculté de gestion. Ces 10 programmes en génie et en gestion permettront de mieux répondre aux attentes des futurs étudiants francophones et francophiles, tant au Canada qu’à l’étranger, pour ces disciplines universitaires en forte demande », ajoute le vice-recteur associé aux études et affaires francophones, Denis Hurtubise.

Faits saillants à propos de l’Université Laurentienne

  • L’École de génie Bharti se classe numéro un en Ontario et parmi les quatre meilleures universités canadiennes en matière de recherche en génie minier. Elle sera la première au Canada à l’extérieur du Québec à offrir des cours en français en génie minier. 

  • Une étude de faisabilité a révélé que les élèves et les étudiants francophones de la ville du Grand Sudbury intéressés par le génie reconnaissent l’importance de pouvoir compléter leur scolarité de premier cycle dans les deux langues officielles afin d’avoir un avantage concurrentiel supplémentaire pour leur entrée sur le marché du travail. 

  • L’École de génie Bharti dessert 695 étudiants du baccalauréat au doctorat, alors que la Faculté de gestion de l’Université Laurentienne dessert plus de 1 400 étudiants au baccalauréat et à la maîtrise. 

  • L’Université Laurentienne obtient année après année les taux d’employabilité post-diplomation les plus élevés des universités ontariennes. 

  • L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 millions de dollars en subventions de recherche au cours des cinq dernières années. 

  • L’Université Laurentienne offre annuellement plus de 700 cours en français du baccalauréat au doctorat. Depuis 2013, elle a notamment lancé deux programmes de maîtrise entièrement en français en orthophonie et en sciences infirmières et fut la première université bilingue obtenant une désignation en vertu de la Loi sur les services en français de l’Ontario. 

  • L’Université Laurentienne investit 63 millions de dollars dans la modernisation de son campus de Sudbury, laquelle sera complétée d’ici la fin de 2016. Ceci comprend des améliorations importantes à 60 salles de classe et laboratoires, aux résidences étudiantes et services alimentaires, des salles de regroupement d’étudiants, un guichet unique de services aux étudiants, un centre d’accueil dynamique, un centre d’apprentissage pour cadres et un centre de partage et d’apprentissage autochtones. 

L'Université célèbre le Prix Nobel de Physique

L'Université célèbre le Prix Nobel de Physique

Les collègues du Pr Arthur McDonald portent un toast pour « le prix scientifique ultime »

9 octobre 2015 – Les collègues et associés du professeur Arthur McDonald, Ph.D., à l’Université Laurentienne et au centre de recherche SNOLAB applaudissent la nouvelle de l’attribution du Prix Nobel de physique de 2015 à celui-ci. M. McDonald, professeur émérite à l’Université Queen’s, à Kingston (Ontario), a été nommé avec un autre lauréat, M. Takaaki Kajita de l’Université de Tokyo, à Kashiwa, au Japon. M. McDonald a été honoré pour son travail à l’Observatoire de neutrinos de Sudbury, une collaboration entre l’Université Laurentienne et cinq autres universités canadiennes.

 

L’Académie royale suédoise des sciences a dit que le prix a été décerné aux professeurs McDonald et Kajita pour leurs contributions clés aux essais qui ont montré que les neutrinos changent d’identité. Cette métamorphose sous-entend obligatoirement que les neutrinos ont une masse. La découverte a changé notre compréhension du fonctionnement le plus intérieur de la matière et peut se révéler cruciale pour notre perspective de l’univers (communiqué intégral : http://www.nobelprize.org/nobel_prizes/physics/laureates/2015/press.html).

 

L’annonce du Prix Nobel s’est répandue dans la communauté de la Laurentienne « à la vitesse d’un neutrino » a dit M. Doug Hallman, professeur émérite de physique à l’Université Laurentienne et l’un des premiers collaborateurs de M. McDonald dans le SNOLAB. « C’est une magnifique nouvelle pour nous tous qui travaillons sur les neutrinos, a-t-il ajouté. C’est le prix scientifique ultime et nous sommes ravis de voir le travail récompensé à ce niveau. »

 

L’Université Laurentienne est membre fondatrice de l’Observatoire de neutrinos de Sudbury. Sur une période de vingt ans, le groupe de l’ONS a apporté une contribution majeure à la conception, à la construction et à l’exploitation du laboratoire de l’ONS, une installation unique à deux kilomètres sous terre dans la mine Creighton de Vale à Sudbury. Le laboratoire souterrain permet aux chercheurs de mener des expériences et de prendre des mesures hautement précises dans un environnement où les radiations de fond sont minimes et influencent très peu les mesures. Plus de 150 chercheurs d’universités et d’établissements de recherche du Canada, des États-Unis et d’Europe ont participé au projet.

 

Le laboratoire de l’ONS a arrêté de relever des données en 2006, mais les analyses et les publications des résultats continuent. Le détecteur de l’ONS est aux derniers stades de la conversion pour effectuer une nouvelle expérience ONS+ qui mesurera les neutrinos peu énergétiques provenant du Soleil et de la Terre et chercher un processus rare de dégradation nucléaire afin d’obtenir d’autres renseignements sur la nature des neutrinos.

 

L’essai réussi de l’ONS a conduit à la construction d’une plus grande installation souterraine de recherche, le SNOLAB, à côté du laboratoire de l’ONS, pour mener une autre série d’expériences. Dans cette salle blanche souterraine (la plus profonde du monde), l’environnement affiche les plus faibles radiations de fond, ce qui permet aux chercheurs de prendre des mesures hautement précises avec un minimum d’interférence.

 

« Nous sommes ravis que ce prix ait été décerné à M. McDonald et le félicitons ainsi que tous nos professeurs et chercheurs qui apportent des contributions dans ce domaine passionnant depuis des années, a déclaré le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux. Nous souhaitons la bienvenue aux nouveaux groupes de scientifiques qui travailleront dans l’installation et nous nous réjouissons des collaborations et initiatives de recherche supplémentaires qui auront lieu dans le SNOLAB quand se tiendra la prochaine génération d’expériences souterraines. »

 

L’Université Laurentienne collabore actuellement avec le SNOLAB pour organiser une visite des installations par les médias nationaux.

L’Université Laurentienne nomme une nouvelle directrice de recherche au CRJPS

L’Université Laurentienne nomme une nouvelle directrice de recherche au CRJPS

Mme Carol Kauppi, Ph.D., dirigera le Centre de recherche sur la justice et la politique sociales

Le 25 sept. 2015 – Le doyen de la Faculté des sciences de la santé et doyen intérimaire de la Faculté d’éducation à l’Université Laurentienne, M. Roger Couture, Ph.D., a indiqué aujourd’hui la nomination de Mme Carol Kauppi au poste de directrice du Centre de recherche sur la justice et la politique sociales (CRJPS).

 

« Nous sommes ravis que Mme Kauppi soit nommée directrice, a dit M. Couture, car elle apporte d’importantes contributions à l’avancement des recherches en service social à l’Université Laurentienne. Ce poste de recherche à plein temps lui permettra de se consacrer entièrement à ses recherches, de faire évoluer ses nombreux projets dans le nord de l’Ontario et de présenter ses résultats aux groupes tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’Université. »

 

Le CRJPS est un centre de recherche à l’Université Laurentienne voué à l’étude de la justice et des politiques sociales, avec un accent sur les collectivités rurales et du nord. Il a pour mission d’effectuer des recherches pluridisciplinaires sur la santé des populations, la justice sociale et les questions de soins de santé, y compris le sans-abrisme et la pauvreté. Le Centre gère actuellement le projet de six ans intitulé « Pauvreté, sans-abrisme et migration », dirigé par Mme Kauppi et subventionné par le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH). Créé en 2009, le CRJPS figurait parmi les premiers instituts universitaires de recherche au Canada à s’évertuer dans ces domaines.

 

« J’ai hâte de relever le défi de faire avancer les recherches au CRJPS et d’en augmenter la portée, a souligné Mme Kauppi, tout en misant sur les importants travaux déjà accomplis dans le cadre du projet Pauvreté, sans-abrisme et migration. Nous avons jeté des fondements solides et je suis impatiente d’élargir nos recherches pour examiner la rénovation urbaine, le logement et la sécurité alimentaire. »

 

Le CRJPS est doté de son propre personnel de recherche et collabore avec des chercheurs de diverses unités d’enseignement à l’Université Laurentienne, de la communauté, d’autres centres de recherche en Ontario et d’autres universités. 

« Alors que l’Université vise l’excellence en recherche, la nomination de Mme Kauppi comme directrice de recherche s’aligne bien sur le Plan stratégique 2012-2017, a ajouté le vice-recteur à la recherche à l’Université Laurentienne, Rui Wang, Ph.D. Nous attendons avec intérêt les prochains résultats des travaux effectués au CRJPS. »                                           

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