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Breanna Dover, étudiante en sciences infirmières à la Laurentienne, accueille à bras ouvert le parcours de soins de santé dans le Nord.

Breanna Dover, étudiante en sciences infirmières à la Laurentienne, accueille à bras ouvert le parcours de soins de santé dans le Nord.

Cette lauréate de la subvention ontarienne Apprendre et rester fait ressortir la force motrice que sont l’enseignement local et l’engagement de la collectivité.

(11 septembre 2025) - D’un milieu propice à l’apprentissage à des expériences cliniques pratiques, Mme Breanna Dover (Sudbury, ON), étudiante en troisième année de sciences infirmières à l’Université Laurentienne, se félicite d’un parcours universitaire enrichissant et éclairé par un engagement au service de sa communauté. Son parcours met en évidence non seulement la qualité des programmes de la Laurentienne, mais aussi le rôle capital que jouent des étudiants motivés dans le renforcement du système de soins de santé du nord de l’Ontario.

Étudiante adulte, Mme Dover a choisi la profession d’infirmière et crédite la Laurentienne à avoir mis en place le cadre idéal à la poursuite de sa passion. « Mon expérience est extrêmement positive. Je me suis sentie soutenue en ayant accès à un large éventail de ressources, dont l’aide financière sous forme de bourses d’aide et une bibliothèque accueillante et bien équipée devenue aujourd’hui mon aire d’étude préférée. »

Mme Dover a choisi le programme de sciences infirmières de la Laurentienne en raison de sa réputation bien établie et de son approche des soins axée sur la communauté, particulièrement la mise en pratique, dès le premier trimestre, de ses compétences dans un milieu de soins de santé. Parmi ses souvenirs les plus mémorables, elle cite ses expériences cliniques pratiques et les liens solides qu’elle a tissés avec d’autres étudiants qui partagent sa passion du service à autrui.

Cet engagement envers les soins de santé à l’échelle locale prend de l’ampleur du fait de la subvention ontarienne Apprendre et rester, élargie depuis peu afin d’accroître les effectifs en sciences infirmières. En étant bénéficiaire, Mme Dover sait en quoi son parcours s’en est trouvé largement favorisé. « Cette subvention est une manne merveilleuse aux étudiants en sciences infirmières et aux personnes qui s’engagent à travailler dans des régions peu servies comme le nord de l’Ontario. Elle couvre l’achat de livres, les droits de scolarité et des dépenses complémentaires. En éliminant des obstacles financiers et en faisant que des infirmières qualifiées s’installent dans la région, cette subvention peut, à mon avis, exercer une influence significative et durable sur les étudiants et le système de soins de santé dans le Nord. »

Mme Christina McMillan Boyles, (Ph.D.), professeure agrégée et directrice de la School of Nursing / École des sciences infirmières, salue son engagement. « Nous sommes très fiers de nos étudiants qui se sont engagés à servir la collectivité du nord de l’Ontario. Le dévouement de Breanna incarne parfaitement la passion même qui anime notre programme. La subvention ontarienne Apprendre et rester, est un puissant levier qui aide à traduire cet engagement dans les faits en épaulant des étudiants prêts à changer la donne dans notre région. »

« Notre gouvernement est fier d’avoir institué la subvention ontarienne Apprendre et rester en soutien à des étudiantes en sciences infirmières comme Breanna, a déclaré le ministre des Collèges, des Universités, de l’Excellence en recherche et de la Sécurité, M. Nolan Quinn. Ce programme permet de s’assurer qu’ils ne se heurtent pas à des obstacles financiers, les empêchant de bénéficier d’une formation de premier ordre et que ces étudiants passionnés et dévoués, devenus des professionnels de la santé hautement qualifiés, intègrent les communautés qui ont le plus besoin d’eux. » 

Portée par une vision claire de l’avenir, Mme Dover incite d’autres à suivre une voie similaire. « Les personnes qui songent aux études en sciences infirmières de l’Université Laurentienne ne devraient pas hésiter. Le cheminement est difficile, mais très valorisant, et les systèmes de soutien en place à la Laurentienne en font une expérience aussi accessible que gratifiante. »

L’histoire de Mme Breanna Dover témoigne de la puissance de la combinaison entre la motivation individuelle et le soutien communautaire. Elle montre l’importance de favoriser une communauté solidaire dédiée au mieux-être du nord de l’Ontario.

 

Donner du sens à la science : le programme d’études supérieures en communication scientifique de la Laurentienne et de Science Nord a 20 ans

Donner du sens à la science : le programme d’études supérieures en communication scientifique de la Laurentienne et de Science Nord a 20 ans

Depuis 2005, les diplômés aident les gens à se familiariser avec la science dans leur vie quotidienne, du changement climatique à la santé publique

(9 septembre 2025) - Cette année marque le 20e anniversaire du programme d’études supérieures en communication scientifique de la Laurentienne, qui est offert en partenariat avec Science Nord. Lancé en 2005, le premier et le seul diplôme d’études supérieures du genre au Canada compte plus de 200 diplômés qui travaillent aux quatre coins du pays et du monde, jetant un pont entre la science et la société.

La particularité de ce programme tient à ses gens. Les étudiants viennent en effet d’horizons divers comme la biologie, le génie, le journalisme ou les arts, et deviennent des professionnels de la communication au sein de centres à vocation scientifique, d’aquariums, de services publics, d’organisations à but non lucratif, d’universités et d’organismes médiatiques.

« La science est au cœur des défis les plus pressants de notre époque, mais son incidence ne se fait sentir que lorsque le public peut se l’approprier, a déclaré la directrice du programme, Mme Chantal Barriault (Ph.D.). Depuis 20 ans, ce partenariat a vu former des professionnels qui ont réellement changé la donne quant à la manière dont la science est comprise et mise en pratique. Nos diplômés sont des meneurs de conversations sur la santé, le changement climatique, la technologie et l’environnement, autant d’enjeux qui touchent de près les populations et les collectivités du monde entier. »

En effet, les diplômés du programme occupent des postes de direction et de communication au sein de divers établissements - centres et musées de sciences, ministères, organisations de défense de l’environnement, agences de santé publique, instituts de recherche, universités et collèges - tant au Canada qu’à l’étranger. Nombre d’entre eux ont gardé le contact avec le programme comme mentors, collaborateurs et champions de la communication scientifique.

Le 20e anniversaire sera fêté le vendredi 12 septembre 2025, à 15 h 30, dans le hall du Centre pour la vitalité des lacs Vale de l’Université Laurentienne, en présence de la 20e promotion finissante qui présentera le fruit de ses recherches dans le cadre du Symposium annuel de recherche sur la communication scientifique.

Tout en marquant ses vingt ans, le programme est tourné vers l’avenir. De fait, une mineure en communication scientifique est ajoutée cet automne à des programmes d’études de premier cycle. Et alors que la demande du public pour une communication scientifique crédible et captivante est plus forte que jamais, l’Université Laurentienne et Science Nord s’engagent à élargir les possibilités offertes aux étudiants et à renforcer l’incidence du programme dans les années à venir.

Pour en savoir plus sur le programme de maîtrise en communication scientifique et la célébration de son 20e anniversaire, consultez sciencecommunication.ca.


Citations de diplômés

Ki-Youn Kim, spécialiste en communicatrice scientifique et chargée de cours en communication scientifique à l’Université Laurentienne, promotion de 2019.

« Le programme d’études supérieures qu’offre la Laurentienne en communication scientifique ne m’a pas seulement préparée à la concurrence qui règne sur le marché du travail d’aujourd’hui. Il m’a également doté des connaissances et des compétences nécessaires pour naviguer le paysage de désinformation actuel. J’éprouve une grande satisfaction en étant en mesure de faire que mes clients du secteur STIM peuvent se rapprocher de leur public et communiquer efficacement avec les gens d’horizons divers. »

Kat Middleton, gestionnaire intérimaire, Engagement scientifique, Pêches et Océans Canada, promotion de 2016.

« L’obtention d’un diplôme en programme de communication scientifique a marqué un tournant important dans ma carrière et cela conditionne encore aujourd’hui mon travail au sein de l’administration fédérale. Du mentorat de stagiaires à la collaboration avec les diplômés, je suis témoin chaque jour de l’incidence du programme. Les diplômés en communication scientifique sont réfléchis, compétents et très résolus à donner du sens à la science. C’est ce genre d’héritage qui mérite d’être salué. »

Anthony Morgan, co-animateur de The Nature of Things, fondateur et directeur créatif de Science Everywhere, promotion de 2014.

« Aujourd’hui, je suis co-animateur de The Nature of Things, mais c’est sur YouTube que j’ai lancé ma carrière. Le programme de communication scientifique m’a permis d’acquérir les compétences qui me sont nécessaires pour y parvenir. »

Kyelle Byne, gestionnaire principale, Subventions (Science Nord), promotion de 2019.

« Je suis à jamais reconnaissante du fait que le programme de communication scientifique a donné le coup d’envoi à mon cheminement professionnel, un parcours aussi amusant qu’inattendu. Les compétences que j’ai acquises ont servi de base à mon travail, dans la mesure où je dois comprendre différents publics, penser avec créativité et stratégie, et soutenir des expériences scientifiques engageantes auprès de personnes de tous âges. »

L’Université Laurentienne célèbre l’intronisation de deux membres de sa communauté à la Société royale du Canada.

L’Université Laurentienne célèbre l’intronisation de deux membres de sa communauté à la Société royale du Canada.

Nomination de Linda Ambrose, Ph.D., à titre de membre et de Nadia Mykytczuk, Ph.D., au Collège des nouveaux chercheurs.

(4 septembre 2025) – La Société royale du Canada (SRC) a annoncé la nomination de la cohorte 2025 de membres et de nouveaux chercheurs du Collège, un honneur qui récompense les chercheurs, artistes et scientifiques les plus accomplis du pays. Les cérémonies d’intronisation se tiendront à Montréal (QC) lors du congrès national de la SRC, la Célébration de l’excellence et de l’engagement de la SRC, du 12 au 16 novembre 2025, et accueilleront officiellement Linda Ambrose (Ph.D.) tant que membre de la SRC et Nadia Mykytczuk (Ph.D.) au Collège des nouveaux chercheurs.

Fondée en 1882, la SRC est l’académie nationale du pays, vouée à reconnaître et à célébrer les éminents chercheurs, artistes et scientifiques. L’élection à la SRC est la plus haute distinction qu’une personne puisse recevoir dans la vie intellectuelle canadienne. Les nouveaux membres et chercheurs sont choisis par leurs pairs pour leurs contributions remarquables au savoir et à la vie publique. Si la distinction de membre est un honneur à vie pour ceux qui ont atteint le sommet de leur carrière, le Collège reconnaît la nouvelle génération de chefs de file du monde universitaire, de chercheurs et d’artistes, pour un mandat de sept ans, dans les quinze ans suivant l’obtention de leur doctorat ou d’un diplôme équivalent.

L’élection de Mme Linda Ambrose comme membre de la SRC est une distinction qu’elle décrit comme « un honneur remarquable ». Professeure titulaire à l’École des Arts libéraux, Mme Ambrose a récemment pris sa retraite après avoir consacré plus de trente ans au département d’Histoire et à ses étudiants. Historienne primée, elle a acquis une réputation internationale pour ses travaux sur les femmes des régions rurales et l’histoire religieuse des femmes. Ses recherches portent sur les études de genre et l’histoire des femmes canadiennes, particulièrement dans des contextes comme les Instituts féminins et le mouvement pentecôtiste canadien. Les publications de Mme Ambrose, dont For Home and Country: The Centennial History of the Women's Institutes in Ontario (Boston Mills Press, 1996) et A Great Rural Sisterhood: Madge Robertson Watt and the Associated Country Women of the World (University of Toronto Press, 2015), ont apporté un éclairage précieux sur le féminisme populaire et les rôles que les femmes ont joués en milieu rural. Plus récemment, les travaux de Mme Ambrose se sont concentrés sur la résistance des femmes au sein des institutions religieuses patriarcales. Son livre Pentecostal Preacher Woman: The Faith and Feminism of Bernice Gerard (UBC Press, 2024) lui a valu la Médaille du lieutenant-gouverneur pour les écrits historiques (BC Historical Foundation) en 2024 et le prix Clio de la Société historique du Canada (Colombie-Britannique) en 2025. En reconnaissance de ses contributions exceptionnelles, elle a reçu le Prix d’excellence en enseignement de l’Université Laurentienne en 2005 et le Prix d’excellence en recherche en 2024. Mme Ambrose est également coauteure de Laurentian University: A History (McGill-Queen’s University Press, 2010), qui témoigne de son attachement à cet établissement et de son engagement envers la recherche historique.

« Je suis extrêmement honorée et fière d’être nommée membre de la Société royale du Canada. Cette distinction est un immense honneur et est très valorisante, car elle tient compte de plusieurs décennies de recherche, a déclaré Mme Ambrose. Que mes travaux soient reconnus par cet établissement prestigieux est une merveilleuse récompense et, d’une certaine manière, cela représente l’aboutissement de ma carrière universitaire. Mon séjour à la Laurentienne a été un privilège à tous les égards : enseignement, administration et recherche. Dans le cadre de mes travaux universitaires, j’ai été intriguée par la nécessité de mettre en lumière les contributions puissantes et souvent méconnues des femmes, en explorant le féminisme dans les lieux les plus inattendus. Cette nomination me procure une immense satisfaction et me permettra de mieux faire connaître les travaux historiques qui ont été à la base de ma carrière de chercheuse. »

L’élection de Mme Nadia Mykytczuk au Collège des nouveaux chercheurs de la SRC est un honneur qui l’a « ravie ». Innovatrice dans le domaine de la microbiologie environnementale, forte de plus de deux décennies d’expérience, elle est présidente-directrice générale de MIRARCO (Société d’innovation minière, de réhabilitation et de recherche appliquée) et directrice générale de l’École des mines Goodman à l’Université Laurentienne. Ses travaux portent sur le développement de solutions microbiennes aux défis liés à l’exploitation minière, en particulier la bioexploitation minière et la biorestauration. Les recherches de Mme Mykytczuk portent sur la façon dont les micro-organismes peuvent être utilisés pour récupérer des minéraux critiques et assainir les sites de déchets miniers, transformant ainsi les problèmes environnementaux hérités en possibilités durables. Elle est actuellement titulaire de la Chaire de recherche industrielle de la SGFPNO en bioexploitation minière et biorestauration et a été reconnue pour son leadership dans la promotion des femmes dans l’industrie minière et la promotion de l’engagement communautaire. En mars 2025, elle a reçu la Médaille du couronnement du roi Charles III pour son dévouement envers la communauté et son service au Canada.

« C’est avec une profonde humilité que je joins le Collège de nouveaux chercheurs de la Société royale du Canada, a déclaré Mme Mykytczuk. Cet honneur offre une plateforme extraordinaire pour faire progresser les objectifs du Collège, qui sont de favoriser la collaboration interdisciplinaire, de promouvoir les études canadiennes à l’échelle mondiale et de veiller à ce que la recherche et l’innovation soient mises à profit pour relever les défis les plus pressants de notre époque. »

« Mmes Ambrose et Mykytczuk sont des exemples remarquables de la recherche innovatrice et percutante menée à l’Université Laurentienne. L’élection de Mme Ambrose comme membre reconnaît l’ensemble de sa carrière et ses contributions profondes à l’histoire canadienne, tandis que l’intronisation de Mme Mykytczuk au Collège des nouveaux chercheurs souligne ses recherches avant-gardistes en microbiologie environnementale. Ces deux distinctions illustrent comment nos professeurs proposent des solutions et de nouvelles perspectives d’une importance cruciale pour notre société. Nous sommes ravis de voir leur dévouement et leur curiosité intellectuelle reconnus à l’échelle nationale. » - Tammy Eger (Ph.D), vice-rectrice à la recherche, Université Laurentienne.

« C’est un moment d’immense fierté pour l’Université Laurentienne. L’intronisation de Linda Ambrose et de Nadia Mykytczuk à la Société royale du Canada témoigne de leur érudition exceptionnelle et de l’incidence mondiale de leurs travaux. Ces deux membres remarquables de la communauté incarnent l’engagement de notre établissement envers l’excellence universitaire et le leadership intellectuel. Leurs réalisations inspirent la prochaine génération de chercheurs et d’universitaires. Nous sommes honorés de célébrer avec elles cette distinction universitaire de la plus haute importance. » - Lynn Wells (Ph.D), rectrice et vice-chancelière de l’Université Laurentienne.

Une célébration publique aura lieu sur le campus de l’Université Laurentienne après les cérémonies officielles d’intronisation à Montréal en novembre. Les détails seront communiqués ultérieurement.

 

Annonce d’un financement supplémentaire pour l’Institut pour l’innovation en habitation nordique

Annonce d’un financement supplémentaire pour l’Institut pour l’innovation en habitation nordique

Le Centre de recherche est maintenant financé par FedNor, la SDGS et Desjardins

(28 août 2025) – L’Université Laurentienne est fière d’annoncer un financement supplémentaire qui appuiera l’Institut pour l’innovation en habitation nordique, une nouvelle initiative audacieuse récemment créée afin de relever les défis du logement et du climat dans le nord de l’Ontario grâce à des solutions durables, abordables et inclusives.

L’Institut bénéficiera d’un financement combiné supplémentaire de 750 000 $ de trois partenaires clés :

  • 450 000 $ de FedNor, par l’intermédiaire de l’Initiative régionale pour l’innovation en construction résidentielle;
  • 150 000 $ de la Société de développement du Grand Sudbury (SDGS);
  • 150 000 $ de Desjardins, par l’entremise du Fonds au développement collectif.

L’Institut pour l’innovation en habitation nordique, situé à l’École d’architecture McEwen de l’Université Laurentienne, servira de pôle de recherche, de formation et de collaboration. Sa mission est de développer et de mobiliser des technologies de logement adaptées aux réalités uniques du nord de l’Ontario, en mettant l’accent sur la durabilité, les pratiques sobres en carbone et l’abordabilité.

« L’Institut pour l’innovation en habitation nordique reflète notre engagement envers la recherche ayant une incidence concrète. Nous sommes reconnaissants de pouvoir compter sur des bailleurs de fonds qui valorisent les solutions avant-gardistes en collaboration avec les collectivités, l’industrie et le gouvernement. » - Tammy Eger, Ph.D., vice-rectrice à la recherche à l’Université Laurentienne.

« Le gouvernement du Canada et FedNor investissent 450 000 $ pour contribuer à la lutte contre la crise du logement dans le nord de l’Ontario en créant le Centre pour l’innovation en habitation nordique à l’Université Laurentienne. Cet investissement contribuera à la promotion de solutions de logement durables et abordables pour le nord de l’Ontario et s’inscrit dans notre Stratégie nationale sur le logement en rassemblant les gens pour bâtir davantage de logements abordables, améliorer la qualité de vie et renforcer les collectivités.é ». -L’honorable Patty Hajdu, ministre de l’Emploi et des Familles et ministre responsable de FedNor.

« La Ville du Grand Sudbury, par l’intermédiaire de la Société de développement du Grand Sudbury, est fière d’appuyer la croissance de l’Institut pour l’innovation en habitation nordique, a déclaré le maire du Grand Sudbury, Paul Lefebvre. Cette initiative témoigne de notre engagement envers des solutions créatives et locales aux défis du logement auxquels nous sommes confrontés. En investissant dans la recherche et l’innovation, nous renforçons notre capacité à répondre à la demande et à bâtir une ville plus inclusive et résiliente pour tous. »

« Chez Desjardins, nous croyons qu’un logement sécuritaire, abordable et inclusif aide les communautés à grandir et à prospérer. Notre contribution appuie la recherche et la collaboration qui mèneront à des solutions concrètes adaptées aux réalités uniques du nord de l’Ontario. Cette initiative s’inscrit dans notre engagement envers le développement communautaire et la protection de l’environnement. » – Stéphan Plante, vice-président de l’Ontario, Expérience de la clientèle et Services bancaires aux particuliers.

« Cette initiative témoigne des résultats de la collaboration. En collaborant avec les collectivités, les décideurs politiques et l’industrie, nous pouvons favoriser un changement systémique dans notre approche du logement dans le Nord. » - Steven Beites, professeur adjoint, École d’architecture McEwen et directeur de l’Institut pour l’innovation en habitation nordique.

L’Institut avait précédemment obtenu la somme de 512 544 $ du ministère des Collèges, des Universités, de l’Excellence en recherche et de la Sécurité par l’intermédiaire du Fonds d’amélioration du matériel de formation (FAMF).

Cette initiative transformatrice place l’Université Laurentienne à l’avant-garde de la recherche et de l’innovation en matière de logement durable, avec des avantages durables pour le nord de l’Ontario et au-delà.

Succès des étudiants de l’Université Laurentienne dans le cadre du programme Entreprise d’été

Succès des étudiants de l’Université Laurentienne dans le cadre du programme Entreprise d’été

Les subventions de la Fonderie et son héritage de dons aident les étudiants entrepreneurs à lancer de nouvelles entreprises

(26 août 2025) - Des étudiants de l’Université Laurentienne ont passé l’été à concrétiser leurs idées d’affaires, grâce à un partenariat clé avec le Centre régional des affaires du Grand Sudbury. La Fonderie de l’Université a accordé deux subventions exclusives au Programme Entreprise d’été 2025, célébrant ainsi un nombre record de seize étudiants entrepreneurs qui ont lancé leur propre entreprise.

Le soutien de la Fonderie a été particulièrement déterminant pour la participation de deux étudiants étrangers, ce qui a contribué à favoriser un environnement entrepreneurial diversifié et innovant au sein du programme de la Ville. Les quatorze autres entrepreneurs ont été financés par le programme Entreprise d’été du gouvernement de l’Ontario. Ce programme offre aux étudiants une formation, du mentorat et des subventions de démarrage pouvant atteindre 3 000 $. Il leur permet également d’acquérir l’expérience pratique nécessaire à la création d’une entreprise, de l’élaboration de plans d’affaires à la gestion financière, en passant par le marketing et les ventes.

« Je suis ravie que la Fonderie et la Laurentienne puissent contribuer à l’expansion du programme Entreprise d’été de cette année en finançant deux étudiants entrepreneurs supplémentaires, a déclaré la directrice de la recherche et de l’innovation à l’Université Laurentienne, Mme Gisele Roberts. Ce partenariat avec le Centre régional des affaires de la Ville reflète notre engagement à créer une communauté connectée et entrepreneuriale, où tous les étudiants, y compris les étudiants étrangers, peuvent envisager la création d’entreprise comme un parcours professionnel stimulant. L’innovation s’enrichit de la diversité et grâce au programme Entreprise d’été, nous offrons aux étudiants les outils, le mentorat et le soutien financier nécessaires pour lancer leur propre entreprise. Ce faisant, nous leur donnons les moyens de devenir des leaders et des innovateurs dans notre région, et nous sommes extrêmement fiers de tout ce qu’ils ont accompli cet été. »

Le soutien de la Fonderie au programme Entreprise d’été repose sur une tradition de générosité. La majeure partie des fonds utilisés pour aider les deux étudiants financés par la Fonderie à lancer leur entreprise provient d’un généreux don de M. Craig Fowler, ex-membre du personnel de l’Université Laurentienne et aujourd’hui à l’Université Algoma.

Les étudiants ci-dessous de l’Université Laurentienne ont participé avec succès au programme Entreprise d’été en 2025 :

 

Desserts by Nifemi - Oluwanifemi Ogunleye, étudiant au baccalauréat ès arts en Droit et justice.

Origine : Nigéria, École secondaire catholique St. Benedict.

Description de l’entreprise : Nous vous proposons de délicieuses gaufres et douceurs dans un stand estival animé. Les desserts de Nifemi Treats sont préparés avec des ingrédients de haute qualité et beaucoup d’amour.

 

 

Stems by T – Tamyra Matshinyatsimbi, étudiante au baccalauréat en Service social.

Origine : Sudbury, ON, École secondaire catholique St. Benedict.

Description de l’entreprise : Nous concevons des bouquets floraux personnalisés pour mariages, fêtes et événements spéciaux, confectionnés avec soin et adaptés à tous les budgets. Les compositions élégantes de Stems by T apportent une touche personnelle à votre célébration sans vous ruiner.

 

 

Aeizy – Mohammad Aazeer Mohammad Thahir, étudiant à la maîtrise en Sciences informatiques

Origine : Colombo, Sri Lanka.

Description de l’entreprise : Spécialisé dans les t-shirts personnalisés sur le thème des animés pour les fans qui souhaitent afficher fièrement leur passion. Les t-shirts Aeizy présentent des designs uniques inspirés d’animés populaires.

 

 

Transformative Strength – Christabell Hamoud, étudiante au baccalauréat ès arts en Droit et justice (majeure) et Criminologie (mineure).

Origine: Sudbury, ON (École internationale du Liban).

Description de l’entreprise : Une application d’exercice physique et de nutrition proposant un coaching personnalisé pour aider les utilisateurs à atteindre leurs objectifs de santé. Transformative Strength propose des programmes d’entraînement sur mesure et des conseils diététiques.

 

 

EcoSafe Cleaning Services – Maryam Mboutne Pemi, étudiante au baccalauréat en sciences en Génie chimique.

Origine : Yaoundé, Cameroun (Lycée bilingue public de Yaoundé).

Description de l’entreprise : Nous proposons des solutions de nettoyage résidentiel respectueuses de l’environnement, axées sur la sécurité et le développement durable. EcoSafe Cleaning Services utilise des produits non toxiques pour garantir un environnement domestique sain.

 

 

« Je suis honoré d’avoir bénéficié du programme Entreprise d’été, a déclaré Mohammad Aazeer Mohammad Thahir, étudiant en deuxième année de la maîtrise en sciences informatiques. Ce qui n’était au départ qu’une idée est devenu réalité grâce à ce financement; il m’a permis de créer et de lancer un site complet de commerce électronique pour ma marque de sweats à capuche animés, et de mettre en place des pages de produits et le traitement des paiements et des commandes. Tout fonctionne parfaitement, et rien de cela n’aurait été possible sans le soutien du programme Entreprise d’été. »

« Ce financement m’a été d’une aide précieuse pour développer mon entreprise et m’a donné les ressources et la confiance nécessaires pour concrétiser mes idées, a déclaré Christabell Hamoud, étudiante en troisième année en Droit et de justice. Le soutien et le mentorat du Centre régional des affaires ont été formidables et m’ont permis d’en apprendre davantage sur le monde des affaires. Cet été, j’ai développé mes compétences entrepreneuriales et posé les bases d’une entreprise plus solide et plus viable. »

Le programme Entreprise d’été n’est qu’une des nombreuses façons dont l’Université Laurentienne, par l’entremise d’initiatives comme La Fonderie, favorise la réussite et l’innovation des étudiants.
 

Women Transforming the Future of Higher Education - Résilience et mentorat à l’honneur.

Women Transforming the Future of Higher Education - Résilience et mentorat à l’honneur.

Cet ouvrage, codirigé par la Pre Taima Moeke-Pickering, est un appel à l’action en faveur d’un monde universitaire au caractère plus équitable, diversifié et inclusif..

(19 août 2025) - La marche vers un monde universitaire plus équitable et inclusif franchit une étape importante à la publication de Women Transforming the Future of Higher Education (IGI Global Scientific Publishing, 2025)*. Sous la codirection de Taima Moeke-Pickering, Ph.D., professeure titulaire et directrice de l’École des relations autochtones à l’Université Laurentienne, ce nouvel ouvrage témoigne de la résilience des femmes en milieu universitaire et de leur esprit d’innovation. S’inscrivant dans le sillon critique jeté par Critical Reflections and Politics on Advancing Women in the Academy, son ouvrage encensé en 2020, cette récente publication est une perspective globale sur la manière dont les femmes sont des agents actifs dans la recomposition du paysage de l’enseignement supérieur.

Comme le décrit Mme Moeke-Pickering, cet ouvrage examine les multiples facettes du rôle des femmes dans l’enseignement supérieur en tant que dirigeantes, chercheuses et administratrices, et évoque les défis persistants auxquels elles sont confrontées, notamment la discrimination systémique, le sexisme et le racisme, tout en célébrant leurs stratégies innovatrices pour créer des milieux universitaires plus équitables, diversifiés et solidaires.

« Lorsque IGI Global m’a parlé d’un deuxième livre, dit-elle, j’y ai vu une occasion de poursuivre ces conversations vitales et, surtout, de mettre en lumière le talent remarquable et le travail transformateur que les femmes, détentrices du savoir, apportent au monde universitaire, y compris au sein de la Laurentienne. Ce livre ne se limite pas aux femmes universitaires, il met également en évidence la force et le dévouement de notre communauté. »

Mme Moeke-Pickering, une Māori des tribus Ngāti Pukeko et Tuhoe, s’est toujours fait la championne des méthodologies de recherche autochtones et des questions autochtones internationales. Pour cette nouvelle publication, elle dit avoir fait « œuvre de mentor », étant coéditrice avec Sharon Lauricella, Ph.D., (Université Ontario Tech) et Shubha Sandill, Ph.D., (Université de York). Cette collaboration a permis d’explorer plus largement ce que vivent les femmes au moyen des témoignages venus du Canada, des États-Unis, du Royaume-Uni, de l’Australie et de l’Afrique.

L’esprit concerté de l’ouvrage ressort clairement des voix de plusieurs femmes ayant une affiliation à l’Université Laurentienne.

En collaboration avec Tomika Ferguson (Ph.D.) de la Virginia Commonwealth University, Amanda Schweinbenz (Ph.D.), professeure titulaire de l’École de kinésiologie et des sciences de la santé de la Laurentienne, s’est intéressée à la question de savoir comment les femmes blanches peuvent s’associer à leurs collègues racialisées en devenant des « co-conspiratrices ». Leur chapitre, scrutant les stratégies de démantèlement actif de la discrimination systémique, se veut un antidote à l’usure face à la bataille raciale, forgeant ainsi une coalition de femmes pour remettre en question les fondements coloniaux et hétérosexistes du monde universitaire.

Dans un autre chapitre, Nicole Wemigwans, professeure adjointe de l’École des relations autochtones, doctorante en études culturelles (Université Queen’s), et Ophelia O’Donnell, étudiante au doctorat en Rural and Northern Health (Université Laurentienne), font le point sur leur cheminement au sein du monde universitaire en tant que femmes universitaires autochtones, et soulignent en quoi le mentorat, la filiation et les liens communautaires sont importants pour favoriser un sentiment d’appartenance et la réussite des femmes autochtones au sein du monde universitaire.

« Contribuer à cet ouvrage était une expérience merveilleuse, car elle nous a permis de mettre en relief les méthodologies et la féminité autochtones, a déclaré Mme Wemigwans, membre du territoire non cédé de Wiikwemkoong et rattachée par des liens matrilinéaires à la Première Nation de Serpent River. Cela a été un plaisir de coécrire ce chapitre sous une forme qui lui donne du sens – une forme qui rend hommage à nos cheminements dans le monde universitaire. Le soutien des autochtones au sein de l’établissement, à tous les niveaux, notamment au sein de l’administration, du corps professoral et plus particulièrement du corps étudiant, est d’une importance capitale. Le leadership des femmes autochtones au sein de la hiérarchie est indispensable pour que les prochaines générations puissent se sentir accueillies, soutenues et épanouies. »

Ophelia O’Donnell, membre de la Première Nation de Henvey Inlet, et qui a des attaches au Garden Village, se fait l’écho de ce sentiment d’honneur concerté. « Le fait même d’écrire ce chapitre avec une mentore est une œuvre concrète de mentorat et de filiation. Je suis reconnaissante à toutes les Kweok autochtones, fortes, douces et persévérantes, qui m’ont précédée et qui se sont taillé une place au sein de l’établissement. Je me sens honorée de participer à leur travail et de le poursuivre. »

Pour Mme Moeke-Pickering, cet « ouvrage », qu’elle appelle un « travail du cœur », est un parcours qui, selon elle, anime Women Transforming the Future of Higher Education. « Il est à la fois édifiant et parfois décourageant de constater que de nombreux obstacles auxquels les femmes se heurtent au sein du monde universitaire persistent encore, dit-elle. Ce qui se dégage vraiment de ce livre, c’est l’immense créativité et la résilience des femmes, c’est-à-dire le rayonnement des femmes qui transforment l’enseignement supérieur, parce que nous méritons d’être ici. Parce que nous sommes aussi des universitaires. »

« Nous devons repousser les frontières de l’éducation, dit-elle. Cela signifie que nous devons remettre en question les structures traditionnelles, faire preuve de bienveillance dans nos approches de l’évaluation et promouvoir le mentorat dans tous les domaines de l’enseignement supérieur. Cela revient à s’assurer que tous les cerveaux et toutes les expériences sont valorisés. »

« Les témoignages dans Women Transforming the Future of Higher Education attestent vivement du mentorat et de la filiation qui règnent entre les femmes universitaires, a indiqué Jennifer Scott, doyenne de la Faculté de l’éducation et de la santé. Cet ensemble important d’ouvrages souligne l’immense impact que les universitaires à la Laurentienne ont encore en matière de progrès de l’équité et de l’inclusion. Nous sommes très fiers de leurs contributions, reflet du leadership innovateur et de la résilience des femmes dans l’enseignement supérieur. » 

Women Transforming the Future of Higher Education se veut un « appel à l’action », incitant les lecteurs à devenir des alliés, à agir en mentors et à préconiser des réformes politiques qui s’attaquent aux injustices sexistes.

 

* Women Transforming the Future of Higher Education est actuellement en vente à prix réduit sur la librairie virtuelle d’IGI Global Scientific Publishing. De maintenant jusqu’au 31 octobre 2025, vous bénéficiez d’une remise de 25 %. Outre cette réduction de 25 %, et si vous y mettez le code-remise LAURENTIAN35, vous obtiendrez une réduction de 35 % sur l’achat du livre. Le code-remise est actuellement disponible et expirera le 28 septembre 2025.

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle (#4)

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle (#4)

(14 août 2025) - Cet été, 24 membres de la population étudiante ont la possibilité de soutenir des projets de recherche par l’intermédiaire de l’Université Laurentienne grâce à un financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) et du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH). Les Bourses de recherche de premier cycle (BRPC) visent à nourrir l’intérêt des étudiants de premier cycle et à développer leur potentiel pour une carrière de recherche. Ce financement leur permet d’acquérir de l’expérience de travail de recherche qui complète leurs études universitaires.

Pour une période de 16 semaines, de mai à août, les étudiants épaulent la recherche à plein temps. Ils peuvent être titulaires d’une seule BRPC par exercice financier et pourraient en détenir jusqu’à trois pendant leur carrière de premier cycle.

Bien que la possibilité de contribuer de manière pertinente à un projet de recherche soit souvent réservée aux étudiants des cycles supérieurs, les BRPC donnent l’occasion exceptionnelle et convoitée à ceux du premier cycle d’acquérir de l’expérience dans leur domaine d’intérêt. L’année d’études, la spécialisation et les domaines de recherche des étudiants varient, mais ils reconnaissent tous de manière semblable l’incidence positive de cette expérience sur leurs études actuelles et leurs objectifs futurs.

D’ici la fin de l’été, les étudiants s’exprimeront au sujet de leurs ambitions et intérêts et un peu sur le projet de recherche auquel ils prêtent leur soutien.

 

Claude Levesque, étudiant de 3e année en Forensic Science à l’Université Laurentienne

Ville natale : Montréal (Québec)

École secondaire : Resurrection Catholic Secondary School

Cet été, je travaille sous la direction de la professeure Krista Currie dans les laboratoires de sciences médico-légales de l’Université Laurentienne. Nous effectuons une étude de validation sur l’analyseur génétique SeqStudio™, une nouveauté au laboratoire d’ADN. Je perfectionne également de nouvelles compétences et épaule des étudiants de maîtrise dans leurs recherches.

Je suis vraiment enthousiaste de faire des activités en laboratoire et d’apprendre les diverses façons de travailler avec l’ADN, selon sa source et son mode de prélèvement. J’ai toujours été fasciné par l’ADN et ces expériences me donnent un aperçu de mon éventuelle carrière.

Grâce à ma BRPC, j’acquiers de solides connaissances et une expérience en laboratoire. J’ai appris les fondements de la recherche et comment être plus efficace et fiable dans ce milieu. J’espère que cette expérience me sera utile pour rédiger, l’an prochain, mon mémoire de spécialisation. Je souhaite ensuite préparer une maîtrise.


Olivia Norman, étudiante de 4e année en Biomedical Biology

Ville natale : Ottawa (Ontario)

École secondaire : Glebe Collegiate Institute

Cet été, j’ai obtenu une BRPC du CRSNG, me donnant l’occasion de travailler au laboratoire de recherche biomédicale de l’Université de l’EMNO, sous la direction d’Alain Simard, Ph.D. Mes travaux portent sur une nouvelle lignée cellulaire CRISPR et visent à étudier la réponse inflammatoire des cellules immunitaires. Je me réjouis d’approfondir ma compréhension de l’immunologie, qui m’a toujours intéressée. J’espère mettre à profit les compétences acquises en recherche et laboratoire grâce à cette BRPC dans ma future carrière en médecine. À l’extérieur du laboratoire, j’aime passer le plus de temps possible au plein air, que ce soit pour faire du ski de fond en hiver ou de la randonnée et de la nage en été.

 

Elizabeth Saraiva, étudiante de 3e année en Mechanical Engineering à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury (Ontario)

École secondaire : Sudbury Secondary School

Je passe l’été à travailler au Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) sous la direction de Katie Goggins, Ph.D., et de Brent Lievers, Ph.D. Je me concentre sur la recherche touchant les vibrations et le traitement d’images 3D d’os humains, et plus précisément d’os trabéculaires. Il est intéressant et emballant d’apprendre à utiliser un logiciel capable de convertir de nombreuses images 2D en un seul modèle 3D. Grâce à cette expérience, j’ai pu développer de nombreuses compétences, notamment en ce qui concerne la conduite et la rédaction de travaux de recherche. J’espère que cela m’aidera à devenir une meilleure ingénieure, car j’ai acquis des connaissances en santé et sécurité ainsi qu’en ingénierie appliquée au corps humain. Ces recherches me fournissent une expérience précieuse qui me prépare à rédiger ma thèse de maîtrise.

C’est surtout mon vif intérêt pour la physique, tout particulièrement ses applications à la vie quotidienne, qui m’a porté à choisir d’étudier le génie mécanique. Je compte parmi mes cours préférés la mécanique appliquée (I et II), la résistance des matériaux (I et II) et les matériaux d’ingénierie, pour leur pertinence en matière de construction et de la sécurité des personnes.

Quand je ne suis pas aux études, j’aime tricoter, dessiner, peindre et faire des casse-têtes, car ces loisirs me permettent de décompresser après de longues journées d’école ou de travail.

Après l’obtention du baccalauréat, je compte devenir ingénieure stagiaire et préparer aussi une maîtrise.

 

Matteo Di Ciccio, étudiant de 3e année en Biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Oshawa (Ontario)

École secondaire : École secondaire catholique Saint-Charles-Garnier

Cet été, j’ai le privilège de travailler dans un laboratoire de l’Université Laurentienne sous la direction de M’hamed Chahma, Ph.D.. J’apporte ma contribution à un projet touchant la synthèse de film de pyrrole électropolymérisé contenant des acides aminés. La chimie m’a toujours fasciné et la BRPC me donne la chance de mener des recherches dans ce domaine.

Pendant mon temps libre, j’aime faire du sport, tout particulièrement le lacrosse et le hockey, et aussi jouer du violon.

Bien que mon objectif final soit de devenir orthodontiste, cet été m’a apporté une expérience inestimable dans le domaine de la recherche et m’a permis de vraiment comprendre ce qu’il faut pour effectuer une étude.

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle (#3)

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle (#3)

(14 août 2025) - Cet été, 24 membres de la population étudiante ont la possibilité de soutenir des projets de recherche par l’intermédiaire de l’Université Laurentienne grâce à un financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) et du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH). Les Bourses de recherche de premier cycle (BRPC) visent à nourrir l’intérêt des étudiants de premier cycle et à développer leur potentiel pour une carrière de recherche. Ce financement leur permet d’acquérir de l’expérience de travail de recherche qui complète leurs études universitaires.

Pour une période de 16 semaines, de mai à août, les étudiants épaulent la recherche à plein temps. Ils peuvent être titulaires d’une seule BRPC par exercice financier et pourraient en détenir jusqu’à trois pendant leur carrière de premier cycle.

Bien que la possibilité de contribuer de manière pertinente à un projet de recherche soit souvent réservée aux étudiants des cycles supérieurs, les BRPC donnent l’occasion exceptionnelle et convoitée à ceux du premier cycle d’acquérir de l’expérience dans leur domaine d’intérêt. L’année d’études, la spécialisation et les domaines de recherche des étudiants varient, mais ils reconnaissent tous de manière semblable l’incidence positive de cette expérience sur leurs études actuelles et leurs objectifs futurs.

D’ici la fin de l’été, les étudiants s’exprimeront au sujet de leurs ambitions et intérêts et un peu sur le projet de recherche auquel ils prêtent leur soutien.

 

Alex McFadden, étudiant de 3e année en Biochimie à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury (Ontario)

École secondaire : École secondaire Macdonald-Cartier

Depuis mon enfance, je veux devenir scientifique. Poursuivre mes études en biochimie me permettra de réaliser mon rêve et de résoudre, je l’espère, certains des problèmes les plus urgents du monde. La BRPC est un excellent point de départ qui me permet d’acquérir une expérience concrète en recherche et j’en suis très reconnaissant. Sous la direction de Janice Kenney, je travaille pour mieux comprendre comment filtrer les contaminants de l’eau en utilisant de la terre de diatomées (TD), un matériau poreux composé de diatomées fossilisées dont les squelettes en silice ont des propriétés exceptionnelles d’adsorption. L’utilisation d’un logiciel de modélisation de la complexation de surface tout en modifiant la chimie de surface de la TD pourrait nous aider à mieux prédire son utilisation comme filtre naturel. Le plus difficile de tout cela est de répéter cinq fois rapidement « terre de diatomées ».



Randolph Kneer, étudiant de 3e année en Computer Science et Economics à l’Université Laurentienne

Ville natale : Espanola (Ontario)

École secondaire : Espanola High School

Cet été, je suis reconnaissant de pouvoir travailler à titre d’étudiant chercheur de premier cycle sous la direction de Luckny Zephyr, Ph.D., dans l’Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff-Fielding. 

Le projet auquel j’ai la chance de contribuer explore la faisabilité d’un parc éolien pour une entreprise privée, dans une région rurale du Québec. Grâce à l’analyse de données historiques, à la modélisation de la production potentielle d’énergie et à l’application de divers outils et techniques d’analyse, notre projet permettra à l’entreprise de prendre une décision éclairée quant à la valeur pratique de construire ce parc. Ce processus m’a permis d’acquérir de nombreuses compétences qui me seront certainement utiles dans ma carrière, y compris la collecte et le traitement de données, l’analyse statistique et la conception de parcelles.

Je trouve ce projet très emballant et intéressant, car il pourrait amener une entreprise à décider de se procurer une grande partie de son énergie de manière plus viable. Puisque la transition vers un avenir plus durable est primordiale, je suis heureux d’apporter ma modeste contribution à cette évolution urgente.

Après que j’obtiens mon diplôme de l’Université Laurentienne, je vise à préparer un doctorat en science économique et à devenir professeur. Je m’intéresse, entre autres, à l’instabilité économique, à la théorie monétaire moderne, au chômage et aux inégalités. Côté personnel, j’aime jouer au basketball, écouter de la musique et passer du temps avec ma famille et mes amis.


Lindsay Yu, étudiante de 4e année en Life Sciences à l’Université Queen’s

Ville natale : Sudbury (Ontario)

École secondaire : Lo-Ellen Park Secondary School

Sous la direction de Sujeenthar Tharmalingam, Ph.D., de l’Université de l’EMNO, j’étudie l’ARN long non codant (lncRNA) sensible aux dommages à l’ADN, un transcrit d’ARN qui régule l’expression des gènes, les voies de signalisation, la stabilité des protéines, etc. Nous explorons plus particulièrement l’influence de l’lncRNA sur la réparation des dommages à l’ADN dans plusieurs lignées cellulaires, notamment celles du cancer du sein, du cancer colorectal, des fibroblastes pulmonaires et des cellules épithéliales bronchiques. Ce projet a de vastes répercussions en biologie moléculaire et du cancer, car l’lncRNA pourrait servir de biomarqueur des dommages à l’ADN et moduler la radiorésistance dans les tissus cancéreux.


Rohwen Bockus-Murphy, étudiant de 3e année en Zoology à l’Université Laurentienne

Ville natale : Scarborough (Ontario)

École secondaire : Rosedale Heights School of the Arts

Cet été, je travaille au Centre pour la vitalité des lacs Vale sous la direction de Brie Larson, Ph.D., dans le cadre du projet CRADLES (Conservation et restauration de la diversité aquatique face aux facteurs de stress hérités et émergents), financé par le gouvernement, sous les auspices de l’Unité conjointe d’écologie d’eau douce. Je travaille en étroite collaboration avec Ellis Albrecht, étudiante à la maîtrise, dans le cadre de ses recherches sur les macro-invertébrés pélagiques.

Grâce à ma BRPC, j’ai eu l’occasion d’en apprendre davantage sur des projets créés pour contribuer à la restauration des habitats dans la région du Grand Sudbury et sur la façon dont nos modes de vie (p. ex., les œstrogènes dans les contraceptifs oraux et même la caféine) s’infiltrent dans les écosystèmes aquatiques. Participer au travail sur le terrain et observer les processus pour planifier une saison de recherche et collaborer avec d’autres équipes de recherche a été d’une valeur inestimable. Cet été m’a motivé et préparé encore plus à mener mes propres recherches pour mon mémoire de spécialisation, ma thèse de maîtrise et, plus tard, mon doctorat.

À part la recherche, je rédige des nouvelles et poèmes que j’espère publier, comme certains de mes ouvrages précédents. J’ai aussi ajouté à ma collection des nouveaux insectes découverts sur le terrain, tous post-mortem, bien sûr. Il est intéressant de noter que, avant de reprendre mes études, j’ai effectué un stage en médecine vétérinaire au sein d’un hôpital pour chauves-souris au Queensland, en Australie.

L’Université Laurentienne présente les ateliers « Électrifions l’avenir » pour inspirer la prochaine génération d’innovateurs

L’Université Laurentienne présente les ateliers « Électrifions l’avenir » pour inspirer la prochaine génération d’innovateurs

L’équipe de l’École des mines Goodman démontre son engagement à susciter l’intérêt pour les carrières dans les secteurs des véhicules électriques et de l’énergie propre.

(12 août 2025) — L’École des mines Goodman (EMG) célèbre le succès de son programme « Électrifions l’avenir », une série d’ateliers pratiques qui éveille l’intérêt des élèves du primaire et du secondaire pour les véhicules électriques, l’exploitation minière et la science des batteries. Ce programme populaire s’est déroulé tout l’été et une dernière séance sans inscription aura lieu demain, permettant aux jeunes et aux membres de leur famille de s’initier à la chaîne d’approvisionnement des véhicules électriques (VE), de l’exploitation minière à l’automobile.

Il s’agit de la troisième année que l’EMG propose le programme Électrifions l’avenir, lancé en 2023. Pendant deux ans, il a bénéficié d’un financement d’environ 730 000 $ de la part du 

Réseau ontarien d’innovation pour les véhicules, division du Centre d’innovation de l’Ontario, financé par le ministère du Développement économique, de la Création d’emplois et du Commerce de l’Ontario. Le programme est devenu un pilier des relations communautaires de l’EMG et apprécié par les participants et les partenaires depuis sa création. Cet été, même si le financement n’a pas été renouvelé, l’équipe a fait preuve d’engagement en utilisant le matériel et les plans de cours existants afin de poursuivre l’offre des ateliers pour assurer la participation des élèves.

« Nous sommes très fiers de continuer à pérenniser l’initiative Électrifions l’avenir, a exprimé la coordonnatrice de programme à l’École des mines Goodman, Nicole Tardif. Notre mission est de faire voir aux étudiants que les compétences acquises aujourd’hui peuvent mener un jour à des carrières enrichissantes dans le secteur des technologies propres, et nous sommes résolus à poursuivre sur cette lancée. Il en vaut la peine pour voir l’enthousiasme des jeunes lorsqu’ils construisent des voitures solaires ou codent des véhicules autonomes. »

Le contenu de ce programme intéressant comprend quatre activités pratiques : construction de voitures solaires, géologie et identification de minéraux, fabrication de batterie à partir de citrons et initiation au codage de véhicules autonomes. Tout au long de l’été, l’EMG a présenté ce contenu lors d’activités communautaires locales, notamment le Festival de l’Inde, le Salon des gemmes et minéraux et les camps de jour du YMCA de Sudbury. L’équipe est également allée dans les écoles primaires et secondaires locales pour présenter la matière aux élèves des cours d’été.

Le dernier des ateliers sans inscription donnera aux jeunes de tous les âges l’occasion d’en apprendre sur le domaine.

  • Quoi? Atelier pratique pour débutants sur le codage de véhicules autonomes
  • Quand? Mercredi 13 août, de 13 h à 16 h
  • Où? Espace d’innovation et de commercialisation Jim-Fielding, Édifice de recherche, d’innovation et de génie Cliff-Fielding, Université Laurentienne
  • Coût? 10 $ par participant, payable en argent comptant à l’entrée. Les parents ou tuteurs n’ont pas à payer, mais doivent surveiller leur enfant.

L’EMG passe un été chargé, sa prochaine activité communautaire étant un stand d’information sur la révolution des véhicules électriques lors de l’Afrofest à Sudbury, le 22 août 2025.

L’Université Laurentienne et le Collège Cambrian s’associent pour aider de jeunes autochtones à se familiariser aux STIM et au secteur minier

L’Université Laurentienne et le Collège Cambrian s’associent pour aider de jeunes autochtones à se familiariser aux STIM et au secteur minier

L’OYEP Sudbury accueille des jeunes de Timiskaming, Attawapiskat, Moose Cree, Wikwemikong et d’autres collectivités du nord de l’Ontario

(7 août 2025) - L’École des mines Goodman de la Laurentienne, en tandem avec ses partenaires – le Collège Cambrian et les collaborateurs de la communauté – clôturent actuellement l’expérience STIM et les activités touchant le secteur minier du Outland Youth Employment Program (OYEP), qui s’est déroulé du 4 au 7 août 2025.  Cet évènement transformateur, une expérience immersive de la science, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STIM), de l’innovation minière et du savoir autochtone, a accueilli dans le Grand Sudbury 25 stagiaires autochtones issus de collectivités des plus diverses :

  • Première Nation de Timiskaming
  • Nation Apitipi Anicinapek
  • Attawapiskat et Première Nation d’Attawapiskat
  • Fort Albany et Première Nation de Fort Albany
  • Première Nation de Mattagami
  • Moose Cree et Première Nation de Moose Cree
  • Première Nation de Wikwemikong
  • Première Nation Beausoleil
  • Naujaat, Nunavut – communauté inuite de Repulse Bay

Organisée jusqu’ici à Timmins (Ontario), l’expérience de 2025, réimaginée de sorte à mettre en relief les atouts de Sudbury, à savoir l’exploitation minière, l’enseignement postsecondaire et la culture autochtone, a su allier l’apprentissage pratique et le mentorat, insufflant ainsi à la prochaine génération de leaders autochtones le goût de s’investir dans les STIM et les industries primaires.

Aperçu des points forts :

  • Ateliers STIM animés par des professeurs de l’École de génie et d’informatique Bharti, de l’École des sciences de la Terre Harquail et du Collège Cambrian.
  • Mobilisation des secteurs au moyen des présentations faites par This Is Mine Life avec Vale, l’Association minière de l’Ontario et le ministère de l’Énergie et des Mines.
  • Une tournée d’innovation souterraine unique à la mine Fecunis de NORCAT, parrainée par CIM Sudbury.
  • Une séance au planétarium axée sur les autochtones et consacrée aux systèmes stellaires, où le film immersif Star Stories de Science Nord, relaté par le célèbre astronome Ininew (Cree), gardien du savoir sur les étoiles et l’auteur Wilfred Buck, a été projeté, suivi d’une discussion animée par Paskwamoostoosi Lightning, coordonnateur de la mobilisation des étudiants et des communautés autochtones de la Laurentienne.
  • Un programme culturel, dont des repas traditionnels, une cérémonie du feu sacré, à l’ouverture et à la clôture, et des activités conduites par le Centre autochtone de partage et d’apprentissage de la Laurentienne.

« Cette collaboration était plus que de l’enseignement, puisque l’enjeu était de tisser des liens, a déclaré la coordonnatrice des programmes à l’École des mines de Goodman, Nicole Tardif. Par le partage culturel, la science de pointe et les expériences concrètes, nous avons voulu donner aux jeunes stagiaires des moyens d’agir en les amenant à envisager l’avenir dans les domaines de l’enseignement et de l’industrie minière. »

« Nous étions très honorés d’accueillir les jeunes à ce camp d’été sans pareil, a indiqué la doyenne intérimaire de l’École de formation professionnelle et de technologie de génie du Collège Cambrian, Kim Crane. Vu le grand potentiel d’emplois que représentent les mines, les métiers spécialisés et les technologies de génie, nous voulons nous assurer que les jeunes autochtones, informés, soutenus et motivés, se lancent dans ces voies de carrière enrichissantes. Le camp d’été est une bonne vitrine des carrières bien rémunérées et gratifiantes que l’avenir pourrait leur réserver. »

Au cours de leur stage à la Laurentienne, les jeunes ont vécu sur le campus et cela leur a permis de côtoyer des étudiants, des professeurs, des aînés et des leaders du secteur industriel et de s’initier à la vie étudiante. 

Dans sa conception autant que par son exécution, ce programme a mis en évidence le rôle vital que jouent les jeunes autochtones dans l’avenir du développement des ressources et de l’innovation technologique en Ontario et ailleurs. L’expérience unique en son genre leur a permis de découvrir de nouvelles voies de carrière, mais aussi de se munir des connaissances et des contacts nécessaires pour devenir des leaders dans ces domaines stratégiques

 

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