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Microcertifications : la voie idéale pour la croissance professionnelle et personnelle

Microcertifications : la voie idéale pour la croissance professionnelle et personnelle

Le Centre d'enseignement et d'apprentissage continu de la Laurentienne offre des choix souples d'apprentissage convenant parfaitement au perfectionnement de compétences et à l'avancement de la carrière sans engagement à long terme.

22 août 2024 – L’électricité de la rentrée est dans l’air alors que les étudiants se préparent à reprendre leurs cours. La rentrée universitaire est pleine d’optimisme et d’énergie et déborde de potentiel. Pour les personnes qui souhaitent ressentir ce sentiment prometteur sans l’engagement à long terme de s’inscrire à l’université, les microcertifications et les programmes non crédités offrent un équilibre parfait.

Les microcertificats offrent aux étudiants la possibilité de développer leurs compétences et capacités dans un domaine précis. L'Université Laurentienne offre 17 cours de microcertification, en anglais et en français, allant des soins de santé aux micropousses, ouvrant des possibilités aussi diverses que les personnes qui s’y intéressent.

Titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en sciences infirmières de la Laurentienne, Christina Sckopke est responsable des programmes de microcertification et non crédités au Centre d'enseignement et d’apprentissage continu (CEAC) à l'UL.

Après 15 ans en soins infirmiers, Christina a suivi des cours de perfectionnement professionnel pour rehausser ses chances d'obtenir un rôle de direction. Elle travaille maintenant pour élargir les choix de perfectionnement professionnel de la Laurentienne, en ayant fait l’expérience elle-même, et préconise le potentiel des microcertificats pour les professionnels.

« Je crois vraiment à la valeur des microcertifications, a-t-elle affirmé, parce que je connais d’expérience leur capacité à développer les habiletés d'une personne et à lui permettre de se démarquer. Un perfectionnement professionnel comme celui-ci est un investissement en soi et démontre une volonté de réussir. »

Dans son rôle au BEAC, Christina recherche les domaines ayant des lacunes pouvant bénéficier d'une formation complémentaire et collabore avec des partenaires pour développer des cours visant à combler ces lacunes.

« Les cours s'adressent aux adultes de tous les âges, a-t-elle expliqué. Certains commencent dès 16 ans, mais cela dépend du cours. Nous avons établi une limite de 30 heures pour les cours et demandons aux apprenants de compter consacrer de deux à cinq heures par semaine aux études. Les cours sont fondés sur les compétences et accessibles, car nous reconnaissons que les apprenants ont souvent un horaire chargé. »

Les cours de Rédaction de demandes de subvention et de Doula de fin de vie à la Laurentienne sont les plus prisés par les personnes à la recherche de perfectionnement professionnel. Comme bon nombre de cours, ils sont admissibles au RAFEO, ce qui réduit pour les apprenants l'obstacle financier.

Grâce au financement récemment reçu du Fonds ontarien d'aide pour la microcertification, le CEAC compte développer trois nouveaux microcertificats pour combler les lacunes au niveau des compétences dans des secteurs prioritaires.

● Techniques appliquées de réduction des comportements

● Vieillissement urbain et conception inclusive

● La musique dans les soins du Nord

Il est possible de s’inscrire à plusieurs moments de l'année. Les personnes qui s’y intéressent peuvent s’inscrire au prochain cycle de cours ici.

Pleins feux sur la recherche

Pleins feux sur la recherche

20 août 2024 - À la Laurentienne, le corps professoral et la population étudiante continuent d’effectuer des recherches créatives et innovatrices qui repoussent les limites et font progresser la compréhension dans leurs domaines. Les étudiants font leur apprentissage auprès de professeurs qui sont enthousiasmés par leur domaine d’expertise et participent activement à de nouvelles recherches. Les trois membres ci-dessous du corps professoral ont obtenu un financement pour leur projet opportun de recherche en cours.

Roxanne Bélanger

Professeure agrégée, École d’orthophonie, Faculté d’éducation et de santé

Roxanne Bélanger, Ph.D., est la directrice de l’École d’orthophonie. Ses champs d’intérêt de recherche incluent l’incidence des facteurs de risque sur le développement de l’enfant, les troubles développementaux du langage, le dépistage précoce des enfants ayant un retard du langage et l’offre active de soins de santé dans les communautés francophones en situation minoritaire (CFSM). Elle a présenté à ce sujet à l’échelle nationale et mondiale.

En 2024, Mme Bélanger a reçu une subvention de recherche du Centre national de formation en santé volet Université Laurentienne pour son projet intitulé « Les caractéristiques de l’enseignement robuste du vocabulaire qui facilitent l’apprentissage de nouveaux mots chez les enfants francophones d’âge préscolaire ». Dans le cadre de ce projet, Mme Bélanger et sa co-chercheuse, Chantal Mayer-Crittenden, Ph.D., cherchent à mesurer l’efficacité de diverses stratégies de lecture sur l’apprentissage de nouveaux mots.

Au cours de ce projet de deux ans, elles évalueront l’emploi de différents types de stratégies afin de déterminer les conditions qui mènent à un apprentissage optimal des mots. À partir de ces conclusions, des connaissances seront générées sur le développement du vocabulaire en général, et plus particulièrement chez les francophones en situation minoritaire. Ce projet comblera une lacune empirique en informant les professionnels travaillant avec des enfants d’âge préscolaire sur les stratégies de lecture qui produisent les meilleurs résultats. De plus, des pratiques exemplaires seront créées pour permettre aux éducateurs de structurer et de façonner le développement du langage oral des enfants.

Guangdong Yang

Professeur titulaire, École des sciences naturelles, Faculté des sciences, de génie et d’architecture

Les recherches de Guangdong Yang, Ph.D., portent sur la régulation et les fonctions du sulfure d’hydrogène dans le métabolisme cellulaire et les maladies cardiovasculaires. Il s’est voué à la création d’un programme de recherche qui est reconnu sur les plans national et international. Son travail est caractérisé par des initiatives de recherche collaborative, favorisant des partenariats fructueux tant au niveau local que mondial, débouchant sur de nombreuses publications conjointes importantes et l’échange de connaissances entre disciplines.

Dans son laboratoire, les projets de recherche reçoivent un soutien continuel d’une Subvention à la découverte du CRSNG et d’une Subvention d’aide de la Fondation des maladies du cœur du Canada. En 2022, sa Subvention à la découverte a été renouvelée pour cinq ans de plus. Ce projet de recherche a apporté des contributions considérables à l’identification et à l’explication de l’importance biologique d’une nouvelle molécule signal, le sulfure d’hydrogène, dans l’organisme.

Khaled Taktek

Professeur titulaire, École d’éducation, Faculté d’éducation et de santé

Dans ses recherches, Khaled Taktek, Ph.D., s’intéresse à la psychologie pédagogique, à la psychologie cognitive et à la formation du futur personnel enseignant. Il a été nommé boursier Fulbright (2014-2015) à la United States Military Academy West Point, à New York, pour son projet de recherche intitulé « Mental Imagery Training for Peak Performance: An Efficient Strategy for Motor Skills and Performance Enhancement as Well as Cognitive Functioning Development ».

En 2024, M. Taktek a été nommé boursier Fulbright à The Citadel, The Military College of South Carolina, aux États-Unis. Grâce à cette possibilité, il enseigne à l’établissement et mène un projet de recherche à grande envergure intitulé « Transactional Analysis as an Efficient and Interactive Strategy for Communications and Peacekeeping: Practices, Trends and Challenges for International Geopolitical Conflict Resolution and Reconciliation within the Field of Peace and War Studies. ».

Une nouvelle boîte à outils sur le stress thermique aide à prévenir les blessures et les maladies des travailleurs

Une nouvelle boîte à outils sur le stress thermique aide à prévenir les blessures et les maladies des travailleurs

Les recherches de Sandra Dorman, Ph.D. visent à lutter contre le risque croissant de stress thermique, en tirant parti de la technologie portable et des stratégies de prévention

15 août 2024 - Le changement climatique accroît le risque de stress thermique et étend son impact à de nouveaux secteurs, mais la technologie portable devient un atout pour comprendre les effets de la chaleur sur le corps et élaborer des stratégies de prévention efficaces. Directrice du Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) et professeure à l’École de kinésiologie et des sciences de la santé, Sandra Dorman, Ph.D., a lancé une boîte à outils sur le stress thermique conçue pour aider les employeurs et les travailleurs à éviter le stress thermique au travail.

Les recherches de Mme Dorman portent sur la promotion de la santé et la prévention des maladies en milieu professionnel. Elle a passé l’an dernier à étudier le stress thermique et son impact considérable sur la productivité des travailleurs et la santé en général, et a utilisé cette recherche pour développer une ressource d’information complète.

Le CRSST s’est associé à Occupational Health Clinics for Ontario Workers Inc. (OHCOW) pour créer cette boîte à outils et l’offrir sur le site Web de l’OHCOW. La ressource numérique comprend des guides, des infographies, des vidéos et des calculateurs, et est offerte en anglais, en français et en espagnol.

« Bien que la chaleur puisse causer des blessures aiguës graves comme l’épuisement par la chaleur et les coups de chaleur, le stress thermique est également considéré comme une maladie professionnelle parce qu’une exposition périodique peut entraîner de graves problèmes de santé à long terme, a expliqué Mme Dorman. On estime que 220 Canadiens meurent chaque année des suites d’un stress thermique professionnel et que 15 % des travailleurs qui travaillent fréquemment dans ces conditions développent une maladie due à la chaleur, principalement une maladie rénale. Il est essentiel de disposer d’un plan de prévention des maladies liées à la chaleur, non seulement pour prévenir les blessures immédiates dues au stress thermique, mais aussi pour atténuer les risques futurs pour la santé. »

Mme Dorman a souligné que des maladies comme les maladies rénales, les lésions cérébrales et les problèmes cardiovasculaires peuvent être évitées grâce à une gestion efficace de l’exposition à la chaleur, ce qui met en évidence le rôle de la surveillance. La technologie portable, comme les capteurs corporels apparentés aux montres intelligentes, est devenue un outil de surveillance efficace, mesurant de manière fiable des marqueurs physiologiques comme la fréquence cardiaque et la température du corps approximative, entre autres variables. Le Guide de surveillance physiologique est un guide de prise de décision au sein de la boîte à outils, conçu pour aider les employeurs à choisir des produits de technologie portable afin de renforcer leur plan de prévention des maladies liées à la chaleur et d’orienter les horaires de travail et de repos de leur équipe.

« Nous avons étudié la possibilité d’utiliser ces technologies pour les emplois à haut risque comme les travailleurs des mines et les pompiers, dans le cadre du plan de prévention des maladies liées à la chaleur de l’entreprise, a déclaré Mme Dorman. Bien que leur mise en œuvre puisse être utile, ils posent également de nouveaux défis pour les travailleurs et les lieux de travail et ne sont certainement pas des solutions universelles. Cependant, avec le changement climatique, je m’attends à une adoption rapide de ces outils, car nous constatons déjà une explosion d’intérêt de la part de divers lieux de travail, y compris des lieux qui ne sont pas traditionnellement considérés comme exposés au risque de stress thermique, en particulier les travailleurs de la santé qui portent des EPI pendant des périodes prolongées et les enseignants qui doivent travailler dans des salles de classe surchauffées. »

Le CRSST a récemment renouvelé des accords de financement, ce qui permet à Mme Dorman de continuer à étudier le stress thermique pendant les trois prochaines années. Elle se réjouit à l’idée de poursuivre ses recherches sur l’efficacité de la technologie portable dans des situations réelles, par l’entremise d’essais sur le terrain et d’études en laboratoire à l’aide de la Chambre environnementale de l’Université Laurentienne.

Katherine Snazel, étudiante de deuxième cycle, est inspirée à étudier les perspectives autochtones

Katherine Snazel, étudiante de deuxième cycle, est inspirée à étudier les perspectives autochtones

« Pour moi, l’université ne consiste pas à apprendre ce que l’on veut faire, mais plutôt qui l’on veut être. »

14 août 2024 – L’étudiante adulte Katherine Snazel approche de la fin de ses études dans le programme de Master of Indigenous Relations, qui a été à la fois une quête de nouvelles connaissances et un parcours de croissance personnelle.

Ayant fait évoluer une carrière d’assistante juridique dans la région de York et manifesté un engagement de toute une vie à être entraîneuse de patinage artistique, Katherine a pris la décision de fréquenter l’université pour la première. Dans le cadre de l’entraînement, elle a eu l’idée de poursuivre ses études postsecondaires à la Laurentienne.

« L’un des patineurs avec qui je travaillais fréquentait la Laurentienne, a-t-elle expliqué, et partageait des histoires incroyables et des expériences d’apprentissage intéressantes. Cela m’a inspiré à examiner cette possibilité pour moi-même. »

À 60 ans, Katherine a commencé ses études en ligne dans le programme de Bachelor of Sociology, qui a éveillé son intérêt pour explorer davantage les cultures autochtones. Après l’obtention de son diplôme de premier cycle avec distinction, elle a décidé de poursuivre son parcours universitaire dans un programme de maîtrise et de mettre l’accent sur les perspectives autochtones. Elle décrit sa décision de faire une maîtrise comme un moment inattendu de confiance.

« Pour moi, l’université ne consiste pas à apprendre ce que l’on veut faire, mais plutôt qui l’on veut être, a-t-elle précisé. Tout au long de ma vie, j’ai continué à croître et à apprendre qui je veux être. Je considère ma maîtrise en relations autochtones comme un reflet de ce parcours. »

Katherine s’est concentrée sur la narration autochtone, examinant 14 récits autochtones de l’Île de la Tortue. Des lectures plus récentes comme Moon of the Crusted Snow de Waubgeshig Rice à The Kiss of the Fur Queen de l’auteur chevronné Thomson Highway, elle s’est plongée dans des bouquins qui ont remis en question sa compréhension occidentale. Elle souhaitait en apprendre davantage sur les perspectives autochtones grâce à la narration et développer sa perspective à « deux yeux » (c.-à-d., appliquer à la fois une perspective autochtone et occidentale pour cerner les problèmes dans l’intérêt de tout le monde). Puisqu’elle n’est pas autochtone, elle s’est rendu compte dans ses cours de premier cycle que ses études antérieures n’avaient pas pris en compte les voix autochtones, tandis que son programme d’études supérieures lui a permis d’en approfondir sa compréhension.

« Mon séjour à la Laurentienne a élargi ma réflexion dans son ensemble, ma pensée critique et ma compréhension de la justice sociale, a-t-elle affirmé. Je ne sais pas encore où ce diplôme pourrait me mener sur le plan professionnel, car, même si j’ai beaucoup d’idées et d’autres intérêts, je me concentre actuellement sur le plaisir d’apprendre. »

Katherine a aimé les cours à faible effectif à la Laurentienne, car ils lui ont permis d’établir des liens avec d’autres étudiants et les professeurs. Elle a « découvert des gens vraiment extraordinaires, jeunes et vieux, dans la communauté Laurentienne » et s’est sentie accueillie par tout le monde. Même si elle a déménagé à Sudbury pour faire ses études, elle est tombée amoureuse de la région et prévoit maintenant s’enraciner et y rester à long terme.

À l’avenir, Katherine se voit travailler à nouveau avec des jeunes, mais pour l’instant, son chemin n’est pas dessiné. Elle soutiendra sa thèse de maîtrise le 23 août 2024 et espère suivre par la suite le programme de doctorat en sciences humaines et interdisciplinarité.

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

7 août 2024 - Cet été, 22 membres de la population étudiante ont la possibilité de soutenir des projets de recherche par l’intermédiaire de l’Université Laurentienne grâce à un financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), et le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH).

Les Bourses de recherche de premier cycle (BRPC) visent à nourrir l’intérêt des étudiants de premier cycle et à développer leur potentiel pour une carrière de recherche. Ce financement leur permet d’acquérir de l’expérience de travail de recherche qui complète leurs études universitaires.

Pour une période de 16 semaines, de mai à août, les étudiants épaulent la recherche à plein temps. Ils peuvent être titulaires d’une seule BRPC par exercice financier et pourraient en détenir jusqu’à trois pendant leur carrière de premier cycle.

Bien que la possibilité de contribuer de manière significative à un projet de recherche soit souvent réservée aux étudiants des cycles supérieurs, les BRPC donnent l’occasion exceptionnelle et convoitée à ceux du premier cycle d’acquérir de l’expérience dans leur domaine d’intérêt. L’année d’études, la spécialisation et les domaines de recherche des étudiants varient, mais ils reconnaissent tous de manière semblable l’incidence positive de cette expérience sur leurs études actuelles et leurs objectifs futurs.

Tout au long de l’été, les étudiants s’exprimeront au sujet d’eux-mêmes, de leurs ambitions et intérêts et un peu sur le projet de recherche auquel ils prêtent leur soutien.

Kate Pappin

4e année du programme de biologie à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : St. Benedict Catholic Secondary School

Les sciences m’emballent et je suis ravie de parler un peu de moi et des recherches auxquelles je participe cet été. Je travaille au Centre pour la vitalité des lacs Vale avec ma superviseure Brie Edwards, Ph.D., chercheuse au ministère de l’Environnement, de la Conservation et des Parcs, qui, dans le cadre de ses fonctions, gère le programme de surveillance à long terme de plusieurs lacs endommagés par l’acide à Sudbury et dans ses alentours.

Pour aider à soutenir ce projet, mon travail consiste à recueillir des échantillons d’eau, à faire des enquêtes en soulevant la vase avec les pieds et passant un filet pour saisir des invertébrés benthiques (comme l’adorable écrevisse sur ma photo), ainsi qu’à effectuer le travail de préparation et de gestion de données qui s’y rattachent. J’ai également eu la chance de me joindre à d’autres équipes du ministère des Richesses naturelles et d’autres universités pour contribuer à un travail similaire. Je me sens très chanceuse d’occuper mon poste et, une fois que j’aurai terminé mes études de premier cycle, j’ai l’intention de faire des recherches d’études supérieures au Centre pour la vitalité des lacs Vale.

Jazmin Fergani

4e année du programme de biochimie à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Lo-Ellen Park Secondary School

Je suis reconnaissante d’avoir l’occasion d’apprendre auprès de mentors extraordinaires et d’acquérir de précieuses compétences de recherche tout en ayant un aperçu des futures possibilités de carrière. Les activités minières occupent une place importante dans l’histoire de Sudbury et, grâce à mon projet de BRPC, supervisé par Nadia Mykytczuk, Ph.D., je peux en apprendre davantage sur l’incidence de l’industrie minière sur ma communauté.

Dans le cadre de ma BRPC, mon projet à MIRARCO soutient le développement et l’optimisation de technologies de biolixiviation, répondant à la demande croissante de minéraux critiques avec des sources alternatives comme les déchets miniers. Contribuer à un projet d’une telle envergure me donne l’occasion de nouer des liens avec des personnes influentes telles que le ministre des Mines de l’Ontario, George Pirie, et le ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles du Canada, Jonathan Wilkinson.

Au cours de l’été, je suis responsable de maintenir des cultures microbiennes provenant de déchets miniers en ajustant les conditions et leur fournissant les nutriments essentiels au processus de lixiviation. En outre, je suis chargée de l’extraction de l’ADN microbien pour analyser les séquences et identifier les espèces bactériennes présentes aux différentes étapes de la réaction.

Quand je ne suis pas aux études, j’aime passer du temps au plein air avec mes amis et ma famille, que ce soit au bord du lac ou à la découverte de mon patelin de Sudbury.

McKinley Broomhead

3e année du programme en sciences de la santé à l’Université Queen’s

Ville natale : Lively, Ontario

École secondaire : Lively District Secondary School

En tant qu’adjoint de recherche au Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) à l’Université Laurentienne, mes travaux portent sur la prévention des maladies liées à la chaleur en milieu de travail grâce à l’utilisation de technologies portables. Sous la direction de Sandra Dorman, Ph.D., je participe aux projets « A Field Application of a Novel Wearable Technology as a Component of a Heat Illness Prevention Plan Amongst Wildland Firefighters » et « An Evaluation of a Novel Wearable Technology for the Prevention of Heat Strain ». Mon travail me donne l’occasion de tirer parti de l’expérience acquise en travaillant avec l’équipe de recherche OASIS et Vince DePaul, Ph.D., de l’Université Queen’s et de mes contributions au projet Markerless Motion Capture.

Dans mes études, je m’intéresse à la santé publique, mes cours préférés étant ceux qui m’aident à comprendre la santé mondiale et des populations et à élaborer des programmes de santé. Dans mes temps libres, j’aime faire des activités physiques comme l’haltérophilie, le hockey et le tennis.

Josée McDavid

4e année du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : École secondaire catholique l’Horizon

Je suis reconnaissante d’avoir l’occasion de travailler cet été sous la direction d’Alexander Moise, Ph.D., à l’EMNO. En peu de temps, j’ai pu développer diverses nouvelles compétences en matière de techniques de biologie moléculaire, allant de la culture cellulaire au clonage de petites molécules d’ADN contenant un gène précis.

Mon projet d’été porte sur le gène codant de l’enzyme rétinol saturase (RetSat). Des niveaux modifiés de RetSat ont été associés à la résistance à l’insuline, à l’auto-immunité et à la dyslipidémie chez des patients et des modèles animaux, bien que la base biochimique soit inconnue. Cette recherche vise à clarifier le rôle de la RetSat et les processus biologiques jouant un rôle dans l’adaptation à l’hypoxie.

Grâce à mon travail en tant que boursière BRPC, j’ai également des possibilités d’avancement professionnel et de réseautage avec des experts en recherche. En juin, j’ai assisté à la Conférence sur la recherche en santé dans le Nord à l’U-EMNO, où je me suis initiée davantage aux études extraordinaires menées ici dans le Nord. De plus, je suis très reconnaissante d’avoir participé à la Conférence internationale sur les rétinoïdes qui a eu lieu à Saint Paul, Minnesota en juillet, où j’ai eu l’occasion d’assister à diverses communications d’experts dans le domaine de la vitamine A.

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

1 aout 2024 - Cet été, 22 membres de la population étudiante ont la possibilité de soutenir des projets de recherche par l’intermédiaire de l’Université Laurentienne grâce à un financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), et le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH).

Les Bourses de recherche de premier cycle (BRPC) visent à nourrir l’intérêt des étudiants de premier cycle et à développer leur potentiel pour une carrière de recherche. Ce financement leur permet d’acquérir de l’expérience de travail de recherche qui complète leurs études universitaires.

Pour une période de 16 semaines, de mai à août, les étudiants épaulent la recherche à plein temps. Ils peuvent être titulaires d’une seule BRPC par exercice financier et pourraient en détenir jusqu’à trois pendant leur carrière de premier cycle.

Bien que la possibilité de contribuer de manière significative à un projet de recherche soit souvent réservée aux étudiants des cycles supérieurs, les BRPC donnent l’occasion exceptionnelle et convoitée à ceux du premier cycle d’acquérir de l’expérience dans leur domaine d’intérêt. L’année d’études, la spécialisation et les domaines de recherche des étudiants varient, mais ils reconnaissent tous de manière semblable l’incidence positive de cette expérience sur leurs études actuelles et leurs objectifs futurs.

Tout au long de l’été, les étudiants s’exprimeront au sujet d’eux-mêmes, de leurs ambitions et intérêts et un peu sur le projet de recherche auquel ils prêtent leur soutien.

Kailey Beggs

3e année du programme de baccalauréat ès sciences en kinésiologie à l’Université Laurentienne

Ville natale : Val Caron, Ontario

École secondaire : Confederation Secondary School

Cet été, grâce à ma BRPC, j’ai l’occasion de travailler au Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST). Je suis ravie d’acquérir une expérience pratique en recherche en travaillant sur de nombreux projets qui en sont tous à des stades différents. J’ai été surprise de constater que j’en apprends davantage sur les statistiques du CRSST que dans mon cours d’introduction aux statistiques (moi qui ne croyais jamais me servir à nouveau des statistiques!). À l’avenir, j’espère utiliser toutes les connaissances et compétences acquises du CRSST et dans mon programme (kinésiologie) pour poursuivre des études supérieures et faire carrière dans le secteur de la santé.

Je participe actuellement à plusieurs projets au CRSST, mais celui qui me passionne le plus est le projet « Air Quality Index (AQI) Interventions » avec Alison Godwin, Ph.D. Pour ce projet, afin d’améliorer la sensibilisation du public à la pollution de l’air et aux risques connexes pour la santé, j’étudie la manière dont les gens interagissent avec les données de l’IQA et les interprètent.

Aux études, ma matière préférée est la physiologie humaine. Il est fascinant de comprendre comment le corps fonctionne en analysant le métabolisme ou examinant les habitudes de mouvement pour prévenir les blessures et améliorer la biomécanique. À part les études, j’aime faire de la course et de l’exercice, promener mon chien Hershey et me perdre dans un bon bouquin. Je passe aussi beaucoup de temps à travailler et à faire du bénévolat.

Dulain Abeyratne

4e année du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Lockerby Composite School

Il s’agit de mon deuxième été à faire de la recherche sous la supervision de Stefan Siemann, Ph.D. Je prête actuellement mon appui à un projet qui porte sur les effets de l’échange de métaux et de l’élimination du zinc d’un groupe d’enzymes contenant des métaux. Plus précisément, nous étudions l’incidence de cet échange sur l’activité enzymatique. Mon poste d’adjoint de recherche me permet non seulement d’acquérir une expérience pratique en laboratoire, mais éveille également mon intérêt pour la recherche. J’espère poursuivre une carrière en médecine et suis convaincu que les compétences que j’ai acquises grâce à cette possibilité de BRPC auront une incidence positive sur l’atteinte de mes objectifs.

Dans mon temps libre, j’aime faire de la course, jouer au basket-ball et passer du temps avec mes amis et ma famille. Je fais également du bénévolat auprès de divers organismes, tels que le YMCA du nord-est de l’Ontario et le Centre de soins continus St. Joseph.

Olivia Norman

4e année du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Ottawa, Ontario

École secondaire : Glebe Collegiate Institute

Originaire d’Ottawa, j’ai été attirée à la Laurentienne en raison de son équipe interuniversitaire de ski nordique, de l’incroyable accès au plein air et des cours à faible effectif. Puisque l’UL est relativement petite, les étudiants de premier cycle profitent d’une plus grande expérience en laboratoire que celle souvent offerte dans les grands établissements. J’ai eu l’occasion d’acquérir des compétences fondamentales que j’ai pu appliquer à la recherche dans un laboratoire professionnel.

Cet été, j’ai reçu une BRPC qui m’a donné l’occasion de travailler au laboratoire de recherche biomédicale de l’EMNO à Sudbury. Sous la codirection d’Alain Simard, Ph.D. et de Suji Tharmalingam, Ph.D., j’examine la génétique qui sous-tend la fonction des récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine (nAChR) dans le corps humain. Les nAChR sont présents dans de nombreux types de cellules du corps, y compris les cellules immunitaires. En m’appuyant sur les recherches antérieures de M. Simard et de son équipe, j’espère en apprendre davantage sur la participation des nAChR à la réponse inflammatoire déclenchée par le système immunitaire.

Camden Babin

3e année du programme de génie logiciel à l’Université de l’Alberta

Ville natale : Hanmer, Ontario

École secondaire : Bishop Alexander Carter C.S.S.

Avant mes études à l’Université de l’Alberta, j’avais un vif intérêt pour tous les domaines des STIM sans savoir où cela me mènerait. Ce n’est que lors de mon cours de programmation générale de première année que j’ai découvert ma passion pour l’informatique en génie. Ayant l’occasion de travailler au CRSST à l’UL cet été, je m’intéresse surtout à l’exposition à l’utilisation d’appareils microélectroniques dans les domaines de la recherche, et de la santé et de la sécurité au travail. Jusqu’à présent, j’ai vu comment de tels appareils, notamment les accéléromètres et les capteurs peu coûteux de l’indice de qualité de l’air, communiquent avec des systèmes informatiques plus importants pour recueillir, entreposer et traiter les données de façon sécuritaire. J’ai hâte d’en apprendre davantage sur le processus de recherche et les pratiques fondées sur la recherche, ainsi que la manière dont ils sont liés à divers processus d’ingénierie.

Cet été, je travaille sur un projet qui facilite la participation de la communauté avec des outils de qualité de l’air local pour aider à la prise de décisions en matière de santé, et je profiterai de toutes les occasions pour contribuer à l’aspect technologique d’autres projets. Je pense que ce qui lie le génie, la recherche et la santé et la sécurité au travail est notre volonté commune de résoudre des problèmes et d’améliorer la qualité de vie des autres. Au CRSST, j’ai hâte de mettre à profit ma passion pour explorer le chevauchement de la technologie et de la santé et de la sécurité au travail, en contribuant à des projets qui améliorent notre communauté grâce à des recherches innovatrices.

L’ancien de l’Université Laurentienne, Lance Cryderman, se prépare aux Jeux paralympiques de Paris 2024

L’ancien de l’Université Laurentienne, Lance Cryderman, se prépare aux Jeux paralympiques de Paris 2024

Le conseiller en accessibilité est un modèle exceptionnel

25 juillet 2024 – Diplômé et employé de l’Université Laurentienne, Lance Cryderman se prépare aux Jeux paralympiques d’été de Paris 2024. Il s’agit pour lui du point culminant d’un cheminement de six ans marqué de détermination et de dévouement alors qu’il gère les exigences rigoureuses de l’entraînement et de la compétition parallèlement à ses responsabilités à la maison et au travail.

Lorsqu’il fréquentait la Lockerby Composite School, Lance a commencé à jouer à la boccia, mais ce n’est qu’après ses études secondaires qu’il y a participé sur le plan professionnel.

Après quelques années, il a pris un congé pour se concentrer sur ses études postsecondaires et fonder une famille. Il a obtenu un baccalauréat en psychologie et une maîtrise en administration des affaires à la Laurentienne, où il est depuis six ans un conseiller en accessibilité. Depuis à peu près le même temps, il est revenu à la boccia, abordant la compétition avec sérieux et s’élevant rapidement au niveau international.

Lorsqu’il est revenu au sport en 2017, il savait qu’il ne serait pas prêt pour les Jeux de Tokyo 2020, et a fixé ses aspirations plutôt sur Paris 2024. Lance s’est effectivement qualifié pour la catégorie BC 1 de boccia masculine individuelle.

« Les Jeux paralympiques constituent l’apogée du sport pour tout joueur de boccia qui fait concurrence sur le plan mondial, a-t-il expliqué. La préparation est intense, mais cela en vaut vraiment la peine et je suis incroyablement fier d’y représenter le Canada. »

Toutes les semaines, Lance passe de 10 à 12 heures à perfectionner ses compétences sur le terrain et à l’extérieur de celui-ci. Son programme d’entraînement rigoureux comprend une préparation mentale avec un psychologue du sport, des séances stratégiques avec son entraîneur, une analyse méticuleuse des séquences de match et au moins huit heures de lancer par semaine.

Équilibrer ces exigences avec ses responsabilités professionnelles et engagements familiaux a été un défi, mais Lance a réussi grâce à son système de soutien inébranlable, qu’il appelle affectueusement son « armée du succès ». Cette troupe comprend ses partenaires d’entraînement et de performance, son entraîneur, ainsi que ses amis, sa famille, ses collègues et sa femme Danielle, dont le soutien et la participation aux décisions sont inestimables.

« Concilier le travail, la famille et la boccia est exigeant, a expliqué Lance, et je suis reconnaissant que tout le monde dans ma vie me soutient énormément. Mes collègues sont heureux de me voir réussir et apporteront leur soutien à mes étudiants pendant cette période cruciale de mon absence. Leur encouragement et leur collaboration constituent un exemple puissant pour les étudiants avec qui nous travaillons. »

Lance espère revenir de Paris 2024 avec la médaille d’or. Après cela, il n’est pas sûr de ce que lui réserve l’avenir et garde l’esprit ouvert aux possibilités. Son objectif principal sera toujours d’inspirer les autres à pourchasser leurs rêves et croit que son propre parcours témoigne du pouvoir de la persévérance et du soutien pour l’atteinte de buts. « Si je suis capable de faire tout cela, affirme-t-il, qu’est-ce qui vous en empêche? »

Alors que Lance se rend à Paris pour représenter le Canada, son récit témoigne d’un véritable tour de force de communauté, d’enthousiasme et de travail acharné.

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

Série : Lauréats de Bourses de recherche de premier cycle

19 juillet 2024 - Cet été, 22 membres de la population étudiante ont la possibilité de soutenir des projets de recherche par l’intermédiaire de l’Université Laurentienne grâce à un financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), et le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH). Les Bourses de recherche de premier cycle (BRPC) visent à nourrir l’intérêt des étudiants de premier cycle et à développer leur potentiel pour une carrière de recherche. Ce financement leur permet d’acquérir de l’expérience de travail de recherche qui complète leurs études universitaires.

Pour une période de 16 semaines, de mai à août, les étudiants épaulent la recherche à plein temps. Ils peuvent être titulaires d’une seule BRPC par exercice financier et pourraient en détenir jusqu’à trois pendant leur carrière de premier cycle.

Bien que la possibilité de contribuer de manière significative à un projet de recherche soit souvent réservée aux étudiants des cycles supérieurs, les BRPC donnent l’occasion exceptionnelle et convoitée à ceux du premier cycle d’acquérir de l’expérience dans leur domaine d’intérêt. L’année d’études, la spécialisation et les domaines de recherche des étudiants varient, mais ils reconnaissent tous de manière semblable l’incidence positive de cette expérience sur leurs études actuelles et leurs objectifs futurs.

Tout au long de l’été, les étudiants s’exprimeront au sujet d’eux-mêmes, de leurs ambitions et intérêts et un peu sur le projet de recherche auquel ils prêtent leur soutien.

Emma Mageau

4e année du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Confederation Secondary School

Cet été, je travaille sous la direction de M. Tharmalingam à l’Université de l’EMNO sur son projet qui examine le cancer du sein résistant aux radiations. Dans le cadre du projet, nous étudions certaines cibles qui pourraient être associées à la résistance aux radiations dans une lignée cellulaire spécifique du cancer du sein. Bien que j’ai toujours eu une passion pour la science, j’ai constaté que je manquais d’expérience en recherche. Cette possibilité est alors une excellente façon d’élargir mes connaissances et mes compétences en laboratoire.

Dans mes moments libres, j’aime jouer au soccer et au tennis et passer du temps avec ma famille et mes amis. J’aide également à organiser le Relais pour la vie à la Laurentienne, ce qui m’enthousiasme énormément. Le domaine de l’oncologie m’a toujours intéressé et, un jour, j’espère poursuivre une carrière en médecine. J’ai hâte de voir où ces recherches et cette année universitaire me dirigeront.

Avery Morin

4e année du programme de neurosciences du comportement à l’Université Laurentienne

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Marymount Academy

Grâce à la BRPC, je peux nourrir ma passion pour l’écologie et la durabilité en explorant un domaine qui diffère complètement de celui que j’aborde en tant qu’étudiante en neurosciences comportementales. Au Centre pour la vitalité des lacs Vale, je dirige le Comité de durabilité environnementale de la Laurentienne et participe au programme mondial d’étudiants-ambassadeurs pour une Nature Positive. Dans le cadre de cette initiative, les établissements doivent réaliser des évaluations de référence de la biodiversité (celles-ci sont en cours depuis 2023). Cet été, je travaille avec M. John Gunn pour mieux comprendre la biodiversité des milieux humides en installant des enregistreurs d’appels d’oiseaux et de grenouilles dans tout l’espace vert de la Laurentienne. Ce projet contribuera non seulement aux évaluations de la biodiversité Nature Positive, mais soutiendra également un projet multiuniversitaire axé sur la restauration des tourbières des effets de la pollution due aux activités minières.

N’importe qui peut aider à appuyer les évaluations de la biodiversité grâce à la science participative en utilisant l’application iNaturalist où toutes les observations de plantes, d’animaux et d’insectes faites sur notre campus sont automatiquement ajoutées au projet de Réseau sur la biodiversité du campus de la Laurentienne pour contribuer à de véritables ensembles de données scientifiques.

Ellis Albrecht

4e année du programme de biologie biomédicale à l’Université Laurentienne

Ville natale : Onaping, Ontario

École secondaire : Chelmsford Valley District Composite School

Cet été, grâce au programme de BRPC, j’ai le plaisir de travailler avec Mme Brie Edwards au Centre pour la vitalité des lacs Vale (CVLV). En tant qu’étudiante-chercheuse, je suis responsable de prélever des échantillons d’eau et d’invertébrés, de préparer le matériel pour le travail sur le terrain et de saisir et analyser des données. La nature coopérative du CVLV me donne aussi l’occasion d’observer d’autres projets en cours et d’y contribuer.

Ayant grandi dans le Grand Sudbury, j’ai toujours profondément apprécié le milieu naturel et je me sens incroyablement chanceuse de travailler maintenant sur ces magnifiques cours d’eau. Ce poste me permet de faire mes passe-temps (nautisme, canotage, randonnée) tout en observant des travaux de restauration, de maintien et de surveillance de nos systèmes d’eau douce et y participant.

Alexandra Bertrim

3e année du programme de sciences de l’activité physique à l’Université de Guelph

Ville natale : Sudbury, Ontario

École secondaire : Lo-ellen Park Secondary School

Cet été, je travaille comme assistante de recherche de premier cycle au Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) à l’Université Laurentienne. Dans ce rôle, j’espère acquérir une expérience de recherche approfondie et appliquer mes connaissances à des situations réelles et pratiques pour améliorer la santé et la sécurité au travail. Je participe actuellement à quelques projets, dont un programme de formation sur le réglage de sièges. L’initiative vise à réduire les blessures professionnelles en proposant aux opérateurs d’équipement lourd un programme favorisant de bonnes pratiques ergonomiques.

J’apporte aussi une contribution à l’analyse des données saisies en matière de formation par simulation et en opérations minières. Grâce à cette analyse, le CRSST souhaite évaluer l’efficacité et la satisfaction des travailleurs à l’égard des programmes de formation par simulation. Ces programmes constituent une méthode modernisée de formation permettant aux personnes de mettre en pratique leurs compétences en toute sécurité comme préparation au travail dans le domaine. Jusqu’à présent, mon expérience pratique avec CRSST m’a permis de mieux reconnaître et saisir l’importance de la santé et de la sécurité au travail. J’ai hâte de continuer à travailler dans ce domaine dans l’espoir que mes efforts aideront à créer des milieux de travail plus sains et sûrs.

En tant que membre dévouée de l’équipe de natation universitaire des Gryphons, je vise l’excellence dans la piscine aussi bien que dans mes études, où je m’intéresse fortement aux domaines de la biomécanique, de la physiologie humaine et de l’anatomie.

Laurentian University Receives Funding from the Province to Enhance STEM Education

Laurentian University Receives Funding from the Province to Enhance STEM Education

Funds to support purchase of leading-edge equipment

17 juillet 2024 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer un investissement important de 2 170 000 $ dans le cadre du Fonds d’amélioration du matériel de formation de l’Ontario. Ce programme de financement en contrepartie vise à aider les universités à renouveler et à acheter du matériel et des ressources d’apprentissage modernes et de pointe afin d’assurer des expériences pratiques de haute qualité.

Ces fonds appuieront la création d’un carrefour pour la formation pratique des étudiants des programmes en STIM de l’Université Laurentienne. Situé dans le Centre d’analyse Perdue sur le campus de la Laurentienne, ce carrefour intégrera trois éléments clés : 1. un centre d’instrumentation d’analyse et de caractérisation moléculaire; 2. un laboratoire de réalité virtuelle; 3. un laboratoire multimédia pour la communication scientifique.

L’intégration de ces éléments dans un seul espace physique transformera les expériences d’apprentissage par l’expérience, en ligne et de microcertification en STIM. Le carrefour STIM ouvrira de nouvelles possibilités de formation pour préparer les étudiants à un des secteurs clés de l’emploi en croissance en Ontario.

Responsable de ce projet transformateur et directeur de l’École des sciences naturelles, Éric Gauthier souligne l’incidence positive sur les étudiants et la communauté dans son ensemble. « Nous sommes ravis de recevoir cette subvention, a-t-il exprimé. Ces installations fourniront aux étudiants des instruments scientifiques modernes qui faciliteront leur transition vers le marché de l’emploi. Notre nouveau laboratoire de réalité virtuelle présentera des méthodes d’enseignement innovatrices et rehaussera l’apprentissage; les chercheurs et entreprises de la région s’en serviront pour résoudre des problèmes du monde réel. Le laboratoire multimédia aidera les chercheurs à communiquer leurs résultats et à donner des cours, y compris des microcertifications. Ce carrefour favorisera les collaborations parmi les établissements postsecondaires, les instituts scientifiques et les entreprises axées sur la technologie. »

« Il s’agit d’une excellente nouvelle, a indiqué la vice-rectrice principale aux études par intérim, Brenda Brouwer, Ph.D., en partageant son enthousiasme pour le projet, et d’une réalisation rendue possible grâce aux efforts d’un corps professoral créatif partageant une vision commune de ce que pourra être l’enseignement de nouvelle génération en STIM. Nous sommes reconnaissants envers le gouvernement de l’Ontario de faire cet investissement et de concrétiser cette vision. »

Le nouveau carrefour STIM transformera l’apprentissage par l’expérience, en ligne et de microcertification en offrant de nouvelles possibilités de formation et en préparant les étudiants à des carrières dans les secteurs clés de l’emploi en croissance en Ontario. L’Université Laurentienne s’engage de manière suivie à faire progresser l’éducation et à favoriser l’innovation grâce à des initiatives percutantes comme celle-ci.

​​L’Université Laurentienne nomme Jennifer Scott, Ph.D., au poste de doyenne de la Faculté d’éducation et de santé

​​L’Université Laurentienne nomme Jennifer Scott, Ph.D., au poste de doyenne de la Faculté d’éducation et de santé

Mme Scott entrera en fonction le 1er septembre 2024.

16 juillet 2024 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de Jennifer Scott, Ph.D., au poste de doyenne de la Faculté d’éducation et de santé. Mme Scott est décrite comme une dirigeante compatissante et englobante témoignant d’un ferme engagement envers la réussite des étudiants, la qualité de leur expérience d’apprentissage et le soutien de nouvelles initiatives qui favorisent l’excellence en enseignement, apprentissage et recherche.

Diplômée de l’Université Laurentienne, Mme Scott y a obtenu son baccalauréat ès sciences en chimie avant de préparer un doctorat en chimie à l’Université d’Ottawa. En 2008, elle s’est jointe au corps professoral du Collège militaire royal du Canada (CMR) à Kingston à titre de professeure adjointe et a été promue au rang de professeure agrégée en 2015. Elle est actuellement doyenne de la Faculté des sciences et assume la responsabilité administrative des programmes d’études, y compris les agréments. l’assurance qualité et la gestion des ressources, tout en cultivant un milieu dans lequel la population étudiante, le personnel et le corps professoral sont valorisés et soutenus dans leurs activités.

« J’ai très hâte de retourner à l’Université Laurentienne, a dit Mme Scott, car elle occupe une place particulière dans mon cœur. Je suis honorée de pouvoir jouer un rôle à soutenir la croissance et le perfectionnement des étudiants grâce à une formation et des programmes pertinents pour nos communautés locales et régionales. »

Tout au long de sa carrière, Mme Scott fait preuve d’une passion pour l’enseignement et la recherche. En 2017, elle a reçu le « Prix d’excellence en enseignement de la promotion 1965 » soulignant son dévouement à la formation STIM et au mentorat d’étudiants des cycles supérieurs. En qualité d’administratrice universitaire, elle continue de poursuivre de nouvelles initiatives qui font progresser l’incidence de l’éducation sur la société.

Mme Scott parle couramment les deux langues officielles et apprécie et respecte grandement le mandat triculturel de la Laurentienne. Son engagement envers l’inclusion et la mise en œuvre des recommandations de la Commission de vérité et réconciliation est mis en évidence par son rôle au comité directeur du « Indigenous Leadership Opportunity Year Program » au CMR. De plus, elle se concentre sur l’autochtonisation de programmes d’études et la création d’espaces pour des pratiques culturelles inclusives au sein de l’établissement.

Grâce à ses qualités de leader et à sa communication transparente et claire qui se marient à sa vaste expérience en matière d’enseignement supérieur et à sa pensée créative et innovatrice, Mme Scott sera en mesure de diriger la Faculté d’éducation et de santé vers un avenir solide et rayonnant.

L’Université Laurentienne remercie Patrice Milewski, Ph.D., de son importante contribution à titre de doyen par intérim. Jennifer Scott entrera en fonction comme doyenne de la Faculté d’éducation et de santé le 1er septembre 2024.

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