Vous êtes maintenant dans la zone de contenu principale

La Laurentienne reçoit un don pour l’installation d’un nouveau plancher de calibre mondial au Gymnase Ben-Avery

La Laurentienne reçoit un don pour l’installation d’un nouveau plancher de calibre mondial au Gymnase Ben-Avery

Grâce à des donateurs, les athlètes profiteront d’ici septembre d’un parquet flottant ultramoderne.

25 juin 2024 - Cet été, le plancher et le sous-plancher actuels du Gymnase Ben-Avery seront remplacés grâce au généreux don de Danica Robertson et de Robert Martin, les parents d’un membre actuel de la population étudiante à la Laurentienne, qui disent avoir été inspirés par l’expérience de leur famille à l’Université.

« Nous croyons que les étudiants de la Laurentienne reçoivent une éducation de haute qualité et que les athlètes sur le terrain méritent également une expérience de haute qualité, a expliqué Robert Martin. Nous avons confiance en l’Université et espérons que notre investissement inspirera d’autres personnes à la soutenir afin de rehausser l’expérience étudiante. »

La famille Robertson-Martin a fait un don de 250 000 $ pour financer l’ensemble du projet du début à la fin. Le don couvre le coût de l’enlèvement du plancher et du sous-plancher actuels, jusqu’au béton, ainsi que l’achat et l’installation d’un nouveau plancher flottant de bois franc haute performance qui dépasse les normes internationales les plus élevées en matière de terrain de basket-ball.

En tant qu’architectes, Mme Robertson et M. Martin connaissent l’incidence positive du design et des milieux de qualité pour favoriser le bien-être humain et développer des communautés dynamiques. « Notre famille a vu la possibilité d’appuyer la Laurentienne et d’aider à améliorer l’expérience étudiante pour les générations actuelles et futures, a ajouté M. Martin. Nous sommes ravis du potentiel de cette amélioration à contribuer au bonheur et à la santé des athlètes. »

« La communauté Laurentienne est profondément reconnaissante envers la famille Robertson-Martin, a exprimé la rectrice et vice-chancelière, Lynn Wells, Ph.D. Ce don aura d’importantes répercussions positives sur nos athlètes et d’autres gens aussi. Cet investissement aura une incidence favorable sur la culture de notre campus dans son ensemble et témoigne de la fierté que la communauté ressent pour notre université. »

« Des installations de haut calibre aideront à attirer des étudiants et étudiants-athlètes de partout au Canada à la Laurentienne, a dit le directeur du Service des sports et des loisirs des Voyageurs, Peter Hellstrom. Nous espérons que cette modernisation appréciable inspirera une revitalisation continue du légendaire Édifice Ben-Avery. »

Les travaux au plancher du Gymnase Ben-Avery sont déjà en cours et devraient être terminés au début d’août.

Une étudiante ougandaise se sent chez elle à l’UL grâce au travail communautaire sur le campus

Une étudiante ougandaise se sent chez elle à l’UL grâce au travail communautaire sur le campus

Alice Aol est motivée à améliorer l’expérience des étudiants étrangers

June 20 2024 - Alice Aol est bien connue parmi les étudiants étrangers et canadiens pour sa personnalité dynamique. Étudiante de troisième année et coordinatrice étudiante au Bureau d’équité, de diversité et des droits de la personne (BEDDP), elle passe son temps depuis son arrivée au Canada à célébrer la culture et à créer un sentiment de communauté.

Après l’obtention du diplôme d’études secondaires à Gulu, en Ouganda, pendant la pandémie, Alice a commencé ses études en ligne à la Laurentienne avant de déménager à Sudbury pour suivre les cours en personne. La poursuite d’études postsecondaires au Canada était importante pour elle. « Chez nous, en Ouganda, a-t-elle expliqué, il n’est pas commun qu’une fille termine ses études secondaires ou universitaires. Je suis motivée à garder le cap en voyant mes compatriotes africaines qui sont ici et s’efforcent aussi de parachever leurs études. »

« Juste un an a suffi pour que je me sente chez moi à la Laurentienne, » a affirmé Alice en réfléchissant à son séjour à Sudbury jusqu’à présent. Originaire d’une grande ville, elle avait hâte de vivre à Sudbury, une communauté qu’elle caractérise de calme et soudée. Elle attend avec impatience d’explorer davantage la beauté naturelle de la ville cet été.

Les relations qu’elle a nouées avec ses professeurs et amis sont une source quotidienne de motivation pour elle. « Être loin de chez moi est un défi, a-t-elle avoué. La Laurentienne est une école assez diversifiée où je peux rencontrer d’autres personnes comme moi qui sont venues de très loin vers un tout nouvel endroit. Ça m’a beaucoup aidé de trouver de nouveaux amis et je tiens à assurer aussi une expérience plus agréable à d’autres qui sont éloignés de chez eux. »

Grâce à son rôle de coordonnatrice étudiante au BEDDP, Alice a établi des liens avec d’autres étudiants et, dans le cadre de ses fonctions, elle collabore aux activités et à la programmation sur le campus.

Elle a pris l’initiative de planifier une grande partie des activités du Mois de l’histoire des Noirs à la Laurentienne, entre autres, en surprenant la communauté avec un flash mob de danse pendant la Journée culturelle. La coordonnatrice du soutien à la violence sexuelle et sexiste du BEDDP, Kayla Deschatelets, a souligné qu’Alice a beaucoup contribué à la réussite des célébrations. « Alice est un véritable atout pour notre équipe, a-t-elle exprimé. Elle est sympathique et serviable et toujours prête à entreprendre un projet passionnant. Elle a apporté des contributions essentielles au succès du Mois de l’histoire des Noirs sur le campus. »

En mars, Alice a aidé à planifier pour la communauté Laurentienne la fête de l’hindouisme, la Holi, une célébration des couleurs et du printemps. « Des étudiants sont venus nous voir au BEDDP pour nous dire qu’ils avaient mal du pays et souhaitaient organiser une activité célébrant la Holi, a-t-elle expliqué. Nous avons tous travaillé fort pour coordonner l’activité. Beaucoup de gens y ont participé et ont adoré l’expérience. » Elle a ajouté qu’elle est fière de faire partie d’une communauté qui célèbre et apprécie la diversité.

Alice s’est alliée naturellement à l’Association des étudiants africains et caribéens de l’Université Laurentienne (AEACUL), dont elle est membre depuis son arrivée à l’UL. L’objectif de l’AEACUL est de créer un espace de chez soi pour les étudiants qui sont loin de leur patelin, tout en offrant à la population étudiante la possibilité d’explorer la variété de pays, de cultures et d’horizons de l’Afrique et des Caraïbes. « L’AEACUL n’est pas seulement destinée aux personnes africaines et caribéennes, a précisé Alice. C’est une communauté où les gens peuvent en apprendre des uns et des autres tout en y apportant leurs propres connaissances. »

Maintenant membre de l’équipe de direction de l’AEACUL à titre de responsable des communications, Alice a collaboré à de nombreuses activités réussies de l’AEACUL, telles que des soirées cinéma mettant en valeur la culture africaine ou caribéenne. « Pour moi, a-t-elle expliqué, faire partie de l’AEACUL me permet de partager mes idées, de parler librement de mon pays, d’en apprendre davantage de mes pairs et d’imaginer un autre pays du point de vue d’une autre personne. »

Leader et porte-parole extravertie, Alice a trouvé sa place au sein de la communauté Laurentienne et continue d’améliorer la qualité de vie des étudiants sur le campus.

Pleins feux sur les étudiants : Maggie Laverge

Pleins feux sur les étudiants : Maggie Laverge

Du travail de géologie sur le terrain aux recherches de maîtrise, Maggie Laverge creuse

12 juin 2024 - Tout en équilibrant un horaire chargé en tant qu’étudiante de premier cycle et joueuse de rugby universitaire, Maggie Laverge a éveillé une passion pour les sciences de la Terre. Elle a amorcé ses études en sciences à l’Université de la Colombie-Britannique, mais s’est recentrée après avoir suivi un cours sur les catastrophes naturelles avec des volets en volcanologie, géologie et risques terrestres. Un profond intérêt pour les sciences de la Terre s’est manifesté et l’a dirigée vers ses recherches actuelles dans le cadre des études supérieures à l’Université Laurentienne.

Après l’obtention d’un baccalauréat en géologie, Maggie a travaillé pendant cinq ans en exploration minérale dans l’industrie minière. Employée de la société canadienne d’exploitation minière d’argent et d’or, Kinross Gold, elle a eu connaissance d’un partenariat de recherche entre l’entreprise et l’Université Laurentienne. Puisqu’elle s’intéressait au projet et voulait jouer un rôle plus important dans la recherche, elle a décidé de préparer une maîtrise en géologie à la Laurentienne.

Sous la direction de Bruno Lafrance, Ph.D. dans l’École des sciences de la Terre Harquail, Maggie fait des recherches pour savoir pourquoi l’or se forme là où il se forme. L’objet de ses recherches est la zone de faille LP sur le gisement Great Bear, une faille aurifère dans la croûte terrestre près de Red Lake, en Ontario. Elle tente de comprendre les forces qui ont formé la zone de faille, le moment où l’or s’est produit par rapport à celle-ci et tous les événements qui ont pu contrôler l’orientation actuelle du corps de minerai d’or. Ses recherches sont effectivement l’une des premières études universitaires sur ce gisement. Grâce à une meilleure compréhension des contrôles structurels qu’examine Maggie, l’or pourra être ciblé et extrait plus efficacement, ce qui pourrait aider à trouver d’autres gisements d’or à l’avenir.

Maggie est reconnaissante de l’expertise en géologie et exploitation minière au sein de la communauté Laurentienne. Tout au long de sa maîtrise, elle affirme en avoir appris non seulement de ses professeurs, mais aussi de ses pairs et d’experts de l’industrie. « J’aime pouvoir contacter mes collègues et leur demander des conseils ou de l’encadrement, a-t-elle dit. J’apprécie vraiment l’esprit de collaboration à l’UL et dans la communauté de Sudbury. »

Maggie intègre une approche collaborative semblable dans son travail d’auxiliaire à l’enseignement. « Le travail auprès des étudiants est un élément très inspirant de mes études supérieures, a-t-elle expliqué. Je fais l’intello et leur enseigne, mais j’en apprends aussi beaucoup d’eux et les encourage toujours à travailler en collaboration et à apprendre les uns des autres. »

Même si ses recherches n’ont commencé qu’en septembre 2023, Maggie a eu l’occasion de faire des exposés à plusieurs conférences pour lesquels elle a reçu des commentaires positifs et remporté des prix. « Ces conférences et ces possibilités de discuter des recherches auxquelles je participe sont formidables, a-t-elle affirmé. J’ai l’occasion non seulement de partager mon travail, mais aussi de nouer des réseaux avec d’autres étudiants, des universitaires et des professionnels du secteur, qui me suggèrent souvent des techniques pour faire progresser mes recherches. J’en apprends toujours. »

À l’extérieur des études, Maggie recherche activement des possibilités d’acquérir de l’expérience et d’établir des liens. Elle est secrétaire de la section étudiante de la Société des géologues économiques de l’Université Laurentienne qui a récemment exploré des sites géologiques à l’étranger lors d’un voyage au Chili. Par l’intermédiaire de ce groupe, elle a été acceptée pour participer à une école de cartographie sur le terrain au Brésil à l’été 2024. Il s’agit d’un programme d’apprentissage expérientiel en plein air permettant aux étudiants d’acquérir ou de renforcer les compétences pratiques en géologie requises dans le secteur minier. En plus de mener ses propres recherches sur le terrain à Red Lake cet été, Maggie aidera également à diriger l’école de terrain de deux semaines des étudiants de premier cycle à l’UL.

Lorsqu’elle aura terminé sa maîtrise, Maggie souhaite travailler comme experte-conseil en géologie structurale et voyager à divers sites. Ainsi, elle aura l’occasion de continuer à travailler en géologie tout en cultivant son amour de l’apprentissage, de la collaboration et des voyages.

Une nouvelle bourse d’aide rend hommage à un chargé de laboratoire de la Laurentienne

Une nouvelle bourse d’aide rend hommage à un chargé de laboratoire de la Laurentienne

L’héritage de Bernie Shami apportera un soutien aux étudiants en chimie

7 june 2024 - Les étudiants de l’Université Laurentienne pourront bénéficier d’une nouvelle bourse d’études créée pour honorer la vie et l’héritage de l’ancien chargé de laboratoire, Bernie Shami. Un an après son décès le 9 juin 2023, les membres de la famille de Bernie ont annoncé une bourse au nom de leur frère.

Les sœurs de Bernie, Jeanne Shami et Laurie Stewart, ainsi que son frère Bob Shami, sont fiers d’offrir cette bourse aux futurs étudiants de la Laurentienne, un geste que, selon eux, leur frère aurait respecté.

« Bernie ne se serait jamais promu de cette manière, a expliqué Jeanne en réfléchissant au caractère de son frère. Il était drôle, travailleur et gentil, mais avant tout, il était humble. Cela dit, il était toujours prêt à aider les étudiants; il croyait qu’ils pouvaient tous réussir s’ils travaillaient. Nous pensons que cette bourse aidera les étudiants, tout comme Bernie le faisait. »

En 1976, Bernie a terminé ses études en chimie organique à l’Université Laurentienne et, après l’obtention du diplôme, y a accepté un poste de chargé de laboratoire. Il y est resté pendant plus de 35 ans, jusqu’à sa retraite en 2012, et a travaillé avec des milliers d’étudiants au cours de sa carrière.

De nombreux étudiants de Bernie sont devenus ses amis pour la vie. « Il aurait pu faire un doctorat ou travailler dans le secteur privé, mais Bernie aimait le contact avec les étudiants, a exprimé Jeanne. C’était apparent jusqu’au moment de son décès. Il avait conservé toutes les cartes qu’il avait reçues des étudiants au long de sa carrière, et pendant son séjour à l’hôpital, des médecins et infirmières de son équipe soignante étaient d’anciens étudiants. »

Une ancienne étudiante qui est restée une amie proche de Bernie au fil des ans est Denise Garrido à qui il a enseigné en 2005. « Il tendait l’oreille et avait une grande ouverture d’esprit, a‑t-elle dit. Les gens l’ont toujours apprécié pour sa patience, sa capacité à expliquer les concepts difficiles et surtout son humour et son humanité. Ce n’était pas difficile d’aimer Bernie. Je suis fière d’avoir été son amie et j’ai hâte de contribuer à ce fonds pour aider les futurs étudiants en son honneur. »

À l’approche du premier anniversaire du décès de Bernie, sa famille réfléchissait à une façon de lui rendre hommage. « Mon frère, ma sœur et moi y avons pensé longuement au cours des derniers mois, puis j’ai appris que mon ancienne collègue, Lynn Wells, est maintenant rectrice et vice-chancelière de la Laurentienne, a expliqué Jeanne. Nous avons pris ce hasard comme un signe pour aller de l’avant avec la mise sur pied de cette bourse. »

La famille Shami souhaite que la bourse soit décernée à un membre de la population étudiante qui fait preuve d’humilité, d’humour et d’humanité, comme Bernie, plutôt que de reconnaître les notes élevées.

La famille invite les personnes qui ont connu Bernie à contribuer à la dotation du fonds pour qu’il puisse soutenir les étudiants pendant de nombreuses années à venir. « Je sais que Bernie aurait respecté une bourse comme celle-ci et y aurait contribué en l’honneur de quelqu’un qui lui tenait à cœur, a ajouté Jeanne. Je suis convaincue que nombreux sont ceux qui aimeraient faire la même chose pour lui. Bernie a fait forte impression et son héritage continuera d’améliorer la vie des étudiants. »

Les demandes pour la bourse seront acceptées dès l’automne 2024. Pour contribuer à la Bourse commémorative Bernie Shami, consultez la page web Faire un impact.

Annonce des lauréats des Prix d’excellence en recherche

Annonce des lauréats des Prix d’excellence en recherche

Linda Ambrose et John Ashley Scott sont les lauréats de 2024

4 juin 2024 - Le comité de sélection aux Prix d’excellence en recherche 2023-2024 de l’Université Laurentienne a conclu ses délibérations et choisi les lauréats de cette année. Bien que les chercheurs exceptionnels soient nombreux, les prix de 2024 seront décernés à Mme Linda Ambrose, Ph.D., et à M. John Ashley Scott, Ph.D.

Ce prix annuel rend hommage aux membres du corps professoral de la Laurentienne qui ont apporté des contributions extraordinaires et originales à leur discipline, tout particulièrement au cours des cinq dernières années, dans les domaines appliqués, artistiques, professionnels ou scientifiques. Ces personnes ont réussi à obtenir du financement de recherche externe, sont reconnues par la communauté universitaire nationale ou mondiale et ont fait progresser de façon notable la recherche à l’Université Laurentienne.

« Nous sommes très fiers des recherches de calibre mondial effectuées ici à la Laurentienne, a affirmé la vice-rectrice à la recherche, Tammy Eger, Ph.D. M. Scott et Mme Ambrose sont de parfaits exemples de l’excellence en recherche menée dans un large éventail de domaines et de disciplines dans notre établissement. Nous les félicitons, tout comme les collaborateurs, étudiants et membres du personnel qui appuient de manière soutenue leurs efforts de recherche. »

« Je suis ravie d’être lauréate d’un Prix d’excellence en recherche de l’UL, a exprimé la professeure titulaire d’histoire dans la Faculté des arts, Linda Ambrose. C’est un vrai privilège pour moi de partager ma passion pour les études sur le genre et l’histoire des femmes avec des étudiants des cycles supérieurs et de voyager partout dans le monde pour participer à des conférences universitaires. Être ainsi reconnue par ma propre université est sans doute l’un des points saillants de mes 30 ans à Sudbury. En lisant les lettres de soutien, je me sentais honorée et touchée par les témoignages. Quelle joie de réfléchir aux collègues, collaborateurs et anciens étudiants qui ont façonné ma carrière de chercheuse. Je suis profondément reconnaissante. »

« Le succès de mes recherches à l’UL est le résultat de 12 ans de soutien et de collaboration formidables avec le secteur et le gouvernement qui m’ont aidé à obtenir 4 000 000 $ en subventions de recherche, a indiqué le professeur titulaire de génie des bioprocédés dans la Faculté des sciences, de génie et d’architecture, John Ashley Scott. Je suis surtout reconnaissant et fier de la vingtaine d’étudiants-chercheurs qui ont obtenu un doctorat ou une maîtrise, ainsi que de leurs contributions indispensables à l’essor de ces programmes très collaboratifs qui ont rehaussé leur formation et leurs expériences personnelles et mené à des emplois très pertinents et productifs dans le Nord. Je suis également reconnaissant envers mes collègues et les excellents diplômés qui soutiennent davantage nos collaborations et l’économie canadienne grâce à l’utilisation durable de nos ressources. »

Les lauréats recevront leur prix lors d’une cérémonie de Collation des grades de leur choix (au printemps ou à l’automne) et seront invités à prendre la parole dans le cadre d’une activité de la Semaine de la recherche 2025, suivie d’une réception en leur honneur.

Au sujet des recherches de Linda Ambrose, Ph.D.

L’historienne primée Linda M. Ambrose a acquis une réputation mondiale pour ses recherches sur les femmes rurales, et les femmes et la religion. Son étude sur le féminisme dans des contextes tels que les instituts féminins en Ontario et au Royaume-Uni a donné lieu à des publications, notamment For Home and Country, qui apporte des révélations sur le féminisme populaire omniprésent. Ses publications sur le pentecôtisme nord-américain exposent les ambiguïtés de genre que les femmes naviguent au sein des institutions patriarcales adhérant à une rhétorique égalitaire.

Au sujet des recherches de John Ashley Scott, Ph.D.

John Ashley Scott se spécialise dans la transformation de ce qui est inexploré, sous-utilisé et même problématique en possibilités et ressources qui améliorent la viabilité. Bon nombre des découvertes issues de ses recherches ont généré des occasions intéressantes et pertinentes qui ont à leur tour mené à divers axes de recherche, souvent surprenants, au Canada et à l’étranger. Un exemple de ses recherches innovantes est la capture et la réutilisation des émissions de CO2 de l’industrie canadienne de la fermentation de la bière et du vin pour créer une large gamme de composés naturels nouveaux et efficaces pour lutter contre les maladies.

Des titres honorifiques seront décernés lors de la Collation des grades de l’Université Laurentienne

Des titres honorifiques seront décernés lors de la Collation des grades de l’Université Laurentienne

La juge Michelle O’Bonsawin, Catharine Farrow et Dan Andreae seront reconnus

3 juin 2024 - Cette semaine, l’Université Laurentienne décernera trois doctorats honorifiques lors des cérémonies de Collation des grades. Les lauréats de ces titres honorifiques seront présents et reconnus aux côtés des nouveaux diplômés.

« Nous sommes ravis d’accueillir ces trois leaders inspirants cette semaine, a exprimé la rectrice et vice-chancelière de l’Université Laurentienne, Lynn Wells, Ph.D. Chacun d’eux a atteint le sommet de sa discipline respective et leur participation à la Collation des grades signalera aux diplômés que tout est possible. Ils ont apporté des contributions exceptionnelles au bien commun et méritent la plus haute distinction que nous puissions leur accorder. »

Les cérémonies de Collation des grades seront diffusées en direct sur YouTube et affichées à www.laurentienne.ca.

Dates de remise de titres honorifiques

  • 4 juin, à 10 h : Juge Michelle O’Bonsawin – doctorat honorifique en droit
  • 5 juin, à 14 h 30 : Catharine Farrow, Ph.D. – doctorat honorifique en administration des affaires
  • 6 juin, à 10 h : Daniel Andreae, Ph.D. – doctorat honorifique ès lettres

Juge Michelle O’Bonsawin

Le 1er septembre 2022, l’honorable Michelle O’Bonsawin est devenue la première personne autochtone à siéger au plus haut tribunal du Canada lorsqu’elle a été nommée à la Cour suprême du Canada. Elle est membre très respectée de la communauté juridique canadienne grâce à une carrière distinguée qu’elle fait évoluer depuis plus de 20 ans. Née à Hanmer, en Ontario, et franco-ontarienne couramment bilingue, la juge O’Bonsawin est membre abénakise de la Première Nation d’Odanak. Cette diplômée du baccalauréat ès arts de l’Université Laurentienne a été nommée à la Cour supérieure de justice de l’Ontario en 2017.

Catharine Farrow, PhD.

Géoscientifique professionnelle possédant plus de 25 ans d’expérience dans l’industrie minière, Catharine Farrow, Ph.D., est actuellement directrice de Franco-Nevada, Centamin PLC, Eldorado Gold Corporation et Aclara Resources, et présidente du conseil d’administration d’Exiro Minerals Corp, en plus d’être présidente du conseil consultatif de ReThink Mining Ventures, qui fait partie du Conseil canadien de l’innovation minière. Membre du comité de surveillance du capital de Metrolinx, elle est également présidente de FarExGeoMine et experte-conseil auprès de compagnies minières et d’organismes juridiques. En outre, elle a également été PDG fondatrice, directrice et cofondatrice de TMAC Resources Inc (qui fait maintenant partie de Agnico Eagle Mines) ainsi que chef de l’exploitation de KGHM International. Elle a été reconnue comme l’une des 100 femmes inspirantes dans le secteur minier mondial (2015 et 2018) et est lauréate de la médaille William Harvey Gross de l’Association géologique du Canada (2000). En 2020, elle a reçu le Prix de distinction des anciens de l’Université Acadia.

Dan Andreae, PhD.

Ayant acquis plus de 20 ans d’expérience professionnelle dans le secteur de l’éducation, M. Andreae s’est imposé comme un expert hautement distingué et estimé dans plusieurs domaines, notamment la santé, les neurosciences, la psychologie, la défense des droits et l’organisation communautaire. Leader perspicace et dynamique, il a consacré une partie considérable de sa carrière à étudier et à appuyer les personnes souffrant de problèmes cérébraux, en particulier de la maladie d’Alzheimer, et à défendre leurs intérêts. Il a été reconnu par la Société Alzheimer de Toronto avec un prix pour l’ensemble de sa carrière, un prix pour service exceptionnel en matière de leadership, un prix présenté par la présidente de la Société internationale Alzheimer, la princesse Yasmin Khan, et plus tard, un prix de pionnier. Il a été le premier directeur administratif de cette société et président du conseil des mécènes.

L’Université Laurentienne nomme Parvinder Arora, Ph.D., au poste de doyen de la Faculté de gestion

L’Université Laurentienne nomme Parvinder Arora, Ph.D., au poste de doyen de la Faculté de gestion

3 juin 2024 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer que le prochain doyen de sa Faculté de gestion sera M. Parvinder Arora, Ph.D.

M. Arora apporte une richesse d’expérience et de connaissances à la Laurentienne après avoir travaillé plus de 25 ans dans le domaine de la gestion, tant dans les entreprises que dans le domaine universitaire au Canada, en Asie et en Australie. Il est titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise de l’Université du Panjab et d’un doctorat de l’Université Punjabi en Inde.

Plus récemment, il a été doyen des écoles de commerce, des industries créatives et de technologie de l’information au Collège Cambrian, où il a dirigé plusieurs initiatives clés de croissance, notamment le lancement de nouveaux programmes, la mise en œuvre de méthodes de prestation innovantes et l’intégration de contenu autochtone dans les programmes de commerce.

De 2015 à 2019, M. Arora a été professeur au Collège Seneca de Toronto et a pris un congé d’un an pour exercer le rôle de doyen de l’Institute of Management Technology à Dubaï. Avant cela, il a été professeur et doyen adjoint à la SP Jain School of Global Management, établissement multinational classé parmi les meilleures écoles de commerce au monde.

Il met l’accent sur les étudiants et a participé activement à l’encadrement de leurs travaux de recherche aux cycles supérieurs, souvent avec des partenaires du secteur. Il reconnaît la valeur de l’interdisciplinarité et l’importance des partenariats pour ouvrir des possibilités, renforcer la communauté et rehausser l’incidence.

En outre, il s’est avéré un leader collaboratif et responsable qui se concentre sur l’expérience étudiante, les perspectives mondiales et le développement des relations.

M. Arora entrera en fonction à l’Université Laurentienne le 1er août 2024.

Pleins feux sur les diplômés : Emily Benedicic

Pleins feux sur les diplômés : Emily Benedicic

Bien qu’elle perpétue l’héritage familial, cette diplômée en éducation de troisième génération fait passer son diplôme à un tout autre niveau.

31 mai, 2024 - La mère et la grand-mère d’Emily Benedicic sont toutes deux des anciennes de l’Université Laurentienne et enseignantes du français dans le Nord de l’Ontario. Il n’est donc peut-être pas surprenant qu’Emily soit sur le point d’obtenir à son tour un baccalauréat en éducation de l’Université Laurentienne. Mais, d’un certain sens, ce fut une surprise pour elle.

« Je ne me voyais pas en enseignement, a expliqué Emily. Je rêvais de travailler un jour dans un musée. Je m’intéresse aux beaux-arts et j’aime travailler avec les enfants, mais enseigner n’a jamais fait partie de l’équation. »

Comme beaucoup d’étudiants, Emily n’a pas suivi un parcours linéaire. Après ses études secondaires à l’École catholique la Renaissance à Espanola, Emily est retournée dans sa ville natale de Foleyet pour passer du temps à travailler et à planifier son avenir. Huit ans plus tard, la mère et la grand-mère d’Emily l’ont encouragée à envisager des études à l’Université Laurentienne. Elles lui ont suggéré de suivre leurs traces et d’obtenir un baccalauréat en éducation, mais Emily n’était pas convaincue que cela corresponde à ses objectifs à long terme.

À ce moment-là, Emily a communiqué avec le regretté Ali Reguigui, Ph.D., pour obtenir des conseils. Éminent personnage à l’Université et dans la communauté francophone, il lui a offert un encadrement qui l’a aidée à arriver là où elle est aujourd’hui.

« J’ai parlé à M. Reguigui de mon intérêt pour les arts, a indiqué Emily, de mon espoir de travailler un jour dans un musée, de mon amour pour les enfants et de ma passion pour la culture franco-ontarienne. Il m’a encouragée à suivre le programme d’enseignement parce que le double diplôme pourrait ouvrir des portes inattendues. »

M. Reguigui lui a expliqué que le diplôme consécutif de B.Ed. en français lui donnerait la chance d’étudier dans sa langue maternelle et d’obtenir un baccalauréat général ès arts ainsi qu’un baccalauréat en éducation. De plus, grâce à la possibilité d’étudier en ligne, elle pourrait continuer à vivre et à travailler à Foleyet tout en préparant son baccalauréat ès arts.

Emily avait déjà complété le programme d’éducation de la petite enfance au Collège Boréal, et étant donné sa nouvelle trajectoire à l’UL, pourrait obtenir des équivalences pour plusieurs crédits du programme de B.Ed.

La patience et la persévérance d’Emily au fil des ans ont porté fruit et elle est maintenant sur le point d’obtenir les deux diplômes de la Laurentienne tout en terminant son mandat à titre de déléguée de la Faculté d’éducation auprès de l’Association des étudiantes et étudiants francophones.

« J’ai pris mon temps pour réfléchir à ce que je voulais faire et j’en suis fière, a expliqué Emily. Même pendant la pandémie, j’ai pris un an de congé et suis revenue aux études, en personne et en ligne. Je suis allée au collège et à l’université. J’ai représenté mon programme auprès de l’AEF. J’ai demandé des conseils et de la grâce quand j’en avais besoin. Tout le processus a fait de moi une personne plus résiliente et confiante. »

Quatorze ans après l’obtention de son diplôme d’études secondaires, Emily amorcera sa maîtrise en études françaises à l’automne. Bien qu’elle ait décidé de ne pas se lancer en enseignement pour le moment, elle dit que le B.Ed. a été le bon choix et qu’elle enseignera peut-être à l’avenir.

« J’ai trouvé un moyen de rapprocher la créativité, la culture et l’éducation, a exprimé Emily avec assurance. Je peux avoir une incidence sur l’enseignement sans être éducatrice de première ligne. J’envisage de créer des ressources pédagogiques franco-ontariennes et suis très enthousiaste à l’idée d’aider à enrichir les salles de classe pour le personnel enseignant et les élèves grâce à des outils pédagogiques pertinents et locaux. »

Emily obtiendra son diplôme le 4 juin, à 14 h 30.

Il est maintenant possible de s’inscrire aux camps d’été des Voyageurs

Il est maintenant possible de s’inscrire aux camps d’été des Voyageurs

Les enfants âgés de 4 à 12 ans s’amuseront dans le cadre d’activités sportives et d’aventures lors des séances hebdomadaires des camps d’été qui se dérouleront du 2 juillet au 30 août 2024.

31 mai 2024 – Il est maintenant possible de s’inscrire aux camps d’été des Voyageurs qui se dérouleront 2 juillet au 30 août 2024 pour les enfants âgés de 4 à 12 ans.

Chaque été, les camps d’été des Voyageurs accueillent des centaines de jeunes du Grand Sudbury sur le campus de l’Université Laurentienne et cette expérience leur permet d’acquérir de nouvelles compétences et de se faire de nouveaux amis tout en s’amusant.

Trois thèmes guideront les jeux et les activités gratuites cette année : Carnaval, Color Wars et Amazing Race. Les jeunes développeront leurs compétences en leadership et en communication et se familiariseront avec les installations sportives du campus, notamment quatre gymnases de grande taille, des courts de squash, un terrain de volley-ball de plage, des terrains de soccer, des courts de tennis et la tour Tango.

La tour Tango est un parcours rempli de défis avec une tour de 50', des activités de corde basse, treize voies d’escalade différentes et une balançoire géante. Avec les encouragements de leurs camarades et les conseils des animateurs, les jeunes sont encouragés à choisir le niveau de défi qui leur convient.

Les activités d’aventure en plein air comprennent le canoë, le kayak, la pêche, la natation, la randonnée et l’entraînement à la survie en milieu sauvage (construire un abri, allumer un feu de camp, faire des nœuds, etc.).

Les sports d’intérieur et d’extérieur comprennent le hockey en salle, le basket-ball, le soccer, le frisbee ultime, le badminton, le volley-ball et le squash.

Les animateurs sont des étudiants de la Laurentienne certifiés dans plusieurs activités spécialisées. « Les animateurs sont des étudiants de programmes comme l’éducation, les arts, les affaires et les sciences, explique le coordonnateur des loisirs du campus, Jean Benoit. Ils adorent ce que le campus a à offrir et s’efforcent de faire des camps des Voyageurs une expérience amusante, unique et sécuritaire pour chaque jeune. En outre, la patience est toujours de mise pour ces travailleurs acharnés et excellents modèles. »

Pour ajouter au plaisir, chaque jeune reçoit un t-shirt du camp et le vendredi est toujours une journée pizza. Les jeunes peuvent être déposés à compter de 8 h et recueillis jusqu’à 17 h. Les activités se déroulent de 9 h à 16 h. Le coût est de 260 $ pour la semaine.

Pour en savoir plus sur les camps d’été des Voyageurs, envoyez un courriel au coordonnateur des loisirs du campus à campusrec@laurentienne.ca ou visitez le site Web des Voyageurs de l’Université Laurentienne, ou la page Facebook. Pour s’inscrire, veuillez composer le 705-673-6573.

Pleins feux sur les diplômés : Bradleigh Trudeau

Pleins feux sur les diplômés : Bradleigh Trudeau

Un étudiant incarnant la culture autochtone et la science de la restauration environnementale

28 mai 2024 - Bradleigh Trudeau n’est pas seulement sur le point d’être un nouveau diplômé, il est également un nouveau père de famille. La convergence de ces grands événements de la vie ne fait que rendre Bradleigh encore plus confiant alors qu’il poursuit ses rêves. Bien qu’il se passe beaucoup de choses en même temps, Bradleigh voit cette période comme une possibilité de faire une pause et de profiter de la vie de famille avant de se lancer dans une carrière.

Bradleigh a grandi dans le territoire non cédé de Wiikwemkoong. Ayant une éducation enracinée dans la culture Anishanaabe, apprenant de son père et de sa grand-mère avec qui il vivait, Bradleigh a passé beaucoup de temps à jouer dans les bois et à développer un amour pour la nature. La proximité de sa communauté natale avec Sudbury signifiait que la famille de Bradleigh se rendait souvent en ville pour le marché et les emplettes.

« Je me souviens que les collines autour de la grande cheminée étaient noires et rocheuses et maintenant elles sont vertes et pleines de plantes, dit Bradleigh. Voir cette évolution au cours de ma vie m’a fait une énorme impression. Je savais que je voulais faire partie de quelque chose comme ça. »

En repensant à ses années d’études à la Faculté des sciences, de génie et d’architecture de la Laurentienne, Bradleigh éprouve un sentiment d’accomplissement. Il n’y a pas de meilleur établissement que l’Université Laurentienne pour en apprendre davantage sur les efforts de reverdissement de renommée mondiale dans le bassin de Sudbury. Il n’y a pas de meilleur endroit pour s’immerger dans la nature que le vaste campus de la Laurentienne. Et il n’y a pas de meilleur cadre postsecondaire pour rester connecté à la culture autochtone que le Centre autochtone de partage et d’apprentissage (CAPA) et le mandat triculturel de la Laurentienne. Le 5 juin, Bradleigh obtiendra son diplôme après avoir atteint son objectif de participer à la conservation de l’environnement à Sudbury et s’être préparé à une carrière dans ce domaine.

Son cheminement n’a toutefois pas été facile. Bradleigh dit que joindre le CAPA au cours de sa première année l’a aidé à se sentir chez lui sur le campus. « Ce n’est pas seulement un endroit pour étudier en toute tranquillité, c’est aussi un lieu où peut compter sur le soutien de pairs ou de mentors face à des défis personnels ou universitaires. Il y existe un vrai sentiment d’appartenance communautaire. »

Ce sentiment a tellement impressionné Bradleigh qu’il a commencé à travailler au Centre.

« J’ai pris quelques années de répit entre l’école secondaire et l’université, et c’est pourquoi je suis considéré comme un étudiant adulte. Le Centre de bien-être par les pairs sur le campus recherchait un étudiant adulte pour joindre son équipe. J’ai soumis ma candidature et cela m’a aussi permis de travailler au CAPA dans ce domaine. »

Il dit que le fait d’appuyer d’autres étudiants de la même manière qu’il l’avait été plus tôt dans ses études a été très enrichissant.

« C’était plutôt cool de pouvoir aider les étudiants à relever les défis auxquels ils étaient confrontés, dit-il. J’ai pris mon travail au sérieux et j’ai compris l’impact positif que je pouvais avoir sur les étudiants en leur offrant du soutien et en les mettant en contact avec diverses ressources. »

Le fils de Bradleigh est né au milieu de sa dernière année à la Laurentienne. Sa compagne est également étudiante à la Laurentienne (criminologie). Bien que fonder une famille au cours de sa dernière année d’études ait été un défi, Bradleigh est fier de là où il en est aujourd’hui. Il se dit prêt à faire une pause et à passer du temps en famille avant de décider d’un cheminement de carrière ou de poursuivre un programme de maîtrise.

Prendre le temps de faire une pause est précieux pour Bradleigh. Cela correspond à son conseil pour les étudiants. « Trouvez un équilibre dans vos études et votre vie personnelle. Faites des pauses et obtenez de l’aide lorsque vous en avez besoin. Déconnectez-vous s’il le faut et cela vous aidera à relever les défis. »

Bradleigh obtiendra son diplôme le 5 juin 2024, à 14 h 30.

Pages