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Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle (#2)

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle (#2)

(1er août 2025) - Cet été, 24 membres de la population étudiante ont la possibilité de soutenir des projets de recherche par l’intermédiaire de l’Université Laurentienne grâce à un financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) et du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH). Les Bourses de recherche de premier cycle (BRPC) visent à nourrir l’intérêt des étudiants de premier cycle et à développer leur potentiel pour une carrière de recherche. Ce financement leur permet d’acquérir de l’expérience de travail de recherche qui complète leurs études universitaires.

Pour une période de 16 semaines, de mai à août, les étudiants épaulent la recherche à plein temps. Ils peuvent être titulaires d’une seule BRPC par exercice financier et pourraient en détenir jusqu’à trois pendant leur carrière de premier cycle.

Bien que la possibilité de contribuer de manière pertinente à un projet de recherche soit souvent réservée aux étudiants des cycles supérieurs, les BRPC donnent l’occasion exceptionnelle et convoitée à ceux du premier cycle d’acquérir de l’expérience dans leur domaine d’intérêt. L’année d’études, la spécialisation et les domaines de recherche des étudiants varient, mais ils reconnaissent tous de manière semblable l’incidence positive de cette expérience sur leurs études actuelles et leurs objectifs futurs.

D’ici la fin de l’été, les étudiants s’exprimeront au sujet de leurs ambitions et intérêts et un peu sur le projet de recherche auquel ils prêtent leur soutien.

 

Nico Simon, étudiant de 4e année en Biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury (Ontario)

École secondaire : Collège Notre-Dame

Cet été, je suis heureux de travailler sous la direction d’Alexander Moise, Ph.D., en tant qu’étudiant titulaire d’une BRPC à l’Université de l’EMNO. Nous étudions actuellement la codification de gène pour l’enzyme rétinol saturée (RetSat), une enzyme essentielle à divers processus biologiques tels que la réponse cellulaire au stress oxydatif, la résistance à l’insuline et le métabolisme lipidique. Ce travail m’a permis de développer de précieuses compétences en laboratoire et de mettre en pratique les connaissances théoriques acquises en classe et j’en suis très reconnaissant. Il est très intéressant de mettre à profit les connaissances acquises au cours de mes études de premier cycle, notamment en utilisant la technologie d’édition génétique CRISPR-Cas9.

Les sciences ont toujours été une passion pour moi, et cette bourse me donne l’occasion d’explorer le domaine et d’acquérir une expérience pratique. Après mes études de baccalauréat, j’espère poursuivre une carrière dans le secteur de la santé, plus précisément en médecine.

Sur le plan des études, je m’intéresse beaucoup à des sujets comme l’anatomie, la physiologie et la biologie moléculaire et j'aime apprendre comment les différents organes et tissus du corps humain interagissent. À l’extérieur du laboratoire et des cours, je fais du bénévolat à la Maison McCulloch Hospice et auprès de divers organismes, comme le programme de traitement du tabagisme pour les patients de l’Ontario (STOP) d’Horizon Santé-Nord. J’apprécie également les moments passés avec ma famille et mes amis, les séances de gym et les activités de plein air comme les randonnées nautiques, le golf et le soccer.

 

Taryn Dixon, étudiante de 4e année en Biomedical Biology à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury (Ontario)

École secondaire : St. Benedict Catholic Secondary School

Cet été, je travaille comme assistante de recherche de premier cycle aux côtés d’Erin Postenka, candidate à la maîtrise en biologie et sous la direction de Jacqueline Litzgus, Ph.D., et de Christina Davy, Ph.D. Nous étudions l’incidence écologique du drainage intensif des zones humides sur la population de tortues du Parc provincial Pinery dans le but de déterminer si une mortalité massive s’est produite. Nous utilisons des méthodes de capture-marquage-recapture, notamment le piégeage par cerceau et les relevés en canoë, pour suivre l’évolution des populations de tortues dans le chenal Old Ausable. Chaque tortue capturée est mesurée, pesée et munie d’une étiquette à transpondeur passif intégré pour l’identification individuelle et la surveillance de la population à long terme.

En juin, nous avons effectué des relevés de nidification afin de surveiller la taille des couvées et de documenter les nouvelles femelles nicheuses. Nous avons également installé des protections de nid pour réduire la prédation et augmenter la survie des nouveau-nés. En plus de participer à cette recherche, je me réjouis de mener ma propre étude sur l’influence de la proximité des quais de pêche sur la composition corporelle des tortues. Cette expérience pratique et immersive sur le terrain a beaucoup renforcé mes compétences techniques et approfondi ma compréhension de l’écologie des tortues et des méthodes de recherche écologique. Ayant grandi au cœur des magnifiques paysages du nord de l’Ontario, j’apprécie à fond la faune et le plein air et passe une grande partie de mon temps libre à faire de l’aviron, des randonnées avec mes chiens, du vélo et du ski. Je me sens très chanceuse de pouvoir contribuer à cet important travail de conservation dans les milieux qui ont inspiré au départ ma passion pour les sciences.


 

Emma Salvati, étudiante de 3e année en Biomedical Biology à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury (Ontario)

École secondaire : Lasalle Secondary School

L’été dernier, j’ai commencé à travailler comme bénévole dans le laboratoire de Thomas Merritt, Ph.D., où je suis venu à connaître la communauté de la recherche. J’ai beaucoup apprécié mon expérience et souhaitais continuer à travailler à ses côtés. Cet été, j’en ai l’occasion grâce au programme de BRPC.

Notre laboratoire examine les drosophiles. J’élabore actuellement un test de fécondité qui servira de phénotype pour divers projets. Après cela, j’espère commencer à étudier les effets de la toxicité des métaux sur les maladies en utilisant les drosophiles comme organisme modèle.

J’espère devenir médecin tout en continuant à participer activement à la recherche. Mes expériences dans le laboratoire de M. Merritt m’ont permis de découvrir comment intégrer la recherche à mes aspirations professionnelles.

Pendant mon temps libre, je fais du bénévolat dans la communauté, notamment à Horizon Santé-Nord, à l’Ambulance Saint-Jean et au Club MedLife de la Laurentienne. En outre, je fais du jiu-jitsu brésilien de compétition et me trouve souvent à pratiquer différentes techniques et à m’entraîner sur le tatami.

 

Caden Caputo, diplômé du programme de Biomedical Biology de l’Université Laurentienne

Ville natale : Sault Ste. Marie (Ontario)

École secondaire : St. Mary’s College

Ayant récemment obtenu mon baccalauréat en biologie biomédicale de l’Université Laurentienne, je mène actuellement des recherches sous la direction de Sandra Dorman, Ph.D., au Centre de recherche sur la sécurité et la santé au travail (CRSST). En participant à plusieurs projets actifs au CRSST, je développe des compétences de recherche, entre autres, en analyse documentaire évaluée par les pairs, rédaction universitaire, analyse de mégadonnées, conception et développement expérimentaux et transfert des connaissances issues de la recherche scientifique à diverses communautés. Mon intérêt pour la santé et la sécurité au travail a été éveillé en travaillant à Algoma Steel, où, pendant quatre étés, j’ai été témoin des divers risques et dangers auxquels sont confrontés les travailleurs industriels. Ces expériences m’ont incité à me joindre au CRSST pour aider à améliorer la santé, la sécurité et le bien-être des travailleurs tout en acquérant une précieuse expérience de recherche.

En outre, j’aime faire du bénévolat, travailler dans des cliniques de santé familiale locales et profiter du plein air et de l’activité physique avec mes proches. Étant donné mon objectif de préparer une carrière en médecine familiale, j’apprécie la façon dont cette possibilité élargit ma compréhension des questions de santé au travail et me permet d’acquérir les compétences nécessaires pour mieux reconnaître les besoins particuliers des travailleurs en milieu clinique et y répondre.

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle (#1)

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle (#1)

(1er août 2025) - Cet été, 24 membres de la population étudiante ont la possibilité de soutenir des projets de recherche par l’intermédiaire de l’Université Laurentienne grâce à un financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) et du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH). Les Bourses de recherche de premier cycle (BRPC) visent à nourrir l’intérêt des étudiants de premier cycle et à développer leur potentiel pour une carrière de recherche. Ce financement leur permet d’acquérir de l’expérience de travail de recherche qui complète leurs études universitaires.

Pour une période de 16 semaines, de mai à août, les étudiants épaulent la recherche à plein temps. Ils peuvent être titulaires d’une seule BRPC par exercice financier et pourraient en détenir jusqu’à trois pendant leur carrière de premier cycle.

Bien que la possibilité de contribuer de manière pertinente à un projet de recherche soit souvent réservée aux étudiants des cycles supérieurs, les BRPC donnent l’occasion exceptionnelle et convoitée à ceux du premier cycle d’acquérir de l’expérience dans leur domaine d’intérêt. L’année d’études, la spécialisation et les domaines de recherche des étudiants varient, mais ils reconnaissent tous de manière semblable l’incidence positive de cette expérience sur leurs études actuelles et leurs objectifs futurs.

D’ici la fin de l’été, les étudiants s’exprimeront au sujet de leurs ambitions et intérêts et un peu sur le projet de recherche auquel ils prêtent leur soutien.

 

Nicolas Pottier, diplômé du programme de Computer Science à l’Université Laurentienne

Ville natale : Val Thérèse (Ontario)

École secondaire : École secondaire catholique l’Horizon

J’ai récemment obtenu mon baccalauréat en informatique et compte poursuivre une maîtrise cet automne. Passionné de technologie depuis toujours, j’ai découvert le nouveau Laboratoire de robotique de l’Université Laurentienne, qui m’a offert une merveilleuse possibilité de contribuer à la recherche de pointe et d’aider à façonner l’avenir de la robotique. Pendant mon temps libre, j’aime faire de la photographie, jouer au soccer et voyager.

Dans le cadre de ma BRPC, je travaillerai au Laboratoire de robotique mobile intelligente de la Laurentienne sous la direction de Meng Cheng Lau, Ph.D. Mes recherches portent sur le développement de modèles d’IA avancés pour améliorer la perception robotique. En outre, je dirigerai l’équipe « Snobots » de la Laurentienne lors de la HuroCup de la Federation of International Robosport, qui aura lieu en août à Daegu, en Corée du Sud. Je prévois de présenter les résultats de mes recherches lors de la conférence ce qui mettra en évidence les innovations de notre équipe sur la scène mondiale. En même temps que mes recherches et ma préparation au concours, je participe activement au transfert de connaissances au sein du laboratoire, en encadrant et soutenant les nouveaux membres afin de renforcer les capacités et l’expertise de l’équipe à long terme. L’expérience acquise dans le cadre de cette BRPC sera précieuse pour mes projets futurs, tant aux cycles supérieurs qu’en milieu de travail.


Evyn Martin, 2e année, étudiante en Outdoor Adventure Leadership et Biology à l’Université Laurentienne

Ville natale : Noëlville, Ontario

École secondaire : Lo-Ellen Park Secondary School

Après avoir obtenu un baccalauréat ès beaux-arts à l’Université Nipissing (2024), je me suis inscrite au programme de baccalauréat en éducation physique et santé de l’Université Laurentienne, avec une spécialisation en Outdoor Adventure Leadership et une majeure en Biology.

Grâce à la BRPC, j’ai l’occasion de travailler sous la direction de Mateus Pepinelli, Ph.D. Nous collaborons à de nombreux projets, mais notre principal objectif est la recherche en écologie et biodiversité avec les abeilles mellifères. J’ai beaucoup évolué en apprenant l’apiculture, l’analyse d’ADN environnementale, la modélisation 3D et les techniques spécialisées de laboratoire génétique. Cette expérience pratique me sera précieuse pour mes futurs projets universitaires.

En tant qu’étudiante universitaire autochtone de première génération, je tiens ardemment à rendre plus accessible le monde universitaire, en particulier aux personnes qui ont historiquement été exclues. Une fois mes études à la Laurentienne terminées, j’espère mettre à profit de manière créative mon expérience interdisciplinaire pour combler l’écart entre la science occidentale et le savoir autochtone traditionnel.


Jazmin Fergani, diplômée du programme de Biochemistry de l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury (Ontario)

École secondaire : Lo-Ellen Park Secondary School

Je suis diplômée en biochimie (2025) de l’Université Laurentienne. J’ai la chance d’avoir reçu la Bourse de recherche (BRPC) 2025 du CRSNG, qui m’a permis d’aiguiser mon intérêt pour la recherche et les soins de santé, tout en apprenant et perfectionnant mes compétences auprès d’un mentor bienveillant et compétent à l’Unité de recherche métabolique cardiovasculaire.

Sous la direction de Guangdong Yang, Ph.D., mon projet de BRPC explore le rôle des signaux du sulfure d’hydrogène (HS) dans la physiologie bactérienne et les interactions hôte-bactérie. Traditionnellement perçu comme un gaz toxique, le HS a récemment été reconnu comme une molécule de signalisation omniprésente ayant des effets physiologiques favorables variés. Cet été, mon projet se concentre sur l’exploration de ces interactions, notamment entre des cultures microbiennes, et sur la réalisation de recherches approfondies afin de rédiger un article de synthèse sur le sujet.

Les compétences que j’ai acquises et que je continue de développer dans le cadre de ce projet renforcent mon intérêt à comprendre la manière dont divers concepts peuvent se relier aux soins de santé du monde réel, approfondissant ainsi ma motivation à préparer une future carrière dans laquelle je peux soutenir les autres.

Quand je ne suis pas aux études, j’aime passer du temps en plein air avec mes amis et ma famille, que ce soit au bord du lac ou à explorer mon patelin de Sudbury. Un jour, j’espère pouvoir contribuer à ma communauté grâce à mes recherches et à mes projets éducatifs.


Kailey Beggs, étudiante de 4e année en Kinesiology à l’Université Laurentienne

Ville natale : Val Caron (Ontario)

École secondaire : Confederation Secondary School

Cet été, je suis retournée au laboratoire du Centre de recherche sur la sécurité et la santé au travail (CRSST) en tant qu’étudiante titulaire d’une BRPC, préparant mon mémoire de premier cycle sous la direction de Katie Goggins, Ph.D., et d’Alison Godwin, Ph.D. Nous étudions l’incidence de la formation en matière de réglage du siège sur la transmissibilité des vibrations du siège à la tête lors d’une exposition aux vibrations en position assise. Ayant des antécédents en kinésiologie, je trouve cela à la fois exigeant et intéressant d’explorer les aspects de biomécanique et d’ingénierie de cette recherche. Jusqu’à présent, l’aspect le plus captivant a été de comprendre les répercussions des vibrations sur la santé et comment même de légers changements posturaux peuvent influencer leur transmission dans le corps. Planifier et mener à bien le processus de recherche, ainsi que découvrir comment résoudre les problèmes, a également été enrichissant.

Faire partie du CRSST a été l’un des éléments les plus importants de mon parcours universitaire, et je suis très reconnaissante des compétences que j’ai acquises et que je continue de développer tout au long de cette expérience, notamment la résolution de problèmes, la rédaction universitaire, l’initiative et la confiance en soi. J’espère miser sur ces connaissances et compétences pour poursuivre des études supérieures en médecine. En plus de la recherche, j’aime faire de l’exercice et de la course, passer du temps au chalet, faire du bénévolat auprès d’organismes de protection de la faune et être avec ma famille, mes amis et mon chien, Hershey.

Octroi par le CRSH de subventions substantielles à des chercheurs de l’Université Laurentienne.

Octroi par le CRSH de subventions substantielles à des chercheurs de l’Université Laurentienne.

Les programmes fédéraux accordent environ 420 000 $ à divers projets de recherche.

(31 juillet 2025) - L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer un autre cap important à l’issue des derniers cycles d’octrois de subventions par le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) et le fonds Nouvelles frontières en recherche (FNFR). Ces nouveaux octrois sont distincts des attributions analogues du CRSNG annoncées récemment. Les chercheurs de la Laurentienne se sont vus accorder plus de 146 000 $ en subventions de développement Savoir, plus de 24 000 $ en subventions Connexion et une importante subvention du volet Exploration, soit de 250 000 $. Les fonds reçus viendront impulser divers projets de recherche afin de nous faire mieux comprendre la société et de nous amener à des solutions innovatrices et interdisciplinaires.

Les subventions de développement Savoir du CRSH appuient la recherche aux premiers stades, engendrant ainsi de nouvelles questions de recherche, de méthodologies expérimentales et d’approches théoriques innovatrices. S’inscrivant dans la logique du programme élargi Savoir du CRSH, ces subventions servent, d’une part, à enrichir les connaissances fondamentales sur les humains, les sociétés et le monde, et d’autre part, à relever des défis complexes dans le monde de la réalité.

Au nombre des lauréats de subventions de développement Savoir du CRSH, affiliés à la Laurentienne, il faut souligner :

  • Lea Tufford, Ph.D. : Building Disaster Preparedness Capacity for Rural Service Providers in the Homelessness Sector: A Comparative Case Study of British Columbia and Nova Scotia.
  • Émilie Pinard, Ph.D. : Au-delà du terrain de jeu : Stratégies architecturales et urbaines contribuant au bien-être des enfants dans les villes de taille moyenne.

Les subventions Connexion du CRSH appuient des événements et des activités de rayonnement qui favorisent la mobilisation des connaissances et l’échange au sein des disciplines et entre elles, ainsi qu’entre le milieu universitaire et les secteurs public, privé ou à but non lucratif. Ces subventions favorisent le dialogue scientifique et intersectoriel ainsi que la collaboration internationale entre chercheurs.

Le lauréat d’une subvention Connexion du CRSH est :

  • Louis-Philippe Rochon (Ph.D.) : Post-Pandemic Inflation and Monetary Policy.

Le volet « Exploration » du FNFR s’adresse à la recherche interdisciplinaire à haut risque et à haut rendement, en fait le champion en ce qu’elle repousse les frontières intellectuelles, remet en question les paradigmes établis et porte en elle des retombées transformatrices dans les sphères économiques, scientifiques, culturelles, sociales et environnementales.

Incarnant une avancée interdisciplinaire importante, une subvention Exploration de deux ans du FNFR a été accordée aux personnes suivantes :

  • Sujeenthar Tharmalingam (Ph.D.), principal demandeur*, et Vasu Appanna (Ph.D.), Kabwe Nkongolo (Ph.D.) et Kalpdrum Passi (Ph.D.), codemandeurs : Deploying Viruses and Machine Learning for Climate Change Mitigation.

« L’Université Laurentienne est très fière de ses chercheurs lauréats de subventions du CRSH et du FNFR à l’issue de concours compétitifs, a déclaré la vice-rectrice à la recherche de l’Université Laurentienne, Mme Tammy Eger. Il importe en effet de sonder les dynamiques humaines et sociétales complexes, de favoriser le dialogue avec et entre les communautés et de soutenir les recherches audacieuses et interdisciplinaires qui transcendent les frontières conventionnelles. L’engagement des professeurs à mener des travaux à forte incidence renforce nos communautés, éclaire les politiques et élargit notre compréhension collective du monde, donnant ainsi naissance à la prochaine génération de penseurs ingénieux. »

« L’Université de l’EMNO félicite M. Tharmalingam qui a décroché dans le cadre d’un concours très compétitif du fonds Nouvelles frontières en recherche, une subvention notable, a indiqué le vice-recteur à la recherche et aux études supérieures de l’Université de l’EMNO, Dr David Marsh. Ses travaux innovateurs, preuve du poids que revêt la collaboration entre des professeurs de l’EMNO et de la Laurentienne, soulignent l’importance qu’il y a de s’attaquer à des défis complexes touchant la société et la santé en adoptant des perspectives interdisciplinaires. »

« La recherche est la pierre angulaire de l’innovation. Lorsque nous investissons dans la recherche, nous le faisons dans notre avenir et la collectivité. L’Université Laurentienne a une riche histoire de recherche innovatrice qui aborde nombre des défis les plus complexes du nord de l’Ontario. Je suis fière de l’engagement de notre gouvernement à investir dans des solutions canadiennes qui auront une incidence directe sur nos communautés. » – Viviane Lapointe, députée de Sudbury.

Les subventions reçues sont des investissements directs dans la recherche et témoignent de la capacité de la Laurentienne, sans cesse croissante, d’examiner des questions sociétales vitales et de repousser, par des moyens uniques et concertés, les frontières du savoir.


*M. Tharmalingam (Ph.D.) est professeur adjoint en biologie moléculaire à l’Université de l’EMNO. Il bénéficie également d’une nomination conjointe à la Faculté des sciences, de génie et d’architecture de l’Université Laurentienne.

Des chercheurs de l’Université Laurentienne reçoivent un financement important de programmes fédéraux.

Des chercheurs de l’Université Laurentienne reçoivent un financement important de programmes fédéraux.

Le CRSNG accorde un financement d’environ 1,5 million de dollars pour appuyer la recherche axée sur la découverte.

(28 juillet 2025) - L’Université Laurentienne célèbre le succès remarquable des récentes subventions accordées par le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG). Les chercheurs de la Laurentienne ont reçu plus de 1,4 million de dollars en Subventions à la découverte (SD), 44 000 $ dans le cadre d’une Subvention à la découverte axée sur le développement (SDD) et 50 000 $ en suppléments Tremplin vers la découverte pour un Chercheur en début de carrière (CDC).

Le Programme de subventions à la découverte est le programme le plus important et le plus ancien du CRSNG. Ces subventions soutiennent des programmes de recherche continus de haute qualité dans les domaines suivants : biologie, chimie et biochimie, sciences de la Terre, ingénierie, activité physique, mathématiques et informatique et physique. Elles visent à promouvoir l’excellence en recherche, à maintenir une base diversifiée de capacités de recherche et à offrir un environnement stimulant pour la formation des chercheurs. Les SD fournissent généralement un financement à long terme sur cinq ans pour favoriser la créativité et l’innovation essentielles aux avancées en matière de recherche.

Les nouveaux lauréats de SD du CRSNG affiliés à l’Université Laurentienne sont les suivants :

  • Brie Edwards, Ph.D.* : Cumulative impacts of legacy and contemporary stressors on aquatic ecosystems;
  • Katie Goggins, Ph.D.* : New technology with a real-time whole-body vibration exposure risk algorithm for operators of heavy equipment;
  • Eva Pakostova, Ph.D.* : Innovative biotechnologies for sustainable recovery of battery metals;
  • Albrecht Schulte-Hostedde, Ph.D. : Evolutionary ecology of mammals during the Anthropocene;
  • Stefan Siemann, Ph.D. : Mechanism of metal exchange and removal processes in zinc proteins;
  • Richard Smith, Ph.D. : Geophysics for critical minerals exploration;
  • Gustavo Ybazeta, Ph.D.*1 : Environmental Determinants of Microbial Dynamics and Resistome Evolution in Wastewater Treatment Plants in Northeastern Ontario.

*Indique les lauréats de suppléments Templin vers la découverte d’un an pour les chercheurs en début de carrière.

Le programme de SDD complète le programme de SD en appuyant les chercheurs des petites universités dont les candidatures étaient solides, mais non retenues pour le programme de financement quinquennal. Les lauréats d’une SDD bénéficient d’un financement de deux ans, conçu pour promouvoir la qualité de la recherche et offrir un environnement propice à la formation à la recherche.

Junfeng Zhang, Ph.D., a obtenu une SDD pour son projet de recherche, « Blood Flows and Oxygen Transport in the Microcirculation ».

« L’Université Laurentienne demeure un pôle de recherche innovatrice et percutante, et ces subventions du CRSNG témoignent du dévouement et de l’excellence en recherche de son corps professoral. Cet investissement fédéral essentiel permet à nos chercheurs de repousser les limites du savoir, de relever des défis complexes, de former la prochaine génération de chefs de file scientifiques et de contribuer au paysage scientifique canadien, a déclaré la vice-rectrice à la recherche de l’Université Laurentienne, Mme Tammy Eger, Ph.D. Nous sommes particulièrement fiers du soutien accordé à nos experts reconnus et à nos chercheurs prometteurs en début de carrière, qui sont prêts à apporter des contributions importantes. »

« L’Université de l’EMNO est fière des importantes recherches menées par Gustavo Ybazeta sur la dynamique microbienne et la résistance aux antimicrobiens dans les stations d’épuration des eaux usées. Ces travaux soulignent à quel point la collaboration entre chercheurs renforce les partenariats existants dans le nord de l’Ontario. » Dr David Marsh, vice-recteur à la recherche et aux études supérieures à l’Université de l’EMNO.

Ces investissements soulignent le rôle essentiel que jouent l’Université Laurentienne et ses chercheurs dans l’avancement de la compréhension scientifique, la stimulation de l’innovation technologique et la contribution à une nation plus forte et plus innovante.

 

1 M. Ybazeta occupe principalement un poste de chercheur à l’Institut de recherche Health Sciences North. Il est également professeur agrégé à l’Université de l’EMNO et occupe un poste conjoint à l’École des sciences naturelles de l’Université Laurentienne.

Ashley Thomson ou 50 ans d’impact sur le profil de l’Université Laurentienne.

Ashley Thomson ou 50 ans d’impact sur le profil de l’Université Laurentienne.

Regard sur la carrière remarquable de cet éminent bibliothécaire émérite.

(24 juillet 2025) - Dans l’écosystème de toute université, il y a peu d’espaces aussi essentiels à la poursuite du savoir et des découvertes que la bibliothèque. L’apprentissage y prend corps et, pendant près de 50 ans, M. Ashley Thomson, aujourd’hui bibliothécaire émérite, s’est trouvé au cœur de cette dynamique à la Laurentienne. Embauché en 1975 et à la retraite depuis 2021, son dévouement à titre de bibliothécaire a laissé sur des générations de membres de la population étudiante, du corps professoral et du personnel une influence immense et positive, laquelle se fait encore sentir au sein de la communauté. 

Ses liens avec la Laurentienne remontent à son adolescence, à Sudbury, bien avant qu’il ne soit à l’emploi de l’Université. « En 1960, année de sa fondation, et je m’en rappelle encore, je me promenais souvent sur la rue Elgin et voyais le cinéma Empire (aujourd’hui Grand) arborer la grande enseigne Laurentian University - Université Laurentienne. » À l’époque, cet emplacement au centre-ville servait de salle de conférence, le campus du chemin du lac Ramsey n’ayant pas encore été aménagé. 

En 1964, arrivé le temps de faire ses études universitaires, M. Thomson a « choisi » le Collège Victoria de l’Université de Toronto, alma mater de ses parents. Onze ans plus tard, il est devenu bibliothécaire à la Laurentienne, après l’avoir été à l’Université de la Saskatchewan, pendant trois années à l’issue d’une solide formation universitaire, un parcours qui l’a vu se diplômer en histoire (Université de Toronto, 1968) et en éducation (Université de Toronto, 1970), suivi d’une maîtrise en histoire (Université McMaster, 1969) et en bibliothéconomie (Université de Toronto, 1972). La bibliothèque se trouvait alors dans l’Édifice R.D-Parker, avant son déménagement, en 1990, à la Bibliothèque J.N.-Desmarais, son emplacement actuel.

« Mon travail m’a beaucoup passionné dès le début, dit-il. L’équité me passionnait également et, en 1975, je ne pensais pas que les bibliothécaires bénéficiaient d’un traitement équitable.  Alors, même si l’Association des professeurs de l’Université Laurentienne (APUL) n’était pas encore un syndicat .... j’ai convaincu ses membres d’appuyer les bibliothécaires qui cherchaient à améliorer leurs conditions de travail. »

Une victoire de la première heure : une parité partielle avec le corps professoral et un fauteuil pour bibliothécaires au Sénat de l’Université. Puis, en 1979, il a collaboré avec ses collègues à la syndicalisation (APUL). « À l’issue des négociations, nous [les bibliothécaires] avons acquis le statut de professeur à part entière, y compris la titularisation, a-t-il expliqué. Cette victoire était importante et signifiait que nous allions bénéficier du même traitement que les professeurs et des mêmes conditions de travail. » En effet, outre la permanence, M. Thomson a gravi les échelons avec brio, devenant bibliothécaire adjoint en 1987, puis bibliothécaire titulaire en 1995. En 2016, il a été honoré du Prix pour services émérites, décerné par l’Association canadienne des professeures et professeurs d’université (ACPPU), distinction qui consacrait ses efforts dans ce sens, la Laurentienne étant devenue un modèle pour de nombreux bibliothécaires et archivistes universitaires canadiens qui cherchaient à améliorer leurs conditions de travail. 

Selon M. Thomson, les possibilités qui se sont offertes à lui au fil de sa carrière étaient des privilèges découlant de son statut de professeur. « Dès lors que les professeurs nous considéraient [les bibliothécaires] comme des pairs, nous avions des responsabilités à remplir et, pour ma part, je les prenais très au sérieux. » Ces responsabilités consistaient, entre autres, en des services professionnels, des activités de recherche, la gouvernance de l’Université et des services à la collectivité. 

En tant que bibliothécaire, il passait le plus clair de son temps auprès des étudiants (et des professeurs), les aidant à s’orienter dans la documentation de recherche. L’enseignement était toutefois sa première passion. « Donnez un poisson à un homme, et vous le nourrissez le temps d’une journée; apprenez-lui à pêcher et le voilà qui se nourrit à vie. » Toujours disposé à en faire plus, il disait à ses étudiants que ses cours s’accompagnaient d’une « garantie à vie », à savoir que, s’ils avaient besoin de quoi que ce soit de la bibliothèque, même après la remise de leur diplôme, ils pouvaient communiquer avec lui et il ferait de son mieux pour les aider. « Croyez-le ou non, dit-il, certains le font encore. » 

Prêtant main-forte aux efforts de recrutement de l’Université, M. Thomson a mis un point d’honneur à faire connaître aux élèves du secondaire du nord-est de l’Ontario les ressources de la bibliothèque. Et lorsque la Bibliothèque s’est mise intégralement en ligne, en ayant abandonné son catalogue sur fiches et index imprimés, il a collaboré avec l’équipe de la Technologie de l’information pour que les élèves puissent y accéder jusqu’à la fin de l’année scolaire.

Son activité d’érudit a fait de lui un coauteur ou un coéditeur de huit livres et de centaines de comptes rendus de lecture. La plupart de ces livres traitent de sujets à caractère local et régional, en particulier Sudbury: Rail Town to Regional Capital (Dundurn Press, 1993). Il a également approfondi ses compétences en français en collaborant avec des collègues francophones sur divers titres comme Bibliographie:  Histoire du nord-est de l’Ontario / Bibliography: History of North-Eastern Ontario (Société historique du Nouvel-Ontario, 1985) et The Bibliography of Northern Ontario / La bibliographie du nord de l’Ontario (Dundurn Press, 1994).   

En 1994, il a commencé à compiler la bibliographie annuelle sur Margaret Atwood, qu’il a poursuivie jusqu’en 2022. Ce projet monumental a incité la célèbre auteure canadienne à venir visiter le campus, à l’occasion de sa fête d’anniversaire, une célébration annuelle, un événement que M. Thomson était fier d’animer en tant que maître de cérémonie.

La gouvernance de l’Université, autre domaine où M. Thomson s’est fortement investi, l’a vu siéger au Sénat, régulièrement, dès 1979, où il a souvent recommandé des modifications aux règlements du Sénat. Par exemple, plaidant en faveur d’un fauteuil pour bibliothécaires, il a joué un rôle clé dans la modification du règlement traitant de la composition du Comité de la planification académique. De 2000 à 2021, et sans interruption, à l’exception d’une année sabbatique, il y a siégé en tant que membre et a été également orateur du Séant, de 2006 à 2018, ne manquant qu’une seule réunion au cours de cette période. L’an dernier, après avoir prêté main-forte à une autre modification du règlement, il s’est vu acclamé membre d’office sans droit de vote au Sénat, représentant les membres émérites du corps professoral. « Il semble que le Sénat est pour moi une passion, a déclaré M. Thomson, qui a par ailleurs siégé à bien d’autres comités relevant du Sénat et du Conseil des gouverneurs. »

Autre conviction, tributaire de sa qualité de membre du corps professoral, il lui importe de servir la collectivité. Ce principe a guidé ses actions lorsqu’il s’adressait aux écoles secondaires locales pour inciter les élèves à venir visiter le campus et consacrait des ouvrages à des sujets à caractère local et régional en tant qu’érudit. Son esprit de bénévole l’a également amené à intégrer (et à présider) divers conseils de direction bénévoles d’organisations comme la Northern Association of Baptist Churches, la Société d’aide à l’enfance et Centraide. Depuis sa retraite, il siège au Conseil de la Bibliothèque publique du Grand Sudbury, a assumé la présidence de la Popote roulante et fait office de secrétaire et de chargé de communication pour l’Association des universitaires retraités de l’Université Laurentienne.

Ses contributions lui ont valu des distinctions importantes. Outre le prix de l’ACPPU, il est également lauréat du Prix de bibliothéconomie universitaire (1997), décerné par la Confédération des associations de professeurs d’université de l’Ontario (1997), du prix, Personne âgée de l’année du Grand Sudbury (2018), et de la Médaille du souverain pour les bénévoles du gouverneur général (2019), entre autres.

Son parcours remarquable s’est caractérisé par sa passion constante pour le savoir, son engagement profond envers la collectivité et sa conviction inébranlable de faire bouger les choses dans un sens positif. Évoquant sa carrière, il se dit très reconnaissant à la Laurentienne des possibilités qu’elle lui a offertes. Il reconnaît également que sa carrière n’aurait pas pris forme sans sa foi religieuse profonde ou sans le soutien de sa femme et d’un grand nombre d’étudiants, de collègues et d’administrateurs remarquables. De la transformation du rôle des bibliothécaires à son service constant à la collectivité dans son ensemble, M. Thomson, par ses contributions, incarne à la fois l’esprit de l’Université Laurentienne et sa mission qui est de préparer au sein d’une communauté d’apprentissage bilingue et triculturelle, ouverte à tous, curieuse sur le plan intellectuel et en prise directe avec le monde extérieur, des leaders de demain. 

« Si c’était à refaire, dit-il, il ne me viendrait pas à l’idée d’aller étudier ailleurs. L’UL est la meilleure... et je parie que même mes parents seraient d’accord. »

L’Université Laurentienne a accueilli des élèves exceptionnels du secondaire de partout au Canada.

L’Université Laurentienne a accueilli des élèves exceptionnels du secondaire de partout au Canada.

Soixante-deux élèves du secondaire ont visité Sudbury pendant un mois pour vivre une expérience unique dans le Nord.

(22 juillet 2025) - Cette semaine, l’Université Laurentienne conclut sa troisième année marquante d’accueil de Shad Canada, un organisme sans but lucratif qui accompagne les élèves de 10e et de 11e année dans les domaines des sciences, de la technologie, de l’ingénierie, des arts et des mathématiques (STIAM), dans un esprit entrepreneurial. Depuis la fin de juin, soixante-deux élèves canadiens exceptionnels du secondaire se sont immergés dans l’expérience transformatrice de vingt-sept jours de Shad, reflétant le paysage culturel et linguistique unique du nord de l’Ontario, tout en se préparant à relever les défis sociaux et économiques.

L’Université Laurentienne, l’une des vingt-cinq universités hôtes du pays, a accueilli les participants, appelés « Shads », dans le cadre de ce programme intensif. Vivant en résidence, les élèves ont participé à un programme dynamique de cours magistraux et d’ateliers pratiques. Au-delà des cours, ils ont exploré la communauté du Grand Sudbury, participé à des enseignements autochtones enrichissants et profité de l’identité triculturelle unique de l’Université Laurentienne. La Laurentienne est le seul établissement parmi les partenaires de Shad Canada à offrir une expérience de programme bilingue, offrant ainsi une occasion unique à sa cohorte pancanadienne.

« Avec autant d’élèves dynamiques et talentueux de partout au Canada qui sont venus sur le campus de la Laurentienne, le programme Shad fait en sorte que le mois de juillet est toujours passionnant, a déclaré le Pr Thomas Merritt, codirecteur du programme Shad et professeur titulaire à l’Université Laurentienne. Chaque élève apporte sa perspective sur ce qui est et peut être un programme STIAM et d’entrepreneuriat. En équipe, nous travaillons avec chaque personne pour développer et approfondir ces perspectives. Chaque année, j’ai été impressionné par ce que les élèves accomplissent individuellement et au sein de leurs petits groupes collaboratifs, et Shad-UL 2025 a certainement perpétué cette tradition d’excellence. »

« Année après année, les participants à Shad apportent des perspectives diversifiées et enthousiastes à notre programme à la Laurentienne, a ajouté Jessica Martin, codirectrice du programme Shad à la Laurentienne, diplômée de l’UL et enseignante au secondaire. Le programme Shad est conçu non seulement pour stimuler nos participants sur le plan scolaire, mais aussi pour développer leur esprit critique et leurs compétences en résolution de problèmes, qui seront essentielles pour leur avenir. Je suis toujours très fière de la communauté que nous bâtissons et des liens durables qu’ils tissent entre eux. »

Le 21 juillet a été une journée particulièrement excitante pour les Shads, car chacun d’entre eux a présenté ses découvertes et ses projets lors d’une journée portes ouvertes – un véritable témoignage de leur travail acharné, de leur créativité et de leur esprit de collaboration favorisés pendant leur séjour à la Laurentienne.

L’engagement de l’Université Laurentienne à accueillir Shad Canada s’aligne profondément sur la mission nationale du programme de cultiver une génération diverse et inclusive de leaders.

 

À propos de Shad Canada et du partenariat de l’Université Laurentienne-Shad Canada

Shad rassemble activement des élèves de divers horizons – ruraux et urbains, issus des communautés noires, autochtones et 2SLGBTQIA+, ainsi que des élèves en situation de handicap traditionnellement sous-représentés – favorisant un environnement où chaque point de vue est valorisé et où des relations significatives se tissent. Depuis quarante-cinq ans, Shad sert de tremplin aux jeunes innovateurs, dotant ses quelque 24 000 diplômés des compétences, de l’état d’esprit et de la confiance nécessaires pour relever des défis concrets dans des domaines comme l’intelligence artificielle, l’énergie et la sécurité alimentaire. En combinant un apprentissage immersif et pratique basé sur les STIAM avec une attention particulière portée à la résilience, à la créativité et à l’entrepreneuriat, des programmes comme celui de la Laurentienne préparent les jeunes non seulement à l’avenir du monde du travail, mais aussi à l’avenir du leadership, garantissant ainsi une possibilité transformatrice aux élèves méritants de partout au Canada.

Le Collège Cambrian et l’Université Laurentienne renforcent l’éducation environnementale grâce à un nouveau parcours d’études.

Le Collège Cambrian et l’Université Laurentienne renforcent l’éducation environnementale grâce à un nouveau parcours d’études.

Création d’un nouveau programme de solutions environnementales à l’Université Laurentienne.

(21 juillet 2025) – Forts de leurs partenariats fructueux, le Collège Cambrian et l’Université Laurentienne ont signé un nouveau protocole d’entente (PE) qui offrira aux futurs étudiants la formation nécessaire à une carrière en sciences de l’environnement. Cet accord officialise une collaboration unique qui permettra la création d’un nouveau programme de baccalauréat ès sciences (B.Sc.) en solutions environnementales de quatre ans, offert à l’Université Laurentienne, qui intégrera l’obtention d’un certificat d’études supérieures du Collège Cambrian.

Les étudiants inscrits au baccalauréat en solutions environnementales effectueront les première, deuxième et quatrième années à l’Université Laurentienne, tandis que la troisième année se déroulera au Collège Cambrian pour obtenir le certificat d’études supérieures en contrôle environnemental. À l’issue de leur cursus, les étudiants obtiendront un baccalauréat en sciences de l’Université Laurentienne et un certificat d’études supérieures du Collège Cambrian, ce qui les préparera aux compétences théoriques et pratiques nécessaires pour relever les défis environnementaux actuels.

« Cette collaboration représente le meilleur de ce que nos établissements peuvent offrir ensemble, a déclaré la vice-présidente aux études au Cambrian College, Mme Janice Clarke. Les étudiants bénéficient d’expériences d’apprentissage pratiques et concrètes qui complémentent leurs études et les préparent à une carrière réussie dans le domaine de l’environnement. »

« Nous sommes ravis de nous associer au Collège Cambrian dans le cadre de cette initiative innovante et significative, a déclaré le vice-recteur principal aux études de l’Université Laurentienne, M. Malcolm Campbell, Ph.D. Ce programme met à profit les atouts des deux établissements et renforce notre engagement commun envers la protection de l’environnement, la réussite des étudiants, la préparation au marché du travail et l’emploi des diplômés. »

Le programme a été élaboré en concertation avec des leaders de l’industrie, des partenaires du secteur public et des experts du domaine. Ce processus unique constitue une base solide pour cette nouvelle offre de programme.

« Notre secteur a besoin de professionnels talentueux capables d’allier expérience pratique et théorie, a déclaré la directrice de l’exploitation chez Blue Heron Environmental, Mme Kati McCartney. Cela a été un plaisir de faire partie du groupe qui a contribué à la création de ce programme et je me réjouis à la perspective de travailler avec les diplômés. » 

« Il s’agit d’une victoire pour le Grand Sudbury et le nord de l’Ontario, car les secteurs public et privé bénéficieront de l’afflux de diplômés pour répondre à la demande d’expertise en solutions environnementales, a déclaré le président du Conseil de direction de la Société de développement du Grand Sudbury, M. Richard Picard. Étudier dans le nord de l’Ontario leur permettra de comprendre plus rapidement notre environnement unique et s’inscrit dans nos objectifs d’attraction de talents. »

Ouvert aux étudiants canadiens de premier cycle, ce programme garantit l’admission au programme de contrôle environnemental de Cambrian aux étudiants de la Laurentienne qui satisfont aux exigences. Un comité mixte, le Comité du programme de solutions environnementales collaboratives, supervisera la qualité et la coordination du programme, garantissant ainsi une expérience harmonieuse et enrichissante pour les étudiants.

Ce partenariat démontre le pouvoir de la collaboration pour favoriser la santé économique et environnementale du Nord, tout en fournissant aux étudiants les outils et les compétences dont ils ont besoin pour avoir une incidence durable.

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À propos du Collège Cambrian
Le Collège Cambrian est le plus grand collège du nord de l’Ontario, offrant plus de 100 programmes, dont des programmes menant à un grade. C’est également un établissement d’enseignement international qui accueille des étudiants de plus de 60 pays. Son campus principal se trouve dans le Grand Sudbury, et ses centres satellites sont situés à Espanola et à Little Current. Pour en savoir plus sur le Collège Cambrian, consultez cambriancollege.ca/about-cambrian 

À propos de l’Université Laurentienne (Akinomaagegamik)

L’Université Laurentienne accueille plus de 8 000 étudiants sur son campus de Sudbury, en Ontario, et est l’une des deux universités bilingues de la province. Fidèle à son mandat bilingue et triculturel, elle offre une expérience universitaire exceptionnelle en anglais et en français, caractérisée par une approche globale de l’éducation autochtone.

L’Université Laurentienne lance un nouvel Institut pour l’innovation en habitation nordique afin de relever les défis du logement abordable dans le nord de l’Ontario

L’Université Laurentienne lance un nouvel Institut pour l’innovation en habitation nordique afin de relever les défis du logement abordable dans le nord de l’Ontario

Le ministère des Collèges et Universités, de l’Excellence en recherche et de la Sécurité accorde des fonds pour le lancement de l’Institut

(16 juillet 2025) L’Université Laurentienne est fière d’annoncer le lancement de l’Institut pour l’innovation en habitation nordique, un nouvel institut de recherche dédié à l’avancement de solutions de logement durables et abordables pour les communautés du nord de l’Ontario.

L’Institut, situé à l’École d’architecture McEwen, vise à relever les principaux défis liés à la conception et à la construction de logements dans le nord de l’Ontario. Grâce à des partenariats avec la communauté et l’industrie, l’Institut servira de plateforme d’échange de connaissances pour trouver des solutions innovatrices visant à rendre le logement plus accessible, durable et abordable, tout en contribuant au bien-être des collectivités du Nord et en transformant le secteur de l’habitation et de la construction.

L’Institut a obtenu la somme de 512 544 $ du ministère des Collèges, des Universités, de l’Excellence en recherche et de la Sécurité par l’intermédiaire du Fonds d’amélioration du matériel de formation (FAMF). Le FAMF est un fonds provincial de 10 millions de dollars qui aide les universités à renouveler et à acheter des équipements et des ressources d’apprentissage modernes et à la fine pointe de la technologie.

« L’Ontario compte certains des esprits les plus brillants au monde, qui s’attaquent à des problèmes cruciaux pour améliorer la vie des gens de notre province et du monde entier. Notre gouvernement est fier de soutenir l’Institut pour l’innovation en habitation nordique de l’Université Laurentienne afin de trouver des solutions pour améliorer l’accessibilité, la durabilité et l’abordabilité du logement, tandis que nous travaillons ensemble à bâtir l’Ontario de demain. » - Nolan Quinn, ministre des Collèges et Universités, de l’Excellence en recherche et de la Sécurité.

Les recherches menées à l’Institut porteront notamment sur le développement de procédés de construction et de fabrication avancés, de matériaux de construction biosourcés, de conception de logements durables, de modèles économiques abordables et d’analyse de l’incidence environnementale. Les activités seront axées sur l’engagement communautaire, la défense des politiques et la collaboration avec le secteur de l’architecture, de l’ingénierie et de la construction (AIC). Privilégiant les partenariats communautaires, l’Institut coordonnera les efforts interdisciplinaires pour répondre aux besoins urgents en matière de logement, notamment dans les communautés autochtones, francophones et du Nord.

« Le généreux financement de cet institut de pointe offrira aux étudiants de l’Université Laurentienne un tremplin pour lancer leur carrière de leaders et répondre aux besoins futurs en matière de logement. L’Institut et ses stagiaires auront une incidence considérable sur le nord de l’Ontario et le monde entier. » - Malcolm M. Campbell, Ph.D., vice-recteur principal aux études, Université Laurentienne.

L’Institut s’appuie sur le mandat triculturel de l’École d’architecture McEwen et son historique de conception axée sur la communauté. Ses travaux porteront sur des partenariats de longue date avec des municipalités du nord de l’Ontario.

L’Institut pour l’innovation en habitation nordique jouera un rôle essentiel dans le soutien de la santé, de la durabilité et de la résilience des collectivités du nord de l’Ontario pour les générations à venir.

« L’Institut pour l’innovation en habitation nordique reflète notre engagement envers la recherche ayant une incidence concrète. L’accessibilité au logement et la durabilité de celui-ci sont des préoccupations pressantes dans le nord de l’Ontario, et cet institut positionnera l’Université Laurentienne comme un chef de file dans l’élaboration de solutions pratiques et avant-gardistes en collaboration avec les collectivités, l’industrie et le gouvernement. » - Tammy Eger, Ph.D., vice-rectrice à la recherche à l’Université Laurentienne.

« Cette initiative témoigne des résultats que la collaboration peut apporter. En collaborant avec les collectivités, les décideurs politiques et l’industrie, nous pouvons favoriser un changement systémique dans notre approche du logement dans le Nord. » - Steven Beites, professeur adjoint, École d’architecture McEwen et directeur de l’Institut pour l’innovation en habitation nordique.

L’Université Laurentienne et le Collège Boréal signent un protocole d’entente pour renforcer l’éducation postsecondaire francophone et la collaboration

L’Université Laurentienne et le Collège Boréal signent un protocole d’entente pour renforcer l’éducation postsecondaire francophone et la collaboration

(15 juillet 2025) — L’Université Laurentienne et le Collège Boréal sont fiers d’annoncer la signature d’un nouveau protocole d’entente visant à renforcer l’éducation postsecondaire et la recherche en français dans le Nord de l’Ontario et ailleurs.

Cet accord illustre l’engagement continu des deux établissements  envers leur mission francophone ainsi que leur volonté de collaborer avec des partenaires qui partagent leur vision, au service des étudiantes, des étudiants et de leurs communautés.

Le protocole prévoit la mise en place de nouveaux parcours éducationnels et d’autres partenariats formels entre les établissements, lesquels viseront notamment à :

  • améliorer l’accès aux études en français et augmenter le nombre de parcours disponibles dans la région de Sudbury et en Ontario;
  • optimiser et encourager la complémentarité de la programmation offerte en français;
  • réduire la pénurie de main-d’œuvre francophone dans le Nord de l’Ontario;
  • faciliter le transfert de crédits entre le Collège Boréal et l’Université Laurentienne;
  • offrir des parcours et des combinaisons de programmes intégrant des approches théoriques et pratiques afin de mieux préparer les étudiantes, les étudiants au marché du travail;
  • améliorer les services aux communautés autochtones de la région;
  • accroître l’accès des étudiantes et étudiants collégiaux aux études supérieures en français (maîtrise et doctorat);
  • collaborer à des projets de recherche dans des domaines d’intérêt mutuel.

« La communauté francophone de notre province joue un rôle essentiel dans le développement d’un Nord de l’Ontario autonome et plus compétitif », a déclaré Nolan Quinn, ministre des Collèges, des Universités, de l’Excellence en recherche et de la Sécurité. « Cet accord entre l’Université Laurentienne et le Collège Boréal renforcera non seulement l’accès à une éducation postsecondaire en français de calibre mondial, mais il dotera également les étudiantes et étudiants des connaissances et des compétences dont ils ont besoin pour protéger et faire croître l’économie de l’Ontario. »

« La signature de cette nouvelle entente entre l’Université Laurentienne et le Collège Boréal permet de formaliser une collaboration de longue date au service des francophones de l’Ontario », a déclaré Daniel Giroux, président du Collège Boréal. « Grâce à cet engagement renouvelé, nos établissements poursuivent leurs efforts conjoints visant à augmenter l’accès à des études postsecondaires de haute qualité et à bonifier l’expérience étudiante par davantage d’échanges et de collaborations. Notre objectif : former une main-d’œuvre véritablement bilingue capable de répondre aux enjeux actuels et futurs du monde de l’emploi. »

« Depuis plus de 60 ans, la Laurentienne fait partie intégrante de la francophonie du Nord de l’Ontario », a souligné la rectrice et vice-chancelière de l’Université Laurentienne, Lynn Wells, Ph. D. « Avec nos 2 500 étudiantes et étudiants francophones et plus de 85 % de personnel bilingue, notre engagement envers l’éducation en français est ferme et constant. Ce protocole est une étape importante vers des partenariats fructueux qui renforcent notre identité et ouvrent de nouvelles avenues pour les étudiantes et étudiants francophones. »

Cet accord jette les bases de discussions continues et de l’exploration d’occasions de nouvelles collaborations. Il témoigne de l’engagement des deux établissements envers l’innovation en enseignement supérieur et le renforcement de leurs liens avec les communautés francophones, autochtones et nord-ontariennes.

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À propos du Collège Boréal :

Créé à Sudbury en 1995, le Collège Boréal est un établissement d’études postsecondaires de langue française qui œuvre au développement et à l’épanouissement des diverses collectivités ontariennes qu’il sert. À travers ses 34 sites dont 8 campus répartis dans 27 collectivités, Boréal offre une expertise de haut niveau en matière de formation postsecondaire (détenant, parmi les 24 collèges communautaires de l’Ontario, les taux de satisfaction les plus élevés chez les employeurs et les personnes diplômées). Ses services incluent également la formation de base, l’apprentissage, les services en immigration et intégration, les services d’emploi, la formation continue, la formation sur mesure et la recherche appliquée.

 

À propos de l’Université Laurentienne (Akinomaagegamik) :

Accueillant plus de 8 000 étudiants sur son campus à Sudbury (Ontario), l’Université Laurentienne, l’une des deux universités bilingues dans la province, accorde une grande importance à son mandat bilingue et triculturel. Elle offre en anglais et en français une expérience universitaire exceptionnelle caractérisée par une approche globale de l’enseignement autochtone.

Les étudiants en sciences médico-légales excellent lors d’une conférence nationale

Les étudiants en sciences médico-légales excellent lors d’une conférence nationale

Deux étudiantes de maîtrise récompensées pour les meilleures présentations par affiches à la SCSJ de 2025

(2 juillet 2025) - Neuf étudiants de la maîtrise en sciences médico-légales de l’École des sciences naturelles de l’Université Laurentienne ont récemment présenté leurs recherches à la Société canadienne des sciences judiciaires de 2025 (SCSJ), qui a eu lieu à Toronto (ON) du 10 au 13 juin 2025. Ce rassemblement national est un événement incontournable dans le domaine, attirant des universitaires et des professionnels des domaines du droit, des enquêtes sur les scènes de crime et des nombreux domaines liés aux sciences médico-légales.

 

Accompagnés de M. James Watterson, professeur titulaire de toxicologie médico-légale, les étudiants ont fait preuve de professionnalisme et d’excellence universitaire tout au long de la conférence. Deux étudiantes de l’Université Laurentienne, Kristina Valle (Sudbury, ON) et Shaelyn Maloney (Brampton, ON), ont reçu le prix de la meilleure présentation par affiche, une reconnaissance importante lors de l’un des événements les plus importants en sciences judiciaires au Canada.

 

La présentation de Kristina Valle, intitulée « Evaluation of DNA Recovery from the Quantisal® Oral Fluid Collection Device Following Standard Protocols for Toxicology Testing », a exploré les liens essentiels entre l’analyse de l’ADN et la toxicologie. « C’était formidable de présenter mes recherches et de constater l’intérêt suscité par ce sujet, a-t-elle déclaré. Le programme d’études supérieures en sciences médico-légales de l’Université Laurentienne est véritablement unique en son genre : nous pouvons non seulement approfondir nos connaissances sur l’avancement des disciplines criminalistiques, mais aussi acquérir une expérience pratique grâce à nos recherches. » Selon elle, la réussite des étudiants du programme est rendue possible grâce à une étroite collaboration avec des professeurs superviseurs dévoués qui apportent un soutien constant tout au long du processus de recherche.

 

La présentation de Shaelyn Maloney, intitulée « Examining Mental Health-Related Healthcare Utilization Among Sexual Assault Survivors », a exploré les tendances en matière de visites aux urgences, d’hospitalisations et de consultations externes en psychiatrie liées à la santé mentale chez les survivantes d’agression sexuelle en Ontario. « J’ai bien aimé découvrir toutes les nouvelles recherches en sciences judiciaires, a-t-elle déclaré. Le soutien offert par l’Université Laurentienne est exceptionnel. Mes professeurs possèdent une connaissance et une expérience considérables en sciences judiciaires et m’ont apporté un soutien précieux dans ma recherche d’emploi après l’obtention de mon diplôme. »

 

Le vice-recteur principal aux études de l’Université Laurentienne, M. Malcolm Campbell, a salué le mérite des étudiants, soulignant que leur réussite reflète à la fois leur dévouement personnel et la force du milieu universitaire. « Le succès constant de nos étudiants lors de diverses conférences scientifiques tout au long de l’année montre clairement l’impact transformateur du soutien du corps professoral et du personnel, ainsi que la qualité du milieu d’apprentissage cultivé au sein de l’École des sciences naturelles de l’Université Laurentienne, a-t-il déclaré. Ces réalisations remplissent notre communauté universitaire d’une immense fierté. »

 

« Nos étudiants continuent de nous impressionner par leur talent et leur dévouement, et nous sommes incroyablement fiers de leurs réalisations, a ajouté la doyenne de la Faculté des sciences, de génie et d’architecture, Mme Joy Gray-Munro. Nous sommes tout aussi fiers du corps professoral et du personnel, dont l’engagement envers l’enseignement, le mentorat et les possibilités d’apprentissage pratique permet aux étudiants de réussir et de s’épanouir. »

 

L’Université Laurentienne demeure déterminée à favoriser un environnement universitaire axé sur la recherche et la pratique, qui permet aux étudiants de relever des défis concrets et de contribuer considérablement à leur domaine. Cette reconnaissance à la SCSJ de 2025 souligne la force des programmes de sciences médico-légales de l’Université et le talent de ses jeunes chercheurs.

 

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