Vous êtes maintenant dans la zone de contenu principale

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

19 juillet 2024 - Cet été, 22 membres de la population étudiante ont la possibilité de soutenir des projets de recherche par l’intermédiaire de l’Université Laurentienne grâce à un financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), et le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH). Les Bourses de recherche de premier cycle (BRPC) visent à nourrir l’intérêt des étudiants de premier cycle et à développer leur potentiel pour une carrière de recherche. Ce financement leur permet d’acquérir de l’expérience de travail de recherche qui complète leurs études universitaires.

Pour une période de 16 semaines, de mai à août, les étudiants épaulent la recherche à plein temps. Ils peuvent être titulaires d’une seule BRPC par exercice financier et pourraient en détenir jusqu’à trois pendant leur carrière de premier cycle.

Bien que la possibilité de contribuer de manière significative à un projet de recherche soit souvent réservée aux étudiants des cycles supérieurs, les BRPC donnent l’occasion exceptionnelle et convoitée à ceux du premier cycle d’acquérir de l’expérience dans leur domaine d’intérêt. L’année d’études, la spécialisation et les domaines de recherche des étudiants varient, mais ils reconnaissent tous de manière semblable l’incidence positive de cette expérience sur leurs études actuelles et leurs objectifs futurs.

Tout au long de l’été, les étudiants s’exprimeront au sujet d’eux-mêmes, de leurs ambitions et intérêts et un peu sur le projet de recherche auquel ils prêtent leur soutien.

Emma Mageau

4e année du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Confederation Secondary School

Cet été, je travaille sous la direction de M. Tharmalingam à l’Université de l’EMNO sur son projet qui examine le cancer du sein résistant aux radiations. Dans le cadre du projet, nous étudions certaines cibles qui pourraient être associées à la résistance aux radiations dans une lignée cellulaire spécifique du cancer du sein. Bien que j’ai toujours eu une passion pour la science, j’ai constaté que je manquais d’expérience en recherche. Cette possibilité est alors une excellente façon d’élargir mes connaissances et mes compétences en laboratoire.

Dans mes moments libres, j’aime jouer au soccer et au tennis et passer du temps avec ma famille et mes amis. J’aide également à organiser le Relais pour la vie à la Laurentienne, ce qui m’enthousiasme énormément. Le domaine de l’oncologie m’a toujours intéressé et, un jour, j’espère poursuivre une carrière en médecine. J’ai hâte de voir où ces recherches et cette année universitaire me dirigeront.

Avery Morin

4e année du programme de neurosciences du comportement à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Marymount Academy

Grâce à la BRPC, je peux nourrir ma passion pour l’écologie et la durabilité en explorant un domaine qui diffère complètement de celui que j’aborde en tant qu’étudiante en neurosciences comportementales. Au Centre pour la vitalité des lacs Vale, je dirige le Comité de durabilité environnementale de la Laurentienne et participe au programme mondial d’étudiants-ambassadeurs pour une Nature Positive. Dans le cadre de cette initiative, les établissements doivent réaliser des évaluations de référence de la biodiversité (celles-ci sont en cours depuis 2023). Cet été, je travaille avec M. John Gunn pour mieux comprendre la biodiversité des milieux humides en installant des enregistreurs d’appels d’oiseaux et de grenouilles dans tout l’espace vert de la Laurentienne. Ce projet contribuera non seulement aux évaluations de la biodiversité Nature Positive, mais soutiendra également un projet multiuniversitaire axé sur la restauration des tourbières des effets de la pollution due aux activités minières.

N’importe qui peut aider à appuyer les évaluations de la biodiversité grâce à la science participative en utilisant l’application iNaturalist où toutes les observations de plantes, d’animaux et d’insectes faites sur notre campus sont automatiquement ajoutées au projet de Réseau sur la biodiversité du campus de la Laurentienne pour contribuer à de véritables ensembles de données scientifiques.

Ellis Albrecht

4e année du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Onaping, Ontario

École secondaire : Chelmsford Valley District Composite School

Cet été, grâce au programme de BRPC, j’ai le plaisir de travailler avec Mme Brie Edwards au Centre pour la vitalité des lacs Vale (CVLV). En tant qu’étudiante-chercheuse, je suis responsable de prélever des échantillons d’eau et d’invertébrés, de préparer le matériel pour le travail sur le terrain et de saisir et analyser des données. La nature coopérative du CVLV me donne aussi l’occasion d’observer d’autres projets en cours et d’y contribuer.

Ayant grandi dans le Grand Sudbury, j’ai toujours profondément apprécié le milieu naturel et je me sens incroyablement chanceuse de travailler maintenant sur ces magnifiques cours d’eau. Ce poste me permet de faire mes passe-temps (nautisme, canotage, randonnée) tout en observant des travaux de restauration, de maintien et de surveillance de nos systèmes d’eau douce et y participant.

Alexandra Bertrim

3e année du programme de sciences de l’activité physique à l’Université de Guelph

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Lo-ellen Park Secondary School

Cet été, je travaille comme assistante de recherche de premier cycle au Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) à l’Université Laurentienne. Dans ce rôle, j’espère acquérir une expérience de recherche approfondie et appliquer mes connaissances à des situations réelles et pratiques pour améliorer la santé et la sécurité au travail. Je participe actuellement à quelques projets, dont un programme de formation sur le réglage de sièges. L’initiative vise à réduire les blessures professionnelles en proposant aux opérateurs d’équipement lourd un programme favorisant de bonnes pratiques ergonomiques.

J’apporte aussi une contribution à l’analyse des données saisies en matière de formation par simulation et en opérations minières. Grâce à cette analyse, le CRSST souhaite évaluer l’efficacité et la satisfaction des travailleurs à l’égard des programmes de formation par simulation. Ces programmes constituent une méthode modernisée de formation permettant aux personnes de mettre en pratique leurs compétences en toute sécurité comme préparation au travail dans le domaine. Jusqu’à présent, mon expérience pratique avec CRSST m’a permis de mieux reconnaître et saisir l’importance de la santé et de la sécurité au travail. J’ai hâte de continuer à travailler dans ce domaine dans l’espoir que mes efforts aideront à créer des milieux de travail plus sains et sûrs.

En tant que membre dévouée de l’équipe de natation universitaire des Gryphons, je vise l’excellence dans la piscine aussi bien que dans mes études, où je m’intéresse fortement aux domaines de la biomécanique, de la physiologie humaine et de l’anatomie.

L’Université Laurentienne reçoit un financement de la province pour améliorer l’enseignement en STIM

L’Université Laurentienne reçoit un financement de la province pour améliorer l’enseignement en STIM

Ces fonds appuieront l’achat de matériel de pointe.

17 juillet 2024 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer un investissement important de 2 170 000 $ dans le cadre du Fonds d’amélioration du matériel de formation de l’Ontario. Ce programme de financement en contrepartie vise à aider les universités à renouveler et à acheter du matériel et des ressources d’apprentissage modernes et de pointe afin d’assurer des expériences pratiques de haute qualité.

Ces fonds appuieront la création d’un carrefour pour la formation pratique des étudiants des programmes en STIM de l’Université Laurentienne. Situé dans le Centre d’analyse Perdue sur le campus de la Laurentienne, ce carrefour intégrera trois éléments clés : 1. un centre d’instrumentation d’analyse et de caractérisation moléculaire; 2. un laboratoire de réalité virtuelle; 3. un laboratoire multimédia pour la communication scientifique.

L’intégration de ces éléments dans un seul espace physique transformera les expériences d’apprentissage par l’expérience, en ligne et de microcertification en STIM. Le carrefour STIM ouvrira de nouvelles possibilités de formation pour préparer les étudiants à un des secteurs clés de l’emploi en croissance en Ontario.

Responsable de ce projet transformateur et directeur de l’École des sciences naturelles, Éric Gauthier souligne l’incidence positive sur les étudiants et la communauté dans son ensemble. « Nous sommes ravis de recevoir cette subvention, a-t-il exprimé. Ces installations fourniront aux étudiants des instruments scientifiques modernes qui faciliteront leur transition vers le marché de l’emploi. Notre nouveau laboratoire de réalité virtuelle présentera des méthodes d’enseignement innovatrices et rehaussera l’apprentissage; les chercheurs et entreprises de la région s’en serviront pour résoudre des problèmes du monde réel. Le laboratoire multimédia aidera les chercheurs à communiquer leurs résultats et à donner des cours, y compris des microcertifications. Ce carrefour favorisera les collaborations parmi les établissements postsecondaires, les instituts scientifiques et les entreprises axées sur la technologie. »

« Il s’agit d’une excellente nouvelle, a indiqué la vice-rectrice principale aux études par intérim, Brenda Brouwer, Ph.D., en partageant son enthousiasme pour le projet, et d’une réalisation rendue possible grâce aux efforts d’un corps professoral créatif partageant une vision commune de ce que pourra être l’enseignement de nouvelle génération en STIM. Nous sommes reconnaissants envers le gouvernement de l’Ontario de faire cet investissement et de concrétiser cette vision. »

Le nouveau carrefour STIM transformera l’apprentissage par l’expérience, en ligne et de microcertification en offrant de nouvelles possibilités de formation et en préparant les étudiants à des carrières dans les secteurs clés de l’emploi en croissance en Ontario. L’Université Laurentienne s’engage de manière suivie à faire progresser l’éducation et à favoriser l’innovation grâce à des initiatives percutantes comme celle-ci.

​​L’Université Laurentienne nomme Jennifer Scott, Ph.D., au poste de doyenne de la Faculté d’éducation et de santé

​​L’Université Laurentienne nomme Jennifer Scott, Ph.D., au poste de doyenne de la Faculté d’éducation et de santé

Mme Scott entrera en fonction le 1er septembre 2024.

16 juillet 2024 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de Jennifer Scott, Ph.D., au poste de doyenne de la Faculté d’éducation et de santé. Mme Scott est décrite comme une dirigeante compatissante et englobante témoignant d’un ferme engagement envers la réussite des étudiants, la qualité de leur expérience d’apprentissage et le soutien de nouvelles initiatives qui favorisent l’excellence en enseignement, apprentissage et recherche.

Diplômée de l’Université Laurentienne, Mme Scott y a obtenu son baccalauréat ès sciences en chimie avant de préparer un doctorat en chimie à l’Université d’Ottawa. En 2008, elle s’est jointe au corps professoral du Collège militaire royal du Canada (CMR) à Kingston à titre de professeure adjointe et a été promue au rang de professeure agrégée en 2015. Elle est actuellement doyenne de la Faculté des sciences et assume la responsabilité administrative des programmes d’études, y compris les agréments. l’assurance qualité et la gestion des ressources, tout en cultivant un milieu dans lequel la population étudiante, le personnel et le corps professoral sont valorisés et soutenus dans leurs activités.

« J’ai très hâte de retourner à l’Université Laurentienne, a dit Mme Scott, car elle occupe une place particulière dans mon cœur. Je suis honorée de pouvoir jouer un rôle à soutenir la croissance et le perfectionnement des étudiants grâce à une formation et des programmes pertinents pour nos communautés locales et régionales. »

Tout au long de sa carrière, Mme Scott fait preuve d’une passion pour l’enseignement et la recherche. En 2017, elle a reçu le « Prix d’excellence en enseignement de la promotion 1965 » soulignant son dévouement à la formation STIM et au mentorat d’étudiants des cycles supérieurs. En qualité d’administratrice universitaire, elle continue de poursuivre de nouvelles initiatives qui font progresser l’incidence de l’éducation sur la société.

Mme Scott parle couramment les deux langues officielles et apprécie et respecte grandement le mandat triculturel de la Laurentienne. Son engagement envers l’inclusion et la mise en œuvre des recommandations de la Commission de vérité et réconciliation est mis en évidence par son rôle au comité directeur du « Indigenous Leadership Opportunity Year Program » au CMR. De plus, elle se concentre sur l’autochtonisation de programmes d’études et la création d’espaces pour des pratiques culturelles inclusives au sein de l’établissement.

Grâce à ses qualités de leader et à sa communication transparente et claire qui se marient à sa vaste expérience en matière d’enseignement supérieur et à sa pensée créative et innovatrice, Mme Scott sera en mesure de diriger la Faculté d’éducation et de santé vers un avenir solide et rayonnant.

L’Université Laurentienne remercie Patrice Milewski, Ph.D., de son importante contribution à titre de doyen par intérim. Jennifer Scott entrera en fonction comme doyenne de la Faculté d’éducation et de santé le 1er septembre 2024.

Alain Simard, Ph.D., nommé doyen des études supérieures et de la stratégie internationale à l’Université Laurentienne

Alain Simard, Ph.D., nommé doyen des études supérieures et de la stratégie internationale à l’Université Laurentienne

M. Simard entrera en fonction le 1er septembre 2024.

15 juillet 2024 — M. Alain Simard, Ph.D., a été nommé doyen des études supérieures et de la stratégie internationale. Diplômé de l’Université Laurentienne, il apporte une riche expérience et un profond engagement envers l’excellence pédagogique et la mobilisation communautaire.

M. Simard a obtenu un baccalauréat ès sciences en biochimie et une maîtrise ès sciences en chimie de l’Université Laurentienne avant de préparer un doctorat en physiologie-endocrinologie à l’Université Laval et d’effectuer des recherches postdoctorales aux États-Unis.

« Je suis heureux de revenir à la Laurentienne à titre de doyen des études supérieures et de la stratégie internationale, a indiqué M. Simard. Je crois que l’Université offre aux étudiants un milieu idéal pour l’apprentissage avancé et j’ai hâte de travailler en collaboration avec le corps professoral, le personnel et la population étudiante pour favoriser un environnement dans lequel chaque membre se sent soutenu et autonomisé de façon à réaliser son potentiel. »

Avant de revenir dans le nord de l’Ontario, de 2011 à 2017, M. Simard a été professeur adjoint et ensuite professeur agrégé à l’Université de Moncton au Nouveau-Brunswick, où il a apporté son concours au Département de chimie et de biochimie et au Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick. En 2017, il a accepté un poste de professeur agrégé dans la Division des sciences médicales de l’Université de l’EMNO où, depuis 2020, il est doyen adjoint aux études supérieures et, le 1er juillet 2024, a été nommé professeur titulaire.

Au fil des ans, M. Simard a participé activement à plusieurs comités et siégé au Conseil ontarien des études supérieures. À l’Université de l’EMNO, il préside le Comité des études supérieures et le Comité du programme de maîtrise en études médicales. Il a également été membre du Comité de recherche de l’Université de l’EMNO, du Conseil des études supérieures de l’Université Laurentienne et du Comité des études supérieures du doctorat en sciences de la vie de l’Université de Moncton.

Grâce à plus de 35 articles publiés depuis 2001 dans des revues à comité de lecture et la supervision d’une trentaine d’étudiants à tous les cycles, M. Simard fait preuve de dévouement envers les activités universitaires et le mentorat des étudiants. Il est également un ardent défenseur de l’établissement de partenariats internationaux solides qui favorisent les possibilités pour les étudiants des cycles supérieurs, les collaborations de recherche et l’enrichissement de l’apprentissage et de la compréhension.

Sa connaissance du contexte des études supérieures en Ontario, son approche axée sur les solutions, son esprit de collaboration et son engagement envers le mandat triculturel de l’Université Laurentienne sont des atouts pour qu’il dirige avec succès ce nouveau dossier.

M. Simard assumera ses nouvelles fonctions de doyen des études supérieures et de la stratégie internationale le 1er septembre 2024.

L’Université Laurentienne et le Syndicat des employés ratifient une convention collective

L’Université Laurentienne et le Syndicat des employés ratifient une convention collective

La convention collective s’étend sur trois ans.

12 juillet 2024 - Le Syndicat des employés de l’Université Laurentienne (SEUL) et le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne ont voté en faveur de la ratification d’une nouvelle convention collective de trois ans, qui sera en vigueur jusqu’au 30 juin 2027.

Les membres du SEUL recevront des augmentations salariales annuelles de 4 % à compter du 1er juillet 2024. Une copie de la nouvelle entente sera diffusée sur laurentienne.ca une fois qu’elle sera finalisée.

« Cette entente marque une étape clé dans le redressement de l’Université Laurentienne et nous permet d’aller de l’avant de façon positive avec l’exécution de notre nouveau Plan stratégique, a déclaré la rectrice et vice-chancelière de l’Université Laurentienne, Mme Lynn Wells. Nous sommes reconnaissants du travail accompli par les deux comités de négociation et maintenant déterminés à offrir une expérience étudiante dynamique cet automne. »

« Avec la ratification d’une nouvelle convention collective, a indiqué le président du SEUL, M. Tom Fenske, nous sommes maintenant en mesure de rediriger toute notre attention vers le soutien aux étudiants en ce qui concerne leurs objectifs universitaires et de recherche. »

Le SEUL représente quelque 230 membres du personnel à l’Université Laurentienne.

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

10 juillet 2024 - Cet été, 22 membres de la population étudiante ont la possibilité de soutenir des projets de recherche par l’intermédiaire de l’Université Laurentienne grâce à un financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), et le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH).

Les Bourses de recherche de premier cycle (BRPC) visent à nourrir l’intérêt des étudiants de premier cycle et à développer leur potentiel pour une carrière de recherche. Ce financement leur permet d’acquérir de l’expérience de travail de recherche qui complète leurs études universitaires.

Pour une période de 16 semaines, de mai à août, les étudiants épaulent la recherche à plein temps. Ils peuvent être titulaires d’une seule BRPC par exercice financier et pourraient en détenir jusqu’à trois pendant leur carrière de premier cycle.

Bien que la possibilité de contribuer de manière significative à un projet de recherche soit souvent réservée aux étudiants des cycles supérieurs, les BRPC donnent l’occasion exceptionnelle et convoitée à ceux du premier cycle d’acquérir de l’expérience dans leur domaine d’intérêt. L’année d’études, la spécialisation et les domaines de recherche des étudiants varient, mais ils reconnaissent tous de manière semblable l’incidence positive de cette expérience sur leurs études actuelles et leurs objectifs futurs.

Tout au long de l’été, les étudiants s’exprimeront au sujet d’eux-mêmes, de leurs ambitions et intérêts et un peu sur le projet de recherche auquel ils prêtent leur soutien.

MacKenzie Hobbs

4e année du programme de biologie avec mineure en chimie environnementale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Espanola, Ontario

École secondaire : École secondaire catholique La Renaissance

J’ai grandi à Massey et passé de nombreux étés à notre chalet sur le lac Whiskey où je suis venue à apprécier et à aimer profondément la nature. L’été, j’adore faire du kayak, du camping et de la randonnée. Le monde naturel me passionne et je ressens le besoin urgent d’efforts de conservation. Au cours des trois derniers étés, j’ai eu des possibilités incroyables en tant qu’étudiante titulaire de BRPC au sein de l’équipe de recherche Spiers à la Laurentienne. J’ai acquis une expérience et des connaissances inestimables tout en profitant de chaque moment. J’ai l’intention de poursuivre une maîtrise en biologie, avec l’ambition de mener un jour mes propres recherches en sciences de l’environnement.

Le projet de recherche auquel je collabore actuellement porte sur le contenu élémentaire des aliments traditionnels qui poussent dans des paysages touchés par les fonderies. Nous cherchons à comprendre si nos aliments ici dans le Grand Sudbury sont différents en raison du passé industriel de la région. Ainsi, nous recueillons des crosses de fougère, des bleuets et diverses espèces de champignons tout au long de l’été pour les assimiler et en analyser les niveaux de métaux et de nutriments. De plus, dans les épiceries et marchés locaux, nous recueillerons et analyserons les mêmes aliments pour comparer ceux cultivés localement et ceux d’origine internationale avec les échantillons sauvages prélevés localement.

Konan Blaise Koko

4e année du programme de biochimie à l’Université Laurentienne

Ville natale : Côte d’Ivoire

En juin, j’ai obtenu mon diplôme de biochimie et travaille maintenant grâce à ma deuxième BRPC. Dans mon temps libre, j’aime faire du ski de fond et de l’aviron adapté. Pour moi, ce sont les meilleurs sports pour me permettre de rester en bonne santé tout en veillant à mes travaux universitaires.

La BRPC a joué un rôle important dans l’élaboration de mes objectifs de carrière et aspirations professionnelles. La première bourse m’a permis de travailler dans un laboratoire de l’École de médecine du Nord de l’Ontario, où j’ai participé à une étude de pointe sur l’expression protéique à l’aide d’un système bactérien hétérologue, une expérience pratique qui m’a permis de mieux comprendre les principes et techniques de la biologie moléculaire tout en améliorant mes compétences analytiques.

Pour ma BRPC actuelle, je travaille dans un laboratoire de génétique avec Thomas Merritt, Ph.D., de l’Université Laurentienne, où j’étudie le monde fascinant de la régulation génétique. J’apporte activement une contribution à des essais explorant la réponse génétique à des toxines environnementales (nickel) dans l’expression génétique chez la mouche à fruit. Cette expérience a non seulement amélioré mes compétences en laboratoire, mais également éveillé ma curiosité quant au potentiel des études de biologie moléculaire en génétique. Je suis reconnaissant que cette bourse m’ait donné la chance de me joindre à un laboratoire avec lequel j’aimerais continuer à travailler tout au long de mes études supérieures.

Mes expériences dans des laboratoires de biologie moléculaire dans le cadre du programme de BRPC ont eu un effet transformateur sur mes objectifs et aspirations de carrière. Elles ont rehaussé ma compréhension de la biologie moléculaire et allumé ma passion pour la médecine. Mon objectif ultime est de fréquenter une école de médecine.

Asma Bilgasem

4e année du programme de sciences interdisciplinaires à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Lo-Ellen Park Secondary School

Je viens d’obtenir un baccalauréat en sciences interdisciplinaires de l’Université Laurentienne et fréquenterai l’Université de Toronto pour faire des études en médecine à l’automne. La santé communautaire me passionne et j’ai dirigé des activités telles que Wear Red Canada Sudbury et Hoops for Men’s Mental Health. Dans mes moments libres, j’aime faire de l’exercice, fréquenter de nouveaux cafés et passer du temps de qualité avec mes amis et ma famille.

Je collabore actuellement à un projet sur les antifongiques sous la supervision de Sujeenthar Tharmalingam, Ph.D., de l’Université de l’EMNO. L’objectif du projet est de développer un point de service rapide adapté aux besoins de chaque patient pour détecter la résistance aux antifongiques afin de gérer les infections. Je suis très reconnaissante d’avoir l’occasion d’apprendre dans un milieu pratique au sein d’une équipe collaborative de chercheurs tout en participant à la recherche scientifique de pointe. À l’avenir, j’espère mettre à profit les compétences et connaissances acquises grâce à la BRPC là où ma carrière professionnelle me dirigera.

Noah Fenlon

4e année du programme d’astrophysique à l’Université McMaster

Ville natale : Toronto, Ontario

École secondaire : Western Technical Commercial School

J’ai toujours été captivé par l’espace et l’immensité de l’univers. Je considère les astronomes comme des explorateurs des temps modernes, et découvrir davantage l’univers est mon rêve et mon principal objectif de carrière. Je suis fier d’être un nerd et j’adore jouer à des jeux de société et de cartes avec des amis. J’aime aussi faire de la randonnée et du vélo et être au plein air.

Cet été, j’ai eu le privilège d’accepter une BRPC de l’Université Laurentienne pour mes recherches. Je travaille au SNOLAB, un laboratoire de recherche sur la matière noire et les neutrinos situé juste à l’extérieur de Sudbury. Afin de bloquer les rayons cosmiques, le laboratoire principal est situé à 6 800 pieds sous terre dans une mine. Je fais partie de l’équipe du détecteur SNO+ et travaille sur l’étalonnage d’une source externe et des supernovas de notre galaxie, un travail que je trouve très intéressant et passionnant. J’en ai déjà beaucoup appris et trouve formidable l’expérience de travailler ici.

Sur la photo ci-dessus, de gauche à droite : MacKenzie Hobbs, Konan Blaise Koko, Asma Bilgasem, Noah Fenlon

L’Université Laurentienne nomme M. James Barltrop au Conseil des gouverneurs.

L’Université Laurentienne nomme M. James Barltrop au Conseil des gouverneurs.

Un nouveau membre apporte une expérience importante dans le secteur financier.

8 juillet 2024 - L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de M. James Barltrop au Conseil des gouverneurs.

« Recruter un dirigeant chevronné est exactement ce que nous entendons faire et nous sommes heureux d’accueillir M. James Barltrop au Conseil, a déclaré le président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, M. Vern Cameron. Riche de plus de 33 ans d’expérience dans le secteur financier, il apporte un éventail rare de compétences qui lui permettra de guider nos décisions en tant que membres du Conseil. »

« C’est un honneur de me joindre au Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, a déclaré M. Barltrop. Cette université a un très bel avenir et j’espère être en mesure d’offrir des conseils en ce sens. La Laurentienne est vraiment unique avec son mandat triculturel et je me réjouis à la perspective d’apporter une contribution de quelque manière que ce soit. »

À propos de M. James Barltrop

Cadre supérieur possédant 33 ans d’expérience dans les marchés financiers et les placements, M. Barltrop se concentre principalement sur l’origine et l’exécution de transactions liées à d’importantes initiatives stratégiques et financières. Il a joué un rôle de premier ordre dans de nombreuses offres initiales publiques complexes, ainsi que dans des financements par actions et des financements liés à des actions pour des clients de la Banque Scotia. Il possède une vaste expérience des relations avec la communauté des investisseurs, notamment des entreprises émettrices, des investisseurs institutionnels et des conseillers en placement.

M. Barltrop est diplômé de la Ivey School of Business et est titulaire d’une maîtrise en administration des affaires de l’Université York.

Entente de principe conclue entre l'Université Laurentienne et le syndicat des employés

Entente de principe conclue entre l'Université Laurentienne et le syndicat des employés

L’entente proposée s’étend sur trois ans

(28 juin, 2024) - Le Syndicat des employés de l’Université Laurentienne (SEUL) et l’Université Laurentienne ont conclu une entente de principe. Les membres du SEUL auront bientôt l’occasion de voter pour la ratification de celle-ci que l’équipe de négociation du SEUL recommande d’approuver à l’unanimité.

« Cette entente de principe est une excellente nouvelle pour nos employés et l’ensemble de la communauté de la Laurentienne. Je tiens à remercier nos partenaires du SEUL de leur travail acharné et de leur coopération, a déclaré la rectrice et vice-chancelière de l’Université Laurentienne, Mme Lynn Wells. Comme l’indique le Plan stratégique 2024-2029, l’Université Laurentienne a défini quatre orientations stratégiques pour guider la prise de décisions. L’une de ces orientations est « Apprécier et soutenir nos gens » et nous sommes fiers d’y donner suite. »

« C’est un signe positif, a déclaré le président du SEUL, M. Tom Fenske. Cela indique en effet que la direction de la Laurentienne s’engage à réinvestir dans son actif le plus précieux : ses employés. ».

Si elle est ratifiée, cette entente de trois ans sera en vigueur jusqu’au 30 juin 2027.

Le SEUL représente quelque 230 membres du personnel à l’Université Laurentienne.

Entente de principe conclue entre l'Université Laurentienne et le syndicat des employés

Entente de principe conclue entre l'Université Laurentienne et le syndicat des employés

L’entente proposée s’étend sur trois ans

(28 juin, 2024) - Le Syndicat des employés de l’Université Laurentienne (SEUL) et l’Université Laurentienne ont conclu une entente de principe. Les membres du SEUL auront bientôt l’occasion de voter pour la ratification de celle-ci que l’équipe de négociation du SEUL recommande d’approuver à l’unanimité.

« Cette entente de principe est une excellente nouvelle pour nos employés et l’ensemble de la communauté de la Laurentienne. Je tiens à remercier nos partenaires du SEUL de leur travail acharné et de leur coopération, a déclaré la rectrice et vice-chancelière de l’Université Laurentienne, Mme Lynn Wells. Comme l’indique le Plan stratégique 2024-2029, l’Université Laurentienne a défini quatre orientations stratégiques pour guider la prise de décisions. L’une de ces orientations est « Apprécier et soutenir nos gens » et nous sommes fiers d’y donner suite. »

« C’est un signe positif, a déclaré le président du SEUL, M. Tom Fenske. Cela indique en effet que la direction de la Laurentienne s’engage à réinvestir dans son actif le plus précieux : ses employés. ».

Si elle est ratifiée, cette entente de trois ans sera en vigueur jusqu’au 30 juin 2027.

Le SEUL représente quelque 230 membres du personnel à l’Université Laurentienne.

Étudier la pression exercée sur les jeunes athlètes professionnels

Étudier la pression exercée sur les jeunes athlètes professionnels

Yufeng Li, doctorant en psychologie du sport

4 juillet 2024 – Étudiant étranger aux cycles supérieurs, Yufeng Li examine l’incidence d’une concurrence intense sur la santé mentale d’une personne. Il s’est intéressé à ces recherches en raison de sa propre expérience en tant que joueur de tennis de table professionnel en Chine. Maintenant qu’il est titulaire d’une maîtrise en sciences de l’activité physique et achève ses études de doctorat en cette matière, Yufeng affirme que la recherche continuera d’être une priorité pour lui tout au long de sa carrière de chercheur-praticien en psychologie du sport.

Originaire de la Chine orientale, Yufeng a obtenu son diplôme de premier cycle en entraînement sportif à l’East China Normal University. En 2019, il est venu à l’Université Laurentienne pour préparer une maîtrise en psychologie du sport sous la direction de Robert Schinke, Ph.D., dont il en a beaucoup appris grâce à la Société internationale de psychologie du sport.

« Quand j’étais jeune joueur professionnel, j’ai vécu les effets psychologiques de la compétition, a expliqué Yufeng. Mon expérience dans le sport a inspiré mon intérêt pour ce domaine de recherche universitaire. Durant mes études de baccalauréat, j’ai entendu parler du travail de M. Schinke à titre de président de la Société internationale de psychologie du sport. Je savais que je voulais travailler avec lui tout en poursuivant mon exploration des effets psychologiques de la compétition. »

Yufeng dit que la transition à Sudbury a été bouleversante au début. « Quand je suis arrivé à la Laurentienne, j’ai vécu un choc culturel et des barrières linguistiques, mais la communauté était très accueillante, a-t-il expliqué. C’est une petite université et les professeurs et collègues font preuve d’ouverture et de soutien. M. Schinke a été un merveilleux conseiller et un mentor dévoué et exceptionnel. »

La thèse de maîtrise de Yufeng était en grande partie une réflexion personnelle sur son développement sportif. Il a exploré pourquoi certains de ses coéquipiers et adversaires ont excellé au niveau olympique, tandis qu’il n’y est pas parvenu lui-même. Il a ainsi examiné les obstacles et défis auxquels il était confronté, y compris l’anxiété liée à la concurrence.

Ses recherches doctorales approfondissent ce point pour cerner la manière dont la pression et l’anxiété liées à la compétition peuvent avoir une incidence négative sur la trajectoire des joueurs de tennis de table professionnels en Chine.

« Au cours de leur carrière, les athlètes franchissent différentes étapes et transitions qui entraînent des défis et obstacles à leur capacité de rendement, a précisé Yufeng. S’ils n’ont pas les ressources et le soutien appropriés pour y faire face, ces facteurs influencent non seulement leur rendement sportif, mais aussi leur développement holistique. »

Les découvertes dans le cade des recherches de Yufeng ont inspiré ses ambitions professionnelles. « Pendant ma carrière professionnelle, personne n’était en mesure de m’apporter le soutien dont j’avais besoin, a-t-il confié. Le tennis de table est le sport national de la Chine et suscite alors de grandes attentes. Il faut mieux comprendre ce que vivent les jeunes athlètes et comment répondre à leurs besoins alors qu’ils font face à une immense pression physique et psychologique. » Grâce à ses recherches et à son travail futur auprès des athlètes de tennis de table, Yufeng souhaite influencer le changement. Il souhaite que les athlètes soient entraînés, encadrés et formés de manière à soutenir chaque partie d’eux, ce qui en fera des athlètes encore meilleurs et plus compétents.

Lorsque Yufeng aura terminé son doctorat l’hiver prochain, il compte travailler comme praticien scientifique en psychologie du sport. Il continuera à mener des recherches tout au long de sa carrière et mettra en pratique ses recherches en apportant un soutien factuel à la santé mentale des athlètes.

Pages