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L’Université Laurentienne annonce la nomination d’une nouvelle vice-rectrice aux finances et à l’administration

L’Université Laurentienne annonce la nomination d’une nouvelle vice-rectrice aux finances et à l’administration

Mme Sylvie Lafontaine est une dirigeante chevronnée comptant des dizaines d’années d’expérience et divers titres en matière de comptabilité

17 octobre 2023 – L’Université Laurentienne est heureuse d’annoncer la nomination de Mme Sylvie Lafontaine à titre de nouvelle vice-rectrice aux finances et à l’administration. Mme Lafontaine assurera un leadership stratégique, financier et opérationnel à ce moment particulièrement important de la transformation à l’Université.

Mme Lafontaine est une cadre bilingue possédant plus de 25 ans d’expérience dans des organisations des secteurs public et privé. Elle est actuellement directrice principale de l’aide à la prise de décision – Planification financière et gestion des ressources à la Chambre des communes, à Ottawa. Elle a dirigé la mise en œuvre d’un modèle organisationnel d’aide à la prise de décision, ce qui s’est traduit par le plan stratégique triennal de la Chambre, y compris la livraison des budgets 2023-2024 deux mois plus tôt afin de faciliter un démarrage plus rapide des initiatives stratégiques. Elle a également dirigé la création de processus standardisés pour accroître la cohérence et la transparence de la budgétisation et des rapports. Mme Lafontaine occupait précédemment le poste de directrice administrative à l’Université d’Ottawa, où elle a dirigé la consolidation des services aux entreprises soutenant les secteurs de la finance et de l’administration.

Elle a également occupé les postes de directrice principale de la Stratégie au Bureau du président et chef de la direction de la Monnaie royale canadienne, et directrice financière et vice-présidente, Services généraux, au Conseil canadien des normes. Elle a aussi occupé des postes au sein de la Société canadienne des postes et à titre de sous-ministre adjointe à Service Canada. Mme Lafontaine est une comptable professionnelle agréée (CPA), comptable agréée (CA) et diplômée du programme de baccalauréat en administration des affaires de l’Université du Québec en Outaouais (1983).

« Le Comité de recrutement a rapidement constaté les connaissances approfondies de Mme Lafontaine en matière d’opérations financières et administratives. Elle a fait preuve d’idées convaincantes et créatives, d’authentiques compétences en matière d’établissement de relations et d’un bon jugement. Elle est exactement le genre de leader hautement compétent et intègre dont la communauté de la Laurentienne a besoin, a déclaré Mme Sheila Embleton, rectrice et vice-chancelière par intérim et présidente du Comité de recrutement. J’ai bien hâte de travailler avec elle alors que nous poursuivons notre processus de transformation. »

« Je crois profondément à l’importance et au potentiel de l’enseignement postsecondaire, a déclaré Mme Lafontaine. La Laurentienne est particulièrement unique en raison de son mandat bilingue et triculturel. Cet établissement est spécial et j’ai hâte de faire partie de l’équipe qui poursuivra cet héritage d’excellence universitaire et communautaire. »

La Laurentienne désire exprimer sa gratitude à l’actuel vice-recteur intérimaire aux finances et à l’administration de la Laurentienne, M. Michel Piché, qui remplit admirablement ce rôle depuis l’automne 2021. Il importe aussi de remercier le Comité de recrutement de sa collaboration avec KBRS dans le cadre de cette nomination importante. Les membres du Comité étaient les suivants : Dominic Beaudry, Brenda Brouwer, Michel Delorme, Tammy Eger, Sheila Embleton, Tom Fenske, Nadia Mykytczuk, Tanya Shute et Meredith Teller.

Mme Lafontaine entrera en fonction le 30 octobre 2023.

Un projet de recherche de la Laurentienne est mis en valeur sur la scène provinciale

Un projet de recherche de la Laurentienne est mis en valeur sur la scène provinciale

Le professeur Steven Beites et le doctorant Ethan McDonald participent à une présentation à Queen’s Park

(16 octobre 2023) - Professeur adjoint à l’École d’architecture McEwen de l’Université Laurentienne, Steven Beites figurera parmi les chercheurs participant à la première activité organisée à Queen’s Park par le Conseil des universités de l’Ontario depuis la pandémie : « Un plan pour la prospérité : Alimenter la chaîne d’approvisionnement de la fabrication avancée ».

La réception, qui aura lieu lundi 16 octobre, de 17 h à 19 h, donnera l’occasion aux chercheurs de s’entretenir avec les leaders provinciaux tout en mettant en évidence le rôle des universités dans la création d’un Ontario plus fort.

À Queen’s Park, le professeur Beites, accompagné du doctorant Ethan McDonald, fera valoir ses recherches visant à affronter la crise du logement abordable, surtout dans le nord de l’Ontario, en mettant au point des processus automatisés de construction et des montages modulaires préfabriqués des plus innovateurs et à faible émission de carbone. Il captivera l’intérêt des députés provinciaux, des ministres, du personnel ministériel et d’autres intervenants grâce à un exemple de processus automatisé de construction, à des affiches sur sa recherche et à des prototypes des nouveaux montages préfabriqués.

Les résultats de recherche sont le produit de travail dans les ateliers d’études supérieures de M. Beites et de l’apport d’une équipe transdisciplinaire incluant Marc Arsenault de l’École de génie Bharti ainsi que Blake Dotta et Reza Foruzanmehr de l’École des sciences naturelles.

En 2021, l’équipe de recherche a reçu une subvention Exploration du Fonds Nouvelles frontières en recherche pour son projet intitulé « Human-Robot Interaction and Collaboration as a Catalyst for Creative Economy, Community Outreach and Emerging Design-Build Solutions in Ontario’s North » (« Interaction et collaboration homme-robot en tant que catalyseur de l’économie créative, du rayonnement communautaire et des solutions de conception-construction émergentes dans le nord de l’Ontario »).

Pleins feux sur les étudiants : Comment fait-on pour devenir géologue?

Pleins feux sur les étudiants : Comment fait-on pour devenir géologue?

L’exploration postsecondaire de Nia Gauthier

(5 octobre 2023) – Il va de soi qu’il est nécessaire d’entreprendre un processus assez complexe pour découvrir un gisement de minerai. On peut en dire autant pour la découverte d’une passion parmi les nombreux choix postsecondaires. L’étudiante Nia Gauthier a en fait creusé sous la surface pour se tracer un parcours vers la carrière de géologue.

Originaire de Chapleau (Ontario) et diplômée de l’École secondaire du Sacré-Cœur (2018), Nia est actuellement inscrite au programme de Master of Geology avec thèse de recherche à l’Université Laurentienne. La titulaire de deux diplômes postsecondaires en prépare effectivement un troisième.

Au départ, consciente de l’abondance de carrières dans le Grand Sudbury, Nia avait l’intention de suivre le programme de génie à la Laurentienne, bien qu’elle doutait avoir obtenu les notes nécessaires aux cours de sciences au secondaire. « Je ne pensais pas être admise à l’université, a-t-elle dit, et me voici maintenant à commencer mes études de maîtrise, chose que je croyais impossible. »

Ne se laissant pas dissuader, elle a suivi alors le programme de deux ans de Technologie du génie civil et minier au Collège Boréal afin de rehausser ses notes. « Fréquenter d’abord le collège, a-t-elle expliqué, m’a permis de combler les lacunes de ma compréhension depuis l’école secondaire et d’acquérir les outils dont j’avais besoin pour les études universitaires. »

Pendant son séjour collégial, Nia a découvert sa passion pour la géologie. Une fois initiée à la discipline, elle voulait continuer à en apprendre, surtout en matière de cartographie souterraine et d’exploration sur le terrain, domaines qui l’intéressent tout particulièrement.

Pendant les étés de 2018 à 2020, elle a travaillé à Borden Gold, dans sa ville natale, à titre de technicienne à prélever des échantillons aux côtés de géologues dans la carothèque. En septembre 2020, heureuse de constater que la Laurentienne offre un programme bien connu en sciences de la Terre avec divers cours sur le terrain, elle s’est préparée à la prochaine étape de sa formation et a amorcé ses études de baccalauréat.

« Beaucoup de membres du corps professoral à la Laurentienne tiennent à cœur la réussite des étudiants, » a exprimé Nia. Entre autres, Tobias Roth, Lynn Bulloch et Pedro Jugo, Ph.D. ne sont que quelques exemples de professeurs qui ont eu une incidence positive sur son expérience universitaire. 

Pendant ses études de premier cycle en sciences de la Terre, Nia a été membre du Club des sciences de la Terre, ce qui lui a permis de participer aux excursions annuelles d’un week-end à Bancroft (Ontario) pour faire la collecte de minéraux. « Ces voyages m’ont beaucoup aidé à connaître d’autres étudiants, a-t-elle expliqué, tout en faisant quelque chose qui nous passionnait tous. » En outre, le Centre Willet-Green-Miller a assuré à Nia et aux autres étudiants de géologie un milieu où ils se sentaient chez eux.

Au cours de l’été 2021, elle a acquis de l’expérience d’exploration sur le terrain en travaillant pour SPC Nickel, jeune entreprise sudburoise, à la recherche de minéraux renfermant du cuivre, du nickel et des éléments du groupe du platine (EGP). Plus tôt cette année, un membre du corps professoral de la Laurentienne à informer Nia d’un poste en exploration sur le terrain avec Frontier Lithium, dans le nord-ouest de l’Ontario. Elle a ainsi passé l’été dernier à son emploi à la recherche de pegmatites en lithium, césium et tantale (LCT).

Nia a hâte d’obtenir sa maîtrise en deux ans et espère pouvoir voyager ensuite en travaillant en géologie de production ou d’exploration. Elle envisage également la possibilité de préparer un doctorat à l’avenir. Cette étudiante illustre très bien les raisons pour lesquelles il faut suivre sa passion et ne jamais abandonner, même si la trouver, cette passion, est parfois aussi exigeant que de découvrir un gîte de nickel.

L’Association de chimie de la Laurentienne est reconnue pour ses contributions exceptionnelles

L’Association de chimie de la Laurentienne est reconnue pour ses contributions exceptionnelles

La Société canadienne de chimie décerne son Prix de mérite pour une section étudiante de 2023

(26 septembre 2023) – L’Association de chimie de la Laurentienne a reçu une mention honorable au Prix de mérite pour une section étudiante 2023 de la Société canadienne de chimie.

Depuis sa fondation en 2020, l’Association de chimie de la Laurentienne est dirigée par des étudiants du premier cycle ayant des liens avec la chimie. Les membres apportent aux étudiants un soutien aux études en leur offrant des documents de revue pour les examens de chimie de première année, un tutorat dans un large éventail de cours à fondement scientifique, un cours intensif en chimie (« Chemistry Crash Course Bootcamp ») ainsi que des activités sociales d’études en sciences et génie présentés sur le campus pendant l’année universitaire. En outre, il organise une série de colloques qui transmet des renseignements professionnels d’experts locaux ainsi que l’activité annuelle de collecte de fonds pour la Banque alimentaire de Sudbury en partenariat avec d’autres clubs étudiants de l’École des sciences naturelles qui a amassé un total de 5 665 $ au fil des ans.

« Notre objectif est d’offrir une programmation de haut calibre pour subvenir aux besoins scolaires et sociaux de nos étudiants à la Laurentienne, a expliqué le président de l’Association de chimie de la Laurentienne, Josh Hubert. La merveilleuse communauté de notre campus nous inspire quotidiennement à évoluer et à nous améliorer de toutes les façons possibles. »

Tous les ans, l’Institut de chimie du Canada présente des prix étudiants afin de faire valoir les contributions exceptionnelles des étudiants au palier postsecondaire. Depuis 1994, le Prix de mérite pour une section étudiante est décerné à des associations étudiantes afin de souligner et d’encourager l’initiative et la créativité de leur programmation en chimie.

La mention honorable au Prix de mérite pour une section étudiante de la Société canadienne de chimie est une belle réalisation pour l’Association de chimie de la Laurentienne nouvellement établie. Celle-ci est reconnaissante envers ses nombreux partenaires à la Laurentienne, tout particulièrement le corps professoral en chimie, dont MM. Eric Gauthier, Louis Mercier, Jeffrey Shepherd et Stefan Siemann qui ont tous apporté des contributions importantes à ses initiatives au cours des trois dernières années.

L’Association de chimie de la Laurentienne accueille toujours les nouveaux membres qui veulent y participer. Pour obtenir d’autres renseignements à son sujet, les personnes intéressées peuvent écrire à lac-alc@laurentian.ca.

Les universités Trent, Lakehead, Laurentienne et Nipissing concluent un protocole d’entente pour accroître l’incidence des activités de recherche et de commercialisation

Les universités Trent, Lakehead, Laurentienne et Nipissing concluent un protocole d’entente pour accroître l’incidence des activités de recherche et de commercialisation

Les quatre universités se partagent des ressources, des installations et de l’expertise et rehaussent les contributions postsecondaires au développement économique en Ontario

Jeudi 24 août 2023, à Peterborough 

Quatre universités ontariennes, à savoir l’Université Trent, l’Université Laurentienne, l’Université Lakehead et l’Université Nipissing, ont conclu un protocole d’entente (PE) qui rehaussera la collaboration et le partage de ressources pour les initiatives de recherche et d’innovation afin de favoriser le développement économique dans la province.

« Trent se réjouit de participer à ce partenariat avec des universités qui sont très conscientes des possibilités émergentes et inexploitées de relier diverses parties de l’Ontario, a dit le directeur principal de la recherche et de l’innovation à l’Université Trent, Christopher Rooney. Nous reconnaissons que la collaboration postsecondaire en recherche et innovation nous procurera plus d’avantages. Nous serons en mesure de partager plus efficacement de l’expertise et des ressources de façon à rehausser généralement les initiatives de recherche et de commercialisation. »

Le PE aborde trois domaines clés de collaboration : soutien pour la recherche et la commercialisation, partage de connaissances, accès à l’expertise professionnelle et aux installations modernes, et partenariats pour les écosystèmes.

Les quatre universités concentreront tout particulièrement leurs efforts et leur attention sur les projets touchant la propriété intellectuelle et l’entrepreneuriat, la gestion et la sécurité des données de recherche, l’élaboration de politiques, la mise au point de cours/programmes d’études, le réseautage et les symposiums collectifs ainsi que les relations gouvernementales, avec, entre autres, les ministères provinciaux et fédéraux ainsi que les organismes subventionnaires.

Jusqu’à présent, les quatre universités se sont alliées afin de créer la Grappe d’innovation des régions rurales et du Nord axée sur les minéraux critiques, l’écotechnologie et les technologies électriques à batterie. Elles ont reçu un total de 294 000 $ de Propriété intellectuelle Ontario (PIO) pour ce projet pilote auquel on a embauché un agent de liaison avec l’industrie qui appuiera leurs efforts de commercialisation dans les principaux domaines de recherche de la grappe.

« Il s’agit d’un bon exemple du type d’initiatives pour lesquelles le PE sera une force motrice, a ajouté M. Rooney. Le financement de PIO ira plus loin, car les quatre universités travaillent ensemble pour investir les fonds de façon à apporter de l’expertise, des ressources et des programmes à tous les campus en visant un objectif commun. L’initiative aidera à instruire et à former des étudiants tout en trouvant d’autres possibilités de collaborer. »

« Ayant travaillé auparavant avec Lakehead, Nipissing et Trent en tant que membres d’un réseau de commercialisation, a expliqué la directrice de la recherche et de l’innovation à l’Université Laurentienne, nous avons hâte de renouer avec ces partenaires afin d’explorer les possibilités de partage de ressources. Nous pourrons ainsi miser sur l’expertise dans nos établissements afin d’optimiser l’incidence de la recherche et de la commercialisation de nos universités et de nous permettre de nous adapter rapidement aux exigences en constante évolution en matière de politique de recherche. »

« L’Université Lakehead attend avec intérêt de voir rehausser les connaissances en matière de propriété intellectuelle dans les établissements et les écosystèmes, améliorer la connectivité entre les intervenants et stimuler le développement économique en collaborant, a exprimé la directrice du développement de l’innovation à Lakehead, Ellen MacKay. Notre université est bien placée pour ce partenariat, car nous avons des forces de recherche et de développement dans le domaine des minéraux critiques grâce à l’embauche de deux nouveaux titulaires de chaires de recherche sur le traitement et l’exploration de minéraux critiques ainsi qu’au travail suivi de notre Centre of Excellence for Sustainable Mining and Exploration. »

« L’Université Nipissing se fait un plaisir de collaborer encore une fois avec la Laurentienne, Trent et Lakehead pour avancer les programmes de recherche et d’innovation partout dans la province, a dit la vice-rectrice associée à la recherche, à l’innovation et aux études supérieures à Nipissing, Barbi Law, Ph.D. Le partage de connaissances et de ressources entre nos établissements jettera les bases pour la création d’autres partenariats et rehaussera généralement nos efforts en matière d’innovation. »

L’Université Laurentienne nomme une nouvelle vice-rectrice associée aux affaires francophones

L’Université Laurentienne nomme une nouvelle vice-rectrice associée aux affaires francophones

Natalie Poulin-Lehoux possède 25 ans d’expérience en matière d’éducation francophone

(22 août 2023) – Une autre cadre dirigeante chevronnée s’est jointe à l’Université Laurentienne : Natalie Poulin-Lehoux est nommée au rôle de vice-rectrice associée aux affaires francophones. Ayant acquis plus de 25 ans d’expérience, elle comprend et apprécie pleinement le rôle de l’enseignement postsecondaire en français dans le nord de l’Ontario.

Dans ses fonctions les plus récentes de directrice du Bureau de la vice-présidence à l’enseignement au Collège Boréal, elle gérait un dossier de responsabilités comprenant l’apprentissage par l’expérience, l’élaboration de politiques et la transformation organisationnelle.

« Puisque nous sommes une université bilingue, il revêt une grande importance de renforcer notre capacité grâce à une solide direction au Bureau des affaires francophones (BAF), a expliqué la vice-rectrice aux études, Brenda Brouwer, Ph.D. En effet, Natalie est une excellente candidate pour ce rôle puisqu’elle apporte des qualités et valeurs ainsi qu’une expérience à travailler en milieu postsecondaire et à cultiver des relations et des partenariats. Nous attendons avec impatience qu’elle se joigne à notre équipe, mise sur les récentes réussites du BAF à élargir les programmes et services de langue française et crée de nouvelles possibilités pour l’avenir. »

Mme Poulin-Lehoux a exercé les rôles d’experte-conseil en éducation, d’enseignante à divers paliers (y compris à titre de chargée de cours à l’Université Laurentienne) et de conceptrice pédagogique et de programme. Grâce à ses expériences, elle comprend en profondeur toutes les étapes du cheminement étudiant.

Une diplômée de l’École des sciences de l’éducation de l’Université Laurentienne, elle est titulaire d’une maîtrise en éducation de l’Université d’Ottawa et d’un baccalauréat en mathématiques et informatique de l’Université de Waterloo. 

L’Université Laurentienne offre actuellement 34 programmes de langue française et compte plus de 2 300 membres francophones de sa population étudiante.

Mme Poulin-Lehoux entrera en fonction le 18 octobre 2023.

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne annonce trois nouvelles nominations

Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne annonce trois nouvelles nominations

Des professionnels expérimentés et riches de connaissances se joignent au Conseil des gouverneurs

(15 août 2023) - Le Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne est heureux d’accueillir trois nouveaux membres, à savoir MM. Brian Ramakko, Jean-Pierre (Jay) Barbeau et Kevin Eshkawkogan. Les nominations de ces membres ont été confirmées lors de la réunion du Conseil des gouverneurs du 13 juillet 2023 pour des mandats de trois ans.

« Nous sommes ravis que trois nouveaux membres de la communauté mettent à profit leur expérience et leurs connaissances exceptionnelles pour appuyer l’Université Laurentienne dans son cheminement, a déclaré le président du Conseil des gouverneurs de l’Université Laurentienne, M. Vernon Cameron. Avec les nominations de Brian, Jean-Pierre et Kevin, nous sommes convaincus que l’Université Laurentienne est bien placée pour continuer à assurer son leadership par la transparence, la collaboration et le respect. »

À propos de Brian Ramakko

Brian Ramakko est propriétaire de Ramakko’s Source for Adventure et compte près de 40 ans d’expérience dans la gestion et les activités d’entreprise. Il est actuellement membre du Conseil et président de la collecte de fonds de Manitoulin Streams et coprésident de la gestion des pêches (zone 10). Il est également membre du Conseil de la Finlandia SISU Charitable Foundation et appuie le comité des membres du Centre régional des affaires de Sudbury. Il a aussi été membre du Club Rotary de Sudbury qui lui a conféré le Prix Paul-Harris.

À propos de Jean-Pierre (Jay) Barbeau

Jean-Pierre Barbeau est le directeur général (DG) de la Municipalité de Nipissing Ouest, où il fournit un leadership stratégique pour l’administration globale des services municipaux depuis plus de 20 ans. Il possède une connaissance et une expérience approfondies de la gouvernance du secteur public, de l’élaboration de politiques, de la planification stratégique et de l’analyse comparative, de la comptabilité et des finances, de la gestion des ressources humaines et des relations de travail ainsi que de la gestion des opérations. Il est diplômé de l’Université Laurentienne et se passionne pour les relations avec les diplômés.

À propos de Kevin Eshkawkogan

Kevin Eshkawkogan, aussi appelé Giigidoh Ninii (« L’homme qui parle au nom du peuple »), est un Anishinabek de l’île Manitoulin avec des liens familiaux étroits à Aundeck Omni Kaning, M’Chigeeng et Wikwemikong. Il est la force motrice et président et directeur général (PDG) de l’Association touristique autochtone de l’Ontario (ATAO) et a joué un rôle fondamental dans la croissance de l’industrie touristique autochtone aux niveaux local, régional, provincial et national. Il est actuellement membre du Conseil de direction de Science Nord et de Terre dynamique; siège au Conseil de direction de Tourisme sportif Canada; est coprésident du comité d’équité, de diversité et d’inclusion de l’Association de l’industrie touristique de l’Ontario; et siège au comité de direction de l’Association de l’industrie touristique de l’Ontario et de l’Institut des politiques du Nord. Il a servi de nombreuses organisations à divers titres, notamment à titre de membre élu du Conseil de la Première Nation M’Chigeeng, membre du groupe de travail pour le transport dans le nord de l’Ontario, membre de la table de création de richesse pour Affaires autochtones Ontario, président du Manitoulin Hotel & Conference Centre, vice-président de Destination Northern Ontario, membre contributeur de l’Indigenous Tourism Collaborative of the Americas et membre du comité consultatif de Sentiers transcanadiens.

Les cours autochtones axés sur les terres offrent des expériences qui changent la vie des participants

Les cours autochtones axés sur les terres offrent des expériences qui changent la vie des participants

Les étudiants participent à une expérience d’apprentissage pratique entourée par la nature, la culture et les enseignements autochtones

(10 août 2023) - Tous les apprentissages ne se font pas en salle de classe, et le 23 juillet dernier, des étudiants de divers programmes de premier cycle de l’Université Laurentienne ont participé à un cours sur les terres autochtones au N’Swakamok Frienship Centre. Ce cours d’immersion Anishnaabemowin de huit jours a permis aux étudiants d’apprendre une langue et de vivre pleinement la culture Anishinaabe. Enraciné dans l’apprentissage des langues, le cours est conçu pour identifier et décrire les enseignements de base de la direction Sud/Zhaawanong en utilisant la langue Anishinaabemowin.

La prestation et le succès de ce cours étaient appuyés par de nombreux membres dévoués de la communauté de la Laurentienne, à savoir les enseignants du cours Eli Lorney Bob, Maajiijwan Petahtegoose et Paula Potts, ainsi que l’étudiante de cycles supérieurs, Renee Lemoyne.

Le cours comprenait l’apprentissage quotidien de la langue, une variété d’enseignements et de cérémonies (lever du soleil, allumage du feu, entretien du feu, tambours, etc.), des cercles de partage ainsi que des compétences de survie en plein air de base comme la cuisine, l’allumage du feu et la pêche. Tout au long du cours, les étudiants étaient jumelés et avaient la responsabilité de veiller sur le feu sacré. Toute la journée et toute la nuit, par blocs horaires de deux heures, les étudiants gardaient le feu avec un œil attentif (avec bien sûr l’obtention des autorisations appropriées).

Originaire de la Première Nation Kebaowek, à Kipawa, Québec, Renee Lemoyne est titulaire d’un baccalauréat en Biologie biomédicale de l’UL, est inscrite actuellement à la Maîtrise en relations autochtones et est membre du personnel du Centre autochtone de partage et d’apprentissage (CAPA) en tant que coordonnatrice des transitions des étudiants autochtones. Avoir participé à la prestation du cours en tant qu’assistante (Shkaabewis), Renee était responsable d’un large éventail d’éléments importants. En tant que Shkaabewis, elle répondait aux besoins de tous les participants comme la nourriture, le propane, les toilettes, la sécurité des étudiants ainsi que le soutien émotionnel.

« Cela a une incidence sur la vie, a déclaré Renee. Le cours est primordial pour les gens qui y vont et en profitent au maximum. C’est le moment de lâcher prise et d’apprendre à s’aimer, à se débarrasser de la honte corporelle, à se sentir libre de faire ce qu’il faut faire dans la vie et à s’éloigner de tout jugement. »

L’apprentissage de la matière de cours s’exprime à la fois par des enseignements et des expériences. « Le fondement du style d’enseignement est que la langue anishinaabemowin est une langue émotionnelle, d’amour et d’esprit. » Renée souligne l’importance des cérémonies conformément aux enseignements de la langue. « S’engager dans des activités culturelles basées sur la direction saisonnière efface toutes les émotions que nous ressentons afin que nous puissions laisser entrer ce langage émotionnel et avoir de l’espace pour lui. »

La passion de Renee pour l’incidence et les apprentissages des cours terrestres l’a influencée sur les plans personnel et universitaire. « Ma thèse de maîtrise indique que suivre ce cours améliore votre santé globale. » Renee envisage de donner suite à son hypothèse de recherche sur le prochain cours terrestre qui devrait avoir lieu en août.

« Chaque soir, nous nous sommes assis, avons joué du tambour et chanté et avons enseigné des chansons. C’est pour le moins magique. »
Pour obtenir de plus amples renseignements sur l’inscription à ces cours, veuillez consulter la Liste des cours universitaires autochtones de l’Université Laurentienne.

Pleins feux sur les étudiants - Cole Giffin

Pleins feux sur les étudiants - Cole Giffin

Après dix ans, ce consultant en psychologie du sport est maintenant prêt pour la prochaine étape.

Pleins feux sur les étudiants - Cole Giffin

(9 août 2023) - Originaire de Kingston, en Ontario, Cole Giffin a commencé son cheminement à l’Université Laurentienne il y a près de dix ans et est maintenant en bonne voie d’obtenir son doctorat cette année - tout cela à la Laurentienne.

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Cole s’est dit attiré par l’Université Laurentienne non seulement pour le diplôme de premier cycle en Psychologie du sport, mais pour la nature et les activités de plein air qui sont offertes toute l’année à Sudbury. « Je pense que vous devez apprendre à profiter de l’hiver et je suis très reconnaissant que Sudbury m’ait appris cela. »

« M’éloignant de chez moi pour la première fois, je ne m’attendais pas à ce que la Laurentienne soit si précieuse en matière d’amitiés que j’ai nouées. Je reviens tout juste d’une autre petite rencontre avec les gens que j’ai rencontrés il y a dix ans et qui vivent à proximité. Il y a tellement d’attributs positifs que la Laurentienne peut favoriser si vous êtes ouvert à ces expériences. »

Cole a été à bien des égards un membre actif de la communauté de la Laurentienne au cours de la dernière décennie. Il est un étudiant, un athlète Voyageur, un mentor, un entraîneur, un chercheur, un enseignant et un ami.

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Motivé par son rêve de travailler avec des athlètes, Cole a décidé de parler avec Robert Schinke, Ph.D., l’un de ses professeurs de premier cycle, de ses prochaines étapes après ses études de premier cycle. Leur conversation l’a conduit à entreprendre une maîtrise et un doctorat sous sa supervision. M. Schinke décrit fièrement Cole comme « l’un de ces doctorants exceptionnels capables de diriger d’autres étudiants de cycles supérieurs dans le laboratoire, de converser avec les responsables des plus hauts niveaux du sport, comme le Comité international olympique, d’enseigner aux étudiants, d’obtenir un financement des trois conseils et d’être un auteur dans les principales revues sur les facteurs d’impact. Sa réputation s’étend rapidement sur la scène internationale. Il représente ce que je crois être la prochaine génération de consultants internationaux de premier plan en psychologie du sport. Il est d’un abord facile, curieux, coopératif et d’une grande intégrité. Il témoigne de l’excellence de cette université qui l’a formé du premier cycle au doctorat, et il nous représentera bien sur la scène internationale. »

Le grand succès de Cole au fil des ans n’a toutefois pas été facile. « En troisième année du baccalauréat, j’ai décidé qu’il fallait prouver que je pouvais le faire et que je voulais travailler avec des athlètes. Je ne savais toutefois pas ce que je devais faire pour y arriver. Je me suis alors dit que je ferais mieux d’avoir de très bonnes notes et de montrer que je peux travailler avec des athlètes et que je suis assez discipliné pour le faire. Mon diplôme de premier cycle a constitué une phase de découverte de soi et m’a convaincu que c’est à moi de suivre le chemin ou d’en tracer un nouveau. Vous rencontrerez des gens qui sont prêts à vous guider et vous devez simplement croire qu’ils veillent sur vous. S’ils sont déjà passés par là, ils ont une bonne idée de la manière d’y parvenir. »

C’est pendant cette période d’introspection que Cole a rencontré M. Schinke pour la première fois. « Il est vraiment inspirant. Il a travaillé avec des athlètes et a été un mentor qui a réaffirmé que vous avez toujours cette capacité d’être ce que vous voulez être. Vous devez avoir une vision de ce que vous voulez être. Je pense que certains étudiants de premier cycle ne comprennent pas le niveau de recherche qui existe à la Laurentienne et il est important de réaliser qu’il y a des scientifiques de classe mondiale à cette université. Trouvez-les et apprenez à les connaître et votre cheminement sera en quelque sorte tracé pour vous si vous êtes prêt à vous mettre au travail. »

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En réfléchissant aux premières années de son diplôme de premier cycle, Cole a déclaré qu’il était important de pouvoir se pardonner. « Je suis capable de regarder en arrière, de tirer des conclusions et de dire que, même si tu as été dur avec toi, il importe de se pardonner si tu regardes où tu en es maintenant. C’est là que la croissance entre en jeu, car tu enseignes maintenant ce que tu voulais faire. »

« Je pense que pour les étudiants qui arrivent, il est important de trouver des moyens de se connecter avec d’autres étudiants. J’ai eu beaucoup de chance parce que j’ai noué des liens avec d’autres joueurs de l’équipe de soccer et surtout avec les personnes de mon étage en résidence. Essayez de sortir de votre zone de confort et essayez d’établir des liens, que ce soit avec vos colocataires ou les personnes faisant des activités intramurales. »

« Fixez-vous un objectif. Avancez d’une manière ou d’une autre et n’ayez pas peur de regarder en arrière et de vous rendre compte que vous êtes ici à cause de votre passé. »

En analysant les connaissances acquises tout au long de ses études et de ses recherches, l’objectif final de Cole est de pouvoir « faire en sorte que ma science informe ma pratique et que ma pratique informe ma science. À partir de là, créez des recherches ne reposant pas seulement sur de grandes idées théoriques, mais sur des idées qui viennent d’athlètes que je peux réellement appliquer à ceux-ci. De cette façon, je peux enseigner à d’autres praticiens comment appliquer cela avec des athlètes. Le praticien et le chercheur vont de pair. »

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Passionné de soccer dès son plus jeune âge, Cole se souvient avoir été « immédiatement accueilli par l’équipe de soccer » lors des essais et avoir fait partie de celle-ci lors de sa première année à l’université. Cole travaille maintenant depuis six ans avec l’équipe masculine de soccer de l’UL en tant que consultant en psychologie et utilise ce qu’il a appris tout au long de ses études pour aider l’équipe actuelle. « Pour mettre cela en perspective, nous avons six entraîneurs de l’équipe qui nous aident. Ils sont tous diplômés de la Laurentienne et ont fait partie du programme de soccer. Cela nous rend différents des autres équipes que j’ai vues. » Cole indique qu’une partie de sa motivation pour entraîner l’équipe est d’aider à « combler les lacunes » et d’améliorer l’équipe depuis qu’il était étudiant et joueur. Ses heures de bénévolat à travailler avec l’équipe masculine de soccer et l’équipe féminine de basketball l’ont aidé à mettre ses études en pratique et à accumuler suffisamment d’heures pour devenir consultant certifié en psychologie du sport.

« Le soccer est la principale raison pour laquelle je suis à la Laurentienne et la principale raison pour laquelle je suis toujours ici. Tout tourne autour de ce sport. Une fois diplômé, Cole indique qu’il a l’intention de continuer à travailler avec l’équipe de soccer des Voyageurs aussi longtemps qu’il le pourra. Ils m’ont entraîné et c’est maintenant à mon tour de le faire. J’aimerais continuer ces liens avec le Service des sports interuniversitaires. »

L’un des futurs objectifs de Cole est de déménager au Royaume-Uni pour poursuivre sa carrière dans une équipe de football (soccer). « Je pense que ce serait intéressant de commencer dans une équipe de 8e ou de 9e division, puis de voir si cela peut se traduire au sein d’une équipe de première division. »

« La communauté de l’Université Laurentienne restera à jamais dans mon cœur. »

L’Université Laurentienne nomme de nouveaux membres du corps professoral sur la voie de la permanence

L’Université Laurentienne nomme de nouveaux membres du corps professoral sur la voie de la permanence

Investissement dans l’effectif professoral pour améliorer l’expérience étudiante

(8 août 2023) - L’Université Laurentienne a investi dans le renouvellement du corps professoral et nommé de nombreux membres du corps professoral sur la voie de la permanence dans diverses unités d’enseignement. Ces personnes enrichiront l’environnement universitaire en enseignant, en supervisant des étudiants aux cycles supérieurs, en menant des recherches et en participant à l’établissement d’un environnement d’apprentissage dynamique pour l’année universitaire 2023-2024 et les suivantes.

« C’est un investissement dans la progression de la mission d’enseignement et de recherche de la Laurentienne et dans notre mandat triculturel et de bilinguisme, a affirmé la vice-rectrice intérimaire aux études, Brenda Brouwer, Ph.D. Ces personnes apportent une expertise et de l’expérience exceptionnelles ainsi qu’une nouvelle énergie qui enrichiront l’expérience étudiante et encourageront de nouvelles possibilités de collaboration interdisciplinaire. Nous sommes ravis d’accueillir nos plus récentes recrues sur la voie de la permanence. Le talent qu’elles apportent contribuera immensément à l’essor de la Laurentienne. L’avenir est en effet brillant. »

Voici les nouveaux membres du corps professoral sur la voie de la permanence :

Faculté d’éducation et de la santé – École des relations avec les autochtones

  • Nicole Wemigwans
    • Intérêts de recherche : maternité et art d’être parent chez les Anishnaabes, méthodologies autochtones, santé des autochtones, études matriarcales et du genre, pédagogies globales en service social.
    • Cours prévus : ISWK 3305 : Indigenous Theories and Perspectives in Social Work Practice I; ISWK 4305 : Indigenous Perspectives - Theories for Social Work Policy II
  • Adria Kurchina-Tyson
    • Intérêts de recherche : épistémologies autochtones, parenté queer/bispirituel, relations inter-espèces, sexualité (perversion/sadomasochisme).
    • Cours prévus : MIRE 5006 : Indigenous Relations and Worldviews - Theory and Practice; MIRE 5056 : Natural Resources and the Environment from Indigenous Perspectives; ISWK 4416 : Conflict Resolution and Peacemaking in Indigenous Social Work Practice.

Faculté d’éducation et de la santé – Sciences infirmières

  • Sylvain Leduc
    • Intérêts de recherche : soins primaires pour les transgenres, personnes de genre divers et non binaires, obstacles à l’accès aux services de soins d’affirmation du genre dans le nord de l’Ontario.
    • Cours prévus : SCIN 5356 : Formation avancée en évaluation de la santé 1; SCIN 5357 : Formation avancée en évaluation de la santé 2.

Bibliothèque et Archives

  • Natasha Gerolami
    • Intérêts de recherche : politique et éthique de l’information/médiatiques, contrôle de l’accès et propriété de l’information.
    • Responsabilités prévues : liaison entre la Bibliothèque et la Faculté des arts, coordonnatrice des archives.

Faculté des arts – Français langue seconde

  • Valérie Raymond
    • Intérêts de recherche : Contact des langues (emprunts lexicaux, alternances codiques), l’acquisition, l’apprentissage et la maîtrise de la langue française en contexte minoritaire, les genres grammaticaux, le bilinguisme et le multilinguisme, le rôle de la culture dans l’apprentissage de la langue, la sécurité linguistique en contexte minoritaire.
    • Cours prévus : FREN 3816 : Le français dans le monde; FREN 2816 : Éléments de la linguistique générale; FREN 3536 : Grammaire de l’écrit en contexte; FREN 2506/2507 : Interactions orales et écrites I et II; FREN 4515 : Produits culturels canadiens-français; LANG 1005 : Grammaire appliquée à la rédaction.

Faculté de gestion

  • Patricia Orozco Quijano
    • Intérêts de recherche : avenir du travail et pratiques opérationnelles durables.
    • Cours prévus : MGTG 4041 : International Marketing; MGMT 5901 : Work Integrated Learning. Responsabilités prévues : Coordinatrice du BAA/BBA

Faculté des sciences, de génie et d’architecture – Communication scientifique

  • Chantal Barriault
    • Intérêts de recherche : l’apprentissage des sciences dans des environnements non structurés, la communication scientifique et son influence sur la façon dont les gens apprennent les sciences et s’engagent dans des questions sociales fondées sur les sciences, comme le changement climatique.
    • Cours prévus : SCOM 5026 : Learning Theories and Practice in Science Communication; SCOM 5116 : Research Methods in Science Communication; SCOM 5125 : Major Research Project in Science Communication.

Faculté des sciences, de génie et d’architecture – Informatique

  • Meng Cheng Lau
    • Intérêts de recherche : robotique mobile intelligente, vision informatique, intelligence artificielle et apprentissage automatique, systèmes intégrés.
    • Cours prévus : COSC 4117 : Artificial Intelligence; CPSC 5616 : Machine Learning and Deep Learning; CPSC 5207 : Topics in Computer Science - Intelligent Mobile Robotics; COSC 3106 : Theory of Computing.

Faculté des sciences, de génie et d’architecture – Architecture

  • Amina Lalor

Outre ce qui précède, une nouvelle nomination sur la voie de la permanence a eu lieu en droit et justice à la Faculté des arts, et deux autres recrutements devraient se terminer prochainement.

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