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Katherine Snazel, étudiante de deuxième cycle, est inspirée à étudier les perspectives autochtones

Katherine Snazel, étudiante de deuxième cycle, est inspirée à étudier les perspectives autochtones

« Pour moi, l’université ne consiste pas à apprendre ce que l’on veut faire, mais plutôt qui l’on veut être. »

14 août 2024 – L’étudiante adulte Katherine Snazel approche de la fin de ses études dans le programme de Master of Indigenous Relations, qui a été à la fois une quête de nouvelles connaissances et un parcours de croissance personnelle.

Ayant fait évoluer une carrière d’assistante juridique dans la région de York et manifesté un engagement de toute une vie à être entraîneuse de patinage artistique, Katherine a pris la décision de fréquenter l’université pour la première. Dans le cadre de l’entraînement, elle a eu l’idée de poursuivre ses études postsecondaires à la Laurentienne.

« L’un des patineurs avec qui je travaillais fréquentait la Laurentienne, a-t-elle expliqué, et partageait des histoires incroyables et des expériences d’apprentissage intéressantes. Cela m’a inspiré à examiner cette possibilité pour moi-même. »

À 60 ans, Katherine a commencé ses études en ligne dans le programme de Bachelor of Sociology, qui a éveillé son intérêt pour explorer davantage les cultures autochtones. Après l’obtention de son diplôme de premier cycle avec distinction, elle a décidé de poursuivre son parcours universitaire dans un programme de maîtrise et de mettre l’accent sur les perspectives autochtones. Elle décrit sa décision de faire une maîtrise comme un moment inattendu de confiance.

« Pour moi, l’université ne consiste pas à apprendre ce que l’on veut faire, mais plutôt qui l’on veut être, a-t-elle précisé. Tout au long de ma vie, j’ai continué à croître et à apprendre qui je veux être. Je considère ma maîtrise en relations autochtones comme un reflet de ce parcours. »

Katherine s’est concentrée sur la narration autochtone, examinant 14 récits autochtones de l’Île de la Tortue. Des lectures plus récentes comme Moon of the Crusted Snow de Waubgeshig Rice à The Kiss of the Fur Queen de l’auteur chevronné Thomson Highway, elle s’est plongée dans des bouquins qui ont remis en question sa compréhension occidentale. Elle souhaitait en apprendre davantage sur les perspectives autochtones grâce à la narration et développer sa perspective à « deux yeux » (c.-à-d., appliquer à la fois une perspective autochtone et occidentale pour cerner les problèmes dans l’intérêt de tout le monde). Puisqu’elle n’est pas autochtone, elle s’est rendu compte dans ses cours de premier cycle que ses études antérieures n’avaient pas pris en compte les voix autochtones, tandis que son programme d’études supérieures lui a permis d’en approfondir sa compréhension.

« Mon séjour à la Laurentienne a élargi ma réflexion dans son ensemble, ma pensée critique et ma compréhension de la justice sociale, a-t-elle affirmé. Je ne sais pas encore où ce diplôme pourrait me mener sur le plan professionnel, car, même si j’ai beaucoup d’idées et d’autres intérêts, je me concentre actuellement sur le plaisir d’apprendre. »

Katherine a aimé les cours à faible effectif à la Laurentienne, car ils lui ont permis d’établir des liens avec d’autres étudiants et les professeurs. Elle a « découvert des gens vraiment extraordinaires, jeunes et vieux, dans la communauté Laurentienne » et s’est sentie accueillie par tout le monde. Même si elle a déménagé à Sudbury pour faire ses études, elle est tombée amoureuse de la région et prévoit maintenant s’enraciner et y rester à long terme.

À l’avenir, Katherine se voit travailler à nouveau avec des jeunes, mais pour l’instant, son chemin n’est pas dessiné. Elle soutiendra sa thèse de maîtrise le 23 août 2024 et espère suivre par la suite le programme de doctorat en sciences humaines et interdisciplinarité.

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

7 août 2024 - Cet été, 22 membres de la population étudiante ont la possibilité de soutenir des projets de recherche par l’intermédiaire de l’Université Laurentienne grâce à un financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), et le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH).

Les Bourses de recherche de premier cycle (BRPC) visent à nourrir l’intérêt des étudiants de premier cycle et à développer leur potentiel pour une carrière de recherche. Ce financement leur permet d’acquérir de l’expérience de travail de recherche qui complète leurs études universitaires.

Pour une période de 16 semaines, de mai à août, les étudiants épaulent la recherche à plein temps. Ils peuvent être titulaires d’une seule BRPC par exercice financier et pourraient en détenir jusqu’à trois pendant leur carrière de premier cycle.

Bien que la possibilité de contribuer de manière significative à un projet de recherche soit souvent réservée aux étudiants des cycles supérieurs, les BRPC donnent l’occasion exceptionnelle et convoitée à ceux du premier cycle d’acquérir de l’expérience dans leur domaine d’intérêt. L’année d’études, la spécialisation et les domaines de recherche des étudiants varient, mais ils reconnaissent tous de manière semblable l’incidence positive de cette expérience sur leurs études actuelles et leurs objectifs futurs.

Tout au long de l’été, les étudiants s’exprimeront au sujet d’eux-mêmes, de leurs ambitions et intérêts et un peu sur le projet de recherche auquel ils prêtent leur soutien.

Kate Pappin

4e année du programme de biologie à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : St. Benedict Catholic Secondary School

Les sciences m’emballent et je suis ravie de parler un peu de moi et des recherches auxquelles je participe cet été. Je travaille au Centre pour la vitalité des lacs Vale avec ma superviseure Brie Edwards, Ph.D., chercheuse au ministère de l’Environnement, de la Conservation et des Parcs, qui, dans le cadre de ses fonctions, gère le programme de surveillance à long terme de plusieurs lacs endommagés par l’acide à Sudbury et dans ses alentours.

Pour aider à soutenir ce projet, mon travail consiste à recueillir des échantillons d’eau, à faire des enquêtes en soulevant la vase avec les pieds et passant un filet pour saisir des invertébrés benthiques (comme l’adorable écrevisse sur ma photo), ainsi qu’à effectuer le travail de préparation et de gestion de données qui s’y rattachent. J’ai également eu la chance de me joindre à d’autres équipes du ministère des Richesses naturelles et d’autres universités pour contribuer à un travail similaire. Je me sens très chanceuse d’occuper mon poste et, une fois que j’aurai terminé mes études de premier cycle, j’ai l’intention de faire des recherches d’études supérieures au Centre pour la vitalité des lacs Vale.

Jazmin Fergani

4e année du programme de biochimie à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Lo-Ellen Park Secondary School

Je suis reconnaissante d’avoir l’occasion d’apprendre auprès de mentors extraordinaires et d’acquérir de précieuses compétences de recherche tout en ayant un aperçu des futures possibilités de carrière. Les activités minières occupent une place importante dans l’histoire de Sudbury et, grâce à mon projet de BRPC, supervisé par Nadia Mykytczuk, Ph.D., je peux en apprendre davantage sur l’incidence de l’industrie minière sur ma communauté.

Dans le cadre de ma BRPC, mon projet à MIRARCO soutient le développement et l’optimisation de technologies de biolixiviation, répondant à la demande croissante de minéraux critiques avec des sources alternatives comme les déchets miniers. Contribuer à un projet d’une telle envergure me donne l’occasion de nouer des liens avec des personnes influentes telles que le ministre des Mines de l’Ontario, George Pirie, et le ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles du Canada, Jonathan Wilkinson.

Au cours de l’été, je suis responsable de maintenir des cultures microbiennes provenant de déchets miniers en ajustant les conditions et leur fournissant les nutriments essentiels au processus de lixiviation. En outre, je suis chargée de l’extraction de l’ADN microbien pour analyser les séquences et identifier les espèces bactériennes présentes aux différentes étapes de la réaction.

Quand je ne suis pas aux études, j’aime passer du temps au plein air avec mes amis et ma famille, que ce soit au bord du lac ou à la découverte de mon patelin de Sudbury.

McKinley Broomhead

3e année du programme en sciences de la santé à l’Université Queen’s

Ville natale : Lively, Ontario

École secondaire : Lively District Secondary School

En tant qu’adjoint de recherche au Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) à l’Université Laurentienne, mes travaux portent sur la prévention des maladies liées à la chaleur en milieu de travail grâce à l’utilisation de technologies portables. Sous la direction de Sandra Dorman, Ph.D., je participe aux projets « A Field Application of a Novel Wearable Technology as a Component of a Heat Illness Prevention Plan Amongst Wildland Firefighters » et « An Evaluation of a Novel Wearable Technology for the Prevention of Heat Strain ». Mon travail me donne l’occasion de tirer parti de l’expérience acquise en travaillant avec l’équipe de recherche OASIS et Vince DePaul, Ph.D., de l’Université Queen’s et de mes contributions au projet Markerless Motion Capture.

Dans mes études, je m’intéresse à la santé publique, mes cours préférés étant ceux qui m’aident à comprendre la santé mondiale et des populations et à élaborer des programmes de santé. Dans mes temps libres, j’aime faire des activités physiques comme l’haltérophilie, le hockey et le tennis.

Josée McDavid

4e année du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : École secondaire catholique l’Horizon

Je suis reconnaissante d’avoir l’occasion de travailler cet été sous la direction d’Alexander Moise, Ph.D., à l’EMNO. En peu de temps, j’ai pu développer diverses nouvelles compétences en matière de techniques de biologie moléculaire, allant de la culture cellulaire au clonage de petites molécules d’ADN contenant un gène précis.

Mon projet d’été porte sur le gène codant de l’enzyme rétinol saturase (RetSat). Des niveaux modifiés de RetSat ont été associés à la résistance à l’insuline, à l’auto-immunité et à la dyslipidémie chez des patients et des modèles animaux, bien que la base biochimique soit inconnue. Cette recherche vise à clarifier le rôle de la RetSat et les processus biologiques jouant un rôle dans l’adaptation à l’hypoxie.

Grâce à mon travail en tant que boursière BRPC, j’ai également des possibilités d’avancement professionnel et de réseautage avec des experts en recherche. En juin, j’ai assisté à la Conférence sur la recherche en santé dans le Nord à l’U-EMNO, où je me suis initiée davantage aux études extraordinaires menées ici dans le Nord. De plus, je suis très reconnaissante d’avoir participé à la Conférence internationale sur les rétinoïdes qui a eu lieu à Saint Paul, Minnesota en juillet, où j’ai eu l’occasion d’assister à diverses communications d’experts dans le domaine de la vitamine A.

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

1 aout 2024 - Cet été, 22 membres de la population étudiante ont la possibilité de soutenir des projets de recherche par l’intermédiaire de l’Université Laurentienne grâce à un financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), et le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH).

Les Bourses de recherche de premier cycle (BRPC) visent à nourrir l’intérêt des étudiants de premier cycle et à développer leur potentiel pour une carrière de recherche. Ce financement leur permet d’acquérir de l’expérience de travail de recherche qui complète leurs études universitaires.

Pour une période de 16 semaines, de mai à août, les étudiants épaulent la recherche à plein temps. Ils peuvent être titulaires d’une seule BRPC par exercice financier et pourraient en détenir jusqu’à trois pendant leur carrière de premier cycle.

Bien que la possibilité de contribuer de manière significative à un projet de recherche soit souvent réservée aux étudiants des cycles supérieurs, les BRPC donnent l’occasion exceptionnelle et convoitée à ceux du premier cycle d’acquérir de l’expérience dans leur domaine d’intérêt. L’année d’études, la spécialisation et les domaines de recherche des étudiants varient, mais ils reconnaissent tous de manière semblable l’incidence positive de cette expérience sur leurs études actuelles et leurs objectifs futurs.

Tout au long de l’été, les étudiants s’exprimeront au sujet d’eux-mêmes, de leurs ambitions et intérêts et un peu sur le projet de recherche auquel ils prêtent leur soutien.

Kailey Beggs

3e année du programme de baccalauréat ès sciences en kinésiologie à l’Université Laurentienne

Ville natale : Val Caron, Ontario

École secondaire : Confederation Secondary School

Cet été, grâce à ma BRPC, j’ai l’occasion de travailler au Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST). Je suis ravie d’acquérir une expérience pratique en recherche en travaillant sur de nombreux projets qui en sont tous à des stades différents. J’ai été surprise de constater que j’en apprends davantage sur les statistiques du CRSST que dans mon cours d’introduction aux statistiques (moi qui ne croyais jamais me servir à nouveau des statistiques!). À l’avenir, j’espère utiliser toutes les connaissances et compétences acquises du CRSST et dans mon programme (kinésiologie) pour poursuivre des études supérieures et faire carrière dans le secteur de la santé.

Je participe actuellement à plusieurs projets au CRSST, mais celui qui me passionne le plus est le projet « Air Quality Index (AQI) Interventions » avec Alison Godwin, Ph.D. Pour ce projet, afin d’améliorer la sensibilisation du public à la pollution de l’air et aux risques connexes pour la santé, j’étudie la manière dont les gens interagissent avec les données de l’IQA et les interprètent.

Aux études, ma matière préférée est la physiologie humaine. Il est fascinant de comprendre comment le corps fonctionne en analysant le métabolisme ou examinant les habitudes de mouvement pour prévenir les blessures et améliorer la biomécanique. À part les études, j’aime faire de la course et de l’exercice, promener mon chien Hershey et me perdre dans un bon bouquin. Je passe aussi beaucoup de temps à travailler et à faire du bénévolat.

Dulain Abeyratne

4e année du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Lockerby Composite School

Il s’agit de mon deuxième été à faire de la recherche sous la supervision de Stefan Siemann, Ph.D. Je prête actuellement mon appui à un projet qui porte sur les effets de l’échange de métaux et de l’élimination du zinc d’un groupe d’enzymes contenant des métaux. Plus précisément, nous étudions l’incidence de cet échange sur l’activité enzymatique. Mon poste d’adjoint de recherche me permet non seulement d’acquérir une expérience pratique en laboratoire, mais éveille également mon intérêt pour la recherche. J’espère poursuivre une carrière en médecine et suis convaincu que les compétences que j’ai acquises grâce à cette possibilité de BRPC auront une incidence positive sur l’atteinte de mes objectifs.

Dans mon temps libre, j’aime faire de la course, jouer au basket-ball et passer du temps avec mes amis et ma famille. Je fais également du bénévolat auprès de divers organismes, tels que le YMCA du nord-est de l’Ontario et le Centre de soins continus St. Joseph.

Olivia Norman

4e année du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Ottawa, Ontario

École secondaire : Glebe Collegiate Institute

Originaire d’Ottawa, j’ai été attirée à la Laurentienne en raison de son équipe interuniversitaire de ski nordique, de l’incroyable accès au plein air et des cours à faible effectif. Puisque l’UL est relativement petite, les étudiants de premier cycle profitent d’une plus grande expérience en laboratoire que celle souvent offerte dans les grands établissements. J’ai eu l’occasion d’acquérir des compétences fondamentales que j’ai pu appliquer à la recherche dans un laboratoire professionnel.

Cet été, j’ai reçu une BRPC qui m’a donné l’occasion de travailler au laboratoire de recherche biomédicale de l’EMNO à Sudbury. Sous la codirection d’Alain Simard, Ph.D. et de Suji Tharmalingam, Ph.D., j’examine la génétique qui sous-tend la fonction des récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine (nAChR) dans le corps humain. Les nAChR sont présents dans de nombreux types de cellules du corps, y compris les cellules immunitaires. En m’appuyant sur les recherches antérieures de M. Simard et de son équipe, j’espère en apprendre davantage sur la participation des nAChR à la réponse inflammatoire déclenchée par le système immunitaire.

Camden Babin

3e année du programme de génie logiciel à l’Université de l’Alberta

Ville natale : Hanmer, Ontario

École secondaire : Bishop Alexander Carter C.S.S.

Avant mes études à l’Université de l’Alberta, j’avais un vif intérêt pour tous les domaines des STIM sans savoir où cela me mènerait. Ce n’est que lors de mon cours de programmation générale de première année que j’ai découvert ma passion pour l’informatique en génie. Ayant l’occasion de travailler au CRSST à l’UL cet été, je m’intéresse surtout à l’exposition à l’utilisation d’appareils microélectroniques dans les domaines de la recherche, et de la santé et de la sécurité au travail. Jusqu’à présent, j’ai vu comment de tels appareils, notamment les accéléromètres et les capteurs peu coûteux de l’indice de qualité de l’air, communiquent avec des systèmes informatiques plus importants pour recueillir, entreposer et traiter les données de façon sécuritaire. J’ai hâte d’en apprendre davantage sur le processus de recherche et les pratiques fondées sur la recherche, ainsi que la manière dont ils sont liés à divers processus d’ingénierie.

Cet été, je travaille sur un projet qui facilite la participation de la communauté avec des outils de qualité de l’air local pour aider à la prise de décisions en matière de santé, et je profiterai de toutes les occasions pour contribuer à l’aspect technologique d’autres projets. Je pense que ce qui lie le génie, la recherche et la santé et la sécurité au travail est notre volonté commune de résoudre des problèmes et d’améliorer la qualité de vie des autres. Au CRSST, j’ai hâte de mettre à profit ma passion pour explorer le chevauchement de la technologie et de la santé et de la sécurité au travail, en contribuant à des projets qui améliorent notre communauté grâce à des recherches innovatrices.

L’ancien de l’Université Laurentienne, Lance Cryderman, se prépare aux Jeux paralympiques de Paris 2024

L’ancien de l’Université Laurentienne, Lance Cryderman, se prépare aux Jeux paralympiques de Paris 2024

Le conseiller en accessibilité est un modèle exceptionnel

25 juillet 2024 – Diplômé et employé de l’Université Laurentienne, Lance Cryderman se prépare aux Jeux paralympiques d’été de Paris 2024. Il s’agit pour lui du point culminant d’un cheminement de six ans marqué de détermination et de dévouement alors qu’il gère les exigences rigoureuses de l’entraînement et de la compétition parallèlement à ses responsabilités à la maison et au travail.

Lorsqu’il fréquentait la Lockerby Composite School, Lance a commencé à jouer à la boccia, mais ce n’est qu’après ses études secondaires qu’il y a participé sur le plan professionnel.

Après quelques années, il a pris un congé pour se concentrer sur ses études postsecondaires et fonder une famille. Il a obtenu un baccalauréat en psychologie et une maîtrise en administration des affaires à la Laurentienne, où il est depuis six ans un conseiller en accessibilité. Depuis à peu près le même temps, il est revenu à la boccia, abordant la compétition avec sérieux et s’élevant rapidement au niveau international.

Lorsqu’il est revenu au sport en 2017, il savait qu’il ne serait pas prêt pour les Jeux de Tokyo 2020, et a fixé ses aspirations plutôt sur Paris 2024. Lance s’est effectivement qualifié pour la catégorie BC 1 de boccia masculine individuelle.

« Les Jeux paralympiques constituent l’apogée du sport pour tout joueur de boccia qui fait concurrence sur le plan mondial, a-t-il expliqué. La préparation est intense, mais cela en vaut vraiment la peine et je suis incroyablement fier d’y représenter le Canada. »

Toutes les semaines, Lance passe de 10 à 12 heures à perfectionner ses compétences sur le terrain et à l’extérieur de celui-ci. Son programme d’entraînement rigoureux comprend une préparation mentale avec un psychologue du sport, des séances stratégiques avec son entraîneur, une analyse méticuleuse des séquences de match et au moins huit heures de lancer par semaine.

Équilibrer ces exigences avec ses responsabilités professionnelles et engagements familiaux a été un défi, mais Lance a réussi grâce à son système de soutien inébranlable, qu’il appelle affectueusement son « armée du succès ». Cette troupe comprend ses partenaires d’entraînement et de performance, son entraîneur, ainsi que ses amis, sa famille, ses collègues et sa femme Danielle, dont le soutien et la participation aux décisions sont inestimables.

« Concilier le travail, la famille et la boccia est exigeant, a expliqué Lance, et je suis reconnaissant que tout le monde dans ma vie me soutient énormément. Mes collègues sont heureux de me voir réussir et apporteront leur soutien à mes étudiants pendant cette période cruciale de mon absence. Leur encouragement et leur collaboration constituent un exemple puissant pour les étudiants avec qui nous travaillons. »

Lance espère revenir de Paris 2024 avec la médaille d’or. Après cela, il n’est pas sûr de ce que lui réserve l’avenir et garde l’esprit ouvert aux possibilités. Son objectif principal sera toujours d’inspirer les autres à pourchasser leurs rêves et croit que son propre parcours témoigne du pouvoir de la persévérance et du soutien pour l’atteinte de buts. « Si je suis capable de faire tout cela, affirme-t-il, qu’est-ce qui vous en empêche? »

Alors que Lance se rend à Paris pour représenter le Canada, son récit témoigne d’un véritable tour de force de communauté, d’enthousiasme et de travail acharné.

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

19 juillet 2024 - Cet été, 22 membres de la population étudiante ont la possibilité de soutenir des projets de recherche par l’intermédiaire de l’Université Laurentienne grâce à un financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), et le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH). Les Bourses de recherche de premier cycle (BRPC) visent à nourrir l’intérêt des étudiants de premier cycle et à développer leur potentiel pour une carrière de recherche. Ce financement leur permet d’acquérir de l’expérience de travail de recherche qui complète leurs études universitaires.

Pour une période de 16 semaines, de mai à août, les étudiants épaulent la recherche à plein temps. Ils peuvent être titulaires d’une seule BRPC par exercice financier et pourraient en détenir jusqu’à trois pendant leur carrière de premier cycle.

Bien que la possibilité de contribuer de manière significative à un projet de recherche soit souvent réservée aux étudiants des cycles supérieurs, les BRPC donnent l’occasion exceptionnelle et convoitée à ceux du premier cycle d’acquérir de l’expérience dans leur domaine d’intérêt. L’année d’études, la spécialisation et les domaines de recherche des étudiants varient, mais ils reconnaissent tous de manière semblable l’incidence positive de cette expérience sur leurs études actuelles et leurs objectifs futurs.

Tout au long de l’été, les étudiants s’exprimeront au sujet d’eux-mêmes, de leurs ambitions et intérêts et un peu sur le projet de recherche auquel ils prêtent leur soutien.

Emma Mageau

4e année du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Confederation Secondary School

Cet été, je travaille sous la direction de M. Tharmalingam à l’Université de l’EMNO sur son projet qui examine le cancer du sein résistant aux radiations. Dans le cadre du projet, nous étudions certaines cibles qui pourraient être associées à la résistance aux radiations dans une lignée cellulaire spécifique du cancer du sein. Bien que j’ai toujours eu une passion pour la science, j’ai constaté que je manquais d’expérience en recherche. Cette possibilité est alors une excellente façon d’élargir mes connaissances et mes compétences en laboratoire.

Dans mes moments libres, j’aime jouer au soccer et au tennis et passer du temps avec ma famille et mes amis. J’aide également à organiser le Relais pour la vie à la Laurentienne, ce qui m’enthousiasme énormément. Le domaine de l’oncologie m’a toujours intéressé et, un jour, j’espère poursuivre une carrière en médecine. J’ai hâte de voir où ces recherches et cette année universitaire me dirigeront.

Avery Morin

4e année du programme de neurosciences du comportement à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Marymount Academy

Grâce à la BRPC, je peux nourrir ma passion pour l’écologie et la durabilité en explorant un domaine qui diffère complètement de celui que j’aborde en tant qu’étudiante en neurosciences comportementales. Au Centre pour la vitalité des lacs Vale, je dirige le Comité de durabilité environnementale de la Laurentienne et participe au programme mondial d’étudiants-ambassadeurs pour une Nature Positive. Dans le cadre de cette initiative, les établissements doivent réaliser des évaluations de référence de la biodiversité (celles-ci sont en cours depuis 2023). Cet été, je travaille avec M. John Gunn pour mieux comprendre la biodiversité des milieux humides en installant des enregistreurs d’appels d’oiseaux et de grenouilles dans tout l’espace vert de la Laurentienne. Ce projet contribuera non seulement aux évaluations de la biodiversité Nature Positive, mais soutiendra également un projet multiuniversitaire axé sur la restauration des tourbières des effets de la pollution due aux activités minières.

N’importe qui peut aider à appuyer les évaluations de la biodiversité grâce à la science participative en utilisant l’application iNaturalist où toutes les observations de plantes, d’animaux et d’insectes faites sur notre campus sont automatiquement ajoutées au projet de Réseau sur la biodiversité du campus de la Laurentienne pour contribuer à de véritables ensembles de données scientifiques.

Ellis Albrecht

4e année du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Onaping, Ontario

École secondaire : Chelmsford Valley District Composite School

Cet été, grâce au programme de BRPC, j’ai le plaisir de travailler avec Mme Brie Edwards au Centre pour la vitalité des lacs Vale (CVLV). En tant qu’étudiante-chercheuse, je suis responsable de prélever des échantillons d’eau et d’invertébrés, de préparer le matériel pour le travail sur le terrain et de saisir et analyser des données. La nature coopérative du CVLV me donne aussi l’occasion d’observer d’autres projets en cours et d’y contribuer.

Ayant grandi dans le Grand Sudbury, j’ai toujours profondément apprécié le milieu naturel et je me sens incroyablement chanceuse de travailler maintenant sur ces magnifiques cours d’eau. Ce poste me permet de faire mes passe-temps (nautisme, canotage, randonnée) tout en observant des travaux de restauration, de maintien et de surveillance de nos systèmes d’eau douce et y participant.

Alexandra Bertrim

3e année du programme de sciences de l’activité physique à l’Université de Guelph

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Lo-ellen Park Secondary School

Cet été, je travaille comme assistante de recherche de premier cycle au Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) à l’Université Laurentienne. Dans ce rôle, j’espère acquérir une expérience de recherche approfondie et appliquer mes connaissances à des situations réelles et pratiques pour améliorer la santé et la sécurité au travail. Je participe actuellement à quelques projets, dont un programme de formation sur le réglage de sièges. L’initiative vise à réduire les blessures professionnelles en proposant aux opérateurs d’équipement lourd un programme favorisant de bonnes pratiques ergonomiques.

J’apporte aussi une contribution à l’analyse des données saisies en matière de formation par simulation et en opérations minières. Grâce à cette analyse, le CRSST souhaite évaluer l’efficacité et la satisfaction des travailleurs à l’égard des programmes de formation par simulation. Ces programmes constituent une méthode modernisée de formation permettant aux personnes de mettre en pratique leurs compétences en toute sécurité comme préparation au travail dans le domaine. Jusqu’à présent, mon expérience pratique avec CRSST m’a permis de mieux reconnaître et saisir l’importance de la santé et de la sécurité au travail. J’ai hâte de continuer à travailler dans ce domaine dans l’espoir que mes efforts aideront à créer des milieux de travail plus sains et sûrs.

En tant que membre dévouée de l’équipe de natation universitaire des Gryphons, je vise l’excellence dans la piscine aussi bien que dans mes études, où je m’intéresse fortement aux domaines de la biomécanique, de la physiologie humaine et de l’anatomie.

L’Université Laurentienne reçoit un financement de la province pour améliorer l’enseignement en STIM

L’Université Laurentienne reçoit un financement de la province pour améliorer l’enseignement en STIM

Ces fonds appuieront l’achat de matériel de pointe.

17 juillet 2024 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer un investissement important de 2 170 000 $ dans le cadre du Fonds d’amélioration du matériel de formation de l’Ontario. Ce programme de financement en contrepartie vise à aider les universités à renouveler et à acheter du matériel et des ressources d’apprentissage modernes et de pointe afin d’assurer des expériences pratiques de haute qualité.

Ces fonds appuieront la création d’un carrefour pour la formation pratique des étudiants des programmes en STIM de l’Université Laurentienne. Situé dans le Centre d’analyse Perdue sur le campus de la Laurentienne, ce carrefour intégrera trois éléments clés : 1. un centre d’instrumentation d’analyse et de caractérisation moléculaire; 2. un laboratoire de réalité virtuelle; 3. un laboratoire multimédia pour la communication scientifique.

L’intégration de ces éléments dans un seul espace physique transformera les expériences d’apprentissage par l’expérience, en ligne et de microcertification en STIM. Le carrefour STIM ouvrira de nouvelles possibilités de formation pour préparer les étudiants à un des secteurs clés de l’emploi en croissance en Ontario.

Responsable de ce projet transformateur et directeur de l’École des sciences naturelles, Éric Gauthier souligne l’incidence positive sur les étudiants et la communauté dans son ensemble. « Nous sommes ravis de recevoir cette subvention, a-t-il exprimé. Ces installations fourniront aux étudiants des instruments scientifiques modernes qui faciliteront leur transition vers le marché de l’emploi. Notre nouveau laboratoire de réalité virtuelle présentera des méthodes d’enseignement innovatrices et rehaussera l’apprentissage; les chercheurs et entreprises de la région s’en serviront pour résoudre des problèmes du monde réel. Le laboratoire multimédia aidera les chercheurs à communiquer leurs résultats et à donner des cours, y compris des microcertifications. Ce carrefour favorisera les collaborations parmi les établissements postsecondaires, les instituts scientifiques et les entreprises axées sur la technologie. »

« Il s’agit d’une excellente nouvelle, a indiqué la vice-rectrice principale aux études par intérim, Brenda Brouwer, Ph.D., en partageant son enthousiasme pour le projet, et d’une réalisation rendue possible grâce aux efforts d’un corps professoral créatif partageant une vision commune de ce que pourra être l’enseignement de nouvelle génération en STIM. Nous sommes reconnaissants envers le gouvernement de l’Ontario de faire cet investissement et de concrétiser cette vision. »

Le nouveau carrefour STIM transformera l’apprentissage par l’expérience, en ligne et de microcertification en offrant de nouvelles possibilités de formation et en préparant les étudiants à des carrières dans les secteurs clés de l’emploi en croissance en Ontario. L’Université Laurentienne s’engage de manière suivie à faire progresser l’éducation et à favoriser l’innovation grâce à des initiatives percutantes comme celle-ci.

​​L’Université Laurentienne nomme Jennifer Scott, Ph.D., au poste de doyenne de la Faculté d’éducation et de santé

​​L’Université Laurentienne nomme Jennifer Scott, Ph.D., au poste de doyenne de la Faculté d’éducation et de santé

Mme Scott entrera en fonction le 1er septembre 2024.

16 juillet 2024 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de Jennifer Scott, Ph.D., au poste de doyenne de la Faculté d’éducation et de santé. Mme Scott est décrite comme une dirigeante compatissante et englobante témoignant d’un ferme engagement envers la réussite des étudiants, la qualité de leur expérience d’apprentissage et le soutien de nouvelles initiatives qui favorisent l’excellence en enseignement, apprentissage et recherche.

Diplômée de l’Université Laurentienne, Mme Scott y a obtenu son baccalauréat ès sciences en chimie avant de préparer un doctorat en chimie à l’Université d’Ottawa. En 2008, elle s’est jointe au corps professoral du Collège militaire royal du Canada (CMR) à Kingston à titre de professeure adjointe et a été promue au rang de professeure agrégée en 2015. Elle est actuellement doyenne de la Faculté des sciences et assume la responsabilité administrative des programmes d’études, y compris les agréments. l’assurance qualité et la gestion des ressources, tout en cultivant un milieu dans lequel la population étudiante, le personnel et le corps professoral sont valorisés et soutenus dans leurs activités.

« J’ai très hâte de retourner à l’Université Laurentienne, a dit Mme Scott, car elle occupe une place particulière dans mon cœur. Je suis honorée de pouvoir jouer un rôle à soutenir la croissance et le perfectionnement des étudiants grâce à une formation et des programmes pertinents pour nos communautés locales et régionales. »

Tout au long de sa carrière, Mme Scott fait preuve d’une passion pour l’enseignement et la recherche. En 2017, elle a reçu le « Prix d’excellence en enseignement de la promotion 1965 » soulignant son dévouement à la formation STIM et au mentorat d’étudiants des cycles supérieurs. En qualité d’administratrice universitaire, elle continue de poursuivre de nouvelles initiatives qui font progresser l’incidence de l’éducation sur la société.

Mme Scott parle couramment les deux langues officielles et apprécie et respecte grandement le mandat triculturel de la Laurentienne. Son engagement envers l’inclusion et la mise en œuvre des recommandations de la Commission de vérité et réconciliation est mis en évidence par son rôle au comité directeur du « Indigenous Leadership Opportunity Year Program » au CMR. De plus, elle se concentre sur l’autochtonisation de programmes d’études et la création d’espaces pour des pratiques culturelles inclusives au sein de l’établissement.

Grâce à ses qualités de leader et à sa communication transparente et claire qui se marient à sa vaste expérience en matière d’enseignement supérieur et à sa pensée créative et innovatrice, Mme Scott sera en mesure de diriger la Faculté d’éducation et de santé vers un avenir solide et rayonnant.

L’Université Laurentienne remercie Patrice Milewski, Ph.D., de son importante contribution à titre de doyen par intérim. Jennifer Scott entrera en fonction comme doyenne de la Faculté d’éducation et de santé le 1er septembre 2024.

Alain Simard, Ph.D., nommé doyen des études supérieures et de la stratégie internationale à l’Université Laurentienne

Alain Simard, Ph.D., nommé doyen des études supérieures et de la stratégie internationale à l’Université Laurentienne

M. Simard entrera en fonction le 1er septembre 2024.

15 juillet 2024 — M. Alain Simard, Ph.D., a été nommé doyen des études supérieures et de la stratégie internationale. Diplômé de l’Université Laurentienne, il apporte une riche expérience et un profond engagement envers l’excellence pédagogique et la mobilisation communautaire.

M. Simard a obtenu un baccalauréat ès sciences en biochimie et une maîtrise ès sciences en chimie de l’Université Laurentienne avant de préparer un doctorat en physiologie-endocrinologie à l’Université Laval et d’effectuer des recherches postdoctorales aux États-Unis.

« Je suis heureux de revenir à la Laurentienne à titre de doyen des études supérieures et de la stratégie internationale, a indiqué M. Simard. Je crois que l’Université offre aux étudiants un milieu idéal pour l’apprentissage avancé et j’ai hâte de travailler en collaboration avec le corps professoral, le personnel et la population étudiante pour favoriser un environnement dans lequel chaque membre se sent soutenu et autonomisé de façon à réaliser son potentiel. »

Avant de revenir dans le nord de l’Ontario, de 2011 à 2017, M. Simard a été professeur adjoint et ensuite professeur agrégé à l’Université de Moncton au Nouveau-Brunswick, où il a apporté son concours au Département de chimie et de biochimie et au Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick. En 2017, il a accepté un poste de professeur agrégé dans la Division des sciences médicales de l’Université de l’EMNO où, depuis 2020, il est doyen adjoint aux études supérieures et, le 1er juillet 2024, a été nommé professeur titulaire.

Au fil des ans, M. Simard a participé activement à plusieurs comités et siégé au Conseil ontarien des études supérieures. À l’Université de l’EMNO, il préside le Comité des études supérieures et le Comité du programme de maîtrise en études médicales. Il a également été membre du Comité de recherche de l’Université de l’EMNO, du Conseil des études supérieures de l’Université Laurentienne et du Comité des études supérieures du doctorat en sciences de la vie de l’Université de Moncton.

Grâce à plus de 35 articles publiés depuis 2001 dans des revues à comité de lecture et la supervision d’une trentaine d’étudiants à tous les cycles, M. Simard fait preuve de dévouement envers les activités universitaires et le mentorat des étudiants. Il est également un ardent défenseur de l’établissement de partenariats internationaux solides qui favorisent les possibilités pour les étudiants des cycles supérieurs, les collaborations de recherche et l’enrichissement de l’apprentissage et de la compréhension.

Sa connaissance du contexte des études supérieures en Ontario, son approche axée sur les solutions, son esprit de collaboration et son engagement envers le mandat triculturel de l’Université Laurentienne sont des atouts pour qu’il dirige avec succès ce nouveau dossier.

M. Simard assumera ses nouvelles fonctions de doyen des études supérieures et de la stratégie internationale le 1er septembre 2024.

L’Université Laurentienne et le Syndicat des employés ratifient une convention collective

L’Université Laurentienne et le Syndicat des employés ratifient une convention collective

La convention collective s’étend sur trois ans.

12 juillet 2024 - Le Syndicat des employés de l’Université Laurentienne (SEUL) et le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne ont voté en faveur de la ratification d’une nouvelle convention collective de trois ans, qui sera en vigueur jusqu’au 30 juin 2027.

Les membres du SEUL recevront des augmentations salariales annuelles de 4 % à compter du 1er juillet 2024. Une copie de la nouvelle entente sera diffusée sur laurentienne.ca une fois qu’elle sera finalisée.

« Cette entente marque une étape clé dans le redressement de l’Université Laurentienne et nous permet d’aller de l’avant de façon positive avec l’exécution de notre nouveau Plan stratégique, a déclaré la rectrice et vice-chancelière de l’Université Laurentienne, Mme Lynn Wells. Nous sommes reconnaissants du travail accompli par les deux comités de négociation et maintenant déterminés à offrir une expérience étudiante dynamique cet automne. »

« Avec la ratification d’une nouvelle convention collective, a indiqué le président du SEUL, M. Tom Fenske, nous sommes maintenant en mesure de rediriger toute notre attention vers le soutien aux étudiants en ce qui concerne leurs objectifs universitaires et de recherche. »

Le SEUL représente quelque 230 membres du personnel à l’Université Laurentienne.

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

10 juillet 2024 - Cet été, 22 membres de la population étudiante ont la possibilité de soutenir des projets de recherche par l’intermédiaire de l’Université Laurentienne grâce à un financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), et le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH).

Les Bourses de recherche de premier cycle (BRPC) visent à nourrir l’intérêt des étudiants de premier cycle et à développer leur potentiel pour une carrière de recherche. Ce financement leur permet d’acquérir de l’expérience de travail de recherche qui complète leurs études universitaires.

Pour une période de 16 semaines, de mai à août, les étudiants épaulent la recherche à plein temps. Ils peuvent être titulaires d’une seule BRPC par exercice financier et pourraient en détenir jusqu’à trois pendant leur carrière de premier cycle.

Bien que la possibilité de contribuer de manière significative à un projet de recherche soit souvent réservée aux étudiants des cycles supérieurs, les BRPC donnent l’occasion exceptionnelle et convoitée à ceux du premier cycle d’acquérir de l’expérience dans leur domaine d’intérêt. L’année d’études, la spécialisation et les domaines de recherche des étudiants varient, mais ils reconnaissent tous de manière semblable l’incidence positive de cette expérience sur leurs études actuelles et leurs objectifs futurs.

Tout au long de l’été, les étudiants s’exprimeront au sujet d’eux-mêmes, de leurs ambitions et intérêts et un peu sur le projet de recherche auquel ils prêtent leur soutien.

MacKenzie Hobbs

4e année du programme de biologie avec mineure en chimie environnementale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Espanola, Ontario

École secondaire : École secondaire catholique La Renaissance

J’ai grandi à Massey et passé de nombreux étés à notre chalet sur le lac Whiskey où je suis venue à apprécier et à aimer profondément la nature. L’été, j’adore faire du kayak, du camping et de la randonnée. Le monde naturel me passionne et je ressens le besoin urgent d’efforts de conservation. Au cours des trois derniers étés, j’ai eu des possibilités incroyables en tant qu’étudiante titulaire de BRPC au sein de l’équipe de recherche Spiers à la Laurentienne. J’ai acquis une expérience et des connaissances inestimables tout en profitant de chaque moment. J’ai l’intention de poursuivre une maîtrise en biologie, avec l’ambition de mener un jour mes propres recherches en sciences de l’environnement.

Le projet de recherche auquel je collabore actuellement porte sur le contenu élémentaire des aliments traditionnels qui poussent dans des paysages touchés par les fonderies. Nous cherchons à comprendre si nos aliments ici dans le Grand Sudbury sont différents en raison du passé industriel de la région. Ainsi, nous recueillons des crosses de fougère, des bleuets et diverses espèces de champignons tout au long de l’été pour les assimiler et en analyser les niveaux de métaux et de nutriments. De plus, dans les épiceries et marchés locaux, nous recueillerons et analyserons les mêmes aliments pour comparer ceux cultivés localement et ceux d’origine internationale avec les échantillons sauvages prélevés localement.

Konan Blaise Koko

4e année du programme de biochimie à l’Université Laurentienne

Ville natale : Côte d’Ivoire

En juin, j’ai obtenu mon diplôme de biochimie et travaille maintenant grâce à ma deuxième BRPC. Dans mon temps libre, j’aime faire du ski de fond et de l’aviron adapté. Pour moi, ce sont les meilleurs sports pour me permettre de rester en bonne santé tout en veillant à mes travaux universitaires.

La BRPC a joué un rôle important dans l’élaboration de mes objectifs de carrière et aspirations professionnelles. La première bourse m’a permis de travailler dans un laboratoire de l’École de médecine du Nord de l’Ontario, où j’ai participé à une étude de pointe sur l’expression protéique à l’aide d’un système bactérien hétérologue, une expérience pratique qui m’a permis de mieux comprendre les principes et techniques de la biologie moléculaire tout en améliorant mes compétences analytiques.

Pour ma BRPC actuelle, je travaille dans un laboratoire de génétique avec Thomas Merritt, Ph.D., de l’Université Laurentienne, où j’étudie le monde fascinant de la régulation génétique. J’apporte activement une contribution à des essais explorant la réponse génétique à des toxines environnementales (nickel) dans l’expression génétique chez la mouche à fruit. Cette expérience a non seulement amélioré mes compétences en laboratoire, mais également éveillé ma curiosité quant au potentiel des études de biologie moléculaire en génétique. Je suis reconnaissant que cette bourse m’ait donné la chance de me joindre à un laboratoire avec lequel j’aimerais continuer à travailler tout au long de mes études supérieures.

Mes expériences dans des laboratoires de biologie moléculaire dans le cadre du programme de BRPC ont eu un effet transformateur sur mes objectifs et aspirations de carrière. Elles ont rehaussé ma compréhension de la biologie moléculaire et allumé ma passion pour la médecine. Mon objectif ultime est de fréquenter une école de médecine.

Asma Bilgasem

4e année du programme de sciences interdisciplinaires à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Lo-Ellen Park Secondary School

Je viens d’obtenir un baccalauréat en sciences interdisciplinaires de l’Université Laurentienne et fréquenterai l’Université de Toronto pour faire des études en médecine à l’automne. La santé communautaire me passionne et j’ai dirigé des activités telles que Wear Red Canada Sudbury et Hoops for Men’s Mental Health. Dans mes moments libres, j’aime faire de l’exercice, fréquenter de nouveaux cafés et passer du temps de qualité avec mes amis et ma famille.

Je collabore actuellement à un projet sur les antifongiques sous la supervision de Sujeenthar Tharmalingam, Ph.D., de l’Université de l’EMNO. L’objectif du projet est de développer un point de service rapide adapté aux besoins de chaque patient pour détecter la résistance aux antifongiques afin de gérer les infections. Je suis très reconnaissante d’avoir l’occasion d’apprendre dans un milieu pratique au sein d’une équipe collaborative de chercheurs tout en participant à la recherche scientifique de pointe. À l’avenir, j’espère mettre à profit les compétences et connaissances acquises grâce à la BRPC là où ma carrière professionnelle me dirigera.

Noah Fenlon

4e année du programme d’astrophysique à l’Université McMaster

Ville natale : Toronto, Ontario

École secondaire : Western Technical Commercial School

J’ai toujours été captivé par l’espace et l’immensité de l’univers. Je considère les astronomes comme des explorateurs des temps modernes, et découvrir davantage l’univers est mon rêve et mon principal objectif de carrière. Je suis fier d’être un nerd et j’adore jouer à des jeux de société et de cartes avec des amis. J’aime aussi faire de la randonnée et du vélo et être au plein air.

Cet été, j’ai eu le privilège d’accepter une BRPC de l’Université Laurentienne pour mes recherches. Je travaille au SNOLAB, un laboratoire de recherche sur la matière noire et les neutrinos situé juste à l’extérieur de Sudbury. Afin de bloquer les rayons cosmiques, le laboratoire principal est situé à 6 800 pieds sous terre dans une mine. Je fais partie de l’équipe du détecteur SNO+ et travaille sur l’étalonnage d’une source externe et des supernovas de notre galaxie, un travail que je trouve très intéressant et passionnant. J’en ai déjà beaucoup appris et trouve formidable l’expérience de travailler ici.

Sur la photo ci-dessus, de gauche à droite : MacKenzie Hobbs, Konan Blaise Koko, Asma Bilgasem, Noah Fenlon

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