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L’École de génie Bharti de la Laurentienne gagne la compétition mondiale de sauvetage minier

L’École de génie Bharti de la Laurentienne gagne la compétition mondiale de sauvetage minier

Les étudiants remportent deux catégories de sauvetage et le titre global

Des membres de la population étudiante de l’École de génie Bharti à l’Université Laurentienne ont gagné la compétition intercollégiale de sauvetage minier 2017 (Intercollegiate Mines Emergency Response Development [MERD]) tenue à Golden, au Colorado. L’équipe a triomphé dans les épreuves de premiers soins et sur le terrain et a remporté le titre global.

Le concours s’est déroulé sur deux jours avec des équipes de l’Université de Colombie-Britannique, l’Université Freiburg (Allemagne), Montana Tech, South Dakota School of Mines et Colorado School of Mines. La première compétition intercollégiale a eu lieu en 2011.

Pour ce concours, des catastrophes sont simulées dans une mine souterraine afin de permettre aux équipes de sauvetage minier d’obtenir une formation dans un milieu réaliste de recherche et de sauvetage en situation d’urgence. Il comprend une épreuve sur le terrain pendant laquelle les étudiants ont dû étouffer un véritable incendie sous terre, ainsi qu’une épreuve technique et une de premiers soins.

« Nous sommes très fiers de nos étudiants, de notre personnel et de notre corps professoral qui ont participé à cette compétition mondiale, a dit le directeur de l’École de génie Bharti, M. Markus Timusk, Ph.D. Leur travail ardu et leur dévouement se manifestent dans cette réalisation. Nous tenons à reconnaître nos partenaires de l’industrie et les commanditaires dont l’appui permet d’ouvrir des possibilités formidables aux étudiants de la Laurentienne. »

L’équipe lauréate de l’École de génie Bharti est composée de : Julien Lalande (capitaine de l’équipe), Alexander Dobrogost, Alexander Mulloy, Dalton Moncion, David Etheridge, Greg Moser, James Wilson, Gilles Paradis, Joseph Benoit et Zachary Werdekker. Le membre du personnel Ethan Armit a agi à titre de conseiller tandis que l’agent de sauvetage minier de l’Ontario, Tim Ebbinghaus, a assuré l’entraînement de l’équipe.

Parmi les commanditaires de l’Équipe de sauvetage minier de l’Université Laurentienne, il faut souligner : Goldcorp, Soucie Salo Safety, Draeger Safety, Institut canadien des mines, de la métallurgie et du pétrole, École des mines Goodman, McEwen Mining et Fonds de dotation de la famille Bharti.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années. 

Congratulations, Félicitations, Felicitazioni

Congratulations, Félicitations, Felicitazioni

M. Patrick Anthony Cavaliere, Ph.D., de l’Université Laurentienne, est le fier lauréat du Prix d’universitaire distingué en résidence Collegio Matteo Ricci.

M. Patrick Cavaliere

L’Université Laurentienne est heureuse de féliciter M. Patrick Anthony Cavaliere qui a reçu le Prix d’universitaire distingué en résidence Collegio Matteo Ricci, de l’Université de Macerata, en Italie.

Le dossier professionnel de M. Cavaliere a été proposé par le recteur et président de l’Université de Macerata, le Pr Luigi Lacché, et a reçu une note parfaite de 100/100. 

Le Sénat et le Conseil des gouverneurs de l’Université de Macerata ont appuyé à l’unanimité la nomination.

L’Université de Macerata a évalué les candidatures selon les critères suivants :

  • Expériences professionnelles
  • Incidence de publications distinguées
  • Excellence en enseignement
  • Honneurs et prix précédents
  • Importance des initiatives actuelles de recherche  


Dans ses recherches, M. Cavaliere s’intéresse à l’histoire de l’Italie moderne, avec une spécialisation en fascisme, régimes totalitaires et théorie institutionnelle des organismes en Italie.

 

Prix d’universitaire distingué en résidence Collegio Matteo Ricci

Le Prix d’universitaire distingué en résidence Collegio Matteo Ricci encourage la mobilité internationale parmi les universitaires et a pour but de nouer ou de solidifier les réseaux de collaboration dans le monde. Le prix comprend :

  • somme d’argent;
  • séjour à plein temps à la Faculté de droit, à compter du trimestre d’automne 2017;
  • nomination à titre de membre émérite en droit pénal et criminel afin de travailler particulièrement avec 'Fondo Mario Sbricoli' (Istituto di Studi Storici);
  • logement gratuit pour la famille au Collegio Matteo Ricci, dans la ville historique de Macerata;
  • série de conférences;
  • possibilité de diriger une initiative de recherche collaborative et pluridisciplinaire avec des doctorants et membres du corps professoral.

 

M. Cavaliere prépare actuellement une série de volumes sur la justice pénale dans le contexte politique pendant le régime fasciste, qui sera publiée par ARACNE Editrice, à Rome. Intitulée Antisemitism in Fascist Italy: From the Rise of Fascism to the Racial Laws of 1938 and the Politics of the Final Solution, cette initiative de recherche et de publication à long terme est financée par le Vidal Sassoon International Centre for the Study of Antisemitism (SICSA), à l’Université hébraïque de Jérusalem, en Israël, un centre qui est reconnu au plan mondial.
 

M. Cavaliere est membre du Département d’histoire de la Laurentienne et du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne et membre élu du Sénat de l’Université Laurentienne.   

L’Université Laurentienne célèbre l’ouverture officielle de la phase finale de l’École d’architecture McEwen

L’Université Laurentienne célèbre l’ouverture officielle de la phase finale de l’École d’architecture McEwen

Un édifice à la fine pointe de la technologie de 45 millions de dollars et de 72 000 pieds carrés au centre-ville de Sudbury

Aujourd’hui, l’Université Laurentienne a fièrement célébré l’ouverture officielle de la dernière phase de l’École d’architecture McEwen, qui complète un édifice à la fine pointe de la technologie de 45 millions de dollars et de 72 000 pieds carrés au centre-ville de Sudbury.

« C’est un jour de fierté pour de nombreuses personnes de la Laurentienne et de la communauté en général, a dit le recteur et vice-chancelier de l’Université laurentienne, M. Dominic Giroux. L’École d’architecture McEwen est en préparation depuis dix ans et a pu être réalisée grâce à de nombreux partenariats et collaborations. C’est un exemple revigorant de changement transformateur, réalisé grâce à une vision communautaire harmonieuse. »

La planification de l’École a débuté en 2007 quand des membres de la communauté du Grand Sudbury et des représentants de l’Université Laurentienne ont compris les bienfaits économiques et la possibilité d’exploiter l’expertise régionale en créant une possibilité unique d’enseignement.

Le directeur-fondateur de l’École, M. Terrance Galvin, arrivé dans l’équipe en janvier 2012, a vu l’avenir de ce programme unique qui mise sur la capacité de résilience de la population du Nord et la beauté sans pareil du paysage du nord de l’Ontario.

« Les cinq dernières années ont consisté à opérationnaliser la vision, ce qui inclut la conception et la construction des nouveaux édifices, la mise en œuvre du programme de baccalauréat en études architecturales et l’approbation du programme de maîtrise en architecture, a expliqué M. Galvin. Les dix prochaines années porteront davantage sur l’expansion des possibilités de recherche. »

L’École d’architecture McEwen a accueilli sa toute première promotion en septembre 2013. En seulement trois ans, les étudiants se sont distingués et l’École a obtenu de nombreux prix nationaux et internationaux, y compris la première place au Festival international du bois à Bergen, en Norvège, en mai 2016. Cette promotion obtiendra son grade en juin. L’École lancera son programme de maîtrise en architecture en septembre.

« C’est une étape incroyable non seulement pour la Laurentienne, mais aussi pour la Ville du Grand Sudbury, la province et le Canada, a dit la présidente du Conseil des gouverneurs de l’Université laurentienne, Mme Jennifer Witty. L’École d’architecture McEwen de la Laurentienne est la première nouvelle école d’architecture créée au Canada en 45 ans. C’est la première du genre dans le nord de l’Ontario et la première au Canada en dehors du Québec à offrir des cours en français. »

L’École a vu le jour grâce des investissements axés sur l’avenir effectués par le ministère ontarien de l’Enseignement supérieur et de la Formation professionnelle, la Ville du Grand Sudbury, Rob et Cheryl McEwen, la Société de gestion du Fonds du patrimoine du Nord de l’Ontario, FedNor, le Centre de recherche et d’innovation en bioéconomie, Blaine et Lise Nicholls, le Fonds en fiducie F. Jean MacLeod, Susan et Perry Dellelce et bien d’autres bienfaiteurs privés.

 

Au sujet de l’École d’architecture McEwen

L’École McEwen offre une expérience éducationnelle en immersion empreinte de la nécessité inhérente de jumeler l’expertise technique et la profonde compréhension de l’esprit des paysages et de la population qui les habite afin de concevoir des édifices intelligents, écologiques et fonctionnels. La 12e école d’architecture au Canada, l’École McEwen se veut un lieu où les étudiants du Nord peuvent étudier dans leur région. Elle encouragera également les diplômés à rester dans la région et à faire partie de la communauté grandissante de conception architecturale du Nord. L’École sera réputée pour ses recherches et ses concepts reposant sur le bois, ses recherches sur l’architecture autochtone, ainsi que son expertise dans l’étude du bassin de Sudbury qui inspire la conception architecturale.

L’École McEwen occupe au centre-ville de Sudbury un magnifique complexe de 45 000 000 $ conçu par LGA Architectural Partners; elle couvre 72 000 pieds carrés comprenant deux édifices centenaires transformés qui appartenaient à CP Rail et CP Telegraph, et une phase finale de 52 000 pieds carrés. Les inscriptions à ce programme hautement concurrentiel passeront à 400 étudiants d’ici 2018 quand il comptera 25 membres du corps professoral et du personnel.

La philosophie de l’École McEwen repose sur la fierté de l’endroit. C’est une expérience naissante dans les pédagogies en émergence et les diverses cultures. Le regroupement d’un corps professoral et d’une population étudiante francophones, anglophones, métis et anishinabeks reflète la raison d’être unique de la Laurentienne qui est d’offrir une expérience universitaire hors pair en anglais et en français en plus d’une approche complète de l’éducation autochtone.

 

Prix et distinctions de l’École d’architecture McEwen

En plus des trois « Subventions Savoir » du Conseil de recherches en sciences humaines attribuées aux Prs David Fortin, Tammy Gaber et Kai Mah, en collaboration avec des membres du corps professoral de l’École, des étudiants ont reçu les prix ou distinctions ci-dessous :

  • 2016    CCA – Charrette interuniversitaire annuelle : Recomposer le Nord – Prix de l’opinion publique attribué pour Nutri-Nunavik : The Potential of Northern Farming (équipe d’étudiants du premier cycle)
  • 2016    IIDEX Canada
    L’étudiant Edward Chung a été sélectionné pour exposer EAB Floor Lamp à Toronto
  • 2016    Festival international du bois à Bergen
    Premier prix de conception-construction en bois (Pre Tammy Gaber, Pr Randall Kober et des étudiants)
  • 2015    Pride House that Kids Built, Sudbury pour les Jeux parapanaméricains
    Prix d’excellence des Ressources humaines, ministère du Développement du Nord et des Mines de l’Ontario pour l’installation en courtepointes de peintures d’enfants « Inclusions dans les sports » (Pr Thomas Strickland et des étudiants)
  • 2015    Science Nord
    Prix du partenariat pour la conception du pavillon Terre dynamique (Pr David Fortin et Pr Roch Belair, avec Francis Thorpe et des étudiants)
  • 2015    CANStruction
    Prix Choix du peuple pour PARALLAX : “a” is for architecture
    (Pr Terrance Galvin et des étudiants)
  • 2014    Prix international VELUX pour les étudiants en architecture (Vienne)
    Mention honorable pour la conception d’une cabane de pêche sur la glace Northern Lights (Pre Tammy Gaber et des étudiants)

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Les étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

Trois membres de la communauté de L’Université Laurentienne reçoivent la distinction la plus prestigieuse de la province

Trois membres de la communauté de L’Université Laurentienne reçoivent la distinction la plus prestigieuse de la province

David Pearson, Angèle Brunelle et Ronald Caza reçoive l’Ordre de l’Ontario.

L’Université Laurentienne tient à féliciter le professeur David Pearson, le membre du conseil de l’EMNO, Angèle Brunelle, et le titulaire d’un doctorat honorifique, Ronald Caza, de leur nomination à l’Ordre de l’Ontario. 

L’Ordre de l’Ontario reconnaît des personnes dont un accomplissement personnel dans leur domaine a laissé un héritage durable dans la province, au Canada et au-delà. Les membres de l’Ordre de l’Ontario sont issus de tous les milieux sociaux et proviennent de partout à travers le Canada. Ils représentent des professions diverses et ont joué un rôle important dans le façonnement de notre province. 

Professeur de l’École de l’environnement et chercheur en sciences de la Terre, M. David Pearson, Ph.D., travaille dans le Centre pour la vitalité des lacs Vale à la Laurentienne. Il a été membre du Département des sciences de la Terre de 1969 à 2005 et est ensuite devenu l’un des deux codirecteurs fondateurs du programme de diplôme d’études supérieures en vulgarisation scientifique de l’Université Laurentienne et Science Nord. De 1980 à 1986, il était le directeur fondateur de Science Nord, dont la méthode interactive novatrice est devenue un modèle pour la participation du public aux sciences.

Angèle Brunelle est porte-parole de la communauté francophone du nord-ouest de l’Ontario et directrice de l’Accueil francophone de Thunder Bay. Elle a consacré sa vie à la promotion des droits des Francophones dans les secteurs de la santé et de l’éducation. Elle participe activement comme membre du conseil de direction de l’École de médecine du Nord de l’Ontario.

Franco-Ontarien bien connu, Ronald F. Caza est ancien de l’Université Laurentienne, où il a reçu aussi un doctorat honorifique en mai 2013. Avocat et ardent défenseur des droits linguistiques des Francophones, il s’est fait le champion de la préservation de la langue et de la culture française en Ontario en contestant avec succès devant les plus hauts tribunaux des tentatives d’éliminer ou d’affaiblir des institutions essentielles.

Nouvelle politique en matière de violence sexuelle approvée à l’Université Laurentienne

Nouvelle politique en matière de violence sexuelle approvée à l’Université Laurentienne

Conseil des gouverneurs approuve une politique axée sur la population étudiante

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé une politique axée sur la population étudiante qui aborde la réponse à la violence sexuelle et la prévention.

« Nous sommes heureux que le Conseil des gouverneurs ait accepté cette politique créée en consultation avec la population étudiante de la Laurentienne, a dit le vice-recteur adjoint à l’équité, à la diversité et aux droits de la personne, M. Noël Badiou. La nouvelle politique représente plus de deux ans de travail par de nombreux intervenants à l’Université et aidera à sensibiliser les gens au processus pour répondre aux incidents de violence sexuelle et les traiter, tout en assurant que les membres de la collectivité universitaire sont conscients des ressources et des soutiens à leur disposition. »

Conformément à la Loi 132, Plan d’action contre la violence et le harcèlement sexuels de l’Ontario, le Groupe de travail sur la réponse aux agressions sexuelles et la prévention de l’Université Laurentienne a consulté des membres de la population étudiante ainsi que les représentants des groupes étudiants afin de mettre au point le cadre de la politique et leur a ensuite présenté l’embauche aux fins de rétroaction.

En plus des consultations auprès des étudiants, le Groupe de travail a aussi demandé l’avis d’experts dans ce domaine afin de tenir compte d’une large perspective en mettant au point les soutiens, services et adaptations appropriés en matière de violence sexuelle touchant les membres de la population étudiante.

« Je remercie toutes les personnes concernées de l’engagement et du dévouement dont ils ont fait preuve dans le cadre de ce projet important, a ajouté M. Badiou. La Laurentienne s’engage à créer et à conserver un milieu inclusif, sécuritaire et sain pour tous les membres de sa collectivité et chaque personne joue un rôle pour concrétiser cet objectif. »

Le Bureau de l’équité, de la diversité et des droits de la personne (BEDDP) de l’Université offre des ateliers aux conseillers en résidence et aux étudiants agissant comme mentors sur l’importance de l’inclusion et de la prévention de la violence sexuelle. Une introduction semblable est aussi offerte aux nouveaux membres de la population étudiante. En outre, des campagnes de sensibilisation et de formation ont été mises en œuvre pour l’ensemble de la communauté universitaire à la Laurentienne.

La Politique de réponse à la violence sexuelle et de prévention figure parmi les quatre politiques adoptées par la Laurentienne pour appuyer l’apprentissage et le travail dans un milieu sans discrimination, harcèlement, harcèlement sexuel, intimidation, violence et violence sexuelle. Les trois autres documents sont : le Code de conduite étudiante dans les domaines autres que les études, la Politique pour un milieu respectueux de travail et d’étude, et la Politique sur la prévention de la violence au travail.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Les étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

D’autres renseignements sur l’Université Laurentienne figurent à www.laurentienne.ca.

Progrès Majeurs dans la Recherche Autochtone à la Laurentienne

Progrès Majeurs dans la Recherche Autochtone à la Laurentienne

Trois annonces marquent une journée mémorable pour la recherche autochtone

La recherche autochtone à l’Université Laurentienne a reçu un bon coup de pouce lorsque le député fédéral Marc Serré a annoncé du financement pour la nouvelle Chaire de recherche du Canada en santé des Autochtones. De plus, la Laurentienne a annoncé la création de l’Institut de recherche autochtone Maamwizing et du Fonds pour l’avancement de la recherche autochtone pour accélérer la recherche dans ce domaine.

« L’Université Laurentienne s’est engagée à améliorer la capacité de recherche autochtone et les activités connexes, et nous sommes ravis de faire des progrès dans cette orientation stratégique, a dit le vice-recteur à la recherche, M. Riu Wang, Ph.D. Les trois annonces d’aujourd’hui auront de grandes répercussions sur la capacité et la qualité de la recherche autochtone à la Laurentienne, et nous nous réjouissons de conserver cet élan. »

Mme Jennifer Walker est la première titulaire de la Chaire de recherche du Canada en santé des Autochtones. Ses recherches menées en collaboration avec des communautés et organismes des Premières Nations et métis utiliseront des données sur les troubles de santé de la population et les services offerts au cours du cycle de vie, en se concentrant sur les maladies chroniques et les populations âgées. Ces recherches contribueront à améliorer l’utilisation des données sur la santé des Autochtones utilisées dans la planification des services et des politiques.

« J’attends avec impatience l’occasion d’appuyer les partenaires autochtones pour l’utilisation efficace des données et de voir l’incidence que notre vaste recherche aura. Les peuples autochtones ont une perspective holistique du bien-être qu’ils considèrent comme le reflet de la santé en général, a ajouté Mme Walker. En s’assurant de tenir compte des données recueillies sous une optique autochtone, nous espérons qu’elles serviront pour la “médecine qui guérit” et seront mises à profit pour le bien-être général des gens et des communautés autochtones. Cette recherche pourrait avoir une immense incidence sur la santé des générations futures des peuples autochtones et des communautés de tout le nord de l’Ontario. »

En vue de lancer la recherche autochtone concertée à l’échelle universitaire, la Laurentienne a créé l’Institut de recherche autochtone Maamwizing (IRAM) dont le principal objectif sera de mener et de promouvoir la recherche autochtone sociale et culturelle en collaboration avec des partenaires communautaires.

« Le mot “maamwizing” signifie “regroupement” ou “collaboration” en langue anishinaabe, a expliqué la vice-rectrice associée à l’enseignement et aux programmes autochtones, Mme Sheila Cote-Meek, Ph.D. Après la conférence inaugurale Maamwizing le mois dernier, l’IRAM continuera de mettre en lumière la recherche autochtone et facilitera le développement d’une nouvelle expertise pour nos communautés. »

Dans le cadre de son engagement permanent à encourager la recherche, la Laurentienne a créé le Fonds pour l’avancement de la recherche autochtone (FARA), assorti de 100 000 $ par an, pour appuyer tout particulièrement les initiatives de recherche autochtone à l’Université. En faisant des investissements stratégiques, le FARA aidera à favoriser des relations constructives durables et à explorer des solutions à des défis uniques qui se posent pour les peuples autochtones.

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Les étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-neuf centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

Un nouveau centre de recherche et de développement en collaboration portera le nom de Norinne Perdue

Un nouveau centre de recherche et de développement en collaboration portera le nom de Norinne Perdue

Un investissement d’un million de dollars de la famille Perdue dans le nouveau centre de recherche et de développement



L’Université Laurentienne a annoncé un investissement d’un million de dollars de la famille Perdue dans le nouveau centre de recherche et de développement. En guise de reconnaissance, le centre sera nommé le Centre de recherche et de développement en collaboration Norinne E. Perdue.

Hébergé dans l’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff Fielding, le Centre de recherche et de développement en collaboration Norinne E. Perdue permettra aux chercheurs des sept facultés de l’Université de collaborer et de partager matériel et expertise. L’installation a été conçue à la suite de consultations auprès des secteurs industriels locaux, des chercheurs et du corps professoral et permettra d’optimiser les collaborations et possibilités pluridisciplinaires.

Norinne était la petite-fille de Cliff Fielding. Le nouveau centre sera situé dans le futur édifice qui portera, comme il a été annoncé récemment, le nom de son grand-père.

« La famille Perdue appuie depuis longtemps l’Université Laurentienne, a dit la présidente du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, Mme Jennifer Witty. Nos étudiants profitent énormément de sa générosité et, grâce à cet investissement, le Centre de recherche et de développement en collaboration permettra à notre région de continuer à prospérer. »

L’investissement de la famille Perdue était un élément important de la proposition de l’Université au Fonds d’investissement stratégique annoncé le 23 septembre 2016 par les gouvernements canadien et ontarien. Le projet s’élèvera à 60 700 000 $ et sera parachevé en 2018.

« Norinne croyait fermement qu’il fallait faire des études et travailler fort afin d’atteindre les objectifs, a affirmé M. Gerry Perdue, son mari. En partageant et travaillant ensemble, tout le monde est gagnant. Ce sont des valeurs que Norinne et moi avons inculquées à nos enfants à un très jeune âge. Ce centre commémorera le souvenir de Norinne en rehaussant les possibilités éducatives offertes aux étudiants et favorisant des collaborations qui se traduiront par des innovations dans le Nord. »

En 1960, Norinne Perdue, fille de Jim et Shirley Fielding, est née à Sudbury. Elle a fréquenté la Lockerby Secondary School jusqu’à la 12e année et a obtenu ensuite un diplôme de la Sudbury Secondary School comme lauréate du Mérite scolaire de l’Ontario. Elle a fait des études de B.A. à l’Université de Toronto et ensuite à l’Université Laurentienne en préparation de ses études supérieures menant à la maîtrise ès arts à l’Université Columbia, à New York.

Elle affichait toujours un intérêt pour ses propres études ainsi que les réussites scolaires de ses enfants et appuyait aussi les autres dans la poursuite de leurs objectifs éducationnels et de leurs intérêts.  En outre, Norinne excellait au dressage et a gagné à deux reprises les Championnats juniors canadiens de dressage pendant ses études à Toronto.
 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Les étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.
 

Mme Linda Ambrose dirigera l’élaboration du prochain plan stratégique de la Laurentienne

Mme Linda Ambrose dirigera l’élaboration du prochain plan stratégique de la Laurentienne

Ambrose assumera le rôle de conseillère spéciale auprès du recteur

L’Université Laurentienne est fière d’annoncer que Mme Linda Ambrose assumera le rôle de conseillère spéciale auprès du recteur pour la période allant du 1er janvier 2017 au 31 mars 2018.

Dans ce rôle, Mme Ambrose appuiera le travail d’un comité directeur représentatif qui sera créé en février 2017 pour mettre au point le prochain plan stratégique de l’Université. Elle guidera la portée, les principes et le processus approuvés par le Conseil des gouverneurs et acceptés par le Sénat afin d’en assurer la mise en œuvre.

« Nous nous réjouissons de voir Mme Ambrose diriger cette initiative si importante pour la Laurentienne, a dit M. Dominic Giroux. Elle est bien connue et très respectée au sein de la communauté universitaire et a une riche connaissance et compréhension de l’Université Laurentienne. Même si certains établissements se fient à des experts-conseils externes pour mener leur exercice de planification stratégique, nous avons préféré choisir une personne de talent au sein de notre université, comme nous l’avons fait en 2011, pour diriger ce processus collégial. »
 

Mme Linda Ambrose

Professeure titulaire au Département d’histoire, Mme Ambrose a été lauréate du Prix d’excellence en enseignement et du Prix pour femmes exceptionnelles de l’Université Laurentienne. En plus de son engagement envers la francophonie, de sa participation à la promotion des perspectives autochtones et de sa présence sur les médiaux sociaux, elle a acquis une expérience panuniversitaire au Sénat et à la Foire annuelle des universités ontariennes (pour ne nommer que celles-ci) et a exercé les fonctions de doyenne intérimaire des Facultés des sciences sociales et des humanités.

Comme professeure à la Laurentienne depuis 22 ans et coauteure du livre L’Université Laurentienne : Une histoire (McGill-Queen’s University Press, 2010), elle connait très bien cet établissement. Lauréate de prix de la Société historique de l’Ontario pour ses publications érudites, elle s’intéresse dans ses projets de recherche actuels à l’histoire des femmes en régions rurales et à l’histoire des sexes dans le pentecôtisme canadien. Parmi ses livres récents, il faut souligner A Great Rural Sisterhood: Madge Robertson Watt and the Associated Country Women of the World (University of Toronto Press, 2015) et le recueil Women in Agriculture: Professionalizing Rural Life in North America and Europe, 1880-1965 (University of Iowa Press, sous presse), qu’elle a coédité.

« Diriger le processus de planification stratégique de la Laurentienne sera un défi intéressant, a souligné Mme Ambrose, et j’ai hâte de collaborer avec les étudiants, collègues, membres du Conseil des gouverneurs, diplômés et partenaires communautaires qui aideront à façonner et à orienter notre nouveau plan stratégique. »

Il s’agit de la dernière année du Plan stratégique 2012-2017 de l’Université Laurentienne qu’un éditorial du Globe and Mail d’octobre 2012 qualifiait « d’excellente stratégie ». Audacieux, ambitieux, déterminé et concis, le Plan de 2012-2017 a été mis au point à la suite de consultations exhaustives qui ont permis de recueillir quelque 900 commentaires et suggestions.
 

L’Université Laurentienne félicite le Pr Gregory Scofield

L’Université Laurentienne félicite le Pr Gregory Scofield

Lauréat du Prix Latner de poésie 2016 de la Société d’encouragement aux écrivains du Canada

L’Université Laurentienne tient à féliciter le Pr Gregory Scofield qui a reçu le Prix Latner de poésie 2016 à la cérémonie de la Société d’encouragement aux écrivains du Canada, à Toronto.

Le Prix Latner de poésie, dont le lauréat est choisi par un jury autonome, souligne l’ensemble des travaux d’un poète en milieu de carrière qui apportera de futures contributions à la poésie canadienne.

« Dans ses sept recueils de poésie, Gregory Scofield nous impressionne par ses paroles mémorables et nuances subtiles. Il épouse les formes musicales, documentaires et expérimentales en alimentant une vision de risque et de générosité. L’étendue de ses sujets, de son œuvre et de son style parcourt les réalités urbaines et rudimentaires et illustre le confort des rythmes cri, allant du battement de cœur du tambour au flux poétique d’un jeune Louis Riel. » - Jury du Prix Latner de poésie.

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

L'Université Laurentienne félicite Mme Lucie Moncion de sa nomination au Sénat du Canada

L'Université Laurentienne félicite Mme Lucie Moncion de sa nomination au Sénat du Canada

Une ancienne de la Laurentienne siègera à titre de sénatrice indépendante représentant l’Ontario

Le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, Dominic Giroux, a félicité à son tour Mme Lucie Moncion de sa nomination au Sénat du Canada comme représentante de l’Ontario.

« Nous sommes fiers de voir nommer au Sénat Mme Lucie Moncion, une ancienne de a Laurentienne ayant accumulé d’impressionnantes réussites professionnelles, a dit M. Giroux. Grâce à son expérience et son expertise considérables, elle est un bon choix pour représenter l’Ontario et nous lui souhaitons du succès pour l’avenir. »

Mme Lucie Moncion est titulaire d’un baccalauréat en administration des affaires spécialisé en administration des coopératives de l’Université Laurentienne ainsi qu’une maîtrise en administration des affaires de l’Université de Moncton. Elle détient les titres professionnels d’administratrice de sociétés de l’Université Laval et de directrice agréée de l’Université McMaster.

Au cours de sa carrière, Mme Moncion a occupé de nombreux postes au sein du réseau des caisses populaires de l’Ontario. Depuis mai 2001, elle occupe le poste de présidente et chef de la direction de l’Alliance des caisses populaires de l’Ontario, devenant ainsi la première femme à occuper un tel poste dans une fédération de caisses populaires au Canada. L’Alliance regroupe 12 caisses populaires qui servent 23 municipalités francophones du nord-est de la province. Mme Moncion joue un rôle important dans le développement économique des communautés francophones et apporte une stabilité importante aux opérations de L’Alliance. En effet, la croissance de l’actif a presque triplé depuis son arrivée à la direction générale et se situe à 1,4 milliard de dollars. Mme Moncion est devenue présidente du Conseil d’administration de coopératives et mutuelles Canada en 2016 et est également présidente du Conseil de la coopération de l’Ontario. Active au sein des instances gouvernementales et de sa communauté, elle a siégé à divers conseils d’administration, entre autres comme vice-présidente du conseil de direction de l’Université Nipissing, trésorière du conseil de Direction Ontario et membre du conseil d’administration du Collège Boréal.

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne offre une expérience hors pair en anglais et en français, ainsi qu’une approche globale de l’éducation des Autochtones. Ses étudiants bénéficient de classes de petite taille et de taux d’emplois exceptionnels après l’obtention du diplôme. Grâce à neuf Chaires de recherche du Canada et dix-huit centres de recherche, la Laurentienne est un chef de file reconnu dans ses domaines spécialisés de recherche, notamment l’innovation minière et l’exploration minérale, les systèmes aquatiques stressés, la santé infantile dans les régions rurales et du nord, ainsi que l’astrophysique des particules. L’Université Laurentienne a obtenu plus de 100 000 000 $ de subvention de recherche au cours des cinq dernières années.

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