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Collaboration exceptionnelle entre le petit ensemble de jazz du départment de musique de l’Université Laurentienne et le programme de techniques et gestion de scène du Collège Boréal

Collaboration exceptionnelle entre le petit ensemble de jazz du départment de musique de l’Université Laurentienne et le programme de techniques et gestion de scène du Collège Boréal

décembre, 2012 - Le professeur Allan J. Walsh, directeur du Petit Ensemble de jazz du Département de musique de l’Université Laurentienne, et Mathieu Grainger, gestionnaire du Programme de techniques et gestion de scène au Collège Boréal, sont les fers de lance d’une collaboration qui rehaussera l’apprentissage de ces deux groupes d’étudiants.

Dans la toute nouvelle salle de concert ultramoderne du Collège Boréal, les membres du Petit Ensemble de jazz de l’UL collaboreront avec les étudiants du Programme de techniques et gestion de scène, sous la direction de MM. Walsh et Grainger, et du directeur technique, François Labelle.

Pendant une série de cours et de laboratoires, les étudiants de musique de la Laurentienne s’initieront à la préparation d’un programme complet de concert qui comprend tous les éléments de la réalisation, tels que :

  • coordonner l’horaire et préparer le montage de la scène et du matériel technique;
  • comprendre le rôle du groupe et de chaque musicien pendant le réglage sonore;
  • choisir le bon microphone et le positionner adéquatement;
  • tenir compte des besoins en matière d’amplification des chanteurs;
  • tenir compte des besoins en matière d’amplification des divers instruments (électriques et acoustiques);
  • surveiller les niveaux sonores sur la scène et dans la salle;
  • communiquer efficacement avec les techniciens afin d’assurer que le son est approprié.

L’initiative s’achèvera par un concert qui aura lieu le mardi 4 décembre 2012, au Collège Boréal, mettant en valeur les talents des membres de la population étudiante tant de l’Université Laurentienne que du Collège Boréal. Tous les membres de la communauté universitaire et du grand public sont les bienvenus à ce concert dont les billets sont disponibles au Département de musique de l’UL, au Collège Boréal et à l’entrée avant la représentation.

« Le Département de musique à l’Université Laurentienne, a dit sa directrice, Charlotte Leonard, se réjouit de cette collaboration avec le Programme de techniques et gestion de scène du Collège Boréal, car elle permet à nos étudiants de jazz d’acquérir de l’expérience pratique de la production électronique du son, de l’enregistrement et de l’exécution dans des installations de pointe. Il s’agit d’une excellente initiative d’Allan Walsh et de Mathieu Grainger. »

Pour sa part, la doyenne de l’École des arts du Collège Boréal, Tina Montgomery, souligne le bien-fondé d’une telle collaboration : « Ce nouveau partenariat entre le Collège Boréal et l’Université Laurentienne met en évidence notre volonté commune et durable de partager les ressources postsecondaires mises à la disposition des étudiants du Grand Sudbury. Grâce à cette collaboration aussi naturelle qu’innovante, le Collège Boréal et l’Université Laurentienne optimisent l’utilisation de leurs infrastructures et de leur corps professoral, offrant ce qu’il y a de mieux aux prochaines générations de professionnels du spectacle. »

La Laurentienne accueille un illustre porte-parole autochtone

La Laurentienne accueille un illustre porte-parole autochtone

30 novembre, 2012- Le mercredi 28 novembre, l’Université Laurentienne a accueilli sur son campus de Sudbury M. Phil Fontaine, l’un des plus fervents défenseurs des droits des Premières Nations au Canada. La visite appuyait l’éventuel Centre autochtone de partage et d’apprentissage à la Laurentienne et était parrainée par la RBC, important commanditaire qui a fait don de 40 000 $ envers la construction du Centre. Jusqu’à présent, quelque 1 500 000 $ ont été recueillis pour établir ce carrefour exceptionnel d’apprentissage et de culture autochtones.  

« Depuis 2009, M. Fontaine est conseiller spécial auprès de la RBC, a dit Bill Bray, vice-président régional de la RBC pour la région des lacs du Nord de l’Ontario, et grâce à sa perspicacité et à ses conseils, nous avons renforcé notre capacité pour satisfaire aux besoins de nos clients autochtones partout au Canada. Nous sommes ravis de constater qu’il partage notre engagement envers le Centre autochtone de partage et d’apprentissage et qu’il croit, comme nous, que le Centre sera une puissante ressource favorisant la réussite des Autochtones au niveau postsecondaire. »  

Ex-chef de l’Assemblée des Premières Nations ayant exercé trois mandats, M. Fontaine a rencontré les membres du Conseil de l’Université Laurentienne pour la formation des Autochtones (CULFA) pour discuter du Centre autochtone de partage et d’apprentissage et le rôle que celui-ci jouera pour appuyer la population étudiante autochtone en pleine croissance à l’UL. Un comité consultatif formé de représentants d’organismes autochtones, de Premières Nations et de Métis de la région, le CULFA offre des conseils en ce qui concerne les questions touchant l’éducation autochtone à la Laurentienne.  

« Puisqu’il a vécu lui-même les réalités des pensionnats, a ajouté Mme Sheila Cote-Meek, vice-rectrice associée à l’enseignement et aux programmes autochtones à la Laurentienne, M. Fontaine reconnait pleinement la nécessité d’avoir des programmes d’enseignement qui tiennent compte de la culture et répondent aux besoins des étudiants autochtones, puisque l’éducation permet en effet de pourchasser les rêves les plus beaux. De ce fait, la Laurentienne a proposé comme priorité stratégique la construction du Centre autochtone de partage et d’apprentissage et le fait que M. Fontaine appuie notre objectif affirme avec force le rôle de leader que joue notre université dans la formation des Autochtones. »  

Pendant son passage sur campus, M. Fontaine a prononcé une conférence publique dans l’auditorium Alphonse-Raymond et s’est aussi entretenu avec plus d’une douzaine d’étudiants autochtones, de conseillers pédagogiques et de membres du Cercle des étudiants autochtones

Les Universités Laurentienne et Zhejiang offrent un programme conjoint innovateur

Les Universités Laurentienne et Zhejiang offrent un programme conjoint innovateur

22 octobre, 2012 - L’Université Laurentienne a annoncé un partenariat exceptionnel qu’elle a noué avec la Zhejiang University of Finance and Economics (ZUFE), à Hangzhou, en Chine, pour présenter un programme conjoint de baccalauréat en comptabilité.  

Aujourd’hui, lors d’une cérémonie officielle à Hangzhou, l’entente a été signée par le recteur de la ZUFE, M. Wang Junhao, et le recteur et vice-chancelier de l’Université Laurentienne, M. Dominic Giroux.  

« Nous sommes heureux d’offrir à notre population étudiante l’occasion de faire des études à l’Université Laurentienne, a dit le recteur Wang, et de rehausser la valeur de son baccalauréat. Nos liens avec la Laurentienne leur donneront un véritable avantage sur le marché du travail mondial. »  

Selon le recteur Giroux, ce partenariat est le premier en son genre pour l’Université Laurentienne. « Le ministère de l’Éducation de la Chine n’approuve qu’un nombre infime de demandes de collaborations internationales, a-t-il expliqué, et c’est un honneur pour nous de faire partie de ce groupe d’élite d’universités. »  

Le programme conjoint de baccalauréat en comptabilité offrira ce qu’il y a de plus récent en la matière, avec un accent sur les questions d’actualité et les défis que présente la mondialisation.  

Grâce à cette entente, les personnes inscrites au programme feront les deux premières années d’études à la ZUFE suivies de trois trimestres d’études à l’Université Laurentienne, à Sudbury, et la dernière année en Chine. Il est prévu que, en janvier 2015, de 60 à 100 personnes entameront la troisième année d’études sur le campus de Sudbury de la Laurentienne pour obtenir un total de 42 crédits dont on tiendra compte pour l’obtention du grade. Le partenariat avec la ZUFE permet aussi aux étudiants de la Chine de suivre, à Hangzhou, le Programme de préparation universitaire en anglais de l’UL avant de venir au Canada pour la troisième année d’études.  

« Cette collaboration découle d’une minutieuse planification et de beaucoup de discussion sur la façon de présenter un programme conjoint de calibre mondial à la fine pointe, a ajouté le doyen de la Faculté de gestion de l’UL, M. Peter Luk, Ph.D., qui a aussi assisté à la signature de l’entente à Hangzhou. Nous sommes aussi conscients et reconnaissants des efforts déployés par le doyen Wang Yaoxiang qui a aidé à mener l’entente à bien, et le professeur Fu Liying qui a collaboré avec nous pour développer un contenu approprié pour le programme d’études. »      

Bien que l’entente avec la ZUFE soit la première de la sorte pour la Laurentienne, celle-ci a aussi cultivé des relations étendues avec plusieurs partenaires du domaine de l’éducation en Chine. En effet, depuis trois ans, les inscriptions d’étudiants étrangers à l’UL ont augmenté de 40 % ou de 648 étudiants. Dans son plan stratégique, la Laurentienne s’est fixé comme objectif d’accroître la proportion d’étudiants étrangers afin qu’il atteigne 8 % d’ici 2017. Il s’élève actuellement à 6,1 % en 2011.

Reconduction de M. Dominic Giroux pour un deuxième mandat

Reconduction de M. Dominic Giroux pour un deuxième mandat

18 octobre, 2012 - Lors de l’assemblée ordinaire tenue à Barrie aujourd’hui, le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne a approuvé la recommandation unanime du Comité d’examen du rendement du recteur de renouveler le mandat de M. Dominic Giroux à titre de recteur et vice-chancelier.

Le Comité d’évaluation du rendement du recteur, composé de membres du Conseil et du corps professoral représentant le Sénat, a largement consulté la population étudiante, le corps professoral, le personnel, les associations de l’Université, le Sénat et des membres de la communauté externe et du secteur de l’éducation pour éclairer sa décision. Le Comité a reçu des commentaires de 70 personnes et organismes tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la communauté universitaire.

« Les commentaires reçus sur les accomplissements et progrès de l’Université depuis l’entrée en fonction de M. Dominic Giroux étaient extrêmement positifs, a souligné le président du Conseil des gouverneurs de l’UL, M. Floyd Laughren, et le Conseil est très satisfait de son rendement. Nous sommes aussi très motivés par la vision fascinante qui nous a été présentée et sommes convaincus que le recteur Giroux est le leader qui fera de cette vision une réalité. »

« En 2009, M. Giroux a été embauché comme agent du changement, tâche qu’il a certainement menée à bien, a ajouté le vice-président du Conseil, M. Michael Atkins. Sous sa direction, la Laurentienne a établi des priorités claires, équilibré le budget et vu augmenter exponentiellement le nombre de dons à l’UL, y compris le don historique de M. Ned Goodman annoncé cette semaine, qui fera en sorte que la nouvelle École des mines portera son nom. Nous avons investi plusieurs millions de dollars dans les services étudiants et dans les salles d’enseignement pour le corps professoral, avons créé et doté en personnel le Centre d’excellence universitaire, affecté 51 000 000 $ à la modernisation et au renouvellement du campus et adopté une vision pragmatique et ambitieuse pour le campus de Barrie. En outre, nous avons obtenu des fonds pour l’École d’architecture qui sera inaugurée en 2013 au centre-ville de Sudbury et noué de nouveaux partenariats considérables au sein de la communauté et dans les secteurs industriels. Nombreux sont les gens de la Laurentienne qui ont apporté une contribution à ces réalisations en suivant l’inspiration de M. Dominic Giroux. »

« Je tiens à féliciter M. Giroux, a dit le maire de Sudbury, M. Jeff Lehman, à l’occasion du renouvellement de son mandat, car il comprend très bien le rôle crucial que joue l’Université dans le développement économique et régional en plus d’être le champion de la création d’un campus universitaire dans notre centre-ville. Je me réjouis à la perspective de son leadership dynamique et stratégique dont il continuera de faire preuve. »

Le 1er avril 2009, M. Giroux est devenu le neuvième recteur de l’Université Laurentienne, pour un mandat renouvelable de cinq ans se terminant le 30 juin 2014. Normalement, la procédure d’examen du rendement est entreprise quelque 18 mois avant la fin du mandat. Le deuxième mandat de M. Giroux est aussi renouvelable et se terminera le 30 juin 2019.

« Les réussites d’une université, a expliqué le recteur Giroux, découlent du talent, de l’engagement et de la créativité de la population étudiante, du corps professoral, du personnel, des diplômés et des personnes qui l’appuient. J’ai le privilège de diriger cette université et ce témoignage de confiance du Conseil des gouverneurs me donne un sentiment d’humilité et d’honneur. La Laurentienne traverse une période intéressante et, alors que nous nous affairons à la mise en œuvre du Plan stratégique de 2012-2017, beaucoup d’autres réalisations sont à l’horizon. J'ai donc le grand plaisir de pouvoir continuer à diriger ces efforts concertés. »

Les qualités de leader du recteur Giroux se manifestent aussi dans son rôle auprès de la Commission de la réforme des services publics de l'Ontario, dont il est l’un des quatre membres; il a aussi été nommé par la province co-conseiller spécial pour la création d’un Institut des politiques du Nord et est l’un des quatre membres du Conseil consultatif de développement du Cercle de feu de la province. Respecté par ses pairs, M. Giroux copréside le nouveau Conseil ontarien pour l’articulation et le transfert (COAT), est l’un des douze recteurs siégeant au conseil de direction de l’Association des universités et collèges du Canada (AUCC), est coprésident du Consortium national de formation en santé (CNFS) et a été vice-président de l’Association des universités de la francophonie canadienne (AUFC). Récemment, on lui a demandé de siéger au Higher Education Panel du Globe and Mail ainsi qu’au conseil consultatif du Mowat Centre. Nommé l’un des 40 plus performants âgés de moins de 40 ans en 2011, il est lauréat d’une Médaille du jubilé de la reine Élisabeth et, en 2010, a été nommé Personnalité de l’année en éducation par Radio-Canada/Le Droit.

La famille Goodman investit dans l’École des mines de l’Université Laurentienne

La famille Goodman investit dans l’École des mines de l’Université Laurentienne

15 octobre, 2012 - M. Ned Goodman, PDG de Dundee Corporation, et la Fondation de la famille Goodman - JODAMADA, ont annoncé aujourd’hui un don historique à la nouvelle École des mines de l’Université Laurentienne. En reconnaissance de la générosité de la famille Goodman, le recteur de la Laurentienne, M. Dominic Giroux, a déclaré que l’Université nommera l’École en l’honneur de celle-ci.

M. Ned Goodman possède dans les domaines des affaires et des investissements, en tant que géologue, analyste en valeurs mobilières, gestionnaire de portefeuille et cadre supérieur, plus de 40 ans d’expérience et sa réputation le place au premier rang des meilleurs conseillers en placements au Canada. Sous son impulsion, le groupe Dundee, un groupe de sociétés financières qui s’est développé sous la direction de sa famille, a vu son actif passer de 300 millions de dollars à une entité gérant 50 milliards de dollars en fonds communs de placement. Par son travail dans le secteur minier autant que par le financement qu’il a apporté à nombre de petites sociétés, M. Goodman a contribué à générer dans de nombreuses collectivités éloignées du nord du Canada des investissements et des emplois, aidé à développer des entreprises en croissance et favorisé la prospérité des milliers d’autres Canadiens. Il décrit le don de sa famille comme un vote de confiance dans l’avenir de l’exploitation minière.

« Le Grand Sudbury a le meilleur gisement minéral et la plus grande concentration mondiale d’expertise en approvisionnement, produits et services miniers, a déclaré M. Goodman. Nous voulons être associés à l’Université Laurentienne parce que c’est indubitablement l’université par excellence pour l’exploration et l’exploitation minières au Canada. Quand j’ai appris que la Laurentienne avait l’intention de créer une École des mines innovatrice, j’ai décidé d'y contribuer, a indiqué M. Goodman lors d’une visite récente à Sudbury. Nous inciterons aussi nos amis de l’industrie à appuyer cette magnifique initiative. »

La combinaison du vieillissement de la main-d’œuvre, de la compétition pour recruter des travailleurs qualifiés et de la baisse des inscriptions dans les programmes axés sur les mines dans la plupart des autres universités canadiennes pose un grand problème dans l’industrie minière mondiale. Cette situation accélérera probablement la hausse des coûts, retardera les nouveaux projets et rétrécira les marges de profit. Beaucoup de chefs de file de l’industrie ont signalé un besoin criant de diplômés dont les habiletés techniques sont étayées par des compétences dans les aspects commerciaux, culturels et environnementaux de l’exploitation minière.

Le recrutement à l’échelle mondiale du directeur général fondateur de l’École des mines Goodman est en voie d’être complété et la personne choisie aura pour fonctions de :

  • enrichir les compétences des futurs professionnels de l’exploration minérale et de l’exploitation minière dans des domaines comme la santé et la sécurité au travail, les relations avec les Autochtones, la gestion minière et les finances;
  • diriger la création de programmes de perfectionnement de cadres à tous les cycles qui reposeront sur une formule de modules, de cours de courte durée ou de formation à distance, et d’autres moyens selon les possibilités qui se présentent;
  • officialiser de nouvelles alliances provinciales, nationales et internationales avec d’autres établissements postsecondaires, y compris le Réseau international des écoles des mines qui aura un siège important à la Laurentienne;
  • doubler les inscriptions aux programmes du domaine minier d’ici 2020;
  • améliorer l’expérience universitaire pour les étudiants en sciences de la Terre et en génie.

L’École des mines Goodman est une initiative interfacultaire. Elle relèvera directement du vice-recteur aux études et sera appuyée par un Conseil consultatif mondial et un fonds de dotation de 20 000 000 $ alimenté par des dons de l’industrie et de bienfaiteurs, dont la majorité a déjà été recueillie. De plus, l’Université Laurentienne investira 5 000 0000 $ dans cette École d’ici 2023.

La Fondation de la famille Goodman a stipulé que tout engagement financier, présent ou futur, reste confidentiel. Ce don sera utilisé exclusivement par l’École des mines Goodman. « Il appuiera la conception de nouveaux cours et programmes liés aux mines, l’amélioration de l’environnement d’apprentissage et des possibilités tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la salle de classe, le recrutement d’étudiants, les services de placement et de carrière, la visite de conférenciers et toute autre utilisation particulière convenue mutuellement, a expliqué M. Dominic Giroux. En outre, le don de la famille Goodman permettra d’attirer des étudiants brillants de partout au monde à qui nous offrirons des bourses, et de promouvoir nos programmes du domaine minier sur la scène internationale. »

Le fils aîné de M. Goodman, Jonathan Goodman, ing., CFA, MBA, diplômé de l’École des mines du Colorado, membre et directeur de la Fondation JODAMADA, exercera les fonctions de professeur associé à l’Université Laurentienne.

La Laurentienne est aussi attrayante pour M. Goodman parce qu’il réside à Barrie. « Je veux faire tout ce qui est possible pour aider à établir le nouveau campus de l’Université Laurentienne au centre-ville de Barrie, y compris attirer des dons privés pour soutenir cet important projet, a souligné M. Goodman. Barrie en a absolument besoin, et la Laurentienne a beaucoup à offrir. » L’Université Laurentienne a déjà promis 14 000 000 $ pour son nouveau campus à Barrie, engagement dont la Ville versera la contrepartie.

La campagne de l’Université Laurentienne, Objectif 50, présidé par M. Terry MacGibbon, fondateur de FNX Mining, a largement dépassé son objectif original de 50 000 000 $. En effet, il reste encore six mois et elle a recueilli 63 300 000 $ jusqu’à présent. 

Visitez notre page Facebook pour voir les photos de l'annonce.

L'honorable ministre de la Formation et des Collèges et Universités, Glen Murray.

Une Famille Sudburoise Fait Un Investissement Dans La Santé Des Lacs

Une Famille Sudburoise Fait Un Investissement Dans La Santé Des Lacs

2 octobre, 2012 - Lundi soir, les eaux du lac Ramsey scintillaient à travers les fenêtres de l’atrium du Centre pour la vitalité des lacs Vale à l’Université Laurentienne lorsque Nora et Milad Mansour de Sudbury ont annoncé un don de 500 000 $ pour appuyer des recherches environnementales vitales qui aideront à assurer la santé et la durabilité des systèmes d’eau douce du monde.      

Des invités spéciaux, des chercheurs et divers membres de la communauté universitaire ont participé à l’événement qui soulignait la générosité de la famille Mansour et célébrait la dénomination officielle de l’Atrium Milad Gebrael Mansour dans le Centre pour la vitalité des lacs Vale.

« Ce don est bien spécial, a dit M. John Gunn, Ph.D., directeur du Centre pour la vitalité des lacs Vale et titulaire d’une Chaire de recherche du Canada en écosystèmes aquatiques stressés, car un investissement privé de cette ampleur d’une éminente famille sudburoise indique clairement que les membres de notre communauté reconnaissent l’importance du travail que nous accomplissons. Ce don aura des retombées positives tant sur la population étudiante, le personnel et les chercheurs que sur l’ensemble de la communauté et du nord de l’Ontario. »

« La famille Mansour témoigne d’un formidable leadership aujourd’hui, a ajouté M. Dominic Giroux, recteur de l’Université Laurentienne, et je suis convaincu que ce don nous aidera à réaliser le résultat indiqué dans le Plan stratégique 2012-2017 de faire de la Laurentienne un établissement synonyme au plan mondial de recherches sur les eaux douces. Je me réjouis de ce partenariat et suis fier que le nom Mansour soit maintenant associé avec le Centre pour la vitalité des lacs. »

« La durabilité à long terme de nos lacs, a expliqué M. Milad Mansour, président de Milman Industries Inc., est l’une des questions les plus cruciales de notre génération et nous devons concevoir des solutions innovatrices afin d’en assurer la conservation. Il ne fait aucun doute que le Centre Vale est l’endroit idéal pour réaliser cet objectif. » 

« J’ai toujours appris à mes enfants, a ajouté Mme Nora Mansour, qu’il est plus précieux de donner que de recevoir. De fait, il est vraiment merveilleux d’apporter une telle contribution à notre communauté en appuyant l’Université Laurentienne. »

Le don de la famille Mansour s’ajoute à la liste croissante des contributions faites dans le cadre de l’Initiative des familles sudburoises, programme de reconnaissance mené par l’Université, qui célèbre et honore les familles locales qui participent à la croissance et au développement de la Ville.

« Depuis de nombreuses années, la famille Mansour est un catalyseur économique dans notre ville, a dit M. John Pollesel, bénévole de la campagne Objectif 50 et coprésident de l’Initiative des familles sudburoises. Elle mobilise maintenant des efforts pour assurer la santé environnementale à long terme. L’exemple qu’elle donne aujourd’hui inspirera sûrement d’autres personnes à favoriser l’amélioration de la qualité de vie de tous les résidents de Sudbury, du nord de l’Ontario et de la collectivité mondiale. »

Au sujet d’Objectif 50 : Notre campagne

Afin de demeurer un fer de lance de la créativité, de l’innovation et de la prospérité, la Laurentienne a lancé « Objectif 50 : Notre campagne », l’initiative la plus ambitieuse jamais entreprise dans le nord de l’Ontario, qui vise à recueillir 50 000 000 $. La campagne, qui se poursuit jusqu’en avril 2013, mobilise des fonds pour des projets clés de l’Université, y compris le Centre autochtone de partage et d’apprentissage, l’École d’architecture, l’École des mines et un fonds de dotation qui financera la création de chaires de recherche et de bourses de recherche et d’études pour aider les chercheurs, les étudiants des cycles supérieurs et les étudiants-athlètes à exceller.

 Au sujet de l’Université Laurentienne

La Laurentienne fait partie des universités canadiennes qui ont pris le plus d'expansion au cours de la dernière décennie, avec un effectif étudiant près de 10 000 membres. Bien que son campus principal soit situé à Sudbury, elle offre de plus en plus de programmes aux 1 200 membres de la population étudiante du campus de Barrie. La Laurentienne a l’un des plus forts taux d'emploi après l'obtention du grade en Ontario et est grandement réputée pour la taille enviable de ses classes qui ont le plus faible rapport professeur/étudiants au Canada. D’autres renseignements sur l’Université Laurentienne figurent à www.laurentienne.ca.

Le recrutement du corps professoral d'architecture est commencé

Le recrutement du corps professoral d'architecture est commencé

25 septembre, 2012 - Cette semaine, l’École d’architecture de l’Université Laurentienne a commencé à faire les entrevues et la sélection de membres du corps professoral qui assureront l’enseignement de la première cohorte d’étudiants en septembre 2013. Au cours des six prochaines semaines, le Comité de sélection aura des entrevues pour doter des postes d’enseignement et, dans le cadre de ce processus, les candidats présenteront des exposés touchant leurs projets et approches en architecture. Le public est invité à assister aux exposés qui auront lieu chaque lundi, à 17 h 30, dans le bureau de projet d’Architecture Laurentienne, au centre-ville de Sudbury.

« Nous sommes satisfaits du calibre des candidats et de l’étendue de leur expérience, a dit M. Terrance Galvin, Ph.D., directeur fondateur de l’École d’architecture de la Laurentienne. Ces candidats proviennent du milieu scolaire et de cabinets professionnels du Canada et des États-Unis, allant de Kuujjuaq dans le nord du Québec jusqu’au Connecticut. Il s’agit d’un bon départ et d’une étape importante dans l’établissement de notre école. »

Les candidats aux postes d’enseignement en architecture donnent normalement des exposés au comité de sélection, aux dires de M. Galvin. « Nous suivons cette tradition et l’étendons afin d’inclure aussi la communauté, a-t-il ajouté, pour que toutes les personnes qui ont un intérêt pour l’architecture puissent observer ces entretiens et en profiter. »

Les premiers membres du corps professoral d’Architecture Laurentienne entreront en fonction au début de janvier 2013.

Les embauches en architecture figurent parmi les 24 postes d’enseignement à pourvoir au cours de l’année universitaire.

Du Nouveau Sur Le Campus De La Laurentienne : Starbucks Et Bistro Est

Du Nouveau Sur Le Campus De La Laurentienne : Starbucks Et Bistro Est

14 septembre, 2012 - L’Université Laurentienne a annoncé aujourd’hui l’ouverture de deux nouveaux centres d’alimentation sur le campus du lac Ramsey. Ces ajouts s’insèrent dans le plan à long terme qui vise à créer de nouveaux espaces sociaux et pleins de vie pour la population étudiante, le personnel et le corps professoral et à améliorer la vie sur le campus.  

« Nous avons envisagé le milieu universitaire comme étant une série de quartiers, a expliqué Mme Carol McAulay, vice-rectrice à l’administration à l’UL, et avons tenu compte des besoins de certains secteurs en ajoutant ces nouveaux services. Ces choix additionnels en alimentation satisferont aux besoins exprimés par notre communauté universitaire. »  

Situé du côté ouest du campus, entre la Bibliothèque et l’édifice de génie, le nouveau Starbucks offrira toute une gamme de goûters, de cafés et de boissons mélangées et embouteillées, ainsi que 32 sièges supplémentaires tout près de la Bibliothèque. Grâce aux travaux de rénovation dans la rotonde de la Bibliothèque, cinq nouvelles salles d’études en toute tranquillité ont aussi été créées.  

Le Bistro Est, situé au rez-de-chaussée de la nouvelle Résidence Est, a ouvert ses portes à la fin d’août et offre une variété de boissons chaudes et froides ainsi que des aliments frais, y compris des salades et des paninis (sandwiches grillés). Dans le Bistro, on peut s’asseoir dans les fauteuils et divans qui entourent le foyer.  

Pendant le printemps et l’été 2013, des rénovations seront apportées au Grand Salon, la cafeteria principale de l’Université, dans la cadre du plan à long terme de modernisation des services d’alimentation, d’une valeur de 2 000 000 $.  

« En offrant plus de choix en alimentation, nous donnons suite aux commentaires reçus des étudiants, a ajouté Mme McAulay, tout en créant de nouvelles places accueillantes et confortables où la population étudiante, le personnel et le corps professoral peuvent se détendre, faire de la lecture et se rencontrer. Le plan d’ensemble est de rehausser l’expérience étudiante sur le campus, mais nous espérons que les membres de la grande communauté de Sudbury profiteront aussi de ces améliorations. »

Les Travaux D’architecture Laurentienne Débuteront À L’intersection Des Rues Elm Et Elgin

Les Travaux D’architecture Laurentienne Débuteront À L’intersection Des Rues Elm Et Elgin

9 septembre, 2012 - Au cours des prochaines semaines, on entreprendra les travaux de construction de la nouvelle École d’architecture de l’Université Laurentienne sur le site historique à l’intersection des rues Elm et Elgin, au centre-ville de Sudbury. Le 6 novembre 2012, le titre de la propriété a été officiellement transféré de la Ville du Grand Sudbury à l’Université Laurentienne pour héberger la plus récente école d’architecture au Canada, qui accueillera en septembre 2013 sa première cohorte.  

Ce groupe fera des études dans les salles réaménagées du hangar à marchandises du CFCP tandis que le centre télégraphique du CP abritera les bureaux du corps professoral. Les deux bâtiments ont été érigés au début du XXe siècle et feront partie de la nouvelle École, dont la construction sera parachevée en 2015.   « Nous sommes à une étape très intéressante du projet d’architecture, a dit le directeur fondateur d’Architecture Laurentienne, M. Terrance Galvin, Ph.D., et nous sommes impatients de commencer à préparer les édifices pour l’automne prochain. La Phase I des travaux de rénovation préparera nos ateliers et nos salles de séminaire que nous utiliserons pendant les deux premières années. »  

Toutes les soumissions de la Phase I du projet de construction d’Architecture Laurentienne ont été faites par le groupe d’entrepreneurs ontariens jugés admissibles.   « Nous étions heureux de constater que, parmi les entrepreneurs de l’Ontario, plusieurs entreprises nord-ontariennes ont soumis une proposition, a dit M. Brad Parkes, directeur des projets d’immobilisation à l’UL. On compte annoncer vers la mi-décembre le nom de l’entreprise sélectionnée pour le contrat de la Phase I. »  

La Phase I des travaux de rénovation du hangar de marchandises comprend une amélioration des matériaux d’isolation, le renouvellement de l’extérieur de l’édifice, comme le bardage et la couverture, et l’actualisation des systèmes électriques, mécaniques et de ventilation. On mettra à neuf la brique et le mortier du centre télégraphique, revêtira beaucoup des surfaces intérieures et rénovera l’escalier original en bois. Architecture Laurentienne et l’équipe de conception collaborent avec le Comité local du patrimoine de Sudbury pour planifier les travaux de rénovation du centre télégraphique du CP, un site historique, afin que toutes les modifications apportées respectent l’intégrité de cet important repère historique du centre-ville.  

Pour souligner les débuts des travaux d’Architecture Laurentienne à l’intersection des rues Elm et Elgin, il y aura une cérémonie d’inauguration et d’accueil à l’aube du vendredi 23 novembre 2012, qui comprendra une bénédiction du terrain sous l’égide de la Première Nation du lac Whitefish et du Chef Steven Miller. 

Nouveaux entraïneurs de hockey interuniversitaire

Nouveaux entraïneurs de hockey interuniversitaire

6 septembre, 2012 - Le directeur des sports interuniversitaires de l’Université Laurentienne, M. Peter Hellstrom, a présenté aujourd’hui les deux personnes qui dirigeront les équipes féminine et masculine de hockey interuniversitaire pendant la saison 2013 du Sport interuniversitaire canadien (CIS).  

« De nombreuses et excellentes personnes ont posé leur candidature à ces deux postes, a dit M. Hellstrom lors d’une conférence de presse, et nous sommes très satisfaits de nos choix. En 2013 et au-delà, nous avons de très grands espoirs pour le hockey des Voyageurs. »  

Mme Stacy Colarossi se joint aux Voyageurs après avoir été pendant neuf saisons l’associée à l’entraîneuse en chef de l’équipe féminine de hockey des Lions de l’Université York. Elle a aussi été entraîneuse adjointe de l’équipe ontarienne et de l’équipe féminine canadienne lors du championnat mondial de la FISU en 2011. Détentrice du certificat de niveau 3 du PNCE et entraîneuse haute performance de niveau 2 de Hockey Canada, elle a joué au hockey junior à Brampton (Ontario) et est très respectée dans le monde du hockey d’élite. On perçoit en effet son embauche comme une étape clé dans l’établissement du programme de hockey à l’UL.  

« Les hockeyeuses tant au plan local que national ont du talent phénoménal, a affirmé Mme Colarossi, et la perspective de bâtir une équipe en partant de zéro m’enthousiasme grandement. Je suis convaincue que nous ferons bonne figure dès le début et j’ai bien hâte de prendre la patinoire d’assaut pour faire nos preuves. »  

Personnage bien connu, M. Craig Duncanson a été nommé entraîneur en chef de l’équipe masculine de hockey des Voyageurs, poste qu’il a occupé auparavant à l’UL de 1997 à 1999, à la suite d’une carrière comme joueur professionnel de 1985 à 1997. Choisi lors de la première ronde du repêchage de la LNH en 1985, il a joué avec les Kings de Los Angeles pendant cinq saisons et par la suite avec les Jets de Winnipeg et les Rangers de New York, sans compter des expériences dans la LAH et la LIH.  

M. Duncanson a eu aussi de nombreuses affectations en entraînement et développement de compétences. Récemment, il a été entraîneur en chef du programme de développement sportif de la LHO pour joueurs de moins de 16 ans, entraîneur associé du hockey mineur midget des Wolves de Sudbury et évaluateur du programme pour joueurs de moins de 17 ans de Hockey Canada.  

« C’est un honneur pour moi de revenir à la Laurentienne, a indiqué M. Duncanson, dans le cadre de la renaissance du hockey interuniversitaire dans cette communauté qui compte des milliers de partisans du hockey. Les Voyageurs prendront la place qui leur revient et je suis très confiant que l’équipe connaîtra un grand succès au sein du SIC. Avoir la chance de mettre sur pied cette équipe est un rêve devenu réalité. »  

« Nous sommes tous ravis de la relance du hockey interuniversitaire, a dit M. Chris Mercer, chef de cabinet de la Laurentienne. Elle change en effet les règles du jeu pour l’Université. » 

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