Vous êtes maintenant dans la zone de contenu principale

La province accorde une subvention de 1 200 000 $ à des chercheurs de l’Université Laurentienne.

La province accorde une subvention de 1 200 000 $ à des chercheurs de l’Université Laurentienne.

Les subventions soutiennent la recherche sur les stratégies d’apprentissage virtuel.

(31 juillet 2023) - Dans le cadre de l’initiative de la Stratégie pour l’apprentissage virtuel de l’Ontario, le gouvernement de l’Ontario a annoncé qu’il appuyait le travail des chercheurs de l’Université Laurentienne en accordant des subventions d’un montant total de 1 246 775 dollars à trois projets innovateurs. Ces projets font progresser les possibilités d’apprentissage virtuel pour les futurs étudiants et créent de nouvelles façons d’offrir l’enseignement postsecondaire.

« L’innovation naît de la collaboration et ces projets sont d’excellents exemples de personnes qui se réunissent pour partager des idées et faire progresser notre compréhension de l’apprentissage. Nous remercions la province de cet investissement qui a permis de concrétiser ces projets. » - Brenda Brouwer, Ph.D., vice-rectrice intérimaire aux études à l’Université Laurentienne.

« Les projets innovateurs achevés en 2022-23 dans le cadre de la Stratégie pour l’apprentissage virtuel de l’Ontario renforcent la solide réputation de l’Ontario en tant que leader mondial de l’enseignement postsecondaire, a déclaré Jill Dunlop, ministre des Collèges et Universités. Les réalisations de ces projets aident l’Ontario à élargir la gamme de ressources d’apprentissage hybride de haute qualité et adaptées au marché offertes dans toute la province pour aider les gens à acquérir les compétences et la formation dont ils ont besoin pour réussir, peu importe où ils vivent, et à se préparer aux emplois de demain. »

 

Centre de recherche sur la sécurité et la santé au travail (CRSST) - Simulation de soins de santé en collaboration - Modules avancés de réalité virtuelle pour le niveau postsecondaire - 1 078 000 $ : Modules de réalité virtuelle pour les soins de santé en collaboration

Cette nouvelle approche de l’apprentissage permettra d’assurer la formation en soins de santé postsecondaires à distance sans compromettre les caractéristiques des protocoles d’enseignement et d’apprentissage fondés sur des données probantes.

Ce projet est le fruit d’un partenariat entre l’École des sciences infirmières de l’Université Laurentienne, le Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST), le Collège Georgian, le Michener Institute of Education et Lumeto in Virtual Reality (VR) pour eCampus Ontario. Douze modules d’apprentissage synchrones, entièrement immersifs et interactifs ont été créés, examinés par des pairs et soumis à une étude pilote. Les scénarios figurent sur la plateforme de réalité virtuelle Lumeto et couvrent une grande variété de sujets comme la RCR, le choc septique, l’urosepsis et la gestion des réactions allergiques. Les modules sont adaptés à divers apprenants dans le domaine des soins de santé, qu’il s’agisse d’étudiants de premier cycle, de cycles supérieurs ou de cliniciens.

« Ce projet a été une occasion précieuse de travailler avec l’équipe de Lumeto pour créer des modules de pointe de réalité virtuelle dans le secteur des soins de santé. Les étudiants de la Laurentienne ont acquis une expérience concrète liée à leur discipline (sciences infirmières et informatique) en collaborant avec des professionnels pour créer du contenu, évaluer les mécanismes de prestation et observer un environnement de travail en évolution rapide. » - Alison Godwin, Ph.D., directrice associée du CRSST, professeure agrégée, École de kinésiologie et des sciences de la santé

 

Projet de film Histoires de décolonisation (bilingue) – 25 000 $

Ce projet, qui vise à sensibiliser les Canadiens aux réalités coloniales du Canada et à les inciter à œuvrer en faveur d’un changement décolonial, a été élargi pour inclure de nouvelles versions linguistiques et un guide de l’animateur. Histoires de décolonisation, un projet documentaire basé sur des interviews et créé par Gladys Rowe, Teddy Zegeye-Gebrehiwot et Elizabeth Carlson-Manathara, a été considérablement amélioré grâce au financement de la stratégie d’apprentissage virtuel de eCampus Ontario. Grâce au financement de eCampus Ontario, les documents ci-dessous sont désormais offerts gratuitement au public (www.storiesofdecolonization.org) et figurent dans la bibliothèque virtuelle de eCampus Ontario :

  • Version sous-titrée en anishinaabemowin et cri du film Histoires de décolonisation : Dépossession et colonisation des terres.
  • Version française du guide pédagogique du film Histoires de décolonisation : Dépossession et colonisation des terres.
  • Guide pédagogique pour le film Récits à propos de la décolonisation : Relations (dé)coloniales.
  • Versions sous-titrées en français et anishinaabemowin et version bilingue du film Récits à propos de la décolonisation : Relations (dé)coloniales.

Ces ressources numériques sont actuellement utilisées par des éducateurs universitaires et communautaires. De plus, la version bilingue de Récits à propos de la décolonisation : Relations (dé)coloniales a été présentée en tant que sélection officielle du Festival international du film Cinéfest Sudbury (2022); les versions anishinaabemowin et bilingue Récits à propos de la décolonisation : Relations (dé)coloniales ont été présentées au Cinéma Indie de Sudbury lors de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation (2022).

Le projet de film a été souligné lors du congrès de l’Association canadienne pour la formation en travail social (2022) et à la Conférence autochtone Maamwizing (2022). Le financement de base de ce projet a été assuré par le Conseil de recherche en sciences humaines (CRSH) du Canada tandis que le Consortium national de formation en santé (CNFS) a financé la traduction française du guide pédagogique du film Récits à propos de la décolonisation : Relations (dé)coloniales.

« Nous sommes reconnaissants à eCampus Ontario de nous avoir donné l’occasion de nous associer à des traducteurs et à des concepteurs de programmes d’études/graphistes afin d’élargir le projet de film Histoires de décolonisation pour y inclure des versions sous-titrées en anishinaabemowin, en cri et en français, et élaborer un guide pédagogique pour notre deuxième film. » -  Elizabeth Carlson-Manathara, professeure agrégée, École de service social.

 

Financement de la Stratégie pour l’apprentissage virtuel - Soutien ciblé à la capacité numérique - 143 775 $

L’investissement de eCampusOntario dans l’apprentissage virtuel à l’Université Laurentienne a permis la création de deux postes de soutien à l’enseignement bilingues à plein temps, l’un en conception pédagogique et l’autre en conception et développement des médias. Ce soutien a permis l’élaboration de nouveaux micro-crédits comme Doula de fin de vie, Principes de base de la rédaction de demandes de subventions, Équilibre entre le travail et la vie personnelle et Growing Microgreens at Home, un cours élaboré en collaboration avec La Belle Vie Farm. Le financement de ces deux postes a permis de poursuivre les possibilités existantes de perfectionnement professionnel comme le programme de technicien agréé en comportement et le cours de conception de sondages efficaces. En outre, le financement a permis de réviser plusieurs cours de qualification additionnelle et de qualification de base additionnelle en anglais et en français, reconnus par l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario.

« Nous remercions eCampusOntario qui a permis le développement et l’expansion des programmes bilingues non crédités actuels et nouveaux afin de soutenir les possibilités d’apprentissage virtuel dans le Nord. » - Bettina Brockerhoff-Macdonald, Ph.D., directrice, Centre d’apprentissage continu.

Pleins feux sur les diplômées : la diplômée de sciences infirmières se lance dans sa prochaine aventure : faculté de médecine.

Pleins feux sur les diplômées : la diplômée de sciences infirmières se lance dans sa prochaine aventure : faculté de médecine.

Alexie Lanteigne discute de la façon dont la Laurentienne l’a préparée à un avenir dans le domaine de la santé.

Pleins feux sur les diplômées : la diplômée de sciences infirmières se lance dans sa prochaine aventure : faculté de médecine.

(28 juillet 2023) - Depuis l’obtention de son baccalauréat en sciences infirmières (2021), une diplômée de l’Université Laurentienne, Alexie Lanteigne, a été très active. Elle détient maintenant une maîtrise en gérontologie appliquée (Université Brock), a partagé ses connaissances avec les étudiants en enseignant à temps partiel à la Laurentienne (sciences infirmières) et au Collège Boréal (présciences de la santé), et a travaillé avec un médecin de famille dans sa ville natale de Sturgeon Falls en tant qu’infirmière autorisée (IA). Elle a également fait du bénévolat à l’Université NOSM pour soutenir Camp Med, un camp d’été annuel qui offre aux élèves du secondaire une occasion unique d’être inspiré à envisager un avenir en tant que professionnel de la santé.

Alexie-Lanteigne,-diplômée-en-sciences-infirmières-(2021),-entreprendra-cet-automne-sa-première-année-à-l’École-de-médecine-de-l’EMNO.

« Je suis vraiment passionnée par les soins infirmiers et ma prochaine aventure me verra commencer comme étudiante en médecine à l’Université NOSM cet automne, a déclaré Alexie. J’ai toujours voulu redonner à ma communauté, et mon objectif ultime est de travailler dans les petites communautés rurales du nord de l’Ontario - pour aider à combler les lacunes qui existent dans le domaine médical dans le Nord. »

La passion d’Alexie pour les soins de santé a commencé alors qu’elle fréquentait l’École secondaire catholique Franco-Cité. Ayant eu l’occasion de visiter le campus de la Laurentienne lors d’une journée portes ouvertes, elle dit avoir été impressionnée par les laboratoires et les installations de soins infirmiers. « Ma première impression des laboratoires de sciences infirmières d’UL a été incroyable. Cela a été pour moi vraiment excitant de rencontrer de futurs professeurs, de voir l’équipement dans lequel l’UL a investi et de parler avec d’autres étudiants intéressés par les soins infirmiers. »

Alexie-Lanteigne-(à-droite),-avec-sa-sœur-Sophie-Lanteigne,-également-diplômée-de-la-Laurentienne-(B.Ed.-2023).

Selon Alexie, les composantes pratiques du programme de sciences infirmières de l’UL étaient inestimables. « Le fait d’apprendre en classe, de pratiquer en laboratoire et d’aller directement en milieu clinique a été une différence positive pour moi. En outre, les membres du corps professoral et mes pairs étaient fantastiques. »

Au premier cycle, Alexie a participé au programme de mentorat par les pairs en sciences infirmières. « Quand j’étais en première et deuxième année, j’étais jumelé avec un étudiant des années supérieures et cela m’a bien aidé. Pouvoir offrir le même type de mentorat à une personne lorsque j’étais dans mes années supérieures a été très valorisant. »

Alexie a également participé aux activités du conseil étudiant en sciences infirmières qu’elle décrit comme « une belle occasion de prendre davantage part aux activités au sein de la communauté étudiante ». Elle aimait soutenir ses pairs par la défense des intérêts et la planification d’activités amusantes. Alexie a aussi été ambassadrice étudiante pour le Consortium national de formation en santé (CNFS), une expérience qu’elle a bien aimée. « J’ai adoré être ambassadrice de mon programme. J’ai particulièrement aimé les occasions de m’engager avec des élèves du secondaire. Partager ce qu’était le programme de sciences infirmières de l’UL, c’était vraiment spécial. »

En-tant-qu’étudiante-de-premier-cycle,-Alexie-a-bien-aimé-les-composantes-pratiques-du-programme-de-sciences-infirmières-de-la-Laurentienne.

Alexie est francophone et il était important pour elle de pouvoir étudier en français à la Laurentienne. « C’est ma langue maternelle et j’ai une véritable passion pour la population francophone. En tant qu’étudiante, c’était agréable d’apprendre la théorie infirmière en français, mais aussi d’avoir des possibilités de cours cliniques en anglais. J’ai obtenu mon diplôme avec un certificat de bilinguisme et je pense que cela est une très bonne chose. En milieu de travail, il importe de bien communiquer en anglais et en français. Pouvoir communiquer avec les patients dans les deux langues est en effet très utile. »

À sa quatrième année, Alexie a été reconnue pour son dévouement en tant qu’étudiante francophone dans le domaine des soins infirmiers. « J’ai gagné le prix de GIIFO du Groupe des infirmières et infirmiers francophones de l’Ontario. » Ce prix est décerné à « un membre de la population étudiante qui a fait preuve d’excellence dans la formation théorique et la formation clinique et qui a su promouvoir le français durant ses études en sciences infirmières. »

Son dévouement et son engagement envers ses passions se sont traduits par divers succès pour Alexie. La communauté de l’UL attend avec impatience de suivre son cheminement dans le cadre de ses projets.

Alexie-(à-droite)-avec-son-amie-et-étudiante,-Emilie-Plach,-dans-un-cadre-clinique.

Pleins feux sur les étudiants : une étudiante en biologie biomédicale participe à un programme d’études prémédicales à l’étranger.

Pleins feux sur les étudiants : une étudiante en biologie biomédicale participe à un programme d’études prémédicales à l’étranger.

La Sudburoise Tori Laflamme met la théorie en pratique dans les hôpitaux de Gênes, en Italie, et de Washington, DC.

Pleins feux sur les étudiants : une étudiante en biologie biomédicale participe à un programme d’études prémédicales à l’étranger.

(20 juillet 2023) - Le 14 juillet 2023, Tori Laflamme, qui entreprendra sa 3e année en biologie biomédicale cet automne à l’Université Laurentienne, est rentrée chez elle après avoir participé à un incroyable programme de six semaines d’observation prémédicale à l’étranger. Cette possibilité d’apprentissage pratique, organisée par la fondation Atlantis, lui a permis d’observer le travail de chirurgiens à IRCCS Istituto Giannina Gaslini, à Gênes, en Italie, et d’appuyer la recherche médicale au Children’s National Hospital (CNH), à Washington, D.C.

L’étudiante-en-biologie-biomédicale,-Tori-Laflamme-(à-l’extrême-gauche)-à-Gênes,-en-Italie,-avec-des-pairs-qui-ont-participé-au-programme-d’études-prémédicales-de-six-semaines-à-l’étranger-cet-été-par-l’entremise-d’Atlantis.

Tori est une fière francophone diplômée du Collège Notre-Dame (2021) de Sudbury. « J’ai toujours su que je voulais étudier la médecine, et même si j’ai soumis une demande dans de nombreuses universités, je voulais rester près de la maison. La Laurentienne était la meilleure option pour moi pour étudier dans le cadre d’un diplôme bilingue, rester près de chez moi et obtenir un enseignement qui me préparera pour l’école de médecine.

Accepter une possibilité d’études à l’étranger dans mon domaine a été une « expérience incroyable, surtout en tant que jeune étudiante ».

À Gênes, Tori a observé le travail de chirurgiens au bloc opératoire en chirurgie générale, ophtalmologie et pathologie anatomique. « À la Laurentienne, nous avons des travaux pratiques en laboratoire, mais nous apprenons aussi beaucoup en matière de théorie médicale. Cette possibilité m’a permis de mettre la théorie en pratique et de vivre la vie d’un chirurgien typique. En tant qu’étudiants, nous avons pu nous tenir juste à côté des chirurgiens à la table d’opération pendant que les professionnels de la santé nous récitaient ce qui se passait précisément. C’était assez surréaliste. »

Tori-et-ses-pairs-au-Children’s-National-Hospital,-port-d’attache-de-leur-recherche-médicale-menée-à-Washington,-DC.

À Washington, Tori a, avec pairs et sous la supervision du personnel médical, appuyé une étude de recherche sur le sujet de la corrélation entre les familles à faible revenu, la nutrition et la santé mentale. « Nous avons constaté que les enfants de familles à faible revenu sont prédisposés à l’obésité, ce qui peut les rendre plus vulnérables à une mauvaise santé mentale. » Vers la fin du stage au CNH, elle et ses pairs ont présenté les résultats à une équipe de cadres supérieurs. « Espérons que nos résultats soutiendront le développement de ressources pour ces familles. »

Pendant son séjour à l’étranger, Tori a bénéficié de l’expérience d’apprentissage auprès de divers médecins praticiens, mais aussi de la valeur d’être immergée dans des environnements culturels à l’extérieur de sa communauté d’origine du Grand Sudbury. « Le week-end, nous avons visité de nombreux sites culturels avec un guide local, ce qui nous a donné l’occasion d’explorer, ce qui était assez incroyable. »

Tori encourage les autres étudiants qui désirent participer à des possibilités d’études à l’étranger à en profiter. « La vie est courte. Écoutez votre intuition qui vous dit que si vous voulez le faire, faites-le. J’ai découvert tellement de choses sur moi-même en vivant cette expérience, et il en sera de même pour vous. »

Une fois qu’elle aura obtenu son diplôme de premier cycle, Tori a l’intention de soumettre des demandes dans diverses facultés de médecine au Canada et à l’étranger. Elle est passionnée par une carrière en médecine et a hâte de poursuivre son parcours éducationnel.

Tori-en-tenue-médicale-complète-avant-d’observer-une-chirurgie-au-IRCCS-Istituto-Giannina-Gaslini,-à-Gênes,-Italie.

Pleins feux sur les diplômés : Dehmin Eshkawkogan

Pleins feux sur les diplômés : Dehmin Eshkawkogan

Une diplômée en promotion de la santé est maintenant un modèle pour sa communauté.

Pleins feux sur les diplômés : Dehmin Eshkawkogan

(19 juillet 2023) - Diplômée récente du programme de Promotion de la santé, Dehmin ​Eshkawkogan continue d’utiliser les systèmes de soutien qui l’entourent pour persévérer dans tous les défis qui se présentent à elle.

Dehmin-lors-de-la-remise-des-diplômes

Dehmin est proche de sa famille et de sa ville natale de Wikwemikong. « Quand j’étais au secondaire, je n’étais pas certaine du programme auquel m’inscrire, mais je savais avec certitude que je voulais rester près de chez moi. C’était une des raisons pour laquelle j’ai choisi la Laurentienne qui est seulement deux heures de chez moi. »

Dehmin voulait à l’origine s’inscrire au programme de sciences infirmières, mais a été immédiatement attiré par le programme de promotion de la santé lorsqu’elle a lu la description de celui-ci. Cela correspondait exactement à ce qu’elle voulait faire et à ce qui l’intéressait.

Le soutien et la motivation de Dehmin dans le choix d’un établissement postsecondaire et de son programme découlaient de sa famille et de sa participation à Outside Looking In, une organisation dirigée par des autochtones conçue pour autonomiser les jeunes autochtones. Le programme a offert de nombreuses possibilités, notamment le jumelage à un mentor et la participation à des cours de danse et à des sorties en groupe pour des compétitions. « Cela m’a donné un grand espoir et une bonne raison d’avoir de bonnes notes. »

Grâce à cet équilibre entre l’école, le programme, le travail et la vie sociale, Dehmin a indiqué que le programme Outside Looking In l’a aidée à développer une variété de compétences pertinentes pour une utilisation quotidienne, à savoir la gestion du temps et la discipline pour faire les devoirs et les travaux. « Cela m’a aidé à renforcer ma motivation à faire mes devoirs, à terminer mes travaux et à aller à Toronto pour les compétitions de danse, un facteur de motivation très important. Participant au programme Outside Looking In tout au long de son expérience à l’École secondaire Wikwemikong et à l’université, cela m’a vraiment aidée à faire la transition du secondaire au postsecondaire et de mon baccalauréat à potentiellement ma maîtrise. »

Dehmin-avec-son-père-à-la-remise-des-diplômes

Dehmin décrit son expérience de vie en résidence à l’UL comme un choc culturel. « Surtout parce que je venais de la réserve. C’était un style de dortoir, un peu comme dans les films où vous avez un couloir et les dortoirs sont juste là. C’était un grand choc culturel parce qu’on se rapproche très vite de tout le monde. Cela m’a préparé lorsque viendra le temps de déménager par moi-même. »

L’isolement causé par la pandémie a été difficile pour Dehmin. « Je n’ai pas pu me connecter avec la communauté autant que je l’aurais aimé en raison de la COVID. J’ai toutefois grandement aimé mon retour sur le campus. Cela a été un grand changement positif de passer de l’apprentissage à distance à l’apprentissage en personne parce que j’ai besoin d’être en classe pour apprendre. J’ai l’impression d’apprécier davantage mes cours de cette façon. »

Ayant été une étudiante très active tout au long de son expérience au secondaire, Dehmin estime que, si cela avait été possible, cela aurait également été le cas dans le cadre de nombreuses activités parascolaires à la Laurentienne. Au cours de sa première année, Dehmin a participé à un atelier de maintien du feu par l’entremise du Centre autochtone de partage et d’apprentissage autochtones (CAPA) sur le campus et a suivi le cours de premiers soins qui est obligatoire dans le cadre de son programme.

Depuis l’obtention de son diplôme, Dehmin a travaillé à la Wikwemikong Development Commission en tant que coordonnatrice des emplois d’été pour étudiants. Elle aide à trouver des employeurs pour les étudiants et à budgétiser le financement pour payer leur salaire pendant l’été. Forte des connaissances obtenues dans le cadre du programme de promotion de la santé, Dehmin comprend en effet mieux la santé communautaire.

À l’automne, Dehmin envisage de fréquenter le Collège Georgian dans le cadre du programme de deux ans « Anishnaabemowin and Program Development ». « Je souhaite ensuite m’inscrire à une école de physiothérapie et devenir physiothérapeute ». Dehmin a indiqué que les cours qu’elle a suivis tout au long du programme de promotion de la santé à la Laurentienne, comme Principes de la santé et de la maladie et Biomécanique, sont ce qui a d’abord attiré son attention sur la physiothérapie en tant que carrière.

Dehmin est maintenant devenue un modèle pour sa communauté et sa famille. « Je suis en effet la première personne de ma famille à avoir obtenu un diplôme d’études secondaires. Ma mère et mon père n’ont jamais obtenu leur diplôme et ma sœur est plus jeune que moi. Je peux donc dire que je suis le premier membre de ma famille immédiate à fréquenter l’université. » Sa sœur cadette a l’intention de suivre ses traces en s’inscrivant à un établissement postsecondaire et désire également faire carrière dans le domaine de la santé.

La famille de Dehmin a assisté à la remise des diplômes ce printemps et est très fière de ses réalisations. « J’ai un cadre de luxe pour mon diplôme que je peux accrocher. »

Dehmin-avec-son-père-et-sa-sœur-à-la-remise-des-diplômes

L’Université Laurentienne lance le processus d’élaboration de son plan stratégique

L’Université Laurentienne lance le processus d’élaboration de son plan stratégique

Les membres de la communauté sont invité à participer

14 juillet 2023 – L’Université Laurentienne sollicite les perspectives de la communauté pour éclairer son nouveau plan stratégique qui aidera à façonner l’avenir de l’Université et de l’enseignement dans le nord de l’Ontario au cours des cinq prochaines années et au-delà.

Le plan stratégique constituera la feuille de route vers la croissance et le développement de l’Université de même que son incidence sur les scènes locale, nationale et internationale. Il indiquera les priorités et initiatives clés qui guideront les actions de l’établissement au cours des prochaines années.

« La consultation des nombreuses composantes de notre communauté universitaire fait partie intégrante du succès de notre plan stratégique. En tant qu’établissement bilingue et triculturel, nous bénéficions de perspectives diverses, a déclaré la rectrice et vice-chancelière de l’Université Laurentienne, Sheila Embleton, Ph.D. En engageant activement toutes les parties concernées dans le façonnement de notre avenir, nous aurons l’assurance que nos priorités stratégiques s’alignent sur les besoins et aspirations de notre communauté. »

Consciente de l’importance de la collaboration, l’Université Laurentienne s’engage à consulter ses diverses parties concernées, y compris la population étudiante, le corps professoral, le personnel, les retraités, les diplômés, les partenaires autochtones, les membres de la communauté, les partenaires sectoriels et d’autres intervenants clés. Ce processus de consultation communautaire vise à recueillir de précieux points de vue, perspectives et commentaires pour façonner l’avenir de l’Université.

Au cours des mois à venir, les membres de la communauté auront de nombreux moyens de participer à l’élaboration du plan stratégique. L’Université fournira d’autres détails sur ces possibilités au cours des prochaines semaines.

L’Université publiera le plan stratégique finalisé au début de 2024.

Les questions sur la planification stratégique et le processus de consultation publique, ainsi que les commentaires et suggestions, peuvent être envoyés à l’équipe du projet de planification stratégique à strategicplanning@laurentian.ca ou LU-StrategicPlanning@strategycorp.com.

Les réalisations du corps professoral reconnues et célébrées lors d’un événement sur le campus.

Les réalisations du corps professoral reconnues et célébrées lors d’un événement sur le campus.

Les dirigeants universitaires saluent l’excellence du corps professoral.

(5 juillet 2023) - Le 15 juin 2023, la vice-rectrice intérimaire aux études, Brenda Brouwer (Ph.D.), et la vice-rectrice à la recherche, Tammy Eger (Ph.D.), ont invité les membres du corps professoral de l’Université Laurentienne à un événement visant à reconnaître et à célébrer leurs nombreuses réalisations et celles de leurs collègues.

« Le corps professoral de l’Université Laurentienne, a déclaré Mme Brouwer, joue un rôle déterminant dans la création d’un environnement d’apprentissage inclusif et positif dans lequel les étudiants sont activement engagés, stimulés et encouragés à partager leurs idées et leurs points de vue. » « Les professeurs jouent également un rôle essentiel dans la création de nouvelles connaissances, la découverte et l’innovation, en offrant des possibilités de formation uniques aux étudiants et en s’engageant auprès de partenaires communautaires par l’entremise de la recherche, a indiqué Mme Eger. Nous sommes extrêmement heureux de célébrer le dévouement et les contributions des chercheurs du corps professoral. »

Les membres du corps professoral reconnus pour leurs réalisations, notamment le renouvellement, la permanence, la promotion et l’octroi de bourses de recherche, sont énumérés ci-dessous :

 

Renouvellement du corps professoral

Shannon Bassett – Faculté des sciences, de génie et d’architecture ~ École d’architecture McEwen 

Krista Currie - Faculté des sciences, de génie et d’architecture ~ École des sciences naturelles 

Aliki Economides - Faculté des sciences, de génie et d’architecture ~ École d’architecture McEwen 

Bruce Wrightsman - Faculté des sciences, de génie et d’architecture ~ École d’architecture McEwen 

 

Promotion au rang de professeur agrégé 

Luc Lagrandeur – Faculté de gestion ~ École d’administration des affaires

Susan Manitowabi – Faculté d’éducation et de la santé ~ École des relations autochtones 

Marc Pilon – Faculté de gestion ~ École d’administration des affaires

 

Promotion au rang de professeur agrégé et permanence 

Isabelle Côté - Faculté d’éducation et de la santé ~ École de service social 

Kamran Eshghi – Faculté de gestion ~ École d’administration des sports 

Sandra Hoy - Faculté d’éducation et de la santé ~ École de service social 

Elizabeth Carlson-Manathara - Faculté d’éducation et de la santé ~ École de service social

Stephane Perrouty - Faculté des sciences, de génie et d’architecture ~ École des sciences de la Terre Harquail 

Tanya Shute - Faculté d’éducation et de la santé ~ École de service social

Joey-Lynn Wabie - Faculté d’éducation et de la santé ~ École des relations autochtones 

Luckny Zephyr – Faculté de gestion ~ École d’administration des affaires 

 

Permanence 

Sophie Laurence - Faculté d’éducation et de la santé ~ École d’orthophonie 

Sylvie Rivard - Faculté d’éducation et de la santé ~ École de service social 

Frantz Siméon - Faculté d’éducation et de la santé ~ École de service social 

Sara Torres - Faculté d’éducation et de la santé ~ École de service social 
 

Promotion au rang de professeur titulaire

Marc Arsenault - Faculté des sciences, de génie et d’architecture ~ École de génie et d’informatique Bharti 

Abdel Assaidi – Faculté de gestion ~ École d’administration des affaires 

Pedro Jugo - Faculté des sciences, de génie et d’architecture ~ École des sciences de la Terre Harquail 

Rosanna Langer – Faculté des arts ~ École des arts libéraux

Sylvie Larocque - Faculté d’éducation et de la santé ~ École des sciences infirmières 

Sara MacDonald – Faculté des arts ~ École des arts libéraux 

Kalpdrum Passi – Faculté des sciences, de génie et d’architecture ~ École de génie et d’informatique Bharti 

Matthias Pawoumodom Takouda – Faculté de gestion ~ École d’administration des affaires

Lea Tufford - Faculté d’éducation et de la santé ~ École de service social 

Jeffrey Wood - Faculté d’éducation et de la santé ~ École d’éducation 

Na Xiao – Faculté de gestion ~ École d’administration des affaires

Guangdong Yang - Faculté des sciences, de génie et d’architecture ~ École des sciences naturelles 

 

Mérite

Carolyn Crang - Faculté d’éducation et de la santé ~ École d’éducation 

Mohamed Dia – Faculté de gestion ~ École d’administration des affaires 

Mark Kuhlberg – Faculté des arts ~ École des arts libéraux 

Sabine Montaut - Faculté des sciences, de génie et d’architecture ~ École des sciences naturelles

Louis-Philippe Rochon – Faculté des arts ~ École des sciences sociales

Najam Saqib – Faculté de gestion ~ École d’administration des affaires 

Elizabeth Turner - Faculté des sciences, de génie et d’architecture ~ École des sciences de la Terre Harquail 

Guangdong Yang - Faculté des sciences, de génie et d’architecture ~ École des sciences naturelles

 

Recherche (lauréats de subventions externes de recherche au cours des deux dernières années)

John Ashley Scott - École de génie et d’informatique 

Chantal Barriault - École des sciences naturelles 

Shannon Bassett - École d’architecture McEwen 

Alain Beaulieu - École des arts libéraux 

Steven Beites - École d’architecture McEwen 

Elizabeth Carlson-Manathara - École de service social 

Diana Coholic - École de service social 

Sandra Dorman - École de kinésiologie et des sciences de la santé

Richard Ford - SNOLAB

Tammy Gaber - École d’architecture McEwen 

Jeffrey Gagnon - École des sciences naturelles

Terrance Galvin - École d’architecture McEwen 

Alain Gauthier - École de kinésiologie et des sciences de la santé 

Alison Godwin - École de kinésiologie et des sciences de la santé

John Gunn - École des sciences naturelles 

Jeter Hall - SNOLAB 

Redhouane Henda - École de génie et d’informatique Bharti 

Christopher Jillings - SNOLAB 

Christine Kraus - SNOLAB 

Daniel Kontak - École des sciences de la Terre Harquail

Corey Laamanen - École de génie et d’informatique Bharti

Simon Laflamme - École des sciences sociales

Bruno Lafrance - École des sciences de la Terre Harquail 

Michel Larivière - École de kinésiologie et des sciences de la santé

Ian Lawson - SNOLAB 

David Lesbarrères - École des sciences naturelles

Brent Lievers - École de génie et d’informatique Bharti 

Jacqueline Litzgus - École des sciences naturelles 

Andrew McDonald - École des sciences de la Terre Harquail 

Kerry McGannon - École de kinésiologie et des sciences de la santé

Nadia Mykytczuk - École des sciences naturelles / MIRARCO

Amadeo Parissenti - École des sciences naturelles 

Kalpdrum Passi - École de génie et d’informatique Bharti 

David Pearson - École des sciences naturelles 

Stephane Perrouty - École des sciences de la Terre Harquail 

Ginette Roberge - École d’éducation

Louis-Philippe Rochon - École des sciences sociales 

Peter Ryser - École des sciences naturelles

Robert Schinke - École de kinésiologie et des sciences de la santé 

Albrecht Schulte-Hostedde - École des sciences naturelles

Ross Sherlock - CREM/ École des sciences de la Terre Harquail  

Tanya Shute - École de service social 

Frantz Siméon - École de service social

Richard Smith - École des sciences de la Terre Harquail 

Graeme Spiers - École des sciences de la Terre Harquail 

Markus Timusk - École de génie et d’informatique Bharti 

Sara Torres - École de service social

Lea Tufford - École de service social

Elizabeth Turner - École des sciences de la Terre Harquail 

Diana Urajnik - Centre de recherche en santé dans les milieux ruraux et du Nord 

Joey-Lynn Wabie - École des relations autochtones

Elizabeth Wenghofer – École de kinésiologie et de sciences de la santé 

Guangdong Yang – École des sciences naturelles 

Meysar Zeinali - École de génie et d’informatique Bharti 

Luckny Zephyr – École d’administration des affaires

Junfeng Zhang – École de génie et d’informatique Bharti

Des étudiants font un voyage d’études pour explorer le Costa Rica

Des étudiants font un voyage d’études pour explorer le Costa Rica

Des possibilités d’apprentissage à l’étranger favorisent la participation des étudiants

(4 juillet 2023) – Le 1er mai 2023, un groupe de 27 étudiants et membres de la communauté de l’Université Laurentienne est parti en direction du Costa Rica pour un merveilleux voyage d’études de onze jours. Les participants ont eu l’occasion de s’initier à la culture et au folklore costariciens et de participer à une grande variété d’activités, dont des excursions au Parc national du volcan Arenal, aux chutes La Fortuna, au jardin de papillons et à la fromagerie de Monteverde, aux marchés locaux de la côte pacifique, au Parc national Manuel Antonia, au Parc national de San José et au Parque Francisco Alvarado.

Le responsable du groupe et professeur titulaire de l’École de kinésiologie et des sciences de la santé, M. Roger Couture a parlé avec emballement de cette expérience éducative dont ont profité tous les participants. « Ce premier voyage d’études de 2023 au Costa Rica a été magnifique, a-t-il expliqué, et nous avons vu toute une variété de plantes, d’arbres, d’oiseaux, de papillons et d’animaux. Les randonnées vers les volcans et les cascades étaient tout aussi stupéfiantes. »

Le voyage a aussi été une affaire de famille, car le garçon de M. Couture, Luc, un ancien du baccalauréat ès sciences en kinésiologie y a aussi participé. « Pendant ce voyage incroyable, nous avons eu la possibilité d’explorer non seulement les forêts pluviales et de nuages, mais aussi les plages tropicales et les volcans spectaculaires du Costa Rica, a décrit Luc. En plus de nous immerger dans les merveilles naturelles, nous avons eu la chance d’en apprendre sur les traditions et la culture costariciennes. Aux côtés de gens de mon âge, animés des mêmes idées que moi, ce voyage est devenu une expérience éducative inoubliable qui a enrichi notre compréhension de la biodiversité et de la beauté incroyables du Costa Rica. » Cet automne, Luc commencera sa première année d’études à l’Université de l’EMNO.

Originaire de la petite communauté de Massey (Ontario), Mackenzie Hobbs est étudiante de quatrième année préparant une majeure en biologie et une mineure en chimie environnementale qui décrit son expérience du voyage comme « absolument incroyable ». « En tant qu’étudiante en biologie qui adore le monde naturel, a-t-elle ajouté, j’ai été ravie de faire tellement d’excursions pédagogiques axées sur la nature. Mon rêve est devenu réalité en observant la grande biodiversité, les divers microclimats et les écosystèmes inégalés du Costa Rica, comme la forêt de nuages Santa Elena. Nous avons également bénéficié grandement de notre guide local bien compétent qui nous a renseignés sur les espèces de plantes et d’animaux ainsi que l’histoire et l’écologie des régions que nous avons visitées. Le Costa Rica est un magnifique pays dont les efforts de protection et de conservation sont inspirants. » 

Le voyage au Costa Rica a ouvert une nouvelle perspective sur la biologie locale pour certains participants, comme Alex McFadden. « Je suis un étudiant de 1re année en biochimie, a-t-il décrit, et puisque j’ai toujours vécu à Sudbury, la région m’a toujours été familière et ordinaire. Mais tout a changé après le voyage au Costa Rica. J’ai été tellement impressionné de la diversité des plantes et animaux qu’en revenant, je suis devenu touriste de la biologie locale avec une nouvelle appréciation de la nature. Chaque nouvelle curiosité naturelle est fascinante grâce à ce voyage et à toutes les personnes avec qui j’ai partagé l’expérience. »

La planification du prochain voyage éducatif est déjà en cours : les participants partiront pour l’Islande le 3 mai 2024. En outre, un voyage au Pérou est prévu en 2025. Appuyez ici pour obtenir des renseignements sur les deux voyages
Si vous avez des questions ou un intérêt pour participer au prochain voyage, veuillez communiquer avec le responsable, Roger Couture, Ph.D., à rcouture@laurentienne.ca.

L’Université Laurentienne s’associe à la Fondation Rick Hansen pour offrir une formation sur la certification en accessibilité

L’Université Laurentienne s’associe à la Fondation Rick Hansen pour offrir une formation sur la certification en accessibilité

(15 juin 2023) - L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer son partenariat avec la Fondation Rick Hansen pour offrir la formation sur la Certification en accessibilité de la Fondation Rick Hansen. Cette collaboration vise à promouvoir et à favoriser l’accessibilité dans l’environnement bâti du Canada, en mettant l’accent sur l’inclusivité et l’égalité des chances pour tous, y compris les personnes handicapées. 

À compter du 26 juin, cette formation sera offerte par l’Université Laurentienne. Le programme donne aux participants les moyens de jouer un rôle central dans le mouvement touchant l’accessibilité au Canada. Cela permettra aux professionnels dans les domaines de la planification, de la conception et de la construction de développer une compréhension globale de l’accessibilité du point de vue des personnes ayant des handicaps visuels, auditifs et moteurs.

« Nous sommes honorés d’avoir été choisis par la Fondation Rick Hansen pour offrir cet important programme, a déclaré la gestionnaire des programmes de microcertification et non crédités au Centre d’apprentissage continu de l’Université Laurentienne, Christina Sckopke. Ce partenariat nous permet de contribuer à créer une société plus inclusive en dotant les professionnels des connaissances et des compétences nécessaires pour améliorer l’accessibilité dans l’environnement bâti. »

Les participants apprendront à évaluer de manière judicieuse l’accessibilité de l’environnement bâti et à identifier les obstacles potentiels auxquels sont confrontées les personnes handicapées. Le programme présente également les principes de conception universelle, la législation actuelle et les normes liées à l’accessibilité. Les participants seront ensuite en mesure de passer l’examen professionnel touchant cette certification de la FRH.

Pour s’inscrire, les participants doivent remplir des conditions préalables. Il s’agit notamment d’avoir un diplôme ou un minimum de deux ans d’études postsecondaires en architecture, en génie, en urbanisme, en design d’intérieur ou dans un programme connexe. Les personnes ayant des combinaisons équivalentes d’expérience et de connaissances sur l’environnement bâti sont également encouragées à vérifier s’ils remplissent les conditions pertinentes.

Cette formation sera offerte en ligne en mode synchrone et les cours seront donnés par des enseignants en utilisant Brightspace et Zoom. Des subventions pour droits de scolarité seront offertes aux résidents de l’Ontario.

Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec la gestionnaire des programmes de microcertification et non crédités à l’Université Laurentienne, Christina Sckopke, au 705-675-1151 poste 3321, ou continuinglearning@laurentian.ca.

M. Vernon Cameron est élu président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne

M. Vernon Cameron est élu président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne

(12 juin 2023) - L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de M. Vernon Cameron à la présidence du Conseil des gouverneurs à compter du 1er juillet 2023. Sa vaste expérience dans les hautes sphères de la gouvernance et son engagement envers l’enseignement supérieur en font un choix exceptionnel pour diriger le Conseil pendant cette période de transformation.

« Je me réjouis de continuer à assurer le leadership en misant sur la collaboration, la transparence et le respect, a déclaré M. Cameron. En tant que fier diplômé de la Faculté de gestion de l’Université Laurentienne, c’est un honneur de servir à titre de président du Conseil. »

M. Cameron, arrivé au Conseil en avril 2022, est un dirigeant accompli qui a passé les dix-neuf dernières années aux États-Unis dans les secteurs public et privé, dont douze ans à la tête de compagnies d’investissement en capital à titre de président-directeur général. Pour lui, la Laurentienne est une constante dans sa famille, avec son père, son fils et sa fille qui en sont également diplômés.

M. Cameron succèdera à M. Jeff Bangs dont les importantes contributions ont été très profitables pour l’Université Laurentienne. Il a en effet supervisé la sortie du processus lié à la LACC et le renouvellement du Conseil des gouverneurs, et lancé les processus de transformation organisationnelle et de planification stratégique visant à mettre en œuvre les recommandations de la vérificatrice générale de l’Ontario et se conformer aux exigences du Plan d’arrangements approuvé par les créanciers.

L’Université Laurentienne remercie sincèrement M. Jeff Bangs de son leadership exceptionnel et de son dévouement à titre de président du Conseil des gouverneurs.

D’autres détails au sujet de M. Vernon Cameron

À la fin de ses études à la Laurentienne en 1984, M. Cameron a obtenu en 1986 le titre de comptable agréé et une MBA pour cadres de la Katz School of Business de l’University of Pittsburgh, en 2008. Il a siégé à de nombreux comités du Conseil, notamment le Comité exécutif, le Comité de vérification, le Comité des finances, le Comité de l’aménagement et de la planification des biens, le Comité des relations avec le personnel et le Comité des pensions.

Les conditions de vente des biens immobiliers de l’Université Laurentienne sont établies

Les conditions de vente des biens immobiliers de l’Université Laurentienne sont établies

(8 juin 2023) - L’Université Laurentienne a conclu une entente sur une feuille de modalités pour la vente de biens immobiliers pouvant atteindre 53 500 000 $. Cette feuille de modalités l’aidera à exécuter son Plan d’arrangements établi dans le cadre du processus mené aux termes de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC).

La feuille de modalités présente la structure proposée de la transaction qui autorise la province de l’Ontario à acheter sept parcelles de terrain, ce qui permet aux deux parties d’examiner la transaction potentielle. Après avoir exercé la diligence appropriée, y compris la consultation des communautés autochtones, la mise en vente de biens précis sera confirmée. Le produit net de la vente servira à payer les créanciers de l’Université comme cela est indiqué dans le Plan d’arrangements découlant du processus mené aux termes de la LACC.

« L’Université s’est concentrée sur le transfert de certains biens immobiliers qui aurait le moins d’incidences sur ses activités, et c’est exactement que cette feuille de modalités fait, a déclaré la rectrice et vice-chancelière par intérim, Mme Sheila Embleton. C’est un point important de l’entente de financement du prêt de sortie de l’Université. Je pense que la communauté du Grand Sudbury, qui a passionnément souligné l’importance du réseau de sentiers et des espaces verts, sera satisfaite de ce qui est indiqué dans la transaction. »

Le processus de diligence appropriée servira à confirmer que les sentiers publics (y compris le Sentier trans canadien et le réseau de sentiers Rainbow Routes de Sudbury) sont signalés comme il se doit. L’Université demeurera propriétaire de tous les autres terrains et tentera de renforcer les partenariats avec la communauté pour l’utilisation et la jouissance continues des espaces naturels de la Laurentienne. L’Université entend assurer l’accès public continu aux réseaux de sentiers et aux espaces verts.

Le terrain indiqué dans la feuille de modalités couvre 68,75 acres, soit environ 9 % des quelque 750 acres occupés par l’Université. La feuille de modalités fait également référence à cinq édifices que la Laurentienne ou l’Université de l’EMNO pourront louer entièrement ou partiellement pour les occuper :

  • Résidence Est
  • Centre pour la vitalité des lacs Vale et édifice du bassin d’alimentation
  • Université de l’EMNO
  • Édifice des sciences de la santé
  • Édifice de la sécurité et de l’entretien

Avec cette feuille de modalités non contraignante, l’Université est maintenant en mesure d’explorer la vente de ces biens et de négocier une entente d’achat et de vente avec la province de l’Ontario d’ici le 28 novembre 2025, au plus tard.

Pages