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Feu sacré pour honorer les membres de la population étudiante, du personnel et du corps professoral.

Feu sacré pour honorer les membres de la population étudiante, du personnel et du corps professoral.

Des leaders étudiants témoignent de leur confiance envers l’Université Laurentienne.

(6 avril 2023) - À l’approche de la fin du semestre, les étudiants de l’Université Laurentienne commenceront très bientôt leurs examens finaux. Depuis le début de l’année universitaire, la communauté de la Laurentienne a fait face à beaucoup d’adversité dans le cadre du processus de la LACC. Au cours de cette période, la communauté universitaire a vu de nombreux membres de la population étudiante, du personnel et du corps professoral partir à la recherche de nouvelles possibilités. Nombre de ceux-ci ont toutefois choisi de rester, d’aider nos étudiants à réussir et de s’entraider.

Pour souligner le travail ardu de la population étudiante, du corps professoral et du personnel pendant l’année universitaire 2022-2023 et pour « Ishkode » (raviver le feu dans votre cœur), on organisera un feu sacré pendant quatre jours. Cet événement se déroulera du premier jour de la période d’examens d’hiver, le 11 avril, au 14 avril 2023, de 9 h à 16 h, à l’extérieur de la salle ronde du Centre autochtone de partage et d’apprentissage. Tout le monde est le bienvenu.

Les étudiants de la Laurentienne ont choisi de rester inspirés et confiants quant au brillant avenir de la Laurentienne tout au long de ces difficultés. Voici quelques leaders étudiants et leurs opinions positives sur les années à venir :

Avery Morin est en troisième année de neurosciences comportementales et du programme concomitant d’éducation de Sudbury, en Ontario. Elle est présidente de l’Association générale des étudiants. « Je crois au brillant avenir de la Laurentienne en raison des possibilités incroyables que notre université peut offrir. En tant que leader étudiante, je suis devenue une défenseuse passionnée des étudiants du monde entier et je suis très reconnaissante des expériences que la communauté de la Laurentienne m’a offertes. »

Emily Appadoo est en première année de sciences infirmières de Chambly, au Québec. Elle est spécialiste au sein du programme de bien-être par les pairs de l’UL. « Je crois de tout cœur au brillant avenir de l’Université Laurentienne. Malgré les récents défis, notre communauté est toujours solide grâce à sa résilience et à sa détermination. Je suis convaincue que l’UL atteindra dans un proche avenir de grands objectifs en raison du dévouement du corps professoral et du personnel et du dynamisme de la population étudiante. »

Meghan McCue est doctorante en sciences biomoléculaires de Sudbury, en Ontario. Elle est présidente de l’Association des étudiants des cycles supérieurs. « Au cours des dernières années, les passionnés de la Laurentienne ont persévéré et ont continué d’embellir les choses jour après jour. En tant qu’étudiante, c’est formidable de revoir des visages heureux sur le campus, d’assister à des événements étudiants et de représenter la Laurentienne lors d’événements sportifs et de conférences. En tant que leader étudiante, je suis toujours impressionnée par ce que nos étudiants accomplissent pendant leur séjour ici et au-delà. Les diplômés de la Laurentienne comptent parmi les personnes les plus prospères que je connais. »

Darshan Shah est en quatrième de génie mécanique d’Ahmedabad, en Inde. Il est ambassadeur étudiant au Service de liaison et un compétiteur des Jeux miniers canadiens. « L’Université Laurentienne a une longue tradition en matière d’enseignement et de recherche de haute qualité dans divers domaines. Elle a une population étudiante diversifiée et des avantages uniques comme son emplacement et l’accent mis sur les études autochtones. L’Université a pris des mesures pour restructurer ses activités et émerger avec un nouveau plan financier axé sur le renforcement des programmes universitaires, l’augmentation des inscriptions et l’amélioration des activités de recherche. Ces facteurs suggèrent que l’Université Laurentienne a le potentiel d’un brillant avenir. »

Conditions météorologiques défavorables

Conditions météorologiques défavorables

5 avril, 2023

Aux membres de la communauté,

Étant donné les graves intempéries à Sudbury, l’Université Laurentienne encourage les membres du corps professoral à donner leurs cours à distance dans la mesure du possible aujourd’hui (à la discrétion de chacun) et recommande aux employés qui sont capables de faire du télétravail de rester à la maison.

L’Université est ouverte.

Profil : Un étudiant en service social fait des efforts supplémentaires pour l’inclusivité sur le campus.

Profil : Un étudiant en service social fait des efforts supplémentaires pour l’inclusivité sur le campus.

Étudiant du programme travail-études à Fierté Laurentienne, Sam Bénard-Barry, est fier de défendre ses pairs.

(4 avril 2023) - Sam Bénard-Barry est un leader étudiant et un défenseur déterminé de ses pairs.

Sam Bénard-Barry est un étudiant queer, francophone et anishinaabe-algonquin inscrit en quatrième année au programme de Service social de l’Université Laurentienne. Originaire de Sudbury, en Ontario, Sam est également diplômé de l’École secondaire catholique l’Horizon (2019). En tant que président du Cercle des étudiants autochtones, membre de l’Équipe d’action « Le consentement est simple » de la Laurentienne et membre fondateur des Étudiants pour la coalition de l’action sociale, il va sans dire que Sam est un membre actif de la communauté universitaire.

En participant au programme travail-études à Fierté Laurentienne, Sam a la possibilité de suivre sa passion pour l’engagement en représentant la communauté queer sur le campus et au sein du Grand Sudbury. Avant d’occuper ce poste rémunéré, Sam a été étudiant bénévole pendant deux ans.

Fierté Laurentienne est un centre de ressources pour la communauté queer et l’un des nombreux services aux étudiants offerts sur le campus. Les ressources et les activités de sensibilisation et de plaidoyer de Fierté Laurentienne sont rendues possibles grâce à des partenaires comme les Services de santé et de bien-être de l’UL, Sudbury Pride, Réseau Access Network et Black Lives Matter Sudbury. En affiliation avec le Bureau de l’équité, de la diversité et des droits de la personne, les étudiants bénévoles de Fierté Laurentienne organisent de nombreux événements passionnants tout en offrant un espace sécuritaire. Se réunissant récemment en équipe, une semaine entière d’événements sur le campus a été consacrée aux objectifs d’équité, de diversité et d’inclusion. Par exemple, le Centre étudiant a organisé le 24 mars une activité où de nombreux étudiants se sont amusés et ont rencontré de nouveaux amis au Pride Prom.

« Une grande partie du travail que je fais pour Fierté Laurentienne est intersectionnelle puisque je suis un étudiant queer, francophone et autochtone. J’essaie de trouver un moyen d’intégrer ces communautés afin que tout le monde puisse coexister. En tant que personne queer et de genre non conforme, mon expérience est essentielle pour apporter un changement positif. »

Fierté Laurentienne est actuellement à la recherche de bénévoles. « Je pense que faire du bénévolat pour Fierté Laurentienne est une excellente occasion pour les étudiants de participer à des activités et de s’épanouir sur le plan personnel, a dit Sam. Le bénévolat et les relations que vous créez au sein du groupe permettent d’établir des liens d’amitié et des réseaux. »

Les personnes désirant faire du bénévolat pour Fierté Laurentienne peuvent communiquer avec ce service sur Instagram ou à pride@laurentienne.ca.

« Avoir un sentiment de communauté sur le campus a été important pour moi, a déclaré Sam. Cela m’intéresse grandement de sensibiliser les gens et de défendre les intérêts dans un grand éventail de sujets qui favorisent l’inclusivité. Je suis grandement fier de le faire. »

Les étudiants de l’École d’architecture McEwen célèbrent une fructueuse Nuit blanche

Les étudiants de l’École d’architecture McEwen célèbrent une fructueuse Nuit blanche

Des membres de la communauté partout dans le nord de l’Ontario ont assisté à l’activité

(30 mars 2023) -  Samedi 25 mars, les étudiants de l’École d’architecture McEwen (EAM) ont présenté la cinquième édition annuelle de la Nuit blanche, soirée qui célèbre l’unité, la culture et la fierté dans la communauté des arts de Sudbury. Premièrement conçue par les étudiants de l’EAM en 2017, la Nuit blanche propose des installations artistiques, des spectacles de musique et de danse ainsi que des commerçants locaux. 

« La Nuit blanche rassemble les étudiants et la communauté du Nord dans le cadre de l’art et de la musique, a expliqué la coordonnatrice de l’activité et étudiante de troisième année en études architecturales, Jenna El Takkale, du Caire, en Égypte. Il est puissant de pouvoir profiter d’expériences artistiques en communauté et nous nous réjouissons d’avoir l’occasion de célébrer de nombreux artistes de partout dans le nord de l’Ontario. »

Le terme « Nuit blanche » fait allusion aux manifestations artistiques qui se tiennent pendant toute une nuit dans le monde entier.

Selon Jenna, toute une équipe d’étudiants bénévoles a assuré le succès de la Nuit blanche. Des responsables étudiants du programme d’études architecturales se sont joints à elle pour coordonner et organiser l’activité dont des centaines de visiteurs à l’EAM ont profité :

  • Responsable de la gestion des artistes : Sophie Jenson (Bradford, Ontario), étudiante de 3e année
  • Responsable de la musique : Melanie Vanco (Sudbury, Ontario), étudiante de 4e année
  • Responsable des commerçants : Siah Klassen (Edmonton, Alberta), étudiante de 3e année 
  • Responsable des relations avec les médias : Tanya D’Souza (Lubumbashi, République démocratique du Congo), étudiante de 4e année
  • Responsable du graphisme : Justine Raso (Hamilton, Ontario), étudiante de 3e année 

Les artistes suivants ont joué à la Nuit blanche de cette année :

  • Des artistes autochtones de pow-wow, notamment le Cercle de tambours de l’UL
  • Le duo acoustique local, Bad Actors, interprétant de la musique folklorique originale au banjo et à la guitare
  • La talentueuse étudiante de 4e année en études architecturales, Sierra MacMillan, qui a joué de la musique acoustique indie-alternative
  • L’ancienne de l’UL, Cassidy Houston, chanteuse et compositrice folklorique locale
  • Le groupe funk-rock local, Spiced Islands
  • Le groupe rock local, Teleporters
  • L’artiste hip-hop-rap de New Liskeard (Ontario), Nico See, qui a joué à la boîte de nuit Boulevard, accompagné de musiciens

« Il y avait également des commerçants locaux sur les lieux, a dit Jenna. Quel bon sentiment de pouvoir appuyer des petites entreprises nord-ontariennes en les invitant à participer à la Nuit blanche. »

« La Nuit blanche est une importante tradition dirigée par les étudiants de l’École d’architecture McEwen, a souligné la directrice de l’École, Tammy Gaber, Ph.D. En fait, ils ont organisé de fructueuses Nuits blanches de 2017 à 2020 et l’édition de cette année a été tout aussi splendide. Les énergies créatives de notre population étudiante à l’EAM et des membres de la collectivité locale ont été célébrées et tout le monde qui y a participé en a joui. »

Les étudiants en architecture attendent déjà impatiemment l’édition de l’an prochain, car l’intention est de présenter à nouveau la Nuit blanche tous les ans. L’activité de cette année faisait suite à une interruption de deux ans entraînée par la pandémie de la COVID-19. « Cela a été extraordinaire, a ajouté Jenna, de pouvoir présenter encore une fois la Nuit blanche à une communauté dont je suis fière membre. »

Profil : La chercheuse à la maîtrise en sciences de l’activité physique et au CRSST embrasse pleinement l’expérience des étudiants aux cycles supérieurs

Profil : La chercheuse à la maîtrise en sciences de l’activité physique et au CRSST embrasse pleinement l’expérience des étudiants aux cycles supérieurs

Willa Hladun est un leader qui profite au maximum de chaque possibilité

(27 mars, 2023) - Willa Hladun est une étudiante à la maîtrise qui inspire.

Née et élevée à Calgary, en Alberta, sa famille vit maintenant à Cranbrook, Colombie-Britannique. C’est dans cette province et à l’Université de Victoria qu’elle a obtenu un baccalauréat ès arts en psychologie (2020). En quatrième année, elle a commencé à s’intéresser à la psychologie du sport. « J’ai bien aimé cela. J’ai adoré le contenu. L’exercice et le mouvement ont toujours occupé une place importante dans ma vie, en particulier en matière de gestion de mon bien-être mental. »

Willa réside maintenant dans la ville du Grand Sudbury où elle est inscrite à la maîtrise en sciences de l’activité physique à l’Université Laurentienne. Elle est aussi une chercheuse affiliée au Centre de recherche en sécurité et en santé au travail (CRSST).

Sa thèse de maîtrise intitulée Motherhood Journeys On and Off the Ice: A Narrative Analysis of Digital Media Stories of Professional Hockey Mothers, examine les reportages numériques qui couvrent les athlètes de hockey d’élite qui sont également des mères pour examiner quels récits sont présents dans la médiation qui les entoure, comment ces récits influencent leur formation identitaire, et les incidences psychosociales et culturelles de ces récits. « Les médias sportifs sont un outil puissant qui influence notre propre perception et celle des autres des athlètes d’élite, a expliqué Willa. Comprendre comment certains récits médiatiques peuvent être positifs ou négatifs pour le bien-être psychologique des mères d’athlètes et la culture du sport peut nous aider à favoriser une culture du hockey plus solidaire et inclusive, un sport très populaire non seulement dans le nord de l’Ontario, mais dans toute l’Amérique du Nord. »

L’étude de Willa fait partie d’une plus grande subvention du Conseil de recherches en sciences humaines obtenue par sa superviseuse et professeure titulaire de l’École de kinésiologie et des sciences de la santé, Kerry McGannon. « Mon expérience de travail avec Kerry a été incroyable. Kerry est tout ce que j’aurais pu souhaiter chez une superviseuse. En fin de compte, elle veut vraiment que vous soyez le moteur de votre recherche. J’ai tellement appris en travaillant avec Kerry qui fait toujours un effort supplémentaire. »

Récemment, Willa s’est adressée à ses pairs pour partager les résultats préliminaires recueillis dans le cadre de son étude au Café du CRSST, mieux connu sous le nom de CRAfé, un dialogue hebdomadaire sur le thème de la santé et de la sécurité au travail pour les étudiants, les professeurs et les conférenciers de l’industrie affiliés au CRSST.

Willa effectue également un stage rémunéré auprès de la section locale 6500 des Métallurgistes unis. « J’examine les demandes qui ont été rejetées par la CSPAAT et je lie la documentation à ces expériences et à leurs blessures, tant physiques que mentales, et je soutiens les appels auprès de la CSPAAT. » Willa a souligné que, depuis qu’elle s’est jointe au CRSST au printemps dernier, elle est reconnaissante des nombreuses possibilités, y compris le soutien pour l’obtention de ce stage.

Parmi ses activités au CRSST, il faut souligner qu’elle a aidé à offrir un cours de premiers soins en santé mentale aux membres du CRSST. « Je voulais suivre un cours de formation aux premiers soins en santé mentale pour apprendre à réagir aux crises, a-t-elle expliqué. J’ai fait des recherches et j’ai trouvé un très bon cours offert par la Commission de la santé mentale du Canada, mais c’était assez dispendieux. J’ai alors communiqué avec le CRSST pour lui demander s’il serait prêt à aider à payer une partie de ce cours. Nous avons fini par créer ensemble un cours qui donnait à tous les étudiants et professeurs du CRSST la possibilité de suivre cette formation. » Le CRSST a convenu avec Willa que ce cours serait pertinent pour ses membres.

Willa est également capitaine d’équipe pour la prochaine collecte de fonds du CRSST, Pas pour une meilleure vie. Cette marche de financement, qui se tiendra le 29 avril 2023, aidera à soutenir les familles touchées par des blessures, des maladies et des décès au travail. C’est une autre façon de sensibiliser notre communauté aux répercussions d’une tragédie en milieu de travail et à la manière dont nous pouvons travailler ensemble pour éviter que d’autres personnes ne soient blessées ou tuées au travail. Cette année, Pas pour une meilleure vie du CRSST se tiendra le lendemain du Jour de deuil national, une journée qui commémore les travailleurs décédés, blessés ou malades en raison de leur travail.

Willa est également membre du comité des étudiants pour l’action sociale (SSAC), un comité dirigé par des étudiants dont les voix soutiennent l’égalité, la diversité et l’équité sur le campus, en partenariat avec le Bureau de l’équité, de la diversité et des droits de la personne (BEDDP). « Nous promouvons, dit-elle, la sécurité et le respect des droits de la personne pour tous les étudiants. » Elle s’identifie en effet comme une fière membre de la communauté LGBTQ2+ et a indiqué qu’elle avait « une véritable responsabilité envers la communauté queer de prendre ma place en tant qu’universitaire queer et de soutenir cette communauté ».

La prochaine étape pour Willa est de participer au troisième symposium annuel sur la recherche des étudiants des cycles supérieurs de la Laurentienne, un événement d’une semaine offert du 27 au 31 mars qui fait la promotion de leurs recherches.

Réfléchissant à son expérience en tant qu’étudiante de cycles supérieurs, Willa a indiqué que « participer à des choses qui vous intéressent est vraiment important ». Elle estime que les étudiants des cycles supérieurs doivent profiter d’autant de possibilités que possible. « J’ai en effet beaucoup appris. Je n’aime pas l’idée de vouloir essayer quelque chose ou d’avoir une idée et de m’asseoir sur celle-ci. Je préfère faire de mon mieux pour essayer d’en faire une réalité. »

Pour Willa, qui est une leader parmi ses pairs, les possibilités sont illimitées.
 

L’équipe de la Vie en résidence à la Laurentienne présente la 18e édition annuelle du spectacle de mobilisation de fonds « Airbandz for Cancer »

L’équipe de la Vie en résidence à la Laurentienne présente la 18e édition annuelle du spectacle de mobilisation de fonds « Airbandz for Cancer »

Un total de 1 680 $ a été recueilli pour la Fondation du Nord en cancérologie

(23 mars, 2023) - Samedi 11 mars, l’équipe de la Vie en résidence à l’Université Laurentienne a présenté la 18e édition annuelle du spectacle de mobilisation de fonds « Airbandz for Cancer. » Pour cette activité, des groupes d’étudiants exécutent des numéros de danse qu’ils ont chorégraphiés dans le but d’amasser des fonds pour la recherche en cancérologie. Cette année, une somme de 1 680 $ a été remise à la Fondation du Nord en cancérologie

« Deux équipes d’étudiants enthousiastes ont participé au spectacle de cette année, a expliqué la superviseure de la Vie en résidence, Holly Jackson, et c’est celle de Percy Jackson qui a gagné. » Holly et Kiera Lawn, étudiante de 4e année en psychologie du sport, originaire d’Etobicoke (ON), ont organisé le spectacle.

Depuis ses débuts en 2003, « Airbandz » a mobilisé bien plus de 100 000 $ pour la Fondation du Nord en cancérologie, qui apporte un soutien pour le traitement de cancers, les recherches locales et l’achat de matériel important au Centre de cancérologie du Nord-Est Shirley et Jim Fielding, dans la Ville du Grand Sudbury. Le spectacle « Airbandz for Cancer » à l’UL a été lancé par l’étudiant Michael « Dex » Brown.

« Les efforts des étudiants de l’UL à Airbandz ne cessent de nous impressionner, a affirmé Kiera Lawn. Nous sommes tout aussi fiers de l’altruisme témoigné par les participants. C’est un sentiment extraordinaire d’apporter des contributions à la Fondation du Nord en cancérologie. »

En plus des concurrents musicaux, l’équipe de danse de la Laurentienne a épaté les spectateurs de son énergie contagieuse dans l’Auditorium Fraser.

Cette année, les juges, deux anciennes de la Laurentienne, étaient la musicienne folklorique, Cassidy Houston, et la représentante de la Fondation du Nord en cancérologie, Tannys Laughren, qui ont tenu compte de l’originalité, de l’enthousiasme, de la conception de costumes, de l’exécution générale et de la qualité de la synchronisation labiale des équipes. 
 

La communauté universitaire se prépare à la troisième édition annuelle du Symposium de recherche des cycles supérieurs

La communauté universitaire se prépare à la troisième édition annuelle du Symposium de recherche des cycles supérieurs

L’Association des étudiant(e)s aux études supérieures planifie l’activité d’une semaine qui appuie la découverte et la dissémination de la recherche

(22 mars 2023) - Du 27 au 31 mars 2023, la troisième édition annuelle du Symposium de recherche des cycles supérieurs, activité d’une semaine assurant la promotion de la recherche des cycles supérieurs, aura lieu sous le thème « Découverte et dissémination » dans l’Espace d’innovation Fielding à l’Université Laurentienne. L’Association des étudiant(e)s aux études supérieures (AÉES) est le fer de lance de cette activité dirigée par les étudiants avec l’appui du Bureau des études supérieures.

Les communications porteront sur les projets actuels de recherche des personnes inscrites aux programmes de maîtrise et de doctorat. Un jury formé de membres bénévoles du corps professoral choisira les lauréats de prix pour les meilleurs exposés dans chaque faculté : éducation et santé, sciences, génie et architecture, gestion, et arts. Des prix seront aussi décernés pour les meilleures communications en français et avec contenu autochtone. Le jury tiendra compte des techniques de présentation, de l’intérêt du public, de la structure de la recherche, des supports audiovisuels, de l’interprétation et de l’analyse critique.

« Ce Symposium de recherche est organisé par et pour les étudiants des cycles supérieurs, a expliqué la présidente de l’AECS et candidate au doctorat en sciences biomoléculaires, Meghan McCue. Il met en valeur les formidables recherches effectuées par les étudiants à la maîtrise et au doctorat et est une excellente occasion pour eux de partager leurs propositions, progrès et nouvelles découvertes avec la population étudiante et le corps professoral de tous les domaines. »

Les étudiants auront également la possibilité de participer au concours 3MT® (Ma thèse en 3 minutes) de la Laurentienne. Pour ce concours universitaire mis sur pied par l’Université du Queensland, en Australie, les participants font un exposé de recherche de pas plus de trois minutes à un jury. Le défi est de présenter la recherche complexe de manière abordable, intéressante et captivante en utilisant qu’une seule diapositive. La personne qui gagne le concours 3MT® à la Laurentienne est invitée à la finale provinciale qui aura lieu le 17 mai 2023 à l’Université Queen’s.

« Nous sommes très fiers de l’engagement de nos étudiants de deuxième et troisième cycles dont les recherches et activités d’érudition continuent à aborder d’importants enjeux touchant notre communauté, a exprimé la vice-rectrice à la recherche à l’UL, Tammy Eger, Ph.D. Le Symposium de recherche des cycles supérieurs et le concours 3MT® donnent la possibilité inégalée de faire valoir les efforts inlassables des étudiants, souvent accomplis de pair avec des partenaires industriels et communautaires. »

Tout le monde est invité à participer à cette semaine d’activités. Le programme des communications ainsi que les résumés de recherches peuvent être consultés ici.
 

Renouvellement de l’agrément des programmes français de formation à l’enseignement à l’Université Laurentienne

Renouvellement de l’agrément des programmes français de formation à l’enseignement à l’Université Laurentienne

De nouveaux programmes aideront à remédier à la pénurie en personnel enseignant

(21 mars, 2023) - Les diplômés des programmes en éducation de l’Université Laurentienne ont toujours été très recherchés et le sont encore aujourd’hui. Les programmes de langue française offerts par son École d’éducation ont fructueusement renouvelé leur agrément pour une période de sept ans auprès de l’Ordre des enseignantes et enseignants de l’Ontario, ce qui comprend l’agrément de programmes actuels et nouveaux : 

Une incitation exceptionnelle est offerte aux étudiants francophones pour qu’ils s’inscrivent au Baccalauréat en éducation (en plusieurs parties, en ligne, à temps partiel) à la Laurentienne. Ce programme reconnu par l’OEEO vise à épauler les candidats à la profession enseignante en leur décernant, en cours de formation, un certificat de qualification et d’inscription transitoire. Ils y sont admissibles après avoir satisfait des exigences précises, y compris deux semaines de stage.

« Les diplômés des programmes en éducation de la Laurentienne sont en grande demande, a expliqué le doyen intérimaire de la Faculté d’éducation et de santé de la Laurentienne, Patrice Milewski, Ph.D., surtout ceux de nos programmes de formation à l’enseignement en français. L’agrément saura avoir un effet catalyseur pour les personnes qui considèrent une carrière en éducation. »

Depuis de nombreuses années, les conseils scolaires de langue française de la province se soucient de la pénurie en personnel enseignant. Grâce à ces programmes en éducation, la Laurentienne aidera à remédier à cette insuffisance.

« L’Université Laurentienne s’engage à répondre à la pénurie actuelle d’enseignants, a affirmé le conseiller spécial au Bureau des affaires francophones à la Laurentienne, Roch Gallien. Ces programmes nouvellement agréés ne feront pas qu’aider nos étudiants, mais aussi les conseils scolaires français qui cherchent à pourvoir des postes avec du personnel enseignant qualifié. La Laurentienne est bien placée pour appuyer les besoins en enseignants dans le nord de l’Ontario et partout dans la province. »

Quelque 250 étudiants sont actuellement inscrits aux programmes de langue française en éducation à l’Université Laurentienne, qui continue à accepter les demandes d’admission pour l’automne 2023.
 

Une ancienne de la Laurentienne et étudiante de la maîtrise en service social se réjouit d’étudier et de travailler dans le nord de l’Ontario

Une ancienne de la Laurentienne et étudiante de la maîtrise en service social se réjouit d’étudier et de travailler dans le nord de l’Ontario

Chloé Génier s’intéresse vivement aux jeunes, à la santé mentale et à l’éducation

(16 mars, 2023) - Née et élevée à Cochrane (Ontario), petite ville à environ 400 kilomètres au nord du Grand Sudbury, Chloé Génier, étudiante de la maîtrise en service social (MSW), a obtenu le DESO de l’École catholique Nouveau Regard (2016) avant de préparer un diplôme en Community and Justice Services (2018) au Collège Cambrian. Elle a ensuite fait des études de premier cycle à l’Université Laurentienne et y a obtenu un baccalauréat en service social (2022). 

« Mon expérience postsecondaire a été assez particulière, a expliqué Chloé, qui a obtenu à la Laurentienne l’équivalent d’environ un an d’études en crédits grâce à son diplôme du Collège Cambrian. J’ai fait toutes mes études de premier cycle en ligne à l’UL, me gardant sur le qui-vive, car les étudiants de programmes en ligne doivent déterminer leur propre emploi du temps tout en travaillant pour respecter des échéances serrées. »

Tout au long de son parcours postsecondaire, Chloé s’est fait une priorité de garder l’esprit positif. Elle a avoué que, à la fin du secondaire, elle n’était pas convaincue de vouloir aller à l’université. Par contre, après l’obtention du diplôme collégial, elle ressentait le besoin de le faire. « Je savais que je voulais fréquenter la Laurentienne et, même si j’étais un peu nerveuse, un mentor important et membre de ma famille m’a dit que nous avons besoin d’apprendre à accepter les sentiments désagréables. Cette façon de penser m’a aidé à arriver là où je suis aujourd’hui et à continuer à me dépasser et à sortir de ma zone de confort. »

Bien qu’elle ait été attirée par un programme pour lequel elle recevrait des équivalences à la Laurentienne, le fait qu’il soit offert en français était tout aussi important pour elle. « En recevant mon baccalauréat en service social, j’ai reçu aussi mon certificat de bilinguisme, a affirmé cette fière francophone, ce qui a été vraiment génial. » Le certificat reconnaît officiellement la compétence bilingue en français et anglais que recherchent les employeurs de la province.

Quoiqu’elle ait suivi ses cours de premier cycle en ligne, Chloé a noué de bonnes amitiés à la Laurentienne. « Je suis chanceuse d’avoir établi des relations solides avec mes pairs, a-t-elle dit. Mes amis et ma famille sont tellement importants pour moi; ils me motivent à réaliser mon potentiel. » Elle a ajouté que des membres du corps professoral lui ont aussi prêté un appui et que ses expériences de stages la préparent davantage à des possibilités de carrière.

En préparant actuellement sa maîtrise, Chloé travaille comme agente de probation et de libération conditionnelle dans le bureau de Cochrane. « Je suis également travailleuse sociale autorisée, ajoute-t-elle. J’apporte un soutien à tout un éventail de clients, mais m’intéresse surtout à la santé mentale chez les enfants et les jeunes. » Elle devra bientôt choisir le sujet de sa thèse de maîtrise. « Je ne suis pas encore certaine, mais mon penchant pour les jeunes, la santé mentale et l’éducation est un bon point de départ. »

Après qu’elle reçoit sa maîtrise, Chloé espère rester dans la région de Cochrane, car elle tient à cœur le nord de l’Ontario et aime apporter des contributions à sa communauté. « Je m’ouvre aux possibilités et j’ai hâte de voir ce que me réserve l’avenir. »
 

L’Université de l’EMNO et l’Université Laurentienne célèbrent une nouvelle entente de recherche.

L’Université de l’EMNO et l’Université Laurentienne célèbrent une nouvelle entente de recherche.

Les universités s’unissent pour attirer davantage de fonds de recherche dans le nord de l’Ontario.

(15 mars, 2023) - La recherche en santé vitale dans le Nord continuera, et prendra peut-être de l’expansion, grâce à une nouvelle entente entre l’Université de l’EMNO et l’Université Laurentienne.

Les universités ont négocié une nouvelle entente de recherche à la suite de l’établissement de l’Université de l’EMNO à titre de première université autonome de médecine du Canada en 2021.

« Nos établissements ont toujours collaboré étroitement dans la recherche en santé dans le Nord, a déclaré Sarita Verma, rectrice, vice-chancelière et PDG de l’Université de l’EMNO. Nous avons l’occasion de continuer à tirer parti de nos atouts respectifs pour mieux répondre aux besoins du nord de l’Ontario. »

L’Université Laurentienne collabore avec l’Université de l’EMNO et l’appuie depuis sa création. Alors que l’Université de l’EMNO joue un rôle vital dans la recherche médicale et clinique dans le Nord et les zones rurales, la Laurentienne possède les systèmes et soutiens pour permettre un niveau de recherche si élevé.

« La diversité des intérêts et de l’expertise de la Laurentienne en recherche permettra à cette collaboration de dépasser la recherche traditionnelle en santé, a indiqué la rectrice et vice-chancelière par intérim de l’Université Laurentienne, Sheila Embleton. Exploiter les connaissances des chercheurs en affaires, dans les arts et même dans des disciplines comme le génie apportera de nouvelles possibilités. »

« Nous partageons un intérêt à renforcer la capacité de recherche et à attirer davantage de fonds de recherche dans le nord de l’Ontario, a expliqué David Marsh, vice-doyen à l’innovation en recherche et relations internationales à l’Université de l’EMNO. La poursuite de la recherche avec des partenaires de recherche en santé alignés est indispensable si nous voulons contribuer à résoudre les problèmes de soins de santé dans le nord de l’Ontario et au-delà. »

« C’est pour nos universités et la population du Nord, a ajouté la vice-rectrice à la recherche de l’Université Laurentienne, Tammy Eger. En travaillant ensemble, les chercheurs et les étudiants de l’Université de l’EMNO et de l’Université Laurentienne pourront aborder de nombreuses questions vitales de recherche soulevées par des partenaires communautaires et sectoriels. »
 

Au sujet de l’Université de l’EMNO :
L’Université de l’EMNO est la première université autonome de médecine du Canada et une des stratégies les plus réussies de formation de main-d’œuvre en santé dans le nord de l’Ontario. Ce n’est pas uniquement un établissement de formation en médecine. Établie expressément pour répondre aux besoins du nord de l’Ontario en matière de santé, en plus d’encourager l’accès équitable aux soins, elle contribue au développement économique de la région. L’Université de l’EMNO compte sur l’engagement et l’expertise des gens du nord de l’Ontario pour former des professionnels de la santé aptes à exercer dans des communautés autochtones, francophones, rurales, éloignées et insuffisamment servies. Axée sur la diversité, l’inclusion et la défense des intérêts, l’Université de l’EMNO est un organisme primé et socialement responsable réputé pour son modèle innovateur de formation et de recherche régionalisées faisant appel aux communautés.

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