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Des diplômés de la Laurentienne transforment des idées en innovations

Des diplômés de la Laurentienne transforment des idées en innovations

La Fonderie met en valeur des anciens pour souligner la Semaine mondiale de l’entrepreneuriat 2023

(23 novembre 2023) – Pour souligner la Semaine mondiale de l’entrepreneuriat 2023, qui a eu lieu du 13 au 17 novembre, la Fonderie a mis l’accent sur un(e) entrepreneur(e) diplômé(e) de l’Université Laurentienne chaque jour de la semaine.

 

Initiative dirigée par la Laurentienne, la Fonderie donne aux innovateurs de l’Université la possibilité d’avancer, de créer et de développer des idées qu’ils pourraient faire évoluer en entreprises sociales ou en démarrage. Hébergée tout près de l’Espace d’innovation et de commercialisation Jim-Fielding, la Fonderie donne à la population étudiante, au corps professoral et au personnel des possibilités de côtoyer des personnes aux vues similaires, d’explorer de nouvelles compétences et de concrétiser des idées.

 

Profils d’entrepreneurs 2023

 

Kielyn Marrone – Kielyn est diplômée de la Laurentienne (Leadership : activités physiques de plein air, 2009) et copropriétaire de l’entreprise d’excursion dans la nature, Lure the North, lancée en 2011 avec son conjoint Dave. Kielyn donne des cours sur la vie en région sauvage et des ateliers sur la fabrication manuelle traditionnelle. En 2019, elle a mis à l’épreuve ses compétences de survie en région sauvage à titre de concurrente à la téléréalité à succès, Alone

 

Kati McCartney – Ancienne de la Laurentienne, titulaire de deux maîtrises, une en sciences chimiques, l’autre en administration des affaires, Kati a l’occasion d’amalgamer son amour de la science, de la stratégie, des affaires et de l’environnement à titre de présidente de FROSKR. Sous sa direction, FROSKR est devenu en l’espace de seulement trois ans un cabinet d’expertise-conseil primé. FROSKR attire les meilleurs talents pour aider les clients locaux et mondiaux des secteurs de l’exploitation minière, de la sidérurgie, de la construction et du transport à atteindre leurs objectifs environnementaux. 

 

Christina Visser - En 1999, Christina a lancé avec son mari de feu, Steve, ce qui est connu aujourd’hui sous le nom d’Ionic Technology Group. Elle a reçu sa MBA de la Laurentienne en 2002 et s’est jointe à Ionic peu après, en 2005. Le regroupement d’entreprises a pris de l’ampleur, comptant actuellement 140 professionnels de l’ingénierie et de l’automatisation et exportant fièrement l’ingéniosité canadienne un peu partout dans le monde. En outre, Christina donne bénévolement son temps à titre de présidente fondatrice de la section de Sudbury des Femmes en sciences et en génie. 

 

David Anselmo - Diplômé de la Laurentienne (B.A. spéc. 1999), David Anselmo travaille dans le secteur du divertissement depuis plus de 25 ans et a su faire démarquer Sudbury dans l’industrie cinématographique canadienne. En 2010, il a fondé la maison de production Hideaway Pictures et, en 2012, a lancé Northern Ontario Film Studios, premier et seul studio cinématographique du nord de l’Ontario, qui offre une vaste gamme de matériel et de services favorisant la croissance de l’industrie. En 2023, il a reçu le prix de l’Entreprise de l’année lors de la remise des prix d’excellence en affaires de la Chambre de commerce du Grand Sudbury.

 

Karim Omri – Titulaire d’un baccalauréat en génie et d’une maîtrise en sciences appliquées de l’Université Laurentienne, Karim Omri est devenu un ingénieur-conseil. En 2013, il a lancé Komri Engineering, offrant les services de génie structural, mécanique et électrique ainsi que de conception architecturale. En 2019, Northern Ontario Business l’a nommé l’une de 40 personnes de moins de 40 ans les plus performantes.  

 

« J’ai toujours hâte de célébrer la Semaine mondiale de l’entrepreneuriat, a dit la directrice de la recherche et de l’innovation à la Laurentienne, Gisele Roberts, car j’ai le privilège de rencontrer de formidables entrepreneurs dans le cadre de mes fonctions. Je suis incroyablement fière des réalisations de nos anciens et tiens à féliciter Kielyn Marrone, Kati McCartney, Christina Visser, David Anselmo et Karim Omri de leur réussite. »

 

Pour obtenir un complément d’information sur la Fonderie, consultez son site Web, Twitter ou Instagram, ou écrivez à foundry@laurentian.ca.

Inspirer la prochaine génération d’enseignants francophones

Inspirer la prochaine génération d’enseignants francophones

Réalisations de Christian Laforge et d’Amanda Dion-Groleau, diplômés du baccalauréat en éducation.

(22 novembre 2023) – Nombre d’entre nous se souviennent certainement de leurs années d’école et d’un moment où un enseignant ou une enseignante nous a inspirés.

L’enseignant(e) de sciences qui a exploité votre curiosité pour l’Univers.
L’enseignant(e) de commerce qui vous a montré comment être votre propre patron.
L’enseignant(e) d’anglais qui vous a initié aux joies de la lecture.

Tous ces moments ont été créés par des personnes passionnées par l’enseignement. Christian Laforge et Amanda Dion-Groleau, diplômés d’un des programmes d’enseignement en français de l’Université Laurentienne, le baccalauréat en éducation (consécutif), sont deux de ces passionnés.

Christian Laforge enseigne actuellement au secondaire à Timmins. Sa passion pour l’enseignement a vu le jour lorsqu’il est devenu un membre actif de la communauté de la Laurentienne. En 2014, Christian a quitté sa ville natale de Grand Falls, au Nouveau-Brunswick, pour s’installer à Sudbury afin d’obtenir une maîtrise en psychologie expérimentale à la Laurentienne.

Après avoir obtenu sa maîtrise, Christian a décroché son premier poste d’enseignant en tant que chargé de cours au sein du Département de psychologie de la Laurentienne. Au cours de cinq années d’enseignement au niveau universitaire, Christian a exercé de nombreux rôles sur le campus de la Laurentienne, notamment des postes au sein de Conseils aux études et de Liaison. « Mes interactions avec les futurs étudiants, a déclaré Christian, m’ont beaucoup motivé à m’inscrire à un baccalauréat en éducation afin de pouvoir travailler avec des élèves du secondaire. »

Après avoir obtenu son baccalauréat en éducation, Christian a eu la chance de pouvoir choisir parmi deux offres à plein temps. « Dans les deux cas, le programme d’enseignement en français m’a bien aidé. J’avais des options, ce qui est incroyable, dit-il. En examinant les données, il semble que l’enseignement en langue française a actuellement de fortes chances de se traduire par un emploi. »

En tant que codirecteur de la section de l’UL de Shad Canada, une organisation à but non lucratif qui aide les jeunes à relever les défis sociaux et économiques sous l’optique entrepreneuriale et de STIAM, Christian continue de contribuer de manière importante à la vie du campus. « Mon cheminement a été excellent et j’ai bien aimé mon séjour à l’université. J’ai l’impression que mes études à la Laurentienne m’ont préparé à ce que je devais savoir pour devenir enseignant. »

Amanda Dion-Groleau est un autre exemple d’éducatrice passionnée. Elle enseigne actuellement le français aux employés du gouvernement canadien au moyen d’un format virtuel dans sa ville natale de North Bay. Elle a étudié à la Laurentienne et a obtenu un baccalauréat ès arts avec spécialisation en Psychologie en 2016 et un baccalauréat en éducation (consécutif) en 2018.

« Je n’aurais jamais pensé que j’enseignerais virtuellement aux adultes avec mon diplôme. Ce n’est certainement pas là où j’aurais prédit que ma carrière me mènerait, a-t-elle indiqué, mais la vie vous offre des possibilités et il faut les saisir. J’aime où mon cheminement m’a mené. »

Grâce à l’expérience acquise en classe au cours de ses stages, qui comprenaient la planification d’unités et l’enseignement à quatre niveaux différents, Amanda était bien équipée pour enseigner le français après l’obtention de son diplôme. Bien que celui-ci visait à éduquer de jeunes élèves, Amanda a acquis des compétences de différenciation cruciales pour concevoir des cours créatifs et engageants dont son public adulte bénéficie.

Éduquer les gens à parler couramment le français est une passion pour Amanda. « Je suis fière de ma langue et de ma culture, dit-elle. Il est important pour moi de continuer à enseigner en français, car j’aime pouvoir partager ma langue avec davantage de personnes. Je veux encourager les gens à apprendre le français dans des environnements accueillants avec des leçons engageantes. »

Amanda espère devenir conseillère pédagogique, un rôle qui lui permettra de montrer à d’autres enseignants de français comment structurer leurs cours de manière plus engageante et différenciée.

Préservation de l’anishinaabemowin sur le terrain

Préservation de l’anishinaabemowin sur le terrain

Des étudiants de la Laurentienne inaugurent un Sentier de remise en état de la biodiversité arborant le nom des plantes en anishinaabemowin.

(9 novembre 2023) - Alors que le campus se pare d’une beauté automnale, un sentier de randonnée a été réaménagé pour préserver l’anishinaabemowin et la connaissance des plantes derrière le Centre pour la vitalité des lacs Vale grâce aux efforts du Comité de la durabilité environnementale de l’Université Laurentienne. 

Ce travail de préservation a été rendu possible grâce aux fonds reçus de l’Institut Jane Goodall du Canada. L’équipe du projet a préparé plus de 25 panneaux portant le nom anishinaabemowin des plantes indigènes qui jalonnent le Sentier de remise en état de la biodiversité. L’aînée Sandra Corbiere et Jade Corbiere, jeune membre de la Première Nation de Wahnapitae, ont collaboré avec le Comité de la durabilité environnementale pour créer un code QR permettant l’accès aux prononciations des plantes en format audio.

Le Comité de la durabilité environnementale, qui siège au Centre pour la vitalité des lacs Vale, est composé d’étudiants qui sont le fer de lance des efforts de la Laurentienne dans le cadre de la Promesse des universités pour une nature positive. En signant cette promesse, la Laurentienne s’est engagée à promouvoir un important mouvement vers une planète vivable et biodiversifiée. L’objectif de l’initiative Universités pour une nature positive, lancée conjointement par le Programme des Nations unies pour l’environnement et l’Université d’Oxford, incarne ce mouvement qui est de restaurer le milieu naturel dans les établissements d’enseignement supérieur en réduisant leur empreinte écologique.

En préparation de l’événement, le projet a mis l’accent sur la consultation de la communauté autochtone locale et l’apprentissage. Les visiteurs disposent ainsi sur le campus d’un espace interactif où il est possible de se familiariser avec la langue anishinaabe, notamment le nom des plantes, tout en soulignant l’importance de préserver les langues autochtones.

Le 26 octobre 2023, les membres de la communauté ont participé à une randonnée de célébration sur le Sentier de remise en état de la biodiversité sous la direction de l’aînée Linda Toulouse (Première Nation des Anishnawbek de Sagamok). Le vice-recteur associé du Bureau de l’enseignement et des programmes autochtones, Dominic Beaudry, a pris la parole et a souligné l’importance de la préservation de la langue anishinaabemowin.

« Au cours des prochaines années, nous espérons que cet espace deviendra une ressource d’apprentissage fort utile, a indiqué la présidente du Comité de la durabilité environnementale, Anastacia Chartrand. Il permettra d’approfondir les liens avec la nature. Notre objectif est que le sentier serve de lieu de formation où le monde peut se rassembler pour apprendre, réfléchir et s’engager avec la terre. »

Après tous ses efforts et son travail acharné au sein de la communauté de la Laurentienne, Anastacia a reçu le 28 octobre 2023 son diplôme de maîtrise en communication scientifique. Elle compte toutefois rester active cette année au sein de l’équipe du Comité, le temps qu’Avery Morin et Benoit Lalande se familiarisent avec leur nouveau rôle de leaders.

« La collaboration communautaire est partie intégrante de projets comme celui-ci, a indiqué Taylor Nicholls, responsable de la liaison en relations autochtones auprès du Comité, candidate à la maîtrise en biologie et membre de la Première Nation de Wahnapitae. C’était merveilleux de voir réunies, à l’occasion de cet événement, des personnes de communautés et d’organisations aussi diverses. »

Le Comité de la durabilité environnementale espère continuer de faire des contributions positives au maintien du respect de la terre et de l’attachement à celle-ci. Parmi ses activités actuelles, le Comité procède à des évaluations de la biodiversité, crée une forêt modèle, évalue la qualité de l’eau, développe un jardin communautaire étudiant et accroît la participation des étudiants.

Pour en savoir plus sur le Comité de la durabilité environnementale, les personnes peuvent consulter Facebook et Instagram ou écrire à environment@laurentian.ca.

L’Université Laurentienne va de l’avant avec son plan de transformation

L’Université Laurentienne va de l’avant avec son plan de transformation

Le plan détaillé établit le processus pour améliorer les systèmes, processus et politiques à l’appui de la mission et de la viabilité financière de l’Université

2 novembre 2023 - L’Université Laurentienne est heureuse de mettre en œuvre son programme de transformation opérationnelle que le Conseil des gouverneurs a approuvé récemment et qui attend l’approbation du ministère des Collèges et Université.

« Nous pensons que ce plan de transformation et le prochain plan stratégique poseront les bases d’un avenir durable où l’Université Laurentienne encouragera la croissance et les possibilités pour tous, a déclaré la rectrice et vice-chancelière par intérim, Mme Sheila Embleton. Même s’il y a encore beaucoup de travail difficile à faire, nous sommes convaincus d’avoir le plan approprié pour nous assurer un avenir brillant. »

Après des mois de consultation du corps professoral, du personnel et de la communauté, Deloitte, en étroite collaboration avec l’Université, a ébauché des feuilles de route détaillées pour la transformation opérationnelle dans quatre volets clés : technologie de l’information, finances, ressources humaines ainsi que secrétariat général et affaires étudiantes (SGAE). Ce plan de transformation repose sur les recommandations du groupe NOUS et du rapport de la vérificatrice générale sur l’Université Laurentienne.

L’Université désire remercier toutes les personnes qui ont siégé au Groupe de consultation sur la transformation et les quelque 120 membres du corps professoral, du personnel, de la population étudiante, et des diplômés qui ont participé aux séances de consultation au printemps et en été. Il aurait été impossible d’établir ce plan sans les efforts inlassables que ces personnes ont déployés tout au long de ce processus de planification, et leur soutien sera primordial durant la mise en œuvre.

Les prochaines étapes sont déjà en bonne voie, car le Bureau de la mise en œuvre du plan de transformation (BMOPT) constitue actuellement son équipe qui comptera des membres de chacun des quatre volets ainsi que des ressources d’appoint. Comme l’exige le Plan d’arrangements de l’Université, le BMOPT sera soutenu par un tiers pendant la mise en œuvre du plan et c’est pourquoi Deloitte a été retenu jusqu’en octobre 2024 pour remplir cette obligation à un coût ne dépassant pas 972 920  $. Ensemble, ils auront la responsabilité de prioriser les tâches indiquées dans le plan et de superviser l’exécution de chaque grande étape dans les délais impartis. Au fil de la mise en œuvre, nous travaillerons volontiers avec nos partenaires syndicaux, des parties prenantes clés.

L’Université a commencé en septembre à examiner l’actuel système de planification des ressources d’entreprise (PRE) et poursuivra cet examen jusqu’en décembre. Les données recueillies au cours de ce processus serviront à déterminer si elle conservera son logiciel actuel ou cherchera un autre système intégré pour mieux répondre à ses besoins.

 

Points saillants

Le plan graduel prêt à être mis en œuvre porte sur quatre domaines administratifs de l’Université : ressources humaines, finances, secrétariat général et affaires étudiantes, et technologie de l’information. Voici les principales caractéristiques :

  • Ressources humaines : Établir des normes fondamentales, rationaliser et stabiliser les opérations et améliorer la rentabilité. Cela exige de recruter du talent et des plans de travail pour les systèmes de gestion des cas et d’information sur les ressources humaines.
  • Finances : Moderniser la fonction finances en l’intégrant pleinement à la stratégie de PRE de l’Université et en améliorant les systèmes et processus actuels.
  • SGAE : Clarifier le contenu et les services pour le personnel, le corps professoral et la population étudiante afin d’appuyer la recherche, l’enseignement et l’octroi des grades, y compris une approche intentionnelle de soutien à la vie étudiante.
  • Technologie de l’information : Définir les rôles et responsabilités, commander la reddition de comptes et améliorer la prise de décision et la transparence grâce à des cadres de travail et de gouvernance liés à la technologie. Cela inclut la mise en œuvre d’un catalogue des services afin de saisir et de communiquer les cibles de niveau de service et de mieux établir ainsi les attentes avec les utilisateurs concernant les délais.

Un site Web créé au cours des prochaines semaines constituera un carrefour d’information et de communication sur le programme de transformation et sa progression, et permettra de suivre le travail accompli conformément aux délais prévus.

L’Université Laurentienne sera l’hôte du prochain Forum national sur la réconciliation

L’Université Laurentienne sera l’hôte du prochain Forum national sur la réconciliation

Le forum annuel d’Universités Canada sur la réconciliation aura lieu à Sudbury

30 octobre 2023 - L’Université Laurentienne sera l’hôte du prochain Forum national sur la réconciliation, un événement visant à mettre en relation les communautés autochtones et universitaires afin de créer un changement favorable à l’éducation des autochtones et à la vérité et la réconciliation.

Organisé par le Bureau de l’enseignement et des programmes autochtones de l’Université Laurentienne, le Forum national sur la réconciliation de 2024 d’Universités Canada aura lieu en juin au Centre autochtone de partage et d’apprentissage.

Le Forum aidera les participants à explorer des sujets essentiels concernant l’éducation des étudiants inuits, métis et des Premières Nations à répondre aux appels à l’action de la Commission de vérité et de réconciliation, et à autochtoniser les établissements postsecondaires.

« L’éducation autochtone et la réconciliation sont au cœur de l’identité triculturelle de l’Université Laurentienne et nous sommes honorés d’accueillir le Forum, a déclaré le vice-recteur associé du Bureau de l’enseignement et des programmes autochtones à l’Université Laurentienne, M. Dominic Beaudry (Zhibiigegamik wi Kendaaswin miinwa Nitaamgayaajig Kinomaagewinan). Nous espérons faire mieux comprendre ce que les universités peuvent faire pour faire avancer le travail et l’incidence de la réconciliation. »

« Félicitations à l’Université Laurentienne d’avoir été choisie comme hôte du prochain Forum national sur la réconciliation, a déclaré le président-directeur général par intérim d’Universités Canada, M. Philip Landon. L’avancement de l’éducation autochtone et de la réconciliation est une priorité absolue pour les universités canadiennes, et le Forum aide les universités à le faire efficacement et en collaboration. Nous avons hâte d’échanger avec les communautés qui entourent l’Université Laurentienne en 2024, alors que nous poursuivons ce travail d’une importance cruciale. »

« L’Université Laurentienne est fière d’accueillir le Forum, a indiqué la rectrice et vice-chancelière par intérim de l’Université Laurentienne, Mme Sheila Embleton, et nous sommes impatients d’accueillir nos collègues à Sudbury. »

Le Forum facilitera la mise en commun de connaissances et d’expériences selon divers formats : groupes de discussion, histoires orales, ateliers, affiches, conférences, et arts visuels et scéniques. Les orateurs invités, les anciens et les gardiens du savoir participeront tous à la promotion de la vérité et de la réconciliation.

Le Forum réunira des intervenants et des participants de tout le pays, de l’île de la Tortue et de groupes autochtones locaux, ainsi que des membres de la communauté. Les détails du programme seront communiqués dès que possible.

Renseignez-vous sur le Forum national sur la réconciliation, qui se tiendra le mardi 25 juin, mercredi 26 juin et jeudi 27 juin 2024.

 

Au sujet d’Universités Canada

Porte-parole des universités canadiennes au Canada et à l’étranger, Universités Canada fait la promotion de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation au profit de tous les Canadiens.
 
Personne-ressource pour les médias
Lisa Wallace
Directrice adjointe, Communications
Universités Canada
communications@univcan.ca

 

Au sujet de l’Université Laurentienne

L’Université Laurentienne, l’une des deux universités bilingues de la province, accueille plus de 8 000 étudiants sur son campus à Sudbury, en Ontario. Attachée à son mandat bilingue et triculturel, la Laurentienne offre une expérience universitaire exceptionnelle en anglais et en français accompagnée d’une approche intégrale de l’enseignement autochtone.

Personne-ressource pour les médias
communications@laurentienne.ca

Pleins feux sur les étudiants : Emporté par la passion des sports

Pleins feux sur les étudiants : Emporté par la passion des sports

Le rêve qu’avait Hilmi Ordukiran en quittant la Turquie s’est réalisé au Canada

(24 octobre 2023) - Même devant l’adversité, Hilmi Ordukiran, étudiant de troisième année en administration des sports à l’Université Laurentienne, a fait preuve de bienveillance et de persévérance en parcourant un chemin sinueux, emporté par sa passion, pour en arriver là où il est aujourd’hui.

Avant de lancer une carrière en administration des sports, Hilmi était ingénieur en devenir. Il avait entrepris des études en métallurgie à Istanbul, en Turquie, où il est né et a passé sa jeunesse. Par contre, en 2011, pendant sa deuxième année d’études, il a déménagé en Allemagne pour suivre un programme de génie chimique tout en s’initiant à la langue et à la culture du pays.

Lors d’un été, Hilmi a été embauché comme stagiaire par le fabricant automobile allemand, Volkswagon, où il a veillé à l’assurance de la qualité interne. Bien qu’il y ait acquis une excellente expérience de travail, dont il est très reconnaissant, il a découvert que l’ingénierie n’est pas son domaine.

Hilmi s’est trouvé à une impasse; il était surmené, sans projet de carrière, et sa famille lui manquait. En 2016, il est rentré en Turquie et a pris un appel téléphonique qui a changé à jamais le cours de sa vie.

Pendant plus de 15 ans, la famille de Hilmi avait participé à Fenerbahçe S.K., club sportif turc, et il y assistait aux matchs avec sa parenté. Le club l’a appelé pour lui offrir un poste comme adjoint à un entraîneur-chef arrivant en Turquie des Pays-Bas. Puisque Hilmi parlait l’anglais et l’allemand, il est devenu un atout pour le club et, pendant deux saisons, a prêté un soutien à beaucoup d’athlètes qui sont allés en Turquie.

« En recevant cet appel de Fenerbahçe S.K., a dit Hilmi, j’ai décidé que j’irais aussi loin qu’il le fallait pour rester dans l’industrie du sport. »

À la poursuite de ce rêve, Hilmi a été admis au programme d’administration des sports du Collège Georgian et a déménagé avec sa femme au Canada. Par suite de ces études, voulant se perfectionner davantage, il s’est inscrit au programme d’administration des sports de l’Université Laurentienne. « J’avais travaillé et étudié pendant une quinzaine d’années et n’avais toujours pas de diplôme, a-t-il expliqué. Puisque j’y étais quasiment parvenu, j’ai décidé que le moment était propice pour l’obtenir. »

Ce sont les éléments commerciaux et mathématiques du programme à la Laurentienne qui ont attiré Hilmi. « J’aime bien les mathématiques et ai découvert aussi un intérêt pour l’analyse des sports, a-t-il exprimé. Les équipes sportives professionnelles ont des entraîneurs qui se penchent strictement sur les chiffres – j’espère faire un travail comme ça un jour. »

Pendant ses études, Hilmi a travaillé auprès de diverses entreprises de sport et des organismes sportifs nationaux. Il fait preuve d’un grand enthousiasme pour l’enseignement dans le cadre de l’entraînement. « Je crois que l’enseignement, précise-t-il, a une certaine valeur pour les jeunes athlètes. » Lui-même joueur de soccer et de polo, Hilmi comprend bien l’importance du mentorat et de l’encadrement.

Apporter un soutien à son pays natal lui tient également à cœur. À ces fins, il a ouvert le dialogue avec les professeurs et administrateurs de son programme, y compris le directeur de l’École d’administration des sports à la Laurentienne, Anthony Church, Ph.D. « Il y a eu une période éprouvante en Turquie suivant un tremblement de terre, a expliqué Hilmi, et la communauté Laurentienne m’a appuyé en rassemblant une bonne quantité de biens à y expédier. Je suis très reconnaissant de ce geste et bien heureux d’avoir choisi d’être venu à la Laurentienne. »

Hilmi arrivera au bout d’un chemin long et sinueux lorsqu’il termine ses études l’an prochain. Après cela, il souhaite continuer à faire de l’entraînement, à se laisser emporter par sa passion des sports et à avoir une incidence positive dans son pays natal de Turquie.

L’Université Laurentienne annonce la nomination d’une nouvelle vice-rectrice aux finances et à l’administration

L’Université Laurentienne annonce la nomination d’une nouvelle vice-rectrice aux finances et à l’administration

Mme Sylvie Lafontaine est une dirigeante chevronnée comptant des dizaines d’années d’expérience et divers titres en matière de comptabilité

17 octobre 2023 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de Mme Sylvie Lafontaine à titre de nouvelle vice-rectrice aux finances et à l’administration. Mme Lafontaine assurera un leadership stratégique, financier et opérationnel à ce moment particulièrement important de la transformation à l’Université.

Mme Lafontaine est une cadre bilingue possédant plus de 25 ans d’expérience dans des organisations des secteurs public et privé. Elle est actuellement directrice principale de l’aide à la prise de décision – Planification financière et gestion des ressources à la Chambre des communes, à Ottawa. Elle a dirigé la mise en œuvre d’un modèle organisationnel d’aide à la prise de décision, ce qui s’est traduit par le plan stratégique triennal de la Chambre, y compris la livraison des budgets 2023-2024 deux mois plus tôt afin de faciliter un démarrage plus rapide des initiatives stratégiques. Elle a également dirigé la création de processus standardisés pour accroître la cohérence et la transparence de la budgétisation et des rapports. Mme Lafontaine occupait précédemment le poste de directrice administrative à l’Université d’Ottawa, où elle a dirigé la consolidation des services aux entreprises soutenant les secteurs de la finance et de l’administration.

Elle a également occupé les postes de directrice principale de la Stratégie au Bureau du président et chef de la direction de la Monnaie royale canadienne, et directrice financière et vice-présidente, Services généraux, au Conseil canadien des normes. Elle a aussi occupé des postes au sein de la Société canadienne des postes et à titre de sous-ministre adjointe à Service Canada. Mme Lafontaine est une comptable professionnelle agréée (CPA), comptable agréée (CA) et diplômée du programme de baccalauréat en administration des affaires de l’Université du Québec en Outaouais (1983).

« Le Comité de recrutement a rapidement constaté les connaissances approfondies de Mme Lafontaine en matière d’opérations financières et administratives. Elle a fait preuve d’idées convaincantes et créatives, d’authentiques compétences en matière d’établissement de relations et d’un bon jugement. Elle est exactement le genre de leader hautement compétent et intègre dont la communauté de la Laurentienne a besoin, a déclaré Mme Sheila Embleton, rectrice et vice-chancelière par intérim et présidente du Comité de recrutement. J’ai bien hâte de travailler avec elle alors que nous poursuivons notre processus de transformation. »

« Je crois profondément à l’importance et au potentiel de l’enseignement postsecondaire, a déclaré Mme Lafontaine. La Laurentienne est particulièrement unique en raison de son mandat bilingue et triculturel. Cet établissement est spécial et j’ai hâte de faire partie de l’équipe qui poursuivra cet héritage d’excellence universitaire et communautaire. »

La Laurentienne désire exprimer sa gratitude à l’actuel vice-recteur intérimaire aux finances et à l’administration de la Laurentienne, M. Michel Piché, qui remplit admirablement ce rôle depuis l’automne 2021. Il importe aussi de remercier le Comité de recrutement de sa collaboration avec KBRS dans le cadre de cette nomination importante. Les membres du Comité étaient les suivants : Dominic Beaudry, Brenda Brouwer, Michel Delorme, Tammy Eger, Sheila Embleton, Tom Fenske, Nadia Mykytczuk, Tanya Shute et Meredith Teller.

Mme Lafontaine entrera en fonction le 30 octobre 2023.

Un projet de recherche de la Laurentienne est mis en valeur sur la scène provinciale

Un projet de recherche de la Laurentienne est mis en valeur sur la scène provinciale

Le professeur Steven Beites et le doctorant Ethan McDonald participent à une présentation à Queen’s Park

(16 octobre 2023) - Professeur adjoint à l’École d’architecture McEwen de l’Université Laurentienne, Steven Beites figurera parmi les chercheurs participant à la première activité organisée à Queen’s Park par le Conseil des universités de l’Ontario depuis la pandémie : « Un plan pour la prospérité : Alimenter la chaîne d’approvisionnement de la fabrication avancée ».

La réception, qui aura lieu lundi 16 octobre, de 17 h à 19 h, donnera l’occasion aux chercheurs de s’entretenir avec les leaders provinciaux tout en mettant en évidence le rôle des universités dans la création d’un Ontario plus fort.

À Queen’s Park, le professeur Beites, accompagné du doctorant Ethan McDonald, fera valoir ses recherches visant à affronter la crise du logement abordable, surtout dans le nord de l’Ontario, en mettant au point des processus automatisés de construction et des montages modulaires préfabriqués des plus innovateurs et à faible émission de carbone. Il captivera l’intérêt des députés provinciaux, des ministres, du personnel ministériel et d’autres intervenants grâce à un exemple de processus automatisé de construction, à des affiches sur sa recherche et à des prototypes des nouveaux montages préfabriqués.

Les résultats de recherche sont le produit de travail dans les ateliers d’études supérieures de M. Beites et de l’apport d’une équipe transdisciplinaire incluant Marc Arsenault de l’École de génie Bharti ainsi que Blake Dotta et Reza Foruzanmehr de l’École des sciences naturelles.

En 2021, l’équipe de recherche a reçu une subvention Exploration du Fonds Nouvelles frontières en recherche pour son projet intitulé « Human-Robot Interaction and Collaboration as a Catalyst for Creative Economy, Community Outreach and Emerging Design-Build Solutions in Ontario’s North » (« Interaction et collaboration homme-robot en tant que catalyseur de l’économie créative, du rayonnement communautaire et des solutions de conception-construction émergentes dans le nord de l’Ontario »).

Pleins feux sur les étudiants : Comment fait-on pour devenir géologue?

Pleins feux sur les étudiants : Comment fait-on pour devenir géologue?

L’exploration postsecondaire de Nia Gauthier

(5 octobre 2023) – Il va de soi qu’il est nécessaire d’entreprendre un processus assez complexe pour découvrir un gisement de minerai. On peut en dire autant pour la découverte d’une passion parmi les nombreux choix postsecondaires. L’étudiante Nia Gauthier a en fait creusé sous la surface pour se tracer un parcours vers la carrière de géologue.

Originaire de Chapleau (Ontario) et diplômée de l’École secondaire du Sacré-Cœur (2018), Nia est actuellement inscrite au programme de Master of Geology avec thèse de recherche à l’Université Laurentienne. La titulaire de deux diplômes postsecondaires en prépare effectivement un troisième.

Au départ, consciente de l’abondance de carrières dans le Grand Sudbury, Nia avait l’intention de suivre le programme de génie à la Laurentienne, bien qu’elle doutait avoir obtenu les notes nécessaires aux cours de sciences au secondaire. « Je ne pensais pas être admise à l’université, a-t-elle dit, et me voici maintenant à commencer mes études de maîtrise, chose que je croyais impossible. »

Ne se laissant pas dissuader, elle a suivi alors le programme de deux ans de Technologie du génie civil et minier au Collège Boréal afin de rehausser ses notes. « Fréquenter d’abord le collège, a-t-elle expliqué, m’a permis de combler les lacunes de ma compréhension depuis l’école secondaire et d’acquérir les outils dont j’avais besoin pour les études universitaires. »

Pendant son séjour collégial, Nia a découvert sa passion pour la géologie. Une fois initiée à la discipline, elle voulait continuer à en apprendre, surtout en matière de cartographie souterraine et d’exploration sur le terrain, domaines qui l’intéressent tout particulièrement.

Pendant les étés de 2018 à 2020, elle a travaillé à Borden Gold, dans sa ville natale, à titre de technicienne à prélever des échantillons aux côtés de géologues dans la carothèque. En septembre 2020, heureuse de constater que la Laurentienne offre un programme bien connu en sciences de la Terre avec divers cours sur le terrain, elle s’est préparée à la prochaine étape de sa formation et a amorcé ses études de baccalauréat.

« Beaucoup de membres du corps professoral à la Laurentienne tiennent à cœur la réussite des étudiants, » a exprimé Nia. Entre autres, Tobias Roth, Lynn Bulloch et Pedro Jugo, Ph.D. ne sont que quelques exemples de professeurs qui ont eu une incidence positive sur son expérience universitaire. 

Pendant ses études de premier cycle en sciences de la Terre, Nia a été membre du Club des sciences de la Terre, ce qui lui a permis de participer aux excursions annuelles d’un week-end à Bancroft (Ontario) pour faire la collecte de minéraux. « Ces voyages m’ont beaucoup aidé à connaître d’autres étudiants, a-t-elle expliqué, tout en faisant quelque chose qui nous passionnait tous. » En outre, le Centre Willet-Green-Miller a assuré à Nia et aux autres étudiants de géologie un milieu où ils se sentaient chez eux.

Au cours de l’été 2021, elle a acquis de l’expérience d’exploration sur le terrain en travaillant pour SPC Nickel, jeune entreprise sudburoise, à la recherche de minéraux renfermant du cuivre, du nickel et des éléments du groupe du platine (EGP). Plus tôt cette année, un membre du corps professoral de la Laurentienne à informer Nia d’un poste en exploration sur le terrain avec Frontier Lithium, dans le nord-ouest de l’Ontario. Elle a ainsi passé l’été dernier à son emploi à la recherche de pegmatites en lithium, césium et tantale (LCT).

Nia a hâte d’obtenir sa maîtrise en deux ans et espère pouvoir voyager ensuite en travaillant en géologie de production ou d’exploration. Elle envisage également la possibilité de préparer un doctorat à l’avenir. Cette étudiante illustre très bien les raisons pour lesquelles il faut suivre sa passion et ne jamais abandonner, même si la trouver, cette passion, est parfois aussi exigeant que de découvrir un gîte de nickel.

L’Association de chimie de la Laurentienne est reconnue pour ses contributions exceptionnelles

L’Association de chimie de la Laurentienne est reconnue pour ses contributions exceptionnelles

La Société canadienne de chimie décerne son Prix de mérite pour une section étudiante de 2023

(26 septembre 2023) – L’Association de chimie de la Laurentienne a reçu une mention honorable au Prix de mérite pour une section étudiante 2023 de la Société canadienne de chimie.

Depuis sa fondation en 2020, l’Association de chimie de la Laurentienne est dirigée par des étudiants du premier cycle ayant des liens avec la chimie. Les membres apportent aux étudiants un soutien aux études en leur offrant des documents de revue pour les examens de chimie de première année, un tutorat dans un large éventail de cours à fondement scientifique, un cours intensif en chimie (« Chemistry Crash Course Bootcamp ») ainsi que des activités sociales d’études en sciences et génie présentés sur le campus pendant l’année universitaire. En outre, il organise une série de colloques qui transmet des renseignements professionnels d’experts locaux ainsi que l’activité annuelle de collecte de fonds pour la Banque alimentaire de Sudbury en partenariat avec d’autres clubs étudiants de l’École des sciences naturelles qui a amassé un total de 5 665 $ au fil des ans.

« Notre objectif est d’offrir une programmation de haut calibre pour subvenir aux besoins scolaires et sociaux de nos étudiants à la Laurentienne, a expliqué le président de l’Association de chimie de la Laurentienne, Josh Hubert. La merveilleuse communauté de notre campus nous inspire quotidiennement à évoluer et à nous améliorer de toutes les façons possibles. »

Tous les ans, l’Institut de chimie du Canada présente des prix étudiants afin de faire valoir les contributions exceptionnelles des étudiants au palier postsecondaire. Depuis 1994, le Prix de mérite pour une section étudiante est décerné à des associations étudiantes afin de souligner et d’encourager l’initiative et la créativité de leur programmation en chimie.

La mention honorable au Prix de mérite pour une section étudiante de la Société canadienne de chimie est une belle réalisation pour l’Association de chimie de la Laurentienne nouvellement établie. Celle-ci est reconnaissante envers ses nombreux partenaires à la Laurentienne, tout particulièrement le corps professoral en chimie, dont MM. Eric Gauthier, Louis Mercier, Jeffrey Shepherd et Stefan Siemann qui ont tous apporté des contributions importantes à ses initiatives au cours des trois dernières années.

L’Association de chimie de la Laurentienne accueille toujours les nouveaux membres qui veulent y participer. Pour obtenir d’autres renseignements à son sujet, les personnes intéressées peuvent écrire à lac-alc@laurentian.ca.

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