Vous êtes maintenant dans la zone de contenu principale

L’Université Laurentienne accueille une nouvelle bibliothécaire en chef

L’Université Laurentienne accueille une nouvelle bibliothécaire en chef

Une ancienne de la Laurentienne est nommée à la direction de la bibliothèque et des archives

20 mars 2024 – L’Université Laurentienne se réjouit d’accueillir Danielle Dennie au poste de bibliothécaire en chef à compter du 1 er juillet 2024. Mme Dennie est titulaire d’une maîtrise en bibliothéconomie et science de l’information de l’Université McGill et d’une maîtrise ès sciences en microbiologie appliquée de l’Institut national de la recherche scientifique. Ayant acquis 20 ans d’expérience dans des bibliothèques universitaires, elle est actuellement responsable de la Bibliothèque Vanier à l’Université Concordia, à Montréal.

« Grâce à son expérience et à son approche axée sur l’utilisateur à la prestation de services et de soutien exceptionnels à la population étudiante, au corps professoral, au personnel et à la communauté, Danielle apportera une importante contribution à la réalisation de notre Plan stratégique et à l’élargissement du rôle de la Bibliothèque et des Archives, a exprimé la vice-rectrice principale aux études par intérim, Brenda Brouwer. Elle dirigera une solide équipe de personnel et de corps professoral chevronnés et dévoués. Notre bibliothèque sera en bonnes mains. »

Franco-ontarienne avec des racines sudburoises et diplômée de la Laurentienne (B.Sc. en biochimie), Mme Dennie est enthousiasmée par le rôle que joue la bibliothèque universitaire à cultiver le sentiment de communauté tout en avançant l’enseignement, l’apprentissage et la recherche ainsi que par la façon dont cela doit évoluer afin de subvenir aux besoins toujours changeants des utilisateurs actuels et futurs. 

« Les bibliothèques doivent être des lieux englobants et accueillants dotés de collections et de services qui animent la créativité, l’innovation et les divers modes de réfléchir et de savoir, a affirmé Mme Dennie. Je suis ravie de mon retour à la Laurentienne à titre de bibliothécaire en chef et de toutes les occasions à saisir ensemble et en collaboration pour nourrir la vision de la Bibliothèque et des Archives. »

Le 1 er juillet 2024, Mme Dennie amorcera son mandat de cinq ans à la Bibliothèque J.N.Desmarais et aux Archives de l’Université Laurentienne.

Onze équipes se sont affrontées dans le cadre de la 6e édition annuelle du Défi d’or Goodman

Onze équipes se sont affrontées dans le cadre de la 6e édition annuelle du Défi d’or Goodman

Des équipes universitaires du Canada, des États-Unis et du Royaume-Uni ont fait concurrence lors de ce concours d’études de cas en investissement minier des plus réalistes et originaux.

5 février 2024 – Axée sur les minéraux critiques, l’édition de cette année du Défi d’or Goodman, concours d’études de cas en investissement minier, a eu lieu du 31 janvier au 2 février 2024 et incluait pour la première fois une équipe de l’Europe.
 
Organisé par l’École des mines Goodman de l’Université Laurentienne et présenté par Kinross Gold, commanditaire en titre, le concours annuel inégalé propose aux équipes d’étudiants universitaires d’agir à titre de société de financement. Les équipes ont dû évaluer le potentiel d’investissement de trois entreprises et en choisir une, avec justification, aux fins d’investissement. Il s’agissait de véritables sociétés minières, à savoir Canada Nickel Company, Magna Mining et Talon Metals. Les PDG de chacune des entreprises ont passé 30 minutes à essayer de convaincre les équipes d’investir dans leur compagnie. Ensuite, les équipes ont eu des entretiens individuels avec chacun d’entre eux pour poser des questions percutantes, considérer des données importantes et discuter d’analyses afin d’orienter leur décision. 

La directrice générale de l’École des mines Goodman, Nadia Mykytczuk, Ph.D., a félicité les étudiants de leur réflexion prospective. « Le secteur minier subit une importante transition, a-t-elle expliqué. Que les étudiants comprennent la chaîne de valeur des minéraux critiques et la façon d’établir des mines fructueuses sera un atout considérable pour le secteur dans son ensemble. »
 
Il y a eu des entretiens avec les experts de l’industrie tout au long de l’activité. La responsable technique de l’équité, de la diversité et de l’inclusion à Vale Base Metals, Theresa Nyabeze, a prononcé le discours principal tandis que des cadres dirigeants chevronnés de Canaccord Genuity, Dundee Corporation, Kinross Gold, Orix Geoscience, RBC Marchés des capitaux et Technica Mining ont formé le jury.
 
Bien qu’il y ait eu une participation internationale de la Camborne School of Mines, de l’Angleterre, et de la Colorado School of Mines, des États-Unis, en fin de compte c’est l’équipe de l’Université de la Colombie-Britannique  qui a gagné la 6e édition du Défi d’or Goodman, édition axée sur les minéraux critiques. L’équipe a choisi Canada Nickel Co. aux fins d’investissement et a reçu comme prix l’équivalent en argent de quatre onces d’or.

« Félicitations à l’Université de la Colombie-Britannique qui a gagné le 6e Défi d’or Goodman, a exprimé le président du concours et PDG de Dundee Corporation, Jonathan Goodman. Ayant travaillé depuis longtemps dans le domaine de l’investissement, je trouve toujours impressionnant d’observer les étudiants qui présentent leur travail et cela me donne beaucoup d’espoir pour l’avenir du secteur. » 
 
Les équipes en deuxième École des mines du Colorado et troisième places l'Université du Manitoba ont reçu des pièces d’argent et, pour leur participation, toutes les équipes ont reçu des boîtes à lunch de mineurs fabriquées à Sudbury. Les étudiants des 11 équipes ont appris des leçons inestimables sur la prise de décision en matière d’investissement dans le secteur minier et ont noué des relations durables avec leurs pairs et des leaders de l’industrie.

Que se produit-il lorsque les antibiotiques cessent d’agir?

Que se produit-il lorsque les antibiotiques cessent d’agir?

La mutation de bactéries virales est en train de réduire l’efficacité des traitements

31 janvier 2024 – Depuis la découverte de la pénicilline, la résistance aux antimicrobiens (RAM) constitue un problème qui persistera aussi longtemps qu’il y aura des infections nécessitant un traitement. Il s’agit d’un problème mondial qui entraîne 4,95 millions de décès par année selon l’Organisation mondiale de la santé. Qu’est-ce que la RAM et comment peut-elle être réglée?

La résistance aux antimicrobiens consiste en l’adaptation physiologique des micro-organismes à des agents qui seraient toxiques pour eux. Une bactérie qui rend les gens malades (appelée agent pathogène) apprend à résister aux effets médicinaux d’un médicament ou d’un antibiotique. La nouvelle variante de la bactérie se propage alors et le médicament n’a plus d’effet contre une infection.

« La RAM est un problème mondial, a affirmé Mazen Saleh, Ph.D., professeur agrégé dans l’École des sciences naturelles à l’Université Laurentienne. Normalement, quand une personne contracte une infection, on lui prescrit un antimicrobien particulier, couramment appelé un antibiotique, bien que les deux termes ne soient pas synonymes. Si ce microbe développe une résistance en mutant, on pourrait choisir de prescrire un autre antimicrobien pour traiter l’infection. Mais voilà le problème. La bactérie continue de muter contre un, deux, parfois trois antimicrobiens, ce qui les rend inutiles. Nous pouvons arriver à un point où un agent pathogène devient résistant à tous les antimicrobiens dont nous disposons. »

Les chercheurs le constatent déjà avec la tuberculose. Il existe des formes multirésistantes (MR) et ultrarésistantes (UR), dont il est question lorsque « l’agent pathogène résiste à divers antimicrobiens sans rapport de structure, y compris les antimicrobiens de première et de deuxième ligne, a expliqué M. Saleh. Dans cette situation, la principale préoccupation est que l’agent pathogène devienne résistant à tous les antimicrobiens dont nous disposons et que ces infections ne peuvent plus être traitées avec les médicaments traditionnels. »

Alors que les antimicrobiens chimiques comme les sulfamides et la pénicilline sont utilisés pour traiter les infections depuis la Seconde Guerre mondiale, les antimicrobiens non chimiques d’origine naturelle, appelés phages ou virus bactériens, et les peptides antimicrobiens (PAM) sont des traitements plus récents. Les phages et les peptides se comportent de la même manière que les antimicrobiens chimiques, car ils attaquent les bactéries, mais plutôt que d’être créés en laboratoire, ils sont abondants dans la nature et ciblent plus précisément l’agent pathogène.

« Les phages et les peptides peuvent être utiles dans les cas de multirésistance ou d’ultrarésistance aux médicaments, a ajouté M. Saleh. Étant donné la plus grande résistance aux antibiotiques à l’échelle mondiale, les peptides et les phages suscitent un regain d’intérêt de la part des chercheurs. Pourtant, les phages et peptides ont des désavantages et ne sont pas un remplacement idéal pour ce qui constitue actuellement le traitement le plus efficace contre les infections bactériennes : les antibiotiques. »

« Si nous n’agissons pas contre la résistance aux antimicrobiens, le résultat éventuel le plus urgent est la propagation d’agents pathogènes mortels. On ne peut pas exagérer le risque d’une résistance croissante aux antimicrobiens, a insisté M. Saleh. À ce moment-là, nous n’aurions pas d’autres options. Même si les bactéries deviennent généralement résistantes à chaque nouveau médicament que nous créons, nous pouvons ralentir la progression de la résistance. »

Cela peut se faire de quelques façons.

Selon M. Saleh, les patients et les médecins ont chacun une responsabilité lorsqu’il s’agit de prendre des antimicrobiens. « Les médecins doivent être prudents en prescrivant des antibiotiques pour s’assurer qu’une infection bactérienne est bien à l’origine de la maladie, a-t-il continué. De même, les patients ne doivent pas s’attendre à recevoir des antibiotiques pour régler n’importe quelle infection, tout particulièrement les infections virales bénignes qui causent le rhume et disparaissent d’elles-mêmes. » « Les patients doivent toujours suivre le traitement antibiotique qui leur est prescrit, a-t-il prévenu. Il ne faut pas arrêter de prendre le médicament lorsque les symptômes disparaissent ou après quelques jours. On doit suivre le traitement au complet. »

En outre, M. Saleh souligne que la manière dont on se débarrasse des antibiotiques restants est très importante. « Apportez les restes de médicaments à une pharmacie, a-t-il précisé. Des antibiotiques qui finissent dans l’environnement, dans les cours d’eau et les dépotoirs, peuvent favoriser la résistance. De même, si on les laisse dans une armoire, cela augmente le risque que quelqu’un les prenne plus tard pour se soigner ou traiter une maladie, ce qui contribue également à la résistance aux antimicrobiens au sein de la population. »

Alors que la saison du rhume et de la grippe bat son plein, M. Saleh indique qu’une prise en compte de ces précautions concernant l’utilisation d’antibiotiques aidera à soutenir les efforts mondiaux visant à ralentir la résistance aux antimicrobiens.

Des étudiants et anciens de la Laurentienne tiennent le Parlement modèle dans la capitale du Canada

Des étudiants et anciens de la Laurentienne tiennent le Parlement modèle dans la capitale du Canada

Une centaine d’anciens et d’étudiants ont participé à l’activité parlementaire tenue pour la première fois en 1992

29 janvier 2024 – Depuis 1992, des membres de la communauté de l’Université Laurentienne participent à l’activité de Parlement modèle organisé au Parlement du Canada, à Ottawa, la capitale nationale. Cependant, cette année ne marquait que la cinquième fois que l’activité était organisée par des anciens de la Laurentienne et la première fois qu’il s’agissait d’un format hybride rassemblant des étudiants et anciens. Le 27 janvier, plus d’une centaine d’étudiants, d’anciens et de donateurs ont continué la tradition en considérant des projets de loi dans la salle du Sénat.

Cette occasion inégalée donne un aperçu des rouages internes du Parlement fédéral canadien. Un comité organisateur composé d’anciens, d’étudiants et d’employés a organisé l’activité proposant un programme chargé aux participants, y compris une visite de la Cour suprême du Canada, une journée complète au Sénat et un banquet en soirée.

« Il est difficile d’imaginer l’Université Laurentienne sans le Parlement modèle, a exprimé le conseiller principal et fondateur de l’activité, Rand Dyck, Ph.D. Cette activité est largement considérée comme l’un des atouts les plus attrayants de l’UL. Pendant près de la moitié de ses 63 ans d’histoire, l’Université a donné à ses étudiants l’occasion d’y faire valoir leurs aptitudes et d’y mettre en pratique leur perspicacité politique. Au cours de toutes ces années, des centaines d’étudiants, de professeurs et de fonctionnaires ont consacré beaucoup de temps et de talent à la réalisation du Parlement modèle. C’est merveilleux de faire un retour jubilant à Ottawa pour ce Parlement modèle hybride d’étudiants et d’anciens. »

« De nombreux participants au Parlement modèle se sont présentés à des élections, ont occupé des rôles clés au sein de campagnes politiques et travaillé à divers paliers de gouvernement, a exprimé la rectrice et vice-chancelière intérimaire de l’UL, Sheila Embleton, en adressant le groupe de la Laurentienne lors du banquet qui a suivi la visite du Parlement. Grâce à cette expérience, au fil des ans, les étudiants ont appris bien plus que la procédure parlementaire : ils ont appris à se connaître eux-mêmes et ont été véritablement inspirés et transformés par cette activité. »

Au cours des ans, les participants au Parlement modèle ont compté des politiciens en exercice de Sudbury et de nombreuses autres circonscriptions, des ministres, l’ancien premier ministre Jean Chrétien et les chanceliers de la Laurentienne, Madame Aline Chrétien et Steve Paikin. 

En outre, Mme Embleton a remercié le comité organisateur et a souligné l’impressionnante incidence que le Parlement modèle a eue sur les étudiants et les professeurs au cours des ans.

 

Des participants au Parlement modèle posent pour une photo de groupe dans la salle du Sénat.

Pleins feux sur les étudiants : Anthony Zanetti

Pleins feux sur les étudiants : Anthony Zanetti

Un étudiant de la Laurentienne se sert de jeux vidéo pour étudier la concentration et le rendement

(26 janvier 2024) – Les progrès technologiques modifient rapidement la façon dont nous interagissons avec le monde qui nous entoure. Pouvons-nous utiliser les progrès de la technologie portable pour améliorer le rendement aux activités à haute concentration? Anthony Zanetti, étudiant de deuxième année à la maîtrise en psychologie à l’Université Laurentienne, s’efforce de répondre à cette question.

Anthony n’a pas toujours su qu’il avait une grande passion pour l’étude du cerveau humain. Né à Sudbury, en Ontario, il a grandi à Copper Cliff et a fréquenté l’école secondaire catholique St. Benedict. Suivant ses études secondaires, il a amorcé un baccalauréat en biologie biomédicale à la Laurentienne.

Après ses premières années d’études, Anthony s’est rendu compte qu’il ne voulait pas poursuivre des études de médecine, même si beaucoup de ses camarades de classe envisageaient de suivre cette voie. En fait, c’est un cours facultatif de psychologie en troisième année qui l’a amené à réfléchir à différents choix de carrière. Après l’obtention du grade, il s’est inscrit au programme de baccalauréat en psychologie pour préparer un deuxième diplôme.

Maintenant étudiant de deuxième cycle, Anthony profite bien de son expérience à la Laurentienne. « Dans mes études de maîtrise, je me rends compte qu’il ne s’agit pas simplement de cours magistraux, a-t-il expliqué en pensant à l’évolution de son parcours universitaire. Nous avons de véritables discussions, car le groupe est plus petit et se prête à cette dynamique. En outre, je reçois un soutien continu de mes professeurs et mon directeur de thèse, Blake Dotta, Ph.D., m’apporte un appui incroyable en me motivant, laissant libre cours aux idées créatives et m’accordant de l’espace. Il possède une richesse de connaissances en neurosciences et m’appuie considérablement tout au long de mon parcours. »

Anthony explique que sa thèse porte sur un sujet hors de l’ordinaire : le jeu vidéo. « Dans mes recherches, je cherche à voir si les champs électromagnétiques peuvent servir à produire des effets neurologiques tels qu’une amélioration de la concentration et de l’attention des gens, a-t-il décrit. L’idée est que si le rendement s’améliore dans ces domaines lors du jeu vidéo, alors le même concept pourrait s’appliquer, entre autres, à des activités comme l’étude, la composition musicale ou la pratique d’un sport. »

Pour mener cette recherche, Anthony a demandé à des participants, pour la plupart des étudiants de premier cycle de l’UL, de jouer le jeu vidéo à haute concentration, Snake, avec et sans la présence d’un champ électromagnétique. « Un champ électromagnétique est créé en passant une charge électrique à travers quelque chose de conducteur, a précisé Anthony. Pour mon projet, la Laurentienne a fourni un appareil composé de deux boîtiers, chacun contenant une bobine de cuivre, qui crée un champ électromagnétique quand une charge électrique le traverse. » Pendant que les participants jouaient le jeu, Anthony mesurait leur rendement et l’activité cérébrale dans les zones responsables de l’attention et de la concentration. « En examinant les résultats, nous avons constaté des changements dans les parties du cerveau liées à une attention et à une concentration soutenues, laissant voir que le champ électromagnétique avait des effets favorables dans ces zones. »

Anthony publie actuellement ses découvertes et est ravi de pouvoir contribuer à ce domaine de recherche. Il espère que ses résultats aideront les futurs innovateurs à créer des casques électromagnétiques portables qui rehausseront la concentration.

Alors que l’obtention de son diplôme de maîtrise approche à grands pas à l’été 2024, Anthony espère rester à Sudbury et travailler comme associé en psychologie à Horizon Santé-Nord ou dans le secteur privé. Peu importe ce qu’il accomplira, ses recherches ont déjà eu un impact et les compétences d’Anthony feront sûrement de lui un excellent praticien. 

 

L’Université Laurentienne connaît une croissance constante des candidatures d’étudiants canadiens

L’Université Laurentienne connaît une croissance constante des candidatures d’étudiants canadiens

L’UL est le premier choix de 16 % plus d’élèves des écoles secondaires de l’Ontario

22 janvier 2024 – L’Université Laurentienne connaît encore une fois une augmentation (+5,9 %) du nombre de candidatures des élèves des écoles secondaires de l’Ontario. Le Centre de demande d’admission aux universités de l’Ontario (CDAUO) a publié son rapport de janvier faisant état des candidatures aux universités de l’Ontario et celles de l’Université Laurentienne ont augmenté en nombre et à un rythme supérieur à la moyenne du secteur (+5,0 %).

« Nous sommes heureux qu’un plus grand nombre d’étudiants souhaitent étudier à la Laurentienne et la choisissent comme premier choix, a indiqué la vice-rectrice principale aux études, Brenda Brouwer, Ph.D. Les investissements que nous avons faits dans le renouvellement du corps professoral et du personnel et la mise en œuvre de ressources pour améliorer l’expérience étudiante aident à positionner la Laurentienne comme destination de choix. »

En plus du plus grand nombre de candidatures de premier choix, il y a des augmentations dans tous les choix, y compris une augmentation de 12 % pour le deuxième choix. Ces augmentations du nombre de candidatures se remarquent à la fois pour les programmes d’études sur le campus (+7 %) et ceux en ligne (+23 %).

Il est important de noter que la Laurentienne connaît une augmentation des demandes provenant de toutes les régions de la province, la croissance la plus importante ayant lieu dans le nord-est de l’Ontario (+13 %), mais aussi dans l’est de l’Ontario (+11 %), la région du Grand Toronto (+10 %) et le centre de l’Ontario (+7 %). 

« Nous avons concentré nos efforts de recrutement dans la région et la province, ce qui a compris de nombreuses visites dans des écoles secondaires de l’Ontario, et sommes ravis de constater que ces efforts portent fruit, a ajouté Mme Brouwer. Nous sommes convaincus que les tendances relatives aux candidatures se traduiront par une augmentation des inscriptions. En fait, comparativement à la même période l’an dernier, nous constatons déjà une augmentation du nombre d’étudiants canadiens qui ont accepté leur offre (+68 %). » 

L’Université Laurentienne continue d’accepter les candidatures pour l’automne 2024 et encourage les étudiants intéressés à se renseigner sur la centaine de programmes d’études qu’elle offre, dont 34 programmes en français.

 

Entente quinquennale de financement conclue entre Vale Base Metals et l’Université Laurentienne

Entente quinquennale de financement conclue entre Vale Base Metals et l’Université Laurentienne

Nouvel accord pour appuyer la recherche à l’Unité conjointe d’écologie d’eau douce

(Sudbury, Ontario) 22 janvier 2024 - Vale Base Metals a conclu une entente quinquennale de financement avec l’Unité conjointe d’écologie d’eau douce (UCEED) du Centre pour la vitalité des lacs Vale à l’Université Laurentienne pour soutenir la surveillance à long terme des écosystèmes de la région de Sudbury. L’entente comprend une contribution totale de 960 000 $ sur cinq ans. 


L’Unité conjointe d’écologie d’eau douce, située au Centre pour la vitalité des lacs Vale, est un partenariat unique entre l’Université Laurentienne, le ministère des Richesses naturelles et des Forêts (MRNF) et le ministère de l’Environnement, de la Conservation de la nature et des Parcs (MECNP). Depuis 1997, les scientifiques et les étudiants de l’UCEED collaborent avec des sociétés minières locales (Vale, Glencore INO de Sudbury) et des partenaires gouvernementaux pour évaluer l’efficacité des programmes de réduction des émissions atmosphériques dans le rétablissement des écosystèmes aquatiques et des bassins hydrographiques de la région de Sudbury.


« Nous sommes très reconnaissants de recevoir ce financement de nos partenaires de longue date chez Vale, a déclaré Mme Jackie Litzgus, directrice de l’UCEED au Centre pour la vitalité des lacs Vale. Ce soutien contribuera grandement à stimuler la recherche à la Laurentienne et à mobiliser un soutien supplémentaire. » 


Le travail de l’UCEED aide les partenaires industriels et gouvernementaux à mesurer le succès de leurs mesures correctives et de conservation, en les aidant à fixer des objectifs réalistes de restauration. Vale est un participant de longue date de l’UCEED, une équipe reconnue internationalement pour ses recherches sur la restauration des eaux douces. 


« Des recherches de ce calibre sont essentielles pour permettre à l’industrie de prendre des décisions éclairées sur les initiatives en matière de développement durable, a déclaré le spécialiste principal en développement durable chez Vale, M. Glen Watson. Vale est fier de continuer à appuyer cet important partenariat tout en respectant son engagement à être une entreprise favorisant le développement durable. 

Créativité et communauté sont des composantes essentielles de la carrière en architecture

Créativité et communauté sont des composantes essentielles de la carrière en architecture

Deux diplômés de la maîtrise en architecture du nord de l’Ontario affirment que leur carrière est meilleure qu’ils auraient pu imaginer.

15 janvier 2024 - Lorsque l’Université Laurentienne a accueilli la promotion inaugurale à l’École d’architecture McEwen en 2013, Taylor Kreps faisait partie de ce groupe. Aujourd’hui, elle est architecte de projet dans un cabinet d’architectes de Sudbury. Alain Roy travaille aussi dans ce cabinet situé dans le nord de l’Ontario en tant qu’architecte stagiaire. Le cheminement pour devenir architecte est long, mais selon ces deux diplômés de la Laurentienne, il est aussi rempli d’expériences enrichissantes.

Pour devenir architecte agréé, une personne doit compléter un diplôme de premier cycle en études architecturales et un diplôme d’études supérieures en architecture, puis effectuer un certain nombre d’heures en tant que stagiaire dans un cabinet d’architectes. Tout au long du processus, l’apprentissage est pratique. Les étudiants commencent à travailler avec des matériaux dans l’atelier dès leur première année d’études.

Dès le début, les valeurs de Taylor, en tant qu’architecte, ont été façonnées par son expérience dans le cadre du programme. « Être un bon architecte, dit-elle, c’est en partie écouter. Presque tout ce que nous faisions dans le cadre du programme à la Laurentienne se faisait en groupe ou en équipe et comprenait toujours la communauté. Cela m’a permis de comprendre comment devenir architecte, mais aussi de développer mon amour du travail avec les communautés. »

Alain Roy, qui entreprend sa carrière après avoir obtenu son diplôme du Programme de maîtrise en architecture en 2022, a récemment soutenu un projet visant à concevoir un agrandissement du Centre Louis-Riel du Collège Boréal. « C’est un endroit où les étudiants autochtones et les membres de la communauté peuvent se rassembler, a expliqué Alain. Le projet a été pour moi une expérience d’apprentissage. Il est actuellement en construction et j’ai bien aimé faire partie de l’équipe de conception dès le début. »

Taylor et Alain sont tous deux originaires de l’Ontario et savaient qu’ils voulaient obtenir l’agrément ici, mais plus que cela, ils voulaient que leurs études se déroulent dans le Nord parce qu’ils aiment ce que la région a à offrir. « Sudbury offre tellement de choses aux architectes, a indiqué Taylor. Il existe des projets commerciaux à grande échelle et des projets communautaires intimes dans cette vaste zone géographique du nord de l’Ontario. Ayant grandi dans une petite communauté du Nord, l’apprentissage dans ce contexte a été un facteur important de mon expérience étudiante. » Cela a également été déterminant pour Alain. « Je voulais rester dans le Nord, mais je voulais surtout pouvoir étudier et pratiquer en français. Maintenant dans mon travail, nombre de mes collègues sont bilingues et je travaille souvent sur des projets qui nécessitent le bilinguisme. C’est une valeur fondamentale pour moi. »

Taylor, quant à elle, a quatre ans de carrière et commence à visualiser à quoi ressemblera l’avenir pour elle. Elle aime le cabinet où elle travaille et espère exercer des rôles de leader sur des projets. « J’aime le design et explorer comment servir efficacement la communauté avec des espaces bien conçus. Par exemple, j’aime travailler sur des projets de soins de santé parce que le produit final répond vraiment aux besoins de la communauté. » Taylor a travaillé avec une équipe sur l’agrandissement du service des urgences du Centre de santé Manitoulin et dit que ce projet a été son favori et l’un des plus enrichissants pour elle.

Pour les futurs étudiants qui envisagent le programme, Taylor et Alain conviennent que la créativité, la communauté et l’apprentissage pratique sont la clé d’un enseignement équilibré. « On nous apprend à être des artisans, a déclaré Taylor. Nous comprenons les détails et nous comprenons le design. L’enseignement que nous avons reçu offrait suffisamment de connaissances pour que les étudiants soient préparés à n’importe quel aspect du domaine et puissent choisir sur quoi ils veulent que leur travail se concentre. » Alain est d’accord et conseille aux futurs étudiants de « tirer le meilleur parti et de profiter de la liberté de création à l’École ». Tous deux sont aussi enthousiastes à l’égard de leur amour de leur carrière et de leur communauté. « Cette carrière est meilleure que ce à quoi je m’attendais. Je l’aime vraiment. »

De nouveaux titulaires de postes menant à la permanence au corps professoral de l’École des relations autochtones se réjouissent de leur avenir à la Laurentienne

De nouveaux titulaires de postes menant à la permanence au corps professoral de l’École des relations autochtones se réjouissent de leur avenir à la Laurentienne

La communauté, la créativité et l’affiliation sont prioritaires pour ces personnes dans leur poste menant à la permanence au corps professoral.

11 janvier, 2024 - Être membre du corps professoral à l’Université Laurentienne est la réalisation d’un rêve pour Adria Kurchina-Tyson, Nicole Wemigwans et Sharlene Webkamigad. Alors que leur cheminement universitaire progresse, leurs aspirations évoluent aussi. En parachevant leur doctorat, ces personnes envisagent déjà les façons dont elles feront une empreinte sur la communauté Laurentienne dans les postes menant à la permanence qu’elles ont pourvus.

Ayant grandi à Sudbury avec des racines à Shebahonaning, Adria Kurchina-Tyson a toujours voulu étudier dans sa communauté d’enfance. En décidant de rester dans le monde universitaire pour faire de la recherche et enseigner, Adria savait que cela se ferait à la Laurentienne. De nos jours, Adria se réjouit à la perspective de collaborer de plus en plus avec les étudiants à la maîtrise. « Les brillants étudiants de maîtrise avec qui je travaille à la Laurentienne m’épatent constamment, a exprimé Adria. En outre, la possibilité de développer et de revivifier les relations autochtones dans le cadre de nouveaux cours est enthousiasmante. »

Originaire de la Première Nation de Serpent River et du territoire non cédé de Wiikwemikoong, la professeure Nicole Wemigwans a beaucoup travaillé dans le cadre de programmes communautaires au cours de la dernière décennie et s’inspire de ce travail, de ses précieux rôles de mère et de tante, et de son amour pour sa collectivité. Elle est impatiente d’échanger avec les étudiants et de leur transmettre des compétences et connaissances culturellement adaptées qui les aideront à devenir des praticiens efficaces dans leur domaine. « J’aime discuter avec les futurs travailleurs sociaux pour mieux saisir le travail à effectuer au sein des communautés autochtones, a-t-elle dit. Grâce à ce dialogue, je crois que nous pourrons améliorer la sécurité de nos proches dans ces communautés. »

Depuis le début de ses études de premier cycle en 2004, la professeure Sharlene Webkamigad, originaire du territoire non cédé de Wiikwemikoong, est passionnée par la recherche. En qualité de professeure, elle est impatiente de poursuivre cette recherche importante et de collaborer avec les étudiants et les collègues. « Les modes d’apprentissage créatifs et alternatifs ont fait partie intégrante de mon expérience aux études supérieures à la Laurentienne et j’ai hâte d’explorer les mêmes méthodes dans les cours que je donne, a-t-elle affirmé. J’attends avec intérêt de préparer des propositions au niveau national et de collaborer à des recherches qui trouvent des solutions à certains des obstacles structurels auxquels font face les Autochtones pour avoir accès à des soins de santé holistiques et sécuritaires sur le plan culturel. »

Même si les domaines d’études de ces membres du corps professoral varient, allant du genre et de la sexualité à l’affiliation et à la construction de nation, en passant par les sciences infirmières et les soins de santé, ces personnes sont unies par leur passion pour leur communauté et leur volonté de collaborer à l’avenir de la Laurentienne. « Je veux participer et contribuer à la croissance des études et du corps professoral autochtones à la Laurentienne, » a souligné Adria Kurchina-Tyson. Ces personnes partagent la conviction que l’inclusion suivie des perspectives des Autochtones et des Premières Nations dans tous les programmes est essentielle à l’identité de l’Université et porteuse de valeur pour les professeurs et les étudiants éventuels du monde entier.

Pouvoir enseigner dans un établissement accordant la priorité à un mandat triculturel a un certain sens pour chacune de ces personnes, universitaires autochtones et des Premières Nations. « Pour moi, cela veut tout dire, a expliqué Mme Webkamigad. Le fait d’être entourée de membres autochtones du corps professoral et du personnel est une force. » Selon elle, l’application de principes sécuritaires sur le plan culturel pour éliminer les obstacles structurels dans le domaine des soins de santé aurait une incidence positive sur les communautés partout. D’autre part, Adria Kurchina-Tyson est enthousiaste quant à l’intégration inestimable de l’autochtonisation dans le milieu universitaire à la Laurentienne. « Les efforts globaux de décolonisation se multiplient, a dit Adria. Il y a des peuples autochtones ainsi que des mouvements anticoloniaux partout dans le monde, ce qui rend l’autochtonisation à la Laurentienne attrayante pour les gens du monde entier. L’Université a l’occasion inégalée d’être un chef de file dans le domaine de la recherche décoloniale. »

Selon la directrice intérimaire de l’École des relations autochtones, Taima Moeke-Pickering, Ph.D., la passion de ces membres du corps professoral pour l’enseignement, la recherche et la culture s’intègre parfaitement à l’École. « Ces gens apportent une vaste expérience à leur rôle respectif, a-t-elle indiqué. L’ajout de personnes anishnaabe kweok et bispirituelles à la fois intelligentes et dynamiques dans des postes menant à la permanence au corps professoral ne peut qu’enrichir l’expérience des étudiants, le calibre des recherches et la communauté Laurentienne en général. »
 

L’Université Laurentienne nomme Roxanne Bouchard au Conseil des gouverneurs; Jean-Pierre (Jay) Barbeau élu vice-président

L’Université Laurentienne nomme Roxanne Bouchard au Conseil des gouverneurs; Jean-Pierre (Jay) Barbeau élu vice-président

La nouvelle membre apporte une expérience du secteur financier

Sudbury (Ontario), 9 janvier 2024 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de Roxanne Bouchard, CIM, CFP, CPA, au Conseil des gouverneurs ainsi que l’élection de Jean-Pierre (Jay) Barbeau à la vice-présidence de celui-ci. Le Conseil a approuvé à l’unanimité les décisions touchant ces personnes qui apportent une expérience et une expertise très riches à leur rôle respectif.
« C’est avec plaisir que nous accueillons Roxanne Bouchard, a dit le président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, Vern Cameron. Ses antécédents dans le secteur financier, ses divers titres professionnels, ses racines francophones et son leadership avéré font qu’elle est un excellent ajout. La nomination de Jay à la vice-présidence assure aussi au Conseil un solide leadership en allant de l’avant. »

« C’est un honneur pour moi de me joindre au Conseil des gouverneurs de la Laurentienne, a exprimé Roxanne Bouchard. En tant que fière diplômée de la Faculté de gestion, j’attends avec intérêt de contribuer à la gouvernance de l’Université et de redonner à cette communauté qui a fortement influencé mon développement. »

Au sujet de Roxanne Bouchard
Roxanne Bouchard est leader bilingue très accomplie qui met l’accent sur la gestion du changement et l’exécution de stratégies de développement des affaires en vue d’une croissance dynamique des actifs et des revenus. Actuellement vice-présidente et chef de marché à BMO Gestion privée, elle dirige fructueusement des équipes intégrées de conseillers, de banquiers, de conseillers en placement et d’agents fiduciaires. Elle a fait ses preuves à atteindre des objectifs financiers, à favoriser la collaboration et à s’adapter aux changements réglementaires dans l’industrie.

Diplômée de la Faculté de gestion de l’Université Laurentienne, sa vaste expérience comprend des rôles de direction à BMO et à la Banque Scotia, où elle a constamment obtenu des résultats, mis en œuvre des stratégies de gestion du changement et recruté des équipes très performantes. Son engagement envers la participation communautaire se fait valoir par ses rôles de trésorière de la Fondation des jeunes d’Ottawa Gatineau et de présidente du conseil de
direction du Seasons Centre for Grieving Children.

Pages