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L’Université prépare la Journée portes ouvertes du 11 mars 2023

L’Université prépare la Journée portes ouvertes du 11 mars 2023

Des visites personnalisées, un salon de services et des leçons types sont au programme

(1er mars, 2023) - La communauté de l’Université Laurentienne se prépare à recevoir de nombreux futurs étudiants, avec leurs parents et invités, lors de la Journée portes ouvertes du 11 mars, de 10 h à 15 h. 

« Les visiteurs pourront participer à des exposés intéressants et à des leçons captivantes qui donneront un avant-goût de la première année d’études à la Laurentienne, a expliqué la coordonnatrice des activités et des communications du Bureau du recrutement au Canada, Danielle Yasko-Pellerin. Ils auront aussi l’occasion de faire une visite guidée personnalisée du campus. » Les destinations sur le campus incluront, entre autres, des espaces d’apprentissage et des salles de classe, des laboratoires, des bibliothèques, des résidences et des services d’alimentation.

« Toute la communauté universitaire – diplômés, étudiants-ambassadeurs, personnel et corps professoral – fait front commun pour planifier et présenter cette activité qui accueillera des étudiants éventuels et des invités de loin et de près, a ajouté le gestionnaire du recrutement au Canada, Pieter Breijer. Nous sommes ravis de pouvoir mettre en valeur la nature exceptionnelle des facultés, des services et de la vie étudiante à la Laurentienne. »

Les personnes voulant visiter l’École d’architecture McEwen de la Laurentienne pourront utiliser le service de navette pour s’y rendre à partir du campus principal, accompagnées d’un étudiant-ambassadeur qui les accueillera chaleureusement.

Celles qui assisteront à des leçons types par des membres extraordinaires du corps professoral auront une idée de ce que c’est que d’étudier à la Laurentienne. Parmi les leçons proposées, il faut souligner « Qu’est-ce que le stress et comment le gérer », « Analyse sociologique du phénomène de tatouage », « Ecohealth Promotion » et « Genetics and Genetic Diversity ».

En outre, pour les amateurs des étoiles et du ciel nocturne, il y aura des démonstrations dans le 
Planétarium Doran, dôme de dix mètres projetant une simulation du ciel resplendissant de centaines d’étoiles scintillantes.

Un salon des services et des facultés fera en sorte qu’aucune question n’est laissée sans réponse en ce qui concerne les nombreux programmes et services de la Laurentienne.

L’Université Laurentienne offre régulièrement des séances d’information et des visites guidées faisant valoir son campus.

Il est possible de s’inscrire en ligne à la Journée portes ouvertes.

 

Post-scriptum : 

Quelques points saillants :

  • un nombre record de 253 étudiants éventuels et quelque 800 invités ont participé aux activités;
  • 117 étudiants et anciens ont été ambassadeurs aux activités;
  • une vingtaine de clubs étudiants ont participé aux activités.
     

Une diplômée de la Laurentienne se penche sur vingt-trois ans d’enseignement en français.

Une diplômée de la Laurentienne se penche sur vingt-trois ans d’enseignement en français.

Jennifer LaBrosse inspire la prochaine génération d’élèves de sa classe de maternelle/jardin d’enfants

(28 février, 2023) - Un bon départ à l’école aide les enfants à apprendre, à développer la résolution de problèmes et la pensée créative, et soutient la croissance sociale et émotionnelle. Les avantages associés aux expériences engageantes au cours des premières années scolaires sont vastes, et les parents et les tuteurs gagnent en tranquillité d’esprit lorsqu’ils ont confiance dans les compétences et l’empathie de l’éducatrice de leur enfant.

Jennifer LaBrosse (née Johnson), diplômée de la Laurentienne (Géographie, 1998, et Éducation, 1999), éduque les jeunes esprits depuis vingt-trois ans. Elle est précisément le genre d’enseignante que les parents et les tuteurs aiment en raison de son enthousiasme, de son dévouement envers ses élèves et de sa bienveillance.

« J’adore être enseignante. Les enfants sont incroyables et uniques en ce qui concerne leurs besoins. Pouvoir faire une différence positive dans les premières années de mes élèves est ce qui me motive. »

Mme LaBrosse a grandi dans la petite communauté de Warren, en Ontario, située à une quarantaine de kilomètres à l’est de la Ville du Grand Sudbury. Elle est diplômée de l’École secondaire catholique Franco-Cité (1994) de Sturgeon Falls. « Mes enseignants d’anglais et de géographie au secondaire m’ont beaucoup soutenu, dit-elle. C’est grâce à eux que j’ai voulu enseigner. Ma mère était enseignante et je me souviens d’avoir aimé de pouvoir l’aider quand j’étais enfant. J’étais toujours enthousiaste à l’idée de visiter sa classe et j’avais l’impression que l’enseignement serait une carrière que je voudrais poursuivre. »

Quelques mois après avoir obtenu son diplôme d’enseignante, Mme LaBrosse a été embauchée pour enseigner une classe mixte de la 1re à la 3e année à l’École publique Franco-Manitou, à Manitouwadge, en Ontario. « Je dois admettre que j’étais un peu nerveuse de déménager si loin de chez moi dans une communauté qui ne m’était pas familière. Mais dès que je suis arrivée, je me suis attaqué à la tâche et j’ai eu une très bonne expérience. Je n’avais que neuf élèves dans ma classe. Nous étions une très petite école, mais cela m’était familier, ayant grandi dans une petite communauté. »

Au printemps 2000, lorsque des postes d’enseignement plus près de chez elle sont devenus disponibles, Mme LaBrosse a soumis une demande à l’École publique Camille-Perron, à Markstay, en Ontario. « Au cours de ma première année, j’ai enseigné de la 4e à la 6e année, précisément le groupe d’âge qui m’avait toujours intéressée. Cependant, après deux ans d’enseignement à ces niveaux, on m’a demandé si je voulais enseigner à la classe de maternelle/jardin d’enfants. C’est la directrice de l’école qui m’a convaincu de faire ce changement. Elle m’a dit : Je pense que tu serais géniale. Je vois comment tu es et je pense que tu serais super avec les jeunes enfants. Au départ, je n’en étais pas si sûre, mais j’ai accepté le poste en septembre 2002 et depuis, je n’ai pas regardé en arrière. »

Il est évident que Mme LaBrosse est passionnée par l’enseignement et le fait de soutenir l’avenir brillant de ses élèves. « On n’a jamais le temps de s’ennuyer. Chaque jour est différent et vous ne savez jamais ce qui se passera. Les enfants sont attentionnés et il est facile de les aimer. Ils sont si curieux et imaginatifs, et c’est formidable de faire partie de ce processus. »

Mme LaBrosse intègre nombre de réflexions hors des sentiers battus dans ses méthodes d’enseignement. « J’aime partager ce que j’aime avec mes élèves, et cela inclut la musique et les voyages. Je pense que faire entrer dans la classe ce qui me passionne rend les choses plus intéressantes. En tant qu’enseignant de maternelle/jardin d’enfants, vous voulez essayer de trouver des façons amusantes d’apprendre les choses, comme apprendre des syllabes au moyen de la musique à l’aide d’instruments. » Dans ses temps libres, Mme LaBrosse joue de la guitare. Elle enseigne souvent la musique pour faire participer nombre de ses élèves. « J’essaie de faire preuve d’imagination autant que possible dans mon enseignement. »

Mme LaBrosse favorise également l’inclusivité dans sa classe. « J’enseigne dans une école de langue française, mais cela ne veut pas dire que chaque élève qui entre dans ma classe parle le français avant de commencer l’école, explique-t-elle. J’accueille tous les élèves dans ma classe, et je dois dire que, au fil des jours et des semaines, c’est incroyable de voir à quelle vitesse ils apprennent et acquièrent la langue française. Mes élèves sont comme de petites éponges. Ils s’imprègnent de tout ce qui les entoure et être témoin de leurs progrès est vraiment gratifiant. »

Lorsque les parents et les tuteurs rencontrent Mme LaBrosse pour la première fois, ils sont souvent agréablement surpris de voir des dizaines de photos de ses anciens élèves fièrement accrochées aux murs de sa classe. « Toutes les photos de fin d’études de mes élèves sont dans ma classe. C’est un peu comme une mosaïque. Lorsque les parents entrent, ils aiment bien voir cela. Il importe de rendre nos espaces d’enseignement accueillants. En tant qu’enseignants, nous avons tendance à être très fiers de nos élèves. »

Il y a un fort sentiment de communauté entre Mme LaBrosse et ses collègues. En plus d’enseigner, elle est présidente du comité des activités sociales de son école, ce qui signifie qu’elle assume la responsabilité d’entretenir des relations positives entre ses pairs. « Nous nous entendons tous très bien et beaucoup d’entre nous travaillent ensemble depuis des années. En fait, j’ai grandi avec certains de mes collègues, ce qui, je pense, est assez incroyable. »

Mme LaBrosse encourage les personnes qui envisagent une carrière dans l’enseignement à poursuivre leurs rêves. « Acquérez autant d’expérience que possible tout en poursuivant votre formation pédagogique, a-t-elle déclaré. Soyez ouvert d’esprit et aux possibilités. J’adore mon travail et je suis enthousiasmée par ce que me réserve mon avenir dans l’enseignement. »
 

Pleins feux sur les clubs étudiants : les étudiants de la Laurentienne bâtissent leur communauté par la foi.

Pleins feux sur les clubs étudiants : les étudiants de la Laurentienne bâtissent leur communauté par la foi.

Laurentian Christian Fellowship (LCF) offre un environnement convivial et inclusif pour les membres actuels et nouveaux.

(24 février 2023) - Communauté, foi et amitié.

Ces mots viennent à l’esprit lorsque les membres décrivent Laurentian Christian Fellowship, une communauté étudiante dirigée par des personnes partageant les mêmes idées et voulant découvrir le christianisme et en apprendre davantage.

« Laurentian Christian Fellowship est un très bon endroit pour rencontrer de nouveaux amis, déclare la présidente actuelle de ce groupe, Grace Raddon. Les gens seront surpris de réaliser ce qu’ils peuvent trouver dans une communauté comme la nôtre. Notre foi est une foi de communauté et c’est ce qui nous rend si vulnérables les uns envers les autres. » Les liens établis au sein de Laurentian’s Christian Fellowship vont au-delà des événements hebdomadaires planifiés, car les membres participent fréquemment à des séances d’étude spontanées, à des repas-partage, à des excursions en camping, en plus de soirées de patinage et de quilles.

Grace est une étudiante francophone de Blind River, en Ontario (École secondaire catholique Jeunesse-Nord, 2020), en troisième année des programmes de Biologie et de Psychologie. Elle est accompagnée de la vice-présidente, Kanah Sanfilippo, étudiante de Kitchener-Waterloo, Ontario (Rift Valley Academy, 2019), en troisième année du programme Indigenous Social Work. Ensemble, ils forment la direction de LCF et invitent de nouveaux membres à se joindre à leurs événements.

Le groupe se réunit chaque semaine le vendredi, à 19 h, dans la salle 206 de l’édifice des salles de classe pour une variété d’événements de renforcement communautaire. Ces événements comprennent des soirées de prière, des conférenciers, des soirées de culte et des discussions de groupe. Laurentian Christian Fellowship accueille également quatre petits groupes de disciples qui se réunissent tout au long de la semaine pour favoriser des relations profondes et significatives.

InterVarsity, une organisation chrétienne nationale à but non lucratif, est l’association mère de LCF. Un membre du personnel d’InterVarsity assiste les leaders étudiants du Laurentian Christian Fellowship. Ce sont toutefois les étudiants qui en assurent le succès continu.

Grace et Kanah encouragent toutes les personnes intéressées à joindre une communauté comme la leur ou à assister à un événement du vendredi. « Que vous soyez un chrétien actif ou que vous ayez simplement besoin d’un visage amical, nous sommes heureux de vous accueillir à bras ouverts, a indiqué Kanah. Nous aimerions, ajoute Grace, que les gens s’amusent en apprenant ce que signifie suivre Jésus avec nous. »

Pour en savoir plus sur Laurentian Christian Fellowship, veuillez envoyer un message à lcfchanel@gmail.com ou visitez leur Instagram ou leur page Facebook.

La Laurentienne lance une maîtrise en administration de la santé (MAS) en ligne.

La Laurentienne lance une maîtrise en administration de la santé (MAS) en ligne.

Le programme accepte maintenant les candidatures pour l’automne 2023.

(23 février 2023) - Dans le cadre d’un partenariat entre les programmes de cycles supérieurs en sciences infirmières et de maîtrise en administration des affaires, l’Université Laurentienne a officiellement lancé la Maîtrise en administration de la santé (MAS). Ce programme de cycles supérieurs unique et complet accepte désormais les candidatures des personnes souhaitant commencer leurs études en septembre 2023.

« Le programme a été conçu pour répondre aux besoins non seulement des infirmières, mais de tous les autres prestataires de soins de santé qui sont passés à des rôles de leader, a déclaré la professeure à l’École des sciences infirmières, Mme Robert Heale. Le contenu englobe toutes les connaissances essentielles pour les administrateurs de la santé en plus d’être fortement axé sur les régions rurales, nordiques et autochtones. »

Le programme sera offert exclusivement en ligne et peut être complété dans le cadre d’études à plein temps ou à temps partiel. Les personnes ayant un baccalauréat ou un diplôme d’études supérieures d’une université reconnue et titulaires d’un permis dans une profession de la santé réglementée peuvent soumettre une demande.

Les personnes suivront une combinaison de cours axés sur la gestion et la santé, notamment : comportement organisationnel, structures de responsabilité dans les soins de santé, planification de programmes et stratégies d’évaluation dans les milieux de soins de santé. Il faudra également suivre une formation sur les compétences culturelles autochtones.

Ce nouveau programme favorisera la croissance et le perfectionnement des professionnels de la santé dans le nord de l’Ontario et partout au pays.

Pour en savoir plus sur la maîtrise en administration de la santé (MAS), consultez https://laurentienne.ca/program/health-administration-mha/

Nouvelles bourses de Perkins&Will sont décernées pour appuyer les architectes autochtones au Canada

Nouvelles bourses de Perkins&Will sont décernées pour appuyer les architectes autochtones au Canada

Ces bourses annuelles sont maintenant offertes aux étudiants autochtones en partenariat avec l’Université Laurentienne et Indspire

(22 février 2023) - Perkins&Will se fait un plaisir d’annoncer les lauréates de ses bourses d’excellence en architecture et aux études supérieures pour les étudiants autochtones inscrits aux programmes de baccalauréat et de maîtrise de l’École d’architecture McEwen (EAM) à l’Université Laurentienne (UL). Le cabinet a créé ces deux nouvelles bourses annuelles dans le cadre de son engagement envers la réconciliation au Canada. Chacune des bourses, dont la contrepartie est offerte dans les années d’admissibilité par l’œuvre de bienfaisance autochtone nationale primée, Indspire, accorde aux lauréats jusqu’à 5 000 $ ainsi qu’un stage dans l’atelier des donateurs de Perkins&Will à Vancouver ou à Calgary. 

« N’ayant qu’une trentaine de professionnels inscrits au Canada, les Autochtones sont sous-représentés en architecture, a expliqué la directrice générale et administratrice principale des ateliers de Perkins&Will à Vancouver et à Calgary, Susan Gushe. Nous avons créé ces bourses pour appuyer des étudiants talentueux jusqu’à l’obtention du diplôme et renforcer la capacité dans le domaine. »

Les bourses ont été créées en réponse au Rapport d’appels à l’action de la Commission de vérité et de réconciliation du Canada. Témoignant encore son engagement, le cabinet a formé un groupe interne de travail sur la réconciliation qui s’allie à des experts-conseils autochtones pour discuter avec les employés et les sensibiliser en matière de connaissances de l’histoire et des cultures autochtones. Il persévère afin que les Autochtones aient une place à la table et participent à ses projets de manière significative.

« L’École d’architecture McEwen s’enorgueillit de son mandat triculturel et a intégré l’apprentissage autochtone à de nombreux cours du programme, notamment des cours de conception et de théorie auxquels les collectivités, porteurs du savoir et aînés autochtones apportent des contributions régulières, a ajouté la directrice et professeure agrégée de l’EAM à l’UL, Tammy Gaber, Ph.D. L’École est fière des étudiants et diplômés qui ont choisi d’apprendre, de mettre en application et de participer respectueusement afin de soutenir l’évolution de connaissances et conceptions avec et pour les Autochtones. »

Seule université au Canada ayant un mandat triculturel, la Laurentienne offre une approche globale de l’éducation autochtone. En architecture, les perspectives et connaissances autochtones se font valoir dans les cours et les milieux communautaires du programme tandis que l’atelier de conception propose les thèmes d’architecture et d’artisanat, de conception autochtone et de construction communautaire, l’accent étant mis sur le développement d’expertise en bois et matériaux durables.

« Nous sommes heureux de collaborer avec Perkins&Will et l’Université Laurentienne à cette importante initiative, a exprimé le PDG d’Indspire, Mike DeGagné. Non seulement ces bourses représentent-elles une importante nouvelle possibilité pour les étudiants métis, inuits et des Premières Nations visant des carrières en architecture, mais elles reflètent aussi de manière tangible la réconciliation en action. Nous avons hâte de suivre cette voie fructueuse avec Perkins&Will et l’Université Laurentienne. »

Perkins&Will, Indspire et l’Université Laurentienne félicitent ces lauréates de bourses : 

Bourse d’études supérieures pour Autochtones en architecture de Perkins&Will Canada

  • Lauréate de l’année universitaire 2022-2023 : Kyara Wendling, étudiante de la M.A. en architecture
  • Lauréate de l’année universitaire 2021-2022 : Bohdana Chiupka Innes, diplômée de la M.A. en architecture

(Cette bourse est remise à une personne autochtone inscrite à la maîtrise en architecture de l’École d’architecture McEwen à l’Université Laurentienne en fonction du rendement aux études et du projet de recherche de thèse.)

Bourse d’excellence en architecture pour Autochtones de Perkins&Will Canada

  • Lauréate des années universitaires 2021-2022 et 2022-2023 : Mackenzie Pitawanakwat, étudiante du B.A. en architecture

(Cette bourse est remise à une personne autochtone inscrite à la 3e ou 4e année du programme de baccalauréat en études architecturales de l’École d’architecture McEwen à l’Université Laurentienne en fonction du rendement aux études et de l’excellence de conception.) 

Pour obtenir d’autres renseignements sur les bourses ou présenter une demande, consultez https://indspirefunding.ca/laurentian-university/. Les dates limites pour demander les bourses sont le 1er février, le 1er août et le 1er novembre.


D’autres renseignements sur les lauréates 

Née et élevée à Port Colborne et membre de la communauté d’Archigantegou, Kyara Wending est inscrite à la deuxième année de la maîtrise en architecture et prépare sa thèse en français dans l’EAM à l’Université Laurentienne. Elle s’estime chanceuse d’en avoir beaucoup appris sur l’histoire et la pertinence des bâtiments en voyageant. « Les édifices sont des artéfacts qui nous racontent l’incidence durable des cultures du passé sur le monde actuel, a-t-elle expliqué. Je suis une artiste qui a toujours voulu laisser sa trace et je crois que l’architecture sera mon débouché. » Après les études, elle espère devenir architecte autorisée et exercer sa profession au Canada. Elle attend avec intérêt d’intégrer des méthodologies, connaissances traditionnelles et cultures autochtones dans le contexte de l’architecture. « Je veux continuer à mobiliser diverses collectivités autochtones et les autonomiser au moyen de l’environnement bâti tout en apprenant des gens qui m’entourent et trouvant ma propre identité dans le cadre de mon travail. »

Originaire de la Première Nation Moose Cree, Bohdana Chiupka-Innes cultive un intérêt pour l’aménagement intérieur depuis son enfance, l’apportant à s’inscrire à l’EAM de l’UL, où elle a obtenu un B.Arch. en 2020 et une M.Arch. en 2022. « J’ai appris l’architecture autochtone à la Laurentienne et la façon dont les formes bâties peuvent exprimer notre culture, a-t-elle décrit, et je me passionne à continuer ces apprentissages. J’espère collaborer avec des collectivités autochtones partout sur l’Île de la tortue et donner vie à leur vision et leur culture dans le cadre de l’architecture. Il est important d’apprendre l’histoire de nos peuples et je crois que l’architecture donne aux Autochtones un moyen de guérir en tissant des liens entre la conception architecturale, l’enseignement et les traditions. » 

Anishinaabekwe de la Première Nation d’Atikameksheng Anishnawbek, Mackenzie Pitawanakwat est une étudiante en quatrième année du baccalauréat en études architecturales dans l’EAM à l’ULe. Même à un très jeune âge, elle trouvait passionnantes la conception et la création. L’inclusion à l’esprit, elle dit qu’elle a profité du programme d’études de l’EAM, car il appuie l’intégration de matériaux autochtones et naturels dans la conception et la construction. Elle a également tiré profit de l’encadrement d’aînés et de porteurs de connaissances (Premières Nations et Métis) ainsi que d’entretiens avec eux. « Une fois architecte, j’espère influer sur le monde en travaillant diligemment pour combler l’écart entre les éléments holistiques et techniques de l’architecture. Je veux apporter une contribution à l’architecture et à la représentation des Premières Nations, et ainsi, à ma communauté, et utiliser le design pour autochtoniser des terrains. »

 

Au sujet de Perkins&Will
Fondé en 1935 selon le principe que la conception a le pouvoir de transformer les vies, Perkins&Will est un cabinet d’architecture et de design fondé sur les recherches. Orienté par ses valeurs fondamentales (excellence en conception, diversité et inclusion, conception vivante, recherche, résilience, vocation sociale, durabilité et bien-être), le cabinet s’engage à concevoir un monde meilleur et plus magnifique. En 2022, Metropolis l’a nommé le « Cabinet de l’année » pour souligner son leadership dans le secteur pour avancer l’action climatique et la justice sociale. À trois reprises, Fast Company a nommé Perkins&Will l’une des entreprises d’architecture les plus innovatrices dans le monde et, en 2021, il l’a ajouté à sa liste de marques qui comptent (« Brands That Matter ») – c’est le seul cabinet d’architecture dans le monde à obtenir cette distinction. Grâce à une équipe internationale de 2 000 professionnels dans une vingtaine d’ateliers partout dans le monde, il offre des services intégrés en architecture, aménagement intérieur, milieux de marque, conception urbaine et architecture paysagère. Le cabinet figure systématiquement parmi les meilleurs du monde dans les classements du secteur. Parmi ses partenaires sont les architectes danois, Schmidt Hammer Lassen, l’expert-conseil en stratégie de détail et design, Portland, l’expert-conseil en planification de transport durable, Nelson\Nygaard, et le cabinet de conception d’hôtellerie de luxe, Pierre-Yves Rochon (PYR).

À propos d’Indspire
Oeuvre de bienfaisance autochtone nationale, Indspire fait des investissements dans la formation des personnes inuites, métisses et des Premières Nations afin d’accorder des avantages à long terme à eux aussi bien qu’à leur famille, à leur communauté et au Canada. Grâce au soutien de partenaires subventionnaires, Indspire décerne des bourses, offre des programmes et partage des ressources afin que les étudiants inuits, métis et de Premières Nations puissent réaliser leur potentiel maximal. En 2021-2022, Indspire a remis des bourses d’aide et d’études totalisant quelque 23 000 000 $ à des étudiants inuits, métis et des Premières Nations partout au Canada.

L’Université Laurentienne approuve des mises à niveau en matière d’entretien de 8 400 000 $ pour le prochain exercice financier.

L’Université Laurentienne approuve des mises à niveau en matière d’entretien de 8 400 000 $ pour le prochain exercice financier.

Approbation par le Conseil du Plan quinquennal d’entretien différé.

(21 février 2023) - Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé des dépenses de 8 400 000 $ en entretien différé pour 2023-2024. Le plan quinquennal (se terminant en 2028) prévoit des dépenses annuelles supplémentaires de 7 600 000 $ pour les projets d’entretien différé.

« Ces investissements dans l’infrastructure du campus sont essentiels, a déclaré le président du Conseil des gouverneurs, M. Jeff Bangs. L’objectif est d’entretenir les installations au cours des cinq prochaines années avant que des réparations d’urgence coûteuses ne soient nécessaires. La liste des projets comprend divers projets de toiture, des rénovations de résidences et diverses améliorations de l’accessibilité. »

L’entretien approuvé sera financé conjointement par le Programme de renouvellement des installations du ministère des Collèges et Universités (estimé à 2 600 000 $) et le fonds de fonctionnement de l’Université (5 800 000 $).

Les dépenses soutiendront le renouvellement de diverses installations du campus, notamment :

  • toiture du bâtiment Alphonse-Raymond;
  • toiture du bâtiment des arts;
  • toiture des Sciences II;
  • piscine Jeno-Tihanyi*;
  • rénovations des résidences;
  • mises à niveau électriques;
  • améliorations de la ventilation;
  • modernisation des ascenseurs;
  • toilettes du campus;
  • réparations d’escaliers extérieurs.

* Le montant total requis pour financer les projets d’entretien différé de la piscine n’est pas encore déterminé, bien que l’Université envisage de dépenser jusqu’à 300 000 $ pour résoudre les problèmes immédiats.

La soumission des projets d’entretien différé 2023-2024 de la Laurentienne et de son plan quinquennal d’entretien différé répond à la recommandation de la vérificatrice générale de fournir des informations sur le rapport annuel d’entretien du cycle de vie des immobilisations de l’Université.

Ces investissements dans l’avenir de l’Université sont essentiels au renouvellement et à la viabilité à long terme de l’infrastructure du campus.
 

Un professeur d’économie est invité en tant que conférencier principal lors d’un événement des Nations unies sur les politiques de développement.

Un professeur d’économie est invité en tant que conférencier principal lors d’un événement des Nations unies sur les politiques de développement.

Le professeur Louis-Philippe Rochon discutera de l’inflation et de l’augmentation des taux d’intérêt.

(16 février 2023) - On peut affirmer sans crainte que les effets de la vie chère, qu’il s’agisse de la hausse du prix de l’essence ou des produits alimentaires, se font sentir chez la plupart des consommateurs et que, lorsque le taux d’inflation est élevé, nous en subissons tous les conséquences.

On peut aussi affirmer sans crainte que Louis-Philippe Rochon, professeur titulaire d’économie à l’Université Laurentienne, en sait long sur les défis que l’inflation fait peser sur l’économie et les consommateurs. Invité dernièrement par le directeur du Comité des politiques et de la mise en œuvre des Nations unies, il abordera le 22 février, en tant que conférencier principal lors d’un événement des Nations unies sur les politiques de développement, à New York, le thème « Inflation et développement : Quelques réflexions critiques sur les défis actuels de l’inflation ». 

« C’est un honneur d’avoir reçu cette invitation, indique M. Rochon, et je suis très enthousiaste à l’idée de me rendre à New York où je parlerai de l’inflation, en particulier de l’approche des banques centrales à l’égard de l’inflation, c’est-à-dire de leur réaction à l’inflation qui consiste à augmenter les taux d’intérêt. Il ne fait aucun doute que cette approche a des conséquences. »  

Expert dans son domaine, M. Rochon est membre du corps professoral de l’Université Laurentienne depuis plus de dix-neuf ans, réviseur de près de quarante livres, rédacteur en chef de la revue Review of Political Economy et éditeur fondateur de la Review of Keynesian Economics. Il est également directeur du Monetary Policy Institute, un institut virtuel international qui s’attache, par ses travaux (publications, webinaires, ateliers et conférences), à mettre en lumière la politique des banques centrales et leur politique monétaire, travaux qui tiennent compte, entre autres facteurs influents, des préjugés sociaux, dont les préjugés en matière de genre et de race, ainsi que des partis pris relatifs au carbone et qui sous-tendent la politique monétaire.

« Les taux d’intérêt, lorsqu’on les modifie, intègrent un parti pris en matière de classe, de genre et de carbone, explique M. Rochon. Et nous devons nous demander dans quelles conditions il est opportun de relever les taux d’intérêt. Je soutiens que la lutte contre l’inflation se fait sur le dos des travailleurs et que ce sont les travailleurs qui en paient le prix. »

Démystifiant le concept d’inflation, M. Rochon abordera également les politiques monétaires, en particulier la question de savoir comment elles influent sur la répartition des revenus des travailleurs. « La politique monétaire, d’après ce que l’on prétend, fonctionne comme suit : les hausses des taux d’intérêt ralentissent l’activité économique et, ce faisant, devraient décourager les consommateurs d’acheter et faire baisser les prix. Selon ce modèle, l’inflation résulte d’une demande excessive de biens et de services. Il faut donc ralentir cette demande, mais le problème est que l’inflation telle qu’elle existe aujourd’hui n’est pas induite par cette demande. De ce fait, elle entraîne le chômage et, éventuellement, une récession. En cela, elle fait peser la lutte contre l’inflation sur le dos des travailleurs. L’austérité budgétaire est une attaque contre la classe moyenne. »

M. Rochon émet l’hypothèse que d’autres forces motrices de l’inflation doivent être examinées, laissant entrevoir des facteurs comme les goulets d’étranglement (les marchandises ne pouvant être acheminées à destination, une réalité plus marquée en raison de la COVID-19), la guerre en Ukraine (qui a eu des répercussions sur les prix des marchandises comme le pétrole, le blé et la farine) et les motivations croissantes des entreprises à augmenter leurs bénéfices. Il ne fait aucun doute que l’inflation est un sujet d’actualité complexe et brûlant.

« Tout aussi passionnant est le fait que je suis invité, en avril, à intervenir à la conférence des Nations unies sur le financement du développement, à laquelle participeront des chefs d’État et des lauréats du prix Nobel. Il s’agit là d’un grand honneur, indique M. Rochon. Je m’estime très chanceux et je suis très reconnaissant d’avoir reçu ces invitations. »

Tout en souhaitant que ses communications soient bien accueillies, M. Rochon espère également que, en participant à ces événements des Nations Unies, il pourra constituer un groupe de recherche sur l’inflation-conflit qui, selon lui, « serait bénéfique à toutes les parties concernées ». En cela, il ne sera pas à sa première collaboration. Il a en effet travaillé avec des universitaires du monde entier, notamment dans des pays comme la France, l’Italie, le Mexique, le Brésil, la Pologne et l’Australie, en tant que professeur invité. Il a également donné des conférences dans les pays suivants : Kyrgyzstan, Suisse, Hongrie, Argentine, Chili, Équateur, Chine, Afrique du Sud, Colombie, Danemark, Pérou, Espagne, États-Unis et Angleterre.

Au nombre des marques de distinction qu’a reçues M. Rochon figurent des subventions du Conseil de recherches en sciences humaines, de la Fondation Mott et de la Fondation Ford.

Les étudiants cherchent l’or à la 5e édition du Défi d’or Goodman

Les étudiants cherchent l’or à la 5e édition du Défi d’or Goodman

Ce concours inégalé d’études de cas en investissement minier le plus réaliste qui soit a accueilli des équipes de sept universités canadiennes et d’un établissement américain

(15 février 2023) - Cette année, du 2 au 4 février, le Défi d’or Goodman (GGC) a proposé une édition spéciale axée sur les métaux pour batterie. Sept équipes universitaires canadiennes et une américaine ont fait concurrence lors de ce concours réaliste d’études de cas en investissement minier.  

Organisé par l’École des mines Goodman de l’Université Laurentienne et présenté par Kinross Gold, commanditaire en titre, le concours demande aux étudiants d’analyser le potentiel d’investissement de trois entreprises et d’en recommander une aux fins d’investissement. Il s’agissait de trois véritables sociétés minières, à savoir Frontier Lithium, Magna Mining et Generation Mining. Les PDG de chacune des entreprises ont passé 30 minutes à essayer de convaincre les équipes d’investir dans leur compagnie. Ensuite, les équipes ont eu des entretiens individuels de 10 minutes avec chacun d’entre eux, pour discuter de ce qu’elles jugeaient pertinent. Certaines ont posé des questions percutantes tandis que d’autres ont parlé de données et d’analyses pour orienter leur décision. 

Notons qu’il n’y a pas que les PDG qui ont participé au concours. En fait, un représentant de chacun des commanditaires du niveau d’or y a été invité à titre de juge. Cette année, le jury était formé de dirigeants chevronnés de Canaccord Genuity, de Dundee Corporation, de Kinross Gold, d’Orix Geoscience, de RBC Capital Markets et de Technica Mining.

Des équipes des établissements suivants ont participé au concours : Université Laurentienne, Université de Colombie-Britannique, Université du Manitoba, Goodman School of Business à l’Université Brock, Université Queen’s, Université métropolitaine de Toronto, Université Bishop’s et la Colorado School of Mines. Beaucoup d’équipes et leurs entraîneurs ont voyagé vendredi afin de pouvoir passer la nuit à perfectionner leur exposé pour le lendemain. Ils ont présenté en trois ligues, la meilleure équipe de chaque ligue progressant à la série finale d’exposés. Les trois équipes à la finale du Défi d’or Goodman 2023 étaient de l’Université Queen’s, de l’Université Bishop’s et de la Colorado School of Mines.
 
Au gala de remise de prix samedi soir, la présidente de Dumont Nickel, Magneto Investments LP, Johnna Muinonen, a prononcé le discours liminaire au sujet de nouveaux horizons sur le marché des métaux pour batterie.

En fin de compte, c’est l’équipe de l’Université Queen’s qui a gagné la 5e édition du Défi d’or Goodman en raison de son approche innovatrice. Parmi les entreprises à l’étude, elle a choisi Frontier Lithium et a remporté l’équivalent en argent de quatre onces d’or.

« Félicitations à l’Université Queen’s qui a gagné le 5e Défi d’or Goodman et aussi à tous les participants dont le travail ardu et les exposés ont rendu humbles nous qui avons passé de nombreuses années dans le domaine de l’investissement, a dit le président du Défi d’or Goodman et PDG de Dundee Corporation, M. Jonathan Goodman. Les étudiants de ce concours ne manquent jamais de m’impressionner, et c’est encore le cas cette année. Étant donné la demande incroyable de minéraux pour batterie, je suis soulagé de savoir que leur génération prendra en main les enjeux financiers de l’avenir. »

Il ne serait pas possible d’offrir cette expérience d’apprentissage sans le généreux appui financier et en nature de partenaires industriels, tels que Kinross Gold (commanditaire en titre pour la cinquième fois), Dundee Corporation (gala d’ouverture), Canaccord Genuity (soirée sociale du jeudi), la Société de développement du Grand Sudbury (pièces dorées remises à chaque équipe), NORCAT (petit déjeuner), MIRARCO, l’ACPE et CIM Sudbury (collations), Canadian Mineral Processors (bar), MacLean Engineering (visite de mine) et KGHM (don de carottes de roche). 

Le comité organisateur du Défi d’or Goodman tient à remercier toutes les équipes participantes qui ont su faire de cette première édition axée sur les métaux pour batterie un succès éclatant.
 

Prise de conscience à l’endroit des femmes autochtones disparues et tuées

Prise de conscience à l’endroit des femmes autochtones disparues et tuées

La Campagne de la robe rouge rend hommage au nombre choquant de femmes autochtones qui ne sont plus parmi nous

(13 février, 2023) - Depuis le lancement en 2010 du Projet de la robe rouge (The REDress Project), série artistique en cours de l’artiste métisse Mme Jaime Black, le public est sensibilisé davantage au nombre stupéfiant de femmes autochtones qui ont disparu ou été tuées partout au Canada. Depuis 2016, l’Université Laurentienne participe à la Campagne de la robe rouge découlant de ce projet. Cette année, le Bureau des affaires étudiantes autochtones (BAEA) de la Laurentienne soulignera la campagne dans le cadre d’un événement qui aura lieu le 14 février 2023 dans le Centre autochtone de partage et d’apprentissage

« La Campagne de la robe rouge consiste à faire pendre des robes rouges symbolisant les maintes femmes autochtones, victimes de violence, qui ont été tuées ou ont disparu, a expliqué la coordonnatrice des activités et des relations avec les médias du BAEA, Mélanie Roque. Le 10 février, des robes rouges ont été placées un peu partout sur le campus dans l’esprit de solidarité. » 

Historiquement, les femmes autochtones sont disproportionnellement touchées par la violence et surreprésentées dans les statistiques de femmes canadiennes tuées ou disparues.

« Pour honorer la Campagne de la robe rouge et les esprits des personnes tuées et disparues, a ajouté Mme Roque, nous avons invité des personnes qui prendront la parole, » Parmi celles-ci figurent des membres des Services policiers du Grand Sudbury qui discuteront de leurs efforts pour éliminer la violence à l’endroit des femmes, filles et personnes 2SLGBTQQIA+. Tanya Debassige des Unités de liaison pour l’information à l’intention des familles participera en mode virtuel pour parler de ce programme et du soutien qu’il apporte aux familles des femmes et filles tuées et disparues. En outre, dans le CAPA, il y aura une communication préenregistrée de Navaeh Pine, membre de Garden River qui assure un plaidoyer pour les femmes, filles et personnes bispirituelles autochtones tuées et disparues et le mouvement Chaque enfant compte. Mme Pine est une conférencière primée qui aborde diverses questions touchant les droits de la personne.

« En après-midi, indique Mme Roque, nous accueillerons Kristy Corbiere qui animera un atelier de robe rouge. Elle fera la conception d’une robe rouge divisée en sections que les participants aideront à assembler tout en confectionnant des enjolivements. Tous les participants apporteront une contribution et la robe sera mise en vue tous les ans lors de la Campagne de la robe rouge. »

« Il est important de souligner que les robes rouges et les affiches partout sur le campus ne reflètent pas les chiffres véritables, a exprimé la directrice du Centre autochtone de partage et d’apprentissage, Mary Laur. En réfléchissant aux dizaines de milliers de femmes et filles autochtones et de personnes 2SLGBTQQIA tuées et disparues, il ne faut pas oublier que même une personne c’est déjà trop. »

La communauté Laurentienne et la collectivité élargie du Grand Sudbury sont invitées à participer aux activités de la Campagne de la robe rouge. Les personnes voulant faire partie d’une action sociale collective peuvent témoigner leur solidarité en faisant pendre des robes rouges dans leur maison ou leur cour à la mémoire des femmes autochtones touchées par la violence. Le souvenir et l’esprit de ces femmes perdurent : elles ne seront pas oubliées.
 

Les futurs étudiants en sciences infirmières de la Laurentienne sont admissibles à l’exonération des droits de scolarité.

Les futurs étudiants en sciences infirmières de la Laurentienne sont admissibles à l’exonération des droits de scolarité.

Les personnes inscrites à des programmes en sciences infirmières de premier cycle et des cycles supérieurs en Ontario pourront bénéficier d’une généreuse subvention provinciale.

(9 février 2023 - Sudbury ON) - Les personnes ayant l’intention de poursuivre une carrière en sciences infirmières ont récemment reçu de bonnes nouvelles. Le gouvernement provincial a effet lancé la « Subvention ontarienne Apprendre et rester ». Cette subvention, qui s’applique aux résidents de l’Ontario, offrira bientôt des droits de scolarité gratuits aux personnes qui s’inscrivent à certains programmes de soins de santé comme les programmes de sciences infirmières de l’Université Laurentienne au premier cycle et aux cycles supérieurs.

« Cet investissement du gouvernement provincial dans l’avenir des prestataires de soins de santé du nord de l’Ontario est très encourageant, a déclaré la rectrice et vice-chancelière, Mme Sheila Embleton (Ph.D.). Notre bassin diversifié d’étudiants, y compris les francophones, bénéficiera grandement de cette subvention, tout comme les nombreux résidents de la région. »

Les personnes qui recevront cette subvention doivent s’engager à travailler dans la région où elles ont étudié. Il faudra en effet travailler dans la région pendant six mois pour chaque année d’études financée dans le cadre de cette subvention. En plus des droits de scolarité, la subvention couvrira les livres et d’autres dépenses directement liées aux études.

« Le fait que cette possibilité soit offerte aux personnes inscrites à des programmes de sciences infirmières de premier cycle et de cycles supérieurs réduira grandement les sérieuses pénuries en matière de personnel infirmier, a indiqué la vice-rectrice intérimaire aux études, Mme Brenda Brouwer (Ph.D.). Les étudiantes en formation pour devenir infirmières et les infirmières faisant progresser leur formation professionnelle contribueront à renforcer les soins de santé dans les communautés du nord de l’Ontario. »

Les personnes qui s’inscrivent aux programmes de sciences infirmières de premier cycle en français ou en anglais seront admissibles et la Laurentienne collabore actuellement avec la province pour déterminer les volets spécifiques des programmes de sciences infirmières de cycles supérieurs qui pourront bénéficier de cette subvention.

Pour en savoir plus sur cette subvention, consultez https://www.ontario.ca/fr/page/subvention-ontarienne-apprendre-et-rester ou communiquez avec l’Université Laurentienne à info@laurentienne.ca.

 

À propos de l’École des sciences infirmières de l’Université Laurentienne

L’École des sciences infirmières a une histoire et une présence de longue date dans le nord de l’Ontario et prépare les gens à entrer dans la profession infirmière depuis plus de 50 ans. Les programmes de baccalauréat en sciences infirmières (BScInf) de quatre ans en anglais et en français sont agréés à l’échelle nationale par l’Association canadienne des écoles de sciences infirmières et approuvés à l’échelle provinciale par l’Ordre des infirmières et infirmiers de l’Ontario. L’École des sciences infirmières de l’Université Laurentienne offre également deux programmes supplémentaires en français : le programme BScInf pour les infirmières autorisées et le programme pour les infirmières auxiliaires autorisées.

En plus d’offrir une formation en sciences infirmières de premier cycle, les personnes ont également la possibilité d’étudier les sciences infirmières aux cycles supérieurs. Le programme de maîtrise en sciences infirmières (MScInf) est offert en anglais et en français avec quatre volets : infirmière praticienne (volet clinique), pratique infirmière avancée (volet basé sur des cours), thèse (volet recherche) et certificat post-infirmière praticienne (volet basé sur des cours). Tous les volets du programme MScInf sont offerts à distance, à l’exception des exigences sur place pour le programme d’infirmières praticiennes. L’École est fière de contribuer aux activités de la communauté en renforçant la capacité de pratique infirmière avancée dans le Nord et au-delà.

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