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L’École d’architecture McEwen lance des camps d’été

L’École d’architecture McEwen lance des camps d’été

Des camps bilingues et triculturels seront offerts en juillet 2023

(19 avril 2023) - L’École d’architecture McEwen (EAM) à Sudbury est fière d’annoncer ses tout premiers camps d’été Archi·Nord en architecture.

Archi·Nord est un camp d’été d’architecture incomparable, bilingue et triculturel, présenté en personne et organisé par la plus récente école d’architecture du Canada à l’Université Laurentienne, qu’ArchDaily qualifie de l’un des « 15 bâtiments d’écoles d’architecture les plus inspirants au monde ». Les camps Archi·Nord sont offerts aux élèves qui commencent la 11e ou 12e année en septembre 2023. Des séances en personne sont proposées du 17 au 21 juillet 2023 (en anglais) et du 24 au 28 juillet 2023 (en français).

Grâce à un enseignement dispensé par des membres du corps professoral et des récents diplômés, Archi·Nord accordera aux élèves une expérience d’introduction au dessin, à la conception architecturale, à la modélisation physique et aux logiciels numériques. Pendant chaque séance d’une semaine, ils auront droit à une introduction générale au processus architectural et à la réflexion sur la conception dans un milieu universitaire axé sur le design, clôturée par une exposition des travaux à la fin de la semaine pour les familles et la communauté.

Dans le contexte de la première école bilingue d’architecture au Canada, le programme Archi·Nord s’engage à offrir une expérience préuniversitaire qui rend plus accessible et abordable la formation architecturale pour les communautés nord-ontariennes. Les camps valorisent aussi l’emploi de matériaux et de technologies durables, le bâtiment de l’EAM étant un excellent exemple de construction en bois massif. Il est espéré qu’Archi·Nord apporte aux élèves une expérience non conventionnelle de camp d’été qui les incite à cultiver de nouvelles façons de voir et de repenser le monde qui les entoure.

Pour obtenir un complément d’information et inscrire votre jeune, consultez Archi·Nord ou écrivez-nous à archicamp@laurentian.ca.

La province réinvestit dans le Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail

La province réinvestit dans le Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail

Le CRSST poursuit son mandat pour prévenir les blessures et maladies professionnelles dans le cadre de partenariats avec des milieux de travail nord-ontariens

(18 avril 2023) - Le Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) à l’Université Laurentienne est heureux d’annoncer que le ministère du Travail, de l’Immigration, de la Formation et du Développement des compétences (MTIFDC) a investi 2 500 000 $ sur les cinq prochaines années pour appuyer les principales activités du Centre.

« Notre mission est simple : garder les travailleurs à l’écart du danger, a dit le ministre du Travail, de l’Immigration, de la Formation et du Développement des compétences, Monte McNaughton. Notre gouvernement est fier de financer des programmes comme celui-ci dans le nord de l’Ontario qui favorisent la sécurité des gens au travail tout en apportant une plus grande tranquillité d’esprit à eux et à leur famille. En collaborant, nous sommes sur la bonne voie pour faire de l’Ontario le meilleur endroit en Amérique du Nord où vivre, travailler et élever une famille. »

La province constate les problèmes hors de l’ordinaire du nord de l’Ontario en matière de santé et de sécurité au travail et reconnait le rôle que joue le CRSST en tant que centre de recherche partenaire dans l’atteinte de ses objectifs stratégiques. À titre d’exemple, dans les communautés du nord, les industries d’exploitation de ressources naturelles se font plus nombreuses, les défis environnementaux sont particuliers et les caractéristiques démographiques diffèrent de celles d’autres régions.

« Le CRSST est un excellent exemple de centre de recherche qui collabore directement avec des partenaires industriels et le secteur public pour résoudre les problèmes dans nos communautés locales, a exprimé la rectrice et vice-chancelière par intérim de l’Université Laurentienne, Sheila Embleton, Ph.D. Nous sommes reconnaissants au ministère d’investir dans cette recherche importante. »

Depuis cinq ans, le CRSST a réglé des problèmes en milieu de travail avec 37 partenaires commerciaux, placé 71 membres de la population étudiante dans des stages rémunérés et décerné 124 000 $ en bourses d’études. Pendant cette période, il a également obtenu au-delà de 5 500 000 $ en subventions, contrats de recherche et dons.

« Le CRSST effectue des recherches de calibre mondial dans des installations de pointe dont ne dispose aucune autre université ontarienne, a expliqué la vice-rectrice à la recherche à l’Université Laurentienne, Tammy Eger, Ph.D. Nous sommes chanceux que ces recherches se fassent ici dans le nord de l’Ontario, dans des collectivités qui profiteront directement des avancements. » Le CRSST héberge un simulateur de milieux de travail estimé à 1 000 000 $ dont l’infrastructure permet la reproduction de tâches professionnelles prépondérantes dans le nord de l’Ontario afin de pouvoir vérifier des solutions dans le contexte de laboratoire. Il est également doté d’un laboratoire itinérant de recherche qui permet d’apporter ces solutions directement aux milieux de travail et aux collectivités pour la mise en œuvre.

« Cet investissement nous donne l’occasion d’élargir nos services de recherche et la formation d’étudiants tout en conservant nos collaborations avec des partenaires du système, a précisé la directrice du CRSST, Sandra Dorman, Ph.D. Il fait ressortir aussi l’engagement de la province envers la viabilité à long terme du premier centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail qui porte sur les besoins particuliers de recherche dans le nord de l’Ontario. »

 

Au sujet du Centre de recherche sur la santé et la sécurité (CRSST)

Fondé en 2008 à l’Université Laurentienne, le CRSST accorde aux secteurs industriels, aux associations de sécurité au travail, aux groupes syndicaux, aux organismes gouvernementaux et aux chercheurs une structure formelle pour le partage de problèmes et de solutions en matière de blessures et de maladies en milieu de travail. Nous envisageons le nord de l’Ontario comme endroit où les milieux de travail s’allient pour assurer que, chaque jour, après le travail, chaque personne rentre chez elle en toute santé et toute sécurité. Notre mission est d’être un agent de l’innovation et de la découverte qui aide à résoudre des problèmes pertinents et critiques auxquels font face les industries du nord afin qu’elles puissent éliminer les blessures et maladies professionnelles des milieux de travail.

Annonce des gagnants du Symposium de recherche des cycles supérieurs à l’Université Laurentienne

Annonce des gagnants du Symposium de recherche des cycles supérieurs à l’Université Laurentienne

Divers thèmes ont été examinés pendant cette activité d’une semaine

(12 avril 2023) - Du 27 au 31 mars 2023, l’Association des étudiants des cycles supérieurs de la Laurentienne, appuyée du Bureau des études supérieures, a organisé le Symposium de recherche des cycles supérieurs « Découverte et dissémination », mettant en valeur les projets variés de recherche d’étudiants inscrits aux programmes de maîtrise et de doctorat. Les exposés ont témoigné de l’ampleur et de la portée des recherches effectuées à l’Université Laurentienne.

Les prix décernés lors du symposium ont souligné les meilleurs exposés dans diverses catégories jugées par des membres du corps professoral qui se sont portés volontaires : 

  • Éducation et santé : Taylor Watkins (M.A. Interdisciplinary Health), Supporting Healthy Pregnancies: Understanding Pregnant Women and New Mothers’ Perspectives Regarding Fetal Alcohol Spectrum Disorder Prevention Campaigns to Inform Effective and Non-Stigmatizing Approaches in Northeastern Ontario.
  • Sciences, génie et architecture : Meghan McCue (Ph.D. Biomolecular Sciences), Exploring the effect of cancer and chemotherapy on skeletal muscle.
  • Arts : Jennifer Dufoe (M.A. Psychology), The Efficacy of Mobile Mental Health Applications (mHealth apps) in Reducing Symptoms of Anxious and Depressive Distress in a University Population, et Luc Huneault (M.A. Psychology), The Effects of Different Message Frames on COVID-19 Vaccine Beliefs.
  • Exposé à contenu autochtone : Katherine Snazel (M. Indigenous Relations), Indigenous Authorship: towards understanding the intersections in inter-Indigenous science fiction and fantasy.

La gagnante du Concours de thèse en 3 minutes (3MT), Victoria Camp, a été choisie par les juges bénévoles du corps professoral et participera à la finale provinciale à l’Université Queen’s, le 17 mai 2023, où elle prononcera, Victoria Camp (M. Science Communication), « Exploring public opinion of tailings practitioners through Facebook comments on digital news media ».

« J’ai beaucoup apprécié participer au concours 3MT, a expliqué Victoria Camp, car j’ai dû ressortir que les éléments essentiels de ma recherche, me permettant ainsi de formuler un bref argumentaire soulignant l’importance de ce travail. Je me réjouis de pouvoir partager mon exposé au concours provincial en mai et de faire valoir le travail que j’accomplis à la Laurentienne. »

Feu sacré pour honorer les membres de la population étudiante, du personnel et du corps professoral.

Feu sacré pour honorer les membres de la population étudiante, du personnel et du corps professoral.

Des leaders étudiants témoignent de leur confiance envers l’Université Laurentienne.

(6 avril 2023) - À l’approche de la fin du semestre, les étudiants de l’Université Laurentienne commenceront très bientôt leurs examens finaux. Depuis le début de l’année universitaire, la communauté de la Laurentienne a fait face à beaucoup d’adversité dans le cadre du processus de la LACC. Au cours de cette période, la communauté universitaire a vu de nombreux membres de la population étudiante, du personnel et du corps professoral partir à la recherche de nouvelles possibilités. Nombre de ceux-ci ont toutefois choisi de rester, d’aider nos étudiants à réussir et de s’entraider.

Pour souligner le travail ardu de la population étudiante, du corps professoral et du personnel pendant l’année universitaire 2022-2023 et pour « Ishkode » (raviver le feu dans votre cœur), on organisera un feu sacré pendant quatre jours. Cet événement se déroulera du premier jour de la période d’examens d’hiver, le 11 avril, au 14 avril 2023, de 9 h à 16 h, à l’extérieur de la salle ronde du Centre autochtone de partage et d’apprentissage. Tout le monde est le bienvenu.

Les étudiants de la Laurentienne ont choisi de rester inspirés et confiants quant au brillant avenir de la Laurentienne tout au long de ces difficultés. Voici quelques leaders étudiants et leurs opinions positives sur les années à venir :

Avery Morin est en troisième année de neurosciences comportementales et du programme concomitant d’éducation de Sudbury, en Ontario. Elle est présidente de l’Association générale des étudiants. « Je crois au brillant avenir de la Laurentienne en raison des possibilités incroyables que notre université peut offrir. En tant que leader étudiante, je suis devenue une défenseuse passionnée des étudiants du monde entier et je suis très reconnaissante des expériences que la communauté de la Laurentienne m’a offertes. »

Emily Appadoo est en première année de sciences infirmières de Chambly, au Québec. Elle est spécialiste au sein du programme de bien-être par les pairs de l’UL. « Je crois de tout cœur au brillant avenir de l’Université Laurentienne. Malgré les récents défis, notre communauté est toujours solide grâce à sa résilience et à sa détermination. Je suis convaincue que l’UL atteindra dans un proche avenir de grands objectifs en raison du dévouement du corps professoral et du personnel et du dynamisme de la population étudiante. »

Meghan McCue est doctorante en sciences biomoléculaires de Sudbury, en Ontario. Elle est présidente de l’Association des étudiants des cycles supérieurs. « Au cours des dernières années, les passionnés de la Laurentienne ont persévéré et ont continué d’embellir les choses jour après jour. En tant qu’étudiante, c’est formidable de revoir des visages heureux sur le campus, d’assister à des événements étudiants et de représenter la Laurentienne lors d’événements sportifs et de conférences. En tant que leader étudiante, je suis toujours impressionnée par ce que nos étudiants accomplissent pendant leur séjour ici et au-delà. Les diplômés de la Laurentienne comptent parmi les personnes les plus prospères que je connais. »

Darshan Shah est en quatrième de génie mécanique d’Ahmedabad, en Inde. Il est ambassadeur étudiant au Service de liaison et un compétiteur des Jeux miniers canadiens. « L’Université Laurentienne a une longue tradition en matière d’enseignement et de recherche de haute qualité dans divers domaines. Elle a une population étudiante diversifiée et des avantages uniques comme son emplacement et l’accent mis sur les études autochtones. L’Université a pris des mesures pour restructurer ses activités et émerger avec un nouveau plan financier axé sur le renforcement des programmes universitaires, l’augmentation des inscriptions et l’amélioration des activités de recherche. Ces facteurs suggèrent que l’Université Laurentienne a le potentiel d’un brillant avenir. »

Conditions météorologiques défavorables

Conditions météorologiques défavorables

5 avril, 2023

Aux membres de la communauté,

Étant donné les graves intempéries à Sudbury, l’Université Laurentienne encourage les membres du corps professoral à donner leurs cours à distance dans la mesure du possible aujourd’hui (à la discrétion de chacun) et recommande aux employés qui sont capables de faire du télétravail de rester à la maison.

L’Université est ouverte.

Profil : Un étudiant en service social fait des efforts supplémentaires pour l’inclusivité sur le campus.

Profil : Un étudiant en service social fait des efforts supplémentaires pour l’inclusivité sur le campus.

Étudiant du programme travail-études à Fierté Laurentienne, Sam Bénard-Barry, est fier de défendre ses pairs.

(4 avril 2023) - Sam Bénard-Barry est un leader étudiant et un défenseur déterminé de ses pairs.

Sam Bénard-Barry est un étudiant queer, francophone et anishinaabe-algonquin inscrit en quatrième année au programme de Service social de l’Université Laurentienne. Originaire de Sudbury, en Ontario, Sam est également diplômé de l’École secondaire catholique l’Horizon (2019). En tant que président du Cercle des étudiants autochtones, membre de l’Équipe d’action « Le consentement est simple » de la Laurentienne et membre fondateur des Étudiants pour la coalition de l’action sociale, il va sans dire que Sam est un membre actif de la communauté universitaire.

En participant au programme travail-études à Fierté Laurentienne, Sam a la possibilité de suivre sa passion pour l’engagement en représentant la communauté queer sur le campus et au sein du Grand Sudbury. Avant d’occuper ce poste rémunéré, Sam a été étudiant bénévole pendant deux ans.

Fierté Laurentienne est un centre de ressources pour la communauté queer et l’un des nombreux services aux étudiants offerts sur le campus. Les ressources et les activités de sensibilisation et de plaidoyer de Fierté Laurentienne sont rendues possibles grâce à des partenaires comme les Services de santé et de bien-être de l’UL, Sudbury Pride, Réseau Access Network et Black Lives Matter Sudbury. En affiliation avec le Bureau de l’équité, de la diversité et des droits de la personne, les étudiants bénévoles de Fierté Laurentienne organisent de nombreux événements passionnants tout en offrant un espace sécuritaire. Se réunissant récemment en équipe, une semaine entière d’événements sur le campus a été consacrée aux objectifs d’équité, de diversité et d’inclusion. Par exemple, le Centre étudiant a organisé le 24 mars une activité où de nombreux étudiants se sont amusés et ont rencontré de nouveaux amis au Pride Prom.

« Une grande partie du travail que je fais pour Fierté Laurentienne est intersectionnelle puisque je suis un étudiant queer, francophone et autochtone. J’essaie de trouver un moyen d’intégrer ces communautés afin que tout le monde puisse coexister. En tant que personne queer et de genre non conforme, mon expérience est essentielle pour apporter un changement positif. »

Fierté Laurentienne est actuellement à la recherche de bénévoles. « Je pense que faire du bénévolat pour Fierté Laurentienne est une excellente occasion pour les étudiants de participer à des activités et de s’épanouir sur le plan personnel, a dit Sam. Le bénévolat et les relations que vous créez au sein du groupe permettent d’établir des liens d’amitié et des réseaux. »

Les personnes désirant faire du bénévolat pour Fierté Laurentienne peuvent communiquer avec ce service sur Instagram ou à pride@laurentienne.ca.

« Avoir un sentiment de communauté sur le campus a été important pour moi, a déclaré Sam. Cela m’intéresse grandement de sensibiliser les gens et de défendre les intérêts dans un grand éventail de sujets qui favorisent l’inclusivité. Je suis grandement fier de le faire. »

Les étudiants de l’École d’architecture McEwen célèbrent une fructueuse Nuit blanche

Les étudiants de l’École d’architecture McEwen célèbrent une fructueuse Nuit blanche

Des membres de la communauté partout dans le nord de l’Ontario ont assisté à l’activité

(30 mars 2023) -  Samedi 25 mars, les étudiants de l’École d’architecture McEwen (EAM) ont présenté la cinquième édition annuelle de la Nuit blanche, soirée qui célèbre l’unité, la culture et la fierté dans la communauté des arts de Sudbury. Premièrement conçue par les étudiants de l’EAM en 2017, la Nuit blanche propose des installations artistiques, des spectacles de musique et de danse ainsi que des commerçants locaux. 

« La Nuit blanche rassemble les étudiants et la communauté du Nord dans le cadre de l’art et de la musique, a expliqué la coordonnatrice de l’activité et étudiante de troisième année en études architecturales, Jenna El Takkale, du Caire, en Égypte. Il est puissant de pouvoir profiter d’expériences artistiques en communauté et nous nous réjouissons d’avoir l’occasion de célébrer de nombreux artistes de partout dans le nord de l’Ontario. »

Le terme « Nuit blanche » fait allusion aux manifestations artistiques qui se tiennent pendant toute une nuit dans le monde entier.

Selon Jenna, toute une équipe d’étudiants bénévoles a assuré le succès de la Nuit blanche. Des responsables étudiants du programme d’études architecturales se sont joints à elle pour coordonner et organiser l’activité dont des centaines de visiteurs à l’EAM ont profité :

  • Responsable de la gestion des artistes : Sophie Jenson (Bradford, Ontario), étudiante de 3e année
  • Responsable de la musique : Melanie Vanco (Sudbury, Ontario), étudiante de 4e année
  • Responsable des commerçants : Siah Klassen (Edmonton, Alberta), étudiante de 3e année 
  • Responsable des relations avec les médias : Tanya D’Souza (Lubumbashi, République démocratique du Congo), étudiante de 4e année
  • Responsable du graphisme : Justine Raso (Hamilton, Ontario), étudiante de 3e année 

Les artistes suivants ont joué à la Nuit blanche de cette année :

  • Des artistes autochtones de pow-wow, notamment le Cercle de tambours de l’UL
  • Le duo acoustique local, Bad Actors, interprétant de la musique folklorique originale au banjo et à la guitare
  • La talentueuse étudiante de 4e année en études architecturales, Sierra MacMillan, qui a joué de la musique acoustique indie-alternative
  • L’ancienne de l’UL, Cassidy Houston, chanteuse et compositrice folklorique locale
  • Le groupe funk-rock local, Spiced Islands
  • Le groupe rock local, Teleporters
  • L’artiste hip-hop-rap de New Liskeard (Ontario), Nico See, qui a joué à la boîte de nuit Boulevard, accompagné de musiciens

« Il y avait également des commerçants locaux sur les lieux, a dit Jenna. Quel bon sentiment de pouvoir appuyer des petites entreprises nord-ontariennes en les invitant à participer à la Nuit blanche. »

« La Nuit blanche est une importante tradition dirigée par les étudiants de l’École d’architecture McEwen, a souligné la directrice de l’École, Tammy Gaber, Ph.D. En fait, ils ont organisé de fructueuses Nuits blanches de 2017 à 2020 et l’édition de cette année a été tout aussi splendide. Les énergies créatives de notre population étudiante à l’EAM et des membres de la collectivité locale ont été célébrées et tout le monde qui y a participé en a joui. »

Les étudiants en architecture attendent déjà impatiemment l’édition de l’an prochain, car l’intention est de présenter à nouveau la Nuit blanche tous les ans. L’activité de cette année faisait suite à une interruption de deux ans entraînée par la pandémie de la COVID-19. « Cela a été extraordinaire, a ajouté Jenna, de pouvoir présenter encore une fois la Nuit blanche à une communauté dont je suis fière membre. »

Profil : La chercheuse à la maîtrise en sciences de l’activité physique et au CRSST embrasse pleinement l’expérience des étudiants aux cycles supérieurs

Profil : La chercheuse à la maîtrise en sciences de l’activité physique et au CRSST embrasse pleinement l’expérience des étudiants aux cycles supérieurs

Willa Hladun est un leader qui profite au maximum de chaque possibilité

(27 mars, 2023) - Willa Hladun est une étudiante à la maîtrise qui inspire.

Née et élevée à Calgary, en Alberta, sa famille vit maintenant à Cranbrook, Colombie-Britannique. C’est dans cette province et à l’Université de Victoria qu’elle a obtenu un baccalauréat ès arts en psychologie (2020). En quatrième année, elle a commencé à s’intéresser à la psychologie du sport. « J’ai bien aimé cela. J’ai adoré le contenu. L’exercice et le mouvement ont toujours occupé une place importante dans ma vie, en particulier en matière de gestion de mon bien-être mental. »

Willa réside maintenant dans la ville du Grand Sudbury où elle est inscrite à la maîtrise en sciences de l’activité physique à l’Université Laurentienne. Elle est aussi une chercheuse affiliée au Centre de recherche en sécurité et en santé au travail (CRSST).

Sa thèse de maîtrise intitulée Motherhood Journeys On and Off the Ice: A Narrative Analysis of Digital Media Stories of Professional Hockey Mothers, examine les reportages numériques qui couvrent les athlètes de hockey d’élite qui sont également des mères pour examiner quels récits sont présents dans la médiation qui les entoure, comment ces récits influencent leur formation identitaire, et les incidences psychosociales et culturelles de ces récits. « Les médias sportifs sont un outil puissant qui influence notre propre perception et celle des autres des athlètes d’élite, a expliqué Willa. Comprendre comment certains récits médiatiques peuvent être positifs ou négatifs pour le bien-être psychologique des mères d’athlètes et la culture du sport peut nous aider à favoriser une culture du hockey plus solidaire et inclusive, un sport très populaire non seulement dans le nord de l’Ontario, mais dans toute l’Amérique du Nord. »

L’étude de Willa fait partie d’une plus grande subvention du Conseil de recherches en sciences humaines obtenue par sa superviseuse et professeure titulaire de l’École de kinésiologie et des sciences de la santé, Kerry McGannon. « Mon expérience de travail avec Kerry a été incroyable. Kerry est tout ce que j’aurais pu souhaiter chez une superviseuse. En fin de compte, elle veut vraiment que vous soyez le moteur de votre recherche. J’ai tellement appris en travaillant avec Kerry qui fait toujours un effort supplémentaire. »

Récemment, Willa s’est adressée à ses pairs pour partager les résultats préliminaires recueillis dans le cadre de son étude au Café du CRSST, mieux connu sous le nom de CRAfé, un dialogue hebdomadaire sur le thème de la santé et de la sécurité au travail pour les étudiants, les professeurs et les conférenciers de l’industrie affiliés au CRSST.

Willa effectue également un stage rémunéré auprès de la section locale 6500 des Métallurgistes unis. « J’examine les demandes qui ont été rejetées par la CSPAAT et je lie la documentation à ces expériences et à leurs blessures, tant physiques que mentales, et je soutiens les appels auprès de la CSPAAT. » Willa a souligné que, depuis qu’elle s’est jointe au CRSST au printemps dernier, elle est reconnaissante des nombreuses possibilités, y compris le soutien pour l’obtention de ce stage.

Parmi ses activités au CRSST, il faut souligner qu’elle a aidé à offrir un cours de premiers soins en santé mentale aux membres du CRSST. « Je voulais suivre un cours de formation aux premiers soins en santé mentale pour apprendre à réagir aux crises, a-t-elle expliqué. J’ai fait des recherches et j’ai trouvé un très bon cours offert par la Commission de la santé mentale du Canada, mais c’était assez dispendieux. J’ai alors communiqué avec le CRSST pour lui demander s’il serait prêt à aider à payer une partie de ce cours. Nous avons fini par créer ensemble un cours qui donnait à tous les étudiants et professeurs du CRSST la possibilité de suivre cette formation. » Le CRSST a convenu avec Willa que ce cours serait pertinent pour ses membres.

Willa est également capitaine d’équipe pour la prochaine collecte de fonds du CRSST, Pas pour une meilleure vie. Cette marche de financement, qui se tiendra le 29 avril 2023, aidera à soutenir les familles touchées par des blessures, des maladies et des décès au travail. C’est une autre façon de sensibiliser notre communauté aux répercussions d’une tragédie en milieu de travail et à la manière dont nous pouvons travailler ensemble pour éviter que d’autres personnes ne soient blessées ou tuées au travail. Cette année, Pas pour une meilleure vie du CRSST se tiendra le lendemain du Jour de deuil national, une journée qui commémore les travailleurs décédés, blessés ou malades en raison de leur travail.

Willa est également membre du comité des étudiants pour l’action sociale (SSAC), un comité dirigé par des étudiants dont les voix soutiennent l’égalité, la diversité et l’équité sur le campus, en partenariat avec le Bureau de l’équité, de la diversité et des droits de la personne (BEDDP). « Nous promouvons, dit-elle, la sécurité et le respect des droits de la personne pour tous les étudiants. » Elle s’identifie en effet comme une fière membre de la communauté LGBTQ2+ et a indiqué qu’elle avait « une véritable responsabilité envers la communauté queer de prendre ma place en tant qu’universitaire queer et de soutenir cette communauté ».

La prochaine étape pour Willa est de participer au troisième symposium annuel sur la recherche des étudiants des cycles supérieurs de la Laurentienne, un événement d’une semaine offert du 27 au 31 mars qui fait la promotion de leurs recherches.

Réfléchissant à son expérience en tant qu’étudiante de cycles supérieurs, Willa a indiqué que « participer à des choses qui vous intéressent est vraiment important ». Elle estime que les étudiants des cycles supérieurs doivent profiter d’autant de possibilités que possible. « J’ai en effet beaucoup appris. Je n’aime pas l’idée de vouloir essayer quelque chose ou d’avoir une idée et de m’asseoir sur celle-ci. Je préfère faire de mon mieux pour essayer d’en faire une réalité. »

Pour Willa, qui est une leader parmi ses pairs, les possibilités sont illimitées.
 

L’équipe de la Vie en résidence à la Laurentienne présente la 18e édition annuelle du spectacle de mobilisation de fonds « Airbandz for Cancer »

L’équipe de la Vie en résidence à la Laurentienne présente la 18e édition annuelle du spectacle de mobilisation de fonds « Airbandz for Cancer »

Un total de 1 680 $ a été recueilli pour la Fondation du Nord en cancérologie

(23 mars, 2023) - Samedi 11 mars, l’équipe de la Vie en résidence à l’Université Laurentienne a présenté la 18e édition annuelle du spectacle de mobilisation de fonds « Airbandz for Cancer. » Pour cette activité, des groupes d’étudiants exécutent des numéros de danse qu’ils ont chorégraphiés dans le but d’amasser des fonds pour la recherche en cancérologie. Cette année, une somme de 1 680 $ a été remise à la Fondation du Nord en cancérologie

« Deux équipes d’étudiants enthousiastes ont participé au spectacle de cette année, a expliqué la superviseure de la Vie en résidence, Holly Jackson, et c’est celle de Percy Jackson qui a gagné. » Holly et Kiera Lawn, étudiante de 4e année en psychologie du sport, originaire d’Etobicoke (ON), ont organisé le spectacle.

Depuis ses débuts en 2003, « Airbandz » a mobilisé bien plus de 100 000 $ pour la Fondation du Nord en cancérologie, qui apporte un soutien pour le traitement de cancers, les recherches locales et l’achat de matériel important au Centre de cancérologie du Nord-Est Shirley et Jim Fielding, dans la Ville du Grand Sudbury. Le spectacle « Airbandz for Cancer » à l’UL a été lancé par l’étudiant Michael « Dex » Brown.

« Les efforts des étudiants de l’UL à Airbandz ne cessent de nous impressionner, a affirmé Kiera Lawn. Nous sommes tout aussi fiers de l’altruisme témoigné par les participants. C’est un sentiment extraordinaire d’apporter des contributions à la Fondation du Nord en cancérologie. »

En plus des concurrents musicaux, l’équipe de danse de la Laurentienne a épaté les spectateurs de son énergie contagieuse dans l’Auditorium Fraser.

Cette année, les juges, deux anciennes de la Laurentienne, étaient la musicienne folklorique, Cassidy Houston, et la représentante de la Fondation du Nord en cancérologie, Tannys Laughren, qui ont tenu compte de l’originalité, de l’enthousiasme, de la conception de costumes, de l’exécution générale et de la qualité de la synchronisation labiale des équipes. 
 

La communauté universitaire se prépare à la troisième édition annuelle du Symposium de recherche des cycles supérieurs

La communauté universitaire se prépare à la troisième édition annuelle du Symposium de recherche des cycles supérieurs

L’Association des étudiant(e)s aux études supérieures planifie l’activité d’une semaine qui appuie la découverte et la dissémination de la recherche

(22 mars 2023) - Du 27 au 31 mars 2023, la troisième édition annuelle du Symposium de recherche des cycles supérieurs, activité d’une semaine assurant la promotion de la recherche des cycles supérieurs, aura lieu sous le thème « Découverte et dissémination » dans l’Espace d’innovation Fielding à l’Université Laurentienne. L’Association des étudiant(e)s aux études supérieures (AÉES) est le fer de lance de cette activité dirigée par les étudiants avec l’appui du Bureau des études supérieures.

Les communications porteront sur les projets actuels de recherche des personnes inscrites aux programmes de maîtrise et de doctorat. Un jury formé de membres bénévoles du corps professoral choisira les lauréats de prix pour les meilleurs exposés dans chaque faculté : éducation et santé, sciences, génie et architecture, gestion, et arts. Des prix seront aussi décernés pour les meilleures communications en français et avec contenu autochtone. Le jury tiendra compte des techniques de présentation, de l’intérêt du public, de la structure de la recherche, des supports audiovisuels, de l’interprétation et de l’analyse critique.

« Ce Symposium de recherche est organisé par et pour les étudiants des cycles supérieurs, a expliqué la présidente de l’AECS et candidate au doctorat en sciences biomoléculaires, Meghan McCue. Il met en valeur les formidables recherches effectuées par les étudiants à la maîtrise et au doctorat et est une excellente occasion pour eux de partager leurs propositions, progrès et nouvelles découvertes avec la population étudiante et le corps professoral de tous les domaines. »

Les étudiants auront également la possibilité de participer au concours 3MT® (Ma thèse en 3 minutes) de la Laurentienne. Pour ce concours universitaire mis sur pied par l’Université du Queensland, en Australie, les participants font un exposé de recherche de pas plus de trois minutes à un jury. Le défi est de présenter la recherche complexe de manière abordable, intéressante et captivante en utilisant qu’une seule diapositive. La personne qui gagne le concours 3MT® à la Laurentienne est invitée à la finale provinciale qui aura lieu le 17 mai 2023 à l’Université Queen’s.

« Nous sommes très fiers de l’engagement de nos étudiants de deuxième et troisième cycles dont les recherches et activités d’érudition continuent à aborder d’importants enjeux touchant notre communauté, a exprimé la vice-rectrice à la recherche à l’UL, Tammy Eger, Ph.D. Le Symposium de recherche des cycles supérieurs et le concours 3MT® donnent la possibilité inégalée de faire valoir les efforts inlassables des étudiants, souvent accomplis de pair avec des partenaires industriels et communautaires. »

Tout le monde est invité à participer à cette semaine d’activités. Le programme des communications ainsi que les résumés de recherches peuvent être consultés ici.
 

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