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Bill Sanders : de la scène à la table de mixage, une vie à l’Université Laurentienne

Bill Sanders : de la scène à la table de mixage, une vie à l’Université Laurentienne

Le 28 mars 2025, l’Université Laurentienne aura 65 ans. En prévision de cet anniversaire, nous examinons ce pan d’histoire au fil d’entretiens avec des membres de notre communauté.

27 mars 2025 - Pour Bill Sanders, l’Université Laurentienne n’est pas seulement un établissement, c’est aussi son foyer. Son cheminement, de ses études dans les années 1980 à son poste actuel de technicien audiovisuel, enjambe plusieurs décennies. Alors que la Laurentienne fête son 65e anniversaire, il discute de sa vie et de sa carrière au gré des expériences et des personnes qui les ont façonnées.

Son premier souvenir de la Laurentienne est celui d’une routine type des étudiants vivant en résidence : le petit-déjeuner au Grand Salon. D’où vient le caractère mémorable de ce petit-déjeuner? Un homme d’âge mûr s’est approché et lui a demandé s’il pouvait se mettre à table en sa compagnie. Bien que surpris par cette demande, Bill l’a accueilli et ils en sont venus à bavarder tout en mangeant. Il était loin de se douter que son compagnon de table était John Daniel, le recteur de la Laurentienne.

« Cela a été un premier échange si sympathique, inattendu et positif, se rappelle Bill. J’ai noué une bonne relation avec le recteur et, par la suite, je me suis lié d’amitié avec son fils, Julien, qui a été mon témoin de mariage. C’est ce genre de relations interpersonnelles, gage du sentiment d’appartenance à une communauté, qui fait de la Laurentienne un milieu si particulier. »

John Daniel, devenu Sir John Daniel des mains de la reine Elizabeth II, après 17 ans de rectorat à l’Université Laurentienne, lui a également donné son premier emploi ici, scellant ainsi le début d’un lien à vie avec l’établissement.

Des relations enrichissantes aux personnes influentes sont deux volets marquants de ses réflexions sur son cheminement à la Laurentienne. Bill évoque, entre autres, les professeurs Bill Hart et Norma Mcrae. Au fil des ans, il a participé au théâtre, sur scène et en coulisses, tout en explorant une nouvelle voie professionnelle dans l’audiovisuel.

« À la Laurentienne, il y avait bien des gens qui croyaient en moi et les possibilités étaient nombreuses pour tenter de nouvelles entreprises et suivre mes passions, tant comme étudiant qu’en employé. Ces expériences comptent parmi les grandes joies de ma vie. »

Aujourd’hui, Bill Sanders, acteur accompli et membre d’ACTRA, est d’avis que sa carrière à la Laurentienne, grâce à la souplesse et au soutien dont il bénéficie, lui a permis de poursuivre sa passion et de concilier son travail et ses activités artistiques.

Comptant plus de 30 ans en coulisses à l’Auditorium, il a vu de près des moments forts, parmi les plus remarquables de l’Université, en particulier la visite du célèbre physicien Stephen Hawking qui s’est rendu à SNOLAB avant sa conférence à la Laurentienne, sans compter bien entendu d’autres invités de marque comme la princesse Diana, David Suzuki, Margaret Atwood, Jane Goodall et l’astronaute Chris Hadfield.

« J’ai eu le privilège, dit-il, de placer un micro sur certains des esprits les plus brillants. Ce sont de tels moments où l’on se rend compte de ce que représente la Laurentienne pour la communauté : un centre de savoir, de culture et de diversité de pensée. »

À ses yeux, l’influence de la Laurentienne se fait sentir bien au-delà du campus. L’Auditorium, dans l’Édifice Fraser, où il travaille depuis des décennies, est un lieu d’accueil de toute la communauté sudburoise.

« Il y a très peu de Sudburois, dit-il, qui n’ont pas traversé l’estrade ou fait partie du public. Une université ne se limite pas à l’enseignement. Dans le cas de la Laurentienne, la culture, la diversité du savoir et le sentiment d’appartenance qui y règnent s’en trouvent aussi enrichis. »

Fervent partisan du théâtre à l’Université, il dit avoir hâte que les scènes de la Laurentienne accueillent à nouveau des productions dirigées par des étudiants, témoins de la créativité artistique qui y règne et vecteurs d’interprétations inédites.

Ayant passé 34 ans au service de l’Université et participé à toutes les cérémonies de remise des diplômes au cours des 40 dernières années, ce diplômé se dit partie intégrante de l’histoire de la Laurentienne. Alors qu’elle fête ses 65 ans, son cheminement en dit long sur les liens, l’expérience et le capital de vie qu’incarne la Laurentienne.

Célébration de l’excellence étudiante : la Semaine de la recherche 2025 met en valeur l’innovation et l’érudition

Célébration de l’excellence étudiante : la Semaine de la recherche 2025 met en valeur l’innovation et l’érudition

17 mars 2025 – La réussite des étudiants a été bien en vue tout au long de la Semaine de la recherche 2025 (du 24 au 28 février) lors d’activités marquantes telles que le Défi innovation des Voyageurs, le 15e Symposium de recherche des étudiants des cycles supérieurs et les concours de thèse en 3 minutes (3MT) et GRADflix. Félicitations à tous les étudiants lauréats de leurs réalisations en recherche et innovation, comme indiqué ci-dessous.

 

Défi innovation des Voyageurs

Le Défi Innovation des Voyageurs a mis en évidence l’entrepreneuriat et la recherche menés par des étudiants, sous le mentorat de membres du corps professoral. Six équipes ont fait concurrence et présenté des innovations percutantes.

 

1re place (8 000 $ – commandité par Desjardins

Projet : « In-Situ Robotic Construction: A Technological Approach to Housing Supply and Affordability »

Équipe : Professeur Steven Beites (École d’architecture McEwen), Ethan McDonald (doctorant, Engineering Science), Marc Arsenault, Ph.D. (École de génie Bharti)

Innovation : Assemblage semi-automatisé de panneaux préfabriqués pour améliorer l’efficacité et la durabilité de la construction.

 

2e place (2 500 $ – commandité par Desjardins

Projet : « eDNA Enhanced Bee Hotels »

Équipe : Mateus Pepinelli, Ph.D. (École des sciences naturelles), les membres de l’Unité conjointe d’écologie d’eau douce, Adam Lepage, Anastacia Chartrand, Emma Meadows et John Gunn, Ph.D. (professeur émérite) et les membres de la population étudiante Hannah Gombar, Jenna McDonald, Avery Morin et Grey Reich

Innovation : Utilisation de l’ADN environnemental pour évaluer la biodiversité des pollinisateurs.

 

3e place (1 500 $ – commandité par le Vice-rectorat à la recherche)

Projet : « CARES – Calcium Ash Recycling for Ecosystem Sustainability »

Équipe : Liv Favot, Ph.D. (École des sciences naturelles), Janice Kenney, Ph.D., (École des sciences naturelles) et les membres de la population étudiante Kate Pappin, Ellis Albrecht et Mackenzie Hobbs

Innovation : Promouvoir la durabilité des écosystèmes d’eau douce.

 

Prix ​​du public (1 000 $ – commandité par Desjardins) 

Projet : « Gininaatigoons (We are learning) »

Équipe : Joey-Lynn Wabie, Ph.D., (École de kinésiologie et des sciences de la santé) et les membres de la population étudiante, Connor Lafortune, Isabelle Innes et Ophelia O’Donnell

Innovation : Développer un espace extérieur d’apprentissage fondé sur la terre sur le campus.

 

Thèse en 3 minutes (3MT

Le 3MT est un concours universitaire de renommée internationale qui propose aux étudiants des cycles supérieurs de présenter en seulement trois minutes un aperçu de leur recherche et de son importance à un public non spécialisé. Le gagnant du concours représentera l’Université Laurentienne au concours provincial, qui aura lieu le 14 mai 2025 à l’Université de Toronto. Les lauréats de l’UL ont reçu des prix commandités par la Faculté des études supérieures.

 

1re place : Hayden Reaume, Biology (M.Sc.)
« Investigating the Role of Natural Background Radiation in Hydrated Yeast. »

 

2e place : Erin Postenka, Biology (M.Sc.)
« Wintertime wetland drainage: How turtle populations respond to a potential catastrophe. »

 

3e place : Chanelle Larocque, Indigenous Relations (MIR)
« Drug Toxicity & Urban Indigenous Women. »

 

Prix ​​du public : Mary Yu, Biology (M.Sc.)
« Wood Turtle Habitat Selection: Temperature and Food Resource Availability. »

 

GRADflix

Le concours GRADflix offre aux étudiants des cycles supérieurs l’occasion de réaliser une vidéo de 60 secondes pour présenter leur recherche à des publics non spécialisés. Les participants préparent une vidéo explicative, un diaporama ou une animation décrivant leur sujet de recherche en une minute au maximum. Les lauréats ont reçu des prix commandités par la Faculté des études supérieures.

 

1re place : Ronan Derbowka, Biology (M.Sc.)
« Identification of miRNA Biomarkers for Radiation Exposure. »

 

2e place : Gabrielle Faucher, Biology (M.Sc.)
« Diversity in food webs of acid-recovering Lake Trout lakes in Northeastern Ontario. »

 

3e place : Fatemeh Rahbarpour, Boreal Ecology (Ph.D.)
« Seasonal Cycling of Nitrogen in Plants. »

 

Symposium de recherche des étudiants des cycles supérieur

Le 15e Symposium de recherche des étudiants des cycles supérieurs célèbre le travail acharné et le dévouement de nos étudiants. Pendant deux jours, ils ont présenté leurs recherches et travaux devant un public composé de pairs, de superviseurs et de la communauté universitaire de la Laurentienne. Les participants ont été évalués sur la qualité de l’exposé, l’analyse du contenu et la capacité à communiquer efficacement avec un public non spécialisé. Les lauréats ont reçu des prix commandités par l’Association des étudiants des cycles supérieurs.

 

Meilleur exposé en généra

Hayden Reaume, Biology (M.Sc.)
« REPAIR Project at SNOLAB: Understand the Role of Natural Background Radiation Using Yeast. » 

 

Meilleur exposé – Faculté des sciences, de génie et d’architectur

Amanda Keursten, Biology (M.Sc.)
« Bioremediation and Sequestration of Gallium from Mining Tailings using Pseudomonas fluorescens. »

 

Meilleur exposé – Faculté d’éducation et de santé

Melanie Cloutier, Human Kinetics (MHK)
« Evaluating Seat Adjustment Training for Heavy Equipment Operators Based on Knowledge, Behaviours, and Self-Efficacy. »

 

Meilleur exposé – Faculté des Art

Britney Hammell, Psychology (MA)
« Savouring Ability in Relation to Friendship Quality in Older Adults. »

 

Meilleur exposé avec contenu autochton

Sheri Cecchetto, Indigenous Relations (MIR)
« The 7-Direction Pitchenese Model: Integrating Anishinaabe Worldviews into Indigenous Social Work Education. »

 

Meilleur exposé de langue français

Kouame Toussaint Boko, Kinésie humaine (MHK)
« La question de l’utilité du développement de la pensée critique des futurs.es enseignant.es francophones lors des stages en Éducation Physique et Santé : points de vues des enseignant.es associés.es francophones de l’Ontario. »

Une diplômée en sciences médico-légales dirige des recherches innovatrices en biochimie

Une diplômée en sciences médico-légales dirige des recherches innovatrices en biochimie

De la curiosité à la découverte, Ophélie Richard contribue à la recherche en chimie en préparant son avenir de chirurgienne

14 mars 2025 – Ophélie Richard a suivi un chemin inhabituel pour arriver à l’Université Laurentienne, mais la Montréalaise est maintenant étudiante à la maîtrise en sciences chimiques qui achève des recherches innovantes en biochimie tout en visant un avenir en médecine.

Ophélie, qui a fait ses études secondaires au Collège de Montréal et ses études de cégep au Collège André-Grasset, a demandé l’admission à l’Université Laurentienne sur un coup de tête. Une recherche sur Internet tard dans la nuit, inspirée par son émission de télévision préférée, Bones, l’a amenée aux sciences médico-légales, et à seulement quelques heures de la date limite, elle a soumis sa candidature. Un mois plus tard, elle a reçu sa lettre d’acceptation, marquant ainsi le début d’un trajet qui aménagerait son avenir.

En 2021, elle est arrivée à l’Université Laurentienne pour étudier les sciences médico-légales et la biologie, une double spécialisation qui lui a permis de découvrir sa véritable passion pour la recherche biomédicale. Aujourd’hui étudiante à la maîtrise sous la direction de M. Jeffrey Gagnon, Ph.D., elle examine le rôle d’une hormone clé, le GLP-1, dans la colite, maladie auto-immune inflammatoire affectant l’intestin.

« La plupart des gens connaissent le GLP-1 à cause d’Ozempic, une version modifiée de l’hormone utilisée pour contrôler la glycémie et l’appétit, a expliqué Ophélie. Dans mes recherches, j’étudie les cellules qui produisent naturellement du GLP-1 et l’incidence de l’inflammation sur celles-ci. L’objectif est de déterminer si un antioxydant, possiblement dérivé de microbes, pourrait rétablir les niveaux normaux de GLP-1, offrant ainsi une nouvelle approche pour le traitement de la colite. »

À l’extérieur du laboratoire, Ophélie s’est intégrée à la communauté Laurentienne en devenant responsable d’étage en résidence, auxiliaire à l’enseignement dans les laboratoires de chimie et membre active de la Société de biologie. Elle est actuellement coprésidente de Next Gen Sudbury, organisme dirigé par des étudiants qui fait la promotion du don de sang et de plasma.

Étudiante francophone dans un programme offert en anglais, Ophélie affirme qu’elle a eu de nombreuses occasions de parler et d’étudier dans les deux langues et a préparé un Certificat de bilinguisme en suivant le nombre requis de cours en français.

« J’ai noué des liens incroyables ici, a-t-elle dit. En première année, j’ai rencontré mes partenaires de laboratoire parce que je les ai entendus parler français, et je me suis immédiatement présentée. Ce réseau de soutien m’a aidée à me sentir à l’aise et a facilité ma transition. Mes colocataires, choisies au hasard en première année, sont toujours mes meilleures amies des années plus tard. La Laurentienne m’a offert à la fois des possibilités d’études et une deuxième famille. »

Les aspirations d’Ophélie ne cessent de prendre de l’ampleur. Elle se consacre à la recherche, car son objectif ultime est de fréquenter l’école de médecine et de devenir chirurgienne. Son avenir idéal consiste à concilier la pratique clinique avec la recherche médicale suivie.

« C’est un parcours ambitieux, mais j’aime la recherche et j’aime résoudre concrètement les problèmes, a-t-elle expliqué. Travailler dans un hôpital de recherche serait le meilleur des deux mondes. »

Depuis la décision spontanée de demander l’admission à la Laurentienne jusqu’à la conduite de recherches innovantes, le parcours d’Ophélie met en évidence la façon dont la curiosité, la persévérance et le bon environnement peuvent ouvrir la porte à des possibilités pertinentes et inattendues.

Deux autres membres du corps professoral de la Laurentienne reçoivent la Médaille du couronnement du Roi Charles III pour leurs contributions exceptionnelles

Deux autres membres du corps professoral de la Laurentienne reçoivent la Médaille du couronnement du Roi Charles III pour leurs contributions exceptionnelles

Peter Beckett et Nadia Mykytczuk sont reconnus pour leur incidence sur la restauration de l’environnement et la recherche minière

12 mars 2025 – L’Université Laurentienne est fière de célébrer les réalisations remarquables de deux membres estimés du corps professoral, Peter Beckett et Nadia Mykytczuk, lauréats de la prestigieuse Médaille du couronnement du Roi Charles III. Ils se joignent au professeur émérite et chercheur environnemental renommé, John Gunn, Ph.D., qui a été nommé lauréat en février. Cette distinction est décernée aux Canadiennes et Canadiens qui ont fait preuve d’un dévouement exceptionnel envers leur communauté et le service au pays.


Peter Beckett, Ph.D. : pionnier de la restauration environnementale
Professeur à l’Université Laurentienne depuis près de cinq décennies, M. Beckett a été essentiel à la transformation du paysage de Sudbury. Ses efforts pionniers en matière de restauration environnementale ont joué un rôle déterminant dans la lutte contre des années de dommages écologiques, menant aux initiatives reconnues de reverdissement de la région. Son dévouement à l’éducation environnementale et à la restauration a non seulement revitalisé les écosystèmes locaux, mais a également fait de Sudbury un exemple mondial de fructueuse remise en état environnementale.

 

Nadia Mykytczuk, Ph.D. : innovatrice en recherche minière et leadership communautaire
PDG de MIRARCO (Société de recherche appliquée en innovation minière et de réhabilitation) et directrice générale de l’École des mines Goodman de l’Université Laurentienne, Mme Mykytczuk est titulaire d’une Chaire de recherche industrielle de la SGFPNO en bioprospection minière et biorestauration. Figure incontournable de la recherche et de l’innovation en bioprospection minière, elle exerce un leadership qui s’étend au-delà du milieu universitaire jusqu’au service communautaire, où elle a été reconnue pour son engagement à faire progresser le secteur minier, à promouvoir les femmes dans ce secteur et à favoriser la mobilisation communautaire. Son travail est un exemple d’intégration de la recherche scientifique aux applications pratiques, profitant à la fois à l’industrie et à la communauté en général.


La Médaille du couronnement du Roi Charles III, frappée par la Monnaie royale canadienne, est une marque de reconnaissance importante de personnes qui ont apporté au Canada une contribution exceptionnelle dans divers domaines. La reconnaissance de M. Beckett et de Mme Mykytczuk rend hommage à leurs réalisations individuelles tout en soulignant également le dévouement de l’Université Laurentienne à l’excellence en recherche, à l’innovation et au service communautaire.


Les réussites de M. Beckett, de Mme Mykytczuk et de M. Gunn servent d’inspiration aux collègues, aux étudiants et à la communauté et renforcent l’engagement de l’Université Laurentienne à favoriser le leadership et à assumer des défis environnementaux et sociétaux urgents.
 

De nouveaux membres du corps professoral se joignent à l’Université Laurentienne

De nouveaux membres du corps professoral se joignent à l’Université Laurentienne

Expertise en santé, éducation autochtone, exploitation minière et d’autres domaines

6 mars 2025 – Cet hiver, une nouvelle cohorte de membres du corps professoral dans des postes menant à la permanence est accueillie à l’Université Laurentienne. Apportant une expertise diversifiée et une passion commune pour l’enseignement, ils enrichiront l’expérience en salle de classe, stimuleront la recherche innovatrice et favoriseront des partenariats communautaires pertinents.

« En ajoutant ce groupe exceptionnel de professeurs, nous renforçons notre engagement envers l’excellence et l’innovation universitaire, a souligné le vice-recteur principal aux études, Malcolm Campbell, Ph.D. Leur expertise couvre divers domaines, de l’exploitation minière durable et de la chimie environnementale aux méthodologies de recherche autochtone et au développement de la petite enfance. Nous leur souhaitons la bienvenue à l’Université Laurentienne et sommes persuadés qu’ils inspireront les étudiants, contribueront à des recherches percutantes et profiteront de nos liens solides avec le Nord et ailleurs. »

La mission d’enseignement de l’Université Laurentienne est dynamisée par les membres du corps professoral, du personnel et de la population étudiante qui repoussent les limites pour faire progresser les connaissances et la compréhension. Ces nouveaux membres du corps professoral, par leurs recherches et leur enseignement, aideront à rehausser l’incidence de l’Université Laurentienne sur le Nord, l’éducation autochtone et l’innovation interdisciplinaire.
Onze des nouveaux membres du corps professoral nommés à des postes menant à la permanence sont indiqués ci-dessous, selon la faculté.

 

Faculté des arts

Corrie Vendetti elle/she/her, École des sciences sociales

  • Intérêts de recherche : Cognition sociale et morale des enfants, y compris la théorie de l’esprit, le mensonge et la façon dont les jeunes enfants comprennent des aspects sociaux complexes.

  • Qu’est-ce qui vous enthousiasme en vous joignant à l’Université Laurentienne? J’ai fait mes études de premier cycle en psychologie expérimentale à l’Université Laurentienne, où j’ai vécu une expérience merveilleuse et rigoureuse. J’ai poursuivi ensuite mes études supérieures avec brio. Après près de dix ans de travail en psychologie appliquée, je suis ravie d’être de retour dans le milieu universitaire et espère vivement pouvoir encadrer et soutenir les étudiants, par l’enseignement et la recherche, afin de leur donner un solide coup d’élan, comme j’ai eu.

 

Joline Guitard, elle/she/her, École des sciences sociales

  • Intérêts de recherche : Psychologie positive (p. ex., bien-être, gratitude et pleine conscience), cognition sociale, biais cognitifs.

  • Qu’est-ce qui vous enthousiasme en vous joignant à l’Université Laurentienne? J’ai hâte de faire participer les étudiants à la recherche et de leur faire voir à quel point elle peut être amusante.

 

Brent [Ahnungoonhs] Debassige, inin/il/lui/him, École des arts libéraux

  • Intérêts de recherche : Éducation autochtone axée sur le territoire, éducation des Premières Nations, savoir autochtone, méthodologies de recherche autochtone.

  • Qu’est-ce qui vous enthousiasme en vous joignant à l’Université Laurentienne? En tant que diplômé de l’Université Laurentienne et de l’Université de Sudbury, titulaire d’un baccalauréat ès arts (avec distinction) avec une double concentration en science politique et études autochtones, je suis heureux de revenir là où j’ai été soutenu pendant les premières étapes de mon apprentissage universitaire. Dans mes recherches actuelles, j’ai noué de solides partenariats avec des collectivités des Premières Nations du nord et du sud-ouest de l’Ontario. Je suis comblé de revenir sur le territoire du Traité Robinson-Huron et à proximité de ma communauté natale de la Première Nation de M’Chigeeng à Mnidoo Mnising (sur l’île Manitoulin).

 

Faculté des sciences, de génie et d’architecture

Ezzeddin (Ezz) Bakhtavar, il/lui/him, École de génie et d’informatique Bharti

  • Intérêts de recherche : Exploitation minière durable, transformation numérique minière, industrie 5.0, optimisation multi-objectifs.

  • Qu’est-ce qui vous enthousiasme en vous joignant à l’Université Laurentienne? Je me réjouis de me joindre à la Laurentienne en raison de son accent sur le génie minier, des possibilités de recherche interdisciplinaire et de son engagement envers le développement durable. J’ai hâte de mettre à profit mon expertise en matière d’optimisation des mines souterraines et d’exploitation minière durable tout en collaborant avec des professeurs et étudiants pour avancer la recherche et l’innovation percutantes.

 

Janice Kenney, elle/she/her, École des sciences naturelles

  • Intérêts de recherche : Chimie environnementale, géochimie, géomicrobiologie.

  • Qu’est-ce qui vous enthousiasme en vous joignant à l’Université Laurentienne? Je suis enchantée de me joindre à la Laurentienne, car j’aurai l’occasion inégalée de faire progresser mes recherches en chimie analytique environnementale tout en contribuant à une communauté qui valorise l’apprentissage pratique et interdisciplinaire. Son emplacement à Sudbury, en Ontario – une région dotée d’une riche histoire minière – offre un cadre idéal dans lequel étudier la contamination par les métaux, ce qui me permettra de formuler des stratégies innovatrices de remédiation fondée sur la sorption qui ont des applications locales et mondiales directes.

 

 

Faculté d’éducation et de santé

Jennifer-Lynn Fournier, elle/she/her, École des sciences infirmières

  • Intérêts de recherche : Trajectoires de carrière des infirmières et infirmiers praticiens, supervision clinique, adaptation, exercice de la profession en temps de crise mondiale.

  • Qu’est-ce qui vous enthousiasme en vous joignant à l’Université Laurentienne? La Laurentienne est mon foyer universitaire depuis de nombreuses années, d’abord comme étudiante des cycles supérieurs (infirmière praticienne, doctorat en santé dans les milieux ruraux et du Nord) et ensuite comme chargée de cours. Mon poste actuel me donne la possibilité de servir notre communauté tout en appuyant des apprenants qui apporteront d’importantes contributions à la société et aux soins de santé. C’est un honneur pour moi de revenir à la Laurentienne.
     

 

Jonathan Binet, il/lui/him, École de service social

  • Intérêts de recherche : Transitions vers l’âge adulte, précarité, vulnérabilité, marginalité, exclusion, néolibéralisme, politiques d’activation, travail obligatoire, pratiques d’intégration, dépendances comportementales (dépendances au travail et aux jeux vidéo), biopolitique, normativité contemporaine, supervision en travail social, recherche ethnographique.

  • Qu’est-ce qui vous enthousiasme en vous joignant à l’Université Laurentienne? Je suis heureux de me joindre à l’équipe dynamique de la Laurentienne, dont les membres sont passionnés par la recherche, l’enseignement et la pratique de l’intervention sociale. En m’installant à Sudbury, j’ai aussi l’occasion de me rapprocher des communautés francophones et de Premières Nations de l’Ontario. Ayant mis au point des projets sur les jeunes et la vie sociale dans les communautés minières au cours des dernières années, je suis très motivé à découvrir ce côté de Sudbury dans les années à venir et à participer à des projets qui contribueront au développement de ses communautés.

 

Shannon McGee-Felton, elle/she/her, École des sciences infirmières

  • Intérêts de recherche : Enjeux en matière d’éducation et de santé touchant les populations francophones de tous les âges vivant dans les communautés rurales et du Nord.

  • Qu’est-ce qui vous enthousiasme en vous joignant à l’Université Laurentienne? Les soins infirmiers sont ma passion et me joindre à l’Université Laurentienne à ce titre me permet de former des étudiants dans les programmes de sciences infirmières, afin de soutenir davantage les soins de santé dans les nombreuses communautés bilingues de la province de l’Ontario.

 

Keri Cheechoo, iskwew/elle/she/her, École des relations autochtones

  • Intérêts de recherche : Pédagogie autochtone, éducation autochtone, éducation en matière de traités, souveraineté, femmes autochtones et santé et justice reproductives.

  • Qu’est-ce qui vous enthousiasme en vous joignant à l’Université Laurentienne? Je suis ravie de me joindre à l’Université Laurentienne, car j’ai l’occasion de nouer des relations, de favoriser la communauté et de réseauter avec les brillants esprits autochtones de l’École. J’ai également très hâte de rencontrer mes nouveaux collègues des autres facultés et écoles de l’Université Laurentienne et d’avoir la possibilité de collaborer avec eux.
     

 

Candace Brunette-Debassige, iskwew/elle/she/her, École des relations autochtones

  • Intérêts de recherche : Méthodologies de recherche (approches autochtones, décoloniales et narratives).

  • Qu’est-ce qui vous enthousiasme en vous joignant à l’Université Laurentienne? Je me réjouis de me joindre au formidable groupe de personnes de l’École des relations autochtones. De plus, je suis fière de faire partie d’une université qui incarne un mandat triculturel, y compris un engagement à collaborer avec les communautés autochtones et à servir le Nord.

 

Bibliothèque et Archives

Michael McArthur, il/lui/him, bibliothécaire en santé et données

  • Intérêts de recherche : Rôle de bibliothécaire dans la synthèse des connaissances, nouer des liens entre les chercheurs à l’aide d’identifiants durables, outils de point de service dans la pratique clinique.

  • Qu’est-ce qui vous enthousiasme en vous joignant à l’Université Laurentienne? L’Université Laurentienne est mon alma mater de premier cycle et je suis heureux de travailler pour un établissement qui m’a ouvert tant de possibilités dans la vie.

 

Mme Tammy Eger reconduite dans ses fonctions de vice-rectrice à la recherche à l’Université Laurentienne

Mme Tammy Eger reconduite dans ses fonctions de vice-rectrice à la recherche à l’Université Laurentienne

La dirigeante clé accomplira un deuxième mandat de cinq ans

6 mars, 2025 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer que Mme Tammy Eger a été reconduite dans ses fonctions de vice-rectrice à la recherche pour un deuxième mandat de cinq ans, à compter du 1er juillet 2025. Cette décision met en valeur son leadership exceptionnel, son engagement indéfectible et ses réalisations remarquables dans ce rôle.

L’une des dirigeantes en recherche les plus accomplies de la Laurentienne, Mme Eger a joué un rôle essentiel dans l’avancement de la communauté dynamique de recherche et d’innovation de l’établissement. Sous sa direction, l’UL a connu un succès remarquable en obtenant des investissements importants des organismes des trois conseils et du secteur privé, ainsi qu’en nouant de fructueuses collaborations. Pendant son mandat, les chercheurs de l’UL ont fait face à des défis sans précédent et ont pourtant continué d’avoir le vent dans les voiles, comme en témoignent ces annonces, parmi d’autres, de l’année dernière :

Professeure titulaire à l’École de kinésiologie et des sciences de la santé, Mme Eger a fait évoluer une brillante carrière en tant que première titulaire de la Chaire de recherche en santé et sécurité au travail (2015-2019), cofondatrice du Centre de recherche en santé et sécurité au travail et co-créatrice du premier laboratoire itinérant de recherche en santé et sécurité professionnelles de l’Ontario. Elle a un vaste dossier de publication, ayant rédigé plus de 65 articles de revues et 120 résumés et présentations de conférences.

Mme Eger fait preuve de leadership bien au-delà de la recherche. Au cours des cinq dernières années, elle a guidé l’Université Laurentienne pendant des périodes exigeantes, notamment en dirigeant la réponse de l’établissement à la pandémie et en exerçant les fonctions de rectrice et vice-chancelière par intérim à la fin de 2022. Sa capacité à diriger avec empathie, résilience et dévouement a eu une incidence profonde sur l’Université.

« J’ai le privilège de continuer à servir l’Université Laurentienne dans ce rôle, a exprimé Mme Eger, et j’ai hâte de collaborer avec le corps professoral, le personnel, la population étudiante et nos partenaires de recherche pour mettre en œuvre notre Plan stratégique de recherche 2025-2030. Qu’il s’agisse de répondre à des préoccupations régionales ou de relever des défis mondiaux, nos chercheurs ont une influence dans le cadre de découverte, d’innovation et de développement des talents. »

« Mme Eger est une dirigeante exemplaire qui a fait progresser notre mission de recherche et renforcé notre rôle de centre d’innovation, a affirmé la rectrice et vice-chancelière de l’Université Laurentienne, Lynn Wells, Ph.D. Elle a apporté à l’établissement bien plus que ce que son dossier pourrait laisser croire et a joué un rôle déterminant dans mon propre processus d’intégration. Le renouvellement de son mandat assure continuité et vision alors que la croissance de l’Université se poursuit. »

Le renouvellement de Mme Eger fait valoir l’engagement durable de l’Université Laurentienne à favoriser l’excellence en recherche et à réaliser sa mission d’être une pierre angulaire de l’innovation dans le nord de l’Ontario et ailleurs.
 

Un professeur d’architecture de la Laurentienne est élu président de l’Ordre des architectes de l’Ontario.

Un professeur d’architecture de la Laurentienne est élu président de l’Ordre des architectes de l’Ontario.

L’élection de M. Ted Wilson ne l’écartera pas de son mandat d’enseignement à l’École d’architecture McEwen.

4 mars 2025 - L’Université Laurentienne applaudit M. Ted Wilson, maître de conférences à l’École d’architecture McEwen, qui a été élu président de l’Ordre des architectes de l’Ontario, marquant ainsi une étape importante de sa carrière.

M. Wilson, qui a plus de 30 ans d’expérience en architecture, sans compter ses onze ans au sein du corps professoral de la Laurentienne, a consacré sa carrière à combler l’écart entre le monde universitaire et la pratique professionnelle. Il a joué un rôle majeur dans la conception de l’École d’architecture McEwen, au centre-ville de Sudbury, et demeure depuis longtemps un membre actif de la Société des architectes du nord de l’Ontario.

Motivé par sa passion pour le réseautage, qui l’a vu contribuer à l’essor de plusieurs cabinets d’architecture, il a gravi les étapes de la hiérarchie pour en arriver aujourd’hui à la tête de l’Ordre, une organisation provinciale. 

« Cela fait des années que je me suis fixé cet objectif, a indiqué M. Wilson. L’Ordre joue un rôle vital en aidant les architectes dans leur cheminement professionnel, de la formation au permis d’exercice, tout en forgeant l’avenir de l’architecture en Ontario. Je me réjouis à l’idée de poursuivre notre mission, celle de renforcer la profession et de promouvoir le travail remarquable qui se fait dans nos collectivités. »

Éducateur actif chargé de plusieurs cours, son influence s’exerce au-delà du champ de la pratique, ce qui a une incidence sur la réussite des étudiants de l’École McEwen. Elishba Manzoor, étudiante de quatrième année en architecture qui a l’intention de s’inscrire à la maîtrise l’an prochain, lui en attribue le crédit. Selon elle, le mentorat de M. Wilson a été une source d’inspiration et l’élément déterminant de son cheminement universitaire.

« Il adapte son enseignement aux champs d’intérêt des étudiants et s’assure que nous avons bien des occasions de les explorer, dit-elle. Son encouragement m’a motivé à poursuivre mes études à la maîtrise, et il m’a aidé à choisir un sujet de thèse qui m’intéresse et qui répond à mes objectifs personnels. Ses conseils ont été inestimables. »

En tant que président de l’Ordre, M. Wilson se dit résolu à s’attaquer aux questions de durabilité et d’équité que soulève l’architecture de même que du rôle évolutif de la profession dans le façonnement des collectivités. Il voit dans sa présidence une occasion de mettre en valeur les talents émergents du nord de l’Ontario et dont les champs d’intérêt sont l’adaptation au changement climatique, la durabilité, les pratiques et la collaboration soucieuses des différences culturelles.

« Ce qui se passe à l’École McEwen, a déclaré M. Wilson, est précisément ce que nous voulons voir se produire au sein de l’Ordre, à savoir former les futurs architectes de sorte qu’ils s’engagent pleinement auprès des collectivités et qu’ils se soucient de l’environnement. »

Alors qu’il entame ce rôle de leader provincial de la profession, son influence à titre d’éducateur est plus importante que jamais. « J’ai été attirée par la Laurentienne en partie parce que les professeurs ne sont pas seulement là pour enseigner la théorie; ils sont aussi des praticiens sur le terrain. De voir nos professeurs réussir non seulement en classe, a déclaré Elishba, mais se hisser à de tels sommets, comme Ted qui a été élu président de l’Ordre, cela m’inspire et me motive énormément. »

Son engagement au service de l’enseignement et son leadership professionnel à titre de président de l’Ordre illustrent le lien important qui existe entre l’enseignement théorique et la pratique sur le terrain. Alors qu’il se fait le champion de la durabilité, de retombées sociétales et des valeurs du nord de l’Ontario au niveau provincial, M. Wilson continue d’inspirer la prochaine génération d’architectes à l’École d’architecture McEwen, preuve que le leadership commence en classe, mais ne s’y limite pas.

IAMGOLD et l’Université Laurentienne annoncent un fonds d’innovation de 2,5 millions de dollars.

IAMGOLD et l’Université Laurentienne annoncent un fonds d’innovation de 2,5 millions de dollars.

Un don marquant de IAMGOLD appuiera l’investissement stratégique et l’innovation.

3 mars 2025 – L’Université est fière d’annoncer la création du Fonds de la rectrice pour l’innovation IAMGOLD pour l’investissement stratégique en partenariat avec la société IAMGOLD. Cette initiative de 2,5 millions de dollars financera des projets d’enseignement et de recherche qui aideront à mettre en œuvre les priorités stratégiques de l’Université tout en favorisant l’innovation dans l’enseignement et la recherche sur les ressources minérales et l’exploitation minière.

Ce fonds unique permettra de concrétiser des idées et de façonner l’avenir de nombreuses industries grâce à des recherches de pointe et à l’innovation. Des possibilités de projets verront le jour dans divers domaines, y compris :

  • possibilités environnementales comme la réduction des émissions, la gestion de l’eau, le soutien à la biodiversité et la gestion des résidus;
  • possibilités sociales, comme l’engagement étudiant/communautaire, la formation de la main-d’œuvre ainsi que le perfectionnement;
  • réconciliation avec les peuples autochtones;
  • possibilités à l’échelle du campus qui favorisent la collaboration et l’innovation.

La vision de IAMGOLD « Zéro incident » donne la priorité à la santé, à la sécurité, à la responsabilité environnementale et aux solides relations communautaires. Cet investissement renforce la situation de la Laurentienne dans le secteur minier canadien.

 

Faire progresser l’innovation dans le secteur minier et la durabilité

Offert à la population étudiante, aux associations étudiantes, au corps professoral et au personnel, le Fonds appuiera des projets :

  • portant sur les défis de l’industrie minière et apportant des solutions pratiques, innovatrices et fondées sur l’enseignement et la recherche;
  • alignés sur les objectifs du Plan stratégique 2024-2029 de l’Université Laurentienne ainsi que du Plan d’enseignement et du Plan stratégique de recherche.

 
Le Fonds appuiera également des thèmes du Plan stratégique, notamment les priorités comme l’excellence dans le Nord en exploitation minière et minéraux critiques, la collaboration institutionnelle et les partenariats, et renforcera l’identité bilingue et triculturelle de la Laurentienne, tout en appuyant des groupes divers et en quête d’équité. Le Fonds financera des projets jusqu’à concurrence de 250 000 $ par an pendant deux ans au maximum.
 

Citations

« IAMGOLD est fier d’investir dans la prochaine génération de leaders du secteur minier au moyen de ce Fonds. C’est un honneur de nous allier à l’Université Laurentienne pour aider notre industrie à franchir la prochaine étape, a dit le président et PDG de IAMGOLD, Renaud Adams. Ce fonds reflète notre engagement envers l’exploitation minière durable et les recherches innovatrices, et nous nous réjouissons à la perspective de voir les effets que cela aura. »

« Nous sommes profondément reconnaissants à IAMGOLD de nous offrir son soutien, a indiqué la rectrice et vice-chancelière de l’Université Laurentienne, Lynn Wells. Ce fonds donne à la population étudiante, au corps professoral et au personnel les moyens de façonner l’avenir de l’exploitation minière et de l’enseignement. Nous sommes fiers de jouer un rôle clé dans la formation de chefs de file qui feront progresser l’exploitation minière. »

Courtney Lessel reçoit le Prix du service à la recherche Dan-Archambault

Courtney Lessel reçoit le Prix du service à la recherche Dan-Archambault

Reconnaissance de neuf années de contributions exceptionnelles à la recherche et de soutien aux étudiants au CRSST

28 février 2025 – Courtney Lessel est lauréate du Prix du service à la recherche Dan-Archambault pour ses contributions inestimables aux efforts de recherche du Centre de recherche en santé et sécurité au travail (CRSST).


Depuis ses années d’études à la maîtrise, de 2013 à 2016, Courtney fait partie intégrante de la communauté de recherche de l’Université Laurentienne. Membre du personnel à plein temps du CRSST depuis 2016, elle joue un rôle clé dans le soutien des membres de la population étudiante et du corps professoral, faisant progresser l’excellence en recherche. 

 

Courtney a siégé à des comités de soutien à la recherche et aux études, notamment le comité organisateur de l’activité annuelle CROSHCon et l’équipe de direction du CRSST, où elle aide à organiser des possibilités de développement de carrière pour les étudiants. Elle dispense également une formation essentielle sur l’analyse documentaire et statistique, encadrant les étudiants aux cycles supérieurs et ceux qui préparent un mémoire ou une thèse de recherche.


Représentant la Laurentienne au-delà du campus, Courtney contribue à diverses initiatives externes de recherche, y compris la série sur l’immunité communautaire du nord de l’Ontario et le comité de développement du programme de sensibilisation au stress thermique. Elle siège aussi au comité consultatif local des Centres de santé des travailleurs de l’Ontario (OHCOW). 


« Courtney travaille sans relâche pour appuyer les étudiants et la recherche à la Laurentienne, a souligné la directrice du CRSST, Sandra Dorman, Ph.D. Sa collaboration va au-delà du cadre normal de travail, l’apportant à contribuer de manière importante à la création et à la diffusion de l’échange de connaissances en Ontario. Elle incarne l’esprit de ce prix et le mérite vraiment. »


 « L’expertise en recherche de Courtney, a ajouté la chercheuse principale au CRSST, Katie Goggins, Ph.D., et son engagement envers la réussite des étudiants font d’elle un atout exceptionnel pour notre communauté de recherche. »
Créé en 2024 à la mémoire de Daniel Archambault, Ph.D., le Prix du service à la recherche Daniel-Archambault reconnaît les membres du corps professoral, du personnel et de la population étudiante de l’Université Laurentienne qui font preuve de dévouement et de contributions exceptionnelles à la communauté de recherche universitaire.


La communauté de l’Université Laurentienne félicite Courtney Lessel de cette reconnaissance bien méritée et la remercie de son incidence remarquable sur la recherche universitaire.
 

Mme Tammy Gaber est lauréate du Prix d’excellence en recherche

Mme Tammy Gaber est lauréate du Prix d’excellence en recherche

Ses contributions exceptionnelles à titre de chercheuse ont été saluées lors de la Semaine de recherche 2025

28 février 2025 - Le Prix d’excellence en recherche de l’Université Laurentienne a été décerné à Mme Tammy Gaber (Ph.D.), directrice et professeure agrégée à l’École d’architecture McEwen. Cet honneur, déterminé par un comité de sélection, consacre les contributions originales exceptionnelles d’un membre du corps professorat à son domaine au cours des cinq dernières années, qui a fait preuve de leadership universitaire, reçu des fonds de recherche externes et rehaussé sur la scène nationale et internationale la réputation de l’Université en matière de recherche.

La vice-rectrice à la recherche, Mme Tammy Eger, a félicité l’heureuse lauréate lors de la remise du prix qui a eu lieu lors de la cérémonie clôturant la Semaine de recherche 2025. « Mme Gaber, par ses recherches pionnières et son engagement au mentorat des étudiants, a eu une immense incidence tant chez les étudiants qu’au sein de la communauté architecturale. Ses travaux font rayonner la recherche qui se fait à la Laurentienne sur la scène internationale, et il importe de célébrer ce prix bien mérité. »

Ses travaux de recherche, qui ont fait avancer le savoir en architecture, l’ont aussi vue encadrer des étudiants de tous les cycles, contribuant ainsi à la formation de la prochaine génération de concepteurs et de chercheurs innovateurs.

« La recherche se fait dans un esprit de collaboration et de transformation, a indiqué Mme Gaber, et je suis reconnaissante envers mes étudiants et collègues et la communauté de la Laurentienne, dont le soutien et l’engagement permettent de repousser les limites des connaissances en architecture. Que le travail qui me passionne soit reconnu est à la fois un honneur et un privilège. »

Outre ce prix, Mme Gaber verra reconnaître ses mérites lors d’une prochaine cérémonie de remise des diplômes. Elle sera aussi invitée à prendre la parole lors de la Semaine de recherche 2026 au cours de laquelle une réception sera organisée en son honneur. Dans l’immédiat, son Prix d’excellence en recherche sera célébré par la Bibliothèque de l’École d’architecture McEwen, sous la forme d’une exposition de ses publications, notamment son livre, ses chapitres, ses articles de revues, entre autres. 

La communauté universitaire de la Laurentienne tient à saluer les réalisations de Mme Gaber et se réjouit des retombées durables de ses recherches, de ses travaux universitaires et de son enseignement.

 

À propos de Tammy Gaber (Ph.D.)
Mme Gaber jouit d’une grande réputation en raison de son engagement qui consiste à offrir aux étudiants des possibilités d’apprentissage expérientiel uniques et transformatrices dans le cadre de ses travaux de recherche. Son travail, mené à titre d’érudite et d’éducatrice de renom, l’a vue apporter une importante contribution à l’histoire de l’architecture, notamment à l’étude des espaces sacrés et de ce qu’ils représentent pour les communautés. À titre de directrice de l’École d’architecture McEwen, son leadership a donné lieu à des initiatives innovatrices dans l’enseignement et à des possibilités d’apprentissage expérientiel uniques, confortant ainsi la réputation d’excellence de l’établissement. 

Ses travaux ont bénéficié de plusieurs subventions fédérales, dont le prix 2022 pour son étude des espaces sacrés par les architectes modernistes Alvar, Aino et Elissa Aalto. Son livre pionnier, Beyond the Divide - A Century of Canadian Mosque Design, fruit de nombreuses années de recherche soutenues par le CRSH et d’autres subventions, a fait l’objet d’éloges dans nombre de revues et de périodiques prestigieux, dans un balado, le Globe and Mail et une émission de télévision. Son livre a récemment reçu une mention honorable dans le cadre du Melva Dwyer Award, un prix qui récompense les créateurs d’outils de référence ou de recherche exceptionnels dans le domaine de l’art et de l’architecture canadiens.

Son plus récent projet de recherche a vu son ouvrage Sacred Spaces: Community and Continuity in Aaltos’ Architecture, en vedette dans une exposition au musée Alvar Aalto de Jyväskylä, en Finlande. L’exposition, une exploration minutieuse de 35 espaces sacrés conçus par les Aalto, sur une période de 50 ans, s’accompagne de dessins 3D détaillés et de recherches historiques, offrant ainsi une compréhension complète de ces ouvrages architecturaux.

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