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Les universités Trent, Lakehead, Laurentienne et Nipissing concluent un protocole d’entente pour accroître l’incidence des activités de recherche et de commercialisation

Les universités Trent, Lakehead, Laurentienne et Nipissing concluent un protocole d’entente pour accroître l’incidence des activités de recherche et de commercialisation

Les quatre universités se partagent des ressources, des installations et de l’expertise et rehaussent les contributions postsecondaires au développement économique en Ontario

Jeudi 24 août 2023, à Peterborough 

Quatre universités ontariennes, à savoir l’Université Trent, l’Université Laurentienne, l’Université Lakehead et l’Université Nipissing, ont conclu un protocole d’entente (PE) qui rehaussera la collaboration et le partage de ressources pour les initiatives de recherche et d’innovation afin de favoriser le développement économique dans la province.

« Trent se réjouit de participer à ce partenariat avec des universités qui sont très conscientes des possibilités émergentes et inexploitées de relier diverses parties de l’Ontario, a dit le directeur principal de la recherche et de l’innovation à l’Université Trent, Christopher Rooney. Nous reconnaissons que la collaboration postsecondaire en recherche et innovation nous procurera plus d’avantages. Nous serons en mesure de partager plus efficacement de l’expertise et des ressources de façon à rehausser généralement les initiatives de recherche et de commercialisation. »

Le PE aborde trois domaines clés de collaboration : soutien pour la recherche et la commercialisation, partage de connaissances, accès à l’expertise professionnelle et aux installations modernes, et partenariats pour les écosystèmes.

Les quatre universités concentreront tout particulièrement leurs efforts et leur attention sur les projets touchant la propriété intellectuelle et l’entrepreneuriat, la gestion et la sécurité des données de recherche, l’élaboration de politiques, la mise au point de cours/programmes d’études, le réseautage et les symposiums collectifs ainsi que les relations gouvernementales, avec, entre autres, les ministères provinciaux et fédéraux ainsi que les organismes subventionnaires.

Jusqu’à présent, les quatre universités se sont alliées afin de créer la Grappe d’innovation des régions rurales et du Nord axée sur les minéraux critiques, l’écotechnologie et les technologies électriques à batterie. Elles ont reçu un total de 294 000 $ de Propriété intellectuelle Ontario (PIO) pour ce projet pilote auquel on a embauché un agent de liaison avec l’industrie qui appuiera leurs efforts de commercialisation dans les principaux domaines de recherche de la grappe.

« Il s’agit d’un bon exemple du type d’initiatives pour lesquelles le PE sera une force motrice, a ajouté M. Rooney. Le financement de PIO ira plus loin, car les quatre universités travaillent ensemble pour investir les fonds de façon à apporter de l’expertise, des ressources et des programmes à tous les campus en visant un objectif commun. L’initiative aidera à instruire et à former des étudiants tout en trouvant d’autres possibilités de collaborer. »

« Ayant travaillé auparavant avec Lakehead, Nipissing et Trent en tant que membres d’un réseau de commercialisation, a expliqué la directrice de la recherche et de l’innovation à l’Université Laurentienne, nous avons hâte de renouer avec ces partenaires afin d’explorer les possibilités de partage de ressources. Nous pourrons ainsi miser sur l’expertise dans nos établissements afin d’optimiser l’incidence de la recherche et de la commercialisation de nos universités et de nous permettre de nous adapter rapidement aux exigences en constante évolution en matière de politique de recherche. »

« L’Université Lakehead attend avec intérêt de voir rehausser les connaissances en matière de propriété intellectuelle dans les établissements et les écosystèmes, améliorer la connectivité entre les intervenants et stimuler le développement économique en collaborant, a exprimé la directrice du développement de l’innovation à Lakehead, Ellen MacKay. Notre université est bien placée pour ce partenariat, car nous avons des forces de recherche et de développement dans le domaine des minéraux critiques grâce à l’embauche de deux nouveaux titulaires de chaires de recherche sur le traitement et l’exploration de minéraux critiques ainsi qu’au travail suivi de notre Centre of Excellence for Sustainable Mining and Exploration. »

« L’Université Nipissing se fait un plaisir de collaborer encore une fois avec la Laurentienne, Trent et Lakehead pour avancer les programmes de recherche et d’innovation partout dans la province, a dit la vice-rectrice associée à la recherche, à l’innovation et aux études supérieures à Nipissing, Barbi Law, Ph.D. Le partage de connaissances et de ressources entre nos établissements jettera les bases pour la création d’autres partenariats et rehaussera généralement nos efforts en matière d’innovation. »

L’Université Laurentienne nomme une nouvelle vice-rectrice associée aux affaires francophones

L’Université Laurentienne nomme une nouvelle vice-rectrice associée aux affaires francophones

Natalie Poulin-Lehoux possède 25 ans d’expérience en matière d’éducation francophone

(22 août 2023) – Une autre cadre dirigeante chevronnée s’est jointe à l’Université Laurentienne : Natalie Poulin-Lehoux est nommée au rôle de vice-rectrice associée aux affaires francophones. Ayant acquis plus de 25 ans d’expérience, elle comprend et apprécie pleinement le rôle de l’enseignement postsecondaire en français dans le nord de l’Ontario.

Dans ses fonctions les plus récentes de directrice du Bureau de la vice-présidence à l’enseignement au Collège Boréal, elle gérait un dossier de responsabilités comprenant l’apprentissage par l’expérience, l’élaboration de politiques et la transformation organisationnelle.

« Puisque nous sommes une université bilingue, il revêt une grande importance de renforcer notre capacité grâce à une solide direction au Bureau des affaires francophones (BAF), a expliqué la vice-rectrice aux études, Brenda Brouwer, Ph.D. En effet, Natalie est une excellente candidate pour ce rôle puisqu’elle apporte des qualités et valeurs ainsi qu’une expérience à travailler en milieu postsecondaire et à cultiver des relations et des partenariats. Nous attendons avec impatience qu’elle se joigne à notre équipe, mise sur les récentes réussites du BAF à élargir les programmes et services de langue française et crée de nouvelles possibilités pour l’avenir. »

Mme Poulin-Lehoux a exercé les rôles d’experte-conseil en éducation, d’enseignante à divers paliers (y compris à titre de chargée de cours à l’Université Laurentienne) et de conceptrice pédagogique et de programme. Grâce à ses expériences, elle comprend en profondeur toutes les étapes du cheminement étudiant.

Une diplômée de l’École des sciences de l’éducation de l’Université Laurentienne, elle est titulaire d’une maîtrise en éducation de l’Université d’Ottawa et d’un baccalauréat en mathématiques et informatique de l’Université de Waterloo. 

L’Université Laurentienne offre actuellement 34 programmes de langue française et compte plus de 2 300 membres francophones de sa population étudiante.

Mme Poulin-Lehoux entrera en fonction le 18 octobre 2023.

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne annonce trois nouvelles nominations

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne annonce trois nouvelles nominations

Des professionnels expérimentés et riches de connaissances se joignent au Conseil des gouverneurs

(15 août 2023) - Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne est heureux d’accueillir trois nouveaux membres, à savoir MM. Brian Ramakko, Jean-Pierre (Jay) Barbeau et Kevin Eshkawkogan. Les nominations de ces membres ont été confirmées lors de la réunion du Conseil des gouverneurs du 13 juillet 2023 pour des mandats de trois ans.

« Nous sommes ravis que trois nouveaux membres de la communauté mettent à profit leur expérience et leurs connaissances exceptionnelles pour appuyer l’Université Laurentienne dans son cheminement, a déclaré le président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, M. Vernon Cameron. Avec les nominations de Brian, Jean-Pierre et Kevin, nous sommes convaincus que l’Université Laurentienne est bien placée pour continuer à assurer son leadership par la transparence, la collaboration et le respect. »

À propos de Brian Ramakko

Brian Ramakko est propriétaire de Ramakko’s Source for Adventure et compte près de 40 ans d’expérience dans la gestion et les activités d’entreprise. Il est actuellement membre du Conseil et président de la collecte de fonds de Manitoulin Streams et coprésident de la gestion des pêches (zone 10). Il est également membre du Conseil de la Finlandia SISU Charitable Foundation et appuie le comité des membres du Centre régional des affaires de Sudbury. Il a aussi été membre du Club Rotary de Sudbury qui lui a conféré le Prix Paul-Harris.

À propos de Jean-Pierre (Jay) Barbeau

Jean-Pierre Barbeau est le directeur général (DG) de la Municipalité de Nipissing Ouest, où il fournit un leadership stratégique pour l’administration globale des services municipaux depuis plus de 20 ans. Il possède une connaissance et une expérience approfondies de la gouvernance du secteur public, de l’élaboration de politiques, de la planification stratégique et de l’analyse comparative, de la comptabilité et des finances, de la gestion des ressources humaines et des relations de travail ainsi que de la gestion des opérations. Il est diplômé de l’Université Laurentienne et se passionne pour les relations avec les diplômés.

À propos de Kevin Eshkawkogan

Kevin Eshkawkogan, aussi appelé Giigidoh Ninii (« L’homme qui parle au nom du peuple »), est un Anishinabek de l’île Manitoulin avec des liens familiaux étroits à Aundeck Omni Kaning, M’Chigeeng et Wikwemikong. Il est la force motrice et président et directeur général (PDG) de l’Association touristique autochtone de l’Ontario (ATAO) et a joué un rôle fondamental dans la croissance de l’industrie touristique autochtone aux niveaux local, régional, provincial et national. Il est actuellement membre du Conseil de direction de Science Nord et de Terre dynamique; siège au Conseil de direction de Tourisme sportif Canada; est coprésident du comité d’équité, de diversité et d’inclusion de l’Association de l’industrie touristique de l’Ontario; et siège au comité de direction de l’Association de l’industrie touristique de l’Ontario et de l’Institut des politiques du Nord. Il a servi de nombreuses organisations à divers titres, notamment à titre de membre élu du Conseil de la Première Nation M’Chigeeng, membre du groupe de travail pour le transport dans le nord de l’Ontario, membre de la table de création de richesse pour Affaires autochtones Ontario, président du Manitoulin Hotel & Conference Centre, vice-président de Destination Northern Ontario, membre contributeur de l’Indigenous Tourism Collaborative of the Americas et membre du comité consultatif de Sentiers transcanadiens.

Les cours autochtones axés sur les terres offrent des expériences qui changent la vie des participants

Les cours autochtones axés sur les terres offrent des expériences qui changent la vie des participants

Les étudiants participent à une expérience d’apprentissage pratique entourée par la nature, la culture et les enseignements autochtones

(10 août 2023) - Tous les apprentissages ne se font pas en salle de classe, et le 23 juillet dernier, des étudiants de divers programmes de premier cycle de l’Université Laurentienne ont participé à un cours sur les terres autochtones au N’Swakamok Frienship Centre. Ce cours d’immersion Anishnaabemowin de huit jours a permis aux étudiants d’apprendre une langue et de vivre pleinement la culture Anishinaabe. Enraciné dans l’apprentissage des langues, le cours est conçu pour identifier et décrire les enseignements de base de la direction Sud/Zhaawanong en utilisant la langue Anishinaabemowin.

La prestation et le succès de ce cours étaient appuyés par de nombreux membres dévoués de la communauté de la Laurentienne, à savoir les enseignants du cours Eli Lorney Bob, Maajiijwan Petahtegoose et Paula Potts, ainsi que l’étudiante de cycles supérieurs, Renee Lemoyne.

Le cours comprenait l’apprentissage quotidien de la langue, une variété d’enseignements et de cérémonies (lever du soleil, allumage du feu, entretien du feu, tambours, etc.), des cercles de partage ainsi que des compétences de survie en plein air de base comme la cuisine, l’allumage du feu et la pêche. Tout au long du cours, les étudiants étaient jumelés et avaient la responsabilité de veiller sur le feu sacré. Toute la journée et toute la nuit, par blocs horaires de deux heures, les étudiants gardaient le feu avec un œil attentif (avec bien sûr l’obtention des autorisations appropriées).

Originaire de la Première Nation Kebaowek, à Kipawa, Québec, Renee Lemoyne est titulaire d’un baccalauréat en Biologie biomédicale de l’UL, est inscrite actuellement à la Maîtrise en relations autochtones et est membre du personnel du Centre autochtone de partage et d’apprentissage (CAPA) en tant que coordonnatrice des transitions des étudiants autochtones. Avoir participé à la prestation du cours en tant qu’assistante (Shkaabewis), Renee était responsable d’un large éventail d’éléments importants. En tant que Shkaabewis, elle répondait aux besoins de tous les participants comme la nourriture, le propane, les toilettes, la sécurité des étudiants ainsi que le soutien émotionnel.

« Cela a une incidence sur la vie, a déclaré Renee. Le cours est primordial pour les gens qui y vont et en profitent au maximum. C’est le moment de lâcher prise et d’apprendre à s’aimer, à se débarrasser de la honte corporelle, à se sentir libre de faire ce qu’il faut faire dans la vie et à s’éloigner de tout jugement. »

L’apprentissage de la matière de cours s’exprime à la fois par des enseignements et des expériences. « Le fondement du style d’enseignement est que la langue anishinaabemowin est une langue émotionnelle, d’amour et d’esprit. » Renée souligne l’importance des cérémonies conformément aux enseignements de la langue. « S’engager dans des activités culturelles basées sur la direction saisonnière efface toutes les émotions que nous ressentons afin que nous puissions laisser entrer ce langage émotionnel et avoir de l’espace pour lui. »

La passion de Renee pour l’incidence et les apprentissages des cours terrestres l’a influencée sur les plans personnel et universitaire. « Ma thèse de maîtrise indique que suivre ce cours améliore votre santé globale. » Renee envisage de donner suite à son hypothèse de recherche sur le prochain cours terrestre qui devrait avoir lieu en août.

« Chaque soir, nous nous sommes assis, avons joué du tambour et chanté et avons enseigné des chansons. C’est pour le moins magique. »
Pour obtenir de plus amples renseignements sur l’inscription à ces cours, veuillez consulter la Liste des cours universitaires autochtones de l’Université Laurentienne.

Pleins feux sur les étudiants - Cole Giffin

Pleins feux sur les étudiants - Cole Giffin

Après dix ans, ce consultant en psychologie du sport est maintenant prêt pour la prochaine étape.

Pleins feux sur les étudiants - Cole Giffin

(9 août 2023) - Originaire de Kingston, en Ontario, Cole Giffin a commencé son cheminement à l’Université Laurentienne il y a près de dix ans et est maintenant en bonne voie d’obtenir son doctorat cette année - tout cela à la Laurentienne.

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Cole s’est dit attiré par l’Université Laurentienne non seulement pour le diplôme de premier cycle en Psychologie du sport, mais pour la nature et les activités de plein air qui sont offertes toute l’année à Sudbury. « Je pense que vous devez apprendre à profiter de l’hiver et je suis très reconnaissant que Sudbury m’ait appris cela. »

« M’éloignant de chez moi pour la première fois, je ne m’attendais pas à ce que la Laurentienne soit si précieuse en matière d’amitiés que j’ai nouées. Je reviens tout juste d’une autre petite rencontre avec les gens que j’ai rencontrés il y a dix ans et qui vivent à proximité. Il y a tellement d’attributs positifs que la Laurentienne peut favoriser si vous êtes ouvert à ces expériences. »

Cole a été à bien des égards un membre actif de la communauté de la Laurentienne au cours de la dernière décennie. Il est un étudiant, un athlète Voyageur, un mentor, un entraîneur, un chercheur, un enseignant et un ami.

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Motivé par son rêve de travailler avec des athlètes, Cole a décidé de parler avec Robert Schinke, Ph.D., l’un de ses professeurs de premier cycle, de ses prochaines étapes après ses études de premier cycle. Leur conversation l’a conduit à entreprendre une maîtrise et un doctorat sous sa supervision. M. Schinke décrit fièrement Cole comme « l’un de ces doctorants exceptionnels capables de diriger d’autres étudiants de cycles supérieurs dans le laboratoire, de converser avec les responsables des plus hauts niveaux du sport, comme le Comité international olympique, d’enseigner aux étudiants, d’obtenir un financement des trois conseils et d’être un auteur dans les principales revues sur les facteurs d’impact. Sa réputation s’étend rapidement sur la scène internationale. Il représente ce que je crois être la prochaine génération de consultants internationaux de premier plan en psychologie du sport. Il est d’un abord facile, curieux, coopératif et d’une grande intégrité. Il témoigne de l’excellence de cette université qui l’a formé du premier cycle au doctorat, et il nous représentera bien sur la scène internationale. »

Le grand succès de Cole au fil des ans n’a toutefois pas été facile. « En troisième année du baccalauréat, j’ai décidé qu’il fallait prouver que je pouvais le faire et que je voulais travailler avec des athlètes. Je ne savais toutefois pas ce que je devais faire pour y arriver. Je me suis alors dit que je ferais mieux d’avoir de très bonnes notes et de montrer que je peux travailler avec des athlètes et que je suis assez discipliné pour le faire. Mon diplôme de premier cycle a constitué une phase de découverte de soi et m’a convaincu que c’est à moi de suivre le chemin ou d’en tracer un nouveau. Vous rencontrerez des gens qui sont prêts à vous guider et vous devez simplement croire qu’ils veillent sur vous. S’ils sont déjà passés par là, ils ont une bonne idée de la manière d’y parvenir. »

C’est pendant cette période d’introspection que Cole a rencontré M. Schinke pour la première fois. « Il est vraiment inspirant. Il a travaillé avec des athlètes et a été un mentor qui a réaffirmé que vous avez toujours cette capacité d’être ce que vous voulez être. Vous devez avoir une vision de ce que vous voulez être. Je pense que certains étudiants de premier cycle ne comprennent pas le niveau de recherche qui existe à la Laurentienne et il est important de réaliser qu’il y a des scientifiques de classe mondiale à cette université. Trouvez-les et apprenez à les connaître et votre cheminement sera en quelque sorte tracé pour vous si vous êtes prêt à vous mettre au travail. »

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En réfléchissant aux premières années de son diplôme de premier cycle, Cole a déclaré qu’il était important de pouvoir se pardonner. « Je suis capable de regarder en arrière, de tirer des conclusions et de dire que, même si tu as été dur avec toi, il importe de se pardonner si tu regardes où tu en es maintenant. C’est là que la croissance entre en jeu, car tu enseignes maintenant ce que tu voulais faire. »

« Je pense que pour les étudiants qui arrivent, il est important de trouver des moyens de se connecter avec d’autres étudiants. J’ai eu beaucoup de chance parce que j’ai noué des liens avec d’autres joueurs de l’équipe de soccer et surtout avec les personnes de mon étage en résidence. Essayez de sortir de votre zone de confort et essayez d’établir des liens, que ce soit avec vos colocataires ou les personnes faisant des activités intramurales. »

« Fixez-vous un objectif. Avancez d’une manière ou d’une autre et n’ayez pas peur de regarder en arrière et de vous rendre compte que vous êtes ici à cause de votre passé. »

En analysant les connaissances acquises tout au long de ses études et de ses recherches, l’objectif final de Cole est de pouvoir « faire en sorte que ma science informe ma pratique et que ma pratique informe ma science. À partir de là, créez des recherches ne reposant pas seulement sur de grandes idées théoriques, mais sur des idées qui viennent d’athlètes que je peux réellement appliquer à ceux-ci. De cette façon, je peux enseigner à d’autres praticiens comment appliquer cela avec des athlètes. Le praticien et le chercheur vont de pair. »

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Passionné de soccer dès son plus jeune âge, Cole se souvient avoir été « immédiatement accueilli par l’équipe de soccer » lors des essais et avoir fait partie de celle-ci lors de sa première année à l’université. Cole travaille maintenant depuis six ans avec l’équipe masculine de soccer de l’UL en tant que consultant en psychologie et utilise ce qu’il a appris tout au long de ses études pour aider l’équipe actuelle. « Pour mettre cela en perspective, nous avons six entraîneurs de l’équipe qui nous aident. Ils sont tous diplômés de la Laurentienne et ont fait partie du programme de soccer. Cela nous rend différents des autres équipes que j’ai vues. » Cole indique qu’une partie de sa motivation pour entraîner l’équipe est d’aider à « combler les lacunes » et d’améliorer l’équipe depuis qu’il était étudiant et joueur. Ses heures de bénévolat à travailler avec l’équipe masculine de soccer et l’équipe féminine de basketball l’ont aidé à mettre ses études en pratique et à accumuler suffisamment d’heures pour devenir consultant certifié en psychologie du sport.

« Le soccer est la principale raison pour laquelle je suis à la Laurentienne et la principale raison pour laquelle je suis toujours ici. Tout tourne autour de ce sport. Une fois diplômé, Cole indique qu’il a l’intention de continuer à travailler avec l’équipe de soccer des Voyageurs aussi longtemps qu’il le pourra. Ils m’ont entraîné et c’est maintenant à mon tour de le faire. J’aimerais continuer ces liens avec le Service des sports interuniversitaires. »

L’un des futurs objectifs de Cole est de déménager au Royaume-Uni pour poursuivre sa carrière dans une équipe de football (soccer). « Je pense que ce serait intéressant de commencer dans une équipe de 8e ou de 9e division, puis de voir si cela peut se traduire au sein d’une équipe de première division. »

« La communauté de l’Université Laurentienne restera à jamais dans mon cœur. »

L’Université Laurentienne nomme de nouveaux membres du corps professoral sur la voie de la permanence

L’Université Laurentienne nomme de nouveaux membres du corps professoral sur la voie de la permanence

Investissement dans l’effectif professoral pour améliorer l’expérience étudiante

(8 août 2023) - L’Université Laurentienne a investi dans le renouvellement du corps professoral et nommé de nombreux membres du corps professoral sur la voie de la permanence dans diverses unités d’enseignement. Ces personnes enrichiront l’environnement universitaire en enseignant, en supervisant des étudiants aux cycles supérieurs, en menant des recherches et en participant à l’établissement d’un environnement d’apprentissage dynamique pour l’année universitaire 2023-2024 et les suivantes.

« C’est un investissement dans la progression de la mission d’enseignement et de recherche de la Laurentienne et dans notre mandat triculturel et de bilinguisme, a affirmé la vice-rectrice intérimaire aux études, Brenda Brouwer, Ph.D. Ces personnes apportent une expertise et de l’expérience exceptionnelles ainsi qu’une nouvelle énergie qui enrichiront l’expérience étudiante et encourageront de nouvelles possibilités de collaboration interdisciplinaire. Nous sommes ravis d’accueillir nos plus récentes recrues sur la voie de la permanence. Le talent qu’elles apportent contribuera immensément à l’essor de la Laurentienne. L’avenir est en effet brillant. »

Voici les nouveaux membres du corps professoral sur la voie de la permanence :

Faculté d’éducation et de la santé – École des relations avec les autochtones

  • Nicole Wemigwans
    • Intérêts de recherche : maternité et art d’être parent chez les Anishnaabes, méthodologies autochtones, santé des autochtones, études matriarcales et du genre, pédagogies globales en service social.
    • Cours prévus : ISWK 3305 : Indigenous Theories and Perspectives in Social Work Practice I; ISWK 4305 : Indigenous Perspectives - Theories for Social Work Policy II
  • Adria Kurchina-Tyson
    • Intérêts de recherche : épistémologies autochtones, parenté queer/bispirituel, relations inter-espèces, sexualité (perversion/sadomasochisme).
    • Cours prévus : MIRE 5006 : Indigenous Relations and Worldviews - Theory and Practice; MIRE 5056 : Natural Resources and the Environment from Indigenous Perspectives; ISWK 4416 : Conflict Resolution and Peacemaking in Indigenous Social Work Practice.

Faculté d’éducation et de la santé – Sciences infirmières

  • Sylvain Leduc
    • Intérêts de recherche : soins primaires pour les transgenres, personnes de genre divers et non binaires, obstacles à l’accès aux services de soins d’affirmation du genre dans le nord de l’Ontario.
    • Cours prévus : SCIN 5356 : Formation avancée en évaluation de la santé 1; SCIN 5357 : Formation avancée en évaluation de la santé 2.

Bibliothèque et Archives

  • Natasha Gerolami
    • Intérêts de recherche : politique et éthique de l’information/médiatiques, contrôle de l’accès et propriété de l’information.
    • Responsabilités prévues : liaison entre la Bibliothèque et la Faculté des arts, coordonnatrice des archives.

Faculté des arts – Français langue seconde

  • Valérie Raymond
    • Intérêts de recherche : Contact des langues (emprunts lexicaux, alternances codiques), l’acquisition, l’apprentissage et la maîtrise de la langue française en contexte minoritaire, les genres grammaticaux, le bilinguisme et le multilinguisme, le rôle de la culture dans l’apprentissage de la langue, la sécurité linguistique en contexte minoritaire.
    • Cours prévus : FREN 3816 : Le français dans le monde; FREN 2816 : Éléments de la linguistique générale; FREN 3536 : Grammaire de l’écrit en contexte; FREN 2506/2507 : Interactions orales et écrites I et II; FREN 4515 : Produits culturels canadiens-français; LANG 1005 : Grammaire appliquée à la rédaction.

Faculté de gestion

  • Patricia Orozco Quijano
    • Intérêts de recherche : avenir du travail et pratiques opérationnelles durables.
    • Cours prévus : MGTG 4041 : International Marketing; MGMT 5901 : Work Integrated Learning. Responsabilités prévues : Coordinatrice du BAA/BBA

Faculté des sciences, de génie et d’architecture – Communication scientifique

  • Chantal Barriault
    • Intérêts de recherche : l’apprentissage des sciences dans des environnements non structurés, la communication scientifique et son influence sur la façon dont les gens apprennent les sciences et s’engagent dans des questions sociales fondées sur les sciences, comme le changement climatique.
    • Cours prévus : SCOM 5026 : Learning Theories and Practice in Science Communication; SCOM 5116 : Research Methods in Science Communication; SCOM 5125 : Major Research Project in Science Communication.

Faculté des sciences, de génie et d’architecture – Informatique

  • Meng Cheng Lau
    • Intérêts de recherche : robotique mobile intelligente, vision informatique, intelligence artificielle et apprentissage automatique, systèmes intégrés.
    • Cours prévus : COSC 4117 : Artificial Intelligence; CPSC 5616 : Machine Learning and Deep Learning; CPSC 5207 : Topics in Computer Science - Intelligent Mobile Robotics; COSC 3106 : Theory of Computing.

Faculté des sciences, de génie et d’architecture – Architecture

  • Amina Lalor

Outre ce qui précède, une nouvelle nomination sur la voie de la permanence a eu lieu en droit et justice à la Faculté des arts, et deux autres recrutements devraient se terminer prochainement.

La province accorde une subvention de 1 200 000 $ à des chercheurs de l’Université Laurentienne.

La province accorde une subvention de 1 200 000 $ à des chercheurs de l’Université Laurentienne.

Les subventions soutiennent la recherche sur les stratégies d’apprentissage virtuel.

(31 juillet 2023) - Dans le cadre de l’initiative de la Stratégie pour l’apprentissage virtuel de l’Ontario, le gouvernement de l’Ontario a annoncé qu’il appuyait le travail des chercheurs de l’Université Laurentienne en accordant des subventions d’un montant total de 1 246 775 dollars à trois projets innovateurs. Ces projets font progresser les possibilités d’apprentissage virtuel pour les futurs étudiants et créent de nouvelles façons d’offrir l’enseignement postsecondaire.

« L’innovation naît de la collaboration et ces projets sont d’excellents exemples de personnes qui se réunissent pour partager des idées et faire progresser notre compréhension de l’apprentissage. Nous remercions la province de cet investissement qui a permis de concrétiser ces projets. » - Brenda Brouwer, Ph.D., vice-rectrice intérimaire aux études à l’Université Laurentienne.

« Les projets innovateurs achevés en 2022-23 dans le cadre de la Stratégie pour l’apprentissage virtuel de l’Ontario renforcent la solide réputation de l’Ontario en tant que leader mondial de l’enseignement postsecondaire, a déclaré Jill Dunlop, ministre des Collèges et Universités. Les réalisations de ces projets aident l’Ontario à élargir la gamme de ressources d’apprentissage hybride de haute qualité et adaptées au marché offertes dans toute la province pour aider les gens à acquérir les compétences et la formation dont ils ont besoin pour réussir, peu importe où ils vivent, et à se préparer aux emplois de demain. »

 

Centre de recherche sur la sécurité et la santé au travail (CRSST) - Simulation de soins de santé en collaboration - Modules avancés de réalité virtuelle pour le niveau postsecondaire - 1 078 000 $ : Modules de réalité virtuelle pour les soins de santé en collaboration

Cette nouvelle approche de l’apprentissage permettra d’assurer la formation en soins de santé postsecondaires à distance sans compromettre les caractéristiques des protocoles d’enseignement et d’apprentissage fondés sur des données probantes.

Ce projet est le fruit d’un partenariat entre l’École des sciences infirmières de l’Université Laurentienne, le Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST), le Collège Georgian, le Michener Institute of Education et Lumeto in Virtual Reality (VR) pour eCampus Ontario. Douze modules d’apprentissage synchrones, entièrement immersifs et interactifs ont été créés, examinés par des pairs et soumis à une étude pilote. Les scénarios figurent sur la plateforme de réalité virtuelle Lumeto et couvrent une grande variété de sujets comme la RCR, le choc septique, l’urosepsis et la gestion des réactions allergiques. Les modules sont adaptés à divers apprenants dans le domaine des soins de santé, qu’il s’agisse d’étudiants de premier cycle, de cycles supérieurs ou de cliniciens.

« Ce projet a été une occasion précieuse de travailler avec l’équipe de Lumeto pour créer des modules de pointe de réalité virtuelle dans le secteur des soins de santé. Les étudiants de la Laurentienne ont acquis une expérience concrète liée à leur discipline (sciences infirmières et informatique) en collaborant avec des professionnels pour créer du contenu, évaluer les mécanismes de prestation et observer un environnement de travail en évolution rapide. » - Alison Godwin, Ph.D., directrice associée du CRSST, professeure agrégée, École de kinésiologie et des sciences de la santé

 

Projet de film Histoires de décolonisation (bilingue) – 25 000 $

Ce projet, qui vise à sensibiliser les Canadiens aux réalités coloniales du Canada et à les inciter à œuvrer en faveur d’un changement décolonial, a été élargi pour inclure de nouvelles versions linguistiques et un guide de l’animateur. Histoires de décolonisation, un projet documentaire basé sur des interviews et créé par Gladys Rowe, Teddy Zegeye-Gebrehiwot et Elizabeth Carlson-Manathara, a été considérablement amélioré grâce au financement de la stratégie d’apprentissage virtuel de eCampus Ontario. Grâce au financement de eCampus Ontario, les documents ci-dessous sont désormais offerts gratuitement au public (www.storiesofdecolonization.org) et figurent dans la bibliothèque virtuelle de eCampus Ontario :

  • Version sous-titrée en anishinaabemowin et cri du film Histoires de décolonisation : Dépossession et colonisation des terres.
  • Version française du guide pédagogique du film Histoires de décolonisation : Dépossession et colonisation des terres.
  • Guide pédagogique pour le film Récits à propos de la décolonisation : Relations (dé)coloniales.
  • Versions sous-titrées en français et anishinaabemowin et version bilingue du film Récits à propos de la décolonisation : Relations (dé)coloniales.

Ces ressources numériques sont actuellement utilisées par des éducateurs universitaires et communautaires. De plus, la version bilingue de Récits à propos de la décolonisation : Relations (dé)coloniales a été présentée en tant que sélection officielle du Festival international du film Cinéfest Sudbury (2022); les versions anishinaabemowin et bilingue Récits à propos de la décolonisation : Relations (dé)coloniales ont été présentées au Cinéma Indie de Sudbury lors de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation (2022).

Le projet de film a été souligné lors du congrès de l’Association canadienne pour la formation en travail social (2022) et à la Conférence autochtone Maamwizing (2022). Le financement de base de ce projet a été assuré par le Conseil de recherche en sciences humaines (CRSH) du Canada tandis que le Consortium national de formation en santé (CNFS) a financé la traduction française du guide pédagogique du film Récits à propos de la décolonisation : Relations (dé)coloniales.

« Nous sommes reconnaissants à eCampus Ontario de nous avoir donné l’occasion de nous associer à des traducteurs et à des concepteurs de programmes d’études/graphistes afin d’élargir le projet de film Histoires de décolonisation pour y inclure des versions sous-titrées en anishinaabemowin, en cri et en français, et élaborer un guide pédagogique pour notre deuxième film. » -  Elizabeth Carlson-Manathara, professeure agrégée, École de service social.

 

Financement de la Stratégie pour l’apprentissage virtuel - Soutien ciblé à la capacité numérique - 143 775 $

L’investissement de eCampusOntario dans l’apprentissage virtuel à l’Université Laurentienne a permis la création de deux postes de soutien à l’enseignement bilingues à plein temps, l’un en conception pédagogique et l’autre en conception et développement des médias. Ce soutien a permis l’élaboration de nouveaux micro-crédits comme Doula de fin de vie, Principes de base de la rédaction de demandes de subventions, Équilibre entre le travail et la vie personnelle et Growing Microgreens at Home, un cours élaboré en collaboration avec La Belle Vie Farm. Le financement de ces deux postes a permis de poursuivre les possibilités existantes de perfectionnement professionnel comme le programme de technicien agréé en comportement et le cours de conception de sondages efficaces. En outre, le financement a permis de réviser plusieurs cours de qualification additionnelle et de qualification de base additionnelle en anglais et en français, reconnus par l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario.

« Nous remercions eCampusOntario qui a permis le développement et l’expansion des programmes bilingues non crédités actuels et nouveaux afin de soutenir les possibilités d’apprentissage virtuel dans le Nord. » - Bettina Brockerhoff-Macdonald, Ph.D., directrice, Centre d’apprentissage continu.

Pleins feux sur les diplômées : la diplômée de sciences infirmières se lance dans sa prochaine aventure : faculté de médecine.

Pleins feux sur les diplômées : la diplômée de sciences infirmières se lance dans sa prochaine aventure : faculté de médecine.

Alexie Lanteigne discute de la façon dont la Laurentienne l’a préparée à un avenir dans le domaine de la santé.

Pleins feux sur les diplômées : la diplômée de sciences infirmières se lance dans sa prochaine aventure : faculté de médecine.

(28 juillet 2023) - Depuis l’obtention de son baccalauréat en sciences infirmières (2021), une diplômée de l’Université Laurentienne, Alexie Lanteigne, a été très active. Elle détient maintenant une maîtrise en gérontologie appliquée (Université Brock), a partagé ses connaissances avec les étudiants en enseignant à temps partiel à la Laurentienne (sciences infirmières) et au Collège Boréal (présciences de la santé), et a travaillé avec un médecin de famille dans sa ville natale de Sturgeon Falls en tant qu’infirmière autorisée (IA). Elle a également fait du bénévolat à l’Université NOSM pour soutenir Camp Med, un camp d’été annuel qui offre aux élèves du secondaire une occasion unique d’être inspiré à envisager un avenir en tant que professionnel de la santé.

Alexie-Lanteigne,-diplômée-en-sciences-infirmières-(2021),-entreprendra-cet-automne-sa-première-année-à-l’École-de-médecine-de-l’EMNO.

« Je suis vraiment passionnée par les soins infirmiers et ma prochaine aventure me verra commencer comme étudiante en médecine à l’Université NOSM cet automne, a déclaré Alexie. J’ai toujours voulu redonner à ma communauté, et mon objectif ultime est de travailler dans les petites communautés rurales du nord de l’Ontario - pour aider à combler les lacunes qui existent dans le domaine médical dans le Nord. »

La passion d’Alexie pour les soins de santé a commencé alors qu’elle fréquentait l’École secondaire catholique Franco-Cité. Ayant eu l’occasion de visiter le campus de la Laurentienne lors d’une journée portes ouvertes, elle dit avoir été impressionnée par les laboratoires et les installations de soins infirmiers. « Ma première impression des laboratoires de sciences infirmières d’UL a été incroyable. Cela a été pour moi vraiment excitant de rencontrer de futurs professeurs, de voir l’équipement dans lequel l’UL a investi et de parler avec d’autres étudiants intéressés par les soins infirmiers. »

Alexie-Lanteigne-(à-droite),-avec-sa-sœur-Sophie-Lanteigne,-également-diplômée-de-la-Laurentienne-(B.Ed.-2023).

Selon Alexie, les composantes pratiques du programme de sciences infirmières de l’UL étaient inestimables. « Le fait d’apprendre en classe, de pratiquer en laboratoire et d’aller directement en milieu clinique a été une différence positive pour moi. En outre, les membres du corps professoral et mes pairs étaient fantastiques. »

Au premier cycle, Alexie a participé au programme de mentorat par les pairs en sciences infirmières. « Quand j’étais en première et deuxième année, j’étais jumelé avec un étudiant des années supérieures et cela m’a bien aidé. Pouvoir offrir le même type de mentorat à une personne lorsque j’étais dans mes années supérieures a été très valorisant. »

Alexie a également participé aux activités du conseil étudiant en sciences infirmières qu’elle décrit comme « une belle occasion de prendre davantage part aux activités au sein de la communauté étudiante ». Elle aimait soutenir ses pairs par la défense des intérêts et la planification d’activités amusantes. Alexie a aussi été ambassadrice étudiante pour le Consortium national de formation en santé (CNFS), une expérience qu’elle a bien aimée. « J’ai adoré être ambassadrice de mon programme. J’ai particulièrement aimé les occasions de m’engager avec des élèves du secondaire. Partager ce qu’était le programme de sciences infirmières de l’UL, c’était vraiment spécial. »

En-tant-qu’étudiante-de-premier-cycle,-Alexie-a-bien-aimé-les-composantes-pratiques-du-programme-de-sciences-infirmières-de-la-Laurentienne.

Alexie est francophone et il était important pour elle de pouvoir étudier en français à la Laurentienne. « C’est ma langue maternelle et j’ai une véritable passion pour la population francophone. En tant qu’étudiante, c’était agréable d’apprendre la théorie infirmière en français, mais aussi d’avoir des possibilités de cours cliniques en anglais. J’ai obtenu mon diplôme avec un certificat de bilinguisme et je pense que cela est une très bonne chose. En milieu de travail, il importe de bien communiquer en anglais et en français. Pouvoir communiquer avec les patients dans les deux langues est en effet très utile. »

À sa quatrième année, Alexie a été reconnue pour son dévouement en tant qu’étudiante francophone dans le domaine des soins infirmiers. « J’ai gagné le prix de GIIFO du Groupe des infirmières et infirmiers francophones de l’Ontario. » Ce prix est décerné à « un membre de la population étudiante qui a fait preuve d’excellence dans la formation théorique et la formation clinique et qui a su promouvoir le français durant ses études en sciences infirmières. »

Son dévouement et son engagement envers ses passions se sont traduits par divers succès pour Alexie. La communauté de l’UL attend avec impatience de suivre son cheminement dans le cadre de ses projets.

Alexie-(à-droite)-avec-son-amie-et-étudiante,-Emilie-Plach,-dans-un-cadre-clinique.

Pleins feux sur les étudiants : une étudiante en biologie biomédicale participe à un programme d’études prémédicales à l’étranger.

Pleins feux sur les étudiants : une étudiante en biologie biomédicale participe à un programme d’études prémédicales à l’étranger.

La Sudburoise Tori Laflamme met la théorie en pratique dans les hôpitaux de Gênes, en Italie, et de Washington, DC.

Pleins feux sur les étudiants : une étudiante en biologie biomédicale participe à un programme d’études prémédicales à l’étranger.

(20 juillet 2023) - Le 14 juillet 2023, Tori Laflamme, qui entreprendra sa 3e année en biologie biomédicale cet automne à l’Université Laurentienne, est rentrée chez elle après avoir participé à un incroyable programme de six semaines d’observation prémédicale à l’étranger. Cette possibilité d’apprentissage pratique, organisée par la fondation Atlantis, lui a permis d’observer le travail de chirurgiens à IRCCS Istituto Giannina Gaslini, à Gênes, en Italie, et d’appuyer la recherche médicale au Children’s National Hospital (CNH), à Washington, D.C.

L’étudiante-en-biologie-biomédicale,-Tori-Laflamme-(à-l’extrême-gauche)-à-Gênes,-en-Italie,-avec-des-pairs-qui-ont-participé-au-programme-d’études-prémédicales-de-six-semaines-à-l’étranger-cet-été-par-l’entremise-d’Atlantis.

Tori est une fière francophone diplômée du Collège Notre-Dame (2021) de Sudbury. « J’ai toujours su que je voulais étudier la médecine, et même si j’ai soumis une demande dans de nombreuses universités, je voulais rester près de la maison. La Laurentienne était la meilleure option pour moi pour étudier dans le cadre d’un diplôme bilingue, rester près de chez moi et obtenir un enseignement qui me préparera pour l’école de médecine.

Accepter une possibilité d’études à l’étranger dans mon domaine a été une « expérience incroyable, surtout en tant que jeune étudiante ».

À Gênes, Tori a observé le travail de chirurgiens au bloc opératoire en chirurgie générale, ophtalmologie et pathologie anatomique. « À la Laurentienne, nous avons des travaux pratiques en laboratoire, mais nous apprenons aussi beaucoup en matière de théorie médicale. Cette possibilité m’a permis de mettre la théorie en pratique et de vivre la vie d’un chirurgien typique. En tant qu’étudiants, nous avons pu nous tenir juste à côté des chirurgiens à la table d’opération pendant que les professionnels de la santé nous récitaient ce qui se passait précisément. C’était assez surréaliste. »

Tori-et-ses-pairs-au-Children’s-National-Hospital,-port-d’attache-de-leur-recherche-médicale-menée-à-Washington,-DC.

À Washington, Tori a, avec pairs et sous la supervision du personnel médical, appuyé une étude de recherche sur le sujet de la corrélation entre les familles à faible revenu, la nutrition et la santé mentale. « Nous avons constaté que les enfants de familles à faible revenu sont prédisposés à l’obésité, ce qui peut les rendre plus vulnérables à une mauvaise santé mentale. » Vers la fin du stage au CNH, elle et ses pairs ont présenté les résultats à une équipe de cadres supérieurs. « Espérons que nos résultats soutiendront le développement de ressources pour ces familles. »

Pendant son séjour à l’étranger, Tori a bénéficié de l’expérience d’apprentissage auprès de divers médecins praticiens, mais aussi de la valeur d’être immergée dans des environnements culturels à l’extérieur de sa communauté d’origine du Grand Sudbury. « Le week-end, nous avons visité de nombreux sites culturels avec un guide local, ce qui nous a donné l’occasion d’explorer, ce qui était assez incroyable. »

Tori encourage les autres étudiants qui désirent participer à des possibilités d’études à l’étranger à en profiter. « La vie est courte. Écoutez votre intuition qui vous dit que si vous voulez le faire, faites-le. J’ai découvert tellement de choses sur moi-même en vivant cette expérience, et il en sera de même pour vous. »

Une fois qu’elle aura obtenu son diplôme de premier cycle, Tori a l’intention de soumettre des demandes dans diverses facultés de médecine au Canada et à l’étranger. Elle est passionnée par une carrière en médecine et a hâte de poursuivre son parcours éducationnel.

Tori-en-tenue-médicale-complète-avant-d’observer-une-chirurgie-au-IRCCS-Istituto-Giannina-Gaslini,-à-Gênes,-Italie.

Pleins feux sur les diplômés : Dehmin Eshkawkogan

Pleins feux sur les diplômés : Dehmin Eshkawkogan

Une diplômée en promotion de la santé est maintenant un modèle pour sa communauté.

Pleins feux sur les diplômés : Dehmin Eshkawkogan

(19 juillet 2023) - Diplômée récente du programme de Promotion de la santé, Dehmin ​Eshkawkogan continue d’utiliser les systèmes de soutien qui l’entourent pour persévérer dans tous les défis qui se présentent à elle.

Dehmin-lors-de-la-remise-des-diplômes

Dehmin est proche de sa famille et de sa ville natale de Wikwemikong. « Quand j’étais au secondaire, je n’étais pas certaine du programme auquel m’inscrire, mais je savais avec certitude que je voulais rester près de chez moi. C’était une des raisons pour laquelle j’ai choisi la Laurentienne qui est seulement deux heures de chez moi. »

Dehmin voulait à l’origine s’inscrire au programme de sciences infirmières, mais a été immédiatement attiré par le programme de promotion de la santé lorsqu’elle a lu la description de celui-ci. Cela correspondait exactement à ce qu’elle voulait faire et à ce qui l’intéressait.

Le soutien et la motivation de Dehmin dans le choix d’un établissement postsecondaire et de son programme découlaient de sa famille et de sa participation à Outside Looking In, une organisation dirigée par des autochtones conçue pour autonomiser les jeunes autochtones. Le programme a offert de nombreuses possibilités, notamment le jumelage à un mentor et la participation à des cours de danse et à des sorties en groupe pour des compétitions. « Cela m’a donné un grand espoir et une bonne raison d’avoir de bonnes notes. »

Grâce à cet équilibre entre l’école, le programme, le travail et la vie sociale, Dehmin a indiqué que le programme Outside Looking In l’a aidée à développer une variété de compétences pertinentes pour une utilisation quotidienne, à savoir la gestion du temps et la discipline pour faire les devoirs et les travaux. « Cela m’a aidé à renforcer ma motivation à faire mes devoirs, à terminer mes travaux et à aller à Toronto pour les compétitions de danse, un facteur de motivation très important. Participant au programme Outside Looking In tout au long de son expérience à l’École secondaire Wikwemikong et à l’université, cela m’a vraiment aidée à faire la transition du secondaire au postsecondaire et de mon baccalauréat à potentiellement ma maîtrise. »

Dehmin-avec-son-père-à-la-remise-des-diplômes

Dehmin décrit son expérience de vie en résidence à l’UL comme un choc culturel. « Surtout parce que je venais de la réserve. C’était un style de dortoir, un peu comme dans les films où vous avez un couloir et les dortoirs sont juste là. C’était un grand choc culturel parce qu’on se rapproche très vite de tout le monde. Cela m’a préparé lorsque viendra le temps de déménager par moi-même. »

L’isolement causé par la pandémie a été difficile pour Dehmin. « Je n’ai pas pu me connecter avec la communauté autant que je l’aurais aimé en raison de la COVID. J’ai toutefois grandement aimé mon retour sur le campus. Cela a été un grand changement positif de passer de l’apprentissage à distance à l’apprentissage en personne parce que j’ai besoin d’être en classe pour apprendre. J’ai l’impression d’apprécier davantage mes cours de cette façon. »

Ayant été une étudiante très active tout au long de son expérience au secondaire, Dehmin estime que, si cela avait été possible, cela aurait également été le cas dans le cadre de nombreuses activités parascolaires à la Laurentienne. Au cours de sa première année, Dehmin a participé à un atelier de maintien du feu par l’entremise du Centre autochtone de partage et d’apprentissage autochtones (CAPA) sur le campus et a suivi le cours de premiers soins qui est obligatoire dans le cadre de son programme.

Depuis l’obtention de son diplôme, Dehmin a travaillé à la Wikwemikong Development Commission en tant que coordonnatrice des emplois d’été pour étudiants. Elle aide à trouver des employeurs pour les étudiants et à budgétiser le financement pour payer leur salaire pendant l’été. Forte des connaissances obtenues dans le cadre du programme de promotion de la santé, Dehmin comprend en effet mieux la santé communautaire.

À l’automne, Dehmin envisage de fréquenter le Collège Georgian dans le cadre du programme de deux ans « Anishnaabemowin and Program Development ». « Je souhaite ensuite m’inscrire à une école de physiothérapie et devenir physiothérapeute ». Dehmin a indiqué que les cours qu’elle a suivis tout au long du programme de promotion de la santé à la Laurentienne, comme Principes de la santé et de la maladie et Biomécanique, sont ce qui a d’abord attiré son attention sur la physiothérapie en tant que carrière.

Dehmin est maintenant devenue un modèle pour sa communauté et sa famille. « Je suis en effet la première personne de ma famille à avoir obtenu un diplôme d’études secondaires. Ma mère et mon père n’ont jamais obtenu leur diplôme et ma sœur est plus jeune que moi. Je peux donc dire que je suis le premier membre de ma famille immédiate à fréquenter l’université. » Sa sœur cadette a l’intention de suivre ses traces en s’inscrivant à un établissement postsecondaire et désire également faire carrière dans le domaine de la santé.

La famille de Dehmin a assisté à la remise des diplômes ce printemps et est très fière de ses réalisations. « J’ai un cadre de luxe pour mon diplôme que je peux accrocher. »

Dehmin-avec-son-père-et-sa-sœur-à-la-remise-des-diplômes

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