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Une diplômée réfléchit à son parcours dans le programme d’orthophonie

Une diplômée réfléchit à son parcours dans le programme d’orthophonie

Céline St-Onge décrit ses expériences à étudier à la Laurentienne.

(29 novembre, 2022) - Le 29 octobre 2022, Céline St-Onge a traversé la scène de l’Auditorium Fraser à l’Université Laurentienne pour recevoir son diplôme de maîtrise ès sciences de la santé en orthophonie, qui fait suite au baccalauréat ès sciences de la santé en orthophonie reçu de cet établissement en 2020. « Je suis tellement fière de notre cohorte, a-t-elle dit. La Collation des grades a été fantastique, et nous étions ravis d’avoir l’occasion de nous rassembler une dernière fois avec les formidables professeurs qui nous ont appuyés tout au long de notre cheminement. »

Selon Mme St-Onge, originaire de North Bay (Ontario), ses camarades de classe et elle « ont parachevé le programme d’orthophonie pleins d’inspiration à mettre en pratique leurs connaissances et à prêter un soutien à autant de personnes possible ». Elle a ajouté qu’il est gratifiant, dans ce domaine, d’aider les clients à progresser vers leurs objectifs.

Les orthophonistes, comme Mme St-Onge, sont en effet très recherchés pour offrir des services aux clients allant des nourrissons aux personnes âgées. « Nous aidons les gens avec des besoins de toutes les sortes, a-t-elle expliqué. Entre autres, nous apportons un soutien pour les troubles de développement phonologique et articulatoire, de la parole à origine neurologique et du développement du langage, les troubles acquis du langage, les troubles de la voix, de la résonance et de la fluidité, les communications alternatives et améliorées, les troubles de l’ouïe et les perturbations langagières qui en découlent, et la dysphagie (les difficultés ou troubles de la déglutition). »

Selon de récentes données publiées par RADLD.ORG (Raise Awareness of Developmental Language Disorder), environ une personne sur 14 est touchée par un trouble du développement du langage (TDL) et connait des difficultés à comprendre et à employer la langue. Au Canada, quelque 2 600 000 personnes de tous les âges ont un TDL, un enjeu à vie.

Lorsque Mme St-Onge a visité le campus de la Laurentienne pendant ses études secondaires, elle a eu l’inspiration d’étudier l’orthophonie. « J’étais en 10e année à l’École secondaire catholique Algonquin quand j’ai participé à une séance d’information sur les cours de la Laurentienne, a-t-elle raconté. On m’a présenté des thèmes abordés dans le programme d’orthophonie et je me suis rendu compte qu’il rassemble des matières que j’aime, comme les langues, les sciences, l’anatomie, la psychologie et les statistiques. Cela a vite confirmé que je voulais préparer une carrière dans ce domaine. »

La décision d’étudier l’orthophonie à la Laurentienne, où le programme d’études correspond aux normes prescrites par l’Ordre des audiologistes et des orthophonistes de l’Ontario, a été facile pour Mme St-Onge. Les diplômés satisfont les exigences d’agrément en Ontario ainsi que du certificat non réglementaire d’Orthophonie et Audiologie Canada (OAC) et sont bien préparés à l’examen national obligatoire d’admission à la profession de l’audiologie et de l’orthophonie au Canada (ECAP). Mme St-Onge a subi cet examen le 25 octobre 2022.

« L’Université Laurentienne était mon premier choix, a-t-elle affirmé. L’offre de programmes de baccalauréat et de maîtrise en orthophonie assure une excellente expérience d’apprentissage. Les classes à faible effectif m’ont également réservé une expérience hautement personnalisée. Je n’en dirai jamais assez sur l’excellent corps professoral en orthophonie dont les membres sont tous très dévoués, compétents, bienveillants et encourageants. »

Mme St-Onge se réjouit d’avoir noué de bonnes amitiés avec des étudiants ainsi que des diplômés. « Je conseillerais à tous les futurs étudiants de faire des efforts pour créer un solide système de soutien avec leurs camarades de classe. Notre groupe était vraiment exceptionnel et nous continuons à communiquer presque hebdomadairement pour partager des conseils, des trucs et des questions. »

« Nos étudiants en font tellement pour s’appuyer entre eux et visent l’excellence dès leurs premiers pas sur le campus, a décrit la professeure agrégée et coordonnatrice des programmes d’orthophonie à l’Université Laurentienne, Mme Michèle Minor-Corriveau, Ph.D. Nous le disons depuis toujours : nous avons les étudiants les plus incroyables… la crème de la crème. Nous avons tout lieu d’être fiers tant de nos étudiants que de nos diplômés. »

Les possibilités de carrière abondent pour les diplômés en orthophonie. « Tous les étudiants de ma cohorte avaient obtenu un emploi avant ou tout de suite après l’obtention du diplôme, a dit Mme St-Onge, qui travaille à La Place des enfants à North Bay. L’orthophonie est une profession valorisante avec d’excellentes perspectives d’emploi. » One Kids Place offre des services de consultation externe en réadaptation et propose un large éventail de programmes et services à l’intention des enfants et adolescents ayant des besoins physiques, communicatifs et développementaux. 

« Aucun de nos diplômés n’a à se démener pour trouver du travail, a ajouté Mme Minor-Corriveau. Ils ont tous des emplois lucratifs. D’ici 2028, on prévoit que la main-d’œuvre en orthophonie aura un manque à combler de vingt-cinq pour cent et nos diplômés aident à répondre à ce besoin. »

L’Université Laurentienne s’enorgueillit de ses quelque 70 600 diplômés, dont 160 du programme de baccalauréat en orthophonie et 103 de la maîtrise en ce domaine. Pour ce qui est de ce dernier chiffre, 36 personnes sont diplômées de la maîtrise offerte à la Laurentienne de 1995 à 2003 tandis que 67 d’entre elles ont préparé, depuis 2014, la maîtrise dans le programme d’orthophonie offert actuellement à l’Université.
 

 

Post-scriptum: 
De nouveaux choix de programmes jumelés sont offerts depuis récemment aux étudiants : Éducation Concurrent - B.Sc.S. en orthophonie and Concurrent Education - B.Sc.S. en orthophonie

Les étudiants inscrits peuvent préparer le B.Sc.S. en orthophonie tout en suivant des cours qui satisfont les exigences d’admission à l’année professionnelle (5e année) de ces deux programmes. Sur cinq ans, les programmes en éducation permettent aux étudiants de faire l’expérience d’une gamme de milieux pédagogiques tandis que ce jumelage particulier de programmes leur donne l’occasion de travailler dans deux professions distinctes, élargissant ainsi leurs choix de carrière.

Les étudiants éventuels qui cherchent d’autres renseignements sur ces nouveaux choix de programmes jumelés peuvent s’adresser au Service de liaison à info@laurentienne.ca

Une collaboration entre un doctorant et la NASA fait progresser la recherche de pointe.

Une collaboration entre un doctorant et la NASA fait progresser la recherche de pointe.

Les expérimentations sur la levure pourraient apaiser les inquiétudes face aux effets des radiations sur les vols spatiaux habités.

(15 novembre 2022) - Aussi fascinante que soit l’exploration de l’espace aux quatre coins du monde, la recherche qui contribue à faire mieux comprendre cette étendue mystérieuse et hors du commun, y compris les moyens d’assurer la sécurité des astronautes dans ce milieu, est un champ d’investigation à la fine pointe du progrès.

Les travaux de recherche de Michel (Mike) Lapointe, doctorant en sciences biomoléculaires de l’Université Laurentienne, s’intéressent à « The anhydrobiotic radiation response in yeast » et visent à répondre aux questions sur les effets biologiques des radiations, un problème de santé potentiel lié aux vols spatiaux habités et à d’autres expositions professionnelles.

Sudburois et fier de l’être, Michel Lapointe est diplômé du Collège Notre-Dame (2013). Il a choisi d’étudier à la Laurentienne où il a obtenu un baccalauréat ès sciences en physique biomédicale (2017), et une maîtrise en physique avec spécialisation en physique médicale (2020). « Poursuivre mes études à la Laurentienne était un choix tout à fait logique, dit-il. J’adore faire de la recherche et la science des radiations m’intéresse depuis que j’ai commencé mes études de premier cycle. »

Souhaitant étudier l’incidence des radiations sur les systèmes biologiques et en particulier les effets des radiations spatiales sur les astronautes, M. Lapointe travaille étroitement aux côtés de ses co-superviseurs, Christopher Thome (Ph.D.) et Douglas Boreham (Ph.D.), de Sujeenthar Tharmalingam, membre du Comité de direction, et de Taylor Laframboise, technicien de laboratoire, tous affiliés à la Faculté de médecine, l’EMNO.

Pour ce faire, M. Lapointe et son équipe font usage de la même technologie à base de levure que celle utilisée par les chercheurs du Centre de recherche Ames de la NASA en menant l’expérience BioSentinel dans laquelle des échantillons de levure desséchés (séchés) ont servi de détecteurs vivants de radiation. Alors que l’équipe de la NASA emploie ce modèle pour étudier les effets biologiques des radiations dans l’espace lointain, M. Lapointe et son équipe s’emploient, en laboratoire, à caractériser pleinement la réponse aux radiations observées sous ce modèle. Et comme les mécanismes de réparation des dommages dus aux radiations sont presque identiques à ceux qu’utilisent les humains, la levure est donc un substitut idéal.

« La levure séchée est toujours vivante, explique M. Lapointe. C’est l’une de ses particularités vraiment géniales. Une fois séchée, elle est très robuste. Les échantillons en question ne se soucient pas vraiment de la température, même des températures extrêmement froides que l’on trouve dans l’espace. Ils n’ont pas besoin d’oxygène, de nutriments ou d’eau. »

Cette semaine, le satellite BioSentinel CubeSat abritant les échantillons de levure de la NASA sera lancé dans l’espace. « Les travaux de recherche en cours ont pour objet de faire mieux comprendre ce qu’est le milieu radiologique dans l’espace et ses effets sur les systèmes biologiques. Cette mission se déroule dans l’espace lointain, entre 30 et 50 millions de kilomètres de la Terre. L’équipe de la NASA et nous, en tant que collaborateurs, menons nos travaux pour déterminer quels types de dommages, s’il en est, résultent de l’exposition aux radiations dans l’espace lointain et, de là, mieux orienter les futurs vols spatiaux avec équipage. »

Le satellite intègre un système autonome programmé en vue de réhydrater les échantillons de levure une fois dans l’espace et de recueillir des données sur les effets des radiations sur ces échantillons. « En se basant sur la vitesse à laquelle change la couleur du colorant servant à réhydrater la levure, souligne M. Lapointe, nous serons en mesure de déduire combien d’entre elles sont encore vivantes et combien sont mortes des suites des radiations. »

Le Centre de recherche Ames de la NASA n’est pas le seul partenaire de recherche. Y participent également les Laboratoires nucléaires canadiens et TRIUMF aux côtés de bien d’autres bailleurs de fonds comme le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie, Mitacs, Bruce Power, l’Agence spatiale canadienne et l’Institut d’innovation nucléaire. Autant dire que le financement de cette recherche est très important. 

« Nous sommes très enthousiastes au sujet de cette étude, a déclaré M. Lapointe, et de ses répercussions. » Il a en outre souligné que SNOLAB, une installation scientifique de renommée mondiale, a aussi, apporté sa contribution à son étude. La raison en est que ses travaux portent également sur les effets des sources naturelles des radiations, comme le rayonnement cosmique solaire et galactique, sur les organismes vivants. En milieu souterrain, M. Lapointe a découvert une particularité intéressante de la levure quant à son comportement en l’absence de rayonnement de fond naturel : elle a plus tendance à mourir lorsqu’elle est réexposée au rayonnement de fond après avoir été sous terre. Cette découverte inattendue montre que des recherches approfondies sont nécessaires.

« Le fait de participer à cette étude qui met en jeu des collaborations aussi importantes est une expérience très enrichissante, a déclaré M. Lapointe. La recherche m’intéresse grandement et je veux continuer à en faire toute ma vie. »

Nous sommes impatients de suivre le reste de son parcours universitaire et de découvrir les résultats de ses recherches de pointe.
 

Un étudiant en histoire de la région a travaillé durant l’été et l’automne au Centre Juno Beach.

Un étudiant en histoire de la région a travaillé durant l’été et l’automne au Centre Juno Beach.

Elias Parent inspire les autres à apprendre l’histoire par la pratique.

(10 novembre, 2022) - Comme beaucoup d’élèves qui envisagent des études postsecondaires, Elias Parent était au départ quelque peu incertain quant à son cheminement. « J’ai entrepris mon parcours universitaire sans savoir exactement ce que je voulais faire, quelle carrière mener. Cela dit, je savais que l’histoire m’intéressait et j’avais le sentiment que, lorsqu’on est à l’université, on devrait justement faire cela : suivre des cours traitant d’un sujet que l’on aime, d’un sujet auquel on s’intéresse. »

Tel est précisément ce qu’a fait M. Parent au sortir du Collège Notre-Dame de Sudbury (2021). Il s’est inscrit à la Laurentienne, au programme d’histoire, et il s’apprête à entreprendre, dès janvier, sa deuxième année d’études.

« Je suis un féru d’histoire, surtout dès qu’il s’agit de la Seconde Guerre mondiale et de la Guerre froide, explique M. Parent. L’histoire est tellement importante. C’est un domaine qu’on ne peut pas oublier, parce que le retour en arrière qu’est l’histoire peut nous aider à éviter des erreurs à l’avenir. Nous apprenons donc du passé. »

Fait édifiant chez lui est sa volonté d’apprendre par la pratique. Alors qu’il jouissait « d’excellentes possibilités de se former », grâce à ses professeurs à la Laurentienne, qui « m’ont vraiment, par leur motivation, donné envie de poursuivre mes études en histoire », il s’est éloigné de la salle de classe, l’été et l’automne derniers, le temps d’effectuer au Centre Juno Beach, en Normandie, en France, un contrat de sept mois, à titre d’interprète bilingue, qui l’a vu enrichir l’expérience de découverte des visiteurs du Centre, venus du monde entier.

Fondé en 2003, le Centre Juno Beach est un musée canadien de la Seconde Guerre mondiale, qui rend hommage aux 45 000 Canadiens tombés pendant celle-ci, dont 5 500 lors de la bataille de Normandie et 381 le jour J (6 juin 1944). Le Centre est né de la vision d’anciens combattants et de bénévoles souhaitant ériger un monument en l’honneur de tous les Canadiens qui ont répondu à l’appel de la Seconde Guerre mondiale, son mandat était de « préserver cet héritage, par l’éducation et la commémoration, au service des générations à venir ».

À dix-huit ans, Elias Parent est le plus jeune employé que le Centre Juno Beach a jamais eu à son service. Il estime que la préservation de l’histoire est un honneur et que le fait de travailler en France, et d’y vivre en toute indépendance, s’est traduit par de belles possibilités d’apprentissage et d’épanouissement personnel. « Je suis Franco-Ontarien, et l’un des points forts de cette expérience est que mon français s’est beaucoup amélioré. » Grâce à ses interactions multiculturelles et multilingues avec les visiteurs et les autres travailleurs du Centre, il a même appris un peu d’italien et quelques mots d’allemand en cours de route.

« J’aime faire connaître l’histoire aux gens et les éclairer sur des événements historiques importants. Au nombre des interactions remarquables que j’ai eues [en travaillant au Centre] figurent des discussions avec d’anciens combattants de la guerre de Corée, de la Seconde Guerre mondiale et d’autres. À les entendre parler de leur expérience, j’en ressens encore toute l’intensité. »

L’intérêt que porte Elias Parent à l’histoire semble être une caractéristique au sein de sa famille. Sa mère, Rosanne, est titulaire d’un baccalauréat en histoire (2019) de l’UL et d’une maîtrise en études vikings (University of Highlands and Islands, 2020), et est inscrite au programme de doctorat en sciences humaines et interdisciplinarité de la Laurentienne.

« Les études ont toujours été valorisées au sein de ma famille, déclare M. Parent, qui souligne également avoir beaucoup appris de l’histoire à l’extérieur de la salle de classe et de la maison, grâce au programme des cadets du Canada. Je suis devenu cadet à l’âge de douze ans et je sortirai du programme à dix-neuf ans, ce qui veut dire que je suis cadet depuis près de sept ans. J’en ai acquis valeurs et discipline, et je me suis fait de nouveaux amis. »

Bien qu’encore certain, il a évoqué l’intérêt qu’il porte à la Réserve de l’armée canadienne.

Rentré dernièrement au Canada, M. Parent est impatient de participer aux cérémonies annuelles marquant le jour du Souvenir, qui ont lieu le 11 novembre de chaque année (observé pour la première fois en 1919 au sein du Commonwealth britannique), appelé à l’origine « jour de l’Armistice » pour commémorer la convention d’armistice qui a mis fin à la Première Guerre mondiale le 11 novembre 1918, à 11 h.

Tous sont donc conviés à se souvenir des Canadiens qui ont servi au cours de l’histoire de notre pays, soit plus de 2 300 000 personnes, dont plus de 118 000 ont fait le sacrifice ultime (source : Gouvernement du Canada).
 

L’Association des étudiants aux études supérieures élit les dirigeants de 2022-2023

L’Association des étudiants aux études supérieures élit les dirigeants de 2022-2023

Meghan McCue a hâte d’appuyer les étudiants dans son rôle de présidente.

(3 novembre 2022) - L’Association des étudiants aux études supérieures (AEES) de l’Université Laurentienne a récemment tenu des élections à la direction pour 2022-2023. Meghan McCue, doctorante dans le programme de sciences biomoléculaires, est la présidente nouvellement élue de l’AEES. Originaire de Sudbury, elle est diplômée (2013) de la Lockerby Composite Secondary School. Accompagnée des autres dirigeants étudiants élus, indiqués ci-dessous, elle servira l’AEES pour un mandat d’un an : 

L’AEES défend les droits des étudiants aux cycles supérieurs à l’Université Laurentienne. Elle est dirigée par des bénévoles qui sont des étudiants élus ayant un enthousiasme pour favoriser la participation des étudiants des cycles supérieurs et contribuer de manière positive à leur expérience.

« Mon objectif pour la prochaine année est d’assurer aux étudiants des cycles supérieurs une voix en ce qui concerne leur expérience aux études supérieures, a expliqué McCue. Je veux les aider à achever leurs études à temps et leur assurer un accès aux subventions et aux possibilités de réseautage. Je veux travailler avec eux pour leur assurer la meilleure expérience possible. » 
 
En 2013, McCue est venu préparer un B.Sc. en kinésiologie (2017) à la Laurentienne. Elle est aussi titulaire d’une maîtrise appliquée en médecine du sport et de l’exercice de l’Université de Nottingham (2019).

« Je collaborerai avec l’AEES pour que les voix des étudiants soient entendues et leurs besoins satisfaits, a décrit McCue en discutant plus généralement des valeurs du leadership des étudiants des cycles supérieurs. Je ne veux pas que les étudiants se sentent seuls dans leur cheminement universitaire. Nos étudiants méritent d’être heureux et en santé tout en se sentant appuyés et valorisés par la communauté universitaire. »  

Pour obtenir d’autres renseignements sur l’AEES/GSA, consultez ses pages Facebook ou Twitter

D’autres informations sur les programmes de maîtrise et de doctorat à la Laurentienne figurent sur la page Web des études supérieures.
 

Un centre de recherche de l’Université Laurentienne s’associe à la Bibliothèque publique du Grand Sudbury pour l’évaluation de la qualité de l’air.

Un centre de recherche de l’Université Laurentienne s’associe à la Bibliothèque publique du Grand Sudbury pour l’évaluation de la qualité de l’air.

Forts de cet outil en cette pandémie aérogène, les gens de Sudbury comprendront mieux l’importance de la qualité de l’air et de la ventilation.

(November 2, 2022) - Le Centre de recherche sur la santé et la sécurité au travail (CRSST) de l’Université Laurentienne et la Bibliothèque publique du Grand Sudbury (BPGS) ont fait équipe pour montrer l’importance de la qualité de l’air et de la ventilation aussi bien à domicile qu’en milieu de travail en cette période de pandémie aérogène comme la COVID-19.

Concrètement, le CRSST a mis à la disposition de la BPGS des détecteurs de CO2 que les gens de Sudbury peuvent emprunter dans diverses succursales de la région. En suivant les indications d’une carte d’information et un scénario d’évaluation en ligne pour mesurer le CO2 chez eux, les gens peuvent aussi se livrer à quelques activités afin d’avoir une meilleure idée de la qualité de l’air et de la ventilation du milieu ambiant.

Pourquoi cela importe-t-il? Nous respirons l’air et expirons du CO2. En mesurant la concentration du CO2 dans un espace intérieur quelconque, on peut se faire une idée de la quantité d’air qu’on expire et que l’on respire à nouveau. Comme on le sait, des niveaux de concentration élevés de CO2 sont liés à un affaiblissement des fonctions cognitives et à d’autres problèmes de santé potentiels. Ils permettent également de savoir si le renouvellement de l’air dans un espace donné est suffisamment fréquent.

Fort du bilan des évaluations en ligne, le CRSST déterminera si un outil scientifique et une simple expérience peuvent amener le public à mieux comprendre la question de la qualité de l’air et les principes de base de la ventilation et quels facteurs influencent la qualité de l’air lors d’une pandémie aérogène.

Les gens de Sudbury qui veulent participer à cette expérience et en apprendre davantage sur la qualité de l’air et la ventilation à domicile peuvent emprunter un détecteur de carbone dioxyde dans l’une des succursales suivantes :

  • Bibliothèque publique et Centre de services aux citoyens de Chelmsford
  • Bibliothèque publique et Centre de services aux citoyens de Valley East
  • Bibliothèque publique principale
  • Bibliothèque publique du Nouveau Sudbury
  • Bibliothèque publique du South End
  • Bibliothèque publique et Centre de services aux citoyens de Lively

Le projet de recherche est codirigé par Alison Godwin (directrice associée au CRSST et professeure agrégée à l’Université Laurentienne) et Katie Goggins (scientifique principale au CRSST).

Le CRSST compte plus de dix ans d’expérience en matière de connexion et d’engagement avec les lieux de travail et les communautés du nord de l’Ontario.

CITATION :
« La simplicité de cet outil afin de valider chez moi son impact immédiat sur la qualité de l’air m’a donné un grand sentiment d’autonomie la première fois que je l’ai utilisé. Cela me met en confiance lorsque je visite des lieux publics et il importe de faire connaître ce que nous avons appris à d’autres membres de la communauté. »

Alison Goodwin, directrice associée au CRSST
Professeure agrégée, École de kinésiologie et des sciences de la santé, Université Laurentienne
Coresponsable du projet de recherche

Prix d’excellence en enseignement 2022

Prix d’excellence en enseignement 2022

Lauréats des prix d’excellence en enseignement de 2022 : Michelle Reid et Jean-Philippe Saucier.

(27 octobre 2022) - Le Comité du Sénat sur l’enseignement et l’apprentissage a le plaisir d’annoncer les lauréats des prix d’excellence en enseignement de 2022.  

Le prix d’excellence en enseignement pour les membres du corps professoral à temps partiel 2022 est décerné à Michelle Reid, B.Arts Sc., M.Sc., M.S.Com. (LU), chargée de cours, Programme d’études supérieures en communication scientifique, École des sciences naturelles, Faculté des sciences, de génie et d’architecture. 

Michelle Reid enseigne en tant que chargée de cours dans le programme de maîtrise en communication scientifique depuis 2017. Mme Reid est décrite comme « une championne des méthodes d’enseignement innovantes, en particulier dans l’utilisation des technologies éducatives et dans son application des techniques d’apprentissage actif pour engager les étudiants à maximiser la participation et l’apprentissage par l’expérience. » Dans sa philosophie d’enseignement, elle déclare qu’elle essaie « d’établir un environnement d’apprentissage où les étudiants se sentent soutenus pour prendre des risques créatifs, étirer leur zone de confort en communiquant à travers de nouveaux formats médiatiques, et partager ouvertement les défis auxquels ils sont confrontés dans leur recherche et leur pratique afin que nous puissions les aborder ensemble. » 

Le prix d’excellence en enseignement pour les membres du corps professoral à temps plein 2022 est décerné à Jean-Philippe Saucier, B.Sc.Arch., M.Sc., M.Arch., maître de conférences, École d’architecture McEwen, Faculté des sciences, de génie et d’architecture. 

Jean-Philippe Saucier enseigne à l’École d’architecture McEwen (EAM) depuis 2016. Enseignant au niveau du premier et du deuxième cycle, en anglais et en français, il s’est distingué par la grande qualité de son enseignement, notamment dans le cadre des cours de studio qu’il dirige. Il a été décrit comme un « professeur très organisé, rigoureux et dévoué », qui montre une « passion pour la matière des cours qu’il enseigne. » Non seulement M. Saucier a fait preuve d’excellence en classe, mais il est connu pour le temps et les efforts considérables qu’il consacre à ses étudiants en dehors des heures de cours, « encourageant l’excellence de ses étudiants, même s’il s’agit d’un seul étudiant dans un studio de 70 personnes ». 

En outre, M. Saucier a beaucoup contribué, de manière formelle et informelle, à l’ensemble de l’entreprise d’enseignement de l’EAM. Il a présidé le comité du programme d’études du BAS et, en tant que coordinateur du programme, il a fait preuve d’un « professionnalisme infatigable » dans l’évaluation des portefeuilles des candidats. Il a également conçu les cérémonies de remise des prix aux finissants de l’EAM, dirigé des voyages de classe à Détroit et à Chicago, organisé des séries de conférences, parmi de nombreuses autres contributions. Il a été une ressource précieuse pour ses collègues en tant que conférencier fréquemment invité dans leurs cours, mais aussi dans leur adoption des technologies d’enseignement. En général, M. Saucier est estimé par ses collègues et ses étudiants pour son dévouement à la réussite de ses étudiants et de l’EAM dans son ensemble, allant « bien au-delà des attentes à tous égards ». 

Les certificats du prix d’excellence en enseignement seront remis lors de la cérémonie de l’après-midi de la collation des grades d’automne, le 29 octobre 2022. Nous félicitons Mme Reid et M. Saucier pour leurs réalisations remarquables en matière d’enseignement à l’Université Laurentienne. 

La Laurentienne célèbrera bientôt les diplômés aux collations des grades de l’automne 2022

La Laurentienne célèbrera bientôt les diplômés aux collations des grades de l’automne 2022

Les cérémonies auront lieu le 29 octobre 2022.

(27 octobre 2022) - L’Université Laurentienne se réjouit de célébrer le nouveau groupe de diplômés lors des prochaines collations des grades de l’automne. Les cérémonies auront lieu le samedi 29 octobre, à 10 h et à 14 h 30, pour souligner les réussites de près de quatre cents diplômés. Pour les personnes qui ne pourront pas assister en personne, elles seront diffusées en direct sur laurentienne.ca.

Mme Twinkle Arora, de Toronto (Ontario), fait partie de ces diplômés et se réjouit à la perspective de venir dans le Nord avec sa famille. Elle a récemment soutenu sa thèse de doctorat, « Finding friends in fiction: Fan writing, parasocial interactions and social belongingness », une étude qui « explore l’influence de l’écriture créative sur le fonctionnement social grâce aux interactions parasociales, ou en d’autres mots, les liens imaginaires unilatéraux avec les caractères médiatiques/textuels ».

Mme Arora obtiendra un doctorat en sciences humaines et interdisciplinarité.

« Ma passion pour la recherche et le désir d’enrichir les connaissances en général me motivent, a-t-elle déclaré. Mes superviseurs, les professeurs Parveen Nangia, Hoi Cheu et Cynthia Wissell, m’ont aidée à mener mon doctorat à bonne fin. Je ne saurais les remercier assez pour leur mentorat et leurs encouragements continus. Je suis aussi extrêmement reconnaissante à mes amis, camarades et professeurs de l’UL qui m’ont accompagnée pendant mon parcours universitaire. Le couronnement de mes études est une grande source de joie et je me réjouis à la perspective d’exploiter mes compétences dans le monde réel. Je chérirai la pléthore de bons souvenirs de l’Université Laurentienne. »

M. Connor Smith, de Red Lake (Ontario), obtiendra lui aussi son grade cet automne. Il est arrivé à la Laurentienne en 2016 et a obtenu un baccalauréat en architecture en 2020. Il a maintenant terminé sa maîtrise en architecture.

« Durant mon enfance dans le nord-ouest de l’Ontario, l’architecture ne m’a jamais vraiment intéressé parce que la majorité des édifices étaient construits à bas prix et sans créativité. Ce n’est qu’à l’école secondaire que ma perspective a changé. J’ai choisi l’Université Laurentienne afin de suivre un processus de création plus pratique dans la conception-construction, a fait remarquer M. Smith à propos de l’obtention de son grade. Je suis heureux d’avoir terminé mon programme et de répondre aux critères pour devenir architecte agréé en Ontario et d’aider ainsi la population des régions isolées du nord-ouest de l’Ontario dans lesquelles j’ai grandi. »

Félicitations à tous les diplômés et bonne chance dans vos futures activités.

Renseignez-vous sur les collations des grades et découvrez d’autres diplômés à https://laurentienne.ca/anciens/collation-des-grades.
 

La Laurentienne prépare la Journée portes ouvertes d’automne qui aura lieu le 22 octobre 2022

La Laurentienne prépare la Journée portes ouvertes d’automne qui aura lieu le 22 octobre 2022

L’Université est prête à faire valoir auprès des étudiants éventuels le sentiment de communauté qui règne.

(20 octobre 2022) - Le corps professoral, le personnel et la population étudiante de l’Université Laurentienne s’affairent à préparer la Journée portes ouvertes d’automne, événement très attendu qui accueillera les futurs étudiants au campus le samedi 22 octobre 2022. L’activité en personne leur donnera l’occasion de découvrir ce que c’est que d’être un étudiant à la Laurentienne.

« Nous sommes ravis de mettre en valeur les facultés, les services et la vie étudiante exceptionnels que propose la Laurentienne, a souligné le gestionnaire du Service de liaison, Pieter Breijer. Des invités arriveront de partout en province pour participer à cette journée d’activités conçues de façon à leur faire voir comment nous pouvons les aider à atteindre l’objectif final qu’ils visent. »

Le Service de liaison est le premier point de contact pour toutes les personnes qui s’intéressent aux programmes et services offerts par la Laurentienne, les membres de l’équipe se destinant à les orienter si elles choisissent cette destination postsecondaire.

Les futurs étudiants et autres invités pourront participer à un salon des études et des services aux étudiants auquel assisteront des professeurs, des étudiants-ambassadeurs, des diplômés, des membres de l’équipe de liaison et d’autres membres du personnel de soutien. Aucune question ne restera sans réponse, et les invités peuvent s’attendre à une expérience vraiment concrète qui comprendra la participation à des conférences et à des visites guidées du campus.

Les personnes voulant visiter l’École d’architecture McEwen de la Laurentienne pourront utiliser le service de navette pour s’y rendre à partir du campus principal, accompagnées d’un étudiant-ambassadeur qui les accueillera chaleureusement.

« Les étudiants-ambassadeurs contribuent de manière exponentielle à l’expérience de la Journée portes ouvertes d’automne, a expliqué la coordinatrice des événements et des communications du Service de liaison, Danielle Yasko-Pellerin. Nous sommes très fiers d’eux, qui s’enthousiasment à partager leurs expériences étudiantes avec les futures cohortes. Ils ont vraiment une incidence positive sur nos invités de près et de loin. »

La Journée portes ouvertes d’automne fait suite à la fructueuse Foire des universités de l’Ontario qui a accueilli quelque 78 000 personnes les 1er et 2 octobre 2022.

Il est conseillé de s’inscrire à la Journée portes ouvertes d’automne à laurentienne.ca/portes-ouvertes.

Post-scriptum le 27 octobre 2022 - Le corps professoral, le personnel et la population étudiante de l’Université Laurentienne célèbrent la réussite de la Journée portes ouvertes d’automne. Selon la coordonnatrice des activités et des communications au Service de liaison, Danielle Yasko-Pellerin, quelque 950 invités ont visité le campus pendant les portes ouvertes. La Journée portes ouvertes du printemps aura lieu le 11 mars 2023… indiquez-le sur votre agenda !

L’École d’administration des sports fête ses 50 ans

L’École d’administration des sports fête ses 50 ans

Les événements, tenus sur quatre jours, ont rassemblé plus de 300 diplômés.

(17 octobre 2022) - L’École d’administration des sports (SPAD) a toutes les raisons d’être fière : plus de 300 diplômés et étudiants actuels se sont réunis en célébration du 50e anniversaire de SPAD, le temps de participer ce week-end à une série d’événements et de récolter plus de $ 50 000 en dons de soutien aux étudiants.

Ces événements ont vu tenir au Liberty Grand de Toronto un gala-bénéfice auquel ont participé des diplômés issus de toutes les promotions du programme depuis ses origines il y a 50 ans. Des PDG de grandes entreprises aux directeurs généraux d’équipes de sport professionnel, actuels et anciens, tous étaient enthousiastes de pouvoir reprendre contact avec leurs anciens camarades de classe et leurs anciens professeurs.

« C’était si émouvant que de voir des diplômés se parler alors qu’ils ne s’étaient pas vus depuis 25 ou 30 ans, a indiqué le président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, M. Jeff Bangs. Voir des diplômés redonner à SPAD et à Sudbury ce qu’ils en ont reçu est la preuve de leur passion et de leur engagement. »

« Les membres du Comité méritent tout le crédit du succès qu’est cet événement, a dit la présidente du Comité organisateur du 50e anniversaire et membre du conseil consultatif de l’Association des diplômés de SPAD, Mme Diane Mihalek. Nous sommes fiers d’avoir rassemblé les gens et recueilli par la même occasion des fonds de soutien aux étudiants. »

Entamés à Toronto, les événements marquant le 50e anniversaire de SPAD se sont poursuivis tout au long du week-end à Sudbury, où les diplômés ont fait du bénévolat à la Mission de la rue Elgin, mené une collecte d’équipement de hockey et noué de nouvelles relations au fil des nombreuses activités sociales.

« Quel bonheur que d’avoir pu voir autant d’anciens camarades de la Laurentienne et de personnes que j’ai rencontrées depuis dans l’industrie du sport et qui sont diplômées du SPAD, a indiqué le lauréat d’un doctorat honorifique et membre du conseil consultatif de SPAD, M. Ken Derrett. Nous sommes bien présents dans tous les milieux, ce qui témoigne de longs états de service de diplômés enthousiastes et de professeurs consciencieux. »

Instituée en 1972, l’École d’administration des sports (SPAD) compte aujourd’hui plus de 1 300 diplômés, dont beaucoup, outre leurs dons actifs, contribuent régulièrement à l’avancement du programme. En septembre 2023, l’École accueillera encore 70 étudiants dans ses rangs et invite les personnes intéressées, qui souhaitent en savoir plus sur SPAD, à participer à la Journée portes ouvertes d’automne que se tiendra à l’Université Laurentienne le 22 octobre 2022.
 

L’Université Laurentienne célèbre les personnes qui ont reçu plus de 237 000 $ en subventions fédérales du CRSH

L’Université Laurentienne célèbre les personnes qui ont reçu plus de 237 000 $ en subventions fédérales du CRSH

Les fonds reçus viendront appuyer la recherche en sciences sociales et humaines.

(13 octobre, 2022) - Les chercheurs de l’Université Laurentienne ont reçu du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) des subventions chiffrées à plus de 237 000 $ afin de les aider dans leurs efforts de produire du nouveau savoir.

Mme Lea Tufford (Ph.D.), professeure agrégée de l’École de service social, a reçu une subvention Savoir de cinq (5) ans en appui à son étude intitulée « Supporting Social Work Field Education: Developing a Model of Holistic Competition ». Flambeau de l’excellence de la recherche dans le domaine des sciences sociales et humaines, les subventions Savoir sont accordées à des travaux originaux de recherche et porteurs d’une contribution importante à l’avancement des connaissances.

Mme Tammy Gaber (Ph.D.), professeure agrégée et directrice de l’École d’architecture McEwen, et M. Frantz Siméon (Ph.D.), professeur adjoint de l’École de service social, ont reçu, chacun, une subvention de développement Savoir de deux (2) ans. L’étude de Mme Gaber, qui s’intitule « Losing Faith: Continuity and Community of Aaltos Sacred Spaces », et celle de M. Siméon, « Apports du réseau de proximité dans le soutien à domicile des francophones en contexte minoritaire, les leçons de l’expérience du Club amical de Sudbury en temps de pandémie », profiteront de ces subventions qui sont accordées à des projets de recherche en phase initiale, ce qui leur permettra de développer de nouvelles questions de recherche et d’expérimenter de nouvelles méthodes, approches théoriques et idées.

M. Simon Laflamme, professeur titulaire de l’École des arts libéraux, a reçu une subvention d’un an, dite Aide aux revues savantes, pour la revue « Nouvelles perspectives en sciences sociales ». L’objectif de cette subvention est de prêter main-forte à la diffusion de la recherche savante canadienne par sa contribution aux revues afin de les amener à explorer des activités innovatrices et à pourvoir aux frais associés à la publication d’articles savants, à l’édition numérique et à la distribution des revues sur des plateformes canadiennes à but non lucratif.

« Les subventions Savoir, développement Savoir et Aide aux revues savantes sont d’une importance capitale pour les chercheurs et la formation des étudiants qui travaillent souvent aux côtés des professeurs pour faire progresser l’érudition et la diffusion des connaissances, a indiqué la vice-rectrice à la recherche à l’Université Laurentienne, Mme Tammy Eger (Ph.D.). En l’occurrence, il s’agit des domaines des sciences sociales et humaines où les chercheurs, grâce à ces investissements fédéraux, pourront contribuer à l’avancement des connaissances. Félicitations à tous les lauréats qui, par leurs travaux de recherche assidus, contribuent à répondre à des questions importantes dont les incidences se répercutent sur les expériences vécues aux niveaux local, national et international. » 

Les lauréats d’une subvention du CRSH en 2022-2023 à l’Université Laurentienne prolongent la réussite incarnée par les lauréats de subventions du CRSH en 2021-2022.

Plus tôt cette année, l’Université Laurentienne a également annoncé la participation de professeurs et d’étudiants à un projet bénéficiant d’une subvention de partenariat de cinq ans du CRSH, un projet concerté, d’une ampleur sans précédent dans les disciplines du design, « Quality in Canada’s Build Environment: Roadmaps to Equity, Social Value and Sustainability », financé à hauteur de 8,6 millions de dollars.

L’Institut de recherche autochtone Maamwizing a également reçu du CRSH plus de 430 000 $ dans le cadre de son Initiative sur la race, le genre et la diversité, en soutien à des travaux de recherche triennaux axés sur la collectivité autochtone.

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